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Accueil - Information professionnelle sur Escitax 10 mg - Changements - 04.05.2018
36 Changements de l'information professionelle Escitax 10 mg
  • -Zusammensetzung
  • -Wirkstoff:
  • +Composition
  • +Principe actif:
  • -Hilfsstoffe:
  • +Excipients:
  • -Galenische Form und Wirkstoffmenge pro Einheit
  • -Filmtabletten zu 10 mg und 20 mg Escitalopram.
  • -Aussehen der Filmtabletten:
  • -10 mg: oval, weiss, mit Bruchrille; Aufdruck: E.
  • -20 mg: oval, weiss; mit Bruchrille; Aufdruck: E.
  • -Indikationen/Anwendungsmöglichkeiten
  • -·Behandlung von Depressionen in der initialen Phase und als Erhaltungstherapie gegen Rückfälle.
  • -·Prophylaxe neuer Episoden einer unipolaren Depression.
  • -·Behandlung von sozialen Phobien.
  • -Die Langzeitwirksamkeit bei sozialer Phobie ist bis zu 36 Wochen belegt.
  • -·Behandlung von generalisierten Angststörungen.
  • -·Panik-Erkrankungen mit oder ohne Agoraphobie.
  • -·Behandlung von Zwangsstörungen.
  • -Dosierung/Anwendung
  • -Erwachsene
  • -Die Sicherheit von Dosen über 20 mg/Tag wurde nicht belegt.
  • -Depressionen:
  • -Escitax wird als Einzeldosis von täglich 10 mg verabreicht.
  • -Filmtabletten 10 mg Filmtabletten 20 mg
  • +Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • +Comprimés pelliculés à 10 mg et 20 mg d'escitalopram.
  • +Aspect des comprimés pelliculés:
  • +10 mg: ovale, blanc, avec rainure de fragmentation; empreinte: E.
  • +20 mg: ovale, blanc, avec rainure de fragmentation; empreinte: E.
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • +·Traitement de la dépression dans sa phase initiale et traitement d'entretien pour la prévention des rechutes.
  • +·Prévention de nouveaux épisodes de dépression unipolaire.
  • +·Traitement des phobies sociales.
  • +L'efficacité à long terme en cas de phobie sociale a été démontrée sur une durée allant jusqu'à 36 semaines.
  • +·Traitement des troubles anxieux généralisés.
  • +·Troubles paniques avec ou sans agoraphobie.
  • +·Traitement des troubles obsessionnels compulsifs.
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • +Adultes
  • +La sécurité d'emploi des doses supérieures à 20 mg/jour n'est pas documentée.
  • +Dépressions:
  • +Escitax est administré en une dose unique de 10 mg par jour.
  • +Comprimés pelliculés 10 mg Comprimés pelliculés 20 mg
  • -In Abhängigkeit der individuellen Reaktion der Patienten kann die Dosis auf maximal 20 mg einmal täglich erhöht werden.
  • -Ãœblicherweise tritt die antidepressive Wirkung nach 2-4 Wochen ein; der Wirkungseintritt kann jedoch schon früher beobachtet werden. Nachdem sich die Symptome des akuten Stadiums zurückgebildet haben, ist zur Konsolidierung der Wirkung eine gewisse Zeitspanne nötig. Die Behandlung einer Depression sollte deshalb mindestens 6 Monate andauern. Bei Patienten mit wiederkehrender Depression (unipolar) kann eine länger dauernde antidepressive Erhaltungstherapie notwendig sein, um das Auftreten neuer depressiver Episoden zu verhindern.
  • -Soziale Phobien:
  • -Die übliche Einzeldosierung beträgt 10 mg Escitax täglich.
  • -10 mg entsprechen:
  • -Filmtabletten 10 mg Filmtabletten 20 mg
  • +Selon la réponse individuelle du patient, la dose peut être augmentée à un maximum de 20 mg une fois par jour.
  • +L'effet antidépresseur n'intervient en général qu'après 2 à 4 semaines; il est toutefois possible que le délai d'action soit plus court. Après la régression des symptômes du stade aigu, un certain laps de temps est nécessaire pour consolider l'effet thérapeutique. C'est pourquoi le traitement d'une dépression devrait durer au moins 6 mois. Chez les patients souffrant de dépression récidivante (dépression unipolaire), un traitement d'entretien de plus longue durée peut s'avérer nécessaire afin d'éviter la survenue de nouveaux épisodes dépressifs.
  • +Phobies sociales:
  • +La dose unique usuelle d’Escitax s'élève à 10 mg par jour.
  • +10 mg correspondent à:
  • +Comprimés pelliculés 10 mg Comprimés pelliculés 20 mg
  • -In Abhängigkeit des individuellen Ansprechens kann nach 4 Wochen die Dosierung auf maximal 20 mg einmal täglich erhöht werden. Die Wirksamkeit wurde bis zu einer Behandlungsdauer von 36 Wochen belegt. Bei Nichtansprechen der Patienten nach 12 Wochen soll die Behandlung abgebrochen werden.
  • -Generalisierte Angststörungen:
  • -Die übliche Einzeldosierung beträgt 10 mg Escitax täglich.
  • -10 mg entsprechen:
  • -Filmtabletten 10 mg Filmtabletten 20 mg
  • +En fonction de la réponse individuelle du patient, la posologie peut être augmentée après 4 semaines à un maximum de 20 mg une fois par jour. L'efficacité d'emploi a été démontrée sur une durée de traitement allant jusqu'à 36 semaines. Interrompre le traitement si le patient ne répond pas au traitement après 12 semaines.
  • +Troubles anxieux généralisés:
  • +La dose unique usuelle d’Escitax s'élève à 10 mg par jour.
  • +10 mg correspondent à:
  • +Comprimés pelliculés 10 mg Comprimés pelliculés 20 mg
  • -In Abhängigkeit des individuellen Ansprechens kann die Dosierung auf maximal 20 mg einmal täglich erhöht werden.
  • -Die Langzeitbehandlung von Respondern wurde über mindestens 6 Monate untersucht und kann auf individueller Basis zur Rückfallsprävention in Betracht gezogen werden.
  • -Panik-Erkrankungen mit oder ohne Agoraphobie:
  • -Die empfohlene Anfangsdosis beträgt in der ersten Behandlungswoche 5 mg, dann wird auf 10 mg täglich gesteigert. Je nach Ansprechen des Patienten kann die Dosis bis auf maximal 20 mg täglich weiter erhöht werden.
  • -Zwangsstörungen:
  • -Die übliche Einzeldosierung beträgt 10 mg Escitax täglich.
  • -10 mg entsprechen:
  • -Filmtabletten 10 mg Filmtabletten 20 mg
  • +En fonction de la réponse individuelle du patient, la posologie peut être augmentée à un maximum de 20 mg une fois par jour.
  • +Le traitement à long terme des répondeurs a été étudié pendant 6 mois au moins et peut être individuellement pris en considération pour la prévention de rechute.
  • +Troubles paniques avec ou sans agoraphobie:
  • +La dose initiale recommandée dans la première semaine du traitement s'élève à 5 mg, elle est ensuite augmentée à 10 mg par jour. Selon la réponse individuelle du patient, la dose peut être augmentée à un maximum de 20 mg une fois par jour.
  • +Troubles obsessionnels compulsifs:
  • +La dose unique usuelle d’Escitax s'élève à 10 mg par jour.
  • +10 mg correspondent à:
  • +Comprimés pelliculés 10 mg Comprimés pelliculés 20 mg
  • -In Abhängigkeit des individuellen Ansprechens kann die Dosierung auf maximal 20 mg einmal täglich erhöht werden.
  • -Die Langzeitwirkung von Respondern (behandelt mit Escitalopram 10 oder 20 mg/Tag) wurde über mindestens 24 Wochen untersucht.
  • -Da es sich bei einer Zwangsstörung um eine chronische Erkrankung handelt, sollten Patienten mehrere Monate oder sogar noch länger behandelt werden, bis eine Symptomfreiheit sichergestellt ist.
  • -Die Notwendigkeit der Behandlung sowie die Dosierung sollten periodisch überprüft werden.
  • -Spezielle Dosierungsanweisungen
  • -Geriatrie (>65 Jahre)
  • -Die Dosis zu Behandlungsbeginn beträgt 5 mg einmal täglich. Je nach individuellem Ansprechen des Patienten kann die Dosis auf 10 mg täglich erhöht werden (siehe «Pharmakokinetik»). In der Indikation Zwangsstörungen wurden Patienten >60 Jahren kaum untersucht.
  • -Kinder und Jugendliche (<18 Jahre)
  • -Escitax sollte nicht in der Behandlung von Kindern und Jugendlichen unter 18 Jahren eingesetzt werden (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
  • -Leber-/Nierenkrankheiten
  • -Leberinsuffizienz: Als Initialdosis werden 5 mg täglich während den ersten 2 Wochen empfohlen.
  • -5 mg entsprechen:
  • -Filmtabletten 10 mg
  • +En fonction de la réponse individuelle du patient, la posologie peut être augmentée à un maximum de 20 mg une fois par jour.
  • +L'effet à long terme chez les répondeurs (traités par escitalopram 10 ou 20 mg/jour) a été étudié pendant au moins 24 semaines.
  • +Vu que les troubles obsessionnels compulsifs sont une maladie chronique, les patients doivent être traités pendant plusieurs mois, voire plus longtemps, jusqu'à ce que la disparition des symptômes soit assurée.
  • +Contrôler périodiquement la nécessité du traitement ainsi que la posologie.
  • +Instructions spéciales pour la posologie
  • +Gériatrie (>65 ans)
  • +La posologie initiale est 5 mg une fois par jour. En fonction de la réponse individuelle du patient, la posologie peut être augmentée à 10 mg une fois par jour (voir «Pharmacocinétique»). Les patients >60 ans n'ont presque pas fait l'objet d'études dans l'indication des troubles obsessionnels compulsifs.
  • +Enfants et adolescents (<18 ans)
  • +Escitax n'est pas recommandé chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections rénales/hépatiques
  • +Insuffisance hépatique: Une dose initiale de 5 mg par jour est recommandée pendant les deux premières semaines.
  • +5 mg correspondent à:
  • +Comprimés pelliculés 10 mg
  • -In Abhängigkeit des individuellen Ansprechens kann die Dosis auf 10 mg pro Tag erhöht werden (siehe «Pharmakokinetik»).
  • -Niereninsuffizienz: Bei Patienten mit geringer oder mässiger Niereninsuffizienz kann eine Dosisanpassung notwendig sein. Vorsicht ist geboten bei Patienten mit schwerer Niereninsuffizienz (Creatinin-Clearance weniger als 30 ml/min), (siehe «Pharmakokinetik»).
  • -Langsame Metabolisierer von CYP2C19
  • -Die Dosierung sollte vorsichtig erfolgen. Eine Initialdosis von 5 mg pro Tag während den ersten 2 Wochen wird empfohlen.
  • -5 mg entsprechen:
  • -Filmtabletten 10 mg
  • +En fonction de la réponse individuelle du patient, la dose peut être augmentée à 10 mg par jour (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Insuffisance rénale: Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale légère ou modérée, une adaptation posologique peut être nécessaire. La prudence est recommandée chez les patients atteints d'insuffisance rénale grave (clairance de créatinine inférieure à 30 ml/min), (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Métaboliseurs lents du CYP2C19
  • +Le dosage doit être prudent. Une dose initiale de 5 mg par jour est recommandée pendant les deux premières semaines.
  • +5 mg correspondent à:
  • +Comprimés pelliculés 10 mg
  • -In Abhängigkeit des individuellen Ansprechens kann die Dosis auf 10 mg pro Tag erhöht werden (siehe «Pharmakokinetik»).
  • -Absetzen der Therapie
  • -Ein plötzlicher Abbruch der Therapie sollte vermieden werden. Beim Absetzen der Behandlung mit Escitalopram sollte die Dosis über mindestens ein bis zwei Wochen schrittweise reduziert werden, um das Risiko von Absetzsymptomen zu verringern (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen» sowie «Unerwünschte Wirkungen»). Sollten während einer Dosisreduktion oder bei Beendigung der Behandlung Symptome auftreten, die nicht toleriert werden können, sollte erwogen werden, die ursprüngliche Dosierung erneut zu verordnen. Anschliessend kann der Arzt fortfahren, die Dosierung zu reduzieren, jedoch in kleineren Schritten.
  • -Korrekte Art der Anwendung
  • -Escitax Filmtabletten werden einmal pro Tag verabreicht und können unabhängig von der Nahrungsaufnahme eingenommen werden.
  • -Kontraindikationen
  • -·Überempfindlichkeit gegenüber Escitalopram oder gegenüber einem der Hilfsstoffe.
  • -·Gleichzeitige Verabreichung mit irreversiblen (nicht-selektiven oder selektiven) MAO-Hemmern (siehe «Interaktionen»).
  • -·Kombination mit reversiblen MAO-A Hemmern (z.B. Moclobemid) oder dem reversiblen, nicht-selektiven MAO-Hemmer Linezolid (siehe «Interaktionen»).
  • -·Gleichzeitige Verabreichung mit Pimozid (siehe «Interaktionen»).
  • -·Escitalopram ist kontraindiziert bei Patienten mit bekannter Verlängerung des QT-Intervalls oder angeborenem Long-QT-Syndrom.
