36 Changements de l'information professionelle Tremfya 100 mg/1 ml |
-Comme aucune donnée n'est disponible concernant la réponse aux vaccins sous traitement par TREMFYA, l'administration concomitante de TREMFYA et de vaccins vivants doit être évitée (voir «Mises en garde et précautions»).
-Le profil de sécurité de TREMFYA repose sur les données d'études de phase II et de phase III incluant 3940 patients, dont 2711 patients atteints de psoriasis en plaques ayant été traités par 100 mg de TREMFYA aux semaines 0 et 4, puis toutes les 8 semaines (q8s), et 1229 patients atteints d'arthrite psoriasique ayant été traités soit par 100 mg de TREMFYA aux semaines 0 et 4, puis q8s, soit par 100 mg de TREMFYA toutes les 4 semaines. Dans les études de phase II et de phase III portant sur le psoriasis en plaques et l'arthrite psoriasique, 2925 patients ont été exposés pendant au moins 1 an, et respectivement 1516 et 692 patients atteints de psoriasis pendant au moins 2 et 3 ans.
-Les infections des voies respiratoires ont constitué l'effet indésirable (EI) le plus fréquent (13,9%).
- +Le profil de sécurité de TREMFYA repose sur les données d'études de phase II et de phase III incluant 3940 patients, dont 2711 patients atteints de psoriasis en plaques ayant été traités par 100 mg de TREMFYA aux semaines 0 et 4, puis toutes les 8 semaines (q8s), et 1229 patients atteints d'arthrite psoriasique ayant été traités soit par 100 mg de TREMFYA aux semaines 0 et 4, puis q8s, soit par 100 mg de TREMFYA toutes les 4 semaines. Dans les études de phase II et de phase III portant sur le psoriasis en plaques et l'arthrite psoriasique, 3223 patients ont été exposés pendant au moins 1 an, respectivement 1917 et 1482 patients atteints de psoriasis pendant au moins 2 et 3 ans, et respectivement 1393 et 950 patients atteints de psoriasis ont été exposés pendant au moins 4 et 5 ans.
- +Les infections des voies respiratoires ont constitué l'effet indésirable (EI) le plus fréquent (19,9 pour 100 patients-années).
-Les effets indésirables provenant d'études cliniques portant sur le psoriasis, d'études cliniques portant sur l'arthrite psoriasique et de l'expérience post-commercialisation sont présentés par classes de systèmes d'organes MedDRA et par fréquence, selon la convention suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 et <1/10), occasionnels (≥1/1000 et <1/100), rares (≥1/10'000 et <1/1000), très rares (≥1/10'000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Les effets indésirables provenant d'études cliniques et de l'expérience post-commercialisation sont présentés ci-dessous. La fréquence des effets indésirables est basée sur leur apparition dans des parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques de phase III portant sur le psoriasis (VOYAGE 1 et VOYAGE 2) et l'arthrite psoriasique (DISCOVER 1 et DISCOVER 2) avec le schéma posologique TREMFYA 100 mg q8s. Les effets indésirables sont classés par classe de systèmes d'organes MedDRA et par fréquence pour 100 patients-années, selon la convention suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 et <1/10), occasionnels (≥1/1000 et <1/100), rares (≥1/10'000 et <1/1000), très rares (≥1/10'000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Très fréquents: infections des voies respiratoires (13,9%).
-Occasionnels: infections à Herpes simplex, dermatophytoses, gastroentérite.
- +Très fréquents: infections des voies respiratoires (19,9 pour 100 patients-années).
- +Fréquents: infections à Herpes simplex, dermatophytoses, gastroentérite.
-Occasionnels: neutropénie.
- +Rares: nombre de neutrophiles réduit.
-Occasionnels: hypersensibilité, anaphylaxie.
- +Occasionnels: hypersensibilité.
- +Rares: anaphylaxie.
-Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III portant sur l'arthrite psoriasique, une élévation des transaminases (incluant: alanine aminotransférase (ALT) élevée, aspartate aminotransférase (AST) élevée, enzymes hépatiques élevées, transaminases élevées, tests de la fonction hépatique anormaux, hypertransaminasémie) a été plus fréquemment rapportée comme effet indésirable dans le groupe traité par TREMFYA (8,4%) que dans le groupe placebo (4,6%). Sur une période de 1 an, des événements indésirables comprenant une élévation des transaminases ont été rapportés chez 12,3% des patients dans le groupe traité par TREMFYA. Dans la majorité des cas, l'augmentation des transaminases a été légère et transitoire et n'a pas entraîné l'arrêt du traitement. Sur la base des analyses de laboratoire, pendant toute la période contrôlée contre placebo, des élévations de la bilirubine ont également été plus fréquemment rapportées dans le groupe traité par TREMFYA (5,8%) que dans le groupe placebo (2,2%). Aucune augmentation supérieure à 3 fois la valeur normale supérieure n'a été observée. Les élévations de la bilirubine n'étaient généralement pas liées à une augmentation de la bilirubine directe. Sur une période de 1 an, des événements indésirables avec élévation de la bilirubine ont été rapportés chez 6,8% des patients du groupe traité par TREMFYA.
- +Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III portant sur l'arthrite psoriasique, une élévation des transaminases (incluant: alanine aminotransférase (ALT) élevée, aspartate aminotransférase (AST) élevée, enzymes hépatiques élevées, transaminases élevées, tests de la fonction hépatique anormaux, hypertransaminasémie) a été plus fréquemment rapportée comme effet indésirable dans le groupe traité par TREMFYA (8,4%) que dans le groupe placebo (4,6%). Sur une période de 1 an, des effets indésirables comprenant une élévation des transaminases ont été rapportés chez 12,3% des patients ayant été traités par TREMFYA. Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III portant sur le psoriasis, le taux des effets indésirables «Transaminases élevées» était de 2,6% dans le groupe traité par TREMFYA et de 1,9% dans le groupe placebo. Dans la majorité des cas, l'augmentation des transaminases a été légère et transitoire et n'a pas entraîné l'arrêt du traitement. Sur la base des analyses de laboratoire, pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III sur l'arthrite psoriasique, des élévations de la bilirubine ont été plus fréquemment rapportées dans le groupe traité par TREMFYA (5,8%) que dans le groupe placebo (2,2%). Aucune augmentation supérieure à 3 fois la valeur normale supérieure n'a été observée. Les élévations de la bilirubine n'étaient généralement pas liées à une augmentation de la bilirubine directe. Sur une période de 1 an, des effets indésirables avec élévation de la bilirubine ont été rapportés chez 6,8% des patients du groupe traité par TREMFYA. Sur la base des analyses de laboratoire, dans deux études cliniques de phase III portant sur le psoriasis, l'élévation de la bilirubine pendant la période contrôlée contre placebo était de 5,1% dans le groupe traité par TREMFYA et de 5,3% dans le groupe placebo.
-Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III portant sur l'arthrite psoriasique, une diminution du nombre de neutrophiles a été plus fréquemment rapportée comme effet indésirable dans le groupe traité par TREMFYA (0,9%) que dans le groupe placebo (0%). Sur une période de 1 an, des effets indésirables avec diminution de la numération des neutrophiles ont été rapportés chez 0,9% des patients du groupe traité par TREMFYA. Dans la majorité des cas, la diminution des neutrophiles sanguins a été légère et transitoire, n'était associée à aucune infection et n'a pas conduit à l'arrêt du traitement.
- +Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III portant sur l'arthrite psoriasique, une diminution du nombre de neutrophiles a été plus fréquemment rapportée comme effet indésirable dans le groupe traité par TREMFYA (0,9%) que dans le groupe placebo (0%). Sur une période de 1 an, des effets indésirables avec diminution de la numération des neutrophiles ont été rapportés chez 0,9% des patients du groupe traité par TREMFYA. Dans la majorité des cas, la diminution des neutrophiles sanguins a été légère et transitoire, n'était associée à aucune infection et n'a pas conduit à l'arrêt du traitement. Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III portant sur le psoriasis, l'effet indésirable «nombre de neutrophiles réduit» a été observé chez 0% des patients du groupe traité par TREMFYA et chez 0,2% des patients du groupe placebo.
-Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III, l'incidence des gastro-entérites a été plus élevée dans le groupe traité par TREMFYA (1,1%) que dans le groupe placebo (0,7%). Jusqu'à la semaine 156, 4,9% de tous les patients traités par TREMFYA ont rapporté une gastro-entérite. Ces effets indésirables à type de gastro-entérite étaient non graves et n'ont pas conduit à l'arrêt du traitement par TREMFYA jusqu'à la semaine 48.
- +Pendant la période contrôlée contre placebo de deux études cliniques de phase III portant sur le psoriasis, l'incidence des gastro-entérites a été plus élevée dans le groupe traité par TREMFYA (1,1%) que dans le groupe placebo (0,7%). Jusqu'à la semaine 264, 5,8% de tous les patients traités par TREMFYA ont rapporté une gastro-entérite. Ces effets indésirables à type de gastro-entérite étaient non graves et n'ont pas conduit à l'arrêt du traitement par TREMFYA jusqu'à la semaine 264.
- +Les taux de gastro-entérites observés pendant la période contrôlée contre placebo des études cliniques de phase III portant sur l'arthrite psoriasique étaient similaires à ceux observés dans les études cliniques portant sur le psoriasis.
-Lors de deux études cliniques de phase III, des réactions au site d'injection sont survenues lors de 0,7% des injections de TREMFYA et de 0,3% des injections de placebo jusqu'à la semaine 48. Jusqu'à la semaine 156, 0,5% des injections de TREMFYA ont été associées à des réactions au site d'injection. Les effets indésirables de type d'érythème et de douleurs au site d'injection étaient les événements associés aux réactions au site d'injection les plus fréquemment rapportés et étaient tous d'intensité légère à modérée. Aucun de ces événements n'a été grave et aucun n'a conduit à l'arrêt du traitement par TREMFYA.
- +Lors de deux études cliniques de phase III portant sur le psoriasis, des réactions au site d'injection sont survenues lors de 0,7% des injections de TREMFYA et de 0,3% des injections de placebo jusqu'à la semaine 48. Jusqu'à la semaine 264, 0,4% des injections de TREMFYA ont été associées à des réactions au site d'injection. Les réactions au site d'injection étaient d'intensité légère à modérée. Aucun de ces événements n'a été grave et aucun n'a conduit à l'arrêt du traitement par TREMFYA.
- +Lors de deux études cliniques de phase III portant sur l'arthrite psoriasique, le nombre de patients ayant rapporté 1 ou plusieurs réactions au site d'injection jusqu'à la semaine 24 était faible et légèrement plus élevé dans le groupe traité par TREMFYA que dans le groupe placebo; 5 (1,3%) patients dans le groupe traité par TREMFYA q8s et 1 (0,3%) patient dans le groupe placebo. Sur une année, la proportion de patients ayant rapporté 1 ou plusieurs réactions au site d'injection était de 1,6% dans le groupe traité par TREMFYA q8s.
-D'après l'analyse des données regroupées des études de phase II et de phase III auprès de patients atteints de psoriasis et d'arthrite psoriasique, 5% (N=145) des patients traités par TREMFYA ont développé des anticorps anti-médicament pendant une durée de traitement allant jusqu'à 52 semaines. Parmi les patients ayant développé des anticorps anti-médicament, environ 8% (N=12) présentaient des anticorps considérés comme neutralisants, soit 0,4% de l'ensemble des patients traités par TREMFYA. Dans l'analyse des données regroupées des études de phase III, environ 9% des patients traités par TREMFYA ont développé des anticorps anti-médicament pendant une période allant jusqu'à 156 semaines de traitement. Vu la faible fréquence de l'immunogénicité, aucune déclaration pertinente ne peut être faite concernant les éventuels effets des anticorps anti-médicament sur l'efficacité et la sécurité.
