56 Changements de l'information professionelle Levetiracetam Stada 250 mg |
-Lévétiracétam Spirig HC 250 mg:
-alcool polyvinylique, polyethylenglycole, talc, colorants: dioxyde de titane (E 171) et indigotine (E 132).
- +Lévétiracétam Spirig HC 250 mg: alcool polyvinylique, polyethylenglycole, talc, colorants: dioxyde de titane (E 171) et indigotine (E 132).
-La dose journalière est fractionnée en deux doses égales. Lévétiracétam Spirig HC peut être pris indépendamment des repas.
- +La dose journalière est fractionnée en deux doses égales. Lévétiracétam Spirig HC peut être pris indépendamment des repas. Lors de l'administration orale, le goût amer du lévétiracétam peut être perçu.
- +Les dosages de comprimés pelliculés disponibles ne sont pas appropriés pour le traitement initial des enfants pesant moins de 25 kg, des patients qui ne peuvent pas prendre de comprimés pelliculés ou des doses inférieures à 250 mg. Dans tous ces cas, une solution buvable mise sur le marché par un autre titulaire d'autorisation doit être utilisée.
-Le traitement devrait être commencé avec 2× 250 mg/jour et augmenté après 2 semaines à 2× 500 mg/jour. Selon la réponse clinique, la dose peut être adaptée par paliers de 2× 250 mg/jour toutes les 2 semaines jusqu'à un maximum de 2× 1500 mg/jour.
- +Le traitement devrait être commencé avec 2× 250 mg/jour et après 2 semaines, la dose sera augmentée à 2× 500 mg/jour. Selon la réponse clinique, la dose peut être adaptée par paliers de 2× 250 mg/jour toutes les 2 semaines jusqu'à un maximum de 2× 1500 mg/jour.
-Traitement adjuvant
-Adultes (≥18 ans) et adolescents (12 à 17 ans) de plus de 40 kg
- +Thérapie en association adultes (≥18 ans) et adolescents (12 à 17 ans) de plus de 40 kg
-Enfants et adolescents de 4 à 11 ans de moins de 40kg
-Chez les enfants, il convient d'instaurer le traitement par une solution de lévétiracétam
- +Nourrissons, enfants et adolescents
- +Chez les nourrissons et les enfants, il convient d'instaurer le traitement par une solution de lévétiracétam (disponible sous un autre nom de marque).
-La plus petite dose efficace doit être utilisée. La posologie chez l'enfant et l'adolescent de ≥40 kg est la même que chez l'adulte.
- +La plus petite dose efficace doit être utilisée. La posologie chez l'enfant et l'adolescent de >40 kg est la même que chez l'adulte.
-Poids Dose initiale Dose maximale
-10 mg/kg deux fois par jour 30 mg/kg deux fois par jour
-10 kg1 100 mg deux fois par jour 300 mg deux fois par jour
-15 kg1 150 mg deux fois par jour 450 mg deux fois par jour
-20 kg1 200 mg deux fois par jour 600 mg deux fois par jour
- +Poids Dose initiale 10 mg/kg deux fois par jour Dose maximale 30 mg/kg deux fois par jour
- +10 kg(1) 100 mg deux fois par jour 300 mg deux fois par jour
- +15 kg(1) 150 mg deux fois par jour 450 mg deux fois par jour
- +20 kg(1) 200 mg deux fois par jour 600 mg deux fois par jour
-Plus de 40 kg2 500 mg deux fois par jour 1500 mg deux fois par jour
- +Plus de 40 kg(2) 500 mg deux fois par jour 1500 mg deux fois par jour
-1 Les enfants de 20 kg ou moins doivent de préférence commencer le traitement par une solution de lévétiracétam buvable.
-2 La posologie chez l'enfant et l'adolescent de 40 kg ou plus est la même que chez l'adulte.
- +(1) Les enfants de 20 kg ou moins doivent de préférence commencer le traitement par une solution de lévétiracétam buvable (disponible sous un autre nom de marque).