  • -·Escitalopram ist kontraindiziert bei gleichzeitiger Anwendung von Arzneimitteln, für die bekannt ist, dass sie zu einer Verlängerung des QT-Intervalls führen (siehe «Interaktionen»).
  • -Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen
  • -Die folgenden Vorsichtsmassnahmen gelten für die ganze therapeutische Klasse der selektiven Serotonin-Wiederaufnahme-Hemmer (SSRIs).
  • -Kinder und Jugendliche:
  • -Escitax sollte nicht in der Behandlung von Kindern und Jugendlichen unter 18 Jahren eingesetzt werden. Eine Zunahme des Suizidverhaltens (Suizidversuche und Suizidgedanken) sowie feindseliges Verhalten (vor allem aggressives und oppositionelles Verhalten sowie Wutanfälle) sind in klinischen Studien mit Kindern und Jugendlichen häufiger unter Antidepressiva als unter Placebo beobachtet worden. Wenn eine antidepressive Behandlung als klinisch notwendig erachtet wird, sollte der Patient sorgfältig bezüglich suizidaler Symptome überwacht werden.
  • -Darüber hinaus fehlen Langzeitdaten zur Sicherheit bei Kindern und Jugendlichen in Bezug auf Wachstum, Reifung sowie kognitive Entwicklung und Verhaltensentwicklung.
  • -Suizidrisiko:
  • -Depressive Erkrankungen sind mit einem erhöhten Risiko für die Auslösung von Suizidgedanken, selbstschädigendem Verhalten und Suizid (suizidbezogene Ereignisse) verbunden. Dieses erhöhte Risiko besteht, bis es zu einer signifikanten Linderung der Symptome kommt. Da diese nicht unbedingt schon während der ersten Behandlungswochen auftritt, sollten die Patienten daher bis zum Eintritt einer Besserung engmaschig überwacht werden. Die bisherige klinische Erfahrung zeigt, dass das Suizidrisiko zu Beginn einer Behandlung ansteigen kann.
  • -Andere psychiatrische Erkrankungen, für die Escitax verschrieben wird, können ebenso mit einem erhöhten Risiko für suizidbezogene Ereignisse einhergehen. Zudem können diese Erkrankungen zusammen mit einer depressiven Erkrankung auftreten. Daher sollten bei Behandlung anderer psychiatrischer Erkrankungen die gleichen Vorsichtsmassnahmen eingehalten werden wie bei der Behandlung von depressiven Erkrankungen.
  • -Bei Patienten mit suizidalem Verhalten in der Anamnese oder solchen, die vor der Therapie ausgeprägte Suizidabsichten hatten, ist das Risiko für die Auslösung von Suizidgedanken oder –versuchen erhöht. Sie sollten daher während der Behandlung besonders sorgfältig überwacht werden.
  • -Eine Meta-Analyse von Placebo-kontrollierten klinischen Studien zur Anwendung von Antidepressiva bei Erwachsenen mit psychiatrischen Störungen zeigte für Patienten unter 25 Jahren, die Antidepressiva einnahmen, ein erhöhtes Risiko für suizidales Verhalten im Vergleich zu Placebo.
  • -Die Arzneimitteltherapie sollte mit einer engmaschigen Ãœberwachung der Patienten, vor allem der Patienten mit hohem Suizidrisiko, insbesondere zu Beginn der Behandlung und nach Dosisanpassungen einhergehen. Patienten und deren Betreuer sind auf die Notwendigkeit einer Ãœberwachung hinsichtlich jeder klinischen Verschlechterung, des Auftretens von suizidalem Verhalten oder Suizidgedanken und ungewöhnlicher Verhaltensänderungen hinzuweisen. Sie sollten unverzüglich medizinischen Rat einholen, wenn derartige Symptome auftreten.
  • -Vor allem zu Beginn der Therapie soll das Arzneimittel in der kleinsten angemessenen Packungsgrösse verschrieben werden, um das Risiko einer Selbstgefährdung zu vermindern.
  • -Paradoxe Angstsymptome:
  • -Bei einigen Patienten mit Panikstörung können zu Beginn der Behandlung mit Antidepressiva verstärkte Angstsymptome auftreten. Diese paradoxe Reaktion klingt jedoch meistens innerhalb von zwei Wochen weiterer Behandlung von selbst ab. Zur Verringerung der Wahrscheinlichkeit des Auftretens dieser paradoxen Angstsymptome wird eine niedrige Anfangsdosis empfohlen (siehe «Dosierung/Anwendung»).
  • -Akathisie/Psychomotorische Unruhe:
  • -Die Anwendung von SSRIs/SNRIs wurde mit der Entwicklung von psychomotorischer Unruhe oder einer Akathisie in Verbindung gebracht, die durch eine subjektiv unangenehme oder als quälend erlebte Ruhelosigkeit und einen Bewegungsdrang gekennzeichnet ist und oft einhergeht mit der Unfähigkeit, ruhig zu sitzen oder zu stehen. Das Auftreten ist in den ersten Wochen der Behandlung am wahrscheinlichsten. Bei Patienten, die diese Symptome entwickeln, kann eine Dosiserhöhung nachteilig sein.
  • -Krampfanfälle:
  • -Escitalopram sollte abgesetzt werden, wenn bei einem Patienten Krampfanfälle erstmals auftreten oder wenn die Häufigkeit von Krampfanfällen zunimmt (bei Patienten, bei denen bereits eine Epilepsie diagnostiziert wurde). SSRIs sollten bei Patienten mit instabiler Epilepsie nicht angewendet werden und Patienten mit kontrollierter Epilepsie sollten engmaschig überwacht werden.
  • +En fonction de la réponse individuelle du patient, la dose peut être augmentée à 10 mg par jour (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Interruption du traitement
  • +Un arrêt brutal doit être évité. Lors de l'arrêt du traitement par escitalopram, la posologie sera réduite progressivement sur une période d'au moins une à deux semaines afin de diminuer le risque de symptômes liés à l'arrêt du traitement (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Si des symptômes intolérables apparaissent après une diminution de la dose ou à l'arrêt du traitement, le retour à la dose précédemment prescrite doit être envisagé. Le médecin pourra ultérieurement reprendre la décroissance posologique, mais de façon plus progressive.
  • +Mode d'emploi correct
  • +Les comprimés pelliculés Escitax sont administrés une fois par jour et peuvent être pris indépendamment des repas.
  • +Contre-indications
  • +·Hypersensibilité à l'escitalopram ou à l'un des excipients (voir «Composition»).
  • +·L'administration simultanée d'inhibiteurs irréversibles (non sélectifs ou sélectifs) de la MAO (voir «Interactions»).
  • +·L'association d'inhibiteurs réversibles de la MAO-A (p. ex. du moclobémide) ou du linézolide, inhibiteur réversible et non-sélectif de la MAO (voir «Interactions»).
  • +·L'administration simultanée de pimozide (voir «Interactions»).
  • +·L'escitalopram est contre-indiqué chez les patients sujets à un allongement de l'intervalle QT connu ou à un syndrome du QT long congénital.
  • +··L'escitalopram est contre-indiqué lors d'utilisation simultanée de médicaments connus pour allonger l'intervalle QT (voir «Interactions»).
  • +Mises en garde et précautions
  • +Les précautions suivantes sont valables pour l'ensemble de la classe thérapeutique des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS).
  • +Enfants et adolescents:
  • +Escitax ne doit pas être utilisé pour traiter l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées chez l'enfant et l'adolescent, une augmentation du comportement suicidaire (tentatives de suicide et pensées suicidaires) ainsi qu'une attitude d'hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des crises de rage) ont été observées plus fréquemment sous traitement par des antidépresseurs que sous placebo. En cas de nécessité clinique d'un traitement antidépresseur, le patient doit être étroitement surveillé à la recherche de symptômes suicidaires.
  • +De plus, on ne dispose d’aucune donnée à long terme sur la sécurité chez l’enfant et l’adolescent concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
  • +Risque de suicide:
  • +Les troubles dépressifs sont associés à un risque accru d'idées suicidaires, d'auto-agression et de suicide (évènements de type suicidaire). Ce risque accru persiste jusqu'à l'apparition d'une rémission significative. L'amélioration clinique ne survenant pas forcément pendant les premières semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusqu'à l'obtention de cette amélioration. L'expérience clinique montre que le risque de suicide peut augmenter en début de traitement.
  • +Les autres troubles psychiatriques pour lesquels Escitax est prescrit peuvent également être associés à un risque accru d'évènements de type suicidaire. De plus, ces troubles peuvent être associés à une dépression. Les mêmes précautions d'emploi que celles mentionnées pour les patients souffrant de troubles dépressifs devront donc être appliquées aux patients présentant d'autres troubles psychiatriques.
  • +Les patients ayant des antécédents de comportement suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires prononcées avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé de développer des idées suicidaires ou de faire des tentatives de suicide. Ils doivent donc faire l'objet d'une surveillance particulièrement attentive pendant le traitement.
  • +Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés par placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo.
  • +Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque de suicide, devra accompagner le traitement médicamenteux, particulièrement en début de traitement et lors d'ajustements posologiques. Les patients et leur entourage doivent être avertis de la nécessité de surveiller toute aggravation clinique, l'apparition d'idées ou de comportements suicidaires ainsi que toute modification inhabituelle du comportement et de prendre immédiatement un avis médical si de tels symptômes surviennent.
  • +Principalement au début du traitement, il convient de prescrire le médicament dans le conditionnement adéquat le plus petit afin de réduire le risque d'atteinte à soi-même.
  • +Anxiété paradoxale:
  • +Certains patients souffrant de trouble panique peuvent présenter une exacerbation des symptômes anxieux en début de traitement par antidépresseur. Cette réaction paradoxale s’estompe généralement au cours des 2 premières semaines de traitement. Il est donc conseillé de débuter le traitement à faible dose afin de réduire le risque de survenue de cet effet anxiogène (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Acathésie/agitation psychomotrice:
  • +L'utilisation des ISRS/IRSN a été associée au développement d'une agitation psychomotrice ou d'une acathésie, caractérisée par une agitation ressentie comme désagréable ou pénible et un besoin de bouger souvent, ainsi que par une impossibilité à rester assis ou debout tranquillement. Ces troubles surviennent le plus souvent au cours des toutes premières semaines de traitement. Une augmentation de posologie peut être préjudiciable aux patients ayant développé ces symptômes.
  • +Crises convulsives:
  • +Escitalopram doit être interrompu si le patient présente des convulsions pour la première fois ou si la fréquence des convulsions augmente (pour des patients chez qui une épilepsie a été diagnostiquée précédemment). Les ISRS ne doivent pas être utilisés chez les patients présentant une épilepsie instable. Les patients présentant une épilepsie contrôlée doivent être suivis étroitement.
  • -SSRIs sollten nur mit Vorsicht angewendet werden bei Patienten mit Manien/Hypomanien in der Anamnese. Die Behandlung mit SSRIs sollte beim Eintreten einer manischen Phase abgesetzt werden.
  • -Diabetes:
  • -Die SSRIs können bei Diabetikern die Blutzuckerwerte verändern. Die Medikation bei Diabetespatienten wie Insulin und/oder orale Antidiabetika müssen in ihrer Dosierung gegebenenfalls angepasst werden.
  • -Hyponatriämie:
  • -Eine Hyponatriämie, die bei Einnahme von SSRIs beobachtet wird und wahrscheinlich durch eine inadäquate Sekretion des antidiuretischen Hormons bedingt ist, verschwindet üblicherweise nach Absetzen der Therapie. Offenbar sind gerade ältere Frauen besonders gefährdet, diese Nebenwirkung zu entwickeln. Vorsicht ist auch angebracht bei älteren Patienten, bei Patienten mit Zirrhose oder bei Patienten, welche gleichzeitig Arzneimittel einnehmen, die eine Hyponatriämie verursachen.
  • -¤morrhagie:
  • -Es liegen Berichte über verlängerte Blutungszeit und/oder hämorrhagische Manifestationen (z.B. Ekchymosen, gynäkologische Hämorrhagien, gastrointestinale Blutungen und andere Haut- und Schleimhautblutungen) unter SSRI-Therapie vor. Vorsicht ist geboten bei Patienten, die SSRIs einnehmen, insbesondere bei gleichzeitiger Einnahme mit oralen Antikoagulantien und mit Arzneimitteln, die bekanntermassen die Thrombozytenfunktion beeinträchtigen (z.B. Acetylsalicylsäure und nichtsteroidale Entzündungshemmer, Ticlopidin und Dipyridamol) sowie bei Patienten mit bekannter Blutungsneigung.
  • -Elektrokrampf-Therapie:
  • -Es sind erst wenige klinische Erfahrungen über die gleichzeitige Behandlung mit SSRIs und der Elektrokrampf-Therapie publiziert, es wird deshalb zu Vorsicht geraten.
