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-Des cas de syndrome myélodysplasique ou de leucémie aiguë myéloïde (SMD/LAM) ont été rapportés chez un petit nombre de patients (<1,5 %, incluant une période de suivi pour la survie à long terme), et la majorité des cas ont été fatals. Les patients présentaient plusieurs facteurs favorisant potentiellement le développement de SMD/LAM, p.ex. chimiothérapie antérieure à base de platine ou d'autres d'agents endommageant l'ADN. Dans la majorité des cas, les notifications concernaient des patients porteurs de la mutation germinale du gène BRCA et certains patients présentaient dans leurs antécédents une affection cancéreuse supplémentaire ou une dysplasie médullaire. Si le SMD et/ou la LAM sont confirmés pendant le traitement par Lynparza, il est recommandé d'arrêter le traitement par Lynparza et de traiter le patient de façon appropriée.
- +Sous traitement par l'olaparib, un syndrome myélodysplasique (SMD) et/ou une leucémie aiguë myéloïde (LAM) ont été observés, et la majorité des cas ont été fatals (voir «Effets indésirables»). Si le SMD et/ou la LAM sont confirmés pendant le traitement par Lynparza, il est recommandé d'arrêter le traitement par Lynparza et de traiter le patient de façon appropriée.
-Le profil de sécurité se base sur les données regroupées de 2351 patients avec des tumeurs solides qui ont été traités par Lynparza en monothérapie.
-Les effets indésirables les plus fréquemment observés dans les études cliniques portant sur l'olaparib en monothérapie sous forme de comprimés pelliculés ou de capsules (données regroupées de 2351 patients avec des tumeurs solides) étaient des nausées (60 %), des vomissements (34 %), des diarrhées (25 %), une dyspepsie (12 %), une fatigue (55 %), des céphalées (16 %), une dysgueusie (15 %), une diminution de l'appétit (23 %), des vertiges (12 %), une anémie (37 %), une neutropénie (15 %), une thrombocytopénie (11 %), une leucopénie (11 %), une toux (15 %) et une dyspnée (14 %).
- +Le profil de sécurité se base sur les données regroupées de 2901 patients avec des tumeurs solides qui ont été traités par Lynparza en monothérapie.
- +Les effets indésirables les plus fréquemment observés dans les études cliniques portant sur l'olaparib en monothérapie sous forme de comprimés pelliculés ou de capsules (données regroupées de 2901 patients avec des tumeurs solides) étaient des nausées (60 %), des vomissements (32 %), des diarrhées (24 %), une dyspepsie (12 %), une fatigue (55 %), des céphalées (16 %), une dysgueusie (15 %), une diminution de l'appétit (22 %), des vertiges (12 %), une anémie (36 %), une neutropénie (14 %), une thrombocytopénie (10 %), une leucopénie (11 %), une toux (15 %) et une dyspnée (14 %).
- +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
- +Fréquents: syndrome myélodysplasique (SMD)/leucémie aiguë myéloïde (LAM)
- +
-Très fréquents: anémiea (37 %; grade ≥3: 17 %), neutropéniea (15 %; grade ≥3: 6,0 %), thrombocytopéniea (11 %, grade ≥3: 2,8 %), leucopéniea (11 %; grade ≥3: 3,0 %).
-Fréquents: lymphopéniea.
-Occasionnels: augmentation du volume corpusculaire moyen.
- +Très fréquents: anémiea (36 %; grade ≥3: 16 %), neutropéniea (14 %; grade ≥3: 5,3 %), thrombocytopéniea (10 %, grade ≥3: 2,6 %), leucopéniea (11 %; grade ≥3: 2,6 %)
- +Fréquents: lymphopéniea
- +Occasionnels: augmentation du volume corpusculaire moyen
-Fréquents: éruption cutanéea.
-Occasionnels: hypersensibilitéa, dermatitea.
- +Fréquents: éruption cutanéea
- +Occasionnels: hypersensibilitéa, dermatitea, angio-œdème*
-Très fréquents: diminution de l'appétit (23 %; grade ≥3: 0,7 %).
- +Très fréquents: diminution de l'appétit (22 %; grade ≥3: 0,7 %).
-Très fréquents: céphalées (16 %; grade ≥3: 0,3 %), dysgueusie (15 %; grade ≥3: pas de données), vertiges (12 %; grade ≥3: 0,2 %).