- +(2) La posologie chez l'enfant et l'adolescent de 40 kg ou plus est la même que chez l'adulte.
-La CLcr en ml/min/1,73 m² peut être estimée à partir de la détermination de la créatinine sérique (mg/dl), chez le nourrisson, l'adolescent et l'enfant en utilisant la formule suivante (formule de Schwartz):
- +La CLcr en ml/min/1,73 m² peut être déterminée pour les adolescents et les enfants sur la base de la créatinine sérique (mg/dl) selon la formule suivante (formule de Schwartz):
-Adaptation posologique chez l'adolescent pesant moins de 50 kg atteints d'insuffisance rénale:
-Groupe Clairance de la créatinine (ml/min/1,73 m2) Dose et fréquence d'administration Enfants et adolescents pesant moins de 50 kg
- +Adaptation posologique chez l'enfant et l'adolescent atteints d'insuffisance rénale, pesant moins de 50 kg:
- +Groupe Clairance de la créatinine (ml/min/1,73 m2) Dose et fréquence d'administration
- +Enfants et adolescents pesant moins de 50 kg
-Patients sous dialyse - 10 à 20 mg/kg une fois par jour1,2
- +Patients sous dialyse - 10 à 20 mg/kg une fois par jour 1,2
- +Hémogramme:
- +En début de traitement, des cas de diminution du nombre de globules sanguins (neutropénie, agranulocytose, leucopénie, thrombocytopénie et pancytopénie) ont été rapportés lors de la prise de lévétiracétam. Une numération globulaire complète est recommandée chez les patients présentant une faiblesse significative, une pyrexie, des infections récurrentes ou des troubles de la coagulation (voir «Effets indésirables»).
- +
-Dans le cadre d'un entretien détaillé, les patients et leurs proches ainsi que les référents devraient par conséquent être avertis, en particulier aussi avant le début du traitement, de contacter immédiatement un médecin en cas d'aggravation de l'humeur et/ou de retrait social et/ou de survenue de symptômes dépressifs et/ou d'hostilité/agressivité ou d'autres modifications comportementales ou de la personnalité, mais également lors d'idées suicidaires. Il ne faut pas oublier que la suicidalité ne peut dans certains s'annoncer que par des modifications comportementales. Avant le début du traitement, il convient de déterminer s'il existe des facteurs de risques de suicidalité scientifiquement prouvés (par ex. antécédents de maladies psychiatriques, de suicidalité, etc.) et le rapport bénéfice-risque doit être soigneusement évalué, en particulier également de ce point de vue.
- +Dans le cadre d'un entretien détaillé, les patients et leurs proches ainsi que les référents devraient par conséquent être avertis, en particulier aussi avant le début du traitement, de contacter immédiatement un médecin en cas d'aggravation de l'humeur et/ou de retrait social et/ou de survenue de symptômes dépressifs et/ou d'hostilité/agressivité ou d'autres modifications comportementales ou de la personnalité, mais également lors d'idées suicidaires. Il ne faut pas oublier que la suicidalité ne peut dans certains cas s'annoncer que par des modifications comportementales. Avant le début du traitement, il convient de déterminer s'il existe des facteurs de risques de suicidalité scientifiquement prouvés (par ex. antécédents de maladies psychiatriques, de suicidalité, etc.) et le rapport bénéfice-risque doit être soigneusement évalué, en particulier également de ce point de vue.
-On ne dispose pas d'études suffisantes et fiables concernant l'utilisation de lévétiracétam chez la femme enceinte. Les données post-marketing de trois registres des grossesses à caractère prospectif permettent de connaître l'issue de la grossesse chez plus d'un millier de femmes enceintes ayant suivi une monothérapie au lévétiracétam.
