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Accueil - Information professionnelle sur Tecentriq 1200 mg/20 ml - Changements - 17.03.2020
37 Changements de l'information professionelle Tecentriq 1200 mg/20 ml
  • +Tecentriq, en association au nab-paclitaxel et au carboplatine, est indiqué pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d'un NSCLC non épidermoïde métastatique sans aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK.
  • -Tecentriq doit être administré en perfusion intraveineuse (i.v.) sous la surveillance dun professionnel de la santé qualifié. Ne pas ladministrer en injection i.v. rapide ou bolus.
  • +Tecentriq doit être administré en perfusion intraveineuse (i.v.) sous la surveillance d'un professionnel de la santé qualifié. Ne pas l'administrer en injection i.v. rapide ou bolus.
  • +Traitement de première intention (1L) du NSCLC non épidermoïde métastatique
  • +Tecentriq en association avec du nab-paclitaxel et du carboplatine:
  • +Pendant la phase d'induction, la posologie recommandée de Tecentriq est de 1200 mg en perfusion intraveineuse (i.v.), suivie de l'administration du nab-paclitaxel et du carboplatine toutes les 3 semaines pendant quatre ou six cycles. Lors de chaque cycle de 21 jours, Tecentriq, le nab-paclitaxel et le carboplatine sont administrés au jour 1. Le nab-paclitaxel est également administré aux jours 8 et 15.
  • +La phase d'induction est suivie d'une phase d'entretien sans chimiothérapie au cours de laquelle une dose de 1200 mg de Tecentriq est administrée toutes les trois semaines.
  • +
  • -La dose recommandée de Tecentriq est de 840 mg sous forme de perfusion i.v., suivis de 100 mg/m² de nab-paclitaxel sous forme de perfusion i.v. Pour chaque cycle de 28 jours, Tecentriq est administré aux jours 1 et 15 et le nab-paclitaxel aux jours 1, 8 et 15.
  • +La dose recommandée de Tecentriq est de 840 mg sous forme de perfusion i.v., suivis de 100 mg/m2 de nab-paclitaxel sous forme de perfusion i.v. Pour chaque cycle de 28 jours, Tecentriq est administré aux jours 1 et 15 et le nab-paclitaxel aux jours 1, 8 et 15.
  • -Grade 3 ou 4 Arrêter définitivement Tecentriq.
  • -Hépatite Grade 2: (ALAT ou ASAT >3 à 5× la limite supérieure de la norme [LSN] ou bilirubinémie >1,5 à 3× LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq. En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • -Grade 3 ou 4: (ALAT ou ASAT >5× LSN ou bilirubinémie >3× LSN) Arrêter définitivement Tecentriq.
  • + Grade 3 ou 4 Arrêter définitivement Tecentriq.
  • +Hépatite Grade 2: (ALAT ou ASAT >3 à 5 x la limite supérieure de la norme [LSN] ou bilirubinémie >1,5 à 3 x LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq. En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • +Grade 3 ou 4: (ALAT ou ASAT >5 x LSN ou bilirubinémie >3 x LSN) Arrêter définitivement Tecentriq.
  • -Syndrome myasthénique/ myasthénie grave, syndrome de Guillain-Barré et méningoencéphalite Tous les grades Arrêter définitivement Tecentriq.
  • +Syndrome myasthénique/myasthénie grave, syndrome de Guillain-Barré et méningoencéphalite Tous les grades Arrêter définitivement Tecentriq.
  • -Grade 4 ou myosite récidivante de grade 3 Arrêter définitivement Tecentriq.
  • -Néphrite Grade 2: (taux de créatinine >1,5-3,0× valeur initiale au début du traitement ou >1,5-3,0× LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq. En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • -Grade 3: (taux de créatinine >3,0× valeur initiale au début du traitement ou >3,0-6,0× LSN) ou grade 4: (taux de créatinine >6,0× LSN) Arrêter définitivement Tecentriq.
