80 Changements de l'information professionelle Allergo-X |
-Chez l'adulte et l'enfant à partir de 6 ans pour le traitement de
- +Chez l’adulte et l’enfant à partir de 6 ans pour le traitement de
-l'urticaire chronique idiopathique.
- +l’urticaire chronique idiopathique.
-Patients atteints d'insuffisance rénale
-Les intervalles entre les prises doivent être adaptés individuellement selon la fonction rénale. L'ajustement de la dose devrait se faire selon le tableau ci-dessous. Pour utiliser ce tableau afin d'ajuster le dosage, il est nécessaire d'évaluer la valeur de la clairance de la créatinine (Clcr) du patient en ml/min.
- +Enfant entre 2 et 6 ans
- +Chez l’enfant entre 2 et 6 ans, les comprimés pelliculés Allergo-X ne permettent pas l’adaptation posologique nécessaire à cette tranche d’âge. C’est pourquoi on recommande dans ce cas d’utiliser une préparation de lévocétirizine qui permet des doses adaptées plus faibles (par ex. des gouttes avec le principe actif lévocétirizine).
- +Patients atteints d’insuffisance rénale
- +Les intervalles entre les prises doivent être adaptés individuellement selon la fonction rénale. L’ajustement de la dose devrait se faire selon le tableau ci-dessous. Pour utiliser ce tableau afin d’ajuster le dosage, il est nécessaire d’évaluer la valeur de la clairance de la créatinine (Clcr) du patient en ml/min.
-Ajustement de la dose pour les patients atteints d'insuffisance rénale
- +Ajustement de la dose pour les patients atteints d’insuffisance rénale
-Insuffisance rénale terminale patients sous dialyses <10 Contreindiqué
- +Insuffisance rénale terminale patients sous dialyses <10 Contre-indiqué
-Chez les enfants présentant une insuffisance rénale, un ajustement individuel de la dose est nécessaire. On tiendra alors compte de la clairance rénale du patient et de son poids corporel. On ne dispose d'aucune donnée spécifique relative aux enfants en insuffisance rénale.
-Patients atteints d'insuffisance hépatique
-Chez les patients atteints exclusivement d'insuffisance hépatique, un ajustement de la dose n'est pas nécessaire. Chez les patients atteints à la fois d'insuffisance hépatique et rénale, la dose doit être ajustée en conséquence (voir ci-dessus «Patients atteints d'insuffisance rénale»).
-Durée d'utilisation
-La rhinite allergique intermittente (symptômes qui surviennent au maximum quatre jours par semaine ou au maximum quatre semaines par année) doit être traitée en fonction de la maladie et de ses antécédents. On peut suspendre le traitement lorsque les symptômes ont disparu, et il peut être repris en cas de réapparition des symptômes. Dans le cas d'une rhinite allergique persistante (symptômes qui surviennent plus fréquemment que quatre jours par semaine ou plus fréquemment que quatre semaines par année), on peut proposer au patient de suivre un traitement continu pendant la durée de l'exposition aux allergènes.
-L'expérience clinique acquise à ce jour porte sur un traitement de six mois avec la lévocétirizine.
- +Chez les enfants présentant une insuffisance rénale, un ajustement individuel de la dose est nécessaire. On tiendra alors compte de la clairance rénale du patient et de son poids corporel. On ne dispose d’aucune donnée spécifique relative aux enfants en insuffisance rénale.
- +Patients atteints d’insuffisance hépatique
- +Chez les patients atteints exclusivement d’insuffisance hépatique, un ajustement de la dose n’est pas nécessaire. Chez les patients atteints à la fois d’insuffisance hépatique et rénale, la dose doit être ajustée en conséquence (voir ci-dessus «Patients atteints d’insuffisance rénale»).
- +Durée d’utilisation
- +La rhinite allergique intermittente (symptômes qui surviennent au maximum quatre jours par semaine ou au maximum quatre semaines par année) doit être traitée en fonction de la maladie et de ses antécédents. On peut suspendre le traitement lorsque les symptômes ont disparu, et il peut être repris en cas de réapparition des symptômes. Dans le cas d’une rhinite allergique persistante (symptômes qui surviennent plus fréquemment que quatre jours par semaine ou plus fréquemment que quatre semaines par année), on peut proposer au patient de suivre un traitement continu pendant la durée de l’exposition aux allergènes.
- +L’expérience clinique acquise à ce jour porte sur un traitement de six mois avec la lévocétirizine.
-Hypersensibilité au principe actif, la lévocétirizine, à l'hydroxyzine ou à un autre dérivé de la pipérazine, ou à l'un des excipients.
-Patients atteints d'insuffisance rénale terminale (clairance de la créatinine <10 ml/min).