-Si la plupart des données n'indiquent pas d'augmentation substantielle du risque de malformations congénitales, il est impossible d'exclure absolument tout effet tératogène. En outre, les données tirées de ces registres et d'autres études montrent que les combinaisons thérapeutiques avec divers autres anti-épileptiques induisent un risque plus élevé d'effets tératogènes. Il convient par conséquent, lorsque cela est possible et indiqué, de choisir une monothérapie. Les expérimentations animales ont révélé une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»).
-Levetiracetam Spirig HC ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf si le médecin traitant estime son utilisation indispensable.
- +Femmes en âge de procréer
- +Les femmes en âge de procréer doivent être conseillées par un spécialiste. Pour la durée du traitement, il est recommandé d'utiliser une méthode de contraception sûre. Si une femme envisage de devenir enceinte, le traitement au lévétiracétam devrait être reconsidéré. Comme cela se fait pour d'autres médicaments antiépileptiques, un arrêt soudain du lévétiracétam doit être évité car cela peut provoquer des crises de sevrage et un état de mal épileptique, qui peuvent avoir de graves conséquences pour la femme et l'enfant à naître. Une monothérapie est à privilégier dans la mesure du possible, vu qu'une thérapie à plusieurs médicaments antiépileptiques, est liée - selon sa combinaison - à un risque plus élevé de malformations congénitales.
- +Grossesse
- +Une forte proportion des données post-marketing sur les femmes enceintes qui ont reçu une monothérapie par lévétiracétam, n'indique pas d'augmentation substantielle du risque de malformations congénitales sévère (sur plus de 1800 femmes, 1500 femmes ont pris du lévétiracétam au cours du premier trimestre de la grossesse). Les données sur le développement neurologique chez les enfants exposés à la monothérapie avec Lévétiracétam in utero sont limitées. Les études épidémiologiques actuelles (avec environ 100 enfants) n'indiquent pas un risque accru de troubles ou de retards dans le développement neurologique.
- +Le lévétiracétam peut être utilisé pendant la grossesse si, après une évaluation minutieuse, il est considéré comme cliniquement nécessaire. Dans ce cas, la dose efficace la plus faible est recommandée.
-L'interruption d'un traitement antiépileptique peut conduire à une aggravation de la maladie avec des conséquences nuisibles pour la mère et l'enfant à naître.
- +Chez les femmes enceintes traitées par le lévétiracétam, une surveillance clinique appropriée doit être assurée.
-Le lévétiracétam est excrété dans le lait maternel. C'est pourquoi l'allaitement est déconseillé.
- +Le lévétiracétam est excrété dans le lait maternel. C'est pourquoi l'allaitement est déconseillé. Cependant, si le traitement de lévétiracétam devait être nécessaire pendant l'allaitement, il faudra évaluer les avantages et les risques du traitement en considérant l'importance de l'allaitement pour l'enfant.
- +Fertilité
- +Il n'existe pas de données cliniques. Le risque potentiel pour les humains est inconnu.
-Le médecin traitant doit tenir compte du fait que les données suivantes proviennent d'études dans lesquelles le lévétiracétam a été employé en association avec d'autres antiépileptiques. C'est pourquoi l'attribution des effets indésirables observés à un médicament précis n'était pas toujours possible.
-Les données sur la sécurité d'emploi et la tolérance obtenues lors de ces études menées chez des patients adultes présentant des crises partielles, ont montré l'apparition d'effets secondaires chez 46,4% des patients du groupe lévétiracétam et chez 42,2% des patients adultes du groupe placebo; 2,4% des patients sous lévétiracétam et 2,0% des patients sous placebo ont présenté des effets indésirables graves.
- +Le médecin traitant doit tenir compte du fait que les données suivantes proviennent d'études dans lesquelles le lévétiracétam a été employé avec d'autres antiépileptiques. C'est pourquoi l'attribution des effets indésirables observés à un médicament précis n'était pas toujours possible.
- +Les données sur la sécurité d'emploi et la tolérance obtenues lors de ces études menées chez des patients adultes présentant des crises partielles, ont montré l'apparition d'effets secondaires chez 46,4% des patients du groupe lévétiracétam et chez 42% des patients adultes du groupe placebo; 2,4% des patients sous lévétiracétam et 2,0% des patients sous placebo ont présenté des effets indésirables graves.