  • + Grade 4 ou myosite récidivante de grade 3 Arrêter définitivement Tecentriq.
  • +Néphrite Grade 2: (taux de créatinine >1,5-3,0 x valeur initiale au début du traitement ou >1,5-3,0 x LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq. En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • +Grade 3: (taux de créatinine >3,0 x valeur initiale au début du traitement ou >3,0-6,0 x LSN) ou grade 4: (taux de créatinine >6,0 x LSN) Arrêter définitivement Tecentriq.
  • -En cas de persistance des symptômes de grade 2 (ALAT ou ASAT >3× la limite supérieure de la norme (LSN) ou bilirubinémie >1,5× LSN) pendant plus de 5 à 7 jours, il convient d'interrompre le traitement et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des anomalies du BH à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas d'événements de grade 3 ou 4 (ALAT ou ASAT >5,0× LSN ou bilirubinémie >3× LSN), il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • +En cas de persistance des symptômes de grade 2 (ALAT ou ASAT >3x la limite supérieure de la norme (LSN) ou bilirubinémie >1,5x LSN) pendant plus de 5 à 7 jours, il convient d'interrompre le traitement et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des anomalies du BH à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas d'événements de grade 3 ou 4 (ALAT ou ASAT >5,0x LSN ou bilirubinémie >3x LSN), il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • -En cas d'augmentation des taux sériques d'amylase ou de lipase de grade ≥3 (>2,0× LSN) ou de pancréatite de grade 2 ou 3, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de méthylprednisolone i.v. ou équivalent par jour. Dès que les symptômes s'améliorent, il faut passer à un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone orale ou équivalent par jour. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration des taux sériques d'amylase et de lipase à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et après la disparition des symptômes de la pancréatite, ainsi qu'en cas de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de pancréatite de grade 4 ou de réapparition d'une pancréatite de quelque grade que ce soit, il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • +En cas d'augmentation des taux sériques d'amylase ou de lipase de grade ≥3 (>2,0x LSN) ou de pancréatite de grade 2 ou 3, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de méthylprednisolone i.v. ou équivalent par jour. Dès que les symptômes s'améliorent, il faut passer à un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone orale ou équivalent par jour. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration des taux sériques d'amylase et de lipase à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et après la disparition des symptômes de la pancréatite, ainsi qu'en cas de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de pancréatite de grade 4 ou de réapparition d'une pancréatite de quelque grade que ce soit, il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • -Occasionnels Pancréatite q, défécations fréquentes
  • +Occasionnels Pancréatiteq, défécations fréquentes
  • +Une hyperthyroïdie est survenue chez 4,9% (23/473) des patients ayant reçu Tecentriq en association avec du carboplatine et du nab-paclitaxel. Un patient (0,2%) a arrêté le traitement à cause d'une hyperthyroïdie.
  • +Une insuffisance surrénalienne est survenue chez 1,5% (7/473) des patients ayant reçu Tecentriq en association avec du carboplatine et du nab-paclitaxel. Une insuffisance surrénalienne nécessitant l'utilisation de corticoïdes est survenue chez 0,8% (4/473) des patients ayant reçu Tecentriq en association avec du carboplatine et du nab-paclitaxel.
  • +1L en cas de NSCLC non épidermoïde
  • +IMpower130
  • +Un essai clinique de phase III, randomisé, en ouvert, GO29537 (IMpower130), a été́ mené́ afin d'évaluer l'efficacité́ et la sécurité́ de Tecentriq en association au nab-paclitaxel et au carboplatine, chez des patients naïfs de chimiothérapie atteints d'un NSCLC non épidermoïde métastatique. Les patients, y compris ceux avec aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK,ont été́ inclus et randomisés selon un rapport 2:1 pour recevoir l'un des traitements décrits dans le tableau 3. La randomisation a été́ stratifiée selon le sexe, la présence de métastases hépatiques et le statut d'expression de PD-L1 sur les TC et les IC. Les patients recevant le traitement B ont pu changer de traitement et recevoir le Tecentriq en monothérapie après progression de la maladie.
