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Accueil - Information professionnelle sur Tecentriq 1200 mg/20 ml - Changements - 25.05.2018
72 Changements de l'information professionelle Tecentriq 1200 mg/20 ml
  • -Tecentriq doit être administré en perfusion intraveineuse sous la surveillance d'un professionnel de la santé qualifié. Ne pas l'administrer en injection intraveineuse rapide ou bolus.
  • +Tecentriq doit être administré en perfusion intraveineuse (i.v.) sous la surveillance d'un professionnel de la santé qualifié. Ne pas l'administrer en injection intraveineuse rapide ou bolus.
  • -Pour la conduite à tenir lors des événements suivants, voir «Mises en garde et précautions»: Généralités:
  • -·Pneumonite d'origine immunologique
  • -·Hépatite d'origine immunologique
  • -·Colite d'origine immunologique
  • -·Endocrinopathies d'origine immunologique (hypothyroïdie, hyperthyroïdie, insuffisance surrénalienne, diabète sucré de type 1)
  • -·Méningoencéphalite d'origine immunologique
  • -·Neuropathies d'origine immunologique (syndrome myasthénique/myasthénie grave, syndrome de Guillain-Barré)
  • -·Pancréatite d'origine immunologique
  • -·Réactions liées à la perfusion
  • -·Myocardite d'origine immunologique
  • -Tableau 1: Indications sur les ajustements posologiques lors de certains effets indésirables médicamenteux
  • -Effet indésirable Grade de sévérité Ajustement du traitement
  • -Éruption cutanée (voir «Effets indésirables, Études cliniques») Grade 3 Interrompre la perfusion de Tecentriq Le traitement peut être repris après disparition de l'éruption cutanée et diminution des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg d'équivalent prednisone par jour par voie orale.
  • - Grade 4 Arrêter définitivement Tecentriq
  • +Report d'une dose ou arrêt du traitement (voir «Mises en garde et précautions»)
  • +Voir Tableau 1.
  • +Tecentriq doit être définitivement interrompu:
  • +·en cas de toxicité de grade 4, sauf lors d'endocrinopathies pouvant être contrôlées par une hormonothérapie de substitution
  • +·en cas d'effets indésirables récurrents de grade ≥3
  • +·lorsqu'une toxicité due au traitement ne s'atténue pas jusqu'à un grade 0 ou 1 dans les 12 semaines qui suivent la survenue de l'effet indésirable
  • +·lorsqu'une dose de corticostéroïde de >10 mg/jour de prednisone ou équivalent est requise en raison d'une toxicité due au traitement persistant plus de 12 semaines après la survenue de l'effet indésirable
  • +Tableau 1. Indications relatives aux ajustements posologiques lors de certains effets indésirables
  • +Effet indésirable Degré de sévérité Ajustement du traitement
  • +Pneumonite Grade 2 Interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitement peut être repris si le degré de sévérité de l'effet indésirable repasse à 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et si la dose de corticostéroïde a pu être abaissée à ≤10 mg/jour de prednisone ou équivalent
  • +Grade 3 ou 4 Arrêter définitivement le traitement par Tecentriq
  • +Hépatite Grade 2 (pendant plus de 5 à 7 jours): (ALAT ou ASAT >3 à 5× la limite supérieure de la norme (LSN) ou bilirubinémie >1,5 à 3× LSN) Interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitement peut être repris si le degré de sévérité de l'effet indésirable repasse à 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et si la dose de corticostéroïde a pu être abaissée à ≤10 mg/jour de prednisone ou équivalent
  • +Grade 3 ou 4: (ALAT ou ASAT >5× LSN ou bilirubinémie >3× LSN) Arrêter définitivement le traitement par Tecentriq
  • +Colite Diarrhées de grade 2 ou 3 (augmentation de ≥4 selles/jour par rapport au moment de l'introduction du traitement) ou colite symptomatique Interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitement peut être repris si le degré de sévérité de l'effet indésirable repasse à 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et si la dose de corticostéroïdes a pu être abaissée à ≤10 mg/jour de prednisone ou équivalent
  • + Diarrhées ou colite de grade 4 (potentiellement fatale; une intervention immédiate est indiquée) Arrêter définitivement le traitement par Tecentriq
  • +Hypothyroïdie ou hyperthyroïdie Symptomatique Interrompre le traitement par Tecentriq Hypothyroïdie: Le traitement peut être repris dès l'obtention d'un contrôle des symptômes par une substitution de thyroxine et dès que les taux de TSH redescendent Hyperthyroïdie: Le traitement peut être repris dès l'obtention d'un contrôle des symptômes par un traitement thyréostatique et dès l'amélioration de la fonction thyroïdienne
  • +Insuffisance surrénalienne Symptomatique Interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitement peut être repris dès que le degré de sévérité des symptômes est repassé à 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines, dès que la dose de corticostéroïdes a pu être abaissée à ≤10 mg/jour de prednisone ou équivalent et dès que le patient est stable sous thérapie de substitution
  • +Hypophysite Grade 2 ou 3 Interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitement peut être repris dès que le degré de sévérité des symptômes est repassé à 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines, dès que la dose de corticostéroïdes a pu être abaissée à ≤10 mg/jour de prednisone ou équivalent et dès que le patient est stable sous thérapie de substitution
  • +Grade 4 Arrêter définitivement le traitement par Tecentriq
  • +Diabète sucré de type 1 Hyperglycémie de grade 3 ou 4 (glycémie à jeun >250 mg/dl ou 13,9 mmol/l) Interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitent peut être repris dès que l'insulinothérapie substitutive a permis d'obtenir un contrôle métabolique
  • +Réactions liées à la perfusion Grade 1 ou 2 Réduire la vitesse de perfusion ou interrompre le traitement. Le traitement peut être repris dès la disparition de l'événement
  • +Grade 3 ou 4 Arrêter définitivement le traitement par Tecentriq
  • +Éruption cutanée Grade 3 Interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitement peut être repris dès la disparition de l'éruption cutanée et dès que la dose de corticostéroïde a pu être abaissée à ≤10 mg/jour de prednisone ou équivalent
  • +Grade 4 Arrêter définitivement le traitement par Tecentriq
  • +Syndrome myasthénique/ myasthénie grave, syndrome de Guillain-Barré et méningoencéphalite Tous les grades Arrêter définitivement le traitement par Tecentriq
  • +Pancréatite Élévation de grade 3 ou 4 des taux sériques d'amylase ou de lipase (>2× LSN) ou pancréatite de grade 2 ou 3 Interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitement peut être repris dès que les taux sériques d'amylase et de lipase sont repassés à un grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines ou dès la disparition des symptômes de la pancréatite et dès que la dose de corticostéroïde a pu être abaissée à ≤10 mg/jour de prednisone ou équivalent
  • +Pancréatite de grade 4 ou pancréatite récidivante de tout grade Arrêter définitivement le traitement par Tecentriq
  • +Myocardite Grade 2 Interrompre le traitement par Tecentriq
  • +Grade 3 ou grade 4 Arrêter définitivement le traitement par Tecentriq
  • +Remarque: Les grades des effets indésirables correspondent aux critères communs de terminologie pour les effets indésirables (Common Terminology Criteria for Adverse Events) Version 4.0 (NCI-CTCAE v4) du National Cancer Institute.
