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Accueil - Information professionnelle sur Abacavir Lamivudin Sandoz - Changements - 20.05.2022
38 Changements de l'information professionelle Abacavir Lamivudin Sandoz
  • -Adultes et enfants pesant au moins 25 kg
  • +Adultes et enfants pesant au moins 25 kg:
  • -L'administration de Abacavir Lamivudine Sandoz n'est pas recommandée chez les patients ayant une clairance de la créatinine <50 ml/min (voir «Pharmacocinétique»).
  • +L'administration de Abacavir Lamivudine Sandoz n'est pas recommandée chez les patients ayant une clairance de la créatinine <30 ml/min. Étant donné que d'Abacavir Lamivudine Sandoz étant une association fixe et qu'un ajustement des différents principes actifs n'est pas possible, les monopréparations doivent être utilisées lorsqu'une réduction de la dose des différents principes actifs est nécessaire en raison de troubles de la fonction rénale. L'exposition à la lamivudine est significativement augmentée chez les patients ayant une clairance de la créatinine < 50 ml/min (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • -Description clinique d'une RHS à l'abacavir
  • +Description clinique d'une RHS à l'abacavir:
  • -Insuffisance rénale: Fautes d'études adéquates, il est impossible de formuler des recommandations posologiques spécifiques. En cas d'insuffisance rénale, il faut étroitement surveiller le patient.
  • +Insuffisance rénale:
  • +Administration chez les patients ayant une insuffisance rénale modérée: Les patients dont la clairance de la créatinine est comprise entre 30 et 49 ml/min et qui reçoivent Abacavir Lamivudine Sandoz peuvent avoir une exposition à la lamivudine (AUC) 1,6 à 3,3 fois plus élevée que celle des patients ayant une clairance de la créatinine ≥50 ml/min. Il n'existe pas de données de sécurité issues d'essais randomisés contrôlés comparant l'abacavir et la lamivudine aux composants individuels chez des patients présentant une clairance de la créatinine comprise entre 30 et 49 ml/min et ayant eu une adaptation de la dose de lamivudine. Dans les premiers essais menés avec la lamivudine en association avec la zidovudine, des expositions plus élevées à la lamivudine étaient associées à une toxicité hématologique plus fréquente (neutropénie et anémie), bien que des arrêts dus à une neutropénie ou à une anémie aient été rapportés pour chacune des toxicités chez <1% des patients. D'autres événements indésirables associés à la lamivudine (tels que des troubles gastro-intestinaux et des atteintes hépatiques) peuvent survenir.
  • +Les patients ayant une clairance de la créatinine constante comprise entre 30 et 49 ml/min et qui reçoivent l'abacavir et la lamivudine doivent être surveillés afin de rechercher des événements indésirables liés à la lamivudine, notamment une toxicité hématologique. En cas d'apparition ou d'aggravation d'une neutropénie ou d'une anémie, une adaptation posologique de la lamivudine, conformément à l'information professionnelle de la lamivudine, est indiquée. Étant donné que cette adaptation ne peut pas être obtenue avec Abacavir Lamivudine Sandoz, Abacavir Lamivudine Sandoz doit être arrêté et les composants individuels doivent être utilisés pour établir le schéma thérapeutique.
  • -Lipides sériques et glycémie: un traitement antirétroviral peut s'accompagner d'une augmentation des taux de lipides sériques et de la glycémie. Le contrôle de la maladie et des modifications du mode de vie peuvent aussi y contribuer. Il est donc recommandé de vérifier les taux sériques de lipides et la glycémie. Les troubles du métabolisme lipidique doivent être traités en fonction des nécessités cliniques.
  • +Lipides sériques et glycémie: Un traitement antirétroviral peut s'accompagner d'une augmentation des taux de lipides sériques et de la glycémie. Le contrôle de la maladie et des modifications du mode de vie peuvent aussi y contribuer. Il est donc recommandé de vérifier les taux sériques de lipides et la glycémie. Les troubles du métabolisme lipidique doivent être traités en fonction des nécessités cliniques.
  • -Transmission du VIH: Les patients doivent être informés que les traitements antirétroviraux disponibles, y compris Abacavir Lamivudine Sandoz, n'ont pas démontré leur capacité à réduire la transmission par voie sexuelle ou par voie sanguine du VIH. Les précautions appropriées doivent donc être maintenues.
  • +Transmission du VIH: Bien qu'il soit prouvé qu'une suppression virale efficace sous traitement antirétroviral réduit considérablement le risque de transmission par voie sexuelle, un risque résiduel ne peut pas être exclu. Par conséquent, des mesures de précaution conformes aux directives officielles doivent être prises pour prévenir une telle transmission.
  • -Infarctus du myocarde: Dans plusieurs études épidémiologiques d'observation, l'utilisation de l'abacavir a été associée à un risque accru d'infarctus du myocarde. Les méta-analyses d'études contrôlées randomisées n'ont révélé aucun risque accru d'infarctus du myocarde chez les patients sous abacavir. Jusqu'à présent, il n'a pas été constaté de mécanisme biologique susceptible d'expliquer l'éventuelle augmentation du risque d'infarctus du myocarde.
