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Accueil - Information professionnelle sur Zejula 100 mg - Changements - 05.12.2023
42 Changements de l'information professionelle Zejula 100 mg
  • -Enrobage
  • -Alcool polyvinylique, dioxyde de titane (E171), macrogol 3350, talc, oxyde de fer noir (E172).
  • +Enrobage: alcool polyvinylique, dioxyde de titane (E171), macrogol 3350, talc, oxyde de fer noir (E172).
  • -·en traitement d'entretien chez les patientes atteintes d'un cancer séreux de haut grade, avancé (stades III et IV de FIGO), de l'ovaire, des trompes de Fallope ou péritonéal, présentant un risque élevé de récidive (voir «Efficacité clinique») et une mutation de BRCA ou une autre déficience de la recombinaison homologue (Homologous Recombination Deficiency, HRD) avec instabilité génomique, en présence d'une rémission complète ou partielle après une chimiothérapie de première ligne à base de platine (détermination du statut HRD, voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Propriétés/Effets»).
  • -·en traitement d'entretien chez les patientes adultes atteintes d'un cancer épithélial séreux de haut grade de l'ovaire, des trompes de Fallope ou péritonéal primitif, sensible au platine et récidivant. Les patientes doivent répondre (réponse complète ou partielle) à une chimiothérapie à base de platine.
  • +·en monothérapie dans le traitement d'entretien de patientes adultes atteintes d'un cancer séreux de haut grade, avancé (stades III et IV de FIGO) de l'ovaire, des trompes de Fallope ou péritonéal, présentant un risque élevé de récidive (voir «Efficacité clinique») et une mutation de BRCA ou une autre déficience de la recombinaison homologue (Homologous Recombination Deficiency, HRD) avec instabilité génomique, en présence d'une réponse complète ou partielle après une chimiothérapie de première ligne à base de platine (détermination du statut HRD, voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Propriétés/Effets»).
  • +·en monothérapie dans le traitement d'entretien de patientes adultes présentant une mutation germinale pathogène ou probablement pathogène de BRCA et atteintes d'un cancer épithélial séreux de haut grade de l'ovaire, des trompes de Fallope ou péritonéal primitif, sensible au platine et récidivant. Les patientes doivent répondre (réponse complète ou partielle) à une chimiothérapie à base de platine.
  • -Traitement d'entretien du cancer de l'ovaire récidivant
  • +Traitement d'entretien du cancer de l'ovaire récidivant avec mutation germinale de BRCA
  • +Avant l'instauration du traitement par Zejula, la sélection des patientes pour le traitement d'entretien du cancer de l'ovaire récidivant s'effectue sur la base de la présence d'une mutation germinale pathogène ou probablement pathogène de BRCA.
  • -Traitement d'entretien du cancer de l'ovaire récidivant
  • +Traitement d'entretien du cancer de l'ovaire récidivant avec mutation germinale de BRCA
  • -Ajustement de la posologie du fait d'effets indésirables / d'interactions
  • +Ajustement de la posologie du fait d'effets indésirables
  • -Effet indésirable lié au traitement de grade ≥3 selon les CTCAE durant plus de 28 jours pendant que la patiente reçoit Zejula à 100 mg/jour Arrêter le traitement.
  • +Effet indésirable lié au traitement de grade ≥3 selon les CTCAE durant plus de 28 jours tant que la patiente reçoit Zejula à 100 mg/jour Arrêter le traitement.
  • -*CTCAE=Critères de terminologie communs pour les événements indésirables («Common Terminology Criteria for Adverse Event»)
  • +* CTCAE=Critères de terminologie communs pour les événements indésirables («Common Terminology Criteria for Adverse Event»)
  • -Diagnostic confirmé de syndrome myélodysplasique (SMD) ou de leucémie myéloblastique aiguë (LMA) ·Arrêter Zejula de façon permanente
  • +Diagnostic confirmé de syndrome myélodysplasique (SMD) ou de leucémie aiguë myéloblastique (LAM) ·Arrêter Zejula de façon permanente
  • +Des effets indésirables hématologiques (thrombopénie, anémie, neutropénie), incluant des diagnostics cliniques et/ou résultats de laboratoire, ont été signalés chez les patientes traitées par Zejula.
