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Accueil - Information professionnelle sur Lynparza 100 mg - Changements - 10.07.2025
54 Changements de l'information professionelle Lynparza 100 mg
  • -Des cas de pneumopathie ont été rapportés chez un petit nombre de patients (<1 %) recevant Lynparza. Les cas de pneumopathie rapportés ne présentaient pas de profil clinique uniforme et leur interprétation était rendue difficile par la présence d'un certain nombre de facteurs de prédisposition (cancer et/ou métastases pulmonaires, maladie pulmonaire sous-jacente, tabagisme et/ou traitement antérieur par chimiothérapie et radiothérapie). Dans des études cliniques portant sur Lynparza en association avec d'autres traitements, une issue fatale a été rapportée dans certains cas. En cas d'apparition ou d'aggravation de symptômes respiratoires tels que dyspnée, toux et fièvre ou de mise en évidence d'une anomalie radiologique au niveau du thorax, le traitement par Lynparza doit être interrompu et des examens doivent rapidement être réalisés. Si la pneumopathie est confirmée, le traitement par Lynparza doit être arrêté et le patient traité de manière appropriée.
  • +Des cas de pneumopathie ont été rapportés chez un petit nombre de patients recevant Lynparza (voir la rubrique «Effets indésirables»). Dans des études cliniques portant sur Lynparza en association avec d'autres traitements, une issue fatale a été rapportée dans certains cas. En cas d'apparition ou d'aggravation de symptômes respiratoires tels que dyspnée, toux et fièvre ou de mise en évidence d'une anomalie radiologique au niveau du thorax, le traitement par Lynparza doit être interrompu et des examens doivent rapidement être réalisés. Si la pneumopathie est confirmée, le traitement par Lynparza doit être arrêté et le patient traité de manière appropriée.
  • -Des cas de toxicité hépatique ont été signalés chez des patients traités par olaparib (voir «Effets indésirables»). En cas d'apparition de symptômes ou de signes cliniques indiquant une toxicité hépatique, une évaluation clinique du patient ainsi qu'un bilan hépatique doivent être effectués immédiatement. En cas de soupçon de lésion hépatique médicamenteuse (DILI), le traitement doit être interrompu. En cas de lésion hépatique médicamenteuse grave, un arrêt du traitement doit être envisagé lorsque cela est justifié sur le plan clinique.
  • +Des cas de toxicité hépatique ont été signalés chez des patients traités par olaparib (voir «Effets indésirables»). En cas d'apparition de symptômes ou de signes cliniques indiquant une toxicité hépatique, une évaluation clinique du patient ainsi qu'un bilan hépatique doivent être effectués immédiatement. De rares cas de lésions hépatiques médicamenteuses (DILI) ont été rapportés chez des patients traités par Lynparza depuis la mise sur le marché (voir «Effets indésirables»). En cas de soupçon de lésion hépatique médicamenteuse (DILI), le traitement doit être interrompu. Si une atteinte hépatique médicamenteuse (DILI) est confirmée, le traitement doit être arrêté.
  • -Les fréquences de survenue des effets indésirables sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares y compris cas isolés (<1/10 000), Fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Les fréquences de survenue des effets indésirables sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares y compris cas isolés (<1/10 000).
  • -Très fréquents anémiea (34 %; grade ≥3: 14 %), neutropéniea (15 %; grade ≥3: 5,2 %), leucopéniea (12 %; grade ≥3: 2,4 %)
  • +Très fréquents anémiea (34 %; grade ≥3: 14 %), neutropéniea (15 %; grade ≥3: 5,2 %), leucopéniea (12 %; grade ≥3: 2,4 %)
  • -Fréquents Augmentation des transaminases
  • -Fréquence inconnue Lésion hépatique médicamenteuse
  • +Fréquents augmentation des transaminases
  • +Rares lésion hépatique médicamenteuse*
  • -Tableau 2: Tableau des différences majeures en termes d'effets secondaires pour Lynparza en association avec le bevacizumab par rapport à Lynparza en monothérapie.
  • +Tableau 2: Tableau des différences majeures en termes d'effets secondaires pour Lynparza en association avec le bévacizumab par rapport à Lynparza en monothérapie.
  • +la stomatite inclut les termes préférés suivants: ulcère aphteux, ulcération buccale et stomatite.
  • +
  • -stomatite inclut les termes préférés suivants: ulcère aphteux, ulcération buccale et stomatite.