- +D'après l'analyse des données regroupées des études de phase II et de phase III auprès de patients atteints de psoriasis et d'arthrite psoriasique, 5% (N=145) des patients traités par TREMFYA ont développé des anticorps anti-médicament pendant une durée de traitement allant jusqu'à 52 semaines. Parmi les patients ayant développé des anticorps anti-médicament, environ 8% (N=12) présentaient des anticorps considérés comme neutralisants, soit 0,4% de l'ensemble des patients traités par TREMFYA. Dans l'analyse des données regroupées des études de phase III, environ 15% des patients atteints de psoriasis traités par TREMFYA ont développé des anticorps anti-médicament pendant une période allant jusqu'à 264 semaines de traitement. Environ 5% des patients ayant développé des anticorps anti-médicament avaient des anticorps classés comme étant neutralisants, ce qui correspond à 0,76% de tous les patients traités par TREMFYA. En raison de la faible fréquence de l'immunogénicité, aucune déclaration pertinente ne peut être faite concernant les éventuels effets des anticorps anti-médicament sur l'efficacité et la sécurité.
- +Pharmacodynamique
- +
-Pharmacodynamique
-Voir Mécanisme d'action.
-Les patients randomisés dans le groupe guselkumab ont reçu 100 mg aux semaines 0 et 4, puis toutes les 8 semaines jusqu'à la semaine 48 (VOYAGE 1) ou jusqu'à la semaine 20 (VOYAGE 2). Les patients randomisés dans le groupe adalimumab ont reçu 80 mg à la semaine 0 et 40 mg à la semaine 1, puis 40 mg toutes les deux semaines jusqu'à la semaine 48 (VOYAGE 1) ou jusqu'à la semaine 23 (VOYAGE 2). Dans les deux études, les patients randomisés dans le groupe placebo ont reçu 100 mg de guselkumab aux semaines 16 et 20, puis toutes les 8 semaines. Dans l'étude VOYAGE 1, tous les patients, y compris ceux qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab à la semaine 0, ont reçu 100 mg de guselkumab en ouvert à la semaine 52, puis toutes les 8 semaines. Dans l'étude VOYAGE 2, les patients qui avaient été randomisés dans le groupe guselkumab à la semaine 0 et présentaient une amélioration du PASI (Psoriasis Area and Severity Index) d'au moins 90% (réponse PASI 90) à la semaine 28 ont été re-randomisés soit pour poursuivre le traitement par le guselkumab toutes les 8 semaines (traitement d'entretien), soit pour recevoir le placebo (arrêt du traitement). Les patients appartenant au dernier groupe (re-randomisation après placebo) ont à nouveau été traités par le guselkumab après la perte d'au moins 50% de l'amélioration de leur PASI à la semaine 28 (posologie au moment de la reprise du traitement ainsi que 4 semaines plus tard, puis toutes les 8 semaines). Les patients du groupe guselkumab sans réponse PASI 90 ont poursuivi le traitement par le guselkumab. Chez les patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab et qui présentaient une réponse PASI 90 à la semaine 28, le traitement a été arrêté et un traitement par le guselkumab a été instauré en cas de perte d'au moins 50% de l'amélioration du PASI à la semaine 28. Les patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab à la semaine 0 et qui n'avaient pas obtenu de réponse PASI 90 ont reçu le guselkumab aux semaines 28 et 32, puis toutes les 8 semaines. Tous les sujets de l'étude ont reçu le guselkumab en ouvert toutes les 8 semaines à partir de la semaine 76.