- +Hypersensibilité au principe actif, la lévocétirizine, à l’hydroxyzine ou à un autre dérivé de la pipérazine, ou à l’un des excipients.
- +Patients atteints d’insuffisance rénale terminale (clairance de la créatinine <10 ml/min).
-Allergo-X comprimés pelliculés ne sont pas adaptés à une administration à des enfants de moins de 6 ans, car cette forme d'administration ne permet pas l'adaptation posologique nécessaire à cette tranche d'âge. C'est pourquoi on recommande dans ce cas d'utiliser une préparation qui permet des doses adaptées plus faibles (par ex. des gouttes avec le principe actif lévocétirizine).
-En l'absence de données, l'administration de lévocétirizine aux enfants et aux jeunes enfants de moins de 2 ans n'est pas recommandée.
-Chez les patients atteints d'insuffisance rénale, le dosage doit être ajusté en conséquence (voir le chapitre «Posologie/Mode d'emploi»).
-La lévocétirizine pouvant entraîner une somnolence accrue, une prudence particulière s'impose en cas de prise de Allergo-X avec de l'alcool.
- +Allergo-X comprimés pelliculés ne sont pas adaptés à une administration à des enfants de moins de 6 ans, car cette forme d’administration ne permet pas l’adaptation posologique nécessaire à cette tranche d’âge. C’est pourquoi on recommande dans ce cas d’utiliser une préparation qui permet des doses adaptées plus faibles (par ex. des gouttes avec le principe actif lévocétirizine).
- +En l’absence de données, l’administration de lévocétirizine aux enfants et aux jeunes enfants de moins de 2 ans n’est pas recommandée.
- +Chez les patients atteints d’insuffisance rénale, le dosage doit être ajusté en conséquence (voir le chapitre «Posologie/Mode d’emploi»).
- +La lévocétirizine pouvant entraîner une somnolence accrue, une prudence particulière s’impose en cas de prise de Allergo-X avec de l’alcool.
-La prudence est de rigueur chez les patients épileptiques et chez les patients à risque de la convulsion, car la lévocétirizine peut augmenter le risque de crises.
-Les comprimés pelliculés contiennent du lactose. Les patients atteints de troubles héréditaires rares comme l'intolérance au galactose, de déficience en lactase de Lapp ou de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ces comprimés pelliculés.
- +La prudence est de rigueur chez les patients épileptiques et chez les patients à risque de convulsion, car la lévocétirizine peut augmenter le risque de crises.
- +Les comprimés pelliculés contiennent du lactose. Les patients atteints de troubles héréditaires rares comme l’intolérance au galactose, de déficience en lactase de Lapp ou de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ces comprimés pelliculés.
-Aucune étude sur les interactions avec la lévocétirizine n'a été menée, de nombreuses études sur son racémate la cétirizine ayant déjà démontré qu'aucune interaction cliniquement importante n'apparaît avec l'azithromycine, la cimétidine, le diazépam, l'érythromycine, le glipizide, le kétoconazole, et la pseudoéphédrine. Lors d'une étude avec administration sur plusieurs jours de théophylline (400 mg par jour), une faible diminution (16%) de la clairance de la cétirizine a été observée.
-Dans le cadre d'une étude à doses multiples menée avec du ritonavir (600 mg deux fois par jour) et de la cétirizine (10 mg par jour), l'exposition à la cétirizine était augmentée d'environ 40%, alors que l'exposition au ritonavir était légèrement modifiée (-11%) lors d'une administration concomitante de cétirizine.
-L'ampleur de l'absorption de la lévocétirizine n'est pas réduite par la prise simultanée de nourriture, bien que la vitesse d'absorption soit ralentie.
-L'utilisation simultanée de lévocétirizine et d'alcool ou d'autres dépresseurs du SNC peut diminuer la capacité de rendement et de concentration, bien qu'il ait été démontré pour le racémate cétirizine que les effets de l'alcool ne sont pas renforcés (taux d'alcoolémie de 0.5 g/l).
- +Aucune étude sur les interactions avec la lévocétirizine n’a été menée, de nombreuses études sur son racémate la cétirizine ayant déjà démontré qu’aucune interaction cliniquement importante n’apparaît avec l’azithromycine, la cimétidine, le diazépam, l’érythromycine, le glipizide, le kétoconazole et la pseudoéphédrine. Lors d’une étude avec administration sur plusieurs jours de théophylline (400 mg par jour), une faible diminution (16%) de la clairance de la cétirizine a été observée.
- +Dans le cadre d’une étude à doses multiples menée avec du ritonavir (600 mg deux fois par jour) et de la cétirizine (10 mg par jour), l’exposition à la cétirizine était augmentée d’environ 40%, alors que l’exposition au ritonavir était légèrement modifiée (-11%) lors d’une administration concomitante de cétirizine.