  • -Serotonin-Syndrom:
  • -Vorsicht ist angebracht, wenn Escitax zusammen mit Arzneimitteln mit serotoninerger Wirkung wie Sumatriptan oder anderen Triptanen, Tramadol und Tryptophan verabreicht wird. Die gleichzeitige Einnahme von SSRIs mit serotoninergen Arzneimitteln kann zum Auftreten eines Serotonin-Syndroms führen. Die Kombination von Symptomen wie Agitation, Zittern, Myoclonus und Hyperthermie kann auf die Entwicklung eines Serotonin-Syndroms hinweisen. Beim Auftreten dieser Symptome müssen die SSRIs und die serotoninergen Arzneimittel sofort abgesetzt und eine symptomatische Therapie veranlasst werden.
  • +Les ISRS ne doivent être utilisés qu'avec prudence chez les patients avec antécédents de manie/hypomanie. Le traitement par ISRS doit être arrêté à l'apparition d'une phase de manie.
  • +Diabète:
  • +Les ISRS peuvent modifier le contrôle glycémique chez les diabétiques. La posologie des médicaments comme l'insuline et/ou les antidiabétiques oraux doit éventuellement être adaptée chez le diabétique.
  • +Hyponatrémie:
  • +Une hyponatrémie observée lors de la prise d'ISRS et probablement due à une sécrétion inappropriée de l'hormone antidiurétique, disparaît généralement à l'arrêt du traitement. Il semble que les femmes âgées soient particulièrement à risque de développer cet effet indésirable. La prudence est de mise chez les patients âgés, les patients cirrhotiques ou chez les patients prenant simultanément des médicaments susceptibles d'occasionner une hyponatrémie.
  • +©morragie:
  • +Il existe des rapports qui font état d'un allongement du temps de saignement et/ou de troubles hémorragiques (p.ex. ecchymoses, hémorragies gynécologiques, hémorragies gastro-intestinales et autres saignements cutanés et muqueux) sous thérapie aux ISRS. La prudence est recommandée chez les patients prenant des ISRS, en particulier lors d'une prise concomitante d'anticoagulants oraux et de médicaments inhibant l'agrégation plaquettaire (p. ex. l'acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la ticlopidine et le dipyridamol) ainsi que chez les patients avec antécédents de troubles hémorragiques.
  • +Thérapie électroconvulsive:
  • +Quelques rapports seulement ont été publiés au sujet de l'utilisation simultanée d'ISRS et d'une thérapie électroconvulsive en clinique. En conséquence, la prudence est recommandée.
  • +Syndrome sérotoninergique:
  • +La prudence est conseillée lorsqu’Escitax est administré en même temps que des médicaments à effet sérotoninergique comme le sumatriptan ou d'autres triptanes, le tramadol et le tryptophane. La prise simultanée d'ISRS et de médicaments sérotoninergiques peut déclencher l'apparition d'un syndrome sérotoninergique. L'association de symptômes tels que l'agitation, les tremblements, la myoclonie et l'hyperthermie peut indiquer le développement d'un syndrome sérotoninergique. Dès l'apparition de tels symptômes, il faut interrompre immédiatement la prise d'ISRS et de médicaments sérotoninergiques et procéder à un traitement symptomatique.
  • -Zwischen SSRIs und Johanniskraut-Präparaten (Hypericum perforatum) können Interaktionen auftreten, welche sich in einer Zunahme der unerwünschten Wirkungen äussern.
  • -Absetzsymptome/Beendigung der Behandlung:
  • -Beim Absetzen der Therapie mit Escitax muss die Dosis stufenweise über eine Zeitspanne von 1-2 Wochen reduziert werden, um Absetzsymptome zu vermeiden. Auch nach Abbruch der Behandlung müssen die Patienten gut überwacht werden wegen des Risikos eines Depressionsrückfalls (mit erneutem Potential für suizidales Verhalten) oder Absetzsymptomen (siehe «Dosierung/Anwendung» und «Unerwünschte Wirkungen»).
  • -Koronare Herzerkrankung:
  • -Aufgrund der begrenzten Erfahrung in klinischen Studien bei Patienten mit koronarer Herzerkrankung ist Vorsicht geboten.
  • -Verlängerung des QT-Intervalls:
  • -Es wurde gezeigt, dass Escitalopram eine dosisabhängige Verlängerung des QT-Intervalls verursachen kann. Seit der Markteinführung wurden Fälle von Verlängerung des QT-Intervalls und ventrikulären Arrhythmien, einschliesslich sehr seltener Fälle von Torsade de Pointes berichtet. Dies betraf überwiegend weibliche Patienten sowie Patienten mit Hypokaliämie, vorbestehender QT-Verlängerung oder anderen Herzerkrankungen (siehe «Kontraindikationen», «Interaktionen», «Unerwünschte Wirkungen», «Überdosierung» und «Eigenschaften/Wirkungen»).
  • -Vorsicht ist geboten bei Patienten mit ausgeprägter Bradykardie oder bei Patienten mit kurz zurückliegendem akutem Myokardinfarkt oder dekompensierter Herzinsuffizienz.
  • -Elektrolytstörungen wie Hypokaliämie und Hypomagnesiämie erhöhen das Risiko für maligne Arrhythmien und müssen korrigiert werden, bevor die Behandlung mit Escitalopram begonnen wird.
  • -Wenn Patienten mit klinisch stabilen Herzerkrankungen behandelt werden, sollte eine Ãœberprüfung des EKGs in Erwägung gezogen werden, bevor mit der Behandlung begonnen wird.
  • -Wenn während der Behandlung mit Escitalopram Anzeichen von Herzrhythmusstörungen auftreten, ist Escitalopram abzusetzen und ein EKG durchzuführen.
  • -Engwinkelglaukom:
  • -SSRIs einschliesslich Escitalopram können einen Einfluss auf die Pupillengrösse haben, der in einer Mydriasis resultiert. Vor allem bei prädisponierten Patienten kann dieser mydriatische Effekt zur Verengung des Augenwinkels führen, wodurch der Augeninnendruck steigen und sich ein Engwinkelglaukom entwickeln kann. Daher ist bei Patienten mit einem Engwinkelglaukom oder einem Glaukom in der Vorgeschichte Vorsicht geboten, wenn Escitalopram angewendet wird.
  • -Fertilität:
  • -Tierexperimentelle Studien zeigten, dass Citalopram die Spermienqualität beeinträchtigt (siehe «Präklinische Daten»).
  • -Fallberichte in Zusammenhang mit einigen SSRIs haben gezeigt, dass die Wirkung auf die Spermienqualität beim Menschen reversibel ist.
  • -Ein Einfluss auf die Fertilität beim Menschen wurde bislang nicht beobachtet.
  • -Interaktionen
  • -Pharmakodynamische Interaktionen
  • -Co-Administrationen welche kontraindiziert sind:
  • -Irreversible, nicht-selektive MAO-Hemmer:
  • -Schwere Reaktionen wurden beobachtet bei Patienten, welche SSRIs gleichzeitig mit irreversiblen, nicht-selektiven MAO-Hemmern eingenommen hatten und bei Patienten, welche nach Beendigung einer Therapie mit SSRIs umgehend eine Therapie mit MAO-Hemmern starteten. In einigen Fällen konnte ein hyperserotoninerger Zustand (Serotonin-Syndrom) beobachtet werden.
  • -Die Kombination von Escitalopram mit irreversiblen, nicht-selektiven MAO-Hemmern ist kontraindiziert. Eine Therapie mit Escitax sollte erst 14 Tage nach Abschluss einer Behandlung mit einem irreversiblen MAO-Hemmer begonnen werden. Eine Behandlung mit irreversiblen, nicht-selektiven MAO-Hemmern soll erst 7 Tage nach Absetzen einer Therapie mit Escitax begonnen werden.
  • -Reversible, selektive MAO-A-Hemmer (Moclobemid):
  • -Die gleichzeitige Anwendung von Escitalopram und einem MAO-A-Hemmer wie Moclobemid ist wegen des Risikos der Entwicklung eines Serotonin-Syndroms kontraindiziert. Wenn eine derartige Kombination unbedingt notwendig ist, muss mit der kleinsten empfohlenen Dosis begonnen werden und der Patient klinisch sehr genau überwacht werden.
  • -Ansonsten sollte eine Therapie mit Escitax frühestens 1 Tag nach Abschluss der Behandlung mit dem reversiblen, selektiven MAO-A-Hemmer Moclobemid begonnen werden.
  • -Reversible, nicht-selektive MAO-Hemmer (Linezolid):
  • -Das Antibiotikum Linezolid ist ein reversibler, nicht-selektiver MAO-Hemmer und sollte daher bei Patienten unter der Behandlung mit Escitalopram nicht angewendet werden.
  • -Wenn die Kombination unbedingt notwendig ist, sollte eine möglichst geringe Dosis verabreicht und der Patient klinisch sehr genau überwacht werden.
  • -Irreversible, selektive MAO-B-Hemmer (Selegilin):
  • -Wegen des Risikos eines Serotonin-Syndroms sollte keine Kombination von Escitax mit Selegilin (selektiver MAO-B-Hemmer) erfolgen. Die gleichzeitige Verabreichung von racemischem Citalopram mit Selegilin (bis zu 10 mg täglich) zeigte keine klinisch relevanten Interaktionen. Es liegen keine Langzeiterfahrungen über die gleichzeitige Verabreichung von Citalopram und Selegilin bei Parkinson-Patienten vor.
  • -Pimozid:
  • -Die gleichzeitige Verabreichung einer Einzeldosis von 2 mg Pimozid an Personen, welche während 11 Tagen mit 40 mg racemischem Citalopram pro Tag behandelt wurden, führte zu einem Anstieg der AUC und Cmax von Pimozid; dieser Anstieg wurde nicht durchgehend beobachtet. Bei gleichzeitiger Verabreichung von Pimozid und Citalopram wurde eine mittlere Verlängerung des QTc-Intervalls um ca. 10 msec beobachtet. Da die Interaktion bereits bei einer niedrigen Dosierung von Pimozid beobachtet wurde, ist die gleichzeitige Verabreichung von Escitalopram und Pimozid kontraindiziert.
  • -Verlängerung des QT-Intervalls:
  • -Es wurden keine pharmakokinetischen und pharmakodynamischen Studien zur Anwendung von Escitalopram zusammen mit anderen Arzneimitteln, die das QT-Intervall verlängern, durchgeführt. Ein additiver Effekt von Escitalopram und diesen Arzneimitteln kann nicht ausgeschlossen werden. Daher ist die Gabe von Escitalopram zusammen mit Arzneimitteln, die das QT-Intervall verlängern, wie z. B. Antiarrhythmika der Klasse IA und III, Antipsychotika (z. B. Phenothiazin-Derivate, Pimozid, Haloperidol), trizyklischen Antidepressiva, bestimmten antimikrobiellen Wirkstoffen (z. B. Moxifloxacin, Erythromycin IV, Pentamidin, Antimalaria-Mittel, insbesondere Halofantrin) sowie bestimmten Antihistaminika (Mizolastin) kontraindiziert.
  • -Co-Administrationen bei welchen Vorsicht angezeigt ist:
  • -Serotoninerge Substanzen:
  • -Die gleichzeitige Gabe von Substanzen wie Tramadol, Sumatriptan und anderen Triptanen kann zu einer Verstärkung der 5-HT-assoziierten Wirkungen führen. Bei gleichzeitiger Einnahme von Escitax und serotoninergen Substanzen ist deshalb Vorsicht geboten.
  • -Substanzen, welche die Krampfschwelle herabsetzen:
  • -SSRIs können die Krampfschwelle herabsetzen. Bei gleichzeitiger Verabreichung mit Arzneimitteln, welche ebenfalls die Krampfschwelle herabsetzen können, ist Vorsicht geboten.
  • -Lithium, Tryptophan:
  • -Bei gleichzeitiger Gabe von SSRIs mit Lithium oder Tryptophan konnte eine Wirkungsverstärkung beobachtet werden. Die gleichzeitige Einnahme hat deshalb mit Vorsicht zu erfolgen.
  • +Des interactions peuvent se manifester entre les ISRS et les produits à base de millepertuis (Hypericum perforatum), se traduisant par une augmentation des effets indésirables.
  • +Symptômes de sevrage/arrêt du traitement:
  • +L’arrêt du traitement par Escitax doit prévoir une réduction progressive de la dose sur une période de 1-2 semaines pour éviter l’apparition de symptômes de sevrage. Même après l’interruption du traitement, les patients doivent être étroitement surveillés, car un risque de rechute en dépression (accompagné à nouveau d’un potentiel suicidaire) ou de symptômes de sevrage existe (voir «Posologie/Mode d’emploi» et «Effets indésirables»).
  • +Cardiopathie coronarienne:
  • +Dû à l'expérience limitée lors des études cliniques avec des patients ayant une cardiopathie coronarienne, la prudence est conseillée.
  • +Allongement de l'intervalle QT:
  • +Il a été montré que l'escitalopram peut provoquer un allongement de l'intervalle QT dépendant de la dose. Depuis la commercialisation, des cas d'allongement de l'intervalle QT et d'arythmies ventriculaires, incluant de très rares cas de torsade de pointes ont été rapportés. Ceci concernait avant tout les femmes ainsi que des patients présentant une hypokalémie, un allongement QT préexistant, ou d'autres affections cardiaques (voir «Contre-indications», «Interactions», «Effets indésirables», «Surdosage» et «Propriétés/Effets»).
  • +La prudence est de mise pour les patients présentant une bradycardie prononcée ou chez les patients ayant souffert un infarctus du myocarde aigu récemment ou présentant une insuffisance cardiaque non compensée.
