124 Changements de l'information professionelle Ozempic DualDose |
-Sémaglutide.
- +Sémaglutide
-Dinatrii phosphas dihydricus, Propylenglycolum, Phenolum, Acidum hydrochloridum/Natrii hydroxidum (pour l'ajustement du pH), Aqua ad iniectabilita q.s. ad solutionem pro 1 ml corresp natrium 0,367 mg.
- +Dinatrii phosphas dihydricus, Propylenglycolum, Phenolum, Acidum hydrochloridum/Natrii hydroxidum (q.s. ad pH), Aqua ad iniectabile q.s. ad solutionem pro 1 ml corresp natrium 0,367 mg.
-Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la «Composition».
- +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients.
-Dans une vaste étude sur l'innocuité cardiovasculaire, le traitement avec le sémaglutide était associé à un risque accru de complications de la rétinopathie diabétique par rapport au traitement standard (50 [3,0%] versus 29 [1,8%]). Les patients présentant une rétinopathie diabétique au début du traitement étaient particulièrement affectés (>80% des cas); un autre facteur de risque était l'utilisation concomitante de l'insuline (voir «Effets indésirables»). Le sémaglutide ne doit être utilisé chez ces patients à risque que sous contrôle ophtalmique rigoureux. La correction trop rapide de l'hyperglycémie chronique peut être associée à une aggravation initiale de la rétinopathie diabétique, bien que l'amélioration à long terme du contrôle glycémique réduise le risque de rétinopathie diabétique. Par conséquent, au début du traitement par sémaglutide, en plus de l'insuline, une réduction de la dose d'insuline doit être envisagée.
- +Dans une vaste étude sur l'innocuité cardiovasculaire, le traitement avec le sémaglutide était associé à un risque accru de complications de la rétinopathie diabétique par rapport au traitement standard (50 [3,0 %] versus 29 [1,8 %]). Les patients présentant une rétinopathie diabétique au début du traitement étaient particulièrement affectés (>80 % des cas); un autre facteur de risque était l'utilisation concomitante de l'insuline (voir «Effets indésirables»). Le sémaglutide ne doit être utilisé chez ces patients à risque que sous contrôle ophtalmique rigoureux. La correction trop rapide de l'hyperglycémie chronique peut être associée à une aggravation initiale de la rétinopathie diabétique, bien que l'amélioration à long terme du contrôle glycémique réduise le risque de rétinopathie diabétique. Par conséquent, au début du traitement par sémaglutide, en plus de l'insuline, une réduction de la dose d'insuline doit être envisagée.
-Le sémaglutide ne devrait pas réduire l'effet des contraceptifs oraux, car le sémaglutide ne modifie pas de manière cliniquement significative l'exposition totale à l'éthinylestradiol et au lévonorgestrel en cas d'administration concomitante d'un contraceptif oral combiné (0,03 mg d'éthinylestradiol/0,15 mg de lévonorgestrel) avec le sémaglutide. L'exposition à l'éthinylestradiol n'a pas été affectée. Une augmentation de 20% de l'exposition au lévonorgestrel à l'état stationnaire a été observée. La Cmax n'a été affectée pour aucun des composés.
- +Le sémaglutide ne devrait pas réduire l'effet des contraceptifs oraux, car le sémaglutide ne modifie pas de manière cliniquement significative l'exposition totale à l'éthinylestradiol et au lévonorgestrel en cas d'administration concomitante d'un contraceptif oral combiné (0,03 mg d'éthinylestradiol/0,15 mg de lévonorgestrel) avec le sémaglutide. L'exposition à l'éthinylestradiol n'a pas été affectée. Une augmentation de 20 % de l'exposition au lévonorgestrel à l'état stationnaire a été observée. La Cmax n'a été affectée pour aucun des composés.
-Le sémaglutide n'a pas modifié l'exposition totale à l'atorvastatine après administration d'une dose unique d'atorvastatine (40 mg). Avec le sémaglutide, la Cmax de l'atorvastatine a diminué de 38%. Cette baisse n'a pas été considérée comme étant cliniquement significative.
- +Le sémaglutide n'a pas modifié l'exposition totale à l'atorvastatine après administration d'une dose unique d'atorvastatine (40 mg). Avec le sémaglutide, la Cmax de l'atorvastatine a diminué de 38 %. Cette baisse n'a pas été considérée comme étant cliniquement significative.
-Warfarine
-Le sémaglutide n'a pas modifié l'exposition totale ou la Cmax de la R- et S-warfarine après une dose unique de warfarine (25 mg). Aucun effet pharmacodynamique de la warfarine tel que mesuré par le rapport normalisé international (INR) n'a été affecté de manière cliniquement significative.
- +Warfarine et autres dérivés de la coumarine
- +Le sémaglutide n'a pas modifié l'exposition totale ou la Cmax de la R- et S-warfarine après une dose unique de warfarine (25 mg). Aussi l'effet pharmacodynamique de la warfarine tel que mesuré par le rapport normalisé international (INR) n'a pas été affecté de manière cliniquement significative. Toutefois, des cas de diminution de l'INR ont été rapportés lors de l'utilisation concomitante d'acénocoumarol et de sémaglutide. Lors de l'instauration du traitement par sémaglutide chez des patients sous warfarine ou autres dérivés de la coumarine, il est donc recommandé de surveiller fréquemment l'INR.
-Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Il existe des données limitées sur l'utilisation du sémaglutide chez la femme enceinte. Le sémaglutide ne devrait donc pas être utilisé pendant la grossesse. L'utilisation d'une méthode de contraception pendant le traitement avec le sémaglutide est recommandée chez les femmes en âge de procréer. En cas de projet de grossesse ou en cas de grossesse, le traitement par sémaglutide devrait être interrompu. Le sémaglutide devrait être arrêté au moins 2 mois avant un projet de grossesse en raison de sa longue demi-vie (voir «Pharmacocinétique»).
- +Il existe des données limitées sur l'utilisation du sémaglutide chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Le sémaglutide ne devrait donc pas être utilisé pendant la grossesse. L'utilisation d'une méthode de contraception pendant le traitement avec le sémaglutide est recommandée chez les femmes en âge de procréer. En cas de projet de grossesse ou en cas de grossesse, le traitement par sémaglutide devrait être interrompu. Le sémaglutide devrait être arrêté au moins 2 mois avant un projet de grossesse en raison de sa longue demi-vie (voir «Pharmacocinétique»).
-Le sémaglutide a été excrété dans le lait de rates allaitantes. Un risque pour l'enfant allaité ne pouvant être exclu, le sémaglutide ne devrait donc pas être utilisé pendant l'allaitement.
- +Aucune concentration mesurable de sémaglutide n'a été trouvée dans le lait maternel des femmes qui allaitent. Un risque pour l'enfant allaité ne pouvant être exclu, le sémaglutide ne devrait donc pas être utilisé pendant l'allaitement.
-L'effet du sémaglutide sur la fertilité humaine est inconnu. Le sémaglutide n'a pas affecté la fertilité des rats mâles. Chez le rat femelle, une prolongation du cycle œstrien et une faible baisse du nombre d'ovulations ont été observées à des doses associées à une réduction du poids maternel.
- +L'effet du sémaglutide sur la fertilité humaine est inconnu. Le sémaglutide n'a pas affecté la fertilité des rats mâles. Chez le rat femelle, une prolongation de la durée de l'œstrus et une légère réduction du nombre d'ovulations ont été observées à des doses associées à une réduction du poids maternel.
-Au cours d'un essai de phase 3b de 40 semaines, 959 patients ont reçu 1 mg ou 2 mg de sémaglutide. Le profil de sécurité du sémaglutide 2 mg était cohérent avec le profil de sécurité du sémaglutide 1 mg observé dans les études de phase 3a. La fréquence des affections gastro-intestinales n'était que légèrement supérieure avec le sémaglutide 2 mg par rapport au sémaglutide 1 mg (34,0% vs 30,8%).
- +Au cours d'un essai de phase 3b de 40 semaines, 959 patients ont reçu 1 mg ou 2 mg de sémaglutide. Le profil de sécurité du sémaglutide 2 mg était cohérent avec le profil de sécurité du sémaglutide 1 mg observé dans les études de phase 3a. La fréquence des affections gastro-intestinales n'était que légèrement supérieure avec le sémaglutide 2 mg par rapport au sémaglutide 1 mg (34,0 % vs 30,8 %).
-Les effets indésirables sont indiqués ci-dessous par classe de systèmes d'organes et par fréquence absolue. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents: (≥1/10); fréquents: (≥1/100, <1/10); occasionnels: (≥1/1 000, <1/100); rares: (≥1/10 000, <1/1 000) et très rares: (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Les effets indésirables sont indiqués ci-dessous par classe de systèmes d'organes et par fréquence absolue. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents: (≥1/10); fréquents: (≥1/100, <1/10); occasionnels: (≥1/1 000, <1/100); rares: (≥1/10 000, <1/1 000) et très rares: (<1/10 000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Troubles du métabolisme et de la nutrition Très fréquents Hypoglycémiea en cas d'utilisation avec de l'insuline ou une sulfonylurée
-Fréquents Hypoglycémiea en cas d'utilisation avec d'autres antidiabétiques oraux (ADO) Diminution de l'appétit
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition Très fréquents Hypoglycémiea) en cas d'utilisation avec de l'insuline ou une sulfonylurée
- +Fréquents Hypoglycémiea) en cas d'utilisation avec d'autres antidiabétiques oraux (ADO) Diminution de l'appétit
-Affections oculaires Fréquents Complications de la rétinopathie diabétiqueb
- +Affections oculaires Fréquents Complications de la rétinopathie diabétiqueb)
- +Fréquence inconnue Obstruction intestinalec), d)
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané Fréquence indéterminée Angiœdèmec)
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Fréquence inconnue Angiœdèmec)
-a) Hypoglycémie définie comme sévère (nécessitant l'aide d'une autre personne) ou symptomatique combinée à une glycémie <3,1 mmol/l.
- +a) Hypoglycémie définie comme sévère (nécessitant l'aide d'une autre personne) ou symptomatique combinée à une glycémie <3,1 mmol/l
-c) Issu des rapports après la mise sur le marché
- +c) D'après les rapports post-commercialisation
- +d) Le terme groupé couvrant les événements indésirables obstruction intestinale, iléus et obstruction de l'intestine grêle
-Très fréquents – Hypoglycémie en cas d'utilisation avec de l'insuline (10,7%) ou des sulfonylurées (10,4%).
- +Très fréquents – Hypoglycémie en cas d'utilisation avec de l'insuline (10,7 %) ou des sulfonylurées (10,4 %).