  • +Tableau 3: Traitement intraveineux dans IMpower130
  • +Traitement Induction (quatre ou six cycles de 21 jours) Entretien (cycles de 21 jours)
  • +A Tecentriq (1200 mg)a + nabpaclitaxel (100 mg/m2)b,c + carboplatine (AUC 6)c Tecentriq (1200 mg) a
  • +B Nab-paclitaxel (100 mg/m2)b + carboplatine (AUC 6)c Meilleurs soins de soutien ou pémétrexed
  • +
  • +a LeTecentriq est administré jusqu'à̀ perte du bénéfice clinique évaluée par le médecin investigateur.
  • +b Le nab-paclitaxel est administré les jours 1, 8 et 15 de chaque cycle.
  • +c Le nab-paclitaxel et le carboplatine sont administrés jusqu'à la fin de 4-6 cycles ou progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable, selon l'événement survenant en premier.
  • +Les patients ont été́ exclus s'ils présentaient un antécédent de maladie auto-immune, s'ils avaient reçu un vaccin vivant atténué́ dans les 28 jours précédant la randomisation, s'ils avaient reçu un traitement immunostimulant systémique dans les 4 semaines ou un traitement immunosuppresseur systémique dans les 2 semaines précédant la randomisation, s'ils présentaient des métastases cérébrales actives ou non traitées. Des évaluations tumorales ont été́ réalisées toutes les 6 semaines pendant les 48 premières semaines suivant le Jour 1 du cycle 1, puis toutes les 9 semaines par la suite.
  • +Les caractéristiques démographiques et pathologiques à l'inclusion de la population étudiée (n = 723) étaient bien équilibrées entre les bras de traitement. L'âge médian s'élevait à 64 ans (entendue de 18 à 86 ans). La majorité́ des patients était de sexe masculin (57%) et de type caucasien (90%). 14,8% des patients avaient des métastases hépatiques à l'inclusion et la plupart des patients étaient fumeurs ou anciens fumeurs (88%). La majorité́ des patients présentaient un indice de performance ECOG de 1 (58,7%).
  • +L'analyse principale a été́ réalisée chez tous les patients, en excluant ceux avec aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK (n = 685), définie comme la population ITT-WT. Les deux critères d'évaluation principaux étaient l'OS et la PFS évaluée par le médecin investigateur. Les principaux résultats de cette étude lors d'un suivi médian de 18,6 mois de la durée de vie restante sont résumés ci-dessous.
  • +Le traitement par atezo + carboplatine + nab-paclitaxel (atezo + CnP) été associé à un allongement statistiquement significatif de l'OS par rapport au carboplatine et nab-paclitaxel (CnP). Pour les patients de la population en ITT-WT, l'OS médiane était 4,7 mois plus longue dans le bras de traitement sous atezo + CnP, où elle était de 18,6 mois (IC à 95%: 15,8; 21,2) dans le bras de traitement sous atezo + CnP contre 13,9 mois (IC à 95%: 12,0; 18,7) dans le bras de traitement sous CnP (valeur de p stratifiée = 0,030). Le hazard ratio (HR) stratifié était de 0,79 (IC à 95%: 0,64; 0,98); cela correspond à une réduction relative du risque de mortalité de 21% sous atezo + CnP par rapport au CnP.
  • +Par rapport au CnP, le traitement par atezo + CnP était associé à une amélioration statistiquement significative de la PFS évaluée par le médecin investigateur (selon RECIST v1.1). Pour les patients de la population en ITT-WT, la PFS médiane était numériquement plus longue dans le bras de traitement sous atezo + CnP: 7,0 mois (IC à 95%: 6,3; 7,3) dans le bras de traitement atezo + CnP contre 5,5 mois (IC à 95%: 4,4; 5,9) dans le bras sous CnP (valeur de p stratifiée <0,0001). Le HR stratifié était de 0,64 (IC à 95%: 0,54; 0,76).
