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Accueil - Information professionnelle sur Rosuvastax 5 mg - Changements - 12.07.2024
42 Changements de l'information professionelle Rosuvastax 5 mg
  • -La dose recommandée se situe entre de 5–20 mg une fois/jour.
  • -La plus grande partie des patients peuvent poursuivre le traitement avec la dose initiale. Une adaptation posologique peut se faire après 4 semaines si besoin (voir «Propriétés/Effets»). L’administration d’une dose de 40 mg ne sera envisagée que chez les patients présentant une hypercholestérolémie sévère et un risque cardiovasculaire élevé (en particulier ceux présentant une hypercholestérolémie familiale) n'ayant pas atteint l'objectif thérapeutique fixé avec la dose de 20 mg et qui feront l'objet d'un suivi régulier. L’administration de la posologie de 40 mg sera contrôlée par un spécialiste. Chez les patients avec des facteurs prédisposant au développement d’une myopathie, la dose initiale est de 5 mg (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Rosuvastax peut être administré à tout moment de la journée, indépendamment des repas.
  • +La dose recommandée se situe entre 5 et 20 mg une fois/jour.
  • +La plus grande partie des patients peuvent poursuivre le traitement avec la dose initiale. Une adaptation posologique peut toutefois se faire après 4 semaines si besoin (voir «Propriétés/Effets»). L’administration d’une dose de 40 mg ne sera envisagée que chez les patients présentant une hypercholestérolémie sévère et un risque cardiovasculaire élevé (en particulier ceux présentant une hypercholestérolémie familiale) n'ayant pas atteint l'objectif thérapeutique fixé avec la dose de 20 mg et qui feront l'objet d'un suivi régulier. L’administration de la posologie de 40 mg sera contrôlée par un spécialiste. Chez les patients avec des facteurs prédisposant au développement d’une myopathie, la dose initiale est de 5 mg (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Rosuvastax peut être administré à tout moment de la journée, indépendamment des repas ou avec un repas.
  • -Chez les patients présentant une hypercholestérolémie sévère (y compris une hypercholestérolémie familiale hétérozygote), une dose initiale de 10 mg peut être prise en considération.
  • +Chez les patients présentant une hypercholestérolémie sévère (y compris une hypercholestérolémie familiale hétérozygote), une dose initiale de 10 mg peut être envisagée.
  • -En cas d'insuffisance rénale légère à modérée, la dose initiale recommandée est de 5 mg. La dose de 40 mg est contre-indiquée chez les patients avec une insuffisance rénale modérée. La prise de Rosuvastax est contre-indiquée chez les patients avec une insuffisance rénale sévère (voir «Contre-indications»).
  • +En cas d'insuffisance rénale légère à modérée, la dose initiale recommandée est de 5 mg. La dose de 40 mg est contre-indiquée chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée. La prise de Rosuvastax est contre-indiquée chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (voir «Contre-indications»).
  • -Chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée, aucune adaptation de la dose n’est nécessaire. Chez les patients avec une limitation sévère de la fonction hépatique (Child-Pugh >9), le traitement débutera par Rosuvastax 5 mg. Chez ces patients, une augmentation de l’exposition systémique à la rosuvastatine a été observée. En conséquence, l’administration de dosages supérieurs à Rosuvastax 5 mg sera soigneusement évaluée (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Race
  • +Chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée, aucune adaptation de la dose n’est nécessaire. Chez les patients présentant une limitation sévère de la fonction hépatique (Child-Pugh >9), le traitement débutera par Rosuvastax 5 mg. Chez ces patients, une augmentation de l’exposition systémique à la rosuvastatine a été observée. En conséquence, l’administration de dosages supérieurs à Rosuvastax 5 mg sera soigneusement évaluée (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Origine ethnique
  • -·chez les patients présentant une affection hépatique évolutive, y compris élévations inexpliquées et prolongées des transaminases sériques et toute augmentation des transaminases sériques au-delà de 3 fois la limite supérieure de la norme (ULN),
  • -·chez les patients avec une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min),
  • -·chez les patients avec une myopathie,
  • +·chez les patients présentant une affection hépatique évolutive, y compris élévations inexpliquées et prolongées des transaminases sériques et toute augmentation des transaminases sériques au-delà de 3 fois la limite supérieure de la norme (LSN),
  • +·chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min),
  • +·chez les patients présentant une myopathie,
  • -Musculature squelettique
  • -Comme c'est le cas pour d'autres inhibiteurs de l'HMG-CoA réductase, le rosuvastatine peut également exercer une influence sur la musculature striée et provoquer une myalgie, une myosite voire une myopathie pouvant évoluer en rhabdomyolyse, une affection potentiellement dangereuse caractérisée par des taux de créatine-phosphokinase (CPK) nettement élevés (>10 fois la valeur supérieure de la norme), par une myoglobinémie et une myoglobinurie avec éventuelle défaillance rénale. Ceci vaut en particulier pour le dosage de 40 mg.