  • +
  • -Dans l'étude NOVA, les patientes éligibles pour la thérapie par Zejula avaient les paramètres hématologiques de base suivants: numération absolue des neutrophiles (ANC, absolute neutrophil count) ≥1500 cellules/µl; plaquettes ≥100 000/µl et hémoglobine ≥9 g/dl. Des effets indésirables hématologiques (thrombopénie, anémie, neutropénie), incluant des diagnostics cliniques et/ou résultats de laboratoire, ont été signalés chez les patientes traitées par Zejula. Les patientes ayant présenté une toxicité hématologique induite par leur précédent traitement par chimiothérapie ne doivent pas démarrer un traitement par Zejula avant que les niveaux d'hémoglobine, de plaquettes et de polynucléaires neutrophiles soient revenus dans les limites de la normale ou au grade 1 selon les critères CTCAE.
  • +Dans l'étude NOVA, les patientes éligibles pour la thérapie par Zejula avaient les paramètres hématologiques de base suivants: numération absolue des neutrophiles (ANC, absolute neutrophil count) ≥1500 cellules/µl; plaquettes ≥100 000/µl et hémoglobine ≥9 g/dl. Les patientes ayant présenté une toxicité hématologique induite par leur précédent traitement par chimiothérapie ne doivent pas démarrer un traitement par Zejula avant que les niveaux d'hémoglobine, de plaquettes et de polynucléaires neutrophiles soient revenus dans les limites de la normale ou au grade 1 selon les critères CTCAE.
  • -Syndrome myélodysplasique / leucémie myéloïde aiguë
  • -L'incidence globale du syndrome myélodysplasique/de la leucémie myéloïde aiguë (SMD/LMA), incluant des cas d'issue fatale, a été de 0,8% (15/1785) chez les patientes ayant reçu Zejula en monothérapie au cours des études cliniques. Parmi ces 15 patientes, une personne a été traitée dans l'étude PRIMA, 11 personnes dans l'étude NOVA et 3 personnes dans l'étude QUADRA. D'autres cas de SMD/LMA ont été documentés chez des patientes traitées par Zejula en association dans des études et dans des rapports post-commercialisation.
  • -Chez les patientes, la durée du traitement par Zejula avant l'apparition d'un(e) SMD/LMA a varié de 0,5 mois à plus de 4,9 ans. Les cas étaient typiques de SMD/LMA secondaires liés au traitement anticancéreux. Toutes les patientes avaient reçu des schémas de chimiothérapie à base de platine et un grand nombre d'entre elles avaient également reçu d'autres agents endommageant l'ADN ou une radiothérapie. Certaines des patientes avaient des antécédents de dysplasie médullaire.
  • -Si le SMD et/ou la LMA sont confirmés pendant le traitement par Zejula, Zejula doit être arrêté et la patiente traitée de façon appropriée.
  • +Syndrome myélodysplasique / leucémie aiguë myéloïde
  • +L'incidence globale du syndrome myélodysplasique/de la leucémie aiguë myéloïde (SMD/LAM), incluant des cas d'issue fatale, a été de 0,8% (15/1785) chez les patientes ayant reçu Zejula en monothérapie au cours des études cliniques. Parmi ces 15 patientes, une personne a été traitée dans l'étude PRIMA, 11 personnes dans l'étude NOVA et 3 personnes dans l'étude QUADRA. D'autres cas de SMD/LAM ont été documentés chez des patientes traitées par Zejula en association dans des études et dans des rapports post-commercialisation (voir «Effets indésirables»).
  • +Chez les patientes ayant participé aux études cliniques, la durée du traitement par Zejula avant l'apparition d'un(e) SMD/LAM a varié de 0,5 mois à plus de 4,9 ans. Les cas étaient typiques de SMD/LAM secondaires liés au traitement anticancéreux. Toutes les patientes avaient reçu des schémas de chimiothérapie à base de platine et un grand nombre d'entre elles avaient également reçu d'autres agents endommageant l'ADN ou une radiothérapie. Certaines des patientes avaient des antécédents de dépression médullaire.
  • +En cas de suspicion de SMD/LAM ou de toxicité hématologique persistante, la patiente doit être adressée à un hématologue pour une évaluation plus approfondie. Si le SMD/la LAM est confirmé(e), Zejula doit être arrêté et la patiente traitée de façon appropriée.