  • +Les troubles de l'équilibre des électrolytes comme l'hypokalémie ou l'hypomagnésémie augmentent le risque pour des arythmies malignes et doivent être corrigés avant le début du traitement avec l'escitalopram.
  • +Lors du traitement de patients avec des affections cardiaques stables, un contrôle de l'ECG devrait être pris en considération avant le début du traitement.
  • +L'escitalopram est à arrêter si des signes de troubles du rythme cardiaque se manifestent au cours du traitement, de plus il faudrait faire un ECG.
  • +Glaucome à angle fermé:
  • +Les ISRS dont l’escitalopram peuvent avoir un effet sur le diamètre de la pupille, entraînant une mydriase. Cet effet mydriatique peut réduire l’angle de l’oeil, conduisant à une augmentation de la pression intraoculaire et à un risque de glaucome à angle fermé, en particulier chez les patients prédisposés. L’escitalopram doit donc être utilisé avec précaution chez les patients ayant un glaucome à angle fermé ou des antécédents de glaucome.
  • +Fertilité:
  • +Des études chez l’animal ont montré que le citalopram affecte la qualité du sperme (voir «Données précliniques»).
  • +Des cas rapportés chez l’homme traité par ISRS ont montré que l’effet sur la qualité du sperme est réversible.
  • +Un impact sur la fertilité humaine n’a pas été observé à ce jour.
  • +Interactions
  • +Interactions pharmacodynamiques
  • +Co-administrations médicamenteuses contreindiquées:
  • +Inhibiteurs irréversibles et non-sélectifs de la MAO:
  • +De graves réactions ont été observées chez des patients qui avaient pris des ISRS en même temps que des inhibiteurs irréversibles et non sélectifs de la MAO et chez d'autres patients qui avaient commencé un traitement par inhibiteurs de la MAO immédiatement après l'arrêt d'un traitement par ISRS. Dans certains cas, une augmentation de l'activité sérotoninergique a été observée (syndrome sérotoninergique).
  • +L'association de l'escitalopram avec des inhibiteurs irréversibles non-sélectifs de la MAO est contre-indiquée. Un traitement par Escitax doit débuter au plus tôt 14 jours après l'arrêt d'un traitement par un inhibiteur irréversible de la MAO. Un traitement par des inhibiteurs irréversibles et non sélectifs de la MAO doit commencer au plus tôt 7 jours après l'arrêt d'un traitement par Escitax.
  • +Inhibiteurs sélectifs réversibles de la MAO-A (moclobémide):
  • +En raison du risque de développement d'un syndrome sérotoninergique, l'association de l'escitalopram avec un inhibiteur de la MAO-A (comme le moclobémide) est contre-indiquée. Si toutefois une association médicamenteuse de ce genre s'avère nécessaire, le traitement sera instauré avec la dose la plus faible. Une surveillance étroite du patient s'impose.
  • +Autrement une thérapie avec Escitax devrait être commencée au plus tôt 1 jour après l'arrêt du traitement par moclobémide, inhibiteur sélectif réversible de la MAO-A.
  • +Inhibiteurs réversibles et non-sélectifs de la MAO (linézolide):
  • +L'antibiotique linézolide est un inhibiteur réversible et non-sélectif de la MAO et ne devrait donc pas être appliqué chez des patients sous le traitement à l'escitalopram.
  • +Si la combinaison est absolument nécessaire, une dose aussi faible que possible devrait être donnée. Une surveillance clinique très étroite du patient s'impose.
  • +Inhibiteurs sélectifs irréversibles de la MAO-B (sélégiline):
  • +En raison du risque de syndrome sérotoninergique, aucune association d’Escitax avec la sélégiline (inhibiteur sélectif de la MAO-B) ne devrait avoir lieu. L'administration simultanée de citalopram racémique et de sélégiline (jusqu'à 10 mg par jour) n'a conduit à aucune interaction de pertinence clinique. Aucune expérience à long terme n'existe sur l'administration simultanée de citalopram et de sélégiline chez des patients parkinsoniens.
  • +Pimozide:
  • +L'administration concomitante d'une dose unique de 2 mg de pimozide à des personnes traitées pendant 11 jours par 40 mg par jour de citalopram racémique, a entraîné une augmentation de l'AUC et de la Cmax du pimozide; cette augmentation n'a pas été observée constamment. Lors de l'administration concomitante de pimozide et de citalopram, un allongement moyen de l'intervalle QTc d'environ 10 ms a été observé. Vu que cette interaction a été observée à une faible dose de pimozide déjà, l'administration concomitante d'escitalopram et de pimozide est contre-indiquée.
  • +Allongement de l'intervalle QT:
  • +Aucune étude de pharmacocinétique et pharmacodynamique n'a été effectuée sur l'utilisation de l'escitalopram simultanément avec d'autres médicaments allongeant l'intervalle QT.Un effet additif de l'escitalopram et de ces agents pharmaceutiques ne peut pas être exclu.C'est pourquoi l'administration d'escitalopram en combinaison avec des médicaments qui allongent l'intervalle QT, comme p. ex. les antiarythmiques de classe IA ou III, les antipsychotiques (p.ex. les dérivés de phénothiazine, le pimozide, l'halopéridol), les antidépresseurs tricycliques, certains agents antimicrobiens (p.ex. la moxifloxacine, l'érythromycine IV, la pentamidine, les substances antimalaria, en particulier l'halofantrine) ainsi que certains antihistaminiques (mizolastine) est contre-indiquée.
  • +Co-administrations médicamenteuses qui requièrent la prudence:
  • +Substances sérotoninergiques:
  • +L'administration simultanée de substances comme le tramadol, le sumatriptan et d'autres triptanes peut conduire à un renforcement de l'effet associé à la 5-HT. En conséquence, la prudence est recommandée lors de la prise simultanée d’Escitax et de substances sérotoninergiques.
  • +Substances qui abaissent le seuil de convulsion:
  • +Les ISRS peuvent abaisser le seuil de convulsion. La prudence est recommandée lors d'une administration simultanée avec des médicaments qui abaissent également le seuil de convulsion.
  • +Lithium, tryptophane:
  • +Un renforcement de l'effet a été observé lors de l'administration simultanée d'ISRS et de lithium ou de tryptophane. En conséquence, cette association doit être réalisée avec prudence.
  • -Zwischen SSRIs und Johanniskraut-Präparaten (Hypericum perforatum) können Interaktionen auftreten, welche sich in einer Zunahme der unerwünschten Wirkungen äussern.
  • -¤morrhagie:
  • -Bei gleichzeitiger Einnahme von SSRIs mit Antikoagulantien kann die Blutgerinnung beeinträchtigt sein. Bei Patienten, welche Antikoagulantien einnehmen, müssen zu Beginn und nach Beendigung einer Therapie mit Escitax die Koagulationsparameter überwacht werden.
  • -Alkohol:
  • -Eine Studie mit 12 Probanden zeigte, dass eine geringe Menge Alkohol (Einzeldosis) weder zu pharmakokinetischen noch zu pharmakodynamischen Interaktionen mit racemischem Citalopram führte.
  • -Pharmakokinetische Interaktionen
  • -Einfluss von anderen Arzneimitteln auf die Pharmakokinetik von Escitalopram:
  • -Der Metabolismus von Escitalopram wird hauptsächlich durch CYP2C19 vermittelt. CYP3A4 und CYP2D6 sind ebenfalls beteiligt, jedoch in geringerem Ausmass. Der Metabolismus des Hauptmetaboliten S-DCT (demethyliertes Escitalopram) scheint teilweise durch CYP2D6 katalysiert zu werden.
  • -Bei gleichzeitiger Verabreichung mit Arzneimitteln, welche CYP2C19 hemmen, können die Plasmaspiegel von Escitalopram erhöht sein. Vorsicht ist geboten bei gleichzeitiger Gabe mit beispielsweise Omeprazol. Eine Reduktion der Escitalopram-Dosis kann notwendig sein.
  • -Cimetidin:
  • -Die gleichzeitige Gabe von Escitalopram und Cimetidin (ein mässig starker allgemeiner Enzymhemmer) führte zu einer mässigen Erhöhung (ca. 70%) der Plasmakonzentrationen von Escitalopram. Vorsicht ist deshalb geboten im oberen Dosierungsbereich von Escitalopram bei gleichzeitiger Gabe mit Cimetidin. Eine Dosisanpassung kann erforderlich sein.
  • -Ritonavir, Ketoconazol:
  • -Die Pharmakokinetik von Escitalopram wird durch die gleichzeitige Gabe von Ritonavir (CYP3A4-Hemmer) oder Ketoconazol (starker CYP3A4-Hemmer) z.T. statistisch signifikant verändert (z.B. CIEscitalopram wird statistisch signifikant tiefer bei gleichzeitiger Gabe von Ketoconazol). Die klinische Relevanz dieser Beobachtung ist noch unklar.
  • -Wirkungen von Escitalopram auf die Pharmakokinetik anderer Arzneimittel:
  • -Escitalopram ist ein Inhibitor von CYP2D6. Vorsicht ist deshalb angebracht bei gleichzeitiger Verabreichung mit Arzneimitteln, die hauptsächlich durch dieses Enzym metabolisiert werden und über einen schmalen therapeutischen Index verfügen, wie Flecainid, Propafenon und Metoprolol (wenn bei Herzversagen eingesetzt). Eine Dosisanpassung kann notwendig sein.
  • -Die gleichzeitige Gabe von Escitalopram mit Metoprolol oder mit Desipramin führte in beiden Fällen zu einer Verdoppelung der Plasmaspiegel der beiden CYP2D6-Substrate.
  • -In vitro-Studien haben gezeigt, dass Escitalopram ein schwacher Inhibitor von CYP2C19 ist. Vorsicht ist deshalb geboten bei gleichzeitiger Verabreichung mit Arzneimitteln, die durch CYP2C19 metabolisiert werden.
  • -Verschiedene:
  • -Pharmakokinetische Interaktionsstudien mit racemischem Citalopram haben gezeigt, dass keine klinisch relevanten Interaktionen auftreten mit Carbamazepin, Triazolam (beide sind CYP3A4-Substrate), Theophyllin (CYP1A2-Substrat), Warfarin (CYP3A4- und CYP2C9-Substrat), Levomepromazin (CYP2D6-Inhibitor), Lithium und Digoxin.
  • -Aufgrund vereinzelter Spontanmeldungen (Post-Marketing Surveillance) über mögliche Interaktionen zwischen Warfarin und Escitalopram sollten Patienten unter Antikoagulantien zu Beginn einer Behandlung mit Escitalopram enger überwacht werden.
  • -Schwangerschaft/Stillzeit
  • -Schwangerschaft:
  • -Es liegen keine kontrollierten klinischen Daten zur Verabreichung von Escitax an schwangeren Frauen vor.
  • -Tierexperimentelle Untersuchungen ergaben eine Reproduktionstoxizität (siehe «Präklinische Daten»).
  • -Escitax sollte während der Schwangerschaft nur verabreicht werden, wenn es zwingend erforderlich ist.
  • -Neugeborene sollten beobachtet werden, wenn die Mutter bis in die spätere Schwangerschaft, vor allem im dritten Trimester, Escitalopram eingenommen hat. Wenn Escitalopram bis kurz vor der Geburt oder bis zur Geburt eingenommen wurde, können beim Neugeborenen folgende Absetzsymptome auftreten: Atemnot, Zyanose, Apnoe, Krampfanfälle, Temperaturschwankungen, Essstörungen, Erbrechen, Hypoglykämie, Tremor, abnormaler Muskeltonus, Hyperreflexie, Ãœberspanntheit, Reizbarkeit, Lethargie, anhaltendes Weinen, Somnolenz und Schlafstörungen. Diese Symptome können Absetzsymptome oder Anzeichen von übermässiger serotonerger Aktivität sein. Die Komplikationen treten in den meisten Fällen sofort oder bald (innerhalb von 24 Stunden) nach der Geburt auf.
  • -In einer Epidemiologiestudie wurde die Anwendung von SSRIs nach den ersten 20 Wochen der Schwangerschaft mit einem erhöhten Risiko für eine persistente pulmonale Hypertonie beim Neugeborenen (PPHN) in Zusammenhang gebracht. Dabei belief sich der Meldung zufolge das absolute Risiko bei den Frauen, welche SSRIs in der Spätphase der Schwangerschaft einnahmen, auf ungefähr 6 bis 12 Fälle pro 1000 Frauen im Vergleich zu 1 bis 2 Fällen pro 1000 Frauen in der allgemeinen Bevölkerung. Zurzeit liegen keine erhärteten Daten bezüglich des Risikos für PPHN nach Einnahme von SSRIs in der Schwangerschaft vor; dies ist die erste Studie, welche das potentielle Risiko untersucht hat. Die Studie umfasste jedoch nicht genügend Fälle von Einnahme einzelner SSRIs um festzustellen, ob alle SSRIs das gleiche Risiko für PPHN darstellen.
  • -Stillzeit:
  • -Kontrollierte Studien an stillenden Frauen liegen nicht vor. Es wird angenommen, dass Escitalopram in die Muttermilch übertritt.
  • -Falls eine Behandlung mit Escitax notwendig ist, soll abgestillt werden.