  • +
  • -En cas de pneumonite de grade 2, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement pendant ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de pneumonite de grade 3 ou 4, il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • +En cas de pneumonite de grade 2, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de pneumonite de grade 3 ou 4, il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • -En cas de persistance d'anomalies de grade 2 (ALAT ou ASAT >3× LSN ou bilirubinémie >1,5× LSN) pendant plus de 5 à 7 jours, il convient d'interrompre le traitement et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des anomalies du BH à un grade ≤1, le corticostéroïde doit être arrêté progressivement pendant ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas d'événements de grade 3 ou 4 (ALAT ou ASAT >5,0× LSN ou bilirubinémie >3× LSN), il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • +En cas de persistance des symptômes de grade 2 (ALAT ou ASAT >3× LSN ou bilirubinémie >1,5× LSN) pendant plus de 5 à 7 jours, il convient d'interrompre le traitement et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des anomalies du BH à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas d'événements de grade 3 ou 4 (ALAT ou ASAT >5,0× LSN ou bilirubinémie >3× LSN), il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • -Des cas de diarrhée ou de colite ont été observés au cours d'études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables, Études cliniques»). Les patients doivent être surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'une colite.
  • -En cas de diarrhée de grade 2 ou 3 (augmentation de ≥4 selles/jour par rapport au nombre avant le début du traitement) ou de colite (symptomatique), le traitement par Tecentriq doit être interrompu. Lors de diarrhée ou de colite de grade 2, un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour doit être instauré en cas de persistance des symptômes pendant plus de 5 jours ou de leur réapparition. Une diarrhée ou une colite de grade 3 doit être traitée par des corticostéroïdes i.v. (1 à 2 mg/kg de méthylprednisolone ou équivalent par jour). Après amélioration, il faut passer à des corticostéroïdes oraux (1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour). En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement pendant ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de diarrhée ou de colite de grade 4 (menaçant le pronostic vital: intervention d'urgence indiquée), il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • +Des cas de diarrhées ou de colite ont été observés au cours d'études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables, Études cliniques»). Les patients doivent être surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'une colite.
  • +En cas de diarrhées de grade 2 ou 3 (augmentation de ≥4 selles/jour par rapport au début du traitement) ou de colite (symptomatique), le traitement par Tecentriq doit être interrompu. Lors de diarrhées ou de colite de grade 2, un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour doit être instauré en cas de persistance des symptômes pendant plus de 5 jours ou de réapparition de ces symptômes. Une diarrhée ou une colite de grade 3 doit être traitée par des corticostéroïdes i.v. (1 à 2 mg/kg de méthylprednisolone ou équivalent par jour). Après amélioration, il faut passer à des corticostéroïdes oraux (1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour). En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de diarrhées ou de colite de grade 4 (menaçant le pronostic vital: intervention d'urgence indiquée), il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • -Des cas d'hypothyroïdie, d'hyperthyroïdie, d'insuffisance surrénalienne et de diabète sucré de type 1, y compris d'acidocétose diabétique, ont été observés au cours d'études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables, Études cliniques»). Les patients doivent être surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'endocrinopathies. La fonction thyroïdienne doit être contrôlée avant le traitement et régulièrement au cours du traitement par Tecentriq. Chez les patients présentant des anomalies du bilan thyroïdien avant le début du traitement, des mesures appropriées doivent être envisagées.
  • -Hypophysite
  • -Une hypophysite est survenue au cours des études cliniques réalisées avec Tecentriq dans différents types de tumeurs. Les patients doivent être surveillés afin de déceler tout signe et symptôme d'une hypophysite. Administrer des corticostéroïdes et un traitement hormonal substitutif si cliniquement indiqué. Il convient d'interrompre l'administration de Tecentriq lors d'une hypophysite de grade 2 ou 3 et de l'arrêter définitivement lors d'une hypophysite de grade 4.