  • +Infarctus du myocarde:
  • +Dans plusieurs études épidémiologiques d'observation, l'utilisation de l'abacavir a été associée à un risque accru d'infarctus du myocarde. Les méta-analyses d'études contrôlées randomisées n'ont révélé aucun risque accru d'infarctus du myocarde chez les patients sous abacavir. Jusqu'à présent, il n'a pas été constaté de mécanisme biologique susceptible d'expliquer l'éventuelle augmentation du risque d'infarctus du myocarde.
  • +L'administration concomitante d'abacavir et de riociguat peut provoquer une élévation des taux de riociguat et un risque accru d'hypotension (voir «Interactions»).
  • +
  • -Les enzymes du cytochrome P450 (tels que CYP 3A4, CYP 2C9 ou CYP 2D6) ne jouent pas un rôle majeur dans le métabolisme de l'abacavir ni dans celui de la lamivudine qui ne sont eux-mêmes ni inhibiteurs ni inducteurs de ce système enzymatique. Par conséquent, le risque d'interactions avec les antirétroviraux inhibiteurs de la protéase, les analogues non nucléosidiques et les autres médicaments métabolisés par les principales enzymes du cytochrome P450 est faible.
  • +Les enzymes du cytochrome P450 (tels que CYP3A4, CYP2C9 ou CYP2D6) ne jouent pas un rôle majeur dans le métabolisme de l'abacavir ni dans celui de la lamivudine qui ne sont eux-mêmes pas des inducteurs de ce système enzymatique.
  • +La lamivudine n'inhibe pas les enzymes du cytochrome P450. L'abacavir a un potentiel limité à inhiber le métabolisme médié par le CYP3A4 et il n'inhibe pas in vitro les enzymes CYP2C9 ou CYP2D6. Des études in vitro ont montré que l'abacavir peut inhiber le cytochrome P450 1A1 (CYP1A1). Par conséquent, le risque d'interactions avec les antirétroviraux inhibiteurs de la protéase, les analogues non nucléosidiques et les autres médicaments métabolisés par les principales enzymes du cytochrome P450 est faible.
  • +Riociguat: In vitro, l'abacavir inhibe le CYP1A1. L'administration concomitante d'une dose unique de riociguat (0,5 mg) à des patients infectés par le VIH recevant l'association abacavir/dolutégravir/lamivudine (600 mg/50 mg/300 mg une fois par jour) a conduit à une ASC(0-∞) du riociguat environ trois fois plus élevée comparée à l'ASC(0-∞) historique du riociguat rapportée chez des sujets sains.
  • +Une augmentation de l'exposition au riociguat liée à l'abacavir est associée à un risque d'hypotension. Lorsque le traitement par le riociguat est instauré chez des patients recevant des doses stables d'abacavir, une réduction de la dose de riociguat doit être envisagée. Se référer à l'information professionnelle du riociguat pour les recommandations posologiques. Les patients traités simultanément par l'abacavir et le riociguat doivent être surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'une hypotension. L'instauration d'un traitement par l'abacavir n'est pas recommandée chez les patients recevant des doses stables de riociguat.
  • +
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fréquent: fièvre, léthargie, fatigue Fréquent: fatigue, malaise, fièvre
  • +Troubles généraux Fréquent: fièvre, léthargie, fatigue Fréquent: fatigue, malaise, fièvre
  • -Une faiblesse motrice généralisée simulant cliniquement un syndrome de Guillan-Barré a très rarement été observée au cours du traitement par abacavir. Une telle faiblesse motrice peut survenir avec ou sans hyperlactatémie, y compris insuffisance respiratoire (voir «Mises en garde et précautions» et «Acidose lactique»).
  • +Une faiblesse motrice généralisée simulant cliniquement un syndrome de Guillain-Barré a très rarement été observée au cours du traitement par abacavir. Une telle faiblesse motrice peut survenir avec ou sans hyperlactatémie, y compris insuffisance respiratoire (voir «Mises en garde et précautions» et «Acidose lactique»).
  • -Mécanisme d'action
  • +Mécanisme d'action et résistance
  • -Aucune donnée.
  • +Non pertinent.
  • -Après administration orale, l'abacavir et la lamivudine sont bien et rapidement absorbés au niveau du tractus gastro-intestinal. Chez l'adulte, la biodisponibilité absolue après administration orale d'abacavir et de lamivudine est respectivement d'environ 83% et 80 à 85%. Le délai moyen jusqu'à l'obtention de la concentration sérique maximale tmax est respectivement d'environ 1,5 heures pour l'abacavir et 1,0 heure pour la lamivudine. Après administration d'une dose unique de 600 mg d'abacavir, la valeur moyenne de Cmax est de 4,26 µg/ml (coefficient de variation CV = 28%) et la valeur moyenne de l'ASC∞ de 11,95 µg.h/ml (CV = 21%). Après administration de doses orales multiples de 300 mg de lamivudine une fois par jour pendant sept jours, la valeur moyenne de la Cmax à l'état d'équilibre est de 2,04 µg/ml (CV = 26%) et la valeur moyenne de l'ASC24 h de 8,87 µg.h/ml (CV = 21%).
