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Accueil - Information professionnelle sur Nevirapin Viatris 400 mg - Changements - 11.09.2023
156 Changements de l'information professionelle Nevirapin Viatris 400 mg
  • -Principe actif: Nevirapinum.
  • -Excipients:
  • -Comprimés: Lactosum monohydricum, excip. pro compr.
  • -Comprimés à libération prolongée: Lactosum monohydricum, excip. pro compr.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -1 comprimé contient: Nevirapinum (anhydre) 200 mg.
  • -1 comprimé à libération prolongée contient: Nevirapinum (anhydre) 400 mg.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Nevirapinum.
  • +Excipients
  • +lactosum monohydricum 398 mg, hypromellosum, natrii stearylis fumaras (correspondant à 0,71 mg de sodium).
  • +
  • +
  • -Nevirapine Mylan devrait être administré uniquement sous surveillance d'un spécialiste expérimenté dans les traitements antiviraux.
  • -Les 18 premières semaines d'un traitement avec la névirapine constituent une période critique au cours de laquelle une surveillance étroite des patients est nécessaire, afin de déceler à temps l'éventuelle survenue de réactions hépatiques et cutanées sévères mettant en jeu le pronostic vital. Les moments optimaux pour effectuer ces contrôles n'ont pas été établis. Certains experts recommandent plus d'un examen clinique par mois (par ex. après 2, 4, 6, 8, 12 semaines) et en particulier une détermination des valeurs de la fonction hépatique avant le début du traitement ainsi que peu avant et deux semaines après augmentation des doses de névirapine. Après les 18 premières semaines, des contrôles réguliers devront encore avoir lieu, mais dans tous les cas si un patient développe des signes ou symptômes qui suggèrent une hépatite et/ou une hypersensibilité. En cas d'augmentation des enzymes hépatiques: voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions». La plus faible posologie des 14 premiers jours (phase initiale) peut réduire la survenue d'une éruption cutanée et doit être strictement respectée.
  • +Nevirapin Mylan devrait être administré uniquement sous surveillance d'un spécialiste expérimenté dans les traitements antiviraux.
  • +Les 18 premières semaines d'un traitement avec la névirapine constituent une période critique au cours de laquelle une surveillance étroite des patients est nécessaire, afin de déceler à temps l'éventuelle survenue de réactions hépatiques et cutanées sévères mettant en jeu le pronostic vital. Les moments optimaux pour effectuer ces contrôles n'ont pas été établis. Certains experts recommandent plus d'un examen clinique par mois (p.ex. après 2, 4, 6, 8, 12 semaines) et en particulier une détermination des valeurs de la fonction hépatique avant le début du traitement ainsi que peu avant et deux semaines après augmentation des doses de névirapine. Après les 18 premières semaines, des contrôles réguliers devront encore avoir lieu, mais dans tous les cas si un patient développe des signes ou symptômes qui suggèrent une hépatite et/ou une hypersensibilité. En cas d'augmentation des enzymes hépatiques: voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions». La plus faible posologie des 14 premiers jours (phase initiale) peut réduire la survenue d'une éruption cutanée et doit être strictement respectée.
  • -Dans une phase dite initiale de 14 jours, la dose est de 200 mg (1 comprimé) par jour. Ensuite, la dose est de 1 comprimé à 200 mg deux fois par jour.
  • -Patients actuellement traités par une dose biquotidienne Nevirapin comprimés
  • -Les patients ayant déjà reçu Nevirapine comprimés 200 mg deux fois par jour en association à d'autres agents antirétroviraux et ayant atteint une suppression virologique soutenue sous ce schéma thérapeutique peuvent passer à Nevirapine Mylan comprimés à libération prolongée 400 mg, une fois par jour, en association à d'autres agents antirétroviraux. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire d'instaurer une phase d'initiation avec Nevirapine comprimés.
  • -Les comprimés à libération prolongée Nevirapine Mylan ne doivent pas être cassés ou croqués. Nevirapine Mylan comprimés et Nevirapin comprimés à libération prolongée peuvent être pris avec ou sans nourriture.
  • -Nevirapine Mylan est administré en association avec au moins 2 autres agents antirétroviraux, avec lesquels le patient n'a, jusqu'alors, pas encore été traité. Veuillez consulter pour cela l'information professionnelle de chacun de ces autres agents antirétroviraux.
  • -Il convient de convaincre les patients de la nécessité de prendre Nevirapine Mylan quotidiennement, conformément à ce qui a été prescrit. Si une dose a été oubliée, le patient ne doit pas doubler la dose suivante mais prendre la dose suivante dès que possible. Afin d'éviter l'émergence de souches virales résistantes, Nevirapine Mylan doit toujours être utilisé en association avec d'autres agents antirétroviraux avec lesquels le patient n'a jusqu'alors pas été traité. Pour d'autres recommandations concernant le traitement en association, voir sous «Interactions».
  • +Dans une phase dite initiale de 14 jours, la dose est de 200 mg de névirapine par jour (disponible sous un autre nom commercial). Ensuite, la dose est de 1 comprimé à 200 mg deux fois par jour.