  • -Les patients asymptomatiques présentant des anomalies du bilan thyroïdien peuvent être traités par Tecentriq. En cas d'hypothyroïdie symptomatique, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer si nécessaire un traitement substitutif par des hormones thyroïdiennes. Une hypothyroïdie isolée peut le cas échéant être traitée par un traitement substitutif sans corticostéroïdes. En cas d'hyperthyroïdie symptomatique, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer si nécessaire un traitement par un thyréostatique tel que le méthimazole ou le carbimazole. Le traitement par Tecentriq peut être repris lorsque les symptômes sont contrôlés et que la fonction thyroïdienne s'est améliorée.
  • -En cas d'insuffisance surrénalienne symptomatique, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de méthylprednisolone i.v. ou équivalent par jour. Dès que les symptômes s'améliorent, il faut passer à un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement pendant ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour, dans la mesure où le patient est stable sous le traitement substitutif (si celui-ci est nécessaire).
  • -En cas de diabète sucré de type 1, il convient d'instaurer une insulinothérapie. En cas d'hyperglycémie de grade ≥3 (glycémie à jeun >250-500 mg/dl), il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitement par Tecentriq peut être repris lorsque le contrôle métabolique est obtenu sous l'insulinothérapie substitutive.
  • +Des cas d'hypothyroïdie, d'hyperthyroïdie, d'insuffisance surrénalienne, d'hypophysite et de diabète sucré de type 1, y compris d'acidocétose diabétique, ont été observés au cours d'études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables, Études cliniques»). Les patients doivent être surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'endocrinopathies. La fonction thyroïdienne doit être contrôlée avant le traitement et régulièrement au cours du traitement par Tecentriq. Chez les patients présentant des anomalies du bilan thyroïdien avant le début du traitement, des mesures appropriées doivent être envisagées.
  • +Les patients asymptomatiques présentant des résultats anormaux aux tests de la fonction thyroïdienne peuvent être traités par Tecentriq. Le traitement par Tecentriq doit être interrompu en cas d'hypothyroïdie symptomatique et une thérapie de substitution par hormones thyroïdiennes doit être instaurée en cas de besoin. Une hypothyroïdie isolée peut éventuellement être traitée par une thérapie de substitution sans corticostéroïdes. En cas d'hyperthyroïdie symptomatique, le traitement par Tecentriq doit être interrompu et un traitement par un thyréostatique, par ex. le méthimazole ou le carbimazole, doit être instauré en cas de besoin. Le traitement par Tecentriq peut être repris dès que les symptômes ont pu être contrôlés et que la fonction thyroïdienne s'est améliorée.
  • +En cas d'insuffisance surrénalienne symptomatique, le traitement par Tecentriq doit être interrompu et un traitement par 1 à 2 mg/kg/jour de méthylprednisolone i.v. ou équivalent doit être instauré. Dès que les symptômes se sont améliorés, un traitement par 1 à 2 mg/kg/jour de prednisone orale ou équivalent doit alors suivre. En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines, de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour et pour autant que le patient soit stable sous thérapie de substitution (si nécessaire).
  • +En cas d'hypophysite de grade 2 ou 3, le traitement par Tecentriq doit être interrompu. Un traitement par 1 à 2 mg/kg/jour de méthylprednisolone i.v. ou d'un équivalent doit être instauré, en cas de besoin, une hormonothérapie de substitution peut également s'avérer nécessaire. Une fois l'amélioration des symptômes obtenue, il convient de passer à un corticostéroïde par voie orale (1 à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent). En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines, de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour et pour autant que le patient soit stable sous thérapie de substitution (si nécessaire). En cas d'hypophysite de grade 4, le traitement par Tecentriq doit être définitivement arrêté.
  • +En cas de diabète sucré de type 1, il convient d'instaurer une insulinothérapie. En cas d'hyperglycémie de grade ≥3 (glycémie à jeun >250 mg/dl), il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq. Le traitement par Tecentriq peut être repris lorsque le contrôle du métabolisme est obtenu sous l'insulinothérapie substitutive.
  • -Le traitement par Tecentriq doit être arrêté définitivement en cas de méningite ou d'encéphalite de quelque grade que ce soit. Un traitement par 1 à 2 mg/kg de méthylprednisolone i.v. ou équivalent par jour doit être administré. Après amélioration de l'état du patient, il faut remplacer ce traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement pendant ≥1 mois.
  • +Le traitement par Tecentriq doit être arrêté définitivement en cas de méningite ou d'encéphalite de quelque grade que ce soit. Un traitement par 1 à 2 mg/kg de méthylprednisolone i.v. ou équivalent par jour doit être administré. Après amélioration de l'état du patient, il faut remplacer ce traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois.
  • -Des cas de myocardite ont été observés au cours des essais cliniques avec Tecentriq. Les patients doivent être surveillés pour les signes et/ou les symptômes de myocardite. Tecentriq doit être immédiatement interrompu en présence d'une myocardite de grade 2 et on envisagera dans ce cas l'introduction d'une corticothérapie systémique. En cas de myocardite de grade 3 ou 4, le traitement par Tecentriq doit être définitivement arrêté.
  • +Des cas de myocardite ont été observés au cours des essais cliniques avec Tecentriq. Les patients doivent être surveillés à la recherche de signes et/ou de symptômes de myocardite. Tecentriq doit être interrompu en présence d'une myocardite de grade 2. En cas de myocardite de grade 3 ou 4, le traitement par Tecentriq doit être définitivement arrêté et on envisagera dans ce cas l'introduction d'une corticothérapie systémique.
  • -En raison de son mécanisme d'action, Tecentriq peut avoir des effets délétères sur le fœtus. Les expérimentations menées chez l'animal ont montré que l'inhibition de la voie de signalisation PD-L1/PD-1 peut être associée à un risque accru de rejet immunologique du fœtus en développement et peut par conséquent entraîner la mort du fœtus.
