ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Keytruda 100 mg/4 ml - Changements - 15.04.2025
16 Changements de l'information professionelle Keytruda 100 mg/4 ml
  • -La sécurité du pembrolizumab en association avec l'enfortumab védotine en cas de carcinome urothélial non résécable ou métastatique a été évaluée chez 564 patients au total. Dans cette population de patients, les effets indésirables les plus fréquents étaient: neuropathie périphérique sensitive (53%), prurit (41%), fatigue/épuisement (40%), diarrhée (39%), alopécie (39%), éruption maculo-papuleuse (36%), perte de poids (36%), appétit diminué (34%), nausées (28%), constipation (27%), anémie (26%), dysgueusie (24%), infection des voies urinaires (23%). Chez ces patients, 75% des effets indésirables observés avec le pembrolizumab en association avec l'enfortumab védotine étaient de grade 3 à 5. Sous traitement associant le pembrolizumab à l'enfortumab védotine, des éruptions maculo-papuleuses (36% tous grades confondus; 10% de grade 3 ou supérieur), des pneumopathies inflammatoires ou pneumopathies interstitielles diffuses (10% tous grades confondus; 3,7% de grade 3 ou supérieur) et des neuropathies périphériques (53% tous grades confondus; 3,5% de grade 3 ou supérieur) ont été observées plus fréquemment que sous pembrolizumab en monothérapie.
  • +La sécurité du pembrolizumab en association avec l'enfortumab védotine en cas de carcinome urothélial non résécable ou métastatique a été évaluée chez 564 patients au total. Dans cette population de patients, les effets indésirables les plus fréquents étaient: neuropathie périphérique sensitive (53%), prurit (41%), fatigue/épuisement (40%), diarrhée (39%), alopécie (39%), éruption maculopapuleuse (36%), perte de poids (36%), appétit diminué (34%), nausées (28%), constipation (27%), anémie (26%), dysgueusie (24%), infection des voies urinaires (23%). Chez ces patients, 75% des effets indésirables observés avec le pembrolizumab en association avec l'enfortumab védotine étaient de grade 3 à 5. Sous traitement associant le pembrolizumab à l'enfortumab védotine, des éruptions maculopapuleuses (36% tous grades confondus; 10% de grade 3 ou supérieur), des pneumopathies inflammatoires ou pneumopathies interstitielles diffuses (10% tous grades confondus; 3,7% de grade 3 ou supérieur) et des neuropathies périphériques (53% tous grades confondus; 3,5% de grade 3 ou supérieur) ont été observées plus fréquemment que sous pembrolizumab en monothérapie.
  • -·rash cutané (rash cutané érythémateuse, éruption folliculaire, éruption maculeuse, éruption maculo-papuleuse, éruption papuleuse, éruption prurigineuse, éruption vésiculaire et éruption génitale)
  • +·rash cutané (rash cutané érythémateuse, éruption folliculaire, éruption maculeuse, éruption maculopapuleuse, éruption papuleuse, éruption prurigineuse, éruption vésiculaire et éruption génitale)
  • -·réactions cutanées sévères (rash exfoliatif, pemphigus et effets indésirables suivants de grade ≥3: vascularite cutanée, dermatite bulleuse, dermatite exfoliative, dermatite exfoliative généralisée, érythème polymorphe, lichen plan, lichen plan oral, pemphigoïde, prurit, prurit génital, rash cutané, rash cutané érythémateuse, éruption maculo-papuleuse, rash cutané prurigineuse, rash cutané pustuleuse, nécrose cutanée et rash cutané toxique)
  • +·réactions cutanées sévères (rash exfoliatif, pemphigus et effets indésirables suivants de grade ≥3: vascularite cutanée, dermatite bulleuse, dermatite exfoliative, dermatite exfoliative généralisée, érythème polymorphe, lichen plan, lichen plan oral, pemphigoïde, prurit, prurit génital, rash cutané, rash cutané érythémateuse, éruption maculopapuleuse, rash cutané prurigineuse, rash cutané pustuleuse, nécrose cutanée et rash cutané toxique)
  • -La sécurité du pembrolizumab en monothérapie a été évaluée à la posologie de 2 mg/kg administrés toutes les 3 semaines dans l'étude de phase I/II Keynote-051 réalisée chez 161 patients pédiatriques âgés de 9 mois à 17 ans qui présentaient un mélanome avancé, un lymphome ou des tumeurs solides avancées PD-L1 positives récidivantes ou réfractaires. La population atteinte de LHc (n=22) comprenait des patients âgés de 11 à 17 ans. Le profil de sécurité chez les patients pédiatriques était généralement similaire à celui observé chez les adultes traités par le pembrolizumab. Les effets indésirables les plus fréquents (rapportés chez au moins 20% des patients pédiatriques) étaient: pyrexie (33%), vomissements (30%), céphalées (26%), douleurs abdominales (22%), anémie (21%), toux (21%) et constipation (20%). La majorité des effets indésirables rapportés en monothérapie étaient d'une sévérité de grade 1 ou 2. Au total, 76 (47,2%) patients présentaient 1 ou plusieurs effets indésirables de grade 3 à 5. Parmi ces patients, cinq (3,1%) ont présenté un ou plusieurs effets indésirables ayant entraîné le décès. Les effets indésirables survenus avec une fréquence ≥10% plus élevée chez les patients pédiatriques inclus dans Keynote-051 que chez les adultes comprenaient: pyrexie, vomissements, douleurs abdominales, céphalées et diminution du nombre de lymphocytes/globules blancs. Les fréquences sont basées sur tous les effets indésirables rapportés, quelle que soit l'évaluation de la causalité par l'investigateur. L'incidence de l'immunogénicité après le traitement par le pembrolizumab chez les enfants est comparable à celle après le traitement par le pembrolizumab chez les adultes, à savoir de 0% et 1,8%.