  • +Patients actuellement traités par une dose biquotidienne de 200 mg de Nevirapin comprimés
  • +Les patients ayant déjà reçu Nevirapin comprimés 200 mg deux fois par jour en association à d'autres agents antirétroviraux et ayant atteint une suppression virologique soutenue sous ce schéma thérapeutique peuvent passer à Nevirapin Mylan comprimés à libération prolongée 400 mg, une fois par jour, en association à d'autres agents antirétroviraux. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire d'instaurer une phase d'initiation avec Nevirapin Mylan comprimés.
  • +Les comprimés à libération prolongée Nevirapin Mylan ne doivent pas être cassés ou croqués. Nevirapin Mylan comprimés et comprimés à libération prolongée peuvent être pris avec ou sans nourriture.
  • +Nevirapin Mylan est administré en association avec au moins 2 autres agents antirétroviraux, avec lesquels le patient n'a, jusqu'alors, pas encore été traité. Veuillez consulter pour cela l'information professionnelle de chacun de ces autres agents antirétroviraux.
  • +Il convient de convaincre les patients de la nécessité de prendre Nevirapin Mylan quotidiennement, conformément à ce qui a été prescrit. Si une dose a été oubliée, le patient ne doit pas doubler la dose suivante mais prendre la dose suivante dès que possible. Afin d'éviter l'émergence de souches virales résistantes, Nevirapin Mylan doit toujours être utilisé en association avec d'autres agents antirétroviraux avec lesquels le patient n'a jusqu'alors pas été traité. Pour d'autres recommandations concernant le traitement en association, voir sous «Interactions».
  • -Le schéma thérapeutique de 200 mg une fois par jour ne doit pas être poursuivi plus de 28 jours. A ce moment, un schéma thérapeutique antirétroviral de substitution sans Nevirapin doit être recherché.
  • +Le schéma thérapeutique de 200 mg une fois par jour ne doit pas être poursuivi plus de 28 jours. A ce moment, un schéma thérapeutique antirétroviral de substitution sans virapine doit être recherché.
  • -Si pour une raison quelconque, le traitement par Nevirapine Mylan a été interrompu pendant plus de 7 jours, il faut à nouveau le réinstaurer avec une phase initiale à faible dosage de 14 jours avec Nevirapine Mylan comprimés 200 mg, avant de pouvoir augmenter la posologie à la dose d'entretien de 400 mg/jour.
  • -Instructions spéciales pour le dosage
  • -Enfants: La sécurité d'emploi et l'efficacité de Nevirapine Mylan n'ont pas été étudiées chez l'enfant.
  • +Si pour une raison quelconque, le traitement par Nevirapin Mylan a été interrompu pendant plus de 7 jours, il faut à nouveau le réinstaurer avec une phase initiale à faible dosage de 14 jours avec Nevirapin 200 mg, avant de pouvoir augmenter la posologie à la dose d'entretien de 400 mg/jour.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Enfants
  • +La sécurité d'emploi et l'efficacité de Nevirapin Mylan n'ont pas été étudiées chez l'enfant.
  • -Nevirapine Mylan est contre-indiqué chez les patients ayant des antécédents cliniquement significatifs d'hypersensibilité à l'un des composants de ce médicament.
  • -Nevirapine Mylan ne doit pas être ré-administré aux patients chez qui le traitement a été interrompu à la suite d'une éruption cutanée sévère, d'une éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux, de réactions d'hypersensibilité ou de manifestations cliniques d'hépatite liées à l'administration de névirapine. Voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables» pour une définition plus précise.
  • +Nevirapin Mylan est contre-indiqué chez les patients ayant des antécédents cliniquement significatifs d'hypersensibilité à l'un des composants de ce médicament.
  • +Nevirapin Mylan ne doit pas être ré-administré aux patients chez qui le traitement avec névirapine a été interrompu à la suite d'une éruption cutanée sévère, d'une éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux, de réactions d'hypersensibilité ou de manifestations cliniques d'hépatite liées à l'administration de névirapine. Voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables» pour une définition plus précise.
  • -Nevirapine Mylan ne doit pas être administré chez les patients en cas d'insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C) ou en cas de taux d'ASAT ou d'ALAT supérieurs à 5 fois la valeur maximale normale avant initiation du traitement et jusqu'à ce que ces valeurs se soient stabilisées à des taux inférieurs à 5 fois la valeur maximale normale.
  • -Nevirapine Mylan ne doit pas être ré-administré à des patients ayant présenté, lors d'un précédent traitement par Nevirapine Mylan, des taux d'ALAT ou d'ASAT supérieurs à 5 fois la valeur maximale normale, et chez lesquels des valeurs fonctionnelles hépatiques anormales sont réapparues très rapidement lors de la ré-administration de Nevirapine Mylan (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Nevirapin Mylan ne doit pas être administré chez les patients en cas d'insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C) ou en cas de taux d'ASAT ou d'ALAT supérieurs à 5 fois la valeur maximale normale avant le début du traitement et jusqu'à ce que ces valeurs se soient stabilisées à des taux inférieurs à 5 fois la valeur maximale normale.