-Aucun épisode d'hypoglycémie sévère n'a été observé lorsqu'Ozempic était utilisé en monothérapie. Les hypoglycémies sévères ont principalement été observées lorsqu'Ozempic était associé à une sulfonylurée (1,2% des patients, 0,03 événement/patient-année) ou à de l'insuline (1,5% des patients, 0,02 événement/patient-année). Peu d'épisodes d'hypoglycémie (0,1% des patients, 0,001 événement/patient-année) ont été observés lors de l'administration d'Ozempic en association à d'autres antidiabétiques oraux (tels qu'une sulfonylurée).
- +Aucun épisode d'hypoglycémie sévère n'a été observé lorsqu'Ozempic était utilisé en monothérapie. Les hypoglycémies sévères ont principalement été observées lorsqu'Ozempic était associé à une sulfonylurée (1,2 % des patients, 0,03 événement/patient-année) ou à de l'insuline (1,5 % des patients, 0,02 événement/patient-année). Peu d'épisodes d'hypoglycémie (0,1 % des patients, 0,001 événement/patient-année) ont été observés lors de l'administration d'Ozempic en association à d'autres antidiabétiques oraux (tels qu'une sulfonylurée).
-Dans un essai clinique de 2 ans portant sur 3'297 patients diabétiques de type 2, avec un risque cardiovasculaire élevé, les complications de la rétinopathie diabétique étaient un critère d'évaluation. Lors de cet essai, des complications liées à la rétinopathie diabétique sont survenues chez plus de patients traités par Ozempic (3,0%) que sous placebo (1,8%). Plus de 80% des patients présentant une complication de la rétinopathie diabétique avaient une rétinopathie diabétique documentée avant le début du traitement. Chez les patients qui n'avaient pas d'antécédents documentés de rétinopathie diabétique, le nombre d'événements sous Ozempic et placebo ont été rapportés dans des proportions similaires.
-Lors d'essais cliniques d'une durée allant jusqu'à un an et portant sur 4'807 patients diabétiques de type 2, les effets indésirables liés à la rétinopathie diabétique ont été rapportés dans des proportions similaires chez des patients traités par Ozempic (1,7%) et par les comparateurs (2,0%).
- +Dans un essai clinique de 2 ans portant sur 3'297 patients diabétiques de type 2, avec un risque cardiovasculaire élevé, les complications de la rétinopathie diabétique étaient un critère d'évaluation. Lors de cet essai, des complications liées à la rétinopathie diabétique sont survenues chez plus de patients traités par Ozempic (3,0 %) que sous placebo (1, 8%). Plus de 80 % des patients présentant une complication de la rétinopathie diabétique avaient une rétinopathie diabétique documentée avant le début du traitement. Chez les patients qui n'avaient pas d'antécédents documentés de rétinopathie diabétique, le nombre d'événements sous Ozempic et placebo ont été rapportés dans des proportions similaires.
- +Lors d'essais cliniques d'une durée allant jusqu'à un an et portant sur 4'807 patients diabétiques de type 2, les effets indésirables liés à la rétinopathie diabétique ont été rapportés dans des proportions similaires chez des patients traités par Ozempic (1,7 %) et par les comparateurs (2,0 %).
-Très fréquents – Nausées (19,9%), diarrhées (13,3%).
- +Très fréquents – Nausées (19,9 %), diarrhées (13,3 %).
-Des nausées sont survenues chez 17,0% et 19,9% des patients lorsqu'ils étaient traités avec respectivement 0,5 mg et 1 mg d'Ozempic; des diarrhées sont apparues chez respectivement 12,2% et 13,3% des patients et des vomissements chez respectivement 6,4% et 8,4% des patients. La plupart de ces événements étaient d'intensité légère à modérée et de courte durée. Les événements ont entraîné un arrêt du traitement chez respectivement 3,9% et 5% des patients. Les événements étaient plus fréquemment rapportés pendant les premiers mois de traitement.
- +Des nausées sont survenues chez 17,0 % et 19,9 % des patients lorsqu'ils étaient traités avec respectivement 0,5 mg et 1 mg d'Ozempic; des diarrhées sont apparues chez respectivement 12,2 % et 13,3 % des patients et des vomissements chez respectivement 6,4 % et 8,4 % des patients. La plupart de ces événements étaient d'intensité légère à modérée et de courte durée. Les événements ont entraîné un arrêt du traitement chez respectivement 3,9 % et 5 % des patients. Les événements étaient plus fréquemment rapportés pendant les premiers mois de traitement.
-La fréquence rapportée des pancréatites aiguës confirmées par adjudication dans les études cliniques de phase 3a était respectivement de 0,3% pour le sémaglutide et de 0,2% pour le comparateur. Dans l'essai d'évaluation des résultats cardiovasculaires sur 2 ans, la fréquence des pancréatites aiguës confirmées par adjudication était de 0,5% pour le sémaglutide et de 0,6% pour le placebo (voir «Mises en garde et précautions»).
- +La fréquence rapportée des pancréatites aiguës confirmées par adjudication dans les études cliniques de phase 3a était respectivement de 0,3 % pour le sémaglutide et de 0,2 % pour le comparateur. Dans l'essai d'évaluation des résultats cardiovasculaires sur 2 ans, la fréquence des pancréatites aiguës confirmées par adjudication était de 0,5 % pour le sémaglutide et de 0,6 % pour le placebo (voir «Mises en garde et précautions»).