  • +La sécurité du pembrolizumab en monothérapie a été évaluée à la posologie de 2 mg/kg administrés toutes les 3 semaines dans l'étude de phase I/II Keynote-051 réalisée chez 183 patients pédiatriques âgés de 6 mois à 17 ans qui présentaient un mélanome avancé, un lymphome ou des tumeurs solides avancées PD-L1 positives récidivantes ou réfractaires. La population atteinte de LHc (n=36) comprenait des patients âgés de 6 à 17 ans. Le profil de sécurité chez les patients pédiatriques était généralement similaire à celui observé chez les adultes traités par le pembrolizumab. Les effets indésirables les plus fréquents (rapportés chez au moins 20% des patients pédiatriques) étaient: pyrexie (33%), vomissements (29%), céphalées (26%), douleurs abdominales (23%), toux (21%), anémie (20%), nausées (20%), diarrhée (19%), fatigue/épuisement (19%) et constipation (18%). La majorité des effets indésirables rapportés en monothérapie étaient d'une sévérité de grade 1 ou 2. Au total, 84 (46%) patients présentaient 1 ou plusieurs effets indésirables de grade 3 à 5. Parmi ces patients, 6 (3,3%) ont présenté un ou plusieurs effets indésirables ayant entraîné le décès. Les effets indésirables survenus avec une fréquence ≥10% plus élevée chez les patients pédiatriques inclus dans Keynote-051 que chez les adultes comprenaient: pyrexie, vomissements, douleurs abdominales, céphalées et diminution du nombre de lymphocytes/numération des leucocytes diminuée. Les fréquences sont basées sur tous les effets indésirables rapportés, quelle que soit l'évaluation de la causalité par l'investigateur. L'incidence de l'immunogénicité après le traitement par le pembrolizumab chez les enfants est comparable à celle après le traitement par le pembrolizumab chez les adultes, à savoir de 0% et 1,8%.
  • -Tous les médicaments à l'étude ont été administrés sous forme de perfusion intraveineuse. Le traitement par pembrolizumab ou placebo a été poursuivi soit jusqu'à la fin du traitement (17 cycles), soit jusqu'à une progression de la maladie qui excluait une chirurgiedéfinitive, soit jusqu'à la réapparition de la maladie pendant la phase adjuvante, soit jusqu'à une progression de la maladie chez les patients qui ne s'étaient pas faits opérer ou qui n'avaient pas subi de résection complète et avaient commencé la phase adjuvante, soit jusqu'à l'apparition d'une toxicité intolérable. Le statut tumoral a été évalué au début de l'étude, à la semaine 7 et à la semaine 13 durant la phase néoadjuvante, et dans les 4 semaines précédant le début de la phase adjuvante. Après le début de la phase adjuvante, le statut tumoral a été évalué toutes les 16 semaines jusqu'à la fin de la troisième année, puis tous les 6 mois. L'étude n'était pas conçue pour mettre en évidence de manière isolée l'effet du pembrolizumab à chaque phase (néoadjuvante ou adjuvante) du traitement.
  • +Tous les médicaments à l'étude ont été administrés sous forme de perfusion intraveineuse. Le traitement par pembrolizumab ou placebo a été poursuivi soit jusqu'à la fin du traitement (17 cycles), soit jusqu'à une progression de la maladie qui excluait une chirurgie définitive, soit jusqu'à la réapparition de la maladie pendant la phase adjuvante, soit jusqu'à une progression de la maladie chez les patients qui ne s'étaient pas faits opérer ou qui n'avaient pas subi de résection complète et avaient commencé la phase adjuvante, soit jusqu'à l'apparition d'une toxicité intolérable. Le statut tumoral a été évalué au début de l'étude, à la semaine 7 et à la semaine 13 durant la phase néoadjuvante, et dans les 4 semaines précédant le début de la phase adjuvante. Après le début de la phase adjuvante, le statut tumoral a été évalué toutes les 16 semaines jusqu'à la fin de la troisième année, puis tous les 6 mois. L'étude n'était pas conçue pour mettre en évidence de manière isolée l'effet du pembrolizumab à chaque phase (néoadjuvante ou adjuvante) du traitement.
  • -81% des patients du bras pembrolizumab associé à une chimiothérapie à base de sels de platine avaient subi une chirurgiedéfinitive, vs 76% des patients dans le bras sous chimiothérapie à base de sels de platine.
