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Accueil - Information professionnelle sur Desogyn 150mcg/30mcg - Changements - 15.10.2020
46 Changements de l'information professionelle Desogyn 150mcg/30mcg
  • -Principes actifs: désogestrel et éthinylestradiol.
  • -Excipients: lactose, excipient pour comprimé.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Les comprimés sont blancs, ronds et biconvexes et leur diamètre est de 6 mm.
  • -1 comprimé contient 0,15 mg de désogestrel et 0,03 mg d'éthinylestradiol.
  • +Principes actifs
  • +Désogestrel et éthinylestradiol.
  • +Excipients
  • +Lactose, excipient pour comprimé.
  • -Première semaine de prise:
  • +Première semaine de prise
  • -·Thrombo-embolie veineuse (patiente traitée par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (p.ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • -·Facteurs de risque majeurs de thrombo-embolie veineuse tels que
  • +·Thrombo-embolie veineuse (patiente traitée par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (p. ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • +·Facteurs de risque majeurs de thrombo-embolie veineuse tels que :
  • -·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions»
  • +·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • -·prédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle qu'une hyperhomocystéinémie ou la présence d'anticorps anti phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • +·prédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle qu'une hyperhomocystéinémie ou la présence d'anticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • -·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir (médicaments utilisés pour le traitement de l'hépatite C) ainsi que jusqu'à 2 semaines après l'arrêt de ces médicaments (voir sous «Mises en garde et précautions» et sous «Interactions»);
  • +·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir (médicaments utilisés pour le traitement de l'hépatite C) ainsi que jusqu'à 2 semaines après l'arrêt de ces médicaments (voir sous «Mises en garde et précautions» et sous «Interactions»)
  • -·Affections malignes connues ou suspectées des organes génitaux ou des seins, si ces affections sont hormono-dépendantes;
  • +·Affections malignes connues ou suspectées des organes génitaux ou des seins, si ces affections sont hormono-dépendantes
  • -·survenue d'un ictère, d'une hépatite ou d'un prurit généralisé.
  • +·survenue d'un ictère, d'une hépatite ou d'un prurit généralisé;
  • +·états dépressifs graves;
  • -Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • -Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation des comprimés (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Desogyn n'a pas été interrompu à l'avance.
  • -Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Desogyn. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de Desogyn est contre-indiquée.
  • -Autres affections médicales associées à un risque accru de TEV Lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique et urémique, maladies inflammatoires chroniques intestinales (maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique), drépanocytose, cancer.
  • +Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²). L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • +Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur. Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation des comprimés (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Desogyn n'a pas été interrompu à l'avance.
  • +Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Desogyn. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de Desogyn est contre-indiquée.
  • +Autres affections médicales associées à un risque accru de TEV. Lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique et urémique, maladies inflammatoires chroniques intestinales (maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique), drépanocytose, cancer.
  • -Certains de ces symptômes (p.ex. essoufflement ou toux) ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections respiratoires, p.ex.).
  • +Certains de ces symptômes (p.ex. essoufflement ou toux) ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections respiratoires, p. ex.).
  • -Hypertension artérielle
  • +Hypertension artérielle
  • -Dyslipoprotéinémie
  • -Valvulopathie cardiaque
  • -Fibrillation auriculaire
  • -Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • +Dyslipoprotéinémie
  • +Valvulopathie cardiaque
  • +Fibrillation auriculaire
  • +Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • -Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques montre que le risque relatif (RR) de diagnostic de cancer du sein est légèrement augmenté chez les femmes qui utilisent des CHC (RR = 1,24). Après l'arrêt de la prise des CHC, ce risque, initialement augmenté, ne cesse de diminuer et il n'est plus décelable au bout de 10 ans. Etant donné que les cancers du sein sont rares avant l'âge de 40 ans, l'augmentation de la fréquence du diagnostic de cancer du sein chez les femmes qui utilisent un CHC ou en ont utilisé jusqu'à une date récente, est faible par rapport au risque de cancer du sein dans la population générale. Ces études ne prouvent pas de lien de causalité. L'augmentation du risque qui a été observée peut être liée à un dépistage plus précoce du cancer chez les utilisatrices de CHC, à des effets biologiques des CHC ou encore à la conjugaison de ces deux facteurs. D'une manière générale, les cancers du sein diagnostiqués étaient moins évolués, au moment du diagnostic, chez les femmes ayant utilisé un CHC que chez les femmes n'en ayant jamais utilisé.
  • +Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques montre que le risque relatif (RR) de diagnostic de cancer du sein est légèrement augmenté chez les femmes qui utilisent des CHC ( RR=1,24 ). Après l'arrêt de la prise des CHC, ce risque, initialement augmenté, ne cesse de diminuer et il n'est plus décelable au bout de 10 ans. Etant donné que les cancers du sein sont rares avant l'âge de 40 ans, l'augmentation de la fréquence du diagnostic de cancer du sein chez les femmes qui utilisent un CHC ou en ont utilisé jusqu'à une date récente, est faible par rapport au risque de cancer du sein dans la population générale. Ces études ne prouvent pas de lien de causalité. L'augmentation du risque qui a été observée peut être liée à un dépistage plus précoce du cancer chez les utilisatrices de CHC, à des effets biologiques des CHC ou encore à la conjugaison de ces deux facteurs. D'une manière générale, les cancers du sein diagnostiqués étaient moins évolués, au moment du diagnostic, chez les femmes ayant utilisé un CHC que chez les femmes n'en ayant jamais utilisé.