  • +En raison de son mécanisme d'action, l'utilisation de Tecentriq peut avoir des effets délétères sur le fœtus. Les expérimentations menées chez l'animal ont montré que l'inhibition de la voie de signalisation PD-L1/PD-1 peut être associée à un risque accru de rejet immunologique du fœtus en développement et peut par conséquent entraîner la mort du fœtus.
  • -L'évaluation de la sécurité de Tecentriq repose sur les données regroupées de 1026 patients atteints de CPNPC ainsi que sur des données complémentaires issues de l'exposition cumulée de 3800 patients inclus dans l'ensemble des études cliniques portant sur les différents types de tumeurs. Les effets indésirables rapportés en lien avec l'utilisation de Tecentriq au cours du traitement ou dans les 30 jours suivant la dernière dose du traitement sont résumés dans chaque groupe de fréquence par ordre décroissant de sévérité.
  • +L'évaluation de la sécurité de Tecentriq repose sur les données regroupées de 2160 patients atteints de CPNPC et d'autres tumeurs, ainsi que sur des données complémentaires issues de l'exposition cumulée de 8000 patients inclus dans l'ensemble des études cliniques portant sur les différents types de tumeurs. Les effets indésirables rapportés en lien avec l'utilisation de Tecentriq sont résumés dans chaque groupe de fréquence par ordre décroissant de sévérité.
  • -Fréquents: hypothyroïdiea.
  • -Occasionnels: hyperthyroïdieb, insuffisance surrénalienne, diabète sucréc.
  • -Rares: insuffisance hypophysaire.
  • +Fréquents: hypothyroïdiea, hyperthyroïdieb.
  • +Occasionnels: insuffisance surrénaliennec, diabète sucréd.
  • +Rares: hypophysite.
  • -Très fréquents: diminution de l'appétit.
  • +Très fréquents: diminution de l'appétit (25,5%).
  • -Rares: syndrome de Guillain-Barré. Encéphalite aseptiqueg, méningite aseptiqueh, syndrome myasthéniqueh.
  • +Occasionnels: syndrome de Guillain-Barrée, méningite aseptiquef.
  • +Rares: encéphalite aseptiqueg, syndrome myasthéniqueh.
  • -Très fréquents: dyspnée.
  • +Très fréquents: dyspnée (21,8%).
  • -Très fréquents: diarrhée, nausées, vomissements.
  • +Très fréquents: diarrhées (18,6%), nausées (22,9%), vomissements (15,0%).
  • -Occasionnels: pancréatitee, augmentation de l'amylase, augmentation de la lipase.
  • +Occasionnels: pancréatitek, augmentation du taux de lipase.
  • +Rares: augmentation du taux d'amylase.
  • -Fréquents: augmentation de l'ALAT, augmentation de l'ASAT.
  • -Occasionnels: hépatitef.
  • +Fréquents: augmentation du taux d'ALAT, augmentation du taux d'ASAT.
  • +Occasionnels: hépatitel.
  • -Très fréquents: éruption cutanéej, prurit.
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Très fréquents: arthralgie.
  • -Fréquents: douleurs musculo-squelettiques.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Très fréquents: fatigue, asthénie, pyrexie.
  • +Très fréquents: éruption cutanéem (18,6%), prurit (11,3%).
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Très fréquents: arthralgies (14,2%).
  • +Fréquents: douleurs musculosquelettiques.
  • +Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • +Très fréquents: fatigue (35,4%), asthénie (13,8%), pyrexie (18,3%).
  • -a Regroupe les annonces d'hypothyroïdie, d'augmentation du taux sanguin de thyréostimuline, de myxœdème, de thyroïdite aiguë, de diminution du taux de thyroxine
  • -b Regroupe les annonces d'hyperthyroïdie, d'augmentation du taux sanguin de thyréostimuline, de thyroïdite aiguë, de diminution du taux de thyroxine
  • +a Regroupe les annonces d'hypothyroïdie, d'augmentation du taux sanguin de thyréostimuline, de thyroïdite, de diminution du taux sanguin de thyréostimuline, de myxœdème, de résultats situés en-dehors de l'intervalle de référence aux tests de la fonction thyroïdienne, de thyroïdite aiguë, de diminution du taux de thyroxine
  • +b Regroupe les annonces d'hyperthyroïdie, d'augmentation du taux sanguin de thyréostimuline, de thyroïdite, de diminution du taux sanguin de thyréostimuline, d'ophtalmopathie endocrinienne, d'exophtalmie, de résultats situés en-dehors de l'intervalle de référence aux tests de la fonction thyroïdienne, de thyroïdite aiguë, de diminution du taux de thyroxine
  • +c Regroupe les annonces d'insuffisance surrénalienne, d'insuffisance surrénalienne primaire et de maladie d'Addison
  • +
  • -d Regroupe les annonces de colite et de colite microscopique
  • -e Regroupe les annonces de pancréatite et de pancréatite aiguë
  • -f Regroupe les annonces d'hépatite auto-immune et d'hépatite
  • +e Regroupe les annonces de syndrome de Guillain-Barré et de polyneuropathie démyélinisante
  • +f Regroupe les annonces de méningite
  • -h Sur la base de l'exposition cumulée d'environ 3800 patients inclus dans l'ensemble des études cliniques
  • -i Regroupe les annonces de pneumonite, d'infiltration pulmonaire, de bronchiolite, de pneumopathie interstitielle, de pneumonite radique
  • -j Regroupe les annonces d'éruption cutanée maculo-papuleuse, d'érythème, d'éruption cutanée prurigineuse, de dermatite acnéiforme, d'eczéma, d'éruption cutanée papuleuse, d'éruption cutanée maculeuse, de dermatite, d'éruption cutanée érythémateuse, d'acné, de desquamation cutanée, d'ulcération cutanée, de dermatite séborrhéique, d'érythème polymorphe, de dermatite bulleuse, d'éruption cutanée généralisée, de toxicité cutanée, de dermatite allergique, de dermatite exfoliative, de syndrome d'érythrodysesthésie palmo-plantaire, d'éruption cutanée papulo-squameuse, d'exanthème médicamenteux, d'érythème palpébral, d'éruption cutanée palpébrale, de folliculite, de furoncle, d'éruption cutanée
  • +h Rapporté dans des études en-dehors de l'ensemble des données regroupées. La fréquence se réfère à l'exposition dans le cadre de l'ensemble du programme.