-Lors des essais cliniques de phase 3a, des manifestations d'hypersensibilité (par ex., urticaire, éruptions cutanées) ont été rapportées chez 0,3% des patients recevant du sémaglutide et ont été considérées par le médecin-investigateur comme étant liées au traitement.
- +Lors des essais cliniques de phase 3a, des manifestations d'hypersensibilité (par ex., urticaire, éruptions cutanées) ont été rapportées chez 0,3 % des patients recevant du sémaglutide et ont été considérées par le médecin-investigateur comme étant liées au traitement.
-Affections du rein et des voies urinaires: insuffisance rénale aiguë (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Affections du rein et des voies urinaires: insuffisance rénale aiguë (voir «Mises en garde et précautions»).
-L'incidence de l'arrêt du traitement dû à des effets indésirables était de 8,7% chez les patients recevant 1 mg d'Ozempic. Les effets indésirables entraînant le plus fréquemment un arrêt du traitement étaient de nature gastro-intestinale.
- +L'incidence de l'arrêt du traitement dû à des effets indésirables était de 8,7 % chez les patients recevant 1 mg d'Ozempic. Les effets indésirables entraînant le plus fréquemment un arrêt du traitement étaient de nature gastro-intestinale.
-Le sémaglutide est un analogue du GLP-1 dont la séquence présente 94% d'homologie avec la séquence du GLP-1 humain. Le GLP-1 est une hormone physiologique. Le sémaglutide agit comme agoniste des récepteurs du GLP-1, qui se lie sélectivement et active le récepteur du GLP-1, la cible du GLP-1 natif. Les récepteurs du GLP-1 sont exprimés dans le pancréas, le cerveau, le cœur, le système vasculaire, le système immunitaire et les reins.
- +Le sémaglutide est un analogue du GLP-1 dont la séquence présente 94 % d'homologie avec la séquence du GLP-1 humain. Le GLP-1 est une hormone physiologique. Le sémaglutide agit comme agoniste des récepteurs du GLP-1, qui se lie sélectivement et active le récepteur du GLP-1, la cible du GLP-1 natif. Les récepteurs du GLP-1 sont exprimés dans le pancréas, le cerveau, le cœur, le système vasculaire, le système immunitaire et les reins.
-Chez les patients diabétiques de type 2, le traitement avec 1 mg de sémaglutide a entraîné une réduction de la glycémie aussi bien en termes de variation absolue par rapport à l'inclusion (mmol/l) que de réduction relative par rapport au placebo (%) des glycémies à jeun (1,6 mmol/l; réduction de 22%), des glycémies postprandiales à 2 heures (4,1 mmol/l; réduction de 37%), de la glycémie moyenne sur 24 heures (1,7 mmol/l; réduction de 22%) et des variations des pics de glycémie postprandiale sur 3 repas (0,6-1,1 mmol/l) par rapport au placebo.
- +Chez les patients diabétiques de type 2, le traitement avec 1 mg de sémaglutide a entraîné une réduction de la glycémie aussi bien en termes de variation absolue par rapport à l'inclusion (mmol/l) que de réduction relative par rapport au placebo (%) des glycémies à jeun (1,6 mmol/l; réduction de 22 %), des glycémies postprandiales à 2 heures (4,1 mmol/l; réduction de 37 %), de la glycémie moyenne sur 24 heures (1,7 mmol/l; réduction de 22 %) et des variations des pics de glycémie postprandiale sur 3 repas (0,6-1,1 mmol/l) par rapport au placebo.
-Chez les patients diabétiques de type 2, le sémaglutide a entraîné les réductions relatives suivantes du glucagon en comparaison avec le placebo: glucagon à jeun (8–21%), réponse postprandiale du glucagon (14–15%) et concentration moyenne de glucagon sur 24 heures (12%).
- +Chez les patients diabétiques de type 2, le sémaglutide a entraîné les réductions relatives suivantes du glucagon en comparaison avec le placebo: glucagon à jeun (8–21 %), réponse postprandiale du glucagon (14–15 %) et concentration moyenne de glucagon sur 24 heures (12 %).
-En comparaison avec le placebo, le sémaglutide a diminué de 18 à 35% l'apport énergétique de 3 repas ad libitum consécutifs. Cette constatation a été étayée par une suppression de l'appétit induite par le sémaglutide à jeun et en phase postprandiale, un meilleur contrôle de l'alimentation, une diminution des envies alimentaires et une préférence relativement réduite pour les aliments à haute teneur en graisse.
- +En comparaison avec le placebo, le sémaglutide a diminué de 18 à 35 % l'apport énergétique de 3 repas ad libitum consécutifs. Cette constatation a été étayée par une suppression de l'appétit induite par le sémaglutide à jeun et en phase postprandiale, un meilleur contrôle de l'alimentation, une diminution des envies alimentaires et une préférence relativement réduite pour les aliments à haute teneur en graisse.
-En comparaison avec le placebo, le sémaglutide a diminué les concentrations de triglycérides et de cholestérol VLDL (lipoprotéines de très basse densité) à jeun de 12% et 21%, respectivement. La réponse postprandiale des triglycérides et du cholestérol VLDL à un repas à haute teneur en graisse a été réduite de >40%.
- +En comparaison avec le placebo, le sémaglutide a diminué les concentrations de triglycérides et de cholestérol VLDL (lipoprotéines de très basse densité) à jeun de 12 % et 21 %, respectivement. La réponse postprandiale des triglycérides et du cholestérol VLDL à un repas à haute teneur en graisse a été réduite de >40 %.