  • +La proportion de patients de la population ITT-WT avec un taux de réponse objective évalué et confirmé par un médecin investigateur selon RECIST v1.1 était supérieur de 17,6% dans le bras de traitement sous atezo + CnP par rapport au bras sous CnP (49,3% vs 31,7%).
  • +Dans tous les sous-groupes PD-L1, indépendamment de l'expression, un bénéfice concernant l'OS et la PFS a été obtenu hormis les patients avec des métastases hépatiques. Ainsi que les résultats d'une analyse en sous-groupes d'un nombre limité de patients (n = 101) avec des métastases hépatiques l'ont montré, l'atezolizumab, le nab-paclitaxel et le carboplatine ne semblent pas entraîner d'améliorations de l'effet thérapeutique dans ce collectif partiel par rapport au nab-paclitaxel et au carboplatine (HR: 0,96; IC à 95%: 0,61; 1,51 pour la PFS et HR: 1,21; IC à 95%: 0,73; 2,00 pour l'OS).
  • -Les données démographiques et les caractéristiques de la maladie au début du traitement dans la population de l'analyse primaire étaient bien équilibrées entre les deux bras thérapeutiques. L'âge médian était de 64 ans (intervalle: de 33 à 85); 61% des patients étaient de sexe masculin. La majorité des patients étaient des Blancs (70%). Presque les trois quarts des patients (74%) présentaient une forme non épidermoïde («non squamous») de la maladie, 10% présentaient une mutation de l'EGFR connue, 0,2% avait des remaniements ALK connus, 10% avaient des métastases dans le SNC au début du traitement et la plupart des patients étaient des fumeurs ou d'anciens fumeurs (82%). Le score de performance ECOG au début du traitement était de 0 (37%) ou de 1 (63%). 75% des patients n'avaient reçu auparavant qu'un seul protocole thérapeutique à base de platine.
  • +Les données démographiques et les caractéristiques de la maladie au début du traitement dans la population de l'analyse primaire étaient bien équilibrées entre les deux bras thérapeutiques. L'âge médian était de 64 ans (intervalle: de 33 à 85); 61% des patients étaient de sexe masculin. La majorité des patients étaient des Blancs (70%). Presque les trois quarts des patients (74%) présentaient un carcinome d'histologie non épidermoïde, 10% présentaient une mutation de l'EGFR connue, 0,2% avait des remaniements ALK connus, 10% avaient des métastases dans le SNC au début du traitement et la plupart des patients étaient des fumeurs ou d'anciens fumeurs (82%). Le score de performance ECOG au début du traitement était de 0 (37%) ou de 1 (63%). 75% des patients n'avaient reçu auparavant qu'un seul protocole thérapeutique à base de platine.
  • -Une amélioration de l'OS sous Tecentriq par rapport au docétaxel a été observée non seulement chez les patients atteints de NSCLC «non squamous» (non épidermoïde) (HR de 0,73; IC à 95%: 0,60-0,89; OS médiane de 15,6 mois sous Tecentriq contre 11,2 mois sous le docétaxel), mais également chez les patients atteints de NSCLC «squamous» (épidermoïde) (HR de 0,73; IC à 95%: 0,54-0,98; OS médiane de 8,9 mois sous Tecentriq contre 7,7 mois sous le docétaxel).
  • +Une amélioration de l'OS sous Tecentriq par rapport au docétaxel a été observée non seulement chez les patients atteints d'un NSCLC non épidermoïde) (HR de 0,73; IC à 95%: 0,60-0,89; OS médiane de 15,6 mois sous Tecentriq contre 11,2 mois sous le docétaxel), mais également chez les patients atteints d'un NSCLC épidermoïde (HR de 0,73; IC à 95%: 0,54-0,98; OS médiane de 8,9 mois sous Tecentriq contre 7,7 mois sous le docétaxel).
