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Accueil - Information professionnelle sur Imfinzi 120 mg/2.4 ml - Changements - 30.11.2020
56 Changements de l'information professionelle Imfinzi 120 mg/2.4 ml
  • -Durvalumab.
  • +Durvalumab
  • -Les directives concernant la gestion des effets indésirables à médiation immunitaire sont répertoriées dans le Tableau 1. Voir la rubrique «Mises en garde et précautions» pour de plus amples informations sur la surveillance et l'évaluation.
  • +Les directives concernant la gestion des effets indésirables à médiation immunitaire sont répertoriées dans le Tableau 1. Voir la rubrique «Mises en garde et précautions» pour de plus amples informations sur la surveillance et l'évaluation.
  • -Grade 3 avec créatinine sérique > 3 x valeur de référence ou > 3 à 6 x LSN; grade 4 avec créatinine sérique > 6 x LSN Arrêt définitifb
  • +Grade 3 avec créatinine sérique > 3 x valeur de référence ou > 3 à 6 x LSN; grade 4 avec créatinine sérique > 6 x LSN Arrêt définitifb
  • -D'après une analyse pharmacocinétique de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire pour les patients âgés (≥65 ans) (voir «Propriétés/Effets»). Parmi les 476 patients atteints d'un CPNPC inopérable localement avancé (population principalement étudiée pour déterminer l'efficacité), qui ont été traités par Imfinzi, 215 avaient 65 ans ou plus. Globalement, aucune différence cliniquement significative en termes de sécurité n'a été rapportée chez les patients ≥65 ans comparés aux patients plus jeunes. Les données des patients de 75 ans et plus issues de l'étude PACIFIC (7,6%) sont trop limitées pour pouvoir tirer des conclusions concernant cette population.
  • +D'après une analyse pharmacocinétique de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire pour les patients âgés (≥65 ans) (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Parmi les 476 patients atteints d'un CPNPC inopérable localement avancé (population principalement étudiée pour déterminer l'efficacité), qui ont été traités par Imfinzi, 215 avaient 65 ans ou plus. Globalement, aucune différence cliniquement significative en termes de sécurité n'a été rapportée chez les patients ≥65 ans comparés aux patients plus jeunes. Les données des patients de 75 ans et plus issues de l'étude PACIFIC (7,6%) sont trop limitées pour pouvoir tirer des conclusions concernant cette population.
  • -Après administration d'Imfinzi, une pneumonite et une pneumopathie interstitielle à médiation immunitaire, d'issue fatale dans certains cas, sont survenues sans autre étiologie identifiable et ont nécessité une corticothérapie systémique (voir «Effets indésirables»). La pneumonite radique est souvent observée chez les patients traités par radiothérapie des poumons. Les tableaux cliniques de la pneumonite et de la pneumonite radique sont très similaires. Les patients doivent être surveillés pour déceler d'éventuels signes et symptômes d'une pneumonite ou d'une pneumonite radique. Les patients suspectés de pneumonite doivent être évalués à l'aide d'un examen radiographique et traités conformément aux recommandations figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • +Après administration d'Imfinzi, une pneumonite et une pneumopathie interstitielle à médiation immunitaire, d'issue fatale dans certains cas, sont survenues sans autre étiologie identifiable et ont nécessité une corticothérapie systémique (voir «Effets indésirables»). La pneumonite radique est souvent observée chez les patients traités par radiothérapie des poumons. Les tableaux cliniques de la pneumonite et de la pneumonite radique sont très similaires. Les patients doivent être surveillés pour déceler d'éventuels signes et symptômes d'une pneumonite ou d'une pneumonite radique. Une pneumonite suspectée doit être confirmée à l'aide d'un examen radiographique, en excluant d'autres causes, infectieuses ou liées à la maladie, et traités conformément aux recommandations figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • -Après administration d'Imfinzi, une hépatite à médiation immunitaire, d'issue fatale dans certains cas, est survenue sans autre étiologie identifiable et a nécessité une corticothérapie systémique (voir «Effets indésirables»). Il convient de tester régulièrement les patients avant et pendant le traitement par Imfinzi afin de déceler toute anomalie des valeurs hépatiques. L'hépatite à médiation immunitaire doit être traitée conformément aux recommandations figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • +Après administration d'Imfinzi, une hépatite à médiation immunitaire, d'issue fatale dans certains cas, est survenue sans autre étiologie identifiable et a nécessité une corticothérapie systémique (voir «Effets indésirables»). Il convient de tester régulièrement les patients avant et pendant le traitement par Imfinzi afin de déceler toute anomalie des valeurs hépatiques. L'hépatite à médiation immunitaire doit être traitée conformément aux recommandations figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • -En raison du mécanisme d'action d'Imfinzi, d'autres effets indésirables à médiation immunitaire peuvent survenir. Les patients doivent être surveillés pour déceler d'éventuels signes et symptômes et traités conformément aux recommandations figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi». Chez les patients traités par Imfinzi en monothérapie dans le cadre d'études cliniques (n = 3006) les effets indésirables à médiation immunitaire cliniquement significatifs suivants sont survenus avec une fréquence de < 1%: méningite aseptique, anémie hémolytique, purpura thrombopénique immunologique, myocardite, myosite et maladies oculaires inflammatoires, y compris uvéite et kératite. Une polymyosite d'issue fatale a été rapportée chez un patient inclus dans une étude clinique en cours. Dans de rares cas, la myasthénie grave peut apparaître comme un effet indésirable à médiation immunitaire.