  • +Nevirapin Mylan ne doit pas être ré-administré à des patients ayant présenté, lors d'un précédent traitement par Nevirapin Mylan, des taux d'ALAT ou d'ASAT supérieurs à 5 fois la valeur maximale normale, et chez lesquels des valeurs fonctionnelles hépatiques anormales sont réapparues très rapidement lors de la ré-administration de Nevirapin Mylan (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Les préparations à base de plantes contenant du millepertuis (Hypericum perforatum) ne doivent pas être prises en même temps que Nevirapine Mylan du fait du risque de diminution des concentrations plasmatiques et de la réduction des effets cliniques de la névirapine (voir «Interactions»).
  • +Les préparations à base de plantes contenant du millepertuis (Hypericum perforatum) ne doivent pas être prises en même temps que Nevirapin Mylan du fait du risque de diminution des concentrations plasmatiques et de la réduction des effets cliniques de la névirapine (voir «Interactions»).
  • -Les femmes et les patients n'ayant pas subi de prétraitement antirétroviral et présentant des valeurs de CD4 plus élevées (>250/mm3 pour les femmes adultes et >400/mm3 pour les hommes adultes) ainsi que les patients ayant subi un prétraitement antirétroviral et présentant des valeurs de CD4 élevées (si la présence d'ARN VIH-1 est avérée dans le plasma, c'est-à-dire une concentration ≥50 copies/ml) ont un risque accru de survenue d'effets indésirables hépatiques au début de la thérapie avec Nevirapine Mylan.
  • -En particulier les femmes avec des valeurs de CD4>250 cellules/mm3, y compris les femmes enceintes, ont un risque nettement supérieur (jusqu'à 12 fois dans les études cliniques) d'effets indésirables hépatiques symptomatiques, le plus souvent associés à des réactions cutanées, par rapport aux femmes avec des valeurs de CD4 faibles. Dans certains cas, ceux-ci sont susceptibles de progresser, même après l'arrêt du traitement par la névirapine. Des cas isolés d'évolution fatale sont aussi survenus. Un risque accru a également été observé chez les hommes présentant un taux de CD4>400 cellules/mm3 par rapport à ceux ayant un taux de CD4<400 cellules/mm3 (6,3% vs. jusqu'à 1,2% chez les hommes avec un taux de CD4<400 cellules/mm3). Les patients présentant des signes ou des symptômes d'hépatite, des réactions cutanées sévères ou des réactions d'hypersensibilité, doivent arrêter de prendre Nevirapine Mylan et doivent immédiatement faire un examen médical. Le traitement par Nevirapine Mylan ne doit pas être réintroduit à la suite de réactions sévères hépatiques, cutanées ou d'hypersensibilité.
  • +Les femmes et les patients n'ayant pas subi de prétraitement antirétroviral et présentant des valeurs de CD4 plus élevées (>250/mm3 pour les femmes adultes et >400/mm3 pour les hommes adultes) ainsi que les patients ayant subi un prétraitement antirétroviral et présentant des valeurs de CD4 élevées (si la présence d'ARN VIH-1 est avérée dans le plasma, c'est-à-dire une concentration ≥50 copies/ml) ont un risque accru de survenue d'effets indésirables hépatiques au début de la thérapie avec Nevirapin Mylan.
  • +En particulier les femmes avec des valeurs de CD4>250 cellules/mm3, y compris les femmes enceintes, ont un risque nettement supérieur (jusqu'à 12 fois dans les études cliniques) d'effets indésirables hépatiques symptomatiques, le plus souvent associés à des réactions cutanées, par rapport aux femmes avec des valeurs de CD4 faibles. Dans certains cas, ceux-ci sont susceptibles de progresser, même après l'arrêt du traitement par la névirapine. Des cas isolés d'évolution fatale sont aussi survenus. Un risque accru a également été observé chez les hommes présentant un taux de CD4>400 cellules/mm3 par rapport à ceux ayant un taux de CD4<400 cellules/mm3 (6,3% vs. jusqu'à 1,2% chez les hommes avec un taux de CD4<400 cellules/mm3). Les patients présentant des signes ou des symptômes d'hépatite, des réactions cutanées sévères ou des réactions d'hypersensibilité, doivent arrêter de prendre Nevirapin Mylan et doivent immédiatement faire un examen médical. Le traitement par Nevirapin Mylan ne doit pas être réintroduit à la suite de réactions sévères hépatiques, cutanées ou d'hypersensibilité.
  • -Des réactions cutanées sévères, menaçant le pronostic vital, y compris des évolutions fatales, sont survenues principalement au cours des 6 premières semaines de traitement avec Nevirapin. Ces réactions comprenaient des cas de syndrome de Stevens-Johnson, de nécrolyse épidermique toxique et de réactions d'hypersensibilité caractérisées par des éruptions cutanées, des symptômes généraux et des atteintes viscérales. Les patients doivent être étroitement surveillés pendant les 18 premières semaines de traitement. En particulier, la possible survenue d'une éruption cutanée isolée doit être étroitement surveillée.