  • +Après administration orale, l'abacavir et la lamivudine sont bien et rapidement absorbés au niveau du tractus gastro-intestinal. Chez l'adulte, la biodisponibilité absolue après administration orale d'abacavir et de lamivudine est respectivement d'environ 83% et 80 à 85%. Le délai moyen jusqu'à l'obtention de la concentration sérique maximale tmax est respectivement d'environ 1,5 heures pour l'abacavir et 1,0 heure pour la lamivudine. Après administration d'une dose unique de 600 mg d'abacavir, la valeur moyenne de Cmax est de 4,26 µg/ml (coefficient de variation CV = 28%) et la valeur moyenne de l'ASC∞ de 11,95 µg.h/ml (CV = 21%). Après administration de doses orales multiples de 300 mg de lamivudine une fois par jour pendant sept jours, la valeur moyenne de la Cmax à l'état d'équilibre est de 2,04 µg/ml (CV = 26%) et la valeur moyenne de l'ASC 24 h de 8,87 µg.h/ml (CV = 21%).
  • -La demi-vie d'élimination de la lamivudine est comprise entre 5 et 7 heures. La clairance systémique moyenne de la lamivudine est d'environ 0,32 l/h/kg, avec une élimination essentiellement rénale (>70%), de par une sécrétion tubulaire active. Des études effectuées chez l'insuffisant rénal révèlent que l'élimination de la lamivudine est altérée lors d'un trouble de la fonction rénale. La posologie doit être réduite chez les patients ayant une clairance de la créatinine <50 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La demi-vie d'élimination de la lamivudine est comprise entre 18 et 19 heures. La clairance systémique moyenne de la lamivudine est d'environ 0,32 l/h/kg, avec une élimination essentiellement rénale (>70%), de par une sécrétion tubulaire active. Des études effectuées chez l'insuffisant rénal révèlent que l'élimination de la lamivudine est altérée lors d'un trouble de la fonction rénale. La posologie doit être réduite chez les patients ayant une clairance de la créatinine <30 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les comparaisons femmes/hommes sont basées sur les valeurs moyennes pour les traitements A et B obtenues à partir de valeurs enregistrées chez des patients individuels
  • +Les comparaisons femmes/hommes sont basées sur les valeurs moyennes pour les traitements A et B obtenues à partir de valeurs enregistrées chez des patients individuels.
  • -Les comparaisons femmes/hommes sont basées sur les valeurs moyennes pour les traitements A et B obtenues à partir de valeurs enregistrées chez des patients individuels
  • +Les comparaisons femmes/hommes sont basées sur les valeurs moyennes pour les traitements A et B obtenues à partir de valeurs enregistrées chez des patients individuels.
  • -Pour les patients traités par la lamivudine (300 mg une fois/jour), la demi-vie intracellulaire terminale de la lamivudine-TP était prolongée jusqu'à 16 à 19 heures, alors que la demi-vie plasmatique de la lamivudine était de 5 à 7 heures.
  • +Pour les patients traités par la lamivudine (300 mg une fois/jour), la demi-vie intracellulaire terminale de la lamivudine-TP était prolongée jusqu'à 16 à 19 heures, alors que la demi-vie plasmatique de la lamivudine était de 18 à 19 heures.
  • -Des données pharmacocinétiques ne sont disponibles que pour l'abacavir et la lamivudine administrés séparément. L'abacavir est essentiellement métabolisé par le foie, env. 2% de la dose administrée étant éliminés sous forme inchangée dans les urines. La pharmacocinétique de l'abacavir chez les patients au stade terminal d'insuffisance rénale est similaire à celle des patients ayant une fonction rénale normale. Des études réalisées avec la lamivudine révèlent une augmentation des concentrations plasmatiques (ASC) chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale du fait d'une diminution de la clairance. Une réduction de la posologie est nécessaire chez les patients ayant une clairance de la créatinine <50 ml/min.
  • +Des données pharmacocinétiques ne sont disponibles que pour l'abacavir et la lamivudine administrés séparément. L'abacavir est essentiellement métabolisé par le foie, env. 2% de la dose administrée étant éliminés sous forme inchangée dans les urines. La pharmacocinétique de l'abacavir chez les patients au stade terminal d'insuffisance rénale est similaire à celle des patients ayant une fonction rénale normale. Des études réalisées avec la lamivudine révèlent une augmentation des concentrations plasmatiques (ASC) chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale du fait d'une diminution de la clairance. Les patients dont la clairance de la créatinine est comprise entre 30 et 49 ml/min et qui reçoivent Abacavir Lamivudine Sandoz peuvent avoir une exposition à la lamivudine (ASC) 1,6 à 3,3 fois élevée que celle des patients ayant une clairance de la créatinine ≥50 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»). Une réduction de la posologie est nécessaire chez les patients ayant une clairance de la créatinine <30 ml/min (voir «Posologie chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale»).
  • -Août 2020
  • +Septembre 2021
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