- +Les patients randomisés dans le groupe guselkumab ont reçu 100 mg aux semaines 0 et 4, puis toutes les 8 semaines jusqu'à la semaine 48 (VOYAGE 1) ou jusqu'à la semaine 20 (VOYAGE 2). Les patients randomisés dans le groupe adalimumab ont reçu 80 mg à la semaine 0 et 40 mg à la semaine 1, puis 40 mg toutes les deux semaines jusqu'à la semaine 48 (VOYAGE 1) ou jusqu'à la semaine 23 (VOYAGE 2). Dans les deux études, les patients randomisés dans le groupe placebo ont reçu 100 mg de guselkumab aux semaines 16 et 20, puis toutes les 8 semaines. Dans l'étude VOYAGE 1, tous les patients, y compris ceux qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab à la semaine 0, ont reçu 100 mg de guselkumab en ouvert à la semaine 52, puis toutes les 8 semaines. Dans l'étude VOYAGE 2, les patients qui avaient été randomisés dans le groupe guselkumab à la semaine 0 et présentaient une amélioration du PASI (Psoriasis Area and Severity Index) d'au moins 90% (réponse PASI 90) à la semaine 28 ont été re-randomisés soit pour poursuivre le traitement par le guselkumab toutes les 8 semaines (traitement d'entretien), soit pour recevoir le placebo (arrêt du traitement). Les patients appartenant au dernier groupe (nouvelle randomisation après placebo) ont à nouveau été traités par le guselkumab après la perte d'au moins 50% de l'amélioration de leur PASI à la semaine 28 (posologie au moment de la reprise du traitement ainsi que 4 semaines plus tard, puis toutes les 8 semaines). Les patients du groupe guselkumab sans réponse PASI 90 ont poursuivi le traitement par le guselkumab. Chez les patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab et qui présentaient une réponse PASI 90 à la semaine 28, le traitement a été arrêté et un traitement par le guselkumab a été instauré en cas de perte d'au moins 50% de l'amélioration du PASI à la semaine 28. Les patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab à la semaine 0 et qui n'avaient pas obtenu de réponse PASI 90 ont reçu le guselkumab aux semaines 28 et 32, puis toutes les 8 semaines. Tous les sujets de l'étude ont reçu le guselkumab en ouvert toutes les 8 semaines à partir de la semaine 76.
-Dans l'étude VOYAGE 1, le taux de réponse PASI 90 chez les patients sous traitement continu par le guselkumab a été maintenu dans la plupart des cas pendant la période en ouvert de la semaine 52 à la semaine 156. Chez les patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab à la semaine 0 et qui sont passés au guselkumab à la semaine 52, le taux de réponse PASI 90 a augmenté entre la semaine 52 et la semaine 76 comprise, puis a été maintenu pendant la période en ouvert jusqu'à la semaine 156.
- +Dans l'étude VOYAGE 1, le taux de réponse PASI 90 chez les patients sous traitement continu par le guselkumab a été maintenu pendant la période en ouvert de la semaine 52 à la semaine 252. Chez les patients qui avaient été randomisés dans le groupe sous adalimumab à la semaine 0 et qui sont passés au guselkumab à la semaine 52, le taux de réponse PASI 90 a augmenté entre la semaine 52 et la semaine 76 comprise, puis a été maintenu pendant la période en ouvert jusqu'à la semaine 252.
-Dans l'étude DISCOVER 2, une réponse ACR20 plus importante a été obtenue dès la semaine 4 dans les deux groupes traités par le guselkumab par rapport au placebo, et la différence entre les traitements s'est accentuée au cours du temps jusqu'au terme de la semaine 24 (Fig. 2).
-Fig. 2: réponse ACR20 lors des visites médicales jusqu'au terme de la semaine 24 dans l'étude DISCOVER 2
- +Dans l'étude DISCOVER 2, une réponse ACR20 plus importante a été obtenue dès la semaine 4 dans les deux groupes traités par le guselkumab par rapport au placebo, et la différence entre les traitements s'est accentuée au cours du temps jusqu'au terme de la semaine 24 (Figure. 2).
- +Figure. 2: réponse ACR20 lors des visites médicales jusqu'au terme de la semaine 24 dans l'étude DISCOVER 2
- +Dans l'étude DISCOVER 2, la réponse ACR20 s'est maintenue de la semaine 24 à la semaine 52 chez les patients ayant reçu un traitement continu par le guselkumab à la semaine 24. Chez les patients ayant reçu un traitement continu par le guselkumab à la semaine 52, la réponse ACR20 s'est maintenue de la semaine 52 à la semaine 100.
- +
-La réponse clinique s'est maintenue jusqu'à la semaine 52, comme le montrent les taux de réponse selon ACR 20/50/70 et DAS 28 (CRP).
- +La réponse clinique s'est maintenue jusqu'à la semaine 52 dans l'étude DISCOVER 1 et jusqu'à la semaine 100 dans l'étude DISCOVER 2, comme le montrent les taux de réponse selon ACR 20/50/70 et DAS 28 (CRP).