  • -Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen
  • -Escitalopram beeinträchtigt die intellektuelle Funktion und psychomotorische Leistung nicht. Trotzdem ist wie bei anderen psychoaktiven Arzneimitteln beim Lenken von Motorfahrzeugen und dem Bedienen von Maschinen Vorsicht geboten.
  • -Unerwünschte Wirkungen
  • -Unerwünschte Wirkungen treten meist in der ersten und zweiten Therapiewoche auf. Intensität und Häufigkeit der unerwünschten Wirkungen nehmen üblicherweise im Laufe der Behandlung ab und führen im Allgemeinen nicht zu einem Abbruch der Therapie.
  • -Das Absetzen von SSRIs/SNRIs (insbesondere plötzliches Absetzen) kann zu Absetzsymptomen führen. Die vorhandenen präklinischen und klinischen Daten lassen jedoch darauf schliessen, dass SSRIs keine Abhängigkeit verursachen.
  • -Die am häufigsten berichteten Reaktionen sind Schwindelgefühl, sensorische Störungen (einschliesslich Parästhesien und stromschlag-ähnlicher Empfindungen), Schlafstörungen (einschliesslich Schlaflosigkeit und intensiver Träume), Agitiertheit oder Angst, Ãœbelkeit und/oder Erbrechen, Tremor, Verwirrtheit, Schwitzen, Kopfschmerz, Diarrhoe, Palpitationen, emotionale Instabilität, Reizbarkeit und Sehstörungen.
  • -Im Allgemeinen sind diese Ereignisse leicht bis mittelschwer und vorübergehend, bei einigen Patienten können sie aber auch stark und/oder länger auftreten. Daher ist es ratsam, dass die Beendigung der Escitalopram-Therapie ausschleichend erfolgt, wenn die Behandlung nicht mehr erforderlich ist (siehe «Dosierung/Anwendung»).
  • -Unerwünschte Wirkungen bei einer Behandlung mit Escitalopram sind nachfolgend nach Systemorganklasse und Häufigkeit geordnet dargestellt. Unerwünschte Wirkungen, die in doppelblinden Placebo-kontrollierten Studien unter Escitalopram häufiger auftraten als unter Placebo sind mit Häufigkeitsangaben aufgeführt. Für Spontanmeldungen nach Markteinführung (Post-Marketing Daten) können keine Häufigkeiten berechnet werden. Folglich werden diese unerwünschten Wirkungen mit Häufigkeit unbekannt aufgeführt.
  • -sehr häufig: (≥1/10);
  • -häufig: (≥1/100, <1/10);
  • -gelegentlich: (≥1/1'000, <1/100);
  • -selten: (≥1/10'000, <1/1'000).
  • -Erkrankungen des Blut- und des Lymphsystems:
  • -·Häufigkeit unbekannt: Thrombozytopenie
  • -Erkrankungen des Immunsystems:
  • -·selten: anaphylaktische Reaktionen
  • -Endokrine Erkrankungen:
  • -·Häufigkeit unbekannt: gestörte ADH-Sekretion
  • -Stoffwechsel- und Ernährungsstörungen:
  • -·häufig: verminderter Appetit, gesteigerter Appetit, Gewichtszunahme
  • -·gelegentlich: Gewichtsabnahme
  • -·Häufigkeit unbekannt: Hyponatriämie, Anorexie1
  • -Psychiatrische Erkrankungen:
  • -·häufig: Angst, Unruhe, anormale Träume, Libidoverminderung, weibliche Anorgasmie
  • -·gelegentlich: nächtliches Zähneknirschen, Agitation, Nervosität, Panikattacken, Konfusion
  • -·selten: Aggression, Depersonalisation, Halluzinationen
  • -·Häufigkeit unbekannt: Manie, suizidale Gedanken, suizidales Verhalten²
  • -Erkrankungen des Nervensystems:
  • -·häufig: Schlaflosigkeit, Schläfrigkeit, Schwindel, Parästhesie, Zittern
  • -·gelegentlich: Geschmacksstörungen, Schlafstörungen, Synkope
  • -·selten: Serotonin-Syndrom
  • -·Häufigkeit unbekannt: Dyskinesien, Bewegungsstörungen, epileptische Anfälle, psychomotorische Unruhe/Akathisie1
  • -Augenerkrankungen:
  • -·gelegentlich: Mydriasis, Sehstörungen
  • -Erkrankungen des Ohrs und des Labyrinths:
  • -·gelegentlich: Tinnitus
  • -Herzerkrankungen:
  • -·gelegentlich: Tachykardie
  • -·selten: Bradykardie
  • -·Häufigkeit unbekannt: QT-Verlängerung im Elektrokardiogramm
  • -Seit der Markteinführung wurden Fälle von Verlängerung des QT-Intervalls und ventrikulären Arrhythmien, einschliesslich sehr seltener Fälle von Torsade de Pointes, berichtet. Dies betraf überwiegend weibliche Patienten sowie Patienten mit Hypokaliämie, vorbestehender QT-Verlängerung oder anderen Herzerkrankungen (siehe «Kontraindikationen», «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen», «Interaktionen», «Überdosierung», «Eigenschaften/Wirkungen»).
  • -Gefässerkrankungen:
  • -·Häufigkeit unbekannt: orthostatische Hypotension
  • -Erkrankungen der Atemwege, des Brustraums und Mediastinums:
  • -·häufig: Sinusitis, Gähnen
  • -·gelegentlich: Nasenbluten
  • -Erkrankungen des Gastrointestinaltrakts:
  • -·sehr häufig: Nausea (15%)
  • -·häufig: Durchfall, Verstopfung, Erbrechen, Mundtrockenheit
  • -·gelegentlich: gastrointestinale Blutungen (einschliesslich rektale Blutungen)
  • -Affektionen der Leber und Gallenblase:
  • -·Häufigkeit unbekannt: Hepatitis, abnormale Leberfunktionstests
  • -Erkrankungen der Haut und des Unterhautzellgewebes:
  • -·häufig: vermehrtes Schwitzen
  • -·gelegentlich: Urtikaria, Haarausfall, Ausschlag, Juckreiz
  • -·Häufigkeit unbekannt: Ekchymose, Angioödem
  • -Skelettmuskulatur-, Bindegewebs- und Knochenerkrankungen:
  • -·häufig: Arthralgie, Myalgie
  • -·Häufigkeit unbekannt: Rhabdomyolyse
  • -Erkrankungen der Nieren und Harnwege:
  • -·Häufigkeit unbekannt: Urinretention
  • -Erkrankungen der Geschlechtsorgane und der Brustdrüse:
  • -·häufig: Ejakulationsstörungen, Impotenz
  • -·gelegentlich: Metrorrhagie, Menorrhagie
  • -·Häufigkeit unbekannt: Galaktorrhoe, Priapismus
  • -Allgemeine Erkrankungen und Beschwerden am Verabreichungsort:
  • -·häufig: Müdigkeit, Fieber
  • -·gelegentlich: Ödeme
  • -1: Diese unerwünschten Wirkungen gelten für die Arzneimittelklasse der SSRIs.
  • -2: Fälle von suizidalen Gedanken oder suizidalem Verhalten während der Therapie mit Escitalopram oder kurze Zeit nach Beendigung der Behandlung sind berichtet worden (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
  • -Klasseneffekt
  • -In epidemiologischen Studien, welche hauptsächlich bei Patienten im Alter von 50 Jahren oder älter durchgeführt wurden, zeigte sich unter der Einnahme von SSRIs (selektive Serotonin-Wiederaufnahmehemmer) und TCAs (trizyklische Antidepressiva) ein erhöhtes Risiko von Knochenfrakturen. Der Mechanismus, der zu diesem Risiko führt, ist nicht bekannt.
  • -Ãœberdosierung
  • -Toxizität
  • -Zur Ãœberdosierung mit Escitalopram gibt es nur wenige klinische Daten und viele dieser Fälle beinhalten gleichzeitige Ãœberdosierungen anderer Arzneimittel. In der Mehrzahl der Fälle wurden leichte oder gar keine Symptome berichtet. Von Ãœberdosierungen ausschliesslich mit Escitalopram mit tödlichem Ausgang wurde selten berichtet; die Mehrzahl der Fälle ging einher mit Ãœberdosierungen von Begleitmedikationen. Dosierungen zwischen 400 und 800 mg Escitalopram ohne Begleitmedikation wurden ohne schwerwiegende Symptome eingenommen.
  • -Symptome
  • -Symptome, die nach einer Ãœberdosierung von Escitalopram berichtet wurden, sind hauptsächlich solche, die das zentrale Nervensystem betreffen (von Schwindel, Tremor und Agitiertheit bis zu seltenen Fällen eines Serotonin-Syndroms, Krämpfen und Koma), das gastrointestinale System (Ãœbelkeit/Erbrechen) und das Herz-Kreislauf-System (Hypotonie, Tachykardie, Verlängerung des QT-Intervalls und Arrhythmie) sowie den Elektrolyt-Haushalt (Hypokaliämie, Hyponatriämie).
  • -Massnahmen
  • -Ein spezifisches Antidot ist nicht bekannt. Die Luftwege sollten freigehalten werden, auf eine ausreichende Sauerstoffzufuhr und Atmung ist zu achten. Eine Magenspülung und der Einsatz von Aktivkohle sollten in Betracht gezogen werden. Die Magenspülung sollte nach oraler Einnahme so bald wie möglich durchgeführt werden. Empfohlen wird die Ãœberwachung der Herzfunktion mittels EKG-Monitoring und der Vitalzeichen zusammen mit allgemeinen unterstützenden symptomorientierten Massnahmen.
  • -Im Falle von Ãœberdosierung bei Patienten mit Herzinsuffizienz/Bradyarrhythmie, bei Patienten, die gleichzeitig Arzneimittel einnehmen, die das QT-Intervall verlängern, oder bei Patienten mit verändertem Stoffwechsel, z.B. Leberinsuffizienz, wird eine EKG-Ãœberwachung empfohlen.
  • -Eigenschaften/Wirkungen
  • -ATC-Code: N06AB10
  • -Wirkungsmechanismus
  • -Escitalopram ist ein selektiver Wiederaufnahmehemmer von Serotonin (5-HT). Es hat keine oder nur eine sehr geringe Affinität zu einer Reihe von anderen Rezeptoren, darunter 5-HT1A-, 5-HT2-, DA D1- und D2-Rezeptoren, sowie alpha1-, alpha2-, beta-Adrenorezeptoren, Histamin H1-Rezeptoren, cholinergen Rezeptoren vom Muskarin-Typ, Benzodiazepin- und Opioidrezeptoren.
  • -Die Hemmung der Serotonin-Wiederaufnahme ist wahrscheinlich der einzige Wirkmechanismus, der die pharmakologischen und klinischen Effekte von Escitalopram erklärt.
  • -Escitalopram hat eine hohe Affinität zur primären Bindungsstelle und einen regulierenden allosterischen Effekt auf den Serotonin Transporter.
  • -Escitalopram ist das S-Enantiomer des Razemates (Citalopram) und dasjenige Enantiomer, welchem die therapeutische Wirksamkeit zugesprochen wird. Pharmakologische Studien haben gezeigt, dass das R-Enantiomer nicht inaktiv ist, sondern der Serotonin-Anreicherung und den daraus folgenden pharmakologischen Eigenschaften des S-Enantiomers entgegenwirkt.
  • -Klinische Wirksamkeit
  • -Wirksamkeit bei Depressionen:
  • -In doppelblinden, Placebo-kontrollierten Studien zeigte Escitalopram im Vergleich zu Placebo ab der 2. Therapiewoche eine signifikant schnellere Abnahme der Punktezahl auf der MADRS Skala (Montgomery & Asberg Depression Rating Scale). Die Globalbeurteilung nach CGI-I (Clinical Global Impression – Improvement Items) zeigte bereits nach der ersten Therapiewoche unter Escitalopram einen statistisch signifikanten Unterschied zu Placebo. Diese schnellen Veränderungen konnten mit racemischem Citalopram in diesen Studien nicht gezeigt werden.
  • -Wirksamkeit bei Angstsymptomen assoziiert mit Depressionen:
  • -In doppelblinden, Placebo-kontrollierten Studien konnte gezeigt werden, dass Escitalopram zu einer stärkeren Abnahme der Punktezahl auf der MADRS Angst-Beurteilungsskala (innere Spannung, Schlafstörungen) führte als Placebo. Die Resultate einer weiteren doppelblinden, Placebo-kontrollierten Studie zeigten die überlegene Wirksamkeit von Escitalopram gegenüber Placebo auf der Hamilton-Angst-Skala (HAMA) und auf der Hamilton-Depression-Skala (HAMD).
  • -Escitalopram zeigt keinen klinisch signifikanten Einfluss auf Vitalfunktionen, EKG oder Laborparameter bei Probanden und Patienten.
  • -Wirksamkeit bei sozialen Phobien:
  • -Bei Patienten mit sozialen Phobien (in drei von drei Studien) war Escitalopram sowohl nach Kurzzeit- (8 bis 12 Wochen) wie auch nach Langzeit-Behandlung (bis zu 9 Monaten) wirksam.
  • -Wirksamkeit bei generalisierten Angststörungen:
  • -Escitalopram 10 und 20 mg/Tag war wirksam in vier von vier Placebo-kontrollierten Studien. 5 mg war nicht wirksam.