  • +En raison du mécanisme d'action d'Imfinzi, d'autres effets indésirables à médiation immunitaire peuvent survenir. Les patients doivent être surveillés pour déceler d'éventuels signes et symptômes et traités conformément aux recommandations figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi». Chez les patients traités par Imfinzi en monothérapie dans le cadre d'études cliniques (n = 3006) les effets indésirables à médiation immunitaire cliniquement significatifs suivants sont survenus avec une fréquence de < 1 %: méningite aseptique, anémie hémolytique, thrombocytopénie immunitaire, myocardite, myosite et maladies oculaires inflammatoires, y compris uvéite et kératite. Une polymyosite d'issue fatale a été rapportée chez un patient inclus dans une étude clinique en cours. Dans de rares cas, la myasthénie grave peut apparaître comme un effet indésirable à médiation immunitaire.
  • -Dans des études sur la reproduction animale menées chez des macaques de Java, l'administration de durvalumab pendant la période de gestation à des doses 6 à 20 fois ou 3 à 11 fois plus élevées que la dose clinique de 10 mg/kg de durvalumab toutes les 2 semaines ou 1500 mg de durvalumab toutes les 3 semaines (niveau d'exposition estimé sur la base de l'ASC) a été associée à des naissances prématurées, à des fausses couches (avortements spontanés et décès in utero) et à une augmentation des cas de décès néonataux (voir «Données précliniques»). Il n'existe pas de données cliniques concernant l'emploi du durvalumab chez la femme enceinte. En raison de son mécanisme d'action, le durvalumab peut avoir un effet sur le maintien de la grossesse et entraîner des anomalies fœtales s'il est administré à des femmes enceintes. Les IgG1 humaines sont capables de passer la barrière placentaire. Imfinzi ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Les femmes en âge de procréer devraient utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et pendant au moins 3 mois après l'administration de la dernière dose.
  • +Dans des études sur la reproduction animale menées chez des macaques de Java, l'administration de durvalumab pendant la période de gestation à des doses 6 à 20 fois ou 3 à 11 fois plus élevées que la dose clinique de 10 mg/kg de durvalumab toutes les 2 semaines ou 1500 mg de durvalumab toutes les 3 semaines (niveau d'exposition estimé sur la base de l'ASC) a été associée à des naissances prématurées, à des fausses couches (avortements spontanés et décès in utero) et à une augmentation des cas de décès néonataux (voir «Données précliniques»).
  • +Il n'existe pas de données cliniques concernant l'emploi du durvalumab chez la femme enceinte. En raison de son mécanisme d'action, le durvalumab peut avoir un effet sur le maintien de la grossesse et entraîner des anomalies fœtales s'il est administré à des femmes enceintes. Les IgG1 humaines sont capables de passer la barrière placentaire. Imfinzi ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Les femmes en âge de procréer devraient utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et pendant au moins 3 mois après l'administration de la dernière dose.
  • -Des données poolées de 3006 patients issues de 9 études sur différents types de tumeurs sont disponibles sur la sécurité d'Imfinzi en monothérapie. L'effet indésirable le plus fréquent (≥20%) était la toux (-21,5%).
