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Accueil - Information professionnelle sur Desogyn 150mcg/30mcg - Changements - 05.06.2023
64 Changements de l'information professionelle Desogyn 150mcg/30mcg
  • -Contraception hormonale.
  • +Contraception hormonale
  • -Il faut commencer à prendre les comprimés le premier jour du cycle menstruel normal (c'est-à-dire le premier jour des règles). Il est également possible de commencer entre le deuxième et le cinquième jour, mais, dans ce cas, il est recommandé d'utiliser parallèlement des méthodes barrières de contraception (sauf méthodes telles que celle de Knaus-Ogino ou la méthode de la courbe de température) pendant les 7 premiers jours de la prise des comprimés pendant le premier cycle.
  • +Il faut commencer à prendre les comprimés le premier jour du cycle menstruel normal (c'est-à-dire le premier jour des règles). Il est également possible de commencer entre le deuxième et le cinquième jour, mais, dans ce cas, il est recommandé d'utiliser parallèlement des méthodes barrières (sauf méthodes telles que celle de Knaus-Ogino ou la méthode de la courbe de température) pendant les 7 premiers jours de la prise des comprimés pendant le premier cycle.
  • -Première semaine de prise
  • +Première semaine de prise:
  • -L'hémorragie de privation peut ne pas se produire pendant la phase de suspension de la prise. Si le CHC a été pris conformément aux modalités recommandées, une grossesse est peu probable. En revanche, si le CHC n'a pas été pris selon les modalités recommandées avant la première absence d'hémorragie de privation ou en cas d'absence d'hémorragie de privation lors de deux cycles, il faut exclure l'éventualité d'une grossesse avant de laisser la patiente poursuivre la prise.
  • +L'hémorragie de privation peut ne pas se produire pendant la phase de suspension de la prise. Si le CHC a été pris conformément aux modalités recommandées, une grossesse est peu probable.
  • +En revanche, si le CHC n'a pas été pris selon les modalités recommandées avant la première absence d'hémorragie de privation ou en cas d'absence d'hémorragie de privation lors de deux cycles, il faut exclure l'éventualité d'une grossesse avant de laisser la patiente poursuivre la prise.
  • -·Thrombo-embolie veineuse (patiente traitée par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (p. ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • -·Facteurs de risque majeurs de thrombo-embolie veineuse tels que :
  • +·Thrombo-embolie veineuse (patiente traitée par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (p.ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • +·Facteurs de risque majeurs de thrombo-embolie veineuse tels que:
  • -·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir (médicaments utilisés pour le traitement de l'hépatite C) ainsi que jusqu'à 2 semaines après l'arrêt de ces médicaments (voir sous «Mises en garde et précautions» et sous «Interactions»)
  • +·Utilisation concomitante de l'une des associations de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir et sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir (médicaments utilisés pour le traitement de l'hépatite C) (voir sous «Mises en garde et précautions» et sous «Interactions»)
  • -Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Desogyn. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de Desogyn est contre-indiquée.
  • +Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Desogyn. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de Desogyn est contre- indiquée.
  • -Âge En particulier au-delà de 35 ans
  • +Âge En particulier au-delà de 35 ans.
  • -Âge En particulier au-delà de 35 ans
  • +Âge En particulier au-delà de 35 ans.
  • -Autres affections médicales associées à un risque accru de TEA. Hyperhomocystéinémie, Lupus érythémateux disséminé, drépanocytose, cancer.
  • +Autres affections médicales associées à un risque accru de TEA. Hyperhomocystéinémie, lupus érythémateux disséminé, drépanocytose, cancer.
  • -Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques montre que le risque relatif (RR) de diagnostic de cancer du sein est légèrement augmenté chez les femmes qui utilisent des CHC ( RR=1,24 ). Après l'arrêt de la prise des CHC, ce risque, initialement augmenté, ne cesse de diminuer et il n'est plus décelable au bout de 10 ans. Etant donné que les cancers du sein sont rares avant l'âge de 40 ans, l'augmentation de la fréquence du diagnostic de cancer du sein chez les femmes qui utilisent un CHC ou en ont utilisé jusqu'à une date récente, est faible par rapport au risque de cancer du sein dans la population générale. Ces études ne prouvent pas de lien de causalité. L'augmentation du risque qui a été observée peut être liée à un dépistage plus précoce du cancer chez les utilisatrices de CHC, à des effets biologiques des CHC ou encore à la conjugaison de ces deux facteurs. D'une manière générale, les cancers du sein diagnostiqués étaient moins évolués, au moment du diagnostic, chez les femmes ayant utilisé un CHC que chez les femmes n'en ayant jamais utilisé.