- +L’ampleur de l’absorption de la lévocétirizine n’est pas réduite par la prise simultanée de nourriture, bien que la vitesse d’absorption soit ralentie.
- +L’utilisation simultanée de lévocétirizine et d’alcool ou d’autres dépresseurs du SNC peut diminuer la capacité de rendement et de concentration, bien qu’il ait été démontré pour le racémate cétirizine que les effets de l’alcool ne sont pas renforcés (taux d’alcoolémie de 0.5 g/l).
-Les données cliniques très limitées concernant l'utilisation de la lévocétirizine chez les femmes enceintes (moins de 300), ne fournissent aucune indication précise sur les malformations ou la toxicité fœto/néonatale en relation avec la lévocétirizine.
-Les expérimentations animales n'ont montré aucune toxicité directe ou indirecte ayant un effet sur la grossesse, le développement embryonnaire ou fœtal.
-La prudence s'impose en cas d'administration au cours de la grossesse.
- +Les données cliniques très limitées concernant l’utilisation de la lévocétirizine chez les femmes enceintes (moins de 300), ne fournissent aucune indication précise sur les malformations ou la toxicité fœto/néonatale en relation avec la lévocétirizine.
- +Les expérimentations animales n’ont montré aucune toxicité directe ou indirecte ayant un effet sur la grossesse, le développement embryonnaire ou fœtal.
- +La prudence s’impose en cas d’administration au cours de la grossesse.
-La lévocétirizine ne doit pas être utilisée pendant la période d'allaitement car il faut considérer qu'elle passe dans le lait maternel.
- +La lévocétirizine ne doit pas être utilisée pendant la période d’allaitement car il faut considérer qu’elle passe dans le lait maternel.
-La lévocétirizine pouvant entraîner une somnolence accrue, Allergo-X a une influence sur l'aptitude à la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines.
- +La lévocétirizine pouvant entraîner une somnolence accrue, Allergo-X a une influence sur l’aptitude à la conduite de véhicules ou l’utilisation de machines.
-Données provenant d'études cliniques
-Lors des études cliniques, des effets indésirables sont apparus chez 14.7% des patients du groupe lévocétirizine 5 mg, contre 11.3% dans le groupe placebo. 95% de ces effets indésirables étaient légers à modérés. Pendant les études cliniques avec la lévocétirizine, la proportion de patients interrompant l'étude prématurément pour cause d'effets indésirables sous lévocétirizine 5 mg a été de 0.7% (4/538) et était du même ordre de grandeur que sous placebo: 0.8% (3/382).
- +Données provenant d’études cliniques
- +Lors des études cliniques, des effets indésirables sont apparus chez 14.7% des patients du groupe lévocétirizine 5 mg, contre 11.3% dans le groupe placebo. 95% de ces effets indésirables étaient légers à modérés. Pendant les études cliniques avec la lévocétirizine, la proportion de patients interrompant l’étude prématurément pour cause d’effets indésirables sous lévocétirizine 5 mg a été de 0.7% (4/538) et était du même ordre de grandeur que sous placebo: 0.8% (3/382).
-Bien que la somnolence apparaisse plus fréquemment sous lévocétirizine que sous placebo, elle n'était dans la plupart des cas que légère à modérée.
- +Bien que la somnolence apparaisse plus fréquemment sous lévocétirizine que sous placebo, elle n’était dans la plupart des cas que légère à modérée.
-Données issues de la surveillance post-marketing (PMS) sur la sécurité d'emploi
- +Données issues de la surveillance post-marketing (PMS) sur la sécurité d’emploi
-Réaction anaphylactique, réaction d'hypersensibilité.
- +Réaction anaphylactique, réaction d’hypersensibilité.
-Augmentation de l'appétit.
- +Augmentation de l’appétit.
-États d'angoisse, agressivité, agitation, hallucinations, dépression, insomnie, pensées suicidaires.
- +États d’angoisse, agressivité, agitation, hallucinations, dépression, insomnie, pensées suicidaires, cauchemars.
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
-Troubles des méthodes d'examen
- +Troubles des méthodes d’examen
-Données de sécurité tirées de l'observation du marché pour la substance mère cétirizine
- +Données de sécurité tirées de l’observation du marché pour la substance mère cétirizine
-Effets secondaires légers et passagers comme: fatigue, troubles de la concentration, somnolence, céphalées, vertiges, agitation, sécheresse buccale, et troubles gastro-intestinaux (par ex. constipation).
-Dans quelques cas, on a observé des réactions d'hypersensibilité avec réactions cutanées et angioœdème. En outre, des cas isolés de convulsions, réactions de photosensibilité, lésions hépatiques, choc anaphylactique, décompensation circulatoire, surdité, malaise, prurit, angéite, troubles visuels et cauchemars ont été rapportés.