  • -De très rares cas de myopathie nécrosante à médiation immunitaire ont été rapportés pendant ou après un traitement aux statines inclusive rosuvastatine. Ces myopathies étaient caractérisées par une faiblesse musculaire proximale persistante et par des taux sériques accrus de créatinine kinase. Des examens supplémentaires neuromusculaires et sérologiques peuvent éventuellement être nécessaires. Il est également possible qu’un traitement immunosuppresseur soit nécessaire.
  • +Effets sur les muscles squelettiques
  • +Chez les patients traités avec Rosuvastax, pour tous les dosages, des effets sur les muscles squelettiques ont été observés, par exemple, une myalgie, une myopathie et dans de rares cas, une rhabdomyolyse. Ceci vaut en particulier pour les dosages supérieurs à 20 mg de rosuvastatine. Après utilisation d'ézétémib associé à des inhibiteurs de l'HMG-CoA réductase, de rares cas de rhabdomyolyse ont été observés. Une interaction pharmacodynamique ne peut pas être exclue (voir paragraphe »Interactions»). La prudence est donc de rigueur lors d'une co-administration.
  • +Dans quelques cas, il a été rapporté qu'une statine déclenche une myasthénia gravis ou une aggravation d'une myasthénia gravis existante ou d'une myasthénie oculaire (voir «Effets indésirables»).
  • +La rosuvastatine doit être interrompue en cas d’aggravation des symptômes. Des récidives ont été rapportées en cas de (nouvelle) administration de la même statine ou d’une autre.
  • -Le risque de rhabdomyolyse est accru en cas d’utilisation concomitante du rosuvastatine et des médicaments suivants:
  • +Le risque de rhabdomyolyse est accru en cas d’utilisation concomitante du rosuvastatine et de certains médicaments:
  • -Race
  • +Origine ethnique
  • +Roxadustat 200 mg 1x/jour 10 mg, dose unitaire 2,9x ↑ 4,47x ↑
  • +Énasidénib 100 mg 1x/j, 28 jours 10 mg, dose unitaire 2,4x ↑ 3,66 ↑
  • +Tafamidis 61 mg 2x/j les jours 1 et 2, puis 1x/j les jours 3 à 9 10 mg, dose unitaire 1,97x ↑ 1,86x ↑
  • -Préparations d'acide fusidique
  • +Préparations systémiques de l'acide fusidique
  • -Rosuvastax est contre-indiqué pendant la grossesse et l'allaitement. Les femmes en âge de procréer doivent prendre des mesures de contraception adéquates (voir «Contre-indication). Le traitement sera immédiatement interrompu si une patiente débute une grossesse durant la prise de Rosuvastax.
  • +Grossesse
  • +Rosuvastax est contre-indiqué pendant la grossesse et l'allaitement.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent prendre des mesures de contraception adéquates. Comme le cheolestérol et d'autres produits issus de la synthèse du cholestérol sont nécessaires pour le bon développement du fœtus, le risque potentiel lié à l'inhibition de l'HMG-CoA réductase l'emporte sur les bénéfices du traitement pendant la grossesse. Les données issues des études d'expérimentation animale ont apporté des signes limités d'une toxicité sur la reproduction (préclinique). Le traitement sera immédiatement interrompu si une patiente débute une grossesse durant la prise de Rosuvastax.
  • +Allaitement
  • +L'allaitement est contre-indiqué pendant le traitement par Rosuvastax. Des données limitées issues de publications indiquent que Rosuvastax passe dans le lait maternel. En raison du mécanisme d'action de Rosuvastax, il existe un risque potentiel d'effets indésirables chez le nourrisson allaité. On ne dispose d'aucune donnée sur les effets du médicament sur le nourrisson allaité ni sur les effets du médicament sur la lactation.
  • +
  • -Fréquence inconnue: neuropathie périphérique.
  • +Fréquence inconnue: neuropathie périphérique, myasthenia gravis.
  • +Affections oculaires
  • +Fréquence inconnue: myasthenia gravis oculaire.
  • -Affections gastro-intestinales Fréquents: douleurs abdominales, constipation, nausées.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquents: douleurs abdominales, constipation, nausées.
  • -Fréquence inconnue: syndrome de Stevens-Johnson, réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS).