-Au cours d'un traitement en monothérapie, 49,8% des patients ont présenté au moins un effet indésirable lié au produit. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient la fatigue et la somnolence.
- +Au cours d'un traitement en monothérapie de crises partielles, 49,8% des patients ont présenté au moins un effet indésirable lié au produit. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient la fatigue et la somnolence.
-Expérience après commercialisation: pancytopénie (avec aplasie médullaire dans quelques cas), agranulocytose leucopénie, neutropénie.
- +Expérience après commercialisation:, pancytopénie (avec aplasie médullaire dans quelques cas), agranulocytose leucopénie, neutropénie
-Expérience après commercialisation: exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en garde et précautions»).
- +Expérience après commercialisation: exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en garde et précautions»); réaction anaphylactique.
-Expérience après commercialisation: choréoathétose, dyskinésie, léthargie, paresthésie.
- +Expérience après commercialisation: choréoathétose, dyskinésie, paresthésie, léthargie, problème dans la démarche.
-Expérience après commercialisation: nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème multiforme et alopécie. Dans plusieurs cas d'alopécie, une amélioration a été constatée à l'arrêt du lévétiracétam.
- +Expérience après commercialisation: nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème multiforme et alopécie. Dans plusieurs cas d'alopécie, une amélioration a été constatée à l'arrêt du lévétiracétam, angioedème.
-Expérience après commercialisation: faiblesse musculaire.
- +Expérience après commercialisation: faiblesse musculaire, rhabdomyolyse et augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang1.
- +Description des effets indésirables sélectionnés:
- +1 La rhabdomyolyse et l'augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang sont significativement plus fréquentes chez les patients japonais que chez les patients non japonais.
-En association dans le traitement de crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les adultes les adolescents et les enfants épileptiques à partir de 4 ans
- +En association dans le traitement de crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les adultes, les adolescents et les enfants épileptiques à partir de 4 ans
-L'élimination se fait principalement par voie urinaire à raison de 95% de la dose environ. L'élimination par voie fécale représente seulement 0,3% de la dose. L'élimination rénale cumulée du lévétiracétam et de son métabolite principal dans les premières 48 heures s'élève à respectivement 66% et 24% de la dose administrée. La clairance rénale du lévétiracétam s'élève à 0,6 ml/min/kg et celle de son métabolite à 4,2 ml/min/kg. Ces valeurs indiquent que le lévétiracétam est éliminé par filtration glomérulaire avec réabsorption tubulaire consécutive, tandis que le métabolite principal est filtré au niveau glomérulaire et de plus, activement sécrété au niveau tubulaire. L'élimination du lévétiracétam est en corrélation avec la clairance de la créatinine.
- +L'élimination se fait principalement par voie urinaire à raison de 95% de la dose environ. L'élimination par voie fécale représente seulement 0,3% de la dose. L'élimination rénale cumulée du lévétiracétam et de son métabolite principal dans les premières 48 heures s'élève à respectivement 66% et 24% de la dose administrée. La clairance rénale du lévétiracétam s'élève à 0,6 ml/min/kg et celle de son métabolite à 4,2 ml/min./kg. Ces valeurs indiquent que le lévétiracétam est éliminé par filtration glomérulaire avec réabsorption tubulaire consécutive, tandis que le métabolite principal est filtré au niveau glomérulaire et de plus, activement sécrété au niveau tubulaire. L'élimination du lévétiracétam est en corrélation avec la clairance de la créatinine.
-Conserve à une témperature 15- 30 °C, dans l'emballage original et hors de la portée des enfants.
- +Conserve à une témperature 15-30 °C, dans l'emballage original et hors de la portée des enfants.
-Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen/Suisse.
- +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
-Septembre 2016.
- +Décembre 2017.
|
|