-Différence par rapport au placebo [IC à 95%] -1,4 [-1,7; -1,1]a -1,5 [-1,8; -1,2]a
-Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7% 74b 72b 25
-Différence par rapport au placebo [IC à 95%] 16,9 [8,4; 33,9] 15,7 [8,0; 30,8]
- +Différence par rapport au placebo [IC à 95 %] -1,4 [-1,7; -1,1]a -1,5 [-1,8; -1,2]a
- +Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7 % 74b 72b 25
- +Différence par rapport au placebo [IC à 95 %] 16,9 [8,4; 33,9] 15,7 [8,0; 30,8]
-Différence par rapport au placebo [IC à 95%] -2,7 [-3,9; -1,6]a -3,6 [-4,7; -2,4]a -
- +Différence par rapport au placebo [IC à 95 %] -2,7 [-3,9; -1,6]a -3,6 [-4,7; -2,4]a -
-Lors de l'essai SUSTAIN 2 de 56 semaines en double aveugle, 1'231 patients ont été randomisés dans des groupes recevant 0,5 mg ou 1 mg d'Ozempic une fois par semaine ou 100 mg de sitagliptine une fois par jour, tous en association avec de la metformine (94%) et/ou des thiazolidinediones (6%).
- +Lors de l'essai SUSTAIN 2 de 56 semaines en double aveugle, 1'231 patients ont été randomisés dans des groupes recevant 0,5 mg ou 1 mg d'Ozempic une fois par semaine ou 100 mg de sitagliptine une fois par jour, tous en association avec de la metformine (94 %) et/ou des thiazolidinediones (6 %).
-Différence par rapport à la sitagliptine [IC à 95%] -0,8 [-0,9; -0,6]a -1,1 [-1,2; -0,9]a -
-Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7% 69b 78b 36
-Différence par rapport à la sitagliptine [IC à 95%] 4,2 [3,02; 5,74] 7,9 [5,59; 11,22]
- +Différence par rapport à la sitagliptine [IC à 95 %] -0,8 [-0,9; -0,6]a -1,1 [-1,2; -0,9]a -
- +Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7 % 69b 78b 36
- +Différence par rapport à la sitagliptine [IC à 95 %] 4,2 [3,02; 5,74] 7,9 [5,59; 11,22]
-Différence par rapport à la sitagliptine [IC à 95%] -2,3 [-3,1; -1,6]a -4,2 [-4,9; -3,5]a -
- +Différence par rapport à la sitagliptine [IC à 95 %] -2,3 [-3,1; -1,6]a -4,2 [-4,9; -3,5]a -
-Différence par rapport au placebo [IC à 95%] -1,42 [-1,61; -1,24]a -
-Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7% 78,7 18,7
-Différence par rapport au placebo [IC à 95%] 27,32b [12,80; 58,30] -
- +Différence par rapport au placebo [IC à 95 %] -1,42 [-1,61; -1,24]a -
- +Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7 % 78,7 18,7
- +Différence par rapport au placebo [IC à 95 %] 27,32b [12,80; 58,30] -
-Différence par rapport au placebo [IC à 95%] -3,81 [-4,70; -2,93]a -
- +Différence par rapport au placebo [IC à 95 %] -3,81 [-4,70; -2,93]a -
-Différence par rapport au dulaglutide [IC à 95%] -0,4b [-0,6, -0,2]a -0,4c [-0,6, -0,3]a - -
-Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7% 68 79 52 67
-Différence par rapport au dulaglutide [IC à 95%] 2.5 [1.68; 3.64] 2.0 [1.28; 3.00]
- +Différence par rapport au dulaglutide [IC à 95 %] -0,4b [-0,6, -0,2]a -0,4c [-0,6, -0,3]a - -
- +Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7 % 68 79 52 67
- +Différence par rapport au dulaglutide [IC à 95 %] 2.5 [1.68; 3.64] 2.0 [1.28; 3.00]
-Différence par rapport au dulaglutide [IC à 95%] -2,3b [-3,0, -1,5]a -3,6c [-4,3, -2,8]a - -
- +Différence par rapport au dulaglutide [IC à 95 %] -2,3b [-3,0, -1,5]a -3,6c [-4,3, -2,8]a - -
-Lors de l'essai SUSTAIN 3 de 56 semaines, 813 patients sous metformine seule (49%), metformine plus sulfonylurée (45%) ou autre médicament antidiabétique (6%) ont été randomisés dans des groupes recevant 1 mg d'Ozempic ou 2 mg d'exénatide à libération prolongée une fois par semaine. L'essai n'était pas réalisé en double aveugle.
- +Lors de l'essai SUSTAIN 3 de 56 semaines, 813 patients sous metformine seule (49 %), metformine plus sulfonylurée (45 %) ou autre médicament antidiabétique (6 %) ont été randomisés dans des groupes recevant 1 mg d'Ozempic ou 2 mg d'exénatide à libération prolongée une fois par semaine. L'essai n'était pas réalisé en double aveugle.