  • +Des données poolées de 3006 patients issues de 9 études sur différents types de tumeurs sont disponibles sur la sécurité d'Imfinzi en monothérapie. L'effet indésirable le plus fréquent (≥20 %) était la toux (-21,5 %).
  • -Les effets indésirables de l'ensemble de données poolées rapportés pour les patients traités par le durvalumab en monothérapie pour différents types de tumeurs (n = 3006) sont indiqués dans le tableau 3. Les effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes, selon la terminologie du MedDRA. Au sein des classes de systèmes d'organes, les effets indésirables sont répertoriés par fréquence, puis par degré de gravité, dans l'ordre décroissant. La fréquence des effets indésirables est définie comme suit: Très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1'000), rares (<1/1'000, ≥1/10'000), très rares (<1/10'000) et fréquence inconnue.
  • +Les effets indésirables de l'ensemble de données poolées rapportés pour les patients traités par le durvalumab en monothérapie pour différents types de tumeurs (n = 3006) sont indiqués dans le tableau 3. Les effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes, selon la terminologie du MedDRA. Au sein des classes de systèmes d'organes, les effets indésirables sont répertoriés par fréquence, puis par degré de gravité, dans l'ordre décroissant. La fréquence des effets indésirables est définie comme suit: Très fréquents (≥1/10), fréquents (< 1/10, ≥1/100), «occasionnels» (< 1/100, ≥1/1'000), rares (< 1/1'000, ≥1/10'000), très rares (< 1/10'000) et fréquence inconnue.
  • +Rares Thrombocytopénie immunitaire (<0,1 %) <0,1%
  • +
  • -Hypophysite/insuffisance hypophysaire (<0,1%) <0,1%
  • +Hypophysite/insuffisance hypophysaire (<0,1 %) <0,1%
  • -h Dans l'étude PACIFIC, des pneumonites fatales et des pneumonies fatales ont été observées avec une fréquence similaire dans les groupes Imfinzi et placebo; des hépatites fatales ont été rapportées dans d'autres études cliniques.
  • +h Dans l'étude PACIFIC, des pneumonites fatales et des pneumonies fatales ont été observées avec une fréquence similaire dans les groupes Imfinzi et placebo; des hépatites fatales ont été rapportées dans d'autres études cliniques.
  • -Chez les patients de l'étude PACIFIC ayant subi une chimioradiothérapie concomitante 1 à 42 jours avant le début de l'étude, les effets indésirables les plus fréquents (≥10% des cas) (groupe Imfinzi vs groupe placebo) ont été la toux/toux productive (40,2% vs 30,3% des cas), l'infection des voies respiratoires supérieures (26,1% vs 19,2% des cas), l'éruption cutanée (21,7% vs 12,0% des cas), la diarrhée (18,3% vs 18,8% des cas), la pneumonie (17,1% vs 11,5% des cas) et la fièvre (14,7% vs 9,0% des cas). Les effets indésirables les plus fréquents (≥1%) de grade 3-4 (groupe Imfinzi vs groupe placebo) ont été la pneumonie (6,5% vs 5,6% des cas) et la pneumonite (1,7% vs 1,7% des cas).
  • +Chez les patients de l'étude PACIFIC ayant subi une chimioradiothérapie concomitante 1 à 42 jours avant le début de l'étude, les effets indésirables les plus fréquents (≥10 % des cas) (groupe Imfinzi vs groupe placebo) ont été la toux/toux productive (40,2 % vs 30,3 % des cas), l'infection des voies respiratoires supérieures (26,1 % vs 19,2 % des cas), l'éruption cutanée (21,7 % vs 12,0 % des cas), la diarrhée (18,3 % vs 18,8 % des cas), la pneumonie (17,1 % vs 11,5 % des cas) et la fièvre (14,7 % vs 9,0 % des cas). Les effets indésirables les plus fréquents (≥1 %) de grade 3-4 (groupe Imfinzi vs groupe placebo) ont été la pneumonie (6,5 % vs 5,6 % des cas) et la pneumonite (1,7 % vs 1,7 % des cas).
  • -Les effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes, selon la terminologie du MedDRA. Au sein des classes de systèmes d'organes, les effets indésirables sont répertoriés par fréquence, puis par degré de gravité, dans l'ordre décroissant. La fréquence des effets indésirables est définie comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥/100 à <1/10), peu fréquents (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000) et fréquence inconnue.