  • -la pneumopathie inclut les termes préférés suivants: pneumopathie et pneumopathie interstitielle;
  • +la pneumopathie inclut les termes préférés suivants: pneumopathie, pneumopathie interstitielle; pneumopathie interstitielle aiguë, pneumopathie à éosinophiles, pneumopathie à éosinophiles aiguë et pneumopathie d'hypersensibilité;
  • -Les données démographiques et les caractéristiques initiales des patients étaient généralement bien équilibrées entre les bras olaparib et placebo. L'âge médian était de 53 ans dans les deux bras. La plupart des patientes avaient un statut de performance ECOG de 0 (78%). Toutes les patientes avaient reçu une première ligne de chimiothérapie à base de platine; la réponse à la chimiothérapie antérieure à base de platine était complète chez 82% des patientes et partielle chez 18% des patientes. 93 % des patientes avaient été randomisées dans les 8 semaines suivant leur dernière dose de chimiothérapie à base de platine. 246 des 391 patientes avaient eu une chirurgie cytoréductive («debulking») primaire tandis que 137 des 391 patientes en avaient bénéficié après la chimiothérapie néoadjuvante. Le traitement a été divulgué chez 40% des patientes dans le bras placebo et chez 15 % des patientes dans le bras olaparib, la levée de l'aveugle ayant eu lieu dans la majorité des cas après la première progression et afin de pouvoir décider du traitement ultérieur.
  • +Les données démographiques et les caractéristiques initiales des patients étaient généralement bien équilibrées entre les bras olaparib et placebo. L'âge médian était de 53 ans dans les deux bras. La plupart des patientes avaient un statut de performance ECOG de 0 (78%). Toutes les patientes avaient reçu une première ligne de chimiothérapie à base de platine; la réponse à la chimiothérapie antérieure à base de platine était complète chez 82% des patientes et partielle chez 18% des patientes. 93 % des patientes avaient été randomisées dans les 8 semaines suivant leur dernière dose de chimiothérapie à base de platine. 246 des 391 patientes avaient eu une chirurgie cytoréductrice («debulking») primaire tandis que 137 des 391 patientes en avaient bénéficié après la chimiothérapie néoadjuvante. Le traitement a été divulgué chez 40% des patientes dans le bras placebo et chez 15 % des patientes dans le bras olaparib, la levée de l'aveugle ayant eu lieu dans la majorité des cas après la première progression et afin de pouvoir décider du traitement ultérieur.
  • -tBRCAm
  • +tBRCAm
  • -Non-tBRCAm
  • +Non-tBRCAm
  • -Statut positif de la HRD et/ou tBRCAm
  • +Statut positif de la HRD et/ou tBRCAm
  • -Statut positif de la HRD non-tBRCAm
  • +Statut positif de la HRD non-tBRCAm
  • -Statut négatif de la HRD
  • +Statut négatif de la HRD
  • -OlympiA était une étude multicentrique, contrôlée contre placebo, menée en double aveugle, randomisée, avec des groupes parallèles en vue d'évaluer l'efficacité et la sécurité de l'olaparib (300 mg [2 x 1 comprimé à 150 mg] deux fois par jour) vs placebo comme thérapie adjuvante chez les patients avec mutation BRCA1/2 dans la lignée germinale et cancer du sein précoce à haut risque HER2 négatif qui avaient terminé un traitement local déterminé ainsi qu'une chimiothérapie néoadjuvante ou adjuvante. Les patients devaient avoir accompli au moins 6 cycles d'une chimiothérapie néoadjuvante ou adjuvante contenant des anthracyclines, des taxanes ou les deux substances. Une thérapie préalable par le platine d'une affection cancéreuse antérieure (p.ex. cancer de l'ovaire) ou le traitement adjuvant ou néoadjuvant d'un cancer du sein étaient autorisés. Les patients avec cancer du sein précoce à haut risque étaient définis comme suit:
  • +OlympiA était une étude multicentrique, contrôlée contre placebo, menée en double aveugle, randomisée, avec des groupes parallèles en vue d'évaluer l'efficacité et la sécurité de l'olaparib (300 mg [2 x 1 comprimé à 150 mg] deux fois par jour) vs placebo comme thérapie adjuvante chez les patients avec mutation BRCA1/2 dans la lignée germinale et cancer du sein précoce à haut risque HER2 négatif qui avaient terminé un traitement local déterminé ainsi qu'une chimiothérapie néoadjuvante ou adjuvante. Les patients devaient avoir accompli au moins 6 cycles d'une chimiothérapie néoadjuvante ou adjuvante contenant des anthracyclines, des taxanes ou les deux substances. Une thérapie préalable par le platine d'une affection cancéreuse antérieure (p.ex. cancer de l'ovaire) ou le traitement adjuvant ou néoadjuvant d'un cancer du sein étaient autorisés. Les patients avec cancer du sein précoce à haut risque étaient définis comme suit:
  • -* Score CPS-EG (stade clinique (clinical stage [CS]), statut des récepteurps d'œstrogènes (oestrogen receptor status [E]), grade nucléaire (nuclear grade [G]) et stade pathologique après la fin du traitement (post-treatment pathologic stage [PS]) ≥3, comme mentionné dans le Tableau 5.