-Différence par rapport à l'exénatide [IC à 95%] -0,6 [-0,8; -0,4]a -
-Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7% 67b 40
-Différence par rapport à l'exénatide à libération prolongée [IC à 95%] 3,9 [2,80; 5,38]
- +Différence par rapport à l'exénatide [IC à 95 %] -0,6 [-0,8; -0,4]a -
- +Patients (%) ayant atteint une HbA1c < 7% 67b 40
- +Différence par rapport à l'exénatide à libération prolongée [IC à 95 %] 3,9 [2,80; 5,38]
-Différence par rapport à l'exénatide [IC à 95%] -3,8 [-4,6; -3,0]a -
- +Différence par rapport à l'exénatide [IC à 95 %] -3,8 [-4,6; -3,0]a -
-Lors de l'essai SUSTAIN 4 de 30 semaines, 1'089 patients ont été randomisés dans des groupes recevant 0,5 mg ou 1 mg d'Ozempic une fois par semaine ou de l'insuline glargine une fois par jour en association avec un traitement de fond par metformine (48%) ou metformine et sulfonylurée (51%). L'essai n'était pas réalisé en double aveugle.
- +Lors de l'essai SUSTAIN 4 de 30 semaines, 1'089 patients ont été randomisés dans des groupes recevant 0,5 mg ou 1 mg d'Ozempic une fois par semaine ou de l'insuline glargine une fois par jour en association avec un traitement de fond par metformine (48 %) ou metformine et sulfonylurée (51 %). L'essai n'était pas réalisé en double aveugle.
-Différence par rapport à l'insuline glargine [IC à 95%] -0,4 [-0,5; -0,2]a -0,8 [-1,0; -0,7]a -
-Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7% 57b 73b 38
-Différence par rapport à l'insuline glargine [IC à 95%] 2,4 [1,73; 3,28] 5,8 [4,08; 8,19]
- +Différence par rapport à l'insuline glargine [IC à 95 %] -0,4 [-0,5; -0,2]a -0,8 [-1,0; -0,7]a -
- +Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7 % 57b 73b 38
- +Différence par rapport à l'insuline glargine [IC à 95 %] 2,4 [1,73; 3,28] 5,8 [4,08; 8,19]
-Différence par rapport à l'insuline glargine [IC à 95%] -4,6 (-5,3; -4,0)a -6,34 [-7,0; -5,7]a -
- +Différence par rapport à l'insuline glargine [IC à 95 %] -4,6 (-5,3; -4,0)a -6,34 [-7,0; -5,7]a -
-Différence par rapport au placebo [IC à 95%] -1,4 [-1,6; -1,1]a -1,8 [-2,0; -1,5]a -
-Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7% 61b 79b 11
-Différence par rapport au placebo [IC à 95%] 14,7 [7,43; 29,02] 34,3 [16,59; 70,83]
- +Différence par rapport au placebo [IC à 95 %] -1,4 [-1,6; -1,1]a -1,8 [-2,0; -1,5]a -
- +Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7 % 61b 79b 11
- +Différence par rapport au placebo [IC à 95 %] 14,7 [7,43; 29,02] 34,3 [16,59; 70,83]
-Tableau 9 SUSTAIN FORTE: Résultats du traitement par Ozempic 2 mg après 40 semaines avec metformine avec ou sans SU
- +Tableau 9: SUSTAIN FORTE: Résultats du traitement par Ozempic 2 mg après 40 semaines avec metformine avec ou sans SU
-Différence par rapport à Ozempic 1 mg [IC à 95%] - -0,2 [-0,4; -0,1]a
-Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7% 58b 68b
- +Différence par rapport à Ozempic 1 mg [IC à 95 %] - -0,2 [-0,4; -0,1]a
- +Patients (%) ayant atteint une HbA1c <7 % 58b 68b
-Différence par rapport à Ozempic 1 mg [IC à 95%] -0,9 [-1,7; -0,2]c
- +Différence par rapport à Ozempic 1 mg [IC à 95 %] -0,9 [-1,7; -0,2]c
-Dans SUSTAIN 6 (voir ci-dessous), un sous-groupe recevant une sulfonylurée en monothérapie a été évalué à la semaine 30. Lors de l'inclusion, 123 patients prenaient une sulfonylurée en monothérapie. L'HbA1c à l'inclusion était de 8,2%, 8,4% et 8,4% pour les groupes 0,5 mg d'Ozempic, 1 mg d'Ozempic et placebo, respectivement. À la semaine 30, la variation de l'HbA1c était de -1,6%, -1,5% et 0,1% dans les groupes 0,5 mg d'Ozempic, 1 mg d'Ozempic et placebo, respectivement.
- +Dans SUSTAIN 6 (voir ci-dessous), un sous-groupe recevant une sulfonylurée en monothérapie a été évalué à la semaine 30. Lors de l'inclusion, 123 patients prenaient une sulfonylurée en monothérapie. L'HbA1c à l'inclusion était de 8,2 %, 8,4 % et 8,4 % pour les groupes 0,5 mg d'Ozempic, 1 mg d'Ozempic et placebo, respectivement. À la semaine 30, la variation de l'HbA1c était de -1,6 %, -1,5 % et 0,1 % dans les groupes 0,5 mg d'Ozempic, 1 mg d'Ozempic et placebo, respectivement.
-Dans SUSTAIN 6 (voir ci-dessous), un sous-groupe recevant une insuline prémélangée (avec ou sans 2 ADO) a été évalué à la semaine 30. Lors de l'inclusion, 867 patients prenaient une insuline prémélangée. L'HbA1c à l'inclusion était de 8,8%, 8,9% et 8,9% pour les groupes 0,5 mg d'Ozempic, 1 mg d'Ozempic et placebo, respectivement. À la semaine 30, la variation de l'HbA11c était de -1,3%, -1,8% et 0,4% dans les groupes 0,5 mg d'Ozempic, 1 mg d'Ozempic et placebo, respectivement.