  • -Die gepoolten Daten von drei Studien mit ähnlichem Design an insgesamt 421 Escitalopram- bzw. 419 Placebo-behandelten Patienten ergab eine Responderrate von 47.5% (Escitalopram) bzw. 28.9% (Placebo) und eine Remission von 37.1% (Escitalopram) bzw. 20.8% (Placebo). Eine anhaltende Wirkung wurde nach einer Woche beobachtet.
  • -Escitalopram 20 mg/Tag reduzierte das Rückfallrisiko signifikant in einer 24 bis 76 Wochen dauernden Studie bei 375 Patienten, die in einer offenen 12 Wochen dauernden initialen Phase auf die Therapie angesprochen hatten.
  • -Wirksamkeit bei Panik-Erkrankungen:
  • -Die Wirksamkeit von Escitalopram wurde in einer 10 Wochen dauernden Placebo-kontrollierten Studie mit flexibler Dosierung von Escitalopram 5-20 mg pro Tag und dem racemischen Citalopram 10-40 mg pro Tag belegt.
  • -Die Studie zeigte eine überlegene Wirksamkeit von Escitalopram gegenüber Placebo in Messungen der Häufigkeit der Panikattacken, des Schweregrades, der Dauer und der Begleitsymptome der Panik-Erkrankung.
  • -Wirksamkeit bei Zwangsstörungen:
  • -In einer randomisierten, doppelblinden klinischen Studie führte Escitalopram 20 mg/Tag im Vergleich zu Placebo nach 12 Wochen zu einer stärkeren Reduktion der Punktezahl bei folgenden Skalen: Y-BOCS (Yale-Brown Obsessive Compulsive Scale) Gesamtscore (durchschnittl. Unterschied: 3.21 Punkte), Y-BOCS Subskalen Zwangsvorstellungen/Rituale und NIMH-OCS (National Institute of Mental Health Obsessive Compulsive Scale) Gesamt-Score. Escitalopram 10 mg/Tag unterschied sich auf der Y-BOCS Gesamtscore nach 12 Wochen numerisch von Placebo (durchschnittl. Unterschied: 1.97 Punkte), nicht aber statistisch signifikant (p= 0.052).
  • -Nach 24 Wochen waren beide Dosen, also sowohl 10 mg (durchschnittl. Unterschied: 2.56 Punkte) als auch 20 mg (durchschnittl. Unterschied: 3.55 Punkte) Escitalopram/Tag, gegenüber Placebo in den statistischen Analysen überlegen (gemessen anhand des Primärparameters Y-BOCS Gesamtscore sowie in den Y-BOCS Subskalen Zwangsvorstellungen/Rituale und NIMH-OCS Gesamt-Score).
  • -Die nachfolgende Tabelle zeigt den Anteil der Patienten (in %) aus der oben beschriebenen Studie (auch für mitgeführte aktive Kontrolle) mit einer Response oder einer Remission (Placebo, Paroxetin sowie Escitalopram) nach 24 Wochen:
  • -Kriterien Placebo Paroxetin Escitalopram
  • +Des interactions peuvent se manifester entre les ISRS et les produits à base de millepertuis (Hypericum perforatum), se traduisant par une augmentation des effets indésirables.
  • +©morragie:
  • +La prise simultanée d'ISRS et d'anticoagulants peut entraver la coagulation sanguine. Chez les patients qui prennent des anticoagulants, les paramètres de coagulation doivent être surveillés au début et à la fin d'un traitement par Escitax.
  • +Alcool:
  • +Une étude réalisée chez 12 volontaires a montré qu'une faible quantité d'alcool (prise unique) ne conduisait à aucune interaction ni pharmacocinétique ni pharmacodynamique avec le citalopram racémique.
  • +Interactions pharmacocinétiques
  • +Effets d'autres médicaments sur la pharmacocinétique de l'escitalopram:
  • +Le métabolisme de l'escitalopram passe essentiellement par le CYP2C19. Les CYP3A4 et CYP2D6 sont également impliqués, mais dans une moindre mesure. Le métabolisme du métabolite principal S-DCT (escitalopram déméthylé) semble être catalysé en partie par le CYP2D6.
  • +L'administration simultanée de médicaments inhibant le CYP2C19 peut entraîner une augmentation du taux plasmatique d'escitalopram. La prudence est recommandée en cas d'administration simultanée avec par ex. l'oméprazole. Une réduction de la dose d'escitalopram peut s'avérer nécessaire.
  • +Cimétidine:
  • +L'administration concomitante d'escitalopram avec de la cimétidine (inhibiteur enzymatique non spécifique moyennement puissant) a montré une augmentation modérée (d'environ 70%) des concentrations plasmatiques de l'escitalopram. En conséquence, lors de l'administration simultanée de cimétidine, la prudence est recommandée dans le domaine posologique supérieur de l'escitalopram. Une adaptation posologique peut être nécessaire.
  • +Ritonavir, kétoconazole:
  • +La pharmacocinétique de l'escitalopram subit des modifications parfois statistiquement significatives lors de l'administration simultanée de Ritonavir (inhibiteur du CYP3A4) ou de kétoconazole (inhibiteur puissant du CYP3A4) (p.ex. la Clescitalopram diminue de manière statistiquement significative lors de l'administration simultanée de kétoconazole). La pertinence clinique de cette observation est encore incertaine.
  • +Effets de l’escitalopram sur la pharmacocinétique d'autres médicaments:
  • +L'escitalopram est un inhibiteur du CYP2D6. En conséquence, la prudence est recommandée lors d'une administration simultanée avec des médicaments principalement métabolisés par cette enzyme et dont l'index thérapeutique est étroit, comme la flécaïnide, la propafénone et le métoprolol (lorsqu'il est administré dans la défaillance cardiaque). Une adaptation posologique peut s'avérer nécessaire.
  • +L'administration simultanée d'escitalopram et de métoprolol ou de désipramine a conduit dans les deux cas à un doublement du taux plasmatique des deux substrats du CYP2D6.
  • +Des études in vitro ont démontré que l'escitalopram est un faible inhibiteur du CYP2C19. En conséquence, la prudence est recommandée lors de l'administration simultanée de médicaments qui sont métabolisés par le CYP2C19.
  • +Divers:
  • +Des études d'interactions pharmacocinétiques avec le citalopram racémique ont montré qu'aucune interaction de pertinence clinique n'existe ni avec la carbamazépine, le triazolam (tous deux sont des substrats du CYP3A4), la théophylline (substrat du CYP1A2), la warfarine (substrat des CYP3A4 et CYP2C9), la lévomépromazine (inhibiteur du CYP2D6), le lithium et la digoxine.
  • +En raison de quelques rapports spontanés isolés (surveillance post-marketing) évoquant une interaction possible entre la warfarine et l'escitalopram, les patients sous anticoagulants doivent être plus étroitement surveillés au début d'un traitement par escitalopram.
  • +Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse:
  • +Aucune donnée clinique contrôlée n'est disponible concernant l'administration d’Escitax chez la femme enceinte.
  • +Des études chez l’animal ont montré une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»).
  • +Escitax sera utilisé pendant la grossesse uniquement en cas de nécessité absolue.
  • +Les nouveau-nés doivent être surveillés si la mère a poursuivi escitalopram en fin de grossesse, particulièrement pendant le troisième trimestre. Les symptômes de sevrage suivants peuvent survenir chez le nouveau-né après prise maternelle d'escitalopram jusqu'à peu avant la naissance ou jusqu'à la naissance: détresse respiratoire, cyanose, apnée, convulsions, température instable, difficultés à s'alimenter, vomissements, hypoglycémie, tremblements, tonus musculaire anormal, hyperréflexie, surexcitation, irritabilité, léthargie, pleurs persistants, somnolence et troubles du sommeil. Ces symptômes peuvent être des symptômes de sevrage ou être dus à une activité sérotoninergique trop élevée. Dans la majorité des cas, les complications débutent immédiatement ou très rapidement (en l'espace de 24 heures) après la naissance.
  • +Dans une étude épidémiologique, l'emploi des ISRS après les 20 premières semaines de grossesse était associé à un risque plus élevé d'hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né (HPPN). Le risque absolu parmi les femmes ayant pris des ISRS en fin de grossesse s'élevait à environ 6 à 12 cas pour 1000 femmes par rapport à 1 à 2 cas pour 1000 femmes dans la population générale. On ne dispose actuellement d'aucune donnée confirmée relative au risque d'HTAPPN après la prise des ISRS pendant la grossesse; il s'agit de la première étude à avoir étudié ce risque potentiel. L'étude n'incluait cependant pas suffisamment de cas avec les différents ISRS pour déterminer si tous les ISRS présentaient le même risque d'HPPN.
  • +Allaitement:
  • +Aucune étude contrôlée n'est disponible chez la femme en période d'allaitement. On suppose que l'escitalopram passe dans le lait maternel.
  • +Le sevrage s'impose si un traitement par Escitax s'avère nécessaire.
  • +Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines
  • +L'escitalopram n'entrave ni les fonctions intellectuelles ni les capacités motrices. Toutefois, comme pour d'autres médicaments psycho-actifs, la prudence est recommandée lors de la conduite d'un véhicule ou du maniement de machines.
  • +Effets indésirables
  • +Les effets indésirables apparaissent généralement au cours des première et deuxième semaines de traitement. L'intensité et la fréquence des effets secondaires diminuent habituellement avec la poursuite du traitement et ils ne conduisent normalement pas à l'arrêt du traitement.
  • +L'arrêt du traitement par ISRS/IRSN (particulièrement lorsqu'il est brutal) conduit habituellement à la survenue de symptômes de sevrage. Néanmoins, les données précliniques et cliniques existantes permettent de déduire que les ISRS n'entraînent pas de pharmacodépendance.
  • +Les réactions les plus fréquemment rapportées sont les suivantes: sensations vertigineuses, troubles sensoriels (incluant paresthésies et sensations de choc électrique), troubles du sommeil (incluant insomnie et rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées et/ou vomissements, tremblements, confusion, sudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels.
  • +Généralement, ces événements sont d'intensité légère à modérée et sont spontanément résolutifs, néanmoins, ils peuvent être d'intensité sévère et/ou se prolonger chez certains patients. Il est donc conseillé lorsqu'un traitement par escitalopram n'est plus nécessaire, de diminuer progressivement les doses (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Les effets indésirables du traitement avec l'escitalopram sont présentés ordonnés selon la classe systémique d'organes et la fréquence. Les effets secondaires qui se sont manifestés plus fréquemment sous escitalopram que sous placebo lors d'études en double aveugle sont accompagnés d'indications sur leur fréquence. Pour les annonces spontanées après commercialisation (données post-marketing), il n'est pas possible de calculer les fréquences. C'est pourquoi ces effets indésirables sont listés avec l'indication fréquence indéterminée.
  • +très fréquent: (≥1/10);
  • +fréquent: (≥1/100, <1/10);
  • +occasionnel: (≥1/1'000, <1/100);
  • +rare: (≥1/10'000, <1/1'000).
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique:
  • +·fréquence indéterminée: thrombocytopénie
  • +Affections du système immunitaire:
  • +·rare: réactions anaphylactiques
  • +Affections endocriniennes:
  • +·fréquence indéterminée: sécrétion inappropriée d'ADH
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition:
  • +·fréquent: baisse de l'appétit, augmentation de l'appétit, prise de poids
  • +·occasionnel: perte de poids
  • +·fréquence indéterminée: hyponatrémie, anorexie1
  • +Affections psychiatriques:
  • +·fréquent: anxiété, inquiétude, rêves anormaux, diminution de la libido, anorgasmie chez la femme
  • +·occasionnel: bruxisme, agitation, nervosité, attaques de panique, état confusionnel
  • +·rare: agressivité, dépersonnalisation, hallucinations
  • +·fréquence indéterminée: manie, idées suicidaires, comportement suicidaire²
  • +Affections du système nerveux:
  • +·fréquent: insomnie, somnolence, vertige, paresthésies, tremblements
  • +·occasionnel: dysgueusie, troubles du sommeil, syncope
  • +·rare: syndrome sérotoninergique
  • +·fréquence indéterminée: dyskinésies, troubles du mouvement, crises épileptiques, agitation psychomotrice/acathésie1
  • +Affections oculaires:
  • +·occasionnel: mydriase, troubles visuels
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe:
  • +·occasionnel: acouphènes
  • +Affections cardiaques:
  • +·occasionnel: tachycardie
  • +·rare: bradycardie
  • +·fréquence indéterminée: allongement de l'intervalle QT à l'électrocardiogramme
  • +Des cas d'allongement de l'intervalle QT et d'arythmies ventriculaires, incluant de très rares cas de torsade de pointes, ont été rapportés depuis la commercialisation. Ceci concernait avant tout les femmes ainsi que des patients présentant une hypokalémie, un allongement QT préexistant, ou d'autres affections cardiaques (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions», «Interactions», «Surdosage» et «Propriétés/Effets»).