  • +i Regroupe les annonces de pneumonite, d'infiltrat pulmonaire, de bronchiolite, de pneumopathie interstitielle, de pneumonie radique
  • +j Regroupe les annonces de colite, de colite d'origine auto-immune, de colite ischémique et de colite microscopique
  • +k Regroupe les annonces de pancréatite et de pancréatite aiguë
  • +l Regroupe les annonces d'hépatite auto-immune, d'hépatite, d'hépatite aiguë
  • +m Regroupe les annonces d'éruption cutanée maculo-papuleuse, d'érythème, d'éruption cutanée prurigineuse, de dermatite acnéiforme, d'eczéma, d'éruption cutanée papuleuse, d'éruption cutanée maculeuse, de dermatite, d'éruption cutanée érythémateuse, d'acné, d'éruption cutanée pustuleuse, de desquamation cutanée, d'ulcération cutanée, de dermatite séborrhéique, d'érythème polymorphe, de dermatite bulleuse, d'éruption cutanée généralisée, de toxicité cutanée, d'éruption cutanée exfoliative, de dermatite allergique, d'exanthème médicamenteux, de dermatite exfoliative, de syndrome d'érythrodysesthésie palmo-plantaire, d'éruption cutanée papulo-squameuse, d'exanthème toxique, d'érythème palpébral, d'éruption cutanée palpébrale, de folliculite, de furoncle, d'éruption cutanée
  • -Une pneumonite est survenue chez 4,0% (41/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Cet événement a eu une issue fatale chez l'un des 41 patients. Le délai médian d'apparition a été de 2,9 mois (intervalle: de 0,1 à 18,7 mois). La durée médiane a été de 1,4 mois (intervalle: de 0 à 12,6+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 5 patients (0,5%), la pneumonite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Une pneumonite ayant nécessité l'utilisation de corticostéroïdes est survenue chez 1,9% (19/1026) des patients traités par Tecentriq.
  • +Une pneumonite est survenue chez 3,1% (68/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Cet événement a eu une issue fatale chez l'un des 68 patients. Le délai médian d'apparition a été de 3,5 mois (intervalle: de 3 jours à 20,5 mois). La durée médiane a été de 1,5 mois (intervalle: de 0 jour à 15,1+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 10 patients (0,5%), la pneumonite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Une pneumonite ayant nécessité l'utilisation de corticostéroïdes est survenue chez 1,6% (34/2160) des patients traités par Tecentriq.
  • -Une hépatite est survenue chez 0,2% (2/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Le délai médian d'apparition a été de 4,5 mois (intervalle: de 1,1 jour à 7,9 mois). La durée médiane n'a pas été atteinte (intervalle: de 0,7 à 1,9+ mois; le signe + signale une valeur censurée).
  • +Une hépatite est survenue chez 0,3% (7/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai médian d'apparition a été de 1,1 mois (intervalle: de 9 jours à 7,9 mois). La durée médiane a été d'1 mois (intervalle: de 9 jours à 1,9+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Une hépatite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 2 patients (<0,1%). Une hépatite a nécessité l'administration de corticostéroïdes chez 0,2% (5/2160) des patients traités par Tecentriq.
  • -Une colite est survenue chez 1,1% (11/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Le délai médian d'apparition a été de 2,9 mois (intervalle: de 0,5 jour à 7,3 mois). La durée médiane a été de 1,2 mois (intervalle: de 0,2 jour à 8,3+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 2 patients (0,2%), la colite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Une colite ayant nécessité l'utilisation de corticostéroïdes est survenue chez 0,2% (2/1026) des patients traités par Tecentriq.
  • +Une colite est survenue chez 1,1% (23/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai médian d'apparition a été de 4 mois (intervalle: de 15 jours à 15,2 mois). La durée médiane a été de 1,4 mois (intervalle: de 3 jours à 17,8+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 5 patients (0,2%), la colite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Une colite ayant nécessité l'utilisation de corticostéroïdes est survenue chez 0,5% (10/2160) des patients traités par Tecentriq.
  • -Une hypothyroïdie est survenue chez 4,2% (43/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Le délai médian d'apparition a été de 4,7 mois (intervalle: de 0,5 jour à 11,1 mois). Une hyperthyroïdie est survenue chez 1,0% (10/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Le délai médian d'apparition a été de 4,2 mois (intervalle: de 0,7 jour à 9,1 mois). Une insuffisance surrénalienne est survenue chez 0,2% (2/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Le délai d'apparition a été respectivement de 3 jours et de 5,2 mois chez ces deux patients. L'utilisation de corticostéroïdes a été nécessaire chez ces deux patients.
  • -Un diabète sucré est survenu chez 0,2% (3/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Le délai médian d'apparition a été de 3,5 à 6,5 mois. Chez 1 patient (<0,1%), le diabète sucré a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq.