  • +Troubles dépressifs
  • +Les dépressions et humeurs dépressives sont connues comme étant des effets indésirables potentiels lors de l'utilisation d'hormones sexuelles, y compris de contraceptifs hormonaux (voir aussi la rubrique «Effets indésirables»). De tels troubles peuvent survenir peu de temps après le début du traitement. Une dépression peut être grave et représente un facteur de risque de suicide ou de comportement suicidaire. Les utilisatrices de contraceptifs hormonaux doivent donc être informées des symptômes possibles de troubles dépressifs. Il faut impérativement conseiller à l'utilisatrice de s'adresser immédiatement à un médecin si elle remarque des fluctuations d'humeur ou d'autres symptômes de dépression lorsqu'elle utilise un contraceptif. Les utilisatrices ayant des antécédents de dépression sévère doivent être surveillées attentivement. En cas de réapparition d'états dépressifs graves au cours de l'utilisation de Desogyn, le traitement doit être interrompu.
  • +
  • -On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC (par ex. nelfinavir, bocéprévir, télaprévir) et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (par ex. éfavirenz [voir ci-dessous], névirapine) ainsi que leurs associations peuvent entraîner une élévation ou une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs. L'effet net de ces modifications peut être cliniquement significatif dans certains cas. On a par exemple examiné dans une récente publication l'influence d'un traitement à base d'éfavirenz sur la pharmacocinétique d'un implant contenant de l'étonogestrel. Chez des patientes positives pour le VIH sous traitement antirétroviral, la Cmax de l'étonogestrel (le métabolite actif du désogestrel) était abaissée de 54% et l'AUC de 63% par rapport aux femmes qui ne prenaient pas une telle comédication.
  • +On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC (par ex. nelfinavir, bocéprévir, télaprévir) et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (par ex. éfavirenz [voir ci-dessous], névirapine) ainsi que leurs associations peuvent entraîner une élévation ou une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs. L'effet net de ces modifications peut être cliniquement significatif dans certains cas. On a par exemple examiné dans une récente publication l'influence d'un traitement à base d'éfavirenz sur la pharmacocinétique d'un implant contenant de l'étonogestrel. Chez des patientes positives pour le VIH sous traitement antirétroviral, la Cmaxde l'étonogestrel (le métabolite actif du désogestrel) était abaissée de 54% et l'AUC de 63% par rapport aux femmes qui ne prenaient pas une telle comédication.
  • -Grossesse/Allaitement
  • -La prise de Desogyn est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début du traitement. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de l'utilisation de Desogyn, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
  • +Grossesse, allaitement
  • +La prise de Desogyn est contreindiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début du traitement. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de l'utilisation de Desogyn, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Code ATC: G03AA09
  • +Code ATC
  • +G03AA09
  • -Dans la muqueuse intestinale et lors du premier passage hépatique, le DSG est rapidement et complètement métabolisé en ENG actif, par des réactions d'hydroxylation et de réduction. Il se forme aussi d'autres métabolites, mais ceux-ci sont inactifs; ils se conjuguent à l'acide glucuronique et au sulfate. L'administration concomitante d'éthinylestradiol (EE) ne provoque aucune interaction métabolique.
  • -Elimination
  • +Dans la muqueuse intestinale et lors du premier passage hépatique, le DSG est rapidement et complètement métabolisé en ENG actif, par des réactions d'hydroxylation et de réduction. Il se forme aussi d'autres métabolites, mais ceuxci sont inactifs; ils se conjuguent à l'acide glucuronique et au sulfate. L'administration concomitante d'éthinylestradiol (EE) ne provoque aucune interaction métabolique.
  • +Élimination
  • -Les études précliniques menées avec des contraceptifs oraux combinés (COC) pour évaluer leur toxicité après administration répétée, leur génotoxicité et leur potentiel cancérogène n'ont montré aucun signe clair de dangers particuliers pour l'être humain lors d'une utilisation correcte des CHC. Il faut cependant considérer que les hormones sexuelles stéroïdiennes peuvent favoriser la croissance de certains tissus et tumeurs hormonodépendants.
  • +Les études précliniques menées avec des contraceptifs oraux combinés pour évaluer leur toxicité après administration répétée, leur génotoxicité et leur potentiel cancérogène n'ont montré aucun signe clair de dangers particuliers pour l'être humain lors d'une utilisation correcte des CHC. Il faut cependant considérer que les hormones sexuelles stéroïdiennes peuvent favoriser la croissance de certains tissus et tumeurs hormonodépendants.
  • -Influence sur les méthodes diagnostiques
  • +Influence sur les méthodes de diagnostic
  • -Conservation
  • +Stabilité
  • -Modalités particulières de conservation
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Comprimés (plaquettes calendrier): 1× 21, 3× 21, 6× 21 (B)
  • +Comprimés (plaquettes calendrier): 1× 21; 3× 21; 6× 21 (B)
  • -Novembre 2017.
  • +Juin 2019.
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