  • -L'administration de Nevirapine Mylan doit être définitivement interrompue dans tous les cas de survenue d'une éruption cutanée sévère ou d'une éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux (tels que fièvre, phlyctènes, lésions buccales, conjonctivite, œdème de la face, douleur musculaire ou articulaire ou malaise général), y compris en cas de syndrome de Stevens-Johnson, ou de nécrolyse épidermique toxique. Nevirapin doit également être interrompu définitivement chez tout patient présentant une réaction d'hypersensibilité (éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux tels que fièvre, arthralgie, myalgie, lymphadénopathie, ainsi que d'atteintes viscérales telles qu'hépatite, éosinophilie, granulocytopénie et atteinte rénale).
  • -De rares cas de rhabdomyolyse ont été observés chez des patients présentant des atteintes cutanées et/ou hépatiques liées à la prise de Nevirapin.
  • -Lors d'une étude clinique, l'administration concomitante de prednisone (40 mg/jour pendant les 14 premiers jours de traitement avec Nevirapine Mylan comprimés 200 mg) a été accompagnée de réactions cutanées dont l'incidence et la sévérité étaient augmentées. Ainsi, l'administration de prednisone ou d'autres glucocorticoïdes dans le but d'éviter l'apparition d'éruptions cutanées liées au Nevirapin Mylan n'est pas recommandée.
  • -En cas de survenue d'une éruption cutanée au cours de la période initiale de 14 jours avec Nevirapine comprimés, la dose journalière de Nevirapin ne doit être augmentée qu'après guérison complète de l'éruption cutanée. En cas d'interruption du traitement: voir «Posologie/Mode d'emploi».
  • -Chez les patients qui présentent une éruption cutanée susceptible d'être liée au traitement par Nevirapine Mylan, les valeurs hépatiques ASAT et ALAT doivent être contrôlées. Dans le cas d'une augmentation modérée à sévère de ces valeurs (ASAT ou ALAT >5 fois la valeur maximale normale), le traitement par Nevirapine Mylan doit être définitivement arrêté.
  • +Des réactions cutanées sévères, menaçant le pronostic vital, y compris des évolutions fatales, sont survenues principalement au cours des 6 premières semaines de traitement avec Nevirapin Mylan. Ces réactions comprenaient des cas de syndrome de Stevens-Johnson, de nécrolyse épidermique toxique et de réactions d'hypersensibilité caractérisées par des éruptions cutanées, des symptômes généraux et des atteintes viscérales. Les patients doivent être étroitement surveillés pendant les 18 premières semaines de traitement. En particulier, la possible survenue d'une éruption cutanée isolée doit être étroitement surveillée.
  • +L'administration de Nevirapin Mylan doit être définitivement interrompue dans tous les cas de survenue d'une éruption cutanée sévère ou d'une éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux (tels que fièvre, phlyctènes, lésions buccales, conjonctivite, œdème de la face, douleur musculaire ou articulaire ou malaise général), y compris en cas de syndrome de Stevens-Johnson, ou de nécrolyse épidermique toxique. Nevirapin Mylan doit également être interrompu définitivement chez tout patient présentant une réaction d'hypersensibilité (éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux tels que fièvre, arthralgie, myalgie, lymphadénopathie, ainsi que d'atteintes viscérales telles qu'hépatite, éosinophilie, granulocytopénie et atteinte rénale).
  • +De rares cas de rhabdomyolyse ont été observés chez des patients présentant des atteintes cutanées et/ou hépatiques liées à la prise de Nevirapin Mylan.
  • +Lors d'une étude clinique, l'administration concomitante de prednisone (40 mg/jour pendant les 14 premiers jours de traitement avec virapine 200 mg) a été accompagnée de réactions cutanées dont l'incidence et la sévérité étaient augmentées. Ainsi, l'administration de prednisone ou d'autres glucocorticoïdes dans le but d'éviter l'apparition d'éruptions cutanées liées au virapine Mylan n'est pas recommandée.
  • +En cas de survenue d'une éruption cutanée au cours de la période initiale de 14 jours avec Nevirapin Mylan comprimés, la dose journalière de Nevirapin Mylan ne doit être augmentée qu'après guérison complète de l'éruption cutanée. En cas d'interruption du traitement: voir «Posologie/Mode d'emploi».
  • +Chez les patients qui présentent une éruption cutanée susceptible d'être liée au traitement par Nevirapin Mylan, les valeurs hépatiques ASAT et ALAT doivent être contrôlées. Dans le cas d'une augmentation modérée à sévère de ces valeurs (ASAT ou ALAT >5 fois la valeur maximale normale), le traitement par Nevirapin Mylan doit être définitivement arrêté.