  • -Létude de phase III randomisée, à 2 bras, menée en double aveugle et contrôlée contre placebo WO29522 (IMpassion130) a été réalisée pour évaluer lefficacité et la sécurité de Tecentriq en association avec le nab-paclitaxel chez des patients atteints de cancer du sein triplement négatif (TNBC) non résécable, localement avancé ou métastatique, nayant reçu au préalable aucune chimiothérapie ni aucun traitement systémique ciblé en raison dun TNBC inopérable, localement avancé ou métastatique. Au total, 902 patients ont été inclus dans létude et le collectif a été stratifié selon la présence de métastases hépatiques, un traitement préalable à base de taxane et le statut de lexpression du PD-L1 dans les cellules immunitaires (CI) infiltrant la tumeur (cellules immunitaires [CI] infiltrant la tumeur avec coloration de PD-L1 <1% de la surface de la tumeur contre ≥1% de la surface de la tumeur), évalué à laide du test VENTANA PD-L1 (SP142).
  • -Les patients ont été randomisés pour recevoir soit Tecentriq (840 mg), soit un placebo en perfusions i.v. aux jours 1 et 15 plus nab-paclitaxel (100 mg/m2) sous forme de perfusion i.v. aux jours 1, 8 et 15 de chaque cycle de 28 jours. Les patients ont reçu le traitement jusquà lapparition dune progression tumorale radiologique, selon RECIST version 1.1, ou jusquà la survenue dune toxicité intolérable. Le traitement par Tecentriq a été poursuivi en cas dinterruption du nab-paclitaxel pour cause de toxicité intolérable.
  • -Étaient notamment exclus de létude les patients présentant des antécédents de maladie auto-immune; les patients ayant reçu un vaccin vivant atténué au cours des 4 semaines précédant la randomisation; les patients ayant reçu des substances actives immunostimulatrices systémiques dans les 4 semaines ou des médicaments immunosuppresseurs systémiques dans les 2 semaines précédant la randomisation; les patients présentant des métastases cérébrales non traitées ou dépendantes des corticostéroïdes; les patients ayant des antécédents de transplantation de cellules souches allogéniques ou dorgane solide; les patients atteints de fibrose pulmonaire idiopathique active ou anamnestique et de pneumonite (à lexception dune pneumonite actinique dans le champ dirradiation) et de pneumonie organisante; ou encore les patients atteints dinfections actives, telles que VIH, hépatite B et C ainsi que tuberculose. Une évaluation de la tumeur a été effectuée toutes les 8 semaines durant les 12 premiers mois, puis toutes les 12 semaines.
  • -Au début de létude, la population de létude était comparable en termes de données démographiques et de caractéristiques de la maladie dans les deux bras de létude. La grande majorité des patients (99,6%) était de sexe féminin. 67,5% des patients étaient de race caucasienne, 17,8% étaient dorigine asiatique, 6,5% étaient noirs ou afroaméricains et 4,4% étaient des indiens ou des autochtones de lAlaska. Lâge médian était de 55 ans (intervalle: de 20 à 86 ans). La valeur initiale du statut de performance ECOG était 0 (58,4%) ou 1 (41,3%). Dans lensemble, lors de linclusion dans létude, 41% des patients inclus présentaient une expression de PD-L1 ≥1%, 27% présentaient des métastases hépatiques et 7% avaient des métastases cérébrales. Près de la moitié des patients était sous taxane (51%) ou anthracycline (54%) en guise de traitement (néo-)adjuvant. Les données démographiques des patients et la maladie tumorale lors de linclusion dans létude de la population avec expression du PD-L1 ≥1% étaient en général représentatives de la population totale de létude.
  • -Les résultats de la PFS (survie sans progression), de lORR (taux de réponse objective) et de la DOR (durée de réponse) issus de cette étude sont résumés dans le tableau 3 et dans le texte ci-dessous et ils concernent les patients présentant une expression du PD-L1 ≥1% avec une durée médiane de suivi des patients survivants de 13 mois.
  • -Une analyse actualisée de lOS avec une période dobservation médiane de 18 mois a été réalisée. Les résultats de lOS et de la PFS sont présentés dans le tableau 3.