-Description d'une sélection d'effets indésirables
-Après l'arrêt de la lévocétirizine, un prurit a été rapporté chez un très petit nombre de patients.
- +Effets secondaires légers et passagers comme: fatigue, troubles de la concentration, somnolence, céphalées, vertiges, agitation, sécheresse buccale et troubles gastro-intestinaux (par ex. constipation).
- +Dans quelques cas, on a observé des réactions d’hypersensibilité avec réactions cutanées et angioœdème. En outre, des cas isolés de convulsions, réactions de photosensibilité, lésions hépatiques, choc anaphylactique, décompensation circulatoire, surdité, malaise, prurit, angéite, troubles visuels et cauchemars ont été rapportés.
- +Description d’une sélection d’effets indésirables
- +Après l’arrêt de la lévocétirizine, un prurit a été rapporté chez un très petit nombre de patients.
-Les symptômes du surdosage peuvent inclure, chez l'adulte, une somnolence et chez l’enfant, de l’anxiété et un état d’agitation suivis d’une somnolence.
- +Les symptômes du surdosage peuvent inclure, chez l’adulte, une somnolence et chez l’enfant, de l’anxiété et un état d’agitation suivis d’une somnolence.
-Aucun antidote spécifique n'est connu pour la lévocétirizine.
-En cas de surdosage, un traitement symptomatique ou un traitement de soutien est recommandé. Un lavage d'estomac et/ou l'administration de charbon actif peuvent s'avérer utiles, pour autant que le surdosage soit récent. La lévocétirizine n'est dialysable que de façon incomplète.
- +Aucun antidote spécifique n’est connu pour la lévocétirizine.
- +En cas de surdosage, un traitement symptomatique ou un traitement de soutien est recommandé. Un lavage d’estomac et/ou l’administration de charbon actif peuvent s’avérer utiles, pour autant que le surdosage soit récent. La lévocétirizine n’est dialysable que de façon incomplète.
-Mécanisme d'action
-La lévocétirizine est un antihistaminique aux propriétés antiallergiques. C'est un puissant antagoniste sélectif des récepteurs H1 périphériques avec des effets réduits sur les autres récepteurs, donc essentiellement dénué de propriétés anticholinergiques et antisérotoninergiques. La lévocétirizine est l'énantiomère (R) de la cétirizine.
- +Mécanisme d’action
- +La lévocétirizine est un antihistaminique aux propriétés antiallergiques. C’est un puissant antagoniste sélectif des récepteurs H1 périphériques avec des effets réduits sur les autres récepteurs, donc essentiellement dénué de propriétés anticholinergiques et antisérotoninergiques. La lévocétirizine est l’énantiomère (R) de la cétirizine.
-Des études de liaison ont montré que la lévocétirizine présente une affinité élevée pour les récepteurs humains H1 (Ki= 3.2 nmol/l). L'affinité de la lévocétirizine est par conséquent deux fois supérieure à celle de la cétirizine (Ki= 6.3 nmol/l). La lévocétirizine se dissocie des récepteurs H1 avec une demi-vie de 115 ± 38 min.
- +Des études de liaison ont montré que la lévocétirizine présente une affinité élevée pour les récepteurs humains H1 (Ki= 3.2 nmol/l). L’affinité de la lévocétirizine est par conséquent deux fois supérieure à celle de la cétirizine (Ki= 6.3 nmol/l). La lévocétirizine se dissocie des récepteurs H1 avec une demi-vie de 115 ± 38 min.
-L'activité pharmacodynamique de la lévocétirizine a été examinée dans plusieurs études contrôlées contre placebo, randomisées:
--Une étude a comparé les effets de la lévocétirizine 5 mg à ceux d'un placebo sur la réaction érythématopapuleuse et les rougeurs induites par l'histamine («wheal and flare»). Les traitements par la lévocétirizine et le placebo ont entraîné une AUC (0-24 h) de la zone affectée par la réaction érythématopapuleuse de resp. 281.9 et 1255.8 mm² h (p <0.001).
--Dans une étude comparant les effets de la lévocétirizine 5 mg à ceux d'un placebo sur la température cutanée nasale, mesurée par thermographie faciale après une exposition nasale à l'histamine, les modifications de température 2 h et 24 h après administration, étaient inférieures de -0.28°C et de -0.32°C pour la lévocétirizine par rapport à l'augmentation de la température observée sous placebo.
-Dans le cadre de deux études contrôlées contre placebo réalisées avec une chambre de test d'allergie, l'installation de l'effet observée pour la lévocétirizine 5 mg lors de symptômes induits par des pollens était de 1 heure après la prise du médicament.