  • -Ceci est également valable en cas de délai prolongé entre l'apparition des premiers symptômes et la consultation du médecin traitant, ainsi que lors du non respect des instructions de dosage de la période initiale. Il semblerait que les femmes présentent un risque plus élevé que les hommes de développer une éruption cutanée, indépendamment de la composition du traitement (avec ou sans Nevirapin).
  • +Ceci est également valable en cas de délai prolongé entre l'apparition des premiers symptômes et la consultation du médecin traitant, ainsi que lors du non respect des instructions de dosage de la période initiale. Il semblerait que les femmes présentent un risque plus élevé que les hommes de développer une éruption cutanée, indépendamment de la composition du traitement (avec ou sans virapine).
  • -Les patients doivent être rendus attentifs au fait que les éruptions cutanées constituent les principales réactions toxiques de Nevirapine Mylan et qu'elles peuvent survenir particulièrement au cours les 6 premières semaines de traitement. Ils doivent être informés de la nécessité de contacter immédiatement leur médecin traitant lors de la survenue de toute éruption cutanée.
  • -Les patients présentant une résistance génotypique ou phénotypique à la névirapine ne doivent pas recevoir un traitement par Nevirapin.
  • +Les patients doivent être rendus attentifs au fait que les éruptions cutanées constituent les principales réactions toxiques de Nevirapin Mylan et qu'elles peuvent survenir particulièrement au cours les 6 premières semaines de traitement. Ils doivent être informés de la nécessité de contacter immédiatement leur médecin traitant lors de la survenue de toute éruption cutanée.
  • +Les patients présentant une résistance génotypique ou phénotypique à la névirapine ne doivent pas recevoir un traitement par Nevirapin Mylan.
  • -Chez ces patients, le traitement avec Nevirapine Mylan ne doit pas être réadministré.
  • +Chez ces patients, le traitement avec Nevirapin Mylan ne doit pas être réadministré.
  • -Des toxicités hépatiques sévères, menaçant le pronostic vital, sont survenues chez des patients traités par Nevirapin, y compris des cas fatals d'hépatite fulminante. Les 18 premières semaines de traitement par Nevirapine Mylan sont une période critique qui nécessite une surveillance étroite des patients. Le risque de complications hépatiques est le plus important pendant les 6 premières semaines de traitement. La surveillance doit cependant être maintenue pendant toute la durée du traitement.
  • -De rares cas de rhabdomyolyse ont été observés chez des patients présentant des atteintes cutanées et/ou hépatiques liées à la prise de Nevirapin
  • -Le sexe féminin, un taux élevé de CD4+ lors de l'initiation du traitement par Nevirapin pour les patients n'ayant pas subi de prétraitement ainsi qu'un taux élevé de CD4 combiné à la présence avérée d'ARN VIH-1 dans le plasma sont des facteurs liés à l'accroissement du risque de réactions hépatiques indésirables.
  • +Des toxicités hépatiques sévères, menaçant le pronostic vital, sont survenues chez des patients traités par Nevirapin Mylan, y compris des cas fatals d'hépatite fulminante. Les 18 premières semaines de traitement par Nevirapin Mylan sont une période critique qui nécessite une surveillance étroite des patients. Le risque de complications hépatiques est le plus important pendant les 6 premières semaines de traitement. La surveillance doit cependant être maintenue pendant toute la durée du traitement.
  • +De rares cas de rhabdomyolyse ont été observés chez des patients présentant des atteintes cutanées et/ou hépatiques liées à la prise de Nevirapin Mylan.
  • +Le sexe féminin, un taux élevé de CD4+ lors de l'initiation du traitement par Nevirapin Mylan pour les patients n'ayant pas subi de prétraitement ainsi qu'un taux élevé de CD4 combiné à la présence avérée d'ARN VIH-1 dans le plasma sont des facteurs liés à l'accroissement du risque de réactions hépatiques indésirables.
  • -De même, les hommes avec des taux de CD4>400 cellules/mm3 avaient un risque plus élevé par rapport aux hommes avec des taux de CD4<400 cellules/mm3 (6,3% vs 1,2% chez les hommes avec des taux de CD4<400 cellules/mm3).
  • +De même, les hommes avec des taux de CD4>400 cellules/mm3 avaient un risque plus élevé par rapport aux hommes avec des taux de CD4<400 cellules/mm3 (6,3% vs. 1,2% chez les hommes avec des taux de CD4<400 cellules/mm3).
  • -Des taux d'ASAT ou d'ALAT élevés (>2,5× la valeur maximale normale) et/ou une infection par l'hépatite B ou C préexistante avant l'instauration d'un traitement antirétroviral contenant Nevirapin, sont généralement associés à un risque plus élevé de survenue d'effets indésirables hépatiques.
  • -Des fonctions hépatiques anormales ont été observées avec Nevirapin, dont quelques unes déjà dans les premières semaines de traitement. Des augmentations asymptomatiques des enzymes hépatiques ont souvent été décrites et ne sont pas nécessairement une contre-indication pour Nevirapine Mylan. Des augmentations asymptomatiques des gamma-GT ne sont pas une contre-indication à la poursuite du traitement.