  • +Affections vasculaires:
  • +·fréquence indéterminée: hypotension orthostatique
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales:
  • +·fréquent: sinusite, bâillements
  • +·occasionnel: épistaxis
  • +Affections gastrointestinales:
  • +·très fréquent: nausées (15%)
  • +·fréquent: diarrhées, constipation, vomissements, sécheresse buccale
  • +·occasionnel: hémorragies gastro-intestinales (incluant des rectorragies)
  • +Affections hépatobiliaires:
  • +·fréquence indéterminée: hépatite, tests hépatiques anormaux
  • +Affections de la peau et du tissu souscutané:
  • +·fréquent: sudation accrue
  • +·occasionnel: urticaire, alopécie, éruption cutanée, prurit
  • +·fréquence indéterminée: ecchymose, angioedème
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif:
  • +·fréquent: arthralgie, myalgie
  • +·fréquence indéterminée: rhabdomyolyse
  • +Affections du rein et des voies urinaires:
  • +·fréquence indéterminée: rétention urinaire
  • +Affections des organes de reproduction et du sein:
  • +·fréquent: troubles de l'éjaculation, impuissance
  • +·occasionnel: métrorragie, ménorragie
  • +·fréquence indéterminée: galactorrhée, priapisme
  • +Troubles généraux et anomalie au site d'administration:
  • +·fréquent: fatigue, fièvre
  • +·occasionnel: oedème
  • +1: Ces effets indésirables sont valables pour toute la classe thérapeutique des ISRS.
  • +2: Des cas d’idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par escitalopram ou peu après son arrêt (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Effet de classe
  • +Des études épidémiologiques incluant essentiellement des patients âgés de 50 ans ou plus ont révélé un risque accru de fractures sous ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) et sous ATC (antidépresseurs tricycliques). Le mécanisme à l'origine de ce risque est inconnu.
  • +Surdosage
  • +Toxicité
  • +Les données sur le surdosage en escitalopram sont peu nombreuses et comprennent souvent un surdosage concomitant en plusieurs médicaments. Dans la majorité des cas, peu de symptômes ont été rapportés voire aucun. Des cas mortels de surdosage en escitalopram seul ont rarement été rapportés; la majorité des cas comprenait un surdosage concomitant en plusieurs médicaments. Des doses d'escitalopram seul comprises entre 400 et 800 mg ont été prises sans qu'aucun symptôme sévère n'apparaisse.
  • +Symptômes
  • +Les symptômes rapportés en cas de surdosage avec l'escitalopram concernent principalement le système nerveux central (allant de vertiges, tremblements et agitation, à de rares cas de syndrome sérotoninergique, convulsions et coma), le système gastro-intestinal (nausées/vomissements) et le système cardiovasculaire (hypotension, tachycardie, allongement du QT et arythmie) et l'équilibre hydro-électrolytique (hypokaliémie, hyponatrémie).
  • +Traitement
  • +Un antidote spécifique n'est pas connu. Il faut libérer les voies aériennes et les garder dégagées, assurer une oxygénation et une ventilation adéquates. Le lavage gastrique et l'administration de charbon activé doivent être envisagés. Le lavage gastrique doit être effectué dès que possible après ingestion du médicament. La surveillance de la fonction cardiaque par ECG et des signes vitaux en combinaison avec les mesures de soutien générales orientées aux symptômes est conseillée.
  • +En cas de surdosage chez les patients avec une insuffisance cardiaque/une bradyarythmie, chez les patients qui prennent simultanément des médicaments ayant un effet allongeant l'intervalle QT ou chez les patients ayant un métabolisme altéré, comme une insuffisance hépatique, une surveillance de l'ECG est recommandée.
  • +Propriétés/Effets
  • +Code ATC: N06AB10
  • +Mécanisme d'action
  • +L'escitalopram est un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (5-HT). Il possède une affinité nulle ou très faible pour beaucoup d'autres récepteurs, parmi lesquels les récepteurs 5-HT1A, 5-HT2, DA D1 et D2 ainsi que les récepteurs adrénergiques alpha1, alpha2, bêta, les récepteurs histaminergiques H1, les récepteurs cholinergiques muscariniques, les récepteurs des benzodiazépines et des opiacés.
  • +L'inhibition de la recapture de la sérotonine est probablement le seul mécanisme d'action qui explique les effets pharmacologiques et cliniques de l'escitalopram.
  • +L'escitalopram possède une haute affinité pour le site primaire de liaison et a un effet régulateur allostérique sur le transporteur de la sérotonine.
  • +L'escitalopram est l'énantiomère S du racémate (citalopram) et l'énantiomère auquel revient l'efficacité thérapeutique. Les études pharmacologiques ont montré que l'énantiomère R n'est pas inactif, mais qu'il s'oppose à l'enrichissement de la sérotonine et donc aux propriétés pharmacologiques inhérentes à l'énantiomère S.
  • +Efficacité clinique
  • +Efficacité lors de dépressions:
  • +Dans les essais cliniques en double aveugle et contrôlés par placebo, l'escitalopram a conduit dès la 2ème semaine de traitement à une baisse significativement plus rapide du score sur l'échelle MADRS (Montgomery & Asberg Depression Rating Scale), comparé au placebo. L'appréciation globale selon le CGI-I (Clinical Global Impression - Improvement Items) a montré dès la première semaine de traitement par escitalopram des différences statistiquement significatives par rapport au placebo. Ces modifications rapides n'ont pas pu être démontrées avec le citalopram racémique lors de ces essais.
  • +Efficacité lors de symptômes anxieux associés à la dépression:
  • +Des essais cliniques menés en double aveugle et contrôlés par placebo ont montré que l'escitalopram conduit à une baisse plus importante du score sur l'échelle d'évaluation de l'anxiété MADRS (tension intérieure, troubles du sommeil) que le placebo. Les résultats d'un autre essai clinique en double aveugle et contrôlé par placebo ont montré l'efficacité supérieure de l'escitalopram par rapport au placebo sur l'échelle Hamilton de l'anxiété (HAMA) et sur l'échelle Hamilton de la dépression (HAMD).
  • +L'escitalopram n'a provoqué aucun effet cliniquement significatif sur les fonctions vitales, l'ECG ou les paramètres de laboratoire, que ce soit chez les volontaires sains ou chez les patients.
  • +Efficacité lors de phobies sociales:
  • +Chez les patients atteints de phobies sociales (dans trois études sur trois), l'escitalopram était efficace aussi bien dans les traitements à court terme (8 à 12 semaines) que dans les traitements à long terme (jusqu'à 9 mois).
  • +Efficacité lors de troubles anxieux généralisés:
  • +L'escitalopram dosé à 10 et 20 mg par jour était efficace dans 4 études contrôlées par placebo sur 4. Le dosage de 5 mg n'était pas efficace.
  • +Les données cumulées de trois études de protocole similaire, menées chez un total de 421 patients traités par l'escitalopram et de 419 patients traités par placebo ont mis en évidence un taux de répondeurs de 47.5% (escitalopram) et de 28.9% (placebo) et une rémission de 37.1% (escitalopram) et de 20.8% (placebo). La persistance de l'effet a été observée après une semaine.
  • +Dans une étude d'une durée allant de 24 à 76 semaines, l'escitalopram dosé à 20 mg par jour a significativement réduit le risque de rechute chez 375 patients qui avaient répondu au traitement dans une phase initiale ouverte d'une durée de 12 semaines.
  • +Efficacité lors de troubles paniques:
  • +L'efficacité de l'escitalopram a été démontrée lors d'une étude contrôlée par placebo d'une durée de 10 semaines avec un dosage flexible d'escitalopram 5-20 mg par jour et le citalopram racémique 10-40 mg par jour.
  • +L'étude a démontré une efficacité supérieure de l'escitalopram par rapport au placebo lors de relevés des fréquences des attaques paniques, du degré de sévérité, de la durée et des symptômes accompagnant les troubles paniques.
  • +Efficacité lors de troubles obsessionnels compulsifs:
  • +Une étude clinique randomisée, en double aveugle a montré que l'escitalopram 20 mg par jour provoque une plus grande réduction du score après 12 semaines sur les échelles suivantes par rapport au placebo: Y-BOCS (Yale-Brown Obsessive Compulsive Scale) score global (différence moyenne: 3.21 points), Y-BOCS sous-échelle obsessions/rituels et NIMH-OCS (National Institute of Mental Health Obsessive Compulsive Scale) score global. Le résultat obtenu avec l'escitalopram 10 mg par jour sur le score global de l'échelle Y-BOCS après 12 semaines était numériquement différent du placebo (différence moyenne: 1.97 points), mais n'atteignait pas la signifiance statistique (p= 0.052).
  • +Après 24 semaines, les deux doses, soit celle de 10 mg (différence moyenne: 2.56 points) et celle de 20 mg (différence moyenne: 3.55 points) d'escitalopram par jour, étaient supérieures au placebo dans les analyses statistiques (évaluation du critère primaire score global de l'échelle Y-BOCS ainsi que les sous-échelles obsessions/rituels de Y-BOCS et le score global de NIMH-OCS).
  • +Le tableau suivant montre le pourcentage des patients (%) de l'étude décrite plus haut (y compris les contrôles actifs) ayant montré une réponse ou une rémission après 24 semaines (placebo, paroxétine ainsi qu'escitalopram):
  • +Critères Placebo Paroxétine Escitalopram
  • -Responders
  • -Y-BOCS ≥25% Reduction (vordefiniert) 50.4 67.2* 63.4 70.2**
  • -Y-BOCS ≥30% Reduction (vordefiniert) 44.2 60.3* 59.8* 62.3*
  • -Y-BOCS ≥35% Reduction (vordefiniert) 38.1 53.4* 54.5* 55.3*
  • -CGI-I ≤2 (vordefiniert) 38.1 57.8** 58.0** 56.1**
  • -Remission
  • -Y-BOCS ≤10 (vordefiniert) 27.4 37.9 36.6 42.1*
  • -CGI-S ≤2 (vordefiniert) 26.5 31.9 41.1* 38.6
  • +Répondeurs
  • +Y-BOCS Réduction ≥25% (prédéfinie) 50.4 67.2* 63.4 70.2**
  • +Y-BOCS Réduction ≥30% (prédéfinie) 44.2 60.3* 59.8* 62.3*
  • +Y-BOCS Réduction ≥35% (prédéfinie) 38.1 53.4* 54.5* 55.3*
  • +CGI-I ≤2 (prédéfini) 38.1 57.8** 58.0** 56.1**
  • +Rémission
  • +Y-BOCS ≤10 (prédéfini) 27.4 37.9 36.6 42.1*
  • +CGI-S ≤2 (prédéfini) 26.5 31.9 41.1* 38.6
  • -Statistisch signifikant überlegen vs. Placebo: * p<0.05; ** p<0.01
  • -Escitalopram (10 und 20 mg/Tag) erwies sich als wirksam in der Rückfallprävention bei Patienten in einer 24-wöchigen randomisierten, doppelblinden, Placebo-kontrollierten Studie.
  • -Die primäre Wirksamkeitsanalyse zeigte eine statistisch signifikant überlegene Wirksamkeit von Escitalopram gegenüber Placebo in Bezug auf die Zeit bis zum Rückfall in die Zwangsstörung; der Anteil an Patienten mit einem Rückfall war statistisch signifikant höher in der Placebo-Gruppe (52%) als in der Escitalopram-Gruppe (23%). Die beobachtete Wirksamkeit sowohl in der 10 mg-Gruppe (10% Rückfälle mit Escitalopram, bzw. 35% mit Placebo) als auch in der 20 mg-Gruppe (26% Rückfälle mit Escitalopram, bzw. 54% mit Placebo) war statistisch signifikant, p=0.014 respektive p<0.001.
  • -In den Studien zu Zwangsstörungen wurde eine günstige Wirkung von Escitalopram auf einzelne Aspekte der Lebensqualität (SF-36 und Sheehan Disability Scale) beobachtet, wobei die Effekte unter 10 mg geringer ausfielen.
  • -Patienten mit Tic-Störungen (einschliesslich Tourette-Syndrom) wurden in beiden Studien nicht untersucht (Ausschluss-Kriterium).
  • -In einer doppelblinden, Placebo-kontrollierten EKG-Studie an gesunden Probanden betrug die QTc-Änderung gegenüber dem Ausgangswert (Fridericia-Korrektur) 4.3 ms (90% CI 2.2-6.4) bei einer Dosis von 10 mg/Tag und 10.7 ms (90% CI 8.6-12.8) bei einer über der Dosierungsempfehlung liegenden Dosis von 30 mg/Tag (siehe «Kontraindikationen», «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen», «Interaktionen», «Unerwünschte Wirkungen» und «Überdosierung»).
  • -Pharmakokinetik
  • +Supériorité statistiquement significative par rapport au placebo: * p<0.05; ** p<0.01.
  • +L'escitalopram (10 et 20 mg par jour) s'est montré efficace dans la prévention des rechutes pour les patients d'une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo d'une durée de 24 semaines.
  • +L'analyse primaire d'efficacité a montré une efficacité supérieure et statistiquement significative de l'escitalopram par rapport au placebo sur le délai jusqu'à la rechute des troubles obsessionnels compulsifs; le pourcentage de patients ayant une rechute était statistiquement significativement supérieur dans le groupe placebo (52%) par rapport au groupe escitalopram (23%). L'efficacité observée était statistiquement significative, aussi bien dans le groupe de 10 mg (10% de rechutes sous escitalopram contre 35% sous placebo) que dans le groupe de 20 mg (26% de rechutes sous escitalopram contre 54% sous placebo), p=0.014 et p<0.001.