  • +Les effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes, selon la terminologie du MedDRA. Au sein des classes de systèmes d'organes, les effets indésirables sont répertoriés par fréquence, puis par degré de gravité, dans l'ordre décroissant. La fréquence des effets indésirables est définie comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥/100 à <1/10), peu fréquents (≥1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000), très rares (<1/10'000) et fréquence inconnue.
  • -b Comprend pneumonie, pneumonie à Pneumocystis jirovecii, , pneumonie à Candida, pneumonie à Legionella, pneumonie adénovirale, pneumonie bactérienne, pneumonie à cytomegalovirus, pneumonie à Haemophilus, pneumonie à pneumocoques et streptocoques.
  • +b Comprend pneumonie, pneumonie à Pneumocystis jirovecii,, pneumonie à Candida, pneumonie à Legionella, pneumonie adénovirale, pneumonie bactérienne, pneumonie à cytomegalovirus, pneumonie à Haemophilus, pneumonie à pneumocoques et streptocoques.
  • -Sous monothérapie par Imfinzi, une hyperthyroïdie à médiation immunitaire est survenue chez 50 patients (1,7%), et aucun cas de grade 3 ou 4 n'a été rapporté. Le délai médian de survenue était de 43 jours (extrêmes: 1-253 jours). Quarante-six patients sur 50 ont reçu un traitement médicamenteux (thiamazole, carbimazole, propylthiouracil, perchlorate, bloqueur des canaux calciques ou bêtabloquant), 11 patients ont été traités par corticothérapie systémique, dont 4 à haute dose (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent par jour). Un patient a été contraint d'interrompre le traitement par Imfinzi en raison d'une hyperthyroïdie à médiation immunitaire. Trente-neuf patients se sont rétablis.
  • +Sous monothérapie par Imfinzi, une hyperthyroïdie à médiation immunitaire est survenue chez 50 patients (1,7 %), et aucun cas de grade 3 ou 4 n'a été rapporté. Le délai médian de survenue était de 43 jours (extrêmes: 1-253 jours). Quarante-six patients sur 50 ont reçu un traitement médicamenteux (thiamazole, carbimazole, propylthiouracil, perchlorate, bloqueur des canaux calciques ou bêtabloquant), 11 patients ont été traités par corticothérapie systémique, dont 4 à haute dose (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent par jour). Un patient a été contraint d'interrompre le traitement par Imfinzi en raison d'une hyperthyroïdie à médiation immunitaire. Trente-neuf patients se sont rétablis.
  • -Code ATC
  • +Code ATC:
  • -L'efficacité d'Imfinzi a été établie dans le cadre de l'étude multicentrique PACIFIC, contrôlée par placebo, randomisée et menée en double chez 713 patients présentant un CPNPC inopérable localement avancé, confirmé par des analyses histologiques ou cytologiques. Les patients avaient subi au moins deux cycles de chimioradiothérapie définitive à base de platine 1 à 42 jours avant le début de l'étude et présentaient un score de performance ECOG de 0 ou 1. 92% des patients ont reçu une dose de rayonnement totale de 54 à 66 Gy. Ont été exclus de cette étude les patients montrant une progression après une chimioradiothérapie, les patients souffrant d'une maladie auto-immune active ou d'un antécédent documenté de maladie auto-immune dans les 2 ans précédant le début de l'étude, les patients immunodéprimés, les patients ayant développé des réactions indésirables graves à médiation immunitaire, les patients atteints de maladies nécessitant une immunosuppression, sauf une dose physiologique de corticoïdes systémiques, les patients souffrant d'une tuberculose active ou d'une hépatite B ou C ou infectés par le VIH et les patients ayant reçu un vaccin vivant atténué dans les 30 jours précédant ou suivant le début du traitement par Imfinzi. Les patients ont été randomisés selon un rapport 2:1 et ont reçu 10 mg/kg d'Imfinzi (n = 476) ou un placebo (n = 237) par perfusion intraveineuse toutes les 2 semaines pendant 12 mois, jusqu'à la survenue d'une toxicité inacceptable ou jusqu'à la progression confirmée de la maladie. La randomisation a été stratifiée selon le sexe, l'âge (< 65 ans vs ≥65 ans) et le statut tabagique (fumeur ou non-fumeur). Des évaluations de la réponse tumorale ont été réalisées toutes les 8 semaines pendant les 12 premiers mois, puis toutes les 12 semaines.