  • -Aucun bénéfice en terme dOS na été observé sous traitement combiné par latézolizumab + nab-paclitaxel par rapport au placebo + nab-paclitaxel chez les patients pour lesquels ≥24 mois avaient passé entre la dernière opération et le diagnostic de maladie tumorale métastatique ou localement avancée inopérable.
  • -Tableau 3: Résumé des données de lefficacité chez les patients présentant une expression du PD-L1 ≥1% (IMpassion130)
  • +L'étude de phase III randomisée, à 2 bras, menée en double aveugle et contrôlée contre placebo WO29522 (IMpassion130) a été réalisée pour évaluer l'efficacité et la sécurité de Tecentriq en association avec le nab-paclitaxel chez des patients atteints de cancer du sein triplement négatif (TNBC) non résécable, localement avancé ou métastatique, n'ayant reçu au préalable aucune chimiothérapie ni aucun traitement systémique ciblé en raison d'un TNBC inopérable, localement avancé ou métastatique. Au total, 902 patients ont été inclus dans l'étude et le collectif a été stratifié selon la présence de métastases hépatiques, un traitement préalable à base de taxane et le statut de l'expression du PD-L1 dans les cellules immunitaires (CI) infiltrant la tumeur (cellules immunitaires [CI] infiltrant la tumeur avec coloration de PD-L1<1% de la surface de la tumeur contre ≥1% de la surface de la tumeur), évalué à l'aide du test VENTANA PD-L1 (SP142).
  • +Les patients ont été randomisés pour recevoir soit Tecentriq (840 mg), soit un placebo en perfusions i.v. aux jours 1 et 15 plus nab-paclitaxel (100 mg/m2) sous forme de perfusion i.v. aux jours 1, 8 et 15 de chaque cycle de 28 jours. Les patients ont reçu le traitement jusqu'à l'apparition d'une progression tumorale radiologique, selon RECIST version 1.1, ou jusqu'à la survenue d'une toxicité intolérable. Le traitement par Tecentriq a été poursuivi en cas d'interruption du nab-paclitaxel pour cause de toxicité intolérable.
  • +Étaient notamment exclus de l'étude les patients présentant des antécédents de maladie auto-immune; les patients ayant reçu un vaccin vivant atténué au cours des 4 semaines précédant la randomisation; les patients ayant reçu des substances actives immunostimulatrices systémiques dans les 4 semaines ou des médicaments immunosuppresseurs systémiques dans les 2 semaines précédant la randomisation; les patients présentant des métastases cérébrales non traitées ou dépendantes des corticostéroïdes; les patients ayant des antécédents de transplantation de cellules souches allogéniques ou d'organe solide; les patients atteints de fibrose pulmonaire idiopathique active ou anamnestique et de pneumonite (à l'exception d'une pneumonite actinique dans le champ d'irradiation) et de pneumonie organisante; ou encore les patients atteints d'infections actives, telles que VIH, hépatite B et C ainsi que tuberculose. Une évaluation de la tumeur a été effectuée toutes les 8 semaines durant les 12 premiers mois, puis toutes les 12 semaines.
  • +Au début de l'étude, la population de l'étude était comparable en termes de données démographiques et de caractéristiques de la maladie dans les deux bras de l'étude. La grande majorité des patients (99,6%) était de sexe féminin. 67,5% des patients étaient de race caucasienne, 17,8% étaient d'origine asiatique, 6,5% étaient noirs ou afroaméricains et 4,4% étaient des indiens ou des autochtones de l'Alaska. L'âge médian était de 55 ans (intervalle: de 20 à 86 ans). La valeur initiale du statut de performance ECOG était 0 (58,4%) ou 1 (41,3%). Dans l'ensemble, lors de l'inclusion dans l'étude, 41% des patients inclus présentaient une expression de PD-L1≥1%, 27% présentaient des métastases hépatiques et 7% avaient des métastases cérébrales. Près de la moitié des patients était sous taxane (51%) ou anthracycline (54%) en guise de traitement (néo-)adjuvant. Les données démographiques des patients et la maladie tumorale lors de l'inclusion dans l'étude de la population avec expression du PD-L1≥1% étaient en général représentatives de la population totale de l'étude.