-L'évaluation de la dactylite et de l'enthésite a reposé sur les données regroupées des patients présentant une dactylite ou une enthésite dans les études DISCOVER 1 et 2 (N=160 et N=230 respectivement). Le pourcentage de participants présentant une dactylite à l'inclusion et une rémission de la dactylite à la semaine 24 était plus élevé dans les groupes traités par le guselkumab q8s (59,4%, nominal p<0,001) que dans le groupe placebo (42,2%). Le pourcentage de participants présentant une enthésite à l'inclusion et une rémission de l'enthésite à la semaine 24 était plus élevé dans les groupes traités par le guselkumab q8s (49,6%, nominal p<0,001) que dans le groupe placebo (29,4%). À la semaine 52, la rémission de la dactylite (81,2%) et la rémission de l'enthésite (62,7%) se sont' maintenues dans le groupe traité par le guselkumab q8s.
- +L'évaluation de la dactylite et de l'enthésite a reposé sur les données regroupées des patients présentant une dactylite ou une enthésite dans les études DISCOVER 1 et 2 (N=160 et N=230 respectivement). Le pourcentage de participants présentant une dactylite à l'inclusion et une rémission de la dactylite à la semaine 24 était plus élevé dans les groupes traités par le guselkumab q8s (59,4%, nominal p<0,001) que dans le groupe placebo (42,2%). Le pourcentage de participants présentant une enthésite à l'inclusion et une rémission de l'enthésite à la semaine 24 était plus élevé dans les groupes traités par le guselkumab q8s (49,6%, nominal p<0,001) que dans le groupe placebo (29,4%). À la semaine 52, la rémission de la dactylite (81,2%) et la rémission de l'enthésite (62,7%) se sont maintenues dans le groupe traité par le guselkumab q8s. Dans l'étude DISCOVER 2, la rémission de la dactylite et la rémission de l'enthésite se sont maintenues jusqu'à la semaine 100.
-Au cours de l'étude DISCOVER 2, l'inhibition de la progression des lésions structurelles a été évaluée radiographiquement et présentée comme une variation du score de Sharp modifié selon van der Heijde (vdH-S) par rapport à la valeur initiale. À la semaine 24, le groupe traité par le guselkumab q8s a présenté une progression moindre sur le plan numérique que le groupe placebo (modification des moyennes des moindres carrés [least square mean change] par rapport à la valeur initiale, respectivement de 0,52 et de 0,95, p=0,068). À la semaine 52, la modification moyenne par rapport à la valeur initiale a été de 0,97 dans le groupe guselkumab q8s.
- +Au cours de l'étude DISCOVER 2, l'inhibition de la progression des lésions structurelles a été évaluée radiographiquement et présentée comme une variation du score de Sharp modifié selon van der Heijde (vdH-S) par rapport à la valeur initiale. À la semaine 24, le groupe traité par le guselkumab q8s a présenté une progression moindre sur le plan numérique que le groupe placebo (modification des moyennes des moindres carrés [least square mean change] par rapport à la valeur initiale, respectivement de 0,52 et de 0,95, p=0,068). À la semaine 52 et à la semaine 100, la modification moyenne par rapport à la valeur initiale a été de respectivement de 0,97 et 1,5 dans le groupe guselkumab q8s.
-Au cours des études DISCOVER 1 et 2, les patients traités par le guselkumab ont présenté une amélioration significative (p<0,001) de la fonction physique à la semaine 24, évaluée à l'aide du questionnaire pour l'évaluation de la limitation physique (Health Assessment Questionnaire-Disability Index, HAQ-DI), par rapport au placebo. Les améliorations du HAQ-DI se sont maintenues de la semaine 24 jusqu'à la semaine 52.
- +Au cours des études DISCOVER 1 et 2, les patients traités par le guselkumab ont présenté une amélioration significative (p<0,001) de la fonction physique à la semaine 24, évaluée à l'aide du questionnaire pour l'évaluation de la limitation physique (Health Assessment Questionnaire-Disability Index, HAQ-DI), par rapport au placebo. Les améliorations du HAQ-DI se sont maintenues de la semaine 24 jusqu'à la semaine 52 dans l'étude DISCOVER 1 et jusqu'à la semaine 100 dans l'étude DISCOVER 2.
-Décembre 2020.
- +Novembre 2022.
|
|