  • +81% des patients du bras pembrolizumab associé à une chimiothérapie à base de sels de platine avaient subi une chirurgie définitive, vs 76% des patients dans le bras sous chimiothérapie à base de sels de platine.
  • -Dans l'étude Keynote-051, 161 patients pédiatriques (62 enfants âgés de 6 mois à moins de 12 ans et 99 adolescents âgés de 12 à 17 ans) atteints d'un mélanome avancé ou de tumeurs solides PD-L1 positives avancées, récidivantes ou réfractaires, ou d'un lymphome ont reçu du pembrolizumab à raison de 2 mg/kg toutes les 3 semaines. Tous les patients ont reçu un nombre médian de 4 doses de pembrolizumab (entre 1 et 35 doses) et 138 patients (85,7%) ont reçu 2 doses de pembrolizumab ou plus. Les sujets inclus présentaient 28 types de tumeurs selon le diagnostic primaire. Les types histologiques les plus fréquents étaient: lymphome de Hodgkin (13,7%), glioblastome multiforme (9,3%), neuroblastome (6,2%), ostéosarcome (6,2%) et mélanome (5,6%). Sur les 161 patients, 137 ont été inclus avec des tumeurs solides, 22 avec un lymphome de Hodgkin et 2 avec d'autres lymphomes. Chez les 22 patients avec un lymphome de Hodgkin (âgés de 11 à 17 ans) pour lesquels aucune option thérapeutique satisfaisante n'était disponible, l'ORR (critère principal d'évaluation) selon les critères RECIST 1.1 (évaluée par le centre d'essai) était de 66,7% chez 15 patients (dont 1 patient avec une réponse complète et 9 patients avec une réponse partielle) et de 57,1% pour les sept autres patients évalués dans le cadre d'une BICR sur la base des critères IWG 2007 (les 4 patients présentaient une réponse partielle). Au moment de l'analyse, 14 événements de PFS (64%) ont été observés dans l'ensemble et la PFS médiane était de 8,3 mois (sur la base d'une estimation de Kaplan-Meier). Au total, un événement d'OS (5%) a été observé et l'OS médiane n'a pas été atteinte. Dans l'ensemble, la durée médiane du traitement était de 11 mois et la durée médiane du suivi de 24 mois. Aucun des patients traités par le pembrolizumab ne présentait une expression tumorale négative (<1%) confirmée de PD-L1. 23% des patients traités par le pembrolizumab ont reçu une GCS autologue et 9% des patients une GCS allogénique.
  • +Dans létude Keynote-051, 183 patients pédiatriques (66 enfants âgés de 6 mois à moins de 12 ans et 117 adolescents âgés de 12 à 17 ans) atteints dun mélanome avancé ou de tumeurs solides PD-L1 positives avancées, récidivantes ou réfractaires, ou dun lymphome ont reçu du pembrolizumab à raison de 2 mg/kg toutes les 3 semaines. Tous les patients ont reçu un nombre médian de 4 doses de pembrolizumab (entre 1 et 52 doses) et 158 patients (86,3%) ont reçu 2 doses de pembrolizumab ou plus. Les sujets inclus présentaient 28 types de tumeurs selon le diagnostic primaire. Les types histologiques les plus fréquents étaient: lymphome de Hodgkin (11,5%), glioblastome multiforme (10,4%), neuroblastome (5,5%), ostéosarcome (5,5%) et mélanome (6,6%). Sur les 183 patients, 145 ont été inclus avec des tumeurs solides, 36 avec un lymphome de Hodgkin et 2 avec dautres lymphomes. Chez les 36 patients avec un lymphome de Hodgkin (âgés de 6 à 17 ans) pour lesquels aucune option thérapeutique satisfaisante nétait disponible, lORR (critère principal dévaluation) évalué dans le cadre d’une BICR basée sur les critères de l’IWG 2007 était de 58,3% chez 21 patients (dont 4 patients avec une réponse complète et 17 patients avec une réponse partielle). Il convient de noter que 15 des 36 patients ont d’abord été évalués selon les critères RECIST 1.1 au centre d’étude, puis ont fait l’objet d’une évaluation rétrospective dans le cadre d’une BICR. Au moment de lanalyse, 22 événements de PFS (61%) ont été observés et la PFS médiane était de 8,5 mois (sur la base dune estimation de Kaplan-Meier). 9 événements d’OS (25%) ont été observés et lOS médiane na pas été atteinte. La durée médiane du traitement était de 12 mois et la durée médiane du suivi de 39 mois. Aucun des patients traités par le pembrolizumab ne présentait une expression tumorale négative (<1%) confirmée de PD-L1. 30% des patients traités par le pembrolizumab ont reçu une GCS autologue et 11% une GCS allogénique.
  • -Janvier 2025
  • -MK-3475-iv-KN671v01+v02 neo_adj NSCLC / RCN000025821-000026601-CH
  • +Février 2025
  • +final CSR KN051-MK3475-IV/RCN000027770-CH
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home