  • +Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques montre que le risque relatif (RR) de diagnostic de cancer du sein est légèrement augmenté chez les femmes qui utilisent des CHC (RR=1,24). Après l'arrêt de la prise des CHC, ce risque, initialement augmenté, ne cesse de diminuer et il n'est plus décelable au bout de 10 ans. Etant donné que les cancers du sein sont rares avant l'âge de 40 ans, l'augmentation de la fréquence du diagnostic de cancer du sein chez les femmes qui utilisent un CHC ou en ont utilisé jusqu'à une date récente, est faible par rapport au risque de cancer du sein dans la population générale. Ces études ne prouvent pas de lien de causalité. L'augmentation du risque qui a été observée peut être liée à un dépistage plus précoce du cancer chez les utilisatrices de CHC, à des effets biologiques des CHC ou encore à la conjugaison de ces deux facteurs. D'une manière générale, les cancers du sein diagnostiqués étaient moins évolués, au moment du diagnostic, chez les femmes ayant utilisé un CHC que chez les femmes n'en ayant jamais utilisé.
  • -Les dépressions et humeurs dépressives sont connues comme étant des effets indésirables potentiels lors de l'utilisation d'hormones sexuelles, y compris de contraceptifs hormonaux (voir aussi la rubrique «Effets indésirables»). De tels troubles peuvent survenir peu de temps après le début du traitement. Une dépression peut être grave et représente un facteur de risque de suicide ou de comportement suicidaire. Les utilisatrices de contraceptifs hormonaux doivent donc être informées des symptômes possibles de troubles dépressifs. Il faut impérativement conseiller à l'utilisatrice de s'adresser immédiatement à un médecin si elle remarque des fluctuations d'humeur ou d'autres symptômes de dépression lorsqu'elle utilise un contraceptif. Les utilisatrices ayant des antécédents de dépression sévère doivent être surveillées attentivement. En cas de réapparition d'états dépressifs graves au cours de l'utilisation de Desogyn, le traitement doit être interrompu.
  • +Les dépressions et humeurs dépressives sont connues comme étant des effets indésirables potentiels lors de l'utilisation d'hormones sexuelles, y compris de contraceptifs hormonaux (voir aussi «Effets indésirables»). De tels troubles peuvent survenir peu de temps après le début du traitement. Une dépression peut être grave et représente un facteur de risque de suicide ou de comportement suicidaire. Les utilisatrices de contraceptifs hormonaux doivent donc être informées des symptômes possibles de troubles dépressifs. Il faut impérativement conseiller à l'utilisatrice de s'adresser immédiatement à un médecin si elle remarque des fluctuations d'humeur ou d'autres symptômes de dépression lorsqu'elle utilise un contraceptif. Les utilisatrices ayant des antécédents de dépression sévère doivent être surveillées attentivement. En cas de réapparition d'états dépressifs graves au cours de l'utilisation de Desogyn, le traitement doit être interrompu.
  • -Chez les patientes atteintes d'hépatite C qui utilisaient en même temps un CHC contenant de l'éthinylestradiol, on a observé sous utilisation de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir, une élévation significativement plus fréquente de l'ALAT (y compris des cas d'une élévation de plus de cinq fois la limite supérieure de la normale) que chez les patientes qui étaient exclusivement traitées avec les principes actifs antiviraux (voir sous «Interactions»). L'utilisation de Desogyn doit donc être suspendue avant un traitement avec cette association de principes actifs. Si les valeurs hépatiques sont normales, Desogyn peut à nouveau être utilisé 2 à 4 semaines après la fin du traitement avec l'association de principes actifs (en même temps qu'une méthode barrière additionnelle pendant 28 jours; voir sous «Interactions, Inducteurs enzymatiques»).