  • +Une hypothyroïdie est survenue chez 4,7% (101/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai médian d'apparition a été de 5,5 mois (intervalle: de 15 jours à 31,3 mois). Une hyperthyroïdie est survenue chez 1,7% (36/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai médian d'apparition a été de 3,5 mois (intervalle: de 21 jours à 31,3 mois). Une insuffisance surrénalienne est survenue chez 0,3% (7/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai d'apparition a été de 5,7 mois (intervalle: de 3 jours à 19 mois). Chez 0,3% (6/2160) des patients ayant reçu Tecentriq, une insuffisance surrénalienne a nécessité le recours à des corticostéroïdes. Une hypophysite est survenue chez <0,1% (1/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai d'apparition a été de 13,7 mois chez ce patient.
  • +Un diabète sucré est survenu chez 0,3% (6/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai d'apparition a été de 3 jours à 6,5 mois. Chez 1 patient (<0,1%), le diabète sucré a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq.
  • -Une encéphalite est survenue chez <0,1% (1/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Cet événement a nécessité l'utilisation de corticostéroïdes. Le délai d'apparition a été de 16 jours et la durée de 13 jours.
  • +Une méningite est survenue chez 0,1% (3/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai d'apparition a été de 15 à 16 jours. Chez ces trois patients, il a été nécessaire de recourir à des corticostéroïdes et Tecentriq a été interrompu. Une encéphalite est survenue chez <0,1% (2/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Le délai d'apparition a été de 14 à 16 jours. Chez l'un de ces patients, il a été nécessaire de recourir à des corticostéroïdes. Une encéphalite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 1 patient (<0,1%).
  • -Un syndrome de Guillain-Barré est survenu chez <0,1% (1/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Le délai d'apparition de cet événement a été de 8,1 mois et la durée de 1,2 mois. Chez ce patient, le traitement par Tecentriq a été interrompu en raison du syndrome de Guillain-Barré.
  • +Des neuropathies, parmi lesquelles un syndrome de Guillain-Barré et une polyneuropathie démyélinisante, sont survenues chez 0,2% (5/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai médian d'apparition a été de 7 mois (intervalle: de 18 jours à 8,1 mois). La durée médiane a été de 4,6 mois (intervalle: de 0 jour à 8,3+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Un syndrome de Guillain-Barré a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 1 patient (<0,1%). Chez 0,1% (2/2160) des patients, un syndrome de Guillain-Barré a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
  • -Une pancréatite, y compris une augmentation des taux sériques d'amylase et de lipase, est survenue chez 0,5% (5/1026) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC. Le délai médian d'apparition a été de 7,5 mois (intervalle: de 0,3 jour à 10,9 mois). La durée médiane a été de 0,3 mois (intervalle: de 0,1 jour à 5,9+ mois; le signe + signale une valeur censurée).
  • +Une pancréatite, y compris une augmentation des taux sériques d'amylase et de lipase, est survenue chez 0,5% (10/2160) des patients ayant reçu Tecentriq pour le traitement d'un CPNPC ou d'autres tumeurs. Le délai médian d'apparition a été de 5,5 mois (intervalle: de 9 jours à 16,9 mois). La durée médiane a été de 19 jours (intervalle: de 3 jours à 11,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez <0,1% (2/2160) des patients ayant reçu Tecentriq, une pancréatite a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
  • -Comme toutes les protéines thérapeutiques, Tecentriq peut également potentiellement provoquer une réponse immunitaire. Dans le cadre de l'étude GO28753, l'incidence des anticorps anti-médicament (AAM) après l'inclusion était de 54,1%. Dans l'étude GO28754, le taux d'AAM après l'inclusion était de 38,5%. Globalement, la présence d'AAM ne semble pas avoir d'effets cliniquement significatifs sur la pharmacocinétique, l'efficacité ou la sécurité.
  • +Comme toutes les protéines thérapeutiques, Tecentriq peut également potentiellement provoquer une réponse immunitaire. Dans le cadre de l'étude GO29293, l'incidence des anticorps anti-médicament (AAM) après l'inclusion était de 43,9%. Dans l'étude GO28915, le taux d'AAM après l'inclusion était de 30,4%. Globalement, la présence d'AAM ne semble pas avoir d'effets cliniquement significatifs sur la pharmacocinétique, l'efficacité ou la sécurité.
  • -Le traitement par Tecentriq a été associé à un allongement cliniquement et statistiquement significatif de l'OS par rapport au docétaxel. Dans le bras sous Tecentriq, l'OS médiane a été de 4,2 mois supérieure chez les patients de la population en ITT: elle était de 9,6 mois (IC à 95%: 8,6; 11,2) dans le bras sous le docétaxel contre 13,8 mois (IC à 95%: 11,8; 15,7) dans le bras sous Tecentriq (valeur de p stratifiée = 0,0003). Le hazard ratio (HR) a été de 0,73 (IC à 95%: 0,62; 0,86); cela correspond à une réduction relative du risque de mortalité de 27% sous Tecentriq par rapport au groupe sous le docétaxel (analyse stratifiée). Les courbes de Kaplan-Meier ont montré à partir de 3 mois env. une séparation claire en faveur du bras sous Tecentriq, laquelle s'est maintenue par la suite.
  • -De la même façon, dans le sous-groupe de patients avec une expression du PD-L1≥1% sur les TC ou les IC, le traitement par Tecentriq a également été associé à un allongement cliniquement et statistiquement significatif de l'OS par rapport au docétaxel. Dans le bras sous Tecentriq, l'OS médiane des patients a été de 5,4 mois supérieure: elle était de 10,3 mois (IC à 95%: 8,8; 12,0) dans le bras sous le docétaxel contre 15,7 mois (IC à 95%: 12,6; 18,0) dans le bras sous Tecentriq (valeur de p stratifiée = 0,0102). L'HR a été de 0,74 (IC à 95%: 0,58; 0,93); cela correspond à une réduction relative du risque de mortalité de 26% sous Tecentriq par rapport au groupe sous le docétaxel (analyse stratifiée).