  • +Des taux d'ASAT ou d'ALAT élevés (>2,5× la valeur maximale normale) et/ou une infection par l'hépatite B ou C préexistante avant l'instauration d'un traitement antirétroviral contenant virapine, sont généralement associés à un risque plus élevé de survenue d'effets indésirables hépatiques.
  • +Des fonctions hépatiques anormales ont été observées avec Nevirapin Mylan, dont quelques unes déjà dans les premières semaines de traitement. Des augmentations asymptomatiques des enzymes hépatiques ont souvent été décrites et ne sont pas nécessairement une contre-indication pour Nevirapin Mylan. Des augmentations asymptomatiques des gamma-GT ne sont pas une contre-indication à la poursuite du traitement.
  • -Il n'est pas nécessaire de modifier le schéma de surveillance des patients qui ont déjà été traités par une dose biquotidienne de Nevirapin comprimés et qui sont passés à une dose uniquotidienne de Nevirapin comprimés à libération prolongée.
  • +Il n'est pas nécessaire de modifier le schéma de surveillance des patients qui ont déjà été traités par une dose biquotidienne de Nevirapin Mylan comprimés et qui sont passés à une dose uniquotidienne de Nevirapin Mylan comprimés à libération prolongée.
  • -Avant le traitement par Nevirapin: le traitement ne doit être instauré qu'une fois les valeurs d'ASAT/ALAT stabilisées au-dessous de 5 fois la valeur normale.
  • -Au cours du traitement par Nevirapin: le traitement par Nevirapine Mylan doit être immédiatement interrompu si les valeurs d'ASAT ou d'ALAT dépassent des taux 5 fois supérieurs à la valeur normale. En cas de retour aux valeurs initiales des paramètres hépatiques et en l'absence de signes cliniques ou de symptômes d'hépatite, et d'autres signes suggérant une atteinte des organes, la reprise du traitement par Nevirapin peut être envisagée, au cas par cas.
  • -La reprise du traitement par Nevirapin doit être surveillée par des contrôles cliniques et des analyses de laboratoire plus fréquents et commencée à la posologie initiale de 200 mg par jour (un comprimé de Nevirapin comprimés) pendant les 14 premiers jours (voir «Posologie/Mode d'emploi, Interruption du traitement»); puis, une dose de 400 mg par jour (deux comprimés de Nevirapin comprimés ou un comprimé de Nevirapin comprimés à libération prolongée) peut être administrée.
  • -Si les anomalies de la fonction hépatique réapparaissent, Nevirapine Mylan doit être définitivement arrêté et ne doit plus jamais être réadministré.
  • +Avant le traitement par Nevirapin Mylan
  • +Le traitement ne doit être instauré qu'une fois les valeurs d'ASAT/ALAT stabilisées au-dessous de 5 fois la valeur normale.
  • +Au cours du traitement par Nevirapin Mylan
  • +Le traitement par Nevirapin Mylan doit être immédiatement interrompu si les valeurs d'ASAT ou d'ALAT dépassent des taux 5 fois supérieurs à la valeur normale. En cas de retour aux valeurs initiales des paramètres hépatiques et en l'absence de signes cliniques ou de symptômes d'hépatite, et d'autres signes suggérant une atteinte des organes, la reprise du traitement par Nevirapin Mylan peut être envisagée, au cas par cas.
  • +La reprise du traitement par Nevirapin Mylan doit être surveillée par des contrôles cliniques et des analyses de laboratoire plus fréquents et commencée à la posologie initiale de 200 mg par jour (disponible sous un autre nom commercial) pendant les 14 premiers jours (voir «Posologie/Mode d'emploi, Interruption du traitement»); puis, une dose de 400 mg par jour (un comprimé de Nevirapin Mylan comprimés à libération prolongée) peut être administrée.
  • +Si les anomalies de la fonction hépatique réapparaissent, Nevirapin Mylan doit être définitivement arrêté et ne doit plus jamais être réadministré.
  • -En cas de survenue de manifestations cliniques d'hépatite, caractérisées par une anorexie, des nausées, des vomissements, un ictère accompagnés d'anomalies biologiques (anomalie modérée à sévère des paramètres biologiques hépatiques à l'exception des gamma-GT), Nevirapin doit être définitivement arrêté et ne jamais être ré-administré.
  • +En cas de survenue de manifestations cliniques d'hépatite, caractérisées par une anorexie, des nausées, des vomissements, un ictère accompagnés d'anomalies biologiques (anomalie modérée à sévère des paramètres biologiques hépatiques à l'exception des gamma-GT), le traitement avec Nevirapin Mylan doit être définitivement arrêté et ne jamais être repris.