-Des dérivations ECG n'ont montré aucun effet significatif de la lévocétirizine sur l'intervalle QT.
- +L’activité pharmacodynamique de la lévocétirizine a été examinée dans plusieurs études contrôlées contre placebo, randomisées:
- +-Une étude a comparé les effets de la lévocétirizine 5 mg à ceux d’un placebo sur la réaction érythématopapuleuse et les rougeurs induites par l’histamine («wheal and flare»). Les traitements par la lévocétirizine et le placebo ont entraîné une AUC (0-24 h) de la zone affectée par la réaction érythématopapuleuse de resp. 281.9 et 1255.8 mm² h (p <0.001).
- +-Dans une étude comparant les effets de la lévocétirizine 5 mg à ceux d’un placebo sur la température cutanée nasale, mesurée par thermographie faciale après une exposition nasale à l’histamine, les modifications de température 2 h et 24 h après administration, étaient inférieures de -0.28°C et de -0.32°C pour la lévocétirizine par rapport à l’augmentation de la température observée sous placebo.
- +Dans le cadre de deux études contrôlées contre placebo réalisées avec une chambre de test d’allergie, l’installation de l’effet observée pour la lévocétirizine 5 mg lors de symptômes induits par des pollens était de 1 heure après la prise du médicament.
- +Des dérivations ECG n’ont montré aucun effet significatif de la lévocétirizine sur l’intervalle QT.
-Deux études pharmacodynamiques portant au total sur 42 volontaires sains ont comparé l'activité antihistaminique des énantiomères lévocétirizine et ucb 28'557 ainsi que celle du racémate cétirizine sur des réactions cutanées et nasales induites par l'histamine. Le but de l'étude était de définir l'énantiomère le plus efficace en tant qu'antihistaminique et de confronter son activité thérapeutique à celle de la cétirizine.
-Les études pharmacodynamiques démontrent que la lévocétirizine constitue l'eutomère du racémate cétirizine et que son efficacité antihistaminique peut être attribuée à l'énantiomère lévocétirizine. À dosage moitié moindre, la lévocétirizine a montré la même efficacité antihistaminique que la cétirizine. Ces résultats constituent la base du report des résultats («bridging») pour la lévocétirizine à partir des études thérapeutiques avec la cétirizine.
-1686 patients ont participé aux études cliniques de phase II et III. 986 d'entre eux ont été traités par lévocétirizine à des dosages allant de 2.5 à 10 mg. L'efficacité clinique de la lévocétirizine dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière a été examinée dans une étude de recherche de dose portant sur 350 patients et une «bridging study» portant sur 637 patients.
-L'étude de recherche de dose présente un rapport bénéfice/risque optimal pour le dosage de 5 mg de lévocétirizine par jour. La «bridging study» formelle montre, pour une efficacité tendant à être très légèrement plus faible, une équivalence statistiquement significative (définie par un intervalle de confiance de 90% compris entre 80 et 125% de l'efficacité de la cétirizine) de la lévocétirizine 5 mg avec la cétirizine 10 mg dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière.
-Comme les propriétés pharmacodynamiques et pharmacocinétiques ainsi que l'efficacité thérapeutique ont été examinées pour l'indication la plus importante dans des «bridging studies», les résultats concernant les autres indications (rhinite allergique perannuelle et urticaire chronique) ont été repris des résultats d'études avec la cétirizine, ce qui est confirmé par une tendance vers l'efficacité de la lévocétirizine contre la rhinite allergique perannuelle ressortant d'une étude de recherche de dose.
-L'efficacité et la sécurité de la lévocétirizine ont également été mises en évidence de manière directe dans le cadre de plusieurs études cliniques en double aveugle, contrôlées contre placebo, menées chez des patients présentant une rhinite allergique saisonnière, une rhinite allergique perannuelle ou une rhinite allergique persistante. Il a été démontré que la lévocétirizine entraînait une amélioration significative des symptômes de la rhinite allergique, et également de l'obstruction nasale dans certaines études.
-Une étude thérapeutique a été menée auprès de 551 patients présentant une rhinite allergique persistante (existence de symptômes 4 jours par semaines pendant 4 semaines au moins) ainsi qu'une sensibilisation aux acariens de la poussière de maison et au pollen de graminées. Cette étude a montré que 5 mg de lévocétirizine soulageaient mieux les symptômes que le placebo (éternuement, écoulement nasal, démangeaison dans le nez et les yeux, congestion nasale) de manière clinique et statistiquement significative pendant les 6 mois de durée de l'étude. Une tachyphylaxie n'a pas été observée. Sur toute la durée de l'étude, 5 mg de lévocététirizine ont amélioré la qualité de vie des patients de manière clinique et statistiquement significative.