  • -L'OS dans les sous-groupes de patients avec une expression du PD-L1≥50% sur les TC ou ≥10% sur les IC, une expression du PD-L1≥5% sur les TC ou les IC, ou encore une expression du PD-L1<1% sur les TC ou les IC a montré que la durée médiane de l'OS était plus longue dans tous les sous-groupes d'expression du PD-L1 évalués. Les valeurs ont été les suivantes: expression du PD-L1≥50% sur les TC ou ≥10% sur les IC: OS médiane de 20,5 mois (IC à 95%: 17,5; NA) dans le bras sous Tecentriq contre 8,9 mois (IC à 95%: 5,6; 11,6) dans le bras sous le docétaxel (HR=0,41, IC à 95%: 0,27; 0,64); expression du PD-L1≥5% sur les TC ou les IC: OS médiane de 16,3 mois (IC à 95%: 13,3; 20,1) dans le bras sous Tecentriq contre 10,8 mois (IC à 95%: 8,8; 12,7) dans le bras sous le docétaxel (HR=0,67, IC à 95%: 0,49; 0,90); expression du PD-L1<1% sur les TC ou les IC: OS médiane de 12,6 mois (IC à 95%: 9,6; 15,2) dans le bras sous Tecentriq contre 8,9 mois (IC à 95%: 7,7; 11,5) dans le bras sous le docétaxel (HR=0,75, IC à 95%: 0,59; 0,96).
  • +Le traitement par Tecentriq a été associé à un allongement cliniquement et statistiquement significatif de l'OS par rapport au docétaxel. Dans le bras sous Tecentriq, l'OS médiane a été de 4,2 mois supérieure chez les patients de la population en ITT: elle était de 9,6 mois (IC à 95%: 8,6; 11,2) dans le bras sous le docétaxel contre 13,8 mois (IC à 95%: 11,8; 15,7) dans le bras sous Tecentriq (valeur de p stratifiée = 0,0003). Le hazard ratio (HR) a été de 0,73 (IC à 95%: 0,62; 0,87); cela correspond à une réduction relative du risque de mortalité de 27% sous Tecentriq par rapport au groupe sous le docétaxel (analyse stratifiée). Les courbes de Kaplan-Meier ont montré à partir de 3 mois env. une séparation claire en faveur du bras sous Tecentriq, laquelle s'est maintenue par la suite. De la même façon, dans le sous-groupe de patients avec une expression du PD-L1≥1% sur les TC ou les IC, le traitement par Tecentriq a également été associé à un allongement cliniquement et statistiquement significatif de l'OS par rapport au docétaxel. Dans le bras sous Tecentriq, l'OS médiane des patients a été de 5,4 mois supérieure: elle était de 10,3 mois (IC à 95%: 8,8; 12,0) dans le bras sous le docétaxel contre 15,7 mois (IC à 95%: 12,6; 18,0) dans le bras sous Tecentriq (valeur de p stratifiée = 0,0102). L'HR a été de 0,74 (IC à 95%: 0,58; 0,93); cela correspond à une réduction relative du risque de mortalité de 26% sous Tecentriq par rapport au groupe sous le docétaxel (analyse stratifiée).
  • +L'OS dans les sous-groupes de patients avec une expression du PD-L1≥50% sur les TC ou ≥10% sur les IC, une expression du PD-L1≥5% sur les TC ou les IC, ou encore une expression du PD-L1<1% sur les TC et les IC a montré que la durée médiane de l'OS était plus longue dans tous les sous-groupes d'expression du PD-L1 évalués. Les valeurs ont été les suivantes: expression du PD-L1≥50% sur les TC ou ≥10% sur les IC: OS médiane de 20,5 mois (IC à 95%: 17,5; NA) dans le bras sous Tecentriq contre 8,9 mois (IC à 95%: 5,6; 11,6) dans le bras sous le docétaxel (HR=0,41, IC à 95%: 0,27; 0,64); expression du PD-L1≥5% sur les TC ou les IC: OS médiane de 16,3 mois (IC à 95%: 13,3; 20,1) dans le bras sous Tecentriq contre 10,8 mois (IC à 95%: 8,8; 12,7) dans le bras sous le docétaxel (HR=0,67, IC à 95%: 0,49; 0,90); expression du PD-L1<1% sur les TC et les IC: OS médiane de 12,6 mois (IC à 95%: 9,6; 15,2) dans le bras sous Tecentriq contre 8,9 mois (IC à 95%: 7,7; 11,5) dans le bras sous le docétaxel (HR=0,75, IC à 95%: 0,59; 0,96).
  • -Une amélioration de l'OS sous Tecentriq par rapport au docétaxel a été observée non seulement chez les patients atteints de CPNPC non épidermoïde (hazard ratio [HR] de 0,73; IC à 95%: 0,60-0,89; OS médiane de 15,6 mois sous Tecentriq contre 11,2 mois sous le docétaxel), mais également chez les patients atteints de CPNPC épidermoïde (HR de 0,73; IC à 95%: 0,54-0,98; OS médiane de 8,9 mois sous Tecentriq contre 7,7 mois sous le docétaxel).
  • +Une amélioration de l'OS sous Tecentriq par rapport au docétaxel a été observée non seulement chez les patients atteints de CPNPC non épidermoïde (HR de 0,73; IC à 95%: 0,60-0,89; OS médiane de 15,6 mois sous Tecentriq contre 11,2 mois sous le docétaxel), mais également chez les patients atteints de CPNPC épidermoïde (HR de 0,73; IC à 95%: 0,54-0,98; OS médiane de 8,9 mois sous Tecentriq contre 7,7 mois sous le docétaxel).