  • -Zejula ne doit pas être utilisé chez les femmes en âge de procréer non disposées à utiliser une contraception fiable au cours du traitement et pendant 1 mois après avoir reçu la dernière dose de Zejula. Un test de grossesse doit être effectué sur toutes les femmes ayant le potentiel de procréer, avant le traitement.
  • -Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement et durant le mois qui suit la dernière dose de Zejula.
  • +Zejula ne doit pas être utilisé chez les femmes en âge de procréer non disposées à utiliser une contraception hautement efficace au cours du traitement et pendant 6 mois après avoir reçu la dernière dose de Zejula. Un test de grossesse doit être effectué sur toutes les femmes ayant le potentiel de procréer, avant le traitement.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception hautement efficace pendant le traitement et durant les 6 mois suivant la dernière dose de Zejula.
  • -Les patientes qui prennent Zejula peuvent éprouver de l'asthénie, de la fatigue et des sensations vertigineuses. Les patientes qui présentent ces symptômes doivent être prudentes lors de la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines.
  • +Les patientes qui prennent Zejula peuvent éprouver de l'asthénie, de la fatigue, des troubles de la concentration et des sensations vertigineuses. Les patientes qui présentent ces symptômes doivent être prudentes lors de la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines.
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)
  • +Fréquents: syndrome myélodysplasique/leucémie myéloïde aiguë.
  • +
  • -**Leucopénie incluant: diminution de la numération des lymphocytes
  • +**Leucopénie incluant: diminution de la numération des lymphocytes.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Fréquents: hypersensibilité (y compris anaphylaxie).
  • -Fréquents: dépression, anxiété.
  • +Fréquents: dépression, anxiété, détérioration cognitive (p.ex. trouble de la mémoire, trouble de la concentration).
  • +Occasionnels: confusion/désorientation, hallucinations.
  • +Occasionnels: pneumonitis non infectieuse.
  • -Données post-marketing
  • -Affections du système immunitaire
  • -Fréquence inconnue: hypersensibilité (y compris anaphylaxie).
  • -Affections psychiatriques
  • -Fréquence inconnue: confusion/désorientation, hallucination, dégradation cognitive (p.ex. trouble de la mémoire, trouble de la concentration).
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Fréquence inconnue: pneumonie non infectieuse.
  • +Durant l'étude NOVA, 48 des 367 (13%) patientes ont présenté des saignements concomitante à une thrombopénie. Tous les saignements survenus de manière concomitante à une thrombopénie présentaient une sévérité de grade 1 ou 2, à l'exception d'un événement de grade 3, associant pétéchies et hématomes, observé simultanément à une pancytopénie grave. Les thrombopénies sont survenues plus fréquemment chez les patientes dont la numération plaquettaire de base était inférieure à 180 000 cellules/µl. Environ 76% des patientes ayant une faible numération plaquettaire de base (<180 000 cellules/µl) et recevant du niraparib, ont présenté une thrombopénie de tous grades, et 45% ont présenté une thrombopénie de grade 3/4. Une pancytopénie a été observée chez <1% des patientes recevant du niraparib.
  • +Syndrome myélodysplasique/Leucémie aiguë myéloïde
  • +Dans les études cliniques, un SMD/LAM est survenu chez 1% des patientes traitées par le niraparib, avec une issue fatale dans 41% des cas. L'incidence était plus élevée chez les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire récidivant, ayant préalablement reçu au moins deux lignes de chimiothérapie à base de platine, et chez les patientes présentant un gBRCAmut après un suivi de survie de 5,6 ans. Toutes les patientes avaient reçu une chimiothérapie antérieure à base de platine. Nombre d'entre elles avaient également reçu d'autres agents endommageant l'ADN et une radiothérapie. La majorité des cas rapportés concernaient des porteuses du gBRCAmut. Certaines patientes avaient des antécédents de cancer ou de dépression médullaire.
  • +Dans l'étude PRIMA, l'incidence des SMD/LAM était de 0,8% chez les patientes ayant reçu le niraparib et de 0,4% chez les patientes ayant reçu le placebo.