- +Très fréquents: céphalées (16 %; grade ≥3: 0,2 %), dysgueusie (15 %; grade ≥3: pas de données), vertiges (12 %; grade ≥3: 0,2 %).
-Très fréquents: touxa (15 %, grade ≥3: 0,1 %), dyspnéea (14 %; grade ≥3: 1,5 %).
-Occasionnels: pneumopathiea.
- +Très fréquents: touxa (15 %, grade ≥3: 0,2 %), dyspnéea (14 %; grade ≥3: 1,4 %)
- +Occasionnels: pneumopathiea
-Fréquents: embolie pulmonaire.
- +Fréquents: embolie pulmonaire
-Très fréquents: nausées (60 %; grade ≥3: 1,6 %), vomissements (34 %; grade ≥3: 2,0 %), diarrhée (25 %; grade ≥3: 1,3 %) et dyspepsie (12 %; grade ≥3: pas de données).
- +Très fréquents: nausées (60 %; grade ≥3: 1,5 %), vomissements (32 %; grade ≥3: 1,8 %), diarrhée (24 %; grade ≥3: 1,1 %) et dyspepsie (12 %; grade ≥3: pas de données).
-Fréquents: augmentation de la créatininémie (voir paragraphe ci-dessous).
- +Fréquents: augmentation de la créatininémie (voir paragraphe ci-dessous)
-Très fréquents: fatigue (y compris asthénie) (55 %; grade ≥3: 5,3 %).
- +Très fréquents: fatigue (y compris asthénie) (55 %; grade ≥3: 5,1 %).
- +* Observé après la mise sur le marché.
- +Syndrome myélodysplasique/leucémie aiguë myéloïde
- +Le SMD/la LAM sont survenus dans le cadre des études cliniques, toutes indications confondues, chez les patients pendant le traitement par l'olaparib et durant la période d'observation consécutive à long terme de la survie globale (y compris les cas relevés activement) avec une fréquence de <1,5 %.
- +Les patients présentaient plusieurs facteurs favorisant potentiellement le développement de SMD/LAM, p.ex. chimiothérapie antérieure à base de platine ou d'autres d'agents endommageant l'ADN. Dans la majorité des cas, les notifications concernaient des patients porteurs de la mutation germinale du gène BRCA et certains patients présentaient dans leurs antécédents une affection cancéreuse supplémentaire ou une dysplasie médullaire.
- +Une incidence plus élevée de SMD/LAM a été observée chez les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire avec mutation du gène BRCAm, récidivant et sensible au platine, qui avaient reçu au moins deux lignes de chimiothérapie à base de platine et qui avaient été traitées par le traitement à l'étude jusqu'à la progression de la maladie (étude SOLO2, durée médiane de l'exposition à l'olaparib 2,3 ans). Durant la période d'observation de 5 ans, la fréquence du SMD/de la LAM était de 8,2 % dans le groupe olaparib et de 4,0 % dans le groupe placebo. Dans le bras olaparib, 7 cas (3,6 %) de SMD/LAM sont survenus pendant le traitement et 9 cas (4,6 %) après l'arrêt de l'olaparib, alors que dans le groupe placebo, tous les cas ont été rapportés après l'arrêt du médicament à l'étude. Les patients ayant contracté le SMD/la LAM ont été traités par Lynparza entre < 6 mois et > 4 ans. Le risque de contracter un SMS/une LAM était de 1,2 % après une période d'observation de 5 ans dans un contexte de première ligne de traitement lorsqu'un traitement d'entretien par l'olaparib d'une durée de 2 ans avait été administré après un traitement par chimiothérapie à base de platine (étude SOLO1).
