32 Changements de l'information professionelle Lynparza 100 mg |
-Embolie pulmonaire
-En présence de cancer de l'ovaire et de la prostate, des taux d'incidence d'embolie pulmonaire plus élevés étaient observés lorsque Lynparza était administré en association avec le bévacizumab ou un TSA, en comparaison avec un traitement de bévacizumab en monothérapie ou un traitement associant NAH et TSA.
- +Événements thromboemboliques veineux et embolie pulmonaire
- +Des événements thromboemboliques veineux, y compris embolie pulmonaire, sont survenus chez des patients traités par Lynparza. En présence de cancer de l'ovaire et de la prostate, des taux d'incidence d'embolie pulmonaire plus élevés étaient observés lorsque Lynparza était administré en association avec le bévacizumab ou un TSA, en comparaison avec un traitement de bévacizumab en monothérapie ou un traitement associant NAH et TSA.
-Les patients doivent être surveillés afin de détecter les signes et symptômes de thrombose veineuse et d'embolie pulmonaire et être traités en conséquence.
- +Les patients doivent être surveillés afin de détecter les signes et symptômes de thrombose veineuse et d'embolie pulmonaire et être traités en conséquence, ce qui peut inclure une anticoagulation à long terme si elle est cliniquement indiquée.
-Le profil de sécurité se base sur les données regroupées de 3077 patients avec des tumeurs solides qui ont été traités par Lynparza en monothérapie.
-Les effets indésirables les plus fréquemment observés dans les études cliniques portant sur l'olaparib en monothérapie sous forme de comprimés pelliculés ou de capsules (données regroupées de 3077 patients avec des tumeurs solides) étaient des nausées (60 %), des vomissements (32 %), des diarrhées (24 %), une dyspepsie (12 %), une fatigue (55 %), des céphalées (15 %), une dysgueusie (15 %), une diminution de l'appétit (22 %), des vertiges (12 %), une anémie (37 %), une neutropénie (14 %), une thrombocytopénie (11 %), une leucopénie (11 %), une toux (15 %) et une dyspnée (14 %).
-Sur la base des données de 535 patients, les différences notables suivantes ont été mises en évidence entre le profil de sécurité de Lynparza en association avec le bévacizumab et celui de Lynparza en monothérapie: taux plus élevés d'effets indésirables de grade ≥3 (58 % vs 42 %), d'effets indésirables graves (31 % vs 23 %) et d'effets indésirables qui ont conduit à l'arrêt (20 % vs 9 %), à l'interruption (54 % vs 40 %) ou à la diminution de la dose (41 % vs 21 %) du traitement.
-Des différences importantes avec des taux plus élevésavec le traitement par Lynparza en association avec le bévacizumab ont été observées pour les effets indésirables suivants: Hypertension, inflammation des muqueuses et protéinurie (voir tableau 2).
- +Résumé du profil de sécurité
- +Le profil de sécurité se base sur les données regroupées de 4098 patients avec des tumeurs solides qui ont été traités par Lynparza sous forme de comprimés pelliculés ou de capsules en monothérapie.
- +Les effets indésirables les plus fréquemment observés dans les études cliniques portant sur l'olaparib en monothérapie étaient des nausées (60 %), des vomissements (32 %), des diarrhées (24 %), une dyspepsie (12 %), une fatigue (55 %), des céphalées (15 %), une dysgueusie (15 %), une diminution de l'appétit (22 %), des vertiges (12 %), une anémie (37 %), une neutropénie (14 %), une thrombocytopénie (11 %), une leucopénie (11 %), une toux (15 %) et une dyspnée (14 %).
- +Sur la base des données de 535 patients, les différences notables suivantes ont été mises en évidence entre le profil de sécurité de Lynparza en association avec le bévacizumab et celui de Lynparza en monothérapie: taux plus élevés d'effets indésirables de grade ≥3 (58 % vs 41 %), d'effets indésirables graves (31 % vs 23 %) et d'effets indésirables qui ont conduit à l'arrêt (21 % vs 9 %), à l'interruption (54 % vs 39 %) ou à la diminution de la dose (42 % vs 21 %) du traitement.
- +Des différences importantes avec des taux plus élevés avec le traitement par Lynparza en association avec le bévacizumab ont été observées pour les effets indésirables suivants: Hypertension, inflammation des muqueuses et protéinurie (voir tableau 2).
- +Liste des effets indésirables
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-Fréquents embolie pulmonaire
- +Fréquents embolie pulmonaire, thromboembolie (veineuse)a
-la pneumopathie inclut les termes préférés suivants: pneumopathie et pneumopathie interstitielle.
- +la pneumopathie inclut les termes préférés suivants: pneumopathie et pneumopathie interstitielle;
- +la thromboembolie (veineuse) inclut les termes préférés suivants: embolie, embolie pulmonaire, thrombose, thrombose veineuse profonde et thrombose veineuse;
-Description de certains effets indésirables
- +Description d'effets indésirables spécifiques et informations complémentaires
-Dans une autre analyse non spécifiée, après un temps d'observation médiane d'environ 5 ans, la PFS évaluée par le médecin investigateur a montré un HR de 0,33 (95% CI 0,25-0,43) avec une médiane de 56,0 mois pour l'olaparib versus 13,8 mois pour le placebo.
- +Dans une autre analyse non spécifiée, après un temps d'observation médiane d'environ 5 ans, la PFS évaluée par le médecin investigateur a montré un HR de 0,33 (95% CI 0,25- 0,43) avec une médiane de 56,0 mois pour l'olaparib versus 13,8 mois pour le placebo.