  • +Chez les patientes atteintes d'hépatite C qui utilisaient en même temps un CHC contenant de l'éthinylestradiol, on a observé sous utilisation de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir, une élévation significativement plus fréquente de l'ALAT (y compris des cas d'une élévation plus de cinq fois, dans des cas isolés, plus de vingt fois plus élevée que la limite supérieure de la normale) que chez les patientes qui étaient exclusivement traitées avec les principes actifs antiviraux (voir sous «Interactions»). Des élévations similaires de l'ALAT ont également été observées sous médicaments anti-VHC qui contenait du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. L'utilisation de Desogyn doit donc être suspendue avant un traitement avec ces associations de principes actifs. Á condition que les valeurs hépatiques soient normales, Desogyn peut à nouveau être pris au plus tôt 2 semaines ou, mieux encore, 4 semaines après l'arrêt du traitement avec les associations de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. À cet égard, il faut toutefois tenir compte du fait qu'en cas d'intervalle inférieur à 4 semaines, l'efficacité du CHC peut encore être diminuée en raison des propriétés d'induction enzymatique du ritonavir, et donc qu'une méthode barrière additionnelle doit être utilisée pendant 28 jours (voir sous «Interactions, Inducteurs enzymatiques»).
  • -On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC (par ex. nelfinavir, bocéprévir, télaprévir) et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (par ex. éfavirenz [voir ci-dessous], névirapine) ainsi que leurs associations peuvent entraîner une élévation ou une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs. L'effet net de ces modifications peut être cliniquement significatif dans certains cas. On a par exemple examiné dans une récente publication l'influence d'un traitement à base d'éfavirenz sur la pharmacocinétique d'un implant contenant de l'étonogestrel. Chez des patientes positives pour le VIH sous traitement antirétroviral, la Cmaxde l'étonogestrel (le métabolite actif du désogestrel) était abaissée de 54% et l'AUC de 63% par rapport aux femmes qui ne prenaient pas une telle comédication.
  • +On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC (par ex. nelfinavir, bocéprévir, télaprévir) et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (par ex. éfavirenz [voir ci-dessous], névirapir) ainsi que leurs associations peuvent entraîner une élévation ou une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs. L'effet net de ces modifications peut être cliniquement significatif dans certains cas. On a par exemple examiné dans une récente publication l'influence d'un traitement à base d'éfavirenz sur la pharmacocinétique d'un implant contenant de l'étonogestrel. Chez des patientes positives pour le VIH sous traitement antirétroviral, la Cmax de l'étonogestrel (le métabolite actif du désogestrel) était abaissée de 54% et l'AUC de 63% par rapport aux femmes qui ne prenaient pas une telle comédication.
  • -Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, posaconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les concentrations plasmatiques des estrogènes et/ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
  • +Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, posaconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, erythromycine), cobicistat, diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les concentrations plasmatiques des estrogènes et/ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
  • -Dans des études cliniques, l'administration concomitante de CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association de principes actifs (ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir) utilisée pour traiter des infections par le VHC a entraîné significativement plus fréquemment une élévation de l'ALAT (y compris, dans certains cas, des élévations supérieures à cinq fois la limite supérieure de la normale [Upper Limit of Normal, ULN]) que chez les patientes traitées exclusivement avec les principes actifs antiviraux). L'utilisation de Desogyn doit donc être suspendue avant le début du traitement avec une telle association antivirale (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Dans des études cliniques, l'utilisation concomitante de CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association de principes actifs (ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir) utilisée pour traiter des infections par le VHC a entraîné significativement plus fréquemment une élévation de l'ALAT (y compris, dans certains cas, des élévations de plus de cinq fois, dans des cas isolés, de plus de vingt fois plus élevées que la limite supérieure de la normale [Upper Limit of Normal, ULN]) que chez les patientes traitées exclusivement avec les principes actifs antiviraux. Des élévations similaires de l'ALAT ont également été observées sous médicaments anti-VHC qui contenait du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. L'utilisation de Desogyn doit donc être suspendue avant le début du traitement avec une telle association antivirale (voir aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -La prise de Desogyn est contreindiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début du traitement. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de l'utilisation de Desogyn, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
  • +La prise de Desogyn est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début du traitement. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de l'utilisation de Desogyn, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
  • -Infections
  • -Occasionnels: Candidose, vaginite, cervicite.