  • -Les patients doivent être informés du fait que les réactions hépatiques constituent des réactions toxiques importantes de Nevirapine Mylan et que, pour cette raison, une surveillance étroite est nécessaire pendant les 18 premières semaines de traitement. Ils doivent être informés que si des symptômes évocateurs d'une hépatite apparaissent (tels qu'une anorexie, des nausées, un ictère, des urines foncées, des selles décolorées, une sensibilité dans la région du foie), ils doivent arrêter le Nevirapine Mylan et immédiatement consulter leur médecin pour des investigations complémentaires (y compris tests de la fonction hépatique).
  • +Les patients doivent être informés du fait que les réactions hépatiques constituent des réactions toxiques importantes de Nevirapin Mylan et que, pour cette raison, une surveillance étroite est nécessaire pendant les 18 premières semaines de traitement. Ils doivent être informés que si des symptômes évocateurs d'une hépatite apparaissent (tels qu'une anorexie, des nausées, un ictère, des urines foncées, des selles décolorées, une sensibilité dans la région du foie), ils doivent arrêter le Nevirapin Mylan et immédiatement consulter leur médecin pour des investigations complémentaires (y compris tests de la fonction hépatique).
  • -Syndrome de Restauration Immunitaire
  • +Syndrome de restauration immunitaire
  • -Les patients doivent être suivis par des médecins expérimentés dans le domaine du VIH afin de déceler à temps des infections opportunistes ou d'autres complications de l'infection au VIH. Les effets à long terme de Nevirapin ne sont pas encore connus à ce jour. Il n'a pas pu être montré si le risque de transmission du VIH est diminué sous Nevirapin.
  • -Nevirapine Mylan est métabolisé en grande partie dans le foie, les métabolites de la névirapine sont éliminés principalement par les reins. Les résultats pharmacocinétiques évoquent la prudence lors de l'administration de Nevirapine Mylan chez des patients avec une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh classe B). Nevirapine Mylan ne doit pas être administré chez des patients avec une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh classe C).
  • -Il n'existe pas de données sur l'utilisation de Nevirapine Mylan comprimés à libération prolongée chez des patients présentant une insuffisance hépatique.
  • -Chez les patients avec une insuffisance rénale nécessitant une dialyse, le traitement par Nevirapin doit être complété par 200 mg de Nevirapin comprimés après chaque dialyse. Les résultats pharmacocinétiques suggèrent que les effets de la dialyse sur la clairance de Nevirapin sont ainsi compensés. Les patients avec une CLcreat ≥20 ml/min ne nécessitent pas d'adaptation des doses de Nevirapin (voir «Pharmacocinétique»). Il n'existe pas de données sur l'utilisation de Nevirapine Mylan comprimés à libération prolongée chez des patients présentant une insuffisance rénale.
  • -L'administration d'extraits de millepertuis est déconseillée pendant le traitement par Nevirapine Mylan (voir «Contre-indications»). Il faut également prendre en considération d'autres interactions (voir «Interactions»).
  • +Les patients doivent être suivis par des médecins expérimentés dans le domaine du VIH afin de déceler à temps des infections opportunistes ou d'autres complications de l'infection au VIH. Les effets à long terme de Nevirapin Mylan ne sont pas encore connus à ce jour. Il n'a pas pu être montré si le risque de transmission du VIH est diminué sous Nevirapin Mylan.
  • +Nevirapin Mylan est métabolisé en grande partie dans le foie, les métabolites de la névirapine sont éliminés principalement par les reins. Les résultats pharmacocinétiques évoquent la prudence lors de l'administration de Nevirapin Mylan chez des patients avec une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh classe B). Nevirapin Mylan ne doit pas être administré chez des patients avec une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh classe C).
  • +Il n'existe pas de données sur l'utilisation de Nevirapin Mylan comprimés à libération prolongée chez des patients présentant une insuffisance hépatique.
  • +Chez les patients avec une insuffisance rénale nécessitant une dialyse, le traitement par Nevirapin Mylan doit être complété par 200 mg de Nevirapin après chaque dialyse. Les résultats pharmacocinétiques suggèrent que les effets de la dialyse sur la clairance de virapine sont ainsi compensés. Les patients avec une CLcreat ≥20 ml/min ne nécessitent pas d'adaptation des doses de Nevirapin Mylan (voir «Pharmacocinétique»). Il n'existe pas de données sur l'utilisation de Nevirapin Mylan comprimés à libération prolongée chez des patients présentant une insuffisance rénale.
  • +L'administration d'extraits de millepertuis est déconseillée pendant le traitement par Nevirapin Mylan (voir «Contre-indications»). Il faut également prendre en considération d'autres interactions (voir «Interactions»).
  • -La prise de toute autre méthode hormonale que l'acétate de dépo-médroxyprogestérone (DMPA) est déconseillée aux patientes traitées par Nevirapin en tant que moyen unique de contraception.
  • -La névirapine peut diminuer les taux plasmatiques de ces médicaments (voir «Interactions»). Pour cette raison et afin de réduire le risque de transmission du VIH, un moyen de contraception mécanique est recommandé (par exemple préservatif masculin). Si un traitement hormonal postménopausique est utilisé, son efficacité thérapeutique doit être surveillée en cas de traitement concomitant par Nevirapine Mylan.