  • +Fréquence inconnue: syndrome de Stevens-Johnson, réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS), exanthème médicamenteux lichénoïde.
  • -Rares: myopathie (myosite y compris), rhabdomyolyse, arthralgie.
  • +Rares: myopathie (y compris myosite), rhabdomyolyse, arthralgie.
  • -Le critère primaire composite était défini comme la durée jusqu’à la survenue d’un des événements cardio-vasculaires suivants: décès cardio-vasculaire, infarctus non mortel du myocarde, AVC non mortel, angor instable ou revascularisation artérielle.
  • -La rosuvastatine a permis une réduction significative du risque d’événements cardio-vasculaires (252 événements sous placebo par rapport à 142 événements sous rosuvastatine), avec une réduction statistiquement significative (p <0,001) du risque relatif de 44% (voir la figure 1). Le bénéfice était constatable en l’espace de 6 mois après le début du traitement. La réduction du risque a été systématique dans diverses sous-populations prédéfinies. Les sous-populations analysées étaient définies en fonction de l’âge, du sexe, de la race, du tabagisme, de l’indice de masse corporelle et des taux initiaux de LDL-C, de HDL-C et de hsCRP. On a observé une réduction statistiquement significative de 48% pour le critère composite englobant les décès cardio-vasculaires, les AVC et les infarctus du myocarde (HR: 0,52, IC à 95%: 0,40 à 0,68, p <0,001). Les infarctus mortels ou non du myocarde étaient réduits de 54 % (HR: 0,46, IC à 95%: 0,30 à 0,70) et les AVC mortels ou non étaient réduits de 48 % (HR: 0,52, IC à 95%: 0,34 à 0,79, p= 0,002). La mortalité totale était réduite de 20% dans le groupe sous rosuvastatine (HR: 0,80, IC à 95%: 0,67 à 0,97, p= 0,02). Les taux de LDL-C étaient réduits de 45% sous rosuvastatine par rapport au placebo (p <0,001).
  • +Le critère primaire était composite et défini comme la durée jusqu’à la survenue d’un des événements cardio-vasculaires suivants: décès cardio-vasculaire, infarctus non mortel du myocarde, AVC non mortel, angor instable ou revascularisation artérielle.
  • +La rosuvastatine a permis une réduction significative du risque d’événements cardio-vasculaires (252 événements sous placebo par rapport à 142 événements sous rosuvastatine), avec une réduction statistiquement significative (p <0,001) du risque relatif de 44% (voir la figure 1). Le bénéfice était constatable en l’espace de 6 mois après le début du traitement. La réduction du risque a été systématique dans diverses sous-populations prédéfinies. Les sous-populations analysées étaient définies en fonction de l’âge, du sexe, de l'origine ethnique, du tabagisme, de l’indice de masse corporelle et des taux initiaux de LDL-C, de HDL-C et de hsCRP. On a observé une réduction statistiquement significative de 48% pour le critère composite englobant les décès cardio-vasculaires, les AVC et les infarctus du myocarde (HR: 0,52, IC à 95%: 0,40 à 0,68, p <0,001). Les infarctus mortels ou non du myocarde étaient réduits de 54 % (HR: 0,46, IC à 95%: 0,30 à 0,70) et les AVC mortels ou non étaient réduits de 48 % (HR: 0,52, IC à 95%: 0,34 à 0,79, p= 0,002). La mortalité totale était réduite de 20% dans le groupe sous rosuvastatine (HR: 0,80, IC à 95%: 0,67 à 0,97, p= 0,02). Les taux de LDL-C étaient réduits de 45% sous rosuvastatine par rapport au placebo (p <0,001).
  • -Une étude multicentrique, randomisée, réalisée en double aveugle avec contrôle de placebo, a inclus au total 176 patients (97 de sexe masculin, 79 de sexe féminin, tous âgés de 10 à 17 ans, aux stades de Tanner II à V, patientes au moins 1 an après la ménarche) souffrant d’hypercholestérolémie hétérozygote. Ces patients ont reçu pendant 12 semaines 5 mg, 10 mg ou 20 mg de rosuvastatine par jour ou un placebo. Après cette phase, tous les 173 patients (96 de sexe masculin, 77 de sexe féminin) ont reçu de la rosuvastatine chaque jour pendant 40 semaines. Au début de l'étude, 30% des patients environ étaient âgés de 10 à 13 ans. Parmi les patients, 17%, 18%, 40% et 25% présentaient respectivement un stade de Tanner de II, III, IV et V.