  • -GO28753 (POPLAR), une étude de phase II multicentrique, internationale, randomisée, ouverte et contrôlée, a été réalisée chez des patients atteints de CPNPC localement avancé ou métastatique. La variable d'efficacité principale était la survie globale. Au total, 287 patients ont été randomisés selon un rapport 1:1 pour recevoir soit Tecentriq soit le docétaxel. La randomisation a été stratifiée en fonction de l'expression du PD-L1, du nombre de protocoles de chimiothérapie antérieurs et du type histologique. Une analyse actualisée comprenant au total 200 décès recensés et un suivi médian de la survie de 22 mois a montré une OS médiane de 12,6 mois chez les patients traités par Tecentriq contre 9,7 mois chez les patients traités par le docétaxel (HR de 0,69; IC à 95%: 0,52-0,92). L'ORR a été de 15,3% sous Tecentriq contre 14,7% sous le docétaxel; la DOR médiane a été de 18,6 mois sous Tecentriq contre 7,2 mois sous le docétaxel.
  • +GO28753 (POPLAR), une étude de phase II multicentrique, internationale, randomisée, ouverte et contrôlée, a été réalisée chez des patients atteints de CPNPC localement avancé ou métastatique avec progression de la maladie pendant ou après une chimiothérapie incluant du platine. La variable d'efficacité principale était la survie globale. Au total, 287 patients ont été randomisés selon un rapport 1:1 pour recevoir soit Tecentriq soit le docétaxel. La randomisation a été stratifiée en fonction de l'expression du PD-L1, du nombre de protocoles de chimiothérapie antérieurs et du type histologique. Une analyse actualisée comprenant au total 200 décès recensés et un suivi médian de la survie de 22 mois a montré une OS médiane de 12,6 mois chez les patients traités par Tecentriq contre 9,7 mois chez les patients traités par le docétaxel (HR de 0,69; IC à 95%: 0,52-0,92). L'ORR a été de 15,3% sous Tecentriq contre 14,7% sous le docétaxel; la DOR médiane a été de 18,6 mois sous Tecentriq contre 7,2 mois sous le docétaxel.
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients insuffisants hépatiques. L'analyse pharmacocinétique de population n'a montré aucune différence cliniquement significative concernant la clairance de Tecentriq entre les patients présentant une insuffisance hépatique légère (bilirubine ≤ LSN et ASAT > LSN ou bilirubine <1,0 jusqu'à 1,5 × LSN et quel que soit le taux d'ASAT, n = 71) et ceux présentant une fonction hépatique normale (bilirubine et ASAT ≤ LSN, n=401). Il n'existe aucune donnée chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère. Les troubles de la fonction hépatique ont été définis selon les critères de l'insuffisance hépatique établis par le National Cancer Institute (NCI) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions spéciales pour la posologie»).
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients insuffisants hépatiques. L'analyse pharmacocinétique de population n'a montré aucune différence cliniquement significative concernant la clairance de Tecentriq entre les patients présentant une insuffisance hépatique légère (bilirubine ≤ LSN et ASAT > LSN ou bilirubine <1,0 jusqu'à 1,5 × LSN et quel que soit le taux d'ASAT, n = 71) et ceux présentant une fonction hépatique normale (bilirubine et ASAT ≤ LSN, n=401). Il n'existe aucune donnée chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée (bilirubine >1,5 à 3,0× LSN, quel que soit le taux d'ASAT) ou sévère (bilirubine >3,0× LSN, quel que soit le taux d'ASAT). Les troubles de la fonction hépatique ont été définis selon les critères de l'insuffisance hépatique établis par le National Cancer Institute (NCI) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions spéciales pour la posologie»).
  • -La stabilité chimique et physique du produit durant l'emploi («in use») a été démontrée pendant 24 heures au maximum à une température comprise entre 2-8 °C ou pendant 8 heures à température ambiante (≤30 °C) à partir du moment de la préparation.
  • -Pour des raisons microbiologiques, la solution pour perfusion préparée devrait être utilisée immédiatement. Si elle n'est pas utilisée immédiatement, le délai d'utilisation et les conditions de stockage «in use» avant l'utilisation relèvent de la responsabilité de l'utilisateur.
  • +La stabilité chimique et physique du produit prêt à l'emploi a été démontrée pendant 24 heures au maximum à une température comprise entre 2 et 8 °C ou pendant 8 heures à température ambiante (≤25 °C) à partir du moment de la préparation.
  • +Pour des raisons microbiologiques, la solution pour perfusion préparée devrait être utilisée immédiatement. Si elle n'est pas utilisée immédiatement, le délai d'utilisation et les conditions de stockage du produit prêt à l'emploi avant l'utilisation relèvent de la responsabilité de l'utilisateur.
  • -Tecentriq doit être préparé par un professionnel de la santé, dans des conditions d'asepsie. Prélevez 20 ml de solution à diluer Tecentriq du flacon et diluez-les avec une solution de chlorure de sodium à 0,9% afin d'obtenir le volume de perfusion nécessaire. Pour la dilution, utilisez exclusivement une solution de chlorure de sodium à 0,9% pour préparations injectables.
  • +Tecentriq doit être préparé par un professionnel de la santé, dans des conditions d'asepsie. Prélevez 20 ml de solution à diluer Tecentriq du flacon et diluez-les avec une solution de chlorure de sodium à 0,9% afin d'obtenir le volume de perfusion nécessaire de 250 ml. Pour la dilution, utilisez exclusivement une solution de chlorure de sodium à 0,9% pour préparations injectables.
  • -Août 2017.
  • +Mai 2018.
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