- +Dans SUSTAIN 6 (voir ci-dessous), un sous-groupe recevant une insuline prémélangée (avec ou sans 2 ADO) a été évalué à la semaine 30. Lors de l'inclusion, 867 patients prenaient une insuline prémélangée. L'HbA1c à l'inclusion était de 8,8 %, 8,9 % et 8,9 % pour les groupes 0,5 mg d'Ozempic, 1 mg d'Ozempic et placebo, respectivement. À la semaine 30, la variation de l'HbA11c était de -1,3 %, -1,8 % et 0,4 % dans les groupes 0,5 mg d'Ozempic, 1 mg d'Ozempic et placebo, respectivement.
-SUSTAIN 6 est un essai clinique randomisé, en double aveugle, comparant la sécurité cardiovasculaire du sémaglutide à la dose de 0,5 mg et du sémaglutide à la dose de 1 mg une fois par semaine avec celle du placebo chez 3297 patients diabétiques de type 2. L'essai a inclus 2'735 (83%) patients atteints d'une maladie cardiovasculaire préexistante et 562 (17%) patients à haut risque d'événements cardiovasculaires. Le sémaglutide et le placebo ont été administrés en plus du traitement antidiabétique existant. La période d'observation était de 2 ans.
-Le critère primaire était le délai de survenue depuis la randomisation du premier événement cardiovasculaire majeur (MACE, major adverse cardiovascular event). MACE était défini comme la survenue de l'un des trois composants «mortalité cardiovasculaire», «infarctus non fatal» ou «accident vasculaire cérébral non fatal». Le critère secondaire était le délai de survenue depuis la randomisation du premier événement d'un critère d'évaluation MACE étendu. Ce critère d'évaluation élargi comprenait une revascularisation coronarienne ou périphérique supplémentaire, une angine de poitrine instable nécessitant une hospitalisation ou une hospitalisation pour insuffisance cardiaque. L'essai a été conçu comme un essai de non-infériorité. Le critère pour la décision de non-infériorité était la limite supérieure de 1,8 de l'intervalle de confiance à 95% pour le hazard ratio du MACE.
-Le nombre total de composants primaires des critères MACE était de 254, dont 108 (6,6%) avec le sémaglutide et 146 (8,9%) avec un placebo. La sécurité cardiovasculaire du sémaglutide par rapport au placebo a été confirmée (Figures 2 et 3).
- +SUSTAIN 6 est un essai clinique randomisé, en double aveugle, comparant la sécurité cardiovasculaire du sémaglutide à la dose de 0,5 mg et du sémaglutide à la dose de 1 mg une fois par semaine avec celle du placebo chez 3'297 patients diabétiques de type 2. L'essai a inclus 2'735 (83 %) patients atteints d'une maladie cardiovasculaire préexistante et 562 (17 %) patients à haut risque d'événements cardiovasculaires. Le sémaglutide et le placebo ont été administrés en plus du traitement antidiabétique existant. La période d'observation était de 2 ans.
- +Le critère primaire était le délai de survenue depuis la randomisation du premier événement cardiovasculaire majeur (MACE, major adverse cardiovascular event). MACE était défini comme la survenue de l'un des trois composants «mortalité cardiovasculaire», «infarctus non fatal» ou «accident vasculaire cérébral non fatal». Le critère secondaire était le délai de survenue depuis la randomisation du premier événement d'un critère d'évaluation MACE étendu. Ce critère d'évaluation élargi comprenait une revascularisation coronarienne ou périphérique supplémentaire, une angine de poitrine instable nécessitant une hospitalisation ou une hospitalisation pour insuffisance cardiaque. L'essai a été conçu comme un essai de non-infériorité. Le critère pour la décision de non-infériorité était la limite supérieure de 1,8 de l'intervalle de confiance à 95 % pour le hazard ratio du MACE.
- +Le nombre total de composants primaires des critères MACE était de 254, dont 108 (6,6 %) avec le sémaglutide et 146 (8,9 %) avec un placebo. La sécurité cardiovasculaire du sémaglutide par rapport au placebo a été confirmée (Figures 2 et 3).
-La différence de l'HbA1c à la semaine 104 par rapport à l'inclusion était de 1,1% pour 0,5 mg de sémaglutide contre -0,4% pour le placebo, et -1,4% pour 1 mg de sémaglutide contre 0,4 pour le placebo.
- +La différence de l'HbA1c à la semaine 104 par rapport à l'inclusion était de 1,1 % pour 0,5 mg de sémaglutide contre -0,4 % pour le placebo, et -1,4 % pour 1 mg de sémaglutide contre 0,4 pour le placebo.
-L'exposition au sémaglutide a augmenté de manière dose-proportionnelle pour des doses de 0,5 mg, 1 mg et 2 mg. Une exposition similaire a été obtenue avec une administration sous-cutanée de sémaglutide dans l'abdomen, la cuisse ou le haut du bras. La biodisponibilité absolue du sémaglutide par voie sous-cutanée était de 89%.
- +L'exposition au sémaglutide a augmenté de manière dose-proportionnelle pour des doses de 0,5 mg, 1 mg et 2 mg. Une exposition similaire a été obtenue avec une administration sous-cutanée de sémaglutide dans l'abdomen, la cuisse ou le haut du bras. La biodisponibilité absolue du sémaglutide par voie sous-cutanée était de 89 %.