  • +Dans l'étude NOVA menée chez des patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire récidivant et ayant reçu au moins deux lignes de chimiothérapie à base de platine, l'incidence globale des SMD/LAM était de 3,5% chez les patientes recevant le niraparib et de 1,7% chez les patientes recevant le placebo, après un suivi de 5,6 ans. Dans les cohortes gBRCAmut et non-gBRCAmut, l'incidence des SMD/LAM était respectivement de 6,6% et 1,7% chez les patientes ayant reçu le niraparib, et de 3,1% et 0,9% chez les patientes ayant reçu le placebo.
  • -Traitement d'entretien du cancer de l'ovaire récidivant
  • -La sécurité et l'efficacité du niraparib en traitement d'entretien ont été étudiées dans une étude internationale de phase 3, randomisée, en double aveugle et contrôlée contre placebo (NOVA) chez des patientes atteintes d'un cancer épithélial séreux principalement de haut grade, récidivant, de l'ovaire, des trompes de Fallope, ou péritonéal primitif, et qui ont présenté au préalable une sensibilité au schéma thérapeutique à base de platine. Toutes les patientes avaient reçu au moins deux schémas thérapeutiques antérieurs à base de platine et présentaient une réponse (complète ou partielle) à leur schéma thérapeutique à base de platine le plus récent. Les taux de CA-125 étaient normaux (ou diminués de >90% par rapport aux taux de base) après leur dernier traitement et étaient stables pendant au moins 7 jours. Les patientes ne pouvaient pas avoir reçu auparavant un traitement inhibiteur de PARP, y compris le niraparib.
  • +Traitement d'entretien du cancer de l'ovaire récidivant avec mutation germinale de BRCA
  • +La sécurité et l'efficacité du niraparib en traitement d'entretien ont été étudiées dans une étude internationale de phase 3, randomisée, en double aveugle et contrôlée contre placebo (NOVA) chez des patientes atteintes d'un cancer épithélial séreux principalement de haut grade, récidivant, de l'ovaire, des trompes de Fallope, ou péritonéal primitif, et qui ont présenté au préalable une sensibilité au schéma thérapeutique à base de platine. Toutes les patientes avaient reçu au moins deux schémas thérapeutiques antérieurs à base de platine et présentaient une réponse (complète ou partielle) à leur schéma thérapeutique à base de platine le plus récent. Les taux de CA-125 étaient normaux (ou diminués de >90% par rapport aux taux de base) après leur dernier traitement et étaient stables pendant au moins 7 jours. Les patientes ne pouvaient pas avoir reçu auparavant un traitement inhibiteur de PARP (iPARP), y compris le niraparib.
  • -Les caractéristiques démographiques, les caractéristiques de la maladie à l'inclusion et les antécédents de traitement ont été généralement bien équilibrés entre le bras niraparib et le bras placebo dans les cohortes gBRCAmut (n = 203) et non-gBRCAmut (n = 350). L'âge moyen variait entre 57 et 63 ans dans l'ensemble des traitements et des cohortes. Le site de la tumeur primaire pour la plupart des patientes (>80%) dans chaque cohorte était l'ovaire; la plupart des patientes (>84%) présentaient des tumeurs avec histologie séreuse. Dans les deux bras de traitement et dans les deux cohortes, une proportion élevée de patientes avait reçu 3 lignes de traitement ou plus avant la chimiothérapie, dont du niraparib chez 49% des patientes dans la cohorte gBRCAmut et 34% des patientes dans la cohorte non-gBRCAmut. La plupart des patientes étaient âgées de 18 à 64 ans (78%), caucasiennes (88%) et avaient un statut de performance ECOG de 0 (68%).
  • -L'étude a répondu à son objectif primaire d'amélioration statistiquement significative de la SSP pour le niraparib en monothérapie d'entretien par rapport au placebo dans la cohorte gBRCAmut (HR 0,27; IC à 95%: 0,173 - 0,410; p <0,0001); SSP médiane à 21,0 mois (IC à 95%, 12,9 - non atteint) pour le niraparib et SSP médiane à 5,5 mois (IC à 95%: 3,8 - 7,2) pour le placebo ainsi que dans la cohorte non-gBRCAmut (HR 0,45; IC à 95%: 0,338 - 0,617, p <0,0001); SSP médiane à 9,3 mois (IC à 95%: 7,2 - 11,2) pour le niraparib et SSP médiane à 3,9 mois (IC à 95%: 3,7 - 5,5) pour le placebo. L'évaluation de la SSP par l'investigateur concordait avec celle du Comité de révision indépendant (CEI) pour l'évaluation centrale radiologique et d'oncologie clinique, effectuée en aveugle.