-Le critère principal d'évaluation était la survie sans progression, définie comme le délai entre la randomisation et la progression, évaluée selon les critères RECIST 1.1. modifiés, ou le décès. Les critères secondaires d'efficacité incluaient notamment la survie globale (SG) et le délai entre la randomisation et la seconde progression ou le décès (SSP2). Une évaluation tumorale selon les critères RECIST 1.1 a été effectuée au début de l'étude puis toutes les 24 semaines (TDM/IRM à 12 semaines en cas de progression clinique ou augmentation du CA-125) jusqu'à 42 mois ou jusqu'à progression radiologique objective de la tumeur. Pour la SSP, le temps de suivi médian était de 22,7 mois dans le bras olaparib et de 24,0 mois dans le bras placebo.
- +Le critère principal d'évaluation était la survie sans progression, définie comme le délai entre la randomisation et la progression, évaluée selon les critères RECIST 1.1. modifiés, ou le décès. Les critères secondaires d'efficacité incluaient notamment la survie globale (SG) et le délai entre la randomisation et la seconde progression ou le décès (SSP2). Une évaluation tumorale selon les critères RECIST 1.1 a été effectuée au début de l'étude puis toutes les 24 semaines (TDM/IRM à 12 semaines en cas de progression clinique ou augmentation du CA-125) jusqu'à 42 mois ou jusqu'à progression radiologique objective de la tumeur. Pour la SSP, le temps de suivi médian au moment de l'analyse primaire de la SSP (DCO 22 mars 2019) était de 22,7 mois dans le bras olaparib et de 24,0 mois dans le bras placebo.
-tBRCAm
- +tBRCAm
-Non-tBRCAm
- +Non-tBRCAm
-Statut positif de la HRD (GIS ≥42) et/ou tBRCAm
- +Statut positif de la HRD (GIS ≥42) et/ou tBRCAm
-Statut positif de la HRD (GIS ≥42) non-tBRCAm
- +Statut positif de la HRD (GIS ≥42) non-tBRCAm
-Statut négatif de la HRD (GIS < 42)
- +Statut négatif de la HRD (GIS < 42)
-Au moment de l'analyse primaire de la SSP, le taux de maturité des données intermédiaires de la SG était de 26%; 139/537 patientes (25,9%) dans le bras olaparib/bévacizumab et 70/269 patientes (26,0%) dans le bras placebo/bévacizumab étaient décédées (HR 1,01; IC à 95% 0,76-1,36). La SG médiane n'avait été atteinte dans aucun des deux bras de l'étude à ce moment.
- +L'analyse finale de la SSP2 (DCO 22 mars 2020, taux de maturité des données 53%) dans la population générale était statistiquement significative (HR 0,78; IC à 95% 0,64-0,95, avec une médiane de 36,5 mois pour olaparib/bévacizumab vs 32,6 mois pour placebo/bévacizumab).
- +Au moment de l'analyse primaire de la SSP, le taux de maturité des données intermédiaires de la SG était de 26%; 139/537 patientes (25,9%) dans le bras olaparib/bévacizumab et 70/269 patientes (26,0%) dans le bras placebo/bévacizumab étaient décédées (HR 1,01; IC à 95% 0,76-1,36).
- +Au moment de l'analyse finale de la SSP2, le taux de maturité des données intermédiaires de la SG était de 38%; 195/537 patientes (36,3%) dans le bras olaparib/bévacizumab et 108/269 patientes (40,1%) dans le bras placebo/bévacizumab étaient décédées (HR 0,93; IC à 95% 0,74-1,18).
-Dans la cohorte A, l'étude a mis en évidence une amélioration statistiquement significative de la SSPr d'après l'évaluation du BICR sous olaparib par rapport au comparateur.
-Chez les patients présentant un CPRCm et porteurs d'une mutation du gène BRCA, la SSPr médiane était de 9,8 mois pour l'olaparib et de 3,0 mois pour le comparateur (HR 0,22; IC à 95% 0,15–0,32). Dans le cas du CPRCm présentant une mutation du gène ATM, aucune amélioration de la SSPr n'a pu être mise en évidence.
-Pour les patients de la cohorte A, une amélioration statistiquement significative de l'ORR radiologique confirmée par le BICR a été observée chez les patients présentant une tumeur mesurable à l'inclusion dans le bras olaparib en comparaison avec le bras comparateur.
-Chez les patients atteints d'un CPRCm et porteurs d'une mutation du gène BRCA, l'ORR était de 44% (25 patients sur 57) dans le bras olaparib vs 0% (0 patient sur 33) dans le bras comparateur. Dans le cas du CPRCm présentant une mutation du gène ATM, aucune amélioration de l'ORR n'a pu être mise en évidence.
- +Dans la cohorte A, l'étude a mis en évidence une amélioration statistiquement significative de la SSPr d'après l'évaluation du BICR sous olaparib par rapport au comparateur. Chez les patients présentant un CPRCm et porteurs d'une mutation du gène BRCA, la SSPr médiane était de 9,8 mois pour l'olaparib et de 3,0 mois pour le comparateur (HR 0,22; IC à 95% 0,15–0,32). Dans le cas du CPRCm présentant une mutation du gène ATM, aucune amélioration de la SSPr n'a pu être mise en évidence.
- +Pour les patients de la cohorte A, une amélioration statistiquement significative de l'ORR radiologique confirmée par le BICR a été observée chez les patients présentant une tumeur mesurable à l'inclusion dans le bras olaparib en comparaison avec le bras comparateur. Chez les patients atteints d'un CPRCm et porteurs d'une mutation du gène BRCA, l'ORR était de 44% (25 patients sur 57) dans le bras olaparib vs 0% (0 patient sur 33) dans le bras comparateur. Dans le cas du CPRCm présentant une mutation du gène ATM, aucune amélioration de l'ORR n'a pu être mise en évidence.
-Janvier 2022
- +Mars 2022
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