  • +* Score CPS-EG (stade clinique (clinical stage [CS]), statut des récepteurs d'œstrogènes (oestrogen receptor status [E]), grade nucléaire (nuclear grade [G]) et stade pathologique après la fin du traitement (post-treatment pathologic stage [PS]) ≥3, comme mentionné dans le Tableau 5.
  • - IIB/IIIA 1
  • - IIIB/IIIC 2
  • +IIB/IIIA 1
  • +IIIB/IIIC 2
  • - IIA/IIB/IIIA/IIIB 1
  • - IIIC 2
  • +IIA/IIB/IIIA/IIIB 1
  • +IIIC 2
  • - ER négatif 1
  • +ER négatif 1
  • - Grade nucléaire 3 1
  • +Grade nucléaire 3 1
  • -L'étude a montré une amélioration statistiquement significative de l'IDFS dans le bras olaparib par comparaison avec le bras placebo (DCO 27.03.2020). 284 patients présentaient des événements IDFS; ceci correspondait à 12% des patients dans le bras olaparib (récidive dans un site éloigné 8%, récidive locorégionale 1,4%, cancer du sein invasif controlatéral 0,9%, deuxième tumeur maligne primitive non cancer du sein 1,2%, décès 0,2%) et 20% des patients dans le bras placebo (récidive dans un site éloigné 13%, récidive locorégionale 2,7%, cancer du sein invasif controlatéral 1,3%, deuxième tumeur maligne primitive non cancer du sein 2,3%, décès 0%). Par ailleurs, une amélioration statistiquement significative de la DDFS (DCO 27.03.2020) a été observée dans le bras olaparib par comparaison avec le bras placebo. Lors de la deuxième analyse intermédiaire de la SG (DCO 12.07.2021), une amélioration statistiquement significative de la SG a été observée dans le bras olaparib par comparaison avec le bras placebo.
  • +L'étude a montré une amélioration statistiquement significative de l'IDFS dans le bras olaparib par comparaison avec le bras placebo (DCO 27.03.2020). 284 patients présentaient des événements IDFS; ceci correspondait à 12% des patients dans le bras olaparib (récidive dans un site éloigné 8%, récidive locorégionale 1,4%, cancer du sein invasif controlatéral 0,9%, deuxième tumeur maligne primitive non cancer du sein 1,2%, décès 0,2%) et 20% des patients dans le bras placebo (récidive dans un site éloigné 13%, récidive locorégionale 2,7%, cancer du sein invasif controlatéral 1,3%, deuxième tumeur maligne primitive non cancer du sein 2,3%, décès 0%). Par ailleurs, une amélioration statistiquement significative de la DDFS (DCO 27.03.2020) a été observée dans le bras olaparib par comparaison avec le bras placebo. Lors de la deuxième analyse intermédiaire de la SG (DCO 12.07.2021), une amélioration statistiquement significative de la SG a été observée dans le bras olaparib par comparaison avec le bras placebo. Dans une analyse descriptive spécifiée sur une durée de suivi médiane de 6,2 ans dans le bras olaparib et 6,1 ans dans le bras placebo, réalisée environ cinq ans après la randomisation de la dernière patiente, l'olaparib a donné une amélioration de la SG par rapport au placebo.