  • +Les résultats de la PFS (survie sans progression), de l'ORR (taux de réponse objective) et de la DOR (durée de réponse) issus de cette étude sont résumés dans le tableau 4 et dans le texte ci-dessous et ils concernent les patients présentant une expression du PD-L1≥1% avec une durée médiane de suivi des patients survivants de 13 mois.
  • +Une analyse actualisée de l'OS avec une période d'observation médiane de 18 mois a été réalisée. Les résultats de l'OS et de la PFS sont présentés dans le tableau 4.
  • +Aucun bénéfice en terme d'OS n'a été observé sous traitement combiné par l'atézolizumab + nab-paclitaxel par rapport au placebo + nab-paclitaxel chez les patients pour lesquels ≥24 mois avaient passé entre la dernière opération et le diagnostic de maladie tumorale métastatique ou localement avancée inopérable.
  • +Tableau 4: Résumé des données de l'efficacité chez les patients présentant une expression du PD-L1≥1% (IMpassion130)
  • -Survie sans progression (PFS) selon l'appréciation du médecin investigateur (RECIST vers. 1.1) – Analyse primaire³ n=185 n=184
  • +Survie sans progression (PFS) selon l'appréciation du médecin investigateur (RECIST vers. 1.1) – Analyse primaire3 n=185 n=184
  • -Valeur de p¹ <0,0001
  • +Valeur de p1 <0,0001
  • -1 Sur la base du test de log-rank stratifié
  • -2 La comparaison des survies globales entre les groupes de traitement de patients présentant une expression du PD-L1 ≥1% na pas été testée formellement selon la hiérarchie des analyses spécifiée à lavance.
  • -3 D’après lanalyse finale de la PFS, de lORR et de la DOR et une première analyse intermédiaire de lOS au moment du cut-off clinique du 17 avril 2018
  • -4 D’après une seconde analyse intermédiaire de lOS et une analyse exploratoire de la PFS au moment du cut-off clinique du 2 janvier 2019
  • -‡ Stratifié en fonction de la présence de métastases hépatiques et dun traitement antérieur par taxane
  • -PFS = survie sans progression (progression-free survival); RECIST = Response Evaluation Criteria in Solid Tumors v1.1. (critères dévaluation de la réponse pour les tumeurs solides, version 1.1); IC = intervalle de confiance; OS = survie globale (overall survival), NE = non appréciable (not estimable).
  • +1.Sur la base du test de log-rank stratifié
  • +2.La comparaison des survies globales entre les groupes de traitement de patients présentant une expression du PD-L1≥1% n'a pas été testée formellement selon la hiérarchie des analyses spécifiée à l'avance.
  • +3.D'après l'analyse finale de la PFS, de l'ORR et de la DOR et une première analyse intermédiaire de l'OS au moment du cut-off clinique du 17 avril 2018
  • +4.D'après une seconde analyse intermédiaire de l'OS et une analyse exploratoire de la PFS au moment du cut-off clinique du 2 janvier 2019
  • +‡ Stratifié en fonction de la présence de métastases hépatiques et d'un traitement antérieur par taxane
  • +PFS = survie sans progression (progression-free survival); RECIST = Response Evaluation Criteria in Solid Tumors v1.1. (critères d'évaluation de la réponse pour les tumeurs solides, version 1.1); IC = intervalle de confiance; OS = survie globale (overall survival), NE = non appréciable (not estimable).