  • +L'efficacité d'Imfinzi a été établie dans le cadre de l'étude multicentrique PACIFIC, contrôlée par placebo, randomisée et menée en double chez 713 patients présentant un CPNPC inopérable localement avancé, confirmé par des analyses histologiques ou cytologiques. Les patients avaient subi au moins deux cycles de chimioradiothérapie définitive à base de platine 1 à 42 jours avant le début de l'étude et présentaient un score de performance ECOG de 0 ou 1. 92 % des patients ont reçu une dose de rayonnement totale de 54 à 66 Gy. Ont été exclus de cette étude les patients montrant une progression après une chimioradiothérapie, les patients souffrant d'une maladie auto-immune active ou d'un antécédent documenté de maladie auto-immune dans les 2 ans précédant le début de l'étude, les patients immunodéprimés, les patients ayant développé des réactions indésirables graves à médiation immunitaire, les patients atteints de maladies nécessitant une immunosuppression, sauf une dose physiologique de corticoïdes systémiques, les patients souffrant d'une tuberculose active ou d'une hépatite B ou C ou infectés par le VIH et les patients ayant reçu un vaccin vivant atténué dans les 30 jours précédant ou suivant le début du traitement par Imfinzi. Les patients ont été randomisés selon un rapport 2:1 et ont reçu 10 mg/kg d'Imfinzi (n = 476) ou un placebo (n = 237) par perfusion intraveineuse toutes les 2 semaines pendant 12 mois, jusqu'à la survenue d'une toxicité inacceptable ou jusqu'à la progression confirmée de la maladie. La randomisation a été stratifiée selon le sexe, l'âge (< 65 ans vs ≥65 ans) et le statut tabagique (fumeur ou non-fumeur). Des évaluations de la réponse tumorale ont été réalisées toutes les 8 semaines pendant les 12 premiers mois, puis toutes les 12 semaines.
  • -Les caractéristiques démographiques et pathologiques à l'inclusion étaient équilibrées entre les groupes de l'étude. La composition de la population totale au début de l'étude était la suivante: hommes (70%), âge ≥65 ans (45%), caucasiens (69%), asiatiques (27%), autres (4%), fumeurs (16%), anciens fumeurs (75%) et non-fumeurs (9%), score OMS/ECOG de 0 (49%), score OMS/ECOG de 1 (51%). Les caractéristiques pathologiques étaient les suivantes: stade IIIA (53%), stade IIIB (45%), sous-groupes histologiques de types squameux (46%), non squameux (54%).
  • +Les caractéristiques démographiques et pathologiques à l'inclusion étaient équilibrées entre les groupes de l'étude. La composition de la population totale au début de l'étude était la suivante: hommes (70 %), âge ≥65 ans (45 %), caucasiens (69 %), asiatiques (27 %), autres (4 %), fumeurs (16 %), anciens fumeurs (75 %) et non-fumeurs (9 %), score OMS/ECOG de 0 (49 %), score OMS/ECOG de 1 (51 %). Les caractéristiques pathologiques étaient les suivantes: stade IIIA (53 %), stade IIIB (45 %), sous-groupes histologiques de types squameux (46 %), non squameux (54 %).
  • -L'étude a démontré une amélioration statistiquement significative de la SG dans le groupe Imfinzi comparativement au groupe placebo [risque relatif (RR) = 0,68 (IC à 95%: 0,53 à 0,87), p = 0,00251]. Au moment de l'analyse provisoire de la SG (22 mars 2018), la durée médiane de suivi était de 25,2 mois ; 299 patients (183 (38,4%) dans le groupe durvalumab et 116 patients (48,9%) dans le groupe placebo) étaient décédés. La survie globale médiane n'avait pas encore été atteinte dans le groupe durvalumab ; dans le groupe placebo, elle était de 28,7 mois selon l'estimation de Kaplan-Meier. La survie globale après 24 mois était de 66,3% dans le groupe Imfinzi et de 55,6% dans le groupe placebo.