  • -Au moment de la première analyse SSP, les données sur la survie globale (SG) étaient immatures: 60/372 événements de SG ont été observés (16%) dans le bras de traitement par niraparib versus 35/181 (19%) dans le bras de traitement par placebo.
  • -Les critères d'évaluation secondaires de CFI, de TFST et de SSP2 ont démontré un effet du traitement en faveur du bras de traitement par niraparib dans la cohorte gBRCAmut et dans l'ensemble de la cohorte non-gBRCAmut.
  • -Intervalle sans chimiothérapie, défini comme le temps écoulé entre la fin du dernier traitement à base de platine et le début du traitement anti-cancéreux suivant (à l'exclusion d'un traitement d'entretien): dans la cohorte gBRCAmut (HR 0,26, IC à 95%: 0,17 - 0,41); moyenne de 22,8 mois (IC à 95%: 17,9, non atteint) pour le niraparib et moyenne de 9,4 mois (IC à 95 %: 7,9 - 10,6) pour le placebo; dans la cohorte non-gBRCAmut (HR 0,50; IC à 95%: 0,37 - 0,67); moyenne de 12,7 mois (IC à 95%: 11,0 - 14,7) pour le niraparib et moyenne de 8,6 mois (IC à 95%: 6,9 - 10,0) pour le placebo.
  • -Délai avant le premier traitement subséquent, défini comme le temps écoulé entre la date de randomisation et la date du premier traitement anti-cancéreux subséquent ou le décès: dans la cohorte gBRCAmut (HR 0,31, IC à 95%: 0,21 - 0,48); moyenne de 21,0 mois (IC à 95%: 17,5 - non atteint) pour le niraparib et moyenne de 8,4 mois (IC à 95%: 6,6 - 10,6) pour le placebo; dans la cohorte non-gBRCAmut (HR 0,55; IC à 95%: 0,41 - 0,72); moyenne de 11,8 mois (IC à 95%: 9,7 - 13,1) pour le niraparib et moyenne de 7,2 mois (IC à 95%: 5,7 - 8,5) pour le placebo.
  • -Survie sans progression 2, définie comme le temps écoulé entre la date de randomisation dans la présente étude et la première date d'évaluation de la progression dans le cadre du traitement anti-cancéreux suivant après l'étude ou la date du décès quel qu'en soit la cause: dans la cohorte gBRCAmut (HR 0,48, IC à 95%: 0,28 - 0,82); moyenne de 25,8 mois (IC à 95%: 20,3 - non atteint) pour le niraparib et moyenne de 19,5 mois (IC à 95%: 13,3 - non atteint) pour le placebo; dans la cohorte non-gBRCAmut (HR 0,69; IC à 95%: 0,49 - 0,96); moyenne de 18,6 mois (IC à 95%: 16,2 - 21,7) pour le niraparib et moyenne de 15,6 mois (IC à 95%: 13,2 - 20,9) pour le placebo.
  • +Les critères d'évaluation secondaires d'efficacité étaient l'intervalle sans chimiothérapie (CFI), le temps jusqu'au premier traitement subséquent (TFST), la SSP après le premier traitement subséquent (SSP2) et la survie globale (SG).
  • +Les caractéristiques démographiques, les caractéristiques de la maladie à l'inclusion et les antécédents de traitement ont été généralement bien équilibrés entre le bras niraparib et le bras placebo dans la cohorte gBRCAmut (n = 203). L'âge moyen était 57 ans chez les patientes ayant reçu le niraparib et 58 ans chez les patientes ayant reçu le placebo. Le site de la tumeur primaire pour la plupart des patientes (>86%) était l'ovaire; la plupart des patientes (>89%) présentaient des tumeurs avec histologie séreuse. Une proportion élevée de patientes avait reçu au moins 3 lignes précédentes de traitement de chimiothérapie, dont chez 49% des patientes avec niraparib dans la cohorte gBRCAmut. La plupart des patientes étaient âgées de 18 à 64 ans (78%), caucasiennes (88%) et avaient un statut de performance ECOG de 0 (68%).