-L'efficacité et la sécurité des comprimés de lévocétirizine chez l'enfant ont été examinées dans le cadre de deux études cliniques, contrôlées contre placebo, chez des patients âgés de 6 à 12 ans souffrant de rhinite saisonnière ou perannuelle. Dans les deux études, la lévocétirizine a entraîné une amélioration significative des symptômes et une augmentation de la qualité de vie liée à la maladie.
-Dans le cadre d'une étude contrôlée contre placebo incluant 166 patients souffrant d'urticaire idiopathique chronique, 85 patients ont reçu un placebo et 81 patients ont été traités par lévocétirizine 5 mg, et ce une fois par jour pendant six semaines. Par rapport au placebo, la lévocétirizine a entraîné une diminution du degré de gravité du prurit au cours de la première semaine ainsi que sur toute la durée du traitement.
- +Deux études pharmacodynamiques portant au total sur 42 volontaires sains ont comparé l’activité antihistaminique des énantiomères lévocétirizine et ucb 28'557 ainsi que celle du racémate cétirizine sur des réactions cutanées et nasales induites par l’histamine. Le but de l’étude était de définir l’énantiomère le plus efficace en tant qu’antihistaminique et de confronter son activité thérapeutique à celle de la cétirizine.
- +Les études pharmacodynamiques démontrent que la lévocétirizine constitue l’eutomère du racémate cétirizine et que son efficacité antihistaminique peut être attribuée à l’énantiomère lévocétirizine. À dosage moitié moindre, la lévocétirizine a montré la même efficacité antihistaminique que la cétirizine. Ces résultats constituent la base du report des résultats («bridging») pour la lévocétirizine à partir des études thérapeutiques avec la cétirizine.
- +1686 patients ont participé aux études cliniques de phase II et III. 986 d’entre eux ont été traités par lévocétirizine à des dosages allant de 2.5 à 10 mg. L’efficacité clinique de la lévocétirizine dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière a été examinée dans une étude de recherche de dose portant sur 350 patients et une «bridging study» portant sur 637 patients.
- +L’étude de recherche de dose présente un rapport bénéfice/risque optimal pour le dosage de 5 mg de lévocétirizine par jour. La «bridging study» formelle montre, pour une efficacité tendant à être très légèrement plus faible, une équivalence statistiquement significative (définie par un intervalle de confiance de 90% compris entre 80 et 125% de l’efficacité de la cétirizine) de la lévocétirizine 5 mg avec la cétirizine 10 mg dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière.
- +Comme les propriétés pharmacodynamiques et pharmacocinétiques ainsi que l’efficacité thérapeutique ont été examinées pour l’indication la plus importante dans des «bridging studies», les résultats concernant les autres indications (rhinite allergique perannuelle et urticaire chronique) ont été repris des résultats d’études avec la cétirizine, ce qui est confirmé par une tendance vers l’efficacité de la lévocétirizine contre la rhinite allergique perannuelle ressortant d’une étude de recherche de dose.
- +L’efficacité et la sécurité de la lévocétirizine ont également été mises en évidence de manière directe dans le cadre de plusieurs études cliniques en double aveugle, contrôlées contre placebo, menées chez des patients présentant une rhinite allergique saisonnière, une rhinite allergique perannuelle ou une rhinite allergique persistante. Il a été démontré que la lévocétirizine entraînait une amélioration significative des symptômes de la rhinite allergique, et également de l’obstruction nasale dans certaines études.
- +Une étude thérapeutique a été menée auprès de 551 patients présentant une rhinite allergique persistante (existence de symptômes 4 jours par semaines pendant 4 semaines au moins) ainsi qu’une sensibilisation aux acariens de la poussière de maison et au pollen de graminées. Cette étude a montré que 5 mg de lévocétirizine soulageaient mieux les symptômes que le placebo (éternuement, écoulement nasal, démangeaison dans le nez et les yeux, congestion nasale) de manière clinique et statistiquement significative pendant les 6 mois de durée de l’étude. Une tachyphylaxie n’a pas été observée. Sur toute la durée de l’étude, 5 mg de lévocétirizine ont amélioré la qualité de vie des patients de manière clinique et statistiquement significative.
- +L’efficacité et la sécurité des comprimés de lévocétirizine chez l’enfant ont été examinées dans le cadre de deux études cliniques, contrôlées contre placebo, chez des patients âgés de 6 à 12 ans souffrant de rhinite saisonnière ou perannuelle. Dans les deux études, la lévocétirizine a entraîné une amélioration significative des symptômes et une augmentation de la qualité de vie liée à la maladie.