  • -Tableau 6: Résumé des résultats d'efficacité les plus importants dans OlympiA chez les patients présentant un cancer du sein à haut risque précoce HER2 négatif avec mutation BRCA
  • +Tableau 6 Résumé des résultats d'efficacité les plus importants dans OlympiA chez les patients présentant un cancer du sein à haut risque précoce HER2 négatif avec mutation BRCA
  • -Pourcentage de patients qui ne présentaient pas de maladie invasive au bout de 3 ans c 88 80
  • +Pourcentage de patients qui ne présentaient pas de récidive à distance au bout de 3 ans c 88 80
  • -Pourcentage de patients qui ne présentaient pas de maladie invasive au bout de 3 ans c 93 89
  • +Pourcentage de patients qui étaient encore en vie au bout de 3 ans c 93 89
  • +Pourcentage de patients qui étaient encore en vie au bout de 4 ans c 90 86
  • +SG (14% de maturité des données) (DCO 05.06.2024, analyse après 5 ans de suivi)
  • +Nombre d'événements/nombre total de patients (%) 107/921 (12) 143/915 (16)
  • +HR (IC à 99%)a 0,73 (0,56, 0,93)
  • +Pourcentage de patients qui étaient encore en vie au bout de 3 ans c 93 89
  • +Pourcentage de patients qui étaient encore en vie au bout de 4 ans c 90 87
  • +Pourcentage de patients qui étaient encore en vie au bout de 5 ans c 89 86
  • +Pourcentage de patients qui étaient encore en vie au bout de 6 ans c 88 83
  • +
  • -b.i.d. = deux fois par jour; IC = intervalle de confiance; DDFS = survie sans récidive sur un site éloigné; IDFS = survie sans maladie invasive; KM = Kaplan-Meier; SG = survie globale (Overall Survival).
  • +b.i.d. = deux fois par jour; IC = intervalle de confiance; DCO: date de relevé des données (cut-off); DDFS = survie sans récidive sur un site éloigné; HR = rapport de risque (hazard ratio); IDFS = survie sans maladie invasive; KM = Kaplan-Meier; SG = survie globale (Overall Survival).
  • -Dans la cohorte A, l'étude a mis en évidence une amélioration statistiquement significative de la SSPr d'après l'évaluation du BICR sous olaparib par rapport au comparateur.
  • -Chez les patients présentant un CPRCm et porteurs d'une mutation du gène BRCA, la SSPr médiane était de 9,8 mois pour l'olaparib et de 3,0 mois pour le comparateur (HR 0,22; IC à 95% 0,15–0,32). Dans le cas du CPRCm présentant une mutation du gène ATM, aucune amélioration de la SSPr n'a pu être mise en évidence.
  • -Pour les patients de la cohorte A, une amélioration statistiquement significative de l'ORR radiologique confirmée par le BICR a été observée chez les patients présentant une tumeur mesurable à l'inclusion dans le bras olaparib en comparaison avec le bras comparateur.
  • -Chez les patients atteints d'un CPRCm et porteurs d'une mutation du gène BRCA, l'ORR était de 44% (25 patients sur 57) dans le bras olaparib vs 0% (0 patient sur 33) dans le bras comparateur. Dans le cas du CPRCm présentant une mutation du gène ATM, aucune amélioration de l'ORR n'a pu être mise en évidence.
  • +Dans la cohorte A, l'étude a mis en évidence une amélioration statistiquement significative de la SSPr d'après l'évaluation du BICR sous olaparib par rapport au comparateur. Chez les patients présentant un CPRCm et porteurs d'une mutation du gène BRCA, la SSPr médiane était de 9,8 mois pour l'olaparib et de 3,0 mois pour le comparateur (HR 0,22; IC à 95% 0,15–0,32). Dans le cas du CPRCm présentant une mutation du gène ATM, aucune amélioration de la SSPr n'a pu être mise en évidence.
  • +Pour les patients de la cohorte A, une amélioration statistiquement significative de l'ORR radiologique confirmée par le BICR a été observée chez les patients présentant une tumeur mesurable à l'inclusion dans le bras olaparib en comparaison avec le bras comparateur. Chez les patients atteints d'un CPRCm et porteurs d'une mutation du gène BRCA, l'ORR était de 44% (25 patients sur 57) dans le bras olaparib vs 0% (0 patient sur 33) dans le bras comparateur. Dans le cas du CPRCm présentant une mutation du gène ATM, aucune amélioration de l'ORR n'a pu être mise en évidence.
  • -La liaison de l'olaparib aux protéines est de ~82 % pour 10 µg/mL, ce qui correspond à peu près à la Cmax.
  • +La liaison de l'olaparib aux protéines est de ~82 % pour 10 µg/ml, ce qui correspond à peu près à la Cmax.
  • -Décembre 2024
  • +Juin 2025
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