  • -La pharmacocinétique de Tecentriq a été caractérisée chez des patients dans plusieurs études cliniques, à des doses allant de 0,01 mg/kg à 20 mg/kg toutes les 3 semaines, ainsi quà la dose fixe de 1200 mg. Lexposition à Tecentriq a augmenté proportionnellement à la dose dans lintervalle posologique de 1 mg/kg à 20 mg/kg. Une analyse de population portant sur 472 patients a décrit la pharmacocinétique de Tecentriq dans lintervalle posologique compris entre 1 et 20 mg/kg avec un modèle dordonnancement linéaire bicompartimental et une cinétique délimination de premier ordre. Les propriétés pharmacocinétiques de Tecentriq à la posologie de 840 mg toutes les 2 semaines et celles à la posologie de 1200 mg toutes les 3 semaines sont comparables. Une analyse pharmacocinétique de population indique que létat déquilibre est atteint après 6 à 9 semaines (deux à trois cycles) après administration de doses répétée. Le taux daccumulation systémique maximal de 3,3 pour tous les schémas posologiques.
  • +La pharmacocinétique de Tecentriq a été caractérisée chez des patients dans plusieurs études cliniques, à des doses allant de 0,01 mg/kg à 20 mg/kg toutes les 3 semaines, ainsi qu'à la dose fixe de 1200 mg. L'exposition à Tecentriq a augmenté proportionnellement à la dose dans l'intervalle posologique de 1 mg/kg à 20 mg/kg. Une analyse de population portant sur 472 patients a décrit la pharmacocinétique de Tecentriq dans l'intervalle posologique compris entre 1 et 20 mg/kg avec un modèle d'ordonnancement linéaire bicompartimental et une cinétique d'élimination de premier ordre. Les propriétés pharmacocinétiques de Tecentriq à la posologie de 840 mg toutes les 2 semaines et celles à la posologie de 1200 mg toutes les 3 semaines sont comparables. Une analyse pharmacocinétique de population indique que l'état d'équilibre est atteint après 6 à 9 semaines (deux à trois cycles) après administration de doses répétée. Le taux d'accumulation systémique maximal de 3,3 pour tous les schémas posologiques.
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients insuffisants hépatiques. L'analyse pharmacocinétique de population n'a montré aucune différence cliniquement significative concernant la clairance de Tecentriq entre les patients présentant une insuffisance hépatique légère (bilirubine ≤ LSN et ASAT > LSN ou bilirubine <1,0 jusqu'à 1,5× LSN et quel que soit le taux d'ASAT, n = 71) et ceux présentant une fonction hépatique normale (bilirubine et ASAT ≤ LSN, n=401). Il n'existe aucune donnée chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée (bilirubine >1,5 à 3,0× LSN, quel que soit le taux d'ASAT) ou sévère (bilirubine >3,0× LSN, quel que soit le taux d'ASAT). Les troubles de la fonction hépatique ont été définis selon les critères de l'insuffisance hépatique établis par le National Cancer Institute (NCI) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions spéciales pour la posologie»).
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients insuffisants hépatiques. L'analyse pharmacocinétique de population n'a montré aucune différence cliniquement significative concernant la clairance de Tecentriq entre les patients présentant une insuffisance hépatique légère (bilirubine ≤ LSN et ASAT > LSN ou bilirubine <1,0 jusqu'à 1,5 × LSN et quel que soit le taux d'ASAT, n = 71) et ceux présentant une fonction hépatique normale (bilirubine et ASAT ≤ LSN, n=401). Il n'existe aucune donnée chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée (bilirubine >1,5 à 3,0x LSN, quel que soit le taux d'ASAT) ou sévère (bilirubine >3,0x LSN, quel que soit le taux d'ASAT). Les troubles de la fonction hépatique ont été définis selon les critères de l'insuffisance hépatique établis par le National Cancer Institute (NCI) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions spéciales pour la posologie»).
  • -Tecentriq ne contient pas de conservateur. Chaque flacon est donc à usage unique.
  • +Tecentriq ne contient pas de conservateur. Chaque flacon est donc à usage unique. Tout médicament non utilisé doit être éliminé.
  • -Janvier 2020.
  • +Mars 2020.
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