  • -À la date de l'analyse intermédiaire (13 février 2017) par un comité d'examen central indépendant agissant en aveugle conformément aux critères RECIST 1.1, l'étude a montré une amélioration statistiquement significative de la SSP dans le groupe Imfinzi comparé au groupe placebo [RR = 0,52 (IC à 95%: 0,42 à ; 0,65), p < 0,0001]. À cette date, 371 patients (214 (45,0%) dans le groupe durvalumab et 157 (66,2%) dans le groupe placebo présentaient une progression de la maladie ou étaient décédés1. La SSP médiane selon l'estimation de Kaplan-Meier a été de 16,8 mois dans le groupe Imfinzi et de 5,6 mois dans le groupe placebo. La SSP à 12 mois a été de 55,9% dans le groupe Imfinzi et de 35,5% dans le groupe placebo. La SSP à 18 mois a été de 44,2% dans le groupe Imfinzi et de 27,0% dans le groupe placebo. Des améliorations de la SG et de la SSP au bénéfice des patients du groupe Imfinzi par rapport au groupe placebo ont été observées en permanence dans l'ensemble des sous-groupes prédéfinis analysés (groupe ethnique, âge, sexe, statut tabagique, statut de mutation de l'EGFR et histologie).
  • -Dans le groupe traité par Imfinzi, un effet indésirable d'issue fatale est survenu chez 21 patients (4,4%), et un effet indésirable d'issue fatale est survenu chez 14 patients (6,0%) du groupe placebo.
  • +L'étude a démontré une amélioration statistiquement significative de la SG dans le groupe Imfinzi comparativement au groupe placebo [risque relatif (RR) = 0,68 (IC à 95 %: 0,53 à 0,87), p = 0,00251]. Au moment de l'analyse provisoire de la SG (22 mars 2018), la durée médiane de suivi était de 25,2 mois; 299 patients (183 (38,4 %) dans le groupe durvalumab et 116 patients (48,9 %) dans le groupe placebo) étaient décédés. La survie globale médiane n'avait pas encore été atteinte dans le groupe durvalumab; dans le groupe placebo, elle était de 28,7 mois selon l'estimation de Kaplan-Meier. La survie globale après 24 mois était de 66,3 % dans le groupe Imfinzi et de 55,6 % dans le groupe placebo.
  • +À la date de l'analyse intermédiaire (13 février 2017) par un comité d'examen central indépendant agissant en aveugle conformément aux critères RECIST 1.1, l'étude a montré une amélioration statistiquement significative de la SSP dans le groupe Imfinzi comparé au groupe placebo [RR = 0,52 (IC à 95 %: 0,42 à; 0,65), p < 0,0001]. À cette date, 371 patients (214 (45,0 %) dans le groupe durvalumab et 157 (66,2 %) dans le groupe placebo présentaient une progression de la maladie ou étaient décédés1. La SSP médiane selon l'estimation de Kaplan-Meier a été de 16,8 mois dans le groupe Imfinzi et de 5,6 mois dans le groupe placebo. La SSP à 12 mois a été de 55,9 % dans le groupe Imfinzi et de 35,5 % dans le groupe placebo. La SSP à 18 mois a été de 44,2 % dans le groupe Imfinzi et de 27,0 % dans le groupe placebo. Des améliorations de la SG et de la SSP au bénéfice des patients du groupe Imfinzi par rapport au groupe placebo ont été observées en permanence dans l'ensemble des sous-groupes prédéfinis analysés (groupe ethnique, âge, sexe, statut tabagique, statut de mutation de l'EGFR et histologie).
  • +Dans le groupe traité par Imfinzi, un effet indésirable d'issue fatale est survenu chez 21 patients (4,4 %), et un effet indésirable d'issue fatale est survenu chez 14 patients (6,0 %) du groupe placebo.
  • -Sur les 713 patients randomisés de l'étude PACIFIC, 451 (63%) ont fourni un échantillon de tissu d'une qualité et d'une quantité suffisantes pour déterminer l'expression du PD-L1. Parmi les 451 échantillons, 33% présentaient une expression du PD-L1 sur les cellules tumorales < 1%, 67% une expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1%, 32% une expression du PD-L1 sur les cellules tumorales 1 - < 25%, 35% une expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥25%.
  • -Les analyses post-hoc en sous-groupes ont été effectuées afin d'évaluer l'efficacité dans les cas supplémentaires présentant des niveaux d'expression tumorale PD-L1 (< 1%, ≥1%, 1 à < 25%) qui n'étaient pas prévus dans le plan d'analyse statistique.