  • +Infections et infestations
  • +Occasionnels: Candidose, vaginite, cervicite. Tumeurs bégnines, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)
  • +Rares: Néoplasies hépatiques bénignes
  • -Fréquents: Humeur dépressive, modification de l'humeur.
  • +Fréquents: Humeur dépressive, modifications de l'humeur.
  • -Affections cardiaques et vasculaires
  • +Affections cardiaques / Affections vasculaires
  • -Affections gastrointestinales
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Rares: Cholélithiase, ictère cholestatique, néoplasies hépatiques bénignes.
  • -Affections de la peau
  • +Rares: Cholélithiase, ictère cholestatique.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Chez les utilisatrices de contraceptifs oraux combinés, on a rapporté en outre les effets indésirables suivants: cancer du sein, mastopathie fibrokystique, dysplasie du col utérin, myomes utérins, kystes ovariens, tumeurs hépatiques, chloasma, acné, alopécie et augmentation des taux d'enzymes hépatiques.
  • +Chez les utilisatrices de contraceptifs oraux combinés, on a rapporté en outre les effets indésirables suivants: cancer du sein, mastopathie fibrokystique, dysplasie du col utérin, myomes utérins, kystes ovariens, tumeurs hépatiques, chloasma, acné, alopécie, aggravation des symptômes d'un angio-œdème héréditaire ou acquis et augmentation des taux d'enzymes hépatiques.
  • -On n'a jamais signalé de conséquences graves d'un surdosage. Les symptômes de surdosage sont les suivants: nausées, vomissements et, chez les jeunes filles, légères hémorragies vaginales. Au besoin, instaurer un traitement symptomatique.
  • +On n'a jamais signalé de conséquences graves d'un surdosage. Les symptômes de surdosage sont les suivants: nausées, vomissements et hémorragies vaginales. Ces dernières peuvent apparaître en cas de prise accidentelle de la préparation, même chez des jeunes filles qui n'ont pas encore eu leurs premières règles. Au besoin, instaurer un traitement symptomatique.
  • -Mécanisme d'action/pharmacodynamique/efficacité clinique
  • +Mécanisme d'action/pharmacodynamique
  • +Efficacité clinique
  • +Aucune indication.
  • +
  • -Désogestrel (DSG)
  • -Après administration orale, le DSG est rapidement et complètement absorbé et transformé en étonogestrel (ENG, 3-céto-désogestrel), le métabolite doté de l'effet biologique. Des concentrations plasmatiques maximales sont atteintes environ 1,5 heure après l'administration. La biodisponibilité de l'ENG est de 62-81%.
  • +Désogestrel (DSG)
  • +Après administration orale, le DSG est rapidement et complètement absorbé et transformé en étonogestrel (ENG, 3-céto-désogestrel), le métabolite doté de l'effet biologique. Des concentrations plasmatiques maximales d'ENG sont atteintes environ 1,5 heure après l'administration. La biodisponibilité de l'ENG est de 62-81%.
  • +Éthinylestradiol (EE)
  • +Après administration orale, l'EE est rapidement et complètement absorbé. Des concentrations sériques maximales sont atteintes 1-2 heures après la prise. La biodisponibilité absolue est d'environ 60% en raison d'un métabolisme présystémique (effet de premier passage)
  • +DSG
  • +
  • -Conditions à l'état stationnaire
  • -La pharmacocinétique de l'ENG est influencée par les taux de SHBG, qui sont triplés par l'EE. En cas de prise quotidienne, les taux sériques d'ENG sont multipliés par 2 à 3 environ et l'état stationnaire est atteint dans la deuxième moitié du cycle d'administration.
  • -Métabolisme
  • -Dans la muqueuse intestinale et lors du premier passage hépatique, le DSG est rapidement et complètement métabolisé en ENG actif, par des réactions d'hydroxylation et de réduction. Il se forme aussi d'autres métabolites, mais ceuxci sont inactifs; ils se conjuguent à l'acide glucuronique et au sulfate. L'administration concomitante d'éthinylestradiol (EE) ne provoque aucune interaction métabolique.