  • +L'étude a répondu à son objectif primaire d'amélioration statistiquement significative de la SSP pour le niraparib en monothérapie d'entretien par rapport au placebo dans la cohorte gBRCAmut (HR 0,27; IC à 95%: 0,173 - 0,410; p <0,0001). L'évaluation de la SSP par l'investigateur concordait avec celle du Comité de révision indépendant (CEI) pour l'évaluation centrale radiologique et d'oncologie clinique, effectuée en aveugle.
  • +Critères secondaires d'efficacité dans NOVA
  • +Analyse de la survie globale dans NOVA
  • +L'analyse de la survie globale comptait parmi les critères secondaires d'efficacité de l'étude NOVA. Lors de l'analyse finale de la survie globale, la SG médiane dans la cohorte gBRCAmut (n = 203) était de 40,9 mois pour les patientes traitées par le niraparib contre 38,1 mois pour les patientes sous placebo (HR=0,85; IC à 95%: 0,61 - 1,20). La maturité de la cohorte gBRCAmut était de 76%.
  • +Intervalle sans chimiothérapie, défini comme le temps écoulé entre la fin du dernier traitement à base de platine et le début du traitement anti-cancéreux suivant (à l'exclusion d'un traitement d'entretien): dans la cohorte gBRCAmut, la moyenne était de 20 mois pour le niraparib et de 9,4 mois pour le placebo (HR 0,39; IC à 95%: 0,27 – 0,56).
  • +Délai avant le premier traitement subséquent, défini comme le temps écoulé entre la date de randomisation et la date du premier traitement anti-cancéreux subséquent ou le décès: dans la cohorte gBRCAmut, la moyenne était de 19,1 mois pour le niraparib et de 8,6 mois pour le placebo (HR 0,57; IC à 95%: 0,41 0,78).
  • +Survie sans progression 2, définie comme le temps écoulé entre la date de randomisation dans la présente étude et la première date d'évaluation de la progression dans le cadre du traitement anti-cancéreux suivant après l'étude ou la date du décès quelle qu'en soit la cause: dans la cohorte gBRCAmut, la moyenne était de 29,9 mois pour le niraparib et de 22,7 mois pour le placebo (HR 0,70; IC à 95%: 0,50 – 0,97).
  • -D'après l'analyse pharmacocinétique de population, la clairance de la créatinine dans la fourchette de 29 à 150 ml/min n'a pas eu d'impact significatif sur la pharmacocinétique du niraparib. Par conséquent, une insuffisance rénale légère et modérée ne devrait pas avoir d'effet significatif sur la pharmacocinétique du niraparib. La pharmacocinétique de Zejula chez les patientes atteintes d'insuffisance rénale sévère ou de maladie rénale en phase terminale sous hémodialyse n'est pas connue.
  • +D'après l'analyse pharmacocinétique de population, la clairance de la créatinine dans la fourchette de 29 à 150 ml/min n'a pas eu d'impact significatif sur la pharmacocinétique du niraparib. Par conséquent, une insuffisance rénale légère ou modérée ne devrait pas avoir d'effet significatif sur la pharmacocinétique du niraparib. La pharmacocinétique de Zejula chez les patientes atteintes d'insuffisance rénale sévère ou de maladie rénale en phase terminale sous hémodialyse n'est pas connue.
  • -In vivo, l'administration intraveineuse de niraparib à des chiens vagotomisés a entraîné une augmentation, légère à modérée, de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque. Lors d'une étude de toxicité à doses répétées chez le chien, aucun effet - lié au médicament - sur l'ECG, la pression artérielle ou la fréquence cardiaque n'a été observé.
  • +In vivo, l'administration intraveineuse de niraparib à des chiens vagotomisés a entraîné une augmentation légère à modérée de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque. Lors d'une étude de toxicité à doses répétées chez le chien, aucun effet lié au médicament sur l'ECG, la pression artérielle ou la fréquence cardiaque n'a été observé.
  • -Emballage de 56 comprimés pelliculés à 100 mg. (A)
  • -Emballage de 84 comprimés pelliculés à 100 mg. (A)
  • +Emballage de 56 comprimés pelliculés à 100 mg (A)
  • +Emballage de 84 comprimés pelliculés à 100 mg (A)
  • -Septembre 2022
  • +Février 2023
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