-L01XX46
- +L01XK01
-Non-tBRCAm
- +Non-tBRCAm
-Statut positif de la HRD (GIS ≥42) et/ou tBRCAm
- +Statut positif de la HRD (GIS ≥42) et/ou tBRCAm
-Statut positif de la HRD (GIS ≥42) non-tBRCAm
- +Statut positif de la HRD (GIS ≥42) non-tBRCAm
-Statut négatif de la HRD (GIS < 42)
- +Statut négatif de la HRD (GIS < 42)
-Le critère d'évaluation principal de l'étude a été atteint, mettant en évidence une amélioration cliniquement importante et statistiquement significative de la SSP évaluée par le médecin investigateur pour les patientes sous olaparib par rapport à celles sous placebo. Le Hazard Ratio (HR) était de 0,30 (IC à 95 % 0,22-0,41, p<0,0001, médiane 19,1 mois pour l'olaparib contre 5,5 mois pour le placebo). L'évaluation par le médecin investigateur de la SSP a été étayée par une analyse de la SSP réalisée en aveugle par un centre radiologique indépendant. Après 2 ans, 43 % des patientes traitées par olaparib sont restées sans progression. Elles n'étaient que 15 % à être dans ce cas dans le groupe de patientes ayant reçu un placebo. Une amélioration cliniquement importante et statistiquement significative de la SSP2 a par ailleurs été observée. Le HR était de 0,50 (IC à 95 % 0,34-0,72, p<0,0002, médiane non atteinte pour l'olaparib contre 18,4 mois pour le placebo). Ces résultats indiquent que les bénéfices observés sous olaparib continuaient à être visibles même lors de l'utilisation de traitements ultérieurs. Le développement des données relatives à la SG provisoire n'était pas encore terminé. Des événements ne sont survenus que chez 24 % des patientes (HR 0,80; IC à 95 % 0,50-1,31; médiane non atteinte). Chez les patientes traitées par l'olaparib, des améliorations cliniquement importantes du TDT (HR 0,31; IC à 95 % 0,23-0,42), TFST (HR 0,28; IC à 95 % 0,21-0,38) et TSST (HR 0,37; IC à 95 % 0,26-0,53) ont par ailleurs été observées.
- +Le critère d'évaluation principal de l'étude a été atteint, mettant en évidence une amélioration cliniquement importante et statistiquement significative de la SSP évaluée par le médecin investigateur pour les patientes sous olaparib par rapport à celles sous placebo. Le Hazard Ratio (HR) était de 0,30 (IC à 95 % 0,22-0,41, p<0,0001, médiane 19,1 mois pour l'olaparib contre 5,5 mois pour le placebo). L'évaluation par le médecin investigateur de la SSP a été étayée par une analyse de la SSP réalisée en aveugle par un centre radiologique indépendant. Après 2 ans, 43 % des patientes traitées par olaparib sont restées sans progression. Elles n'étaient que 15 % à être dans ce cas dans le groupe de patientes ayant reçu un placebo. Une amélioration cliniquement importante et statistiquement significative de la SSP2 a par ailleurs été observée. Le HR était de 0,50 (IC à 95 % 0,34-0,72, p<0,0002, médiane non atteinte pour l'olaparib contre 18,4 mois pour le placebo). Ces résultats indiquent que les bénéfices observés sous olaparib continuaient à être visibles même lors de l'utilisation de traitements ultérieurs. Au moment de l'analyse de la SSP, les données de la SG étaient immatures. Des événements ne sont survenus que chez 24 % des patientes (HR 0,80; IC à 95 % 0,50-1,31; médianes non atteintes).
- +L'analyse de la SG finale a été effectuée après une durée d'observation médiane d'env. 5,5 ans avec un taux de maturité des données de 61 % (3 février 2020). Au moment de l'analyse, 116/196 patients (59 %) dans le bras olaparib et 65/99 patients (66 %) dans le bras témoin étaient décédés. Au moment de l'analyse, la survie globale médiane était de 51,7 mois dans le bras olaparib et de 38,8 mois dans le bras témoin, HR 0,74 (IC à 95 % 0,54-1,00; statistiquement non significatif). Chez les patientes traitées par l'olaparib, des améliorations cliniquement importantes du TDT (HR 0,31; IC à 95 % 0,23-0,42; 03.02.2020: HR 0,37; IC à 95 % 0,28-0,49), TFST (HR 0,28; IC à 95 % 0,21-0,38; 03.02.2020: HR 0,37; IC à 95 % 0,28-0,48) et TSST (HR 0,37; IC à 95 % 0,26-0,53; 03.02.2020: HR 0,51; IC à 95 % 0,39-0,68) ont par ailleurs été observées.
-66745 (Swissmedic).
- +66745 (Swissmedic)
-AstraZeneca AG, 6340 Baar.
- +AstraZeneca AG, 6340 Baar
-Décembre 2020.
- +Juin 2021
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