  • +Une étude multicentrique, randomisée, réalisée en double aveugle contrôlée par placebo, a inclus au total 176 patients (97 de sexe masculin, 79 de sexe féminin, tous âgés de 10 à 17 ans, aux stades de Tanner II à V, patientes au moins 1 an après la ménarche) souffrant d’hypercholestérolémie hétérozygote. Ces patients ont reçu pendant 12 semaines 5 mg, 10 mg ou 20 mg de rosuvastatine par jour ou un placebo. Après cette phase, tous les 173 patients (96 de sexe masculin, 77 de sexe féminin) ont reçu de la rosuvastatine chaque jour pendant 40 semaines. Au début de l'étude, 30% des patients environ étaient âgés de 10 à 13 ans. Parmi les patients, 17%, 18%, 40% et 25% présentaient respectivement un stade de Tanner de II, III, IV et V.
  • -L’analyse de la croissance linéaire (taille), du poids, de lindice de masse corporelle (BMI, body mass index) et des caractères sexuels secondaires reflétant le degré de maturité sexuelle (stades de Tanner) chez les patients pédiatriques (âgés de 10 à 17 ans) traités à la rosuvastatine est limitée à une période d’un an. Au bout de 52 semaines de traitement dans le cadre de l’étude, aucun impact sur la croissance, le poids, le BMI ou la maturité sexuelle n’a été constaté.
  • +L’analyse de la croissance linéaire (taille), du poids, de l'IMC (indice de masse corporelle) et des caractères sexuels secondaires reflétant le degré de maturité sexuelle (stades de Tanner) chez les patients pédiatriques (âgés de 10 à 17 ans) traités à la rosuvastatine est limitée à une période d’un an. Au bout de 52 semaines de traitement dans le cadre de l’étude, aucun impact sur la croissance, le poids, l'IMC ou la maturité sexuelle n’a été constaté.
  • -La rosuvastatine subit un métabolisme limité de 10% environ, principalement en dérivé Ndesméthylé. La molécule mère est responsable de plus de 90% de l'activité de la forme circulante active inhibitrice sur l'HMG-CoA réductase.
  • +La rosuvastatine subit un métabolisme limité de 10% environ, principalement en dérivé N-desméthylé. La molécule mère est responsable de plus de 90% de l'activité de la forme circulante active inhibitrice sur l'HMG-CoA réductase.
  • -Dans une étude incluant des volontaires avec différents degrés d'insuffisance hépatique, aucun indice parlant pour une augmentation de l'exposition à la rosuvastatine n’a été mis en évidence, sauf pour 2 personnes présentant une affection hépatique très sévère (scores de Child-Pugh de 8 et 9). Chez ces patients, une augmentation de l’exposition systémique au moins double de celle observée chez des volontaires avec des scores de Child-Pugh inférieurs a été notée.
  • +Dans une étude incluant des volontaires avec différents degrés d'insuffisance hépatique, aucun indice en faveur d'une augmentation de l'exposition à la rosuvastatine n’a été mis en évidence, sauf pour 2 personnes présentant une affection hépatique très sévère (scores de Child-Pugh de 8 et 9). Chez ces patients, une augmentation de l’exposition systémique au moins double de celle observée chez des volontaires avec des scores de Child-Pugh inférieurs a été notée.
  • -Les données précliniques basées sur les études conventionnelles (de pharmacologie de sécurité, de toxicité à doses répétées, de génotoxicité, de carcinogénicité et de toxicologie de reproduction) n'ont pas mis en évidence de risques particuliers pour l’être humain.
  • +Sur la base des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de génotoxicité et de cancérogénicité, les données précliniques ne révèlent aucun risque particulier pour l'être humain. Des études spécifiques sur l'influence de hERG n'ont pas été évaluées. Les effets indésirables ci-après n'ont pas été observés dans les études cliniques mais sont apparus sur les animaux après exposition dans la fourchette thérapeutique humaine: dans les études de toxicité à doses multiples, des modifications histopathologiques du foie, probablement dues à l'action pharmacologique de la rosuvastatine, ont été observées chez la souris, le rat et, dans une moindre mesure, avec des effets dans la vésicule biliaire chez le chien, mais pas chez le singe. En outre, une toxicité testiculaire a été observée chez les singes et les chiens à des doses plus élevées. Chez le rat, la toxicité pour la reproduction a été démontrée par une réduction de la taille et du poids des portées et par une diminution du taux de survie des jeunes animaux. Ces effets ont été observés à des doses toxiques pour la mère, où l'exposition systémique était plusieurs fois supérieure au niveau d'exposition thérapeutique.
  • -Mai 2023
  • +Janvier 2024
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