- +Dans le cadre d’une étude contrôlée contre placebo incluant 166 patients souffrant d’urticaire idiopathique chronique, 85 patients ont reçu un placebo et 81 patients ont été traités par lévocétirizine 5 mg, et ce une fois par jour pendant six semaines. Par rapport au placebo, la lévocétirizine a entraîné une diminution du degré de gravité du prurit au cours de la première semaine ainsi que sur toute la durée du traitement.
-Le profil pharmacocinétique de la lévocétirizine est linéaire et indépendant d'une administration quotidienne en une ou plusieurs prises, la variabilité d'un individu à l'autre étant infime. Il n'existe pas d'indice d'une variabilité significative en fonction du sexe, du polymorphisme ou du tabagisme. Le profil pharmacocinétique de la lévocétirizine, l'énantiomère (R) de la cétirizine, est identique à celui de la cétirizine (racémate). Au cours de l'absorption et de l'élimination, aucune inversion chirale n'apparaît.
- +Le profil pharmacocinétique de la lévocétirizine est linéaire et indépendant d’une administration quotidienne en une ou plusieurs prises, la variabilité d’un individu à l’autre étant infime. Il n’existe pas d’indice d’une variabilité significative en fonction du sexe, du polymorphisme ou du tabagisme. Le profil pharmacocinétique de la lévocétirizine, l’énantiomère (R) de la cétirizine, est identique à celui de la cétirizine (racémate). Au cours de l’absorption et de l’élimination, aucune inversion chirale n’apparaît.
-Après administration par voie orale, la lévocétirizine est absorbée rapidement et en grande quantité. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 0.9 heure après la prise. Le niveau plasmatique «steady state» est atteint après 2 jours. Les concentrations plasmatiques maximales sont, après une prise unique de 5 mg et après plusieurs jours à 5 mg/jour, respectivement de 270 ng/ml et 308 ng/ml. L'ampleur de l'absorption est indépendante de la dose et peu modifiée par la prise simultanée de nourriture.
- +Après administration par voie orale, la lévocétirizine est absorbée rapidement et en grande quantité. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 0.9 heure après la prise. Le niveau plasmatique «steady state» est atteint après 2 jours. Les concentrations plasmatiques maximales sont, après une prise unique de 5 mg et après plusieurs jours à 5 mg/jour, respectivement de 270 ng/ml et 308 ng/ml. L’ampleur de l’absorption est indépendante de la dose et peu modifiée par la prise simultanée de nourriture.
-Aucune donnée n'est disponible concernant la distribution de la lévocétirizine dans les tissus humains. La liaison de la lévocétirizine aux protéines plasmatiques est de 90%. Le volume de distribution est restrictif et se chiffre à 0.4 l/kg.
- +Aucune donnée n’est disponible concernant la distribution de la lévocétirizine dans les tissus humains. La liaison de la lévocétirizine aux protéines plasmatiques est de 90%. Le volume de distribution est restrictif et se chiffre à 0.4 l/kg.
-Chez l'homme, moins de 14% de la dose de lévocétirizine sont métabolisés. Il faut donc admettre que les différences pour cause de polymorphismes génétiques ou de prise simultanée d'inhibiteurs enzymatiques sont négligeables. Parmi les processus de métabolisation, on trouve l'oxydation aromatique, la N- et la Odésalkylation et la conjugaison à la taurine. La désalkylation est essentiellement médiée par le CYP3A4 pendant que des isoformes du CYP nombreuses et/ou non identifiées participent à l'oxydation aromatique.
-À des concentrations bien supérieures à la concentration maximale atteinte après une dose orale de 5 mg, la lévocétirizine n'a aucun effet sur les activités des isoenzymes CYP 1A2, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 3A4. Parce que la lévocétirizine n'est métabolisée que pour une faible part et qu'elle n'entraîne aucune inhibition d'enzymes, les interactions avec d'autres substances sont improbables.
- +Chez l’homme, moins de 14% de la dose de lévocétirizine sont métabolisés. Il faut donc admettre que les différences pour cause de polymorphismes génétiques ou de prise simultanée d’inhibiteurs enzymatiques sont négligeables. Parmi les processus de métabolisation, on trouve l’oxydation aromatique, la N- et la O-désalkylation et la conjugaison à la taurine. La désalkylation est essentiellement médiée par le CYP3A4 pendant que des isoformes du CYP nombreuses et/ou non identifiées participent à l’oxydation aromatique.
- +À des concentrations bien supérieures à la concentration maximale atteinte après une dose orale de 5 mg, la lévocétirizine n’a aucun effet sur les activités des isoenzymes CYP 1A2, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 3A4. Parce que la lévocétirizine n’est métabolisée que pour une faible part et qu’elle n’entraîne aucune inhibition d’enzymes, les interactions avec d’autres substances sont improbables.