-Le volume de distribution moyen du sémaglutide après administration intraveineuse chez des patients diabétiques de type 2 était d'environ 12,5 l. Le sémaglutide était fortement lié à l'albumine plasmatique (>99%).
- +Le volume de distribution moyen du sémaglutide après administration intraveineuse chez des patients diabétiques de type 2 était d'environ 12,5 l. Le sémaglutide était fortement lié à l'albumine plasmatique (>99 %).
-Le sémaglutide est métabolisé par clivage protéolytique de la chaîne peptidique et bêta-oxydation séquentielle de la chaîne latérale des acides gras. Le métabolite plasmatique le plus abondant représentait moins de 8% de l'exposition totale et a été identifié comme sémaglutide avec troncature des 13 premiers acides aminés de l'extrémité N-terminale.
- +Le sémaglutide est métabolisé par clivage protéolytique de la chaîne peptidique et bêta-oxydation séquentielle de la chaîne latérale des acides gras. Le métabolite plasmatique le plus abondant représentait moins de 8 % de l'exposition totale et a été identifié comme sémaglutide avec troncature des 13 premiers acides aminés de l'extrémité N-terminale.
-L'élimination des matières associées au sémaglutide s'est faite principalement par l'urine et les fèces. Approximativement 3% de la dose a été excrétée sous la forme de sémaglutide intact dans l'urine. Chez des patients diabétiques de type 2, la clairance du sémaglutide était d'environ 0,05 l/h. Avec une demi-vie d'élimination d'environ 1 semaine, le sémaglutide restera présent dans la circulation pendant approximativement 5 semaines après la dernière dose.
- +L'élimination des matières associées au sémaglutide s'est faite principalement par l'urine et les fèces. Approximativement 3 % de la dose a été excrétée sous la forme de sémaglutide intact dans l'urine. Chez des patients diabétiques de type 2, la clairance du sémaglutide était d'environ 0,05 l/h. Avec une demi-vie d'élimination d'environ 1 semaine, le sémaglutide restera présent dans la circulation pendant approximativement 5 semaines après la dernière dose.
-Lors d'études du développement embryo-fœtal chez le rat, le sémaglutide a entraîné une embryotoxicité à des expositions inférieures aux niveaux cliniquement significatifs. Le sémaglutide a entraîné une nette réduction du poids maternel et une diminution de la croissance et de la survie embryonnaires. Chez les fœtus, des malformations viscérales et squelettiques majeures ont été observées, notamment des effets sur les os longs, les côtes, les vertèbres, la queue, les vaisseaux sanguins et les ventricules cérébraux. Des évaluations mécanistiques ont indiqué que l'embryotoxicité impliquait une anomalie médiée par les récepteurs du GLP-1 au niveau de l'apport de nutriments à l'embryon via le sac vitellin du rat. En raison des différences d'anatomie et de fonction du sac vitellin entre les espèces, et en raison de l'absence d'expression des récepteurs du GLP-1 dans le sac vitellin des primates non humains, ce mécanisme n'est probablement pas pertinent pour l'homme.
-Lors d'études de toxicité sur le développement chez le lapin et le singe cynomolgus, une augmentation des fausses couches et une légère hausse de l'incidence des anomalies fœtales ont été observées à des expositions cliniquement significatives. Ces résultats coïncidaient avec une nette réduction du poids maternel allant jusqu'à 16%. Il n'est pas établi si ces effets sont liés à la réduction de consommation d'aliments par la mère en tant qu'effet direct du GLP-1.
- +Lors d'études du développement embryo-fœtal chez le rat, le sémaglutide a entraîné une embryotoxicité à des expositions inférieures aux niveaux cliniquement significatifs. Le sémaglutide a entraîné une nette réduction du poids maternel et une diminution de la croissance et de la survie embryonnaires. Chez les fœtus, des malformations viscérales et squelettiques majeures ont été observées, notamment des effets sur les os longs, les côtes, les vertèbres, la queue, les vaisseaux sanguins et les ventricules cérébraux. Des évaluations mécanistiques ont indiqué que l'embryotoxicité impliquait une anomalie médiée par les récepteurs du GLP-1 au niveau de l'apport de nutriments à l'embryon via le sac vitellin du rat. En raison des différences d'anatomie et de fonction du sac vitellin entre les espèces, et en raison de l'absence d'expression des récepteurs du GLP-1 dans le sac vitellin des primates non humains, ce mécanisme n'est probablement pas pertinent pour l'homme. Cependant, un effet direct du sémaglutide sur le fœtus ne peut être exclu.
- +Lors d'études de toxicité sur le développement chez le lapin et le singe cynomolgus, une augmentation des fausses couches et une légère hausse de l'incidence des anomalies fœtales ont été observées à des expositions cliniquement significatives. Ces résultats coïncidaient avec une nette réduction du poids maternel allant jusqu'à 16 %. Il n'est pas établi si ces effets sont liés à la réduction de consommation d'aliments par la mère en tant qu'effet direct du GLP-1.
-66604 (Swissmedic).
- +66604 (Swissmedic)
-Présentation à 1 stylo prérempli avec 4 aiguilles NovoFine® Plus à usage unique (B)
- +Présentation à 1 stylo prérempli avec 4 aiguilles NovoFine Plus® à usage unique (B)
-Décembre 2023
- +Novembre 2024
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