  • +Dans les études sur les troubles obsessionnels compulsifs, un effet favorable de l'escitalopram sur certains aspects de la qualité de vie a été observé (échelles SF-36 et Sheehan Disability Scale), avec des effets moins prononcés sous 10 mg.
  • +Les patients ayant des tics (y compris syndrome de Tourette) n'ont pas été étudiés dans les deux études (critère d'exclusion).
  • +Dans une étude en double aveugle, contrôlée par placebo, de l'ECG chez des sujets sains, la variation par rapport à l'état initial du QTc (correction de Fridericia) a été de 4.3 ms (90% CI 2.2-6.4) à la posologie de 10 mg par jour et de 10.7 ms (90% CI 8.6-12.8) lors d'un dosage de 30 mg/jour, ce qui est au-dessus de la recommandation (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions», «Interactions», «Effets indésirables» et «Surdosage»).
  • +Pharmacocinétique
  • -Escitalopram wird nach oraler Verabreichung fast vollständig resorbiert. Die gleichzeitige Nahrungseinnahme hat keinen Einfluss auf die Resorption. Maximale Plasmaspiegel werden bei mehrfacher Verabreichung innert 4 Stunden erreicht.
  • -Die Pharmakokinetik ist linear. Steady-state-Plasmaspiegel werden innert etwa 1 Woche erreicht. Bei täglichen Dosen von 10 mg wird eine mittlere Steady-state-Konzentration von 50 nmol/l (Bereich 20-125 nmol/l) erreicht.
  • +L’escitalopram est pratiquement entièrement absorbé après administration orale. La prise simultanée de nourriture n'influence pas l'absorption. Lors de l'administration de doses multiples, les taux plasmatiques maximaux sont atteints en l'espace de 4 heures.
  • +La pharmacocinétique est linéaire. Les taux plasmatiques à l'état d'équilibre sont atteints après une semaine environ. En administrant une dose quotidienne de 10 mg, la concentration moyenne à l'état d'équilibre s'élève à 50 nmol/l (intervalle 20-125 nmol/l).
  • -Das Verteilungsvolumen beträgt nach oraler Verabreichung 12-26 l/kg. Ausgehend von Citalopram-Daten wird erwartet, dass die Plasmaproteinbindung von Escitalopram und seinen Hauptmetaboliten unter 80% liegt.
  • -Metabolismus
  • -Escitalopram wird zu Desmethylescitalopram und Didesmethylescitalopram metabolisiert. Beide Metaboliten sind pharmakologisch aktiv. Alternativ kann auch Escitalopram-N-Oxid gebildet werden. Escitalopram wie auch seine Metaboliten werden teilweise als Glucuronide ausgeschieden. Im Plasma wird vor allem unverändertes Escitalopram gefunden. Nach Mehrfach-dosierungen findet man 28-31% resp. <5% der Escitalopram-Konzentration als Desmethylescitalopram resp. Didesmethylescitalopram. Die Biotransformation von Escitalopram zum desmethylierten Metaboliten erfolgt vorwiegend durch CYP2C19, möglicherweise sind auch die Enzyme CYP3A4 und CYP2D6 beteiligt.
  • +Le volume de distribution s'élève à 12-26 l/kg après administration orale. Les données sur le citalopram permettent d'estimer une liaison aux protéines plasmatiques inférieure à 80% pour l'escitalopram et pour ses métabolites principaux.
  • +Métabolisme
  • +L'escitalopram est métabolisé en déméthylescitalopram et didéméthylescitalopram. Les deux métabolites possèdent une action pharmacologique. L'oxyde Nescitalopram peut également être formé parallèlement. L'escitalopram et ses métabolites sont en partie éliminés sous forme de glucuronides. Dans le plasma, l'escitalopram est retrouvé en majeure partie sous forme non-modifiée. Après administration de doses multiples, 28-31% de la concentration d'escitalopram se retrouvent sous forme de déméthylescitalopram et <5% sous forme de didéméthylescitalopram. La biotransformation de l'escitalopram en métabolites déméthylés a lieu principalement par le CYP2C19, éventuellement avec une participation des CYP3A4 et CYP2D6.
  • -Die Eliminations-Halbwertszeit (t½β) nach Mehrfachdosierung beträgt etwa 30 Stunden, die orale Plasmaclearance (Cloral) etwa 0.6 l/min.
  • -Es wird vermutet, dass Escitalopram und seine Hauptmetaboliten - wie das racemische Citalopram – über Leber (metabolisch) und Nieren ausgeschieden werden, der grösste Teil der Dosis erscheint als Metaboliten im Urin. Die hepatische Clearance basiert zur Hauptsache auf dem P450-Enzymsystem.
  • -Kinetik spezieller Patientengruppen
  • -Ältere Patienten (>65 Jahre):
  • -Bei älteren Patienten (>65 Jahre) sind aufgrund einer verminderten Metabolisierungsrate längere Halbwertszeiten und niedrigere Clearancewerte festgestellt worden. Die systemische Exposition ist bei älteren Patienten etwa 50% grösser als bei gesunden Freiwilligen.
  • -Lebererkrankungen:
  • -Bei Patienten mit leicht bis mittelmässig eingeschränkter Leberfunktion (Child-Pugh Kriterien A und B) war die Halbwertszeit etwa verdoppelt und die AUC etwa 60% höher als bei Patienten mit normaler Leberfunktion (siehe «Dosierung/Anwendung»).
  • -Nierenerkrankungen:
  • -Die Sicherheit von Escitalopram bei Niereninsuffizienz ist aufgrund ungenügender Erfahrungen nicht belegt. Bei Untersuchungen mit racemischem Citalopram wurden bei Patienten mit reduzierter Nierenfunktion (Clcr 10-53 ml/min) eine längere Halbwertszeit und ein leichtes Ansteigen des Plasmaspiegels gemessen. Die Plasmakonzentrationen der Metaboliten wurden nicht gemessen, sie sind möglicherweise erhöht.
  • -Polymorphismus:
  • -Bei schlechten Metabolisierern bezüglich CYP2C19 wurden doppelt so hohe Plasmaspiegel von Escitalopram gemessen wie bei guten Metabolisierern. Bei schlechten Metabolisierern bezüglich CYP2D6 wurden keine signifikanten Veränderungen der Plasmaspiegel gemessen.
  • -Präklinische Daten
  • -Nach einigen Behandlungswochen mit sehr hohen (toxischen) Dosen von Escitalopram und Citalopram konnten bei Ratten kardiale Effekte beobachtet werden. Ein Korrelat zur Klinik wurde bisher nicht gefunden.
  • -Nach Langzeitbehandlung mit Citalopram und Escitalopram wurde in einigen Geweben wie Lunge, Epididymis und Leber bei Ratten ein erhöhter Gehalt an Phospholipiden gemessen. Die Befunde in den Nebenhoden und der Leber traten bei Dosen ähnlich der klinischen Anwendung auf. Nach Einstellung der Behandlung war der Effekt reversibel. Die Akkumulation von Phospholipiden (Phospholipidose) bei Tieren konnte in Zusammenhang mit vielen kationischen amphiphilen Arzneimitteln beobachtet werden. Es ist nicht bekannt, ob dies eine signifikante Relevanz für den Menschen hat.
  • -In Embryotoxizitätsstudien an Ratten wurden toxische Wirkungen (vermindertes fötales Gewicht und reversible Verzögerung der Verknöcherung) festgestellt, allerdings bei höheren AUC-Werten als sie in der klinischen Anwendung erreicht werden. Die Missbildungsrate war nicht erhöht. Peri- und postnatale Studien zeigten eine erniedrigte Ãœberlebensrate in der Laktationsperiode bei höheren AUC-Werten als sie in der klinischen Anwendung erreicht werden.
  • -Es liegen keine aktuellen Daten zu Mutagenese und Karzinogenese für Escitalopram vor.
  • -Tierexperimentelle Studien zeigten, dass Citalopram zu einer Senkung des Fertilitätsindex und Trächtigkeitsindex führt, sowie zu einer Reduktion an Implantationen, beschädigten Samenkanälchen und zu abnormen Spermien. Es liegen im Zusammenhang mit diesem Aspekt keine tierexperimentellen Daten für Escitalopram vor.
  • -Sonstige Hinweise
  • -Haltbarkeit; Das Arzneimittel darf nur bis zu dem auf der Packung mit «EXP» bezeichneten Datum verwendet werden.
  • -Besondere Lagerungshinweise:
  • -In der Originalverpackung bei Raumtemperatur (15-25°C) aufbewahren.
  • -Arzneimittel sind für Kinder unerreichbar aufzubewahren.
  • -Zulassungsnummer
  • +La demi-vie d'élimination (t½β) après administration de doses multiples est d'environ 30 heures, la clairance plasmatique orale (Cloral) est d'environ 0.6 l/min.
  • +On suppose que l'escitalopram et ses métabolites principaux - tout comme le citalopram racémique - sont éliminés par le foie (voie métabolique) et par les reins, la plus grande partie de la dose apparaissant sous forme de métabolites dans les urines. La clairance hépatique repose principalement sur le système enzymatique P450.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Patients âgés (>65 ans):
  • +En raison d'une baisse du taux de métabolisation chez les patients âgés (>65 ans), un allongement des demi-vies et une baisse des valeurs de la clairance ont été constatés dans ce groupe. L'exposition systémique est plus élevée de 50% environ chez les patients âgés par rapport aux volontaires sains.
  • +Affections hépatiques:
  • +Chez les patients ayant une limitation légère à modérée de la fonction hépatique (classes A et B de Child-Pugh), la demi-vie était environ deux fois plus longue et l'AUC était augmentée d'environ 60% par rapport aux valeurs observées chez les patients présentant une fonction hépatique normale (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Affections rénales:
  • +Pour cause d'expérience insuffisante en la matière, la sécurité d'emploi de l'escitalopram n'est pas suffisamment établie lors d'insuffisance rénale. Dans le cadre d'études portant sur le citalopram racémique, une demi-vie plus longue et une légère augmentation du taux plasmatique ont été mesurées chez les patients ayant une fonction rénale réduite (Clcr 10-53 ml/min). Les concentrations plasmatiques des métabolites n'ont pas été mesurées, elles sont éventuellement augmentées.
  • +Polymorphisme:
  • +Chez les métaboliseurs lents du CYP2C19, les taux plasmatiques d'escitalopram mesurés étaient deux fois plus élevés que chez les métaboliseurs rapides. Chez les métaboliseurs lents du CYP2D6, aucune modification significative du taux plasmatique n'a été observée.
  • +Données précliniques
  • +Après quelques semaines de traitement à doses très hautes (toxiques) d'escitalopram et de citalopram, des effets cardiaques ont pu être observés chez le rat. Aucune relation avec la pratique clinique n'a été trouvée jusqu'ici.
  • +Dans quelques tissus comme ceux des poumons, de l'épididyme et du foie, un taux élevé de phospholipides a été mesuré chez le rat après administration prolongée de citalopram et d'escitalopram. Les observations au niveau des épididymes et du foie sont apparues à des doses analogues à celles utilisées en clinique. L'effet était réversible après l'arrêt du traitement. L'accumulation de phospholipides (phospholipidose) chez l'animal a été observée avec un grand nombre de médicaments amphiphiles cationiques. On ignore si ce phénomène est pertinent pour l'être humain.
  • +Des études d’embryotoxicité réalisées sur le rat ont révélé des effets toxiques (diminution du poids du foetus et retard réversible de l'ossification), toutefois à des AUC plus élevées que celles atteintes dans la pratique clinique. Le taux de malformations n'était pas accru. Des études périnatales et postnatales ont montré une baisse du taux de survie pendant la période de lactation à des AUC plus élevées que celles atteintes dans la pratique clinique.
  • +Aucune donnée n'est actuellement disponible sur la mutagenèse et la carcinogenèse d'escitalopram.
  • +Des études chez l’animal ont montré que le citalopram entraîne une diminution des indices de fécondité et de gestation, ainsi qu’une diminution du nombre de nidation, des tubes séminifères endommagés et un sperme anormal.
  • +Aucune donnée chez l’animal relative à ce sujet n’est disponible pour l’escitalopram.
  • +Remarques particulières
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Remarques concernant le stockage
  • +Conserver dans l'emballage d'origine à température ambiante (15–25 °C).
  • +Tenir hors de la portée des enfants.
  • +Numéro d’autorisation
  • -Packungen
  • -Teilbare Filmtabletten zu 10 mg: 14, 28, 98 [B]. (zur Zeit nicht im Handel)
  • -Teilbare Filmtabletten zu 20 mg: 98 [B]. (zur Zeit nicht im Handel)
  • -Zulassungsinhaberin
  • -Drossapharm AG, 4002 Basel
  • -Stand der Information
  • -März 2017.
  • +Présentation
  • +Comprimés pelliculés sécable 10 mg: 14, 28, 98 [B]. (actuellement non commercialisé)
  • +Comprimés pelliculés sécable 20 mg: 98 [B]. (actuellement non commercialisé)
  • +Titulaire de l’autorisation
  • +Drossapharm SA, 4002 Bâle
  • +Mise à jour de l’information
  • +Mars 2017.
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