  • +Sur les 713 patients randomisés de l'étude PACIFIC, 451 (63 %) ont fourni un échantillon de tissu d'une qualité et d'une quantité suffisantes pour déterminer l'expression du PD-L1. Parmi les 451 échantillons, 33 % présentaient une expression du PD-L1 sur les cellules tumorales < 1 %, 67 % une expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1 %, 32 % une expression du PD-L1 sur les cellules tumorales 1 - < 25 %, 35 % une expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥25 %.
  • +Les analyses post-hoc en sous-groupes ont été effectuées afin d'évaluer l'efficacité dans les cas supplémentaires présentant des niveaux d'expression tumorale PD-L1 (< 1 %, ≥1 %, 1 à < 25 %) qui n'étaient pas prévus dans le plan d'analyse statistique.
  • -Dans le sous-groupe ne présentant pas d'expression du PD-L1 (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales < 1%), le RR de la SSP était de 0,73 ; IC à 95%: 0,48 à 1,11.
  • -Pour les sous-groupes analysés présentant une expression du PD-L1 positive (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1%) et les patients dont le statut d'expression PD-L1 ne pouvait être établi (PD-L1 sur les cellules tumorales inconnu), les résultats suivants ont été observés: expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1% RR: 0,46 ; IC à 95%: 0,33 à 0,64 ; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales jusqu'à < 25% RR: 0,49 ; IC à 95%: 0,30 à 0,80 ; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥25% RR: 0,41 ; IC à 95%: 0,26 à 0,65 ; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales inconnue RR: 0,59 ; IC à 95%: 0,42 à 0,83).
  • +Dans le sous-groupe ne présentant pas d'expression du PD-L1 (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales < 1 %), le RR de la SSP était de 0,73; IC à 95 %: 0,48 à 1,11.
  • +Pour les sous-groupes analysés présentant une expression du PD-L1 positive (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1 %) et les patients dont le statut d'expression PD-L1 ne pouvait être établi (PD-L1 sur les cellules tumorales inconnu), les résultats suivants ont été observés: expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1 % RR: 0,46; IC à 95 %: 0,33 à 0,64; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales jusqu'à < 25 % RR: 0,49; IC à 95 %: 0,30 à 0,80; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥25 % RR: 0,41; IC à 95 %: 0,26 à 0,65; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales inconnue RR: 0,59; IC à 95 %: 0,42 à 0,83).
  • -Dans le sous-groupe ne présentant pas d'expression du PD-L1 (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales <1%), le RR de la SG était de 1,36 ; IC à 95%: 0,79 à 2,34.
  • -Pour les sous-groupes analysés présentant une expression du PD-L1 positive (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1%) et les patients dont le statut d'expression PD-L1 ne pouvait être établi (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales inconnue), les résultats suivants ont été observés: expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1% RR: 0,53 ; IC à 95%: 0,36 à 0,77 ; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales 1 à < 25% RR: 0,60 ; IC à 95%: 0,35 à 1,03 ; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥25% RR: 0,46 ; IC à 95%: 0,27 à 0,78 ; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales inconnue RR: 0,62 ; IC à 95%: 0,43 à 0,89.
  • +Dans le sous-groupe ne présentant pas d'expression du PD-L1 (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales <1 %), le RR de la SG était de 1,36; IC à 95 %: 0,79 à 2,34.
  • +Pour les sous-groupes analysés présentant une expression du PD-L1 positive (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1 %) et les patients dont le statut d'expression PD-L1 ne pouvait être établi (expression du PD-L1 sur les cellules tumorales inconnue), les résultats suivants ont été observés: expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥1 % RR: 0,53; IC à 95 %: 0,36 à 0,77; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales 1 à < 25 % RR: 0,60; IC à 95 %: 0,35 à 1,03; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales ≥25 % RR: 0,46; IC à 95 %: 0,27 à 0,78; expression du PD-L1 sur les cellules tumorales inconnue RR: 0,62; IC à 95 %: 0,43 à 0,89.
