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-Le risque de SLT existe en permanence et repose sur plusieurs facteurs, notamment la masse tumorale et les comorbidités (en particulier, une insuffisance rénale) et la splénomégalie chez les patients atteints d'une LLC.
-Tous les patients doivent être évalués quant au risque et recevoir une prophylaxie appropriée du SLT, incluant hydratation et agents anti-hyperuricémiants. Les paramètres biochimiques sanguins doivent être surveillés et les anomalies traitées sans attendre. Des mesures plus intensives (hydratation par voie intraveineuse, contrôles fréquents, hospitalisation) doivent être prises si le risque global augmente. Le traitement devra être interrompu si nécessaire. En cas de reprise du traitement, il convient de respecter les indications d'ajustement posologique (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Le risque de SLT existe en permanence et repose sur plusieurs facteurs, notamment la masse tumorale et les comorbidités (en particulier, une insuffisance rénale) et la splénomégalie chez les patients atteints d'une LLC. Tous les patients doivent être évalués quant au risque et recevoir une prophylaxie appropriée du SLT, incluant hydratation et agents anti-hyperuricémiants. Les paramètres biochimiques sanguins doivent être surveillés et les anomalies traitées sans attendre. Des mesures plus intensives (hydratation par voie intraveineuse, contrôles fréquents, hospitalisation) doivent être prises si le risque global augmente. Le traitement devra être interrompu si nécessaire. En cas de reprise du traitement, il convient de respecter les indications d'ajustement posologique (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Dans le bras vénétoclax + rituximab de l'étude en combinaison avec le rituximab (GO28667/MURANO) chez des patients présentant une LLC, la fréquence des cancers primaires secondaires était de 10,8 %, dont 6,7 % étaient des cancers cutanés non mélanomateux.
- +Dans le bras vénétoclax + rituximab de l'étude en combinaison avec le rituximab (GO28667/MURANO) chez des patients présentant une LLC, la fréquence des cancers primaires secondaires en analyse primaire était de 10,8 %, dont 6,7 % étaient des cancers cutanés non mélanocytaires (durée médiane de suivi de 24,8 mois). En analyse finale (durée médiane de suivi de 86,8 mois), l'incidence des tumeurs malignes primaires secondaires dans le bras vénétoclax + rituximab était de 18,0 %, dont 7,2 % étaient des formes non mélanocytaires de cancer de la peau.
-Le critère d'évaluation principal de l'étude était la survie sans progression (SSP) estimée par les médecins investigateurs selon les recommandations du NCI-WG (National Cancer Institute-Working Group) mises à jour par l'IWCLL (International Workshop on Chronic Lymphocytic Leukemia) (2008). Les données d'efficacité concernant la SSP au moment d'une analyse intermédiaire primaire initialement prévue (fin de l'acquisition des données le 8 mai 2017) ont montré une réduction statistiquement significative de 83 % du risque de progression ou de décès chez les patients traités avec l'association vénétoclax + rituximab (événements: 16,5 %) par rapport aux patients traités avec l'association bendamustine + rituximab (événements: 58,5 %) (Hazard Ratio: 0,17 [IC à 95 %: 0,11; 0,25]; P <0,0001).
-La SSP médiane dans le bras vénétoclax + rituximab n'a pas été atteinte, en comparaison avec une SSP médiane de 17 mois (IC à 95 %: 15,5; 21,6) dans le bras bendamustine + rituximab. Le taux de réponse global dans le bras vénétoclax + rituximab était de 93,3 % (IC à 95 %: 88,8; 96,4) et de 67,7 % (IC à 95 %: 60,6; 74,2) dans le bras bendamustine + rituximab. Au moment de l'analyse, la survie globale médiane n'avais pas été atteinte.
- +Le critère d'évaluation principal de l'étude était la survie sans progression (SSP) estimée par les médecins investigateurs selon les recommandations du NCI-WG (National Cancer Institute-Working Group) mises à jour par l'IWCLL (International Workshop on Chronic Lymphocytic Leukemia) (2008). Les données d'efficacité concernant la SSP au moment d'une analyse intermédiaire primaire initialement prévue (fin de l'acquisition des données le 8 mai 2017) ont montré une réduction statistiquement significative de 83 % du risque de progression ou de décès chez les patients traités avec l'association vénétoclax + rituximab (événements: 16,5 %) par rapport aux patients traités avec l'association bendamustine + rituximab (événements: 58,5 %) (Hazard Ratio: 0,17 [IC à 95 %: 0,11; 0,25]; P <0,0001). La SSP médiane dans le bras vénétoclax + rituximab n'a pas été atteinte, en comparaison avec une SSP médiane de 17 mois (IC à 95 %: 15,5; 21,6) dans le bras bendamustine + rituximab. Le taux de réponse global dans le bras vénétoclax + rituximab était de 93,3 % (IC à 95 %: 88,8; 96,4) et de 67,7 % (IC à 95 %: 60,6; 74,2) dans le bras bendamustine + rituximab. Au moment de l'analyse, la survie globale médiane n'avais pas été atteinte.
-Avec une durée médiane de suivi de 59,2 mois (intervalle: 0,0 à 71,5 mois; fin de l'acquisition des données le 8 mai 2020), la survie sans progression (SSP) médiane évaluée par les médecins investigateurs était de 53,6 mois dans le bras vénétoclax + rituximab (IC à 95 %: 48,4; 57,0) et de 17,0 mois dans le bras bendamustine + rituximab (IC à 95 %: 15,5; 21,7) (HR stratifié: 0,19; IC à 95 %: 0,15; 0,26]).
-Au total, 130 patients du bras vénétoclax + rituximab ont terminé les 2 ans de traitement par vénétoclax sans qu'aucune progression de la maladie ne soit observée. Chez ces patients, l'estimation de la SSP à 3 ans après la fin du traitement était de 51 % (IC à 95 %: 40,2; 61,9).
-Dans les deux bras, la survie globale (SG) médiane n'a pas été atteinte. Des décès sont survenus chez 17 % (32/194) des patients du bras vénétoclax + rituximab et chez 33 % (64/195) des patients du bras bendamustine + rituximab (HR stratifié: 0,40 [IC à 95 %: 0,26; 0,62]).
- +Avec une durée médiane de suivi de 85,7 mois (intervalle: 0,0 à 99,2 mois; fin de l'acquisition des données le 3 août 2022), la survie sans progression (SSP) médiane évaluée par les médecins investigateurs était de 54,7 mois dans le bras vénétoclax + rituximab (IC à 95 %: 52,3; 59,9) et de 17,0 mois dans le bras bendamustine + rituximab (IC à 95 %: 15,5; 21,7) (HR stratifié: 0,23; IC à 95 %: 0,18; 0,29]).
- +Au total, 130 patients du bras vénétoclax + rituximab ont terminé les 2 ans de traitement par vénétoclax sans qu'aucune progression de la maladie ne soit observée.
- +La survie globale (SG) médiane n'a pas été atteinte dans le bras vénétoclax + rituximab et était de 87,8 mois dans le bras bendamustine + rituximab. Des décès sont survenus chez 30,9 % (60/194) des patients du bras vénétoclax + rituximab et chez 43,1 % (84/195) des patients du bras bendamustine + rituximab (HR stratifié: 0,53 [IC à 95 %: 0,37; 0,74]).
-Mars 2024
- +Juin 2024
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