  • -Élimination
  • -Les taux sériques d'ENG diminuent selon un processus biphasique, avec une demi-vie terminale d'environ 30 heures. La clairance est de 2 ml/min/kg. Le DSG est éliminé sous la forme de ses métabolites dans les urines et dans la bile, dans une proportion d'environ 6:4.
  • -Ethinylestradiol (EE):
  • -Absorption
  • -Après administration orale, l'EE est rapidement et complètement absorbé. Des concentrations sériques maximales sont atteintes 1-2 heures après la prise. La biodisponibilité absolue est d'environ 60% en raison d'un métabolisme présystémique (effet de premier passage).
  • -Distribution
  • +EE
  • +DSG
  • +La pharmacocinétique de l'ENG est influencée par les taux de SHBG, qui sont triplés par l'EE. En cas de prise quotidienne, les taux sériques d'ENG sont multipliés par 2 à 3 environ et l'état stationnaire est atteint dans la deuxième moitié du cycle d'administration.
  • +EE
  • +DSG
  • +Dans la muqueuse intestinale et lors du premier passage hépatique, le DSG est rapidement et complètement métabolisé en ENG actif, par des réactions d'hydroxylation et de réduction. Il se forme aussi d'autres métabolites, mais ceux-ci sont inactifs; ils se conjuguent à l'acide glucuronique et au sulfate. L'administration concomitante d'éthinylestradiol (EE) ne provoque aucune interaction métabolique.
  • +EE
  • -Elimination
  • +Élimination
  • +DSG
  • +Les taux sériques d'ENG diminuent selon un processus biphasique, avec une demi-vie terminale d'environ 30 heures. La clairance est de 2 ml/min/kg. Le DSG est éliminé sous la forme de ses métabolites dans les urines et dans la bile, dans une proportion d'environ 6:4.
  • +EE
  • -Les études précliniques menées avec des contraceptifs oraux combinés pour évaluer leur toxicité après administration répétée, leur génotoxicité et leur potentiel cancérogène n'ont montré aucun signe clair de dangers particuliers pour l'être humain lors d'une utilisation correcte des CHC. Il faut cependant considérer que les hormones sexuelles stéroïdiennes peuvent favoriser la croissance de certains tissus et tumeurs hormonodépendants.
  • -Chez l'animal, des doses relativement faibles d'éthinylestradiol ont déjà un effet embryolétal, qui est considéré comme spécifique des espèces animales; on a observé des malformations urogénitales et une féminisation des fœtus mâles. Chez l'animal, des substances de type progestatif ont induit un effet embryolétal et, à fortes doses, une virilisation des fœtus femelles. Les études menées chez le rat, la souris et le lapin pour évaluer la toxicité sur la reproduction n'ont montré aucun signe d'effet tératogène. Pour ce qui est des risques chez l'être humain, voir le paragraphe «Grossesse/Allaitement».
  • +Les études précliniques menées avec des contraceptifs oraux combinés pour évaluer leur toxicité après administration répétée, leur génotoxicité et leur potentiel cancérogène n'ont montré aucun signe clair de dangers particuliers pour l'être humain lors d'une utilisation correcte des CHC. Il faut cependant considérer que les hormones sexuelles stéroïdiennes peuvent favoriser la croissance de certains tissus et tumeurs hormonodépendants.
  • +Chez l'animal, des doses relativement faibles d'éthinylestradiol ont déjà un effet embryolétal, qui est considéré comme spécifique des espèces animales; on a observé des malformations urogénitales et une féminisation des fœtus mâles. Chez l'animal, des substances de type progestatif ont induit un effet embryolétal et, à fortes doses, une virilisation des fœtus femelles. Les études menées chez le rat, la souris et le lapin pour évaluer la toxicité sur la reproduction n'ont montré aucun signe d'effet tératogène. Pour ce qui est des risques chez l'être humain, voir «Grossesse/Allaitement».
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage. Ne pas l'utiliser au-delà de la date de péremption.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -A conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de la lumière et de l'humidité, à une température comprise entre 15 et 30 °C. Ne pas congeler.
  • +Conserver dans l'emballage d'origine. Conserver à l'abri de la lumière et de l'humidité, à une température comprise entre 15 et 30 °C. Ne pas congeler.
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • +
  • -Juin 2019.
  • +Juin 2022
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