  • +La prise de toute autre méthode hormonale que l'acétate de dépo-médroxyprogestérone (DMPA) est déconseillée aux patientes traitées par Nevirapin Mylan en tant que moyen unique de contraception.
  • +La névirapine peut diminuer les taux plasmatiques de ces médicaments (voir «Interactions»). Pour cette raison et afin de réduire le risque de transmission du VIH, un moyen de contraception mécanique est recommandé (par exemple préservatif masculin). Si un traitement hormonal postménopausique est utilisé, son efficacité thérapeutique doit être surveillée en cas de traitement concomitant par Nevirapin Mylan.
  • -Nevirapine Mylan peut modifier les taux plasmatiques d'autres médicaments et d'autres médicaments peuvent modifier le taux de Nevirapine Mylan. L'association de Nevirapin n'est pas recommandée avec les médicaments suivants: éfavirenz, rifampicine, kétoconazole, delavirdine, étravirine, rilpivirine, elvitégravir (associé au cobicistat), bocéprévir, télaprévir, millepertuis; lorsque non co-administré avec le ritonavir: fosamprénavir, saquinavir, atazanavir.
  • -Un comprimé de Nevirapine Mylan contient 464 mg de lactose.
  • -Un comprimé à libération prolongée de Nevirapine Mylan contient 398 mg de lactose. Les patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, comme la galactosémie, un déficit en Lapp lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -Occasionnellement, les excipients des comprimés retard de Nevirapine Mylan sont éliminés par les selles sous la forme de restes mous gonflés susceptibles de ressembler à un comprimé intact. Les enveloppes de comprimés éliminées n'ont aucune influence sur le taux sanguin ni sur l'effet du médicament.
  • +Nevirapin Mylan peut modifier les taux plasmatiques d'autres médicaments et d'autres médicaments peuvent modifier le taux de Nevirapin Mylan. L'association de Nevirapin Mylan n'est pas recommandée avec les médicaments suivants: éfavirenz, rifampicine, kétoconazole, étravirine, rilpivirine, elvitégravir (associé au cobicistat), millepertuis; lorsque non co-administré avec le ritonavir: fosamprénavir, saquinavir, atazanavir.
  • +Lactose
  • +Un comprimé de Nevirapin Mylan contient 464 mg de lactose et un comprimé à libération prolongée de Nevirapin Mylan contient 398 mg de lactose. Les patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, un déficit congenital en lactase (intolerance absolue au lactase) ou un syndrome de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Sodium
  • +Un comprimé de Nevirapin Mylan contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium» et un comprimé à libération prolongée de Nevirapin Mylan contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Occasionnellement, les excipients des comprimés à libération prolongée de Nevirapin Mylan sont éliminés par les selles sous la forme de restes mous gonflés susceptibles de ressembler à un comprimé intact. Les enveloppes de comprimés éliminées n'ont aucune influence sur le taux sanguin ni sur l'effet du médicament.
  • -Les données suivantes se rapportent à l'utilisation de Nevirapin comprimés, mais devraient concerner toutes les formes galéniques.
  • +Les données suivantes se rapportent à l'utilisation de Nevirapin Mylan comprimés, mais devraient concerner toutes les formes galéniques.
  • -Médicaments par classes thérapeutiques Interactions Recommandations concernant la co-administration
  • +Principes actifs par classes thérapeutiques Interactions Recommandations concernant la co-administration
  • -Antiretroviraux
  • +Antirétroviraux
  • -Didanosine 100-150 mg 2× par jour. (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× jour × 14 jours) Didanosine ASC ↔ Didanosine Cmax ↔ Didanosine Cmin§ Lorsque Nevirapin est pris en association avec la didanosine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Lamivudine 150 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) La clairance apparente et le volume de distribution de la lamivudine n'ont pas été modifiés suggérant que la névirapine n'a aucun effet inducteur sur la clairance de la lamivudine. Lorsque Nevirapin est pris en association avec la lamivudine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Stavudine 30/40 mg 2× par jour (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Stavudine ASC ↔ Stavudine Cmax ↔ Stavudine Cmin§ Nevirapine: les concentrations n'ont pas été modifiées par rapport à des valeurs historiques. Lorsque Nevirapin est pris en association avec la stavudine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Ténofovir 300 mg 1× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Les concentrations plasmatiques du ténofovir ne sont pas modifiées. Le ténofovir n'as pas d'effet sur les concentrations de NVP. Lorsque Nevirapin est pris en association avec le ténofovir, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Zalcitabine 0,125-0,25 mg 3× par jour. (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Zalcitabine ASC ↔ Zalcitabine Cmax ↔ Zalcitabine Cmin§ Lorsque Nevirapin est pris en association avec la zalcitabine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Zidovudine 100-200 mg 3× par jour (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Zidovudine ASC ↓24 (↓69 à ↑83) Zidovudine Cmax ↓26 (↓84 à ↑254) Des données associées suggèrent que la zidovudine n'influence pas la pharmacocinétique de la névirapine. Lorsque Nevