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Accueil - Information professionnelle sur Tremfya 100 mg/1 ml - Changements - 15.12.2020
30 Changements de l'information professionelle Tremfya 100 mg/1 ml
  • -TREMFYA est indiqué dans le traitement du psoriasis en plaques modéré à sévère chez les patients adultes ayant présenté une réponse insuffisante à d'autres traitements systémiques tels que la ciclosporine, le méthotrexate (MTX) ou la PUVA (psoralène et UV-A) ou présentant une contre-indication ou une intolérance à de tels traitements.
  • +TREMFYA est indiqué dans le traitement de patients adultes atteints de psoriasis en plaques chronique, modéré à sévère, qui sont éligibles à un traitement systémique.
  • -Avant d'instaurer le traitement, le médecin doit s'assurer que le patient a compris que TREMFYA est un nouveau traitement dont l'expérience est limitée et les risques à long terme inconnus. L'efficacité et la sécurité de TREMFYA sont démontrées sur une période allant jusqu'à 1 an.
  • -On ignore si le guselkumab est excrété dans le lait maternel humain. Comme de nombreux médicaments et immunoglobulines sont excrétés dans le lait maternel et que le guselkumab est associé à un risque potentiel d'effets indésirables chez l'enfant allaité, la décision d'arrêter l'allaitement ou le traitement par TREMFYA doit être prise en tenant compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement par TREMFYA pour la femme.
  • +On ignore si le guselkumab est excrété dans le lait maternel humain. Les IgG humaines sont connues pour être excrétées dans le lait maternel au cours des premiers jours suivant l'accouchement et pour diminuer à de faibles concentrations peu de temps après; par conséquent, un risque pour le nourrisson allaité ne peut être exclu pendant cette période. La décision d'interrompre le traitement par TREMFYA ou de s'abstenir d'instaurer le traitement doit être prise en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement par TREMFYA pour la femme. Pour les informations relatives à l'excrétion du guselkumab dans le lait maternel chez l'animal, voir «Données précliniques».
  • -Le profil de sécurité de TREMFYA chez les patients atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère repose sur les données d'une étude de phase II et de quatre études de phase III. Parmi les 1823 patients traités par TREMFYA, 1393 patients y ont été exposés pendant au moins 6 mois (24 semaines) et 728 patients pendant au moins 1 an (c.-à-d. traités jusqu'à la semaine 48). La plupart des patients (n=1658) ont reçu un schéma posologique de 100 mg de TREMFYA en injection sous-cutanée toutes les 8 semaines. L'effet indésirable (EI) le plus fréquent (>1%) était l'infection des voies respiratoires supérieures.
  • +Le profil de sécurité de TREMFYA chez les patients atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère repose sur les données d'une étude de phase II et de quatre études de phase III. Parmi les 2711 patients traités par TREMFYA, 2255 patients y ont été exposés pendant au moins 1 an (c.-à-d. traités jusqu'à la semaine 48) et respectivement 1516 et 692 patients y ont été exposés pendant au moins 2 et 3 ans. La plupart des patients (n=2546) ont reçu un schéma posologique de 100 mg de TREMFYA en injection sous-cutanée toutes les 8 semaines.
  • +L'effet indésirable (EI) le plus fréquent (>1%) était l'infection des voies respiratoires supérieures.
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Description d'effets indésirables sélectionnés
  • +Description de certains effets indésirables
  • -Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III, l'incidence des gastro-entérites a été plus élevée dans le groupe traité par TREMFYA (1,1%) que dans le groupe placebo (0,7%). Ces effets indésirables à type de gastro-entérite étaient non graves et n'ont pas conduit à l'arrêt du traitement par TREMFYA jusqu'à la semaine 48.
  • +Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III, l'incidence des gastro-entérites a été plus élevée dans le groupe traité par TREMFYA (1,1%) que dans le groupe placebo (0,7%). Jusqu'à la semaine 156, 4,9% de tous les patients traités par TREMFYA ont rapporté une gastro-entérite. Ces effets indésirables à type de gastro-entérite étaient non graves et n'ont pas conduit à l'arrêt du traitement par TREMFYA jusqu'à la semaine 48.
  • -Lors de deux études cliniques de phase III, des réactions au site d'injection sont survenues lors de 0,7% des injections de TREMFYA et de 0,3% des injections de placebo jusqu'à la semaine 48. Les effets indésirables de type d'érythème et de douleurs au site d'injection étaient les événements associés aux réactions au site d'injection les plus fréquemment rapportés et étaient tous d'intensité légère à modérée. Aucun de ces événements n'a été grave et aucun n'a conduit à l'arrêt du traitement par TREMFYA.
  • +Lors de deux études cliniques de phase III, des réactions au site d'injection sont survenues lors de 0,7% des injections de TREMFYA et de 0,3% des injections de placebo jusqu'à la semaine 48. Jusqu'à la semaine 156, 0,5% des injections de TREMFYA ont été associées à des réactions au site d'injection. Les effets indésirables de type d'érythème et de douleurs au site d'injection étaient les événements associés aux réactions au site d'injection les plus fréquemment rapportés et étaient tous d'intensité légère à modérée. Aucun de ces événements n'a été grave et aucun n'a conduit à l'arrêt du traitement par TREMFYA.
  • -L'immunogénicité de TREMFYA a été évaluée à l'aide d'une méthode sensible de dosage immunologique, tolérante au médicament.
  • -D'après l'analyse des données regroupées des études de phase II et de phase III, moins de 6% des patients traités par TREMFYA ont développé des anticorps anti-médicament pendant une durée de traitement allant jusqu'à 52 semaines. Parmi les patients ayant développé des anticorps anti-médicament, environ 7% présentaient des anticorps classés comme neutralisants, soit 0,4% de l'ensemble des patients traités par TREMFYA.
  • +L'immunogénicité de TREMFYA a été évaluée à l'aide d'une méthode sensible de dosage immunologique, tolérante au médicament. D'après l'analyse des données regroupées des études de phase II et de phase III, moins de 6% des patients traités par TREMFYA ont développé des anticorps anti-médicament pendant une durée de traitement allant jusqu'à 52 semaines. Parmi les patients ayant développé des anticorps anti-médicament, environ 7% présentaient des anticorps classés comme neutralisants, soit 0,4% de l'ensemble des patients traités par TREMFYA. Dans l'analyse des données regroupées des études de phase III, environ 9% des patients traités par TREMFYA ont développé des anticorps anti-médicament pendant jusqu'à 156 semaines de traitement.
  • -Les patients randomisés dans le groupe guselkumab ont reçu 100 mg aux semaines 0 et 4, puis toutes les 8 semaines jusqu'à la semaine 48 (VOYAGE 1) ou jusqu'à la semaine 20 (VOYAGE 2). Les patients randomisés dans le groupe adalimumab ont reçu 80 mg à la semaine 0 et 40 mg à la semaine 1, puis 40 mg toutes les deux semaines jusqu'à la semaine 48 (VOYAGE 1) ou jusqu'à la semaine 23 (VOYAGE 2). Dans les deux études, les patients randomisés dans le groupe placebo ont reçu 100 mg de guselkumab aux semaines 16 et 20, puis toutes les 8 semaines. Dans l'étude VOYAGE 2, les patients qui avaient été randomisés dans le groupe guselkumab à la semaine 0 et présentaient une amélioration du PASI (Psoriasis Area and Severity Index) d'au moins 90% (réponse PASI 90) à la semaine 28 ont été re-randomisés soit pour poursuivre le traitement par le guselkumab toutes les 8 semaines (traitement d'entretien), soit pour recevoir le placebo (arrêt du traitement). Les patients appartenant au dernier groupe (re-randomisation après placebo) ont à nouveau été traités par le guselkumab en cas de perte de 50% de l'amélioration de leur PASI à la semaine 28. Les patients du groupe guselkumab sans réponse PASI 90 ont poursuivi le traitement par le guselkumab. Chez les patients qui avaient été randomisés dans le groupe adalimumab et qui présentaient une réponse PASI 90 à la semaine 28, le traitement a été arrêté et un traitement par le guselkumab a été instauré en cas de perte de 50% de l'amélioration du PASI à la semaine 28. Les patients du groupe adalimumab qui n'ont pas obtenu de réponse PASI 90 ont reçu le guselkumab pour la première fois aux semaines 28 et 32, puis toutes les 8 semaines. Tous les patients ont été suivis pendant jusqu'à 48 semaines après la première administration du traitement de l'étude.
  • +Les patients randomisés dans le groupe guselkumab ont reçu 100 mg aux semaines 0 et 4, puis toutes les 8 semaines jusqu'à la semaine 48 (VOYAGE 1) ou jusqu'à la semaine 20 (VOYAGE 2). Les patients randomisés dans le groupe adalimumab ont reçu 80 mg à la semaine 0 et 40 mg à la semaine 1, puis 40 mg toutes les deux semaines jusqu'à la semaine 48 (VOYAGE 1) ou jusqu'à la semaine 23 (VOYAGE 2). Dans les deux études, les patients randomisés dans le groupe placebo ont reçu 100 mg de guselkumab aux semaines 16 et 20, puis toutes les 8 semaines. Dans l'étude VOYAGE 1, tous les patients, y compris ceux qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab à la semaine 0, ont reçu 100 mg de guselkumab en ouvert à la semaine 52, puis toutes les 8 semaines. Dans l'étude VOYAGE 2, les patients qui avaient été randomisés dans le groupe guselkumab à la semaine 0 et présentaient une amélioration du PASI (Psoriasis Area and Severity Index) d'au moins 90% (réponse PASI 90) à la semaine 28 ont été re-randomisés soit pour poursuivre le traitement par le guselkumab toutes les 8 semaines (traitement d'entretien), soit pour recevoir le placebo (arrêt du traitement). Les patients appartenant au dernier groupe (re-randomisation après placebo) ont à nouveau été traités par le guselkumab après la perte d'au moins 50% de l'amélioration de leur PASI à la semaine 28 (posologie au moment de la reprise du traitement ainsi que 4 semaines plus tard, puis toutes les 8 semaines). Les patients du groupe guselkumab sans réponse PASI 90 ont poursuivi le traitement par le guselkumab. Chez les patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab et qui présentaient une réponse PASI 90 à la semaine 28, le traitement a été arrêté et un traitement par le guselkumab a été instauré en cas de perte d'au moins 50% de l'amélioration du PASI à la semaine 28. Les patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab à la semaine 0 et qui n'avaient pas obtenu de réponse PASI 90 ont reçu le guselkumab aux semaines 28 et 32, puis toutes les 8 semaines. Tous les sujets de l'étude ont reçu le guselkumab en ouvert toutes les 8 semaines à partir de la semaine 76.
  • +Dans l'étude VOYAGE 1, le taux de réponse PASI 90 chez les patients sous traitement continu par le guselkumab a été maintenu dans la plupart des cas pendant la période en ouvert de la semaine 52 à la semaine 156. Chez les patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab à la semaine 0 et qui sont passés au guselkumab à la semaine 52, le taux de réponse PASI 90 a augmenté entre la semaine 52 et la semaine 76 comprise, puis a été maintenu pendant la période en ouvert jusqu'à la semaine 156.
  • -Dans l'étude VOYAGE 2, à la semaine 48, 88,6% des patients ayant reçu un traitement d'entretien par le guselkumab présentaient une réponse PASI 90 versus 36,8% des patients ayant arrêté le traitement à la semaine 28 (p <0,001). Une perte de la réponse PASI 90 a été observée dès 4 semaines après l'arrêt du traitement par le guselkumab avec un délai médian de perte de la réponse PASI 90 d'environ 15 semaines. 84,1% des patients ayant arrêté le traitement par le guselkumab et l'ayant repris ultérieurement ont obtenu une réponse PASI 90 dans les 16 à 20 semaines après la reprise du traitement par le guselkumab.
  • +Dans l'étude VOYAGE 2, à la semaine 48, 88,6% des patients ayant reçu un traitement d'entretien par le guselkumab présentaient une réponse PASI 90 versus 36,8% des patients ayant arrêté le traitement à la semaine 28 (p <0,001). Une perte de la réponse PASI 90 a été observée dès 4 semaines après l'arrêt du traitement par le guselkumab avec un délai médian de perte de la réponse PASI 90 d'environ 15 semaines. Quatre-vingts pour cent des patients ayant arrêté le traitement par le guselkumab et l'ayant repris ultérieurement ont obtenu une rémission PASI 90 lors de l'évaluation réalisée 20 semaines après le début de la reprise du traitement. Dans l'étude VOYAGE 2, respectivement 36% et 41% des 95 patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous guselkumab et qui n'avaient pas obtenu de réponse PASI 90 à la semaine 28 ont obtenu une réponse PASI 90 après 20 et 44 semaines de poursuite du traitement par le guselkumab.
  • +ECLIPSE
  • +L'efficacité et la sécurité du guselkumab ont également été évaluées dans une étude en double aveugle versus sécukinumab. Les patients ont été randomisés pour recevoir le guselkumab (N = 534;100 mg aux semaines 0 et 4, puis toutes les 8 semaines) ou le sécukinumab (N = 514; 300 mg aux semaines 0, 1, 2, 3, 4, puis toutes les 4 semaines). La dernière dose était administrée à la semaine 44 dans les deux groupes de traitement.