  • -L'efficacité d'Imfinzi associé à l'étoposide et soit au carboplatine soit au cisplatine chez les patients ES-SCLC naïfs de traitement a été évaluée dans CASPIAN, une étude en ouvert, multicentrique, randomisée, avec contrôle actif. L'état de santé général selon WHO/ECOG des patients admissibles était de 0 ou 1 avec un poids corporel >30 kg; ils étaient éligibles à une chimiothérapie à base de platine comme traitement de première ligne du SCLC et avaient une espérance de vie ≥12 semaines. Les patients avec métastases cérébrales asymptomatiques ou traitées, les patients avec au moins une lésion cible selon RECIST 1.1 et une fonction organique et médullaire suffisante étaient également éligibles. Le choix des sels de platine était laissé à la discrétion de l'investigateur compte tenu de la clairance de la créatinine calculée. Les patients exclus étaient les patients avec antécédents de radiothérapie thoracique ou une radiothérapie thoracique de consolidation planifiée; intervention chirurgicale majeure dans les 28 jours avant la première dose; maladie intercurrente non contrôlée; carcinomatose leptoméningée; antécédents d'immunodéficience primaire active; maladie auto-immune y compris syndrome paranéoplasique (SNP) ; maladie auto-immune active ou documentée ou maladies inflammatoires; utilisation d'immunosuppresseurs systémiques dans les 14 jours avant la première administration du traitement, à l'exception de doses physiologiques de corticostéroïdes systémiques; infection active, y compris la tuberculose, l'hépatite B ou C, ou le VIH et patients ayant reçu un vaccin vivant atténué dans les 30 jours précédant le début du traitement par Imfinzi ou devant le recevoir.
  • +L'efficacité d'Imfinzi associé à l'étoposide et soit au carboplatine soit au cisplatine chez les patients ES-SCLC naïfs de traitement a été évaluée dans CASPIAN, une étude en ouvert, multicentrique, randomisée, avec contrôle actif. L'état de santé général selon WHO/ECOG des patients admissibles était de 0 ou 1 avec un poids corporel >30 kg; ils étaient éligibles à une chimiothérapie à base de platine comme traitement de première ligne du SCLC et avaient une espérance de vie ≥12 semaines. Les patients avec métastases cérébrales asymptomatiques ou traitées, les patients avec au moins une lésion cible selon RECIST 1.1 et une fonction organique et médullaire suffisante étaient également éligibles. Le choix des sels de platine était laissé à la discrétion de l'investigateur compte tenu de la clairance de la créatinine calculée. Les patients exclus étaient les patients avec antécédents de radiothérapie thoracique ou une radiothérapie thoracique de consolidation planifiée; intervention chirurgicale majeure dans les 28 jours avant la première dose; maladie intercurrente non contrôlée; carcinomatose leptoméningée; antécédents d'immunodéficience primaire active; maladie auto-immune y compris syndrome paranéoplasique (SNP); maladie auto-immune active ou documentée ou maladies inflammatoires; utilisation d'immunosuppresseurs systémiques dans les 14 jours avant la première administration du traitement, à l'exception de doses physiologiques de corticostéroïdes systémiques; infection active, y compris la tuberculose, l'hépatite B ou C, ou le VIH et patients ayant reçu un vaccin vivant atténué dans les 30 jours précédant le début du traitement par Imfinzi ou devant le recevoir.
  • -·Prélevez la quantité de solution requise dans le flacon perforable d'Imfinzi et ajoutez-la à une poche pour perfusion intraveineuse contenant une solution de chlorure de sodium à 0,9% ou de dextrose à 5%. Mélangez cette solution diluée par inversion avec précaution. La concentration finale de la solution diluée doit se situer entre 1 et 15 mg/ml. Ne pas congeler et ne pas agiter la solution.
  • +·Prélevez la quantité de solution requise dans le flacon perforable d'Imfinzi et ajoutez-la à une poche pour perfusion intraveineuse contenant une solution de chlorure de sodium à 0,9 % ou de dextrose à 5 %. Mélangez cette solution diluée par inversion avec précaution. La concentration finale de la solution diluée doit se situer entre 1 et 15 mg/ml. Ne pas congeler et ne pas agiter la solution.
  • -66548 (Swissmedic).
  • +66548 (Swissmedic)
  • -AstraZeneca AG, 6340 Baar.
  • +AstraZeneca AG, 6340 Baar
  • -Octobre 2020.
  • +Novembre 2020
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