-La demi-vie plasmatique chez l'adulte est de 7.9 ± 1.9 heures. La clairance apparente moyenne pour l'ensemble du corps est de 0.63 ml/min/kg. L'élimination rénale est en moyenne de 85.4% de la dose administrée. Seuls 12.9% de la dose sont évacués avec les selles. La clairance rénale de la lévocétirizine est d'environ 30 ml/min/1.73 m². Si la valeur est corrigée par la liaison protéique, elle est d'environ 260 ml/min/1.73 m². Ainsi, la lévocétirizine est éliminée aussi bien par filtration glomérulaire que par sécrétion tubulaire active.
- +La demi-vie plasmatique chez l’adulte est de 7.9 ± 1.9 heures. La clairance apparente moyenne pour l’ensemble du corps est de 0.63 ml/min/kg. L’élimination rénale est en moyenne de 85.4% de la dose administrée. Seuls 12.9% de la dose sont évacués avec les selles. La clairance rénale de la lévocétirizine est d’environ 30 ml/min/1.73 m². Si la valeur est corrigée par la liaison protéique, elle est d’environ 260 ml/min/1.73 m². Ainsi, la lévocétirizine est éliminée aussi bien par filtration glomérulaire que par sécrétion tubulaire active.
-La clairance corporelle apparente de la lévocétirizine est corrélée à la clairance de la créatinine. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale modérée à sévère, il est donc recommandé d'ajuster les intervalles des doses de lévocétirizine conformément au chapitre «Posologie/Mode d'emploi, Patients atteints d'insuffisance rénale».
-Chez les patients en insuffisance rénale anurique en phase terminale, la clairance corporelle totale comparée à celle des patients sains est réduite d'environ 80%. Au cours d'une hémodialyse standard de 4 heures, moins de 10% de la quantité de lévocétirizine sont éliminés du plasma.
- +La clairance corporelle apparente de la lévocétirizine est corrélée à la clairance de la créatinine. Chez les patients atteints d’insuffisance rénale modérée à sévère, il est donc recommandé d’ajuster les intervalles des doses de lévocétirizine conformément au chapitre «Posologie/Mode d’emploi, Patients atteints d’insuffisance rénale».
- +Chez les patients en insuffisance rénale anurique en phase terminale, la clairance corporelle totale comparée à celle des patients sains est réduite d’environ 80%. Au cours d’une hémodialyse standard de 4 heures, moins de 10% de la quantité de lévocétirizine sont éliminés du plasma.
-L'effet sur les réactions cutanées induites par l'histamine n'est pas en phase avec le profil des concentrations plasmatiques.
- +L’effet sur les réactions cutanées induites par l’histamine n’est pas en phase avec le profil des concentrations plasmatiques.
-Les études précliniques concernant la sécurité, la pharmacologie et la toxicité chronique, la génotoxicité, la cancérogénicité et la toxicité pour la reproduction n'ont révélé aucun signe de risque particulier chez l'être humain.
-Chez les chiens ayant reçu de la lévocétirizine pendant plus de trois mois par voie orale, on n'a relevé aucune modification de l'intervalle QT. L'administration par voie intraveineuse de hautes doses de lévocétirizine n'a eu chez le chien aucun effet sur la durée et la distribution du potentiel d'action monophasique intramyocardique ventriculaire ou sur l'intervalle QT et n'a entraîné ni arythmies ni torsades de pointe.
- +Les études précliniques concernant la sécurité, la pharmacologie et la toxicité chronique, la génotoxicité, la cancérogénicité et la toxicité pour la reproduction n’ont révélé aucun signe de risque particulier chez l’être humain.
- +Chez les chiens ayant reçu de la lévocétirizine pendant plus de trois mois par voie orale, on n’a relevé aucune modification de l’intervalle QT. L’administration par voie intraveineuse de hautes doses de lévocétirizine n’a eu chez le chien aucun effet sur la durée et la distribution du potentiel d’action monophasique intramyocardique ventriculaire ou sur l’intervalle QT et n’a entraîné ni arythmies ni torsades de pointe.
-Aucune donnée n'est disponible concernant d'éventuelles incompatibilités.
- +Aucune donnée n’est disponible concernant d’éventuelles incompatibilités.
-Après la fin de la thérapie, le niveau plasmatique de la lévocétirizine chute avec une demi-vie de 8 heures environ. Des tests d'allergie sont donc à nouveau possibles 3 jours après l'arrêt de Allergo-X.
- +Après la fin de la thérapie, le niveau plasmatique de la lévocétirizine chute avec une demi-vie de 8 heures environ. Des tests d’allergie sont donc à nouveau possibles 3 jours après l’arrêt de Allergo-X.
-Mai 2017.
- +Septembre 2017.
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