  • +Le guselkumab était supérieur au sécukinumab en ce qui concerne le critère d'évaluation principal, la réponse PASI 90 à la semaine 48 (84,5% contre 70,0%, p < 0,001).
  • -Linéarité/Non linéarité
  • +Linéarité/non-linéarité
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée pour déterminer les effets de l'insuffisance rénale ou hépatique sur la pharmacocinétique du guselkumab. On s'attend à ce que l'élimination rénale du guselkumab intact, un AcM IgG, soit faible et d'importance mineure; de même, l'insuffisance hépatique ne devrait pas influer sur la clairance du guselkumab car les AcM IgG sont principalement éliminés par catabolisme intracellulaire.
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée pour déterminer les effets de l'insuffisance rénale ou hépatique sur la pharmacocinétique du guselkumab. On s'attend à ce que l'élimination rénale du guselkumab intact, un AcM IgG, soit faible et d'importance mineure; de même, l'insuffisance hépatique ne devrait pas influer sur la clairance du guselkumab, car les AcM IgG sont principalement éliminés par catabolisme intracellulaire.
  • -Dans une étude sur l'évaluation combinée de la toxicité pendant le développement embryofœtal et le développement prénatal et postnatal, des macaques crabiers gravides (respectivement 19, 20 et 20 animaux dans les groupes ayant reçu 0, 10 ou 50 mg/kg) ont reçu des doses sous-cutanées hebdomadaires de guselkumab du début de l'organogenèse jusqu'à la mise bas. Chez 1 des 16 guenons du groupe contrôle et chez 3 des 14 guenons de tous les groupes ayant reçu le guselkumab, des morts néonatales sont survenues chez les jeunes (les taux de Cmax et d'AUClast étaient 31 et 8 fois supérieurs aux concentrations chez l'homme). Ces morts néonatales ont été attribuées à un manque de soins de la part de la mère, à un traumatisme ou à une naissance prématurée ou tardive, même si un effet dû au principe actif n'était pas exclu. À tous les paliers de doses, des pertes fœtales (avortements spontanés, y compris mort-nés) ont en outre été observées, toutes situées dans la fourchette du contrôle historique du laboratoire, mais pour lesquelles un effet dû au principe actif n'était pas exclu. L'importance clinique de ces observations n'est pas connue. Aucun effet du guselkumab sur le développement fonctionnel ou immunologique des jeunes animaux n'a été constaté entre la naissance et l'âge de 6 mois.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Dans une étude sur l'évaluation combinée de la toxicité pendant le développement embryofœtal et le développement prénatal et postnatal, des macaques crabiers gravides (respectivement 19, 20 et 20 animaux dans les groupes ayant reçu 0, 10 ou 50 mg/kg) ont reçu des doses sous-cutanées hebdomadaires de guselkumab du début de l'organogenèse jusqu'à la mise bas. Lors d'une mesure réalisée au jour 28 après la naissance, le guselkumab n'était pas détectable dans le lait maternel de macaques crabiers. Chez 1 des 16 guenons du groupe contrôle et chez 3 des 14 guenons de tous les groupes ayant reçu le guselkumab, des morts néonatales sont survenues chez les jeunes (les taux de Cmax et d'AUClast étaient 31 et 8 fois supérieurs aux concentrations chez l'homme). Ces morts néonatales ont été attribuées à un manque de soins de la part de la mère, à un traumatisme ou à une naissance prématurée ou tardive, même si un effet dû au principe actif n'était pas exclu. À tous les paliers de doses, des pertes fœtales (avortements spontanés, y compris mort-nés) ont en outre été observées, toutes situées dans la fourchette du contrôle historique du laboratoire, mais pour lesquelles un effet dû au principe actif n'était pas exclu. L'importance clinique de ces observations n'est pas connue. Aucun effet du guselkumab sur le développement fonctionnel ou immunologique des jeunes animaux n'a été constaté entre la naissance et l'âge de 6 mois.
  • -Après avoir sorti Tremfya du réfrigérateur, laisser la seringue préremplie ou le stylo prérempli dans le carton et attendre 30 minutes avant d'injecter TREMFYA, afin que la solution puisse atteindre la température ambiante. Ne pas secouer la seringue préremplie ou le stylo prérempli.
  • +Après avoir sorti TREMFYA du réfrigérateur, laisser la seringue préremplie ou le stylo prérempli dans le carton et attendre 30 minutes avant d'injecter TREMFYA, afin que la solution puisse atteindre la température ambiante. Ne pas secouer la seringue préremplie ou le stylo prérempli.
  • -Août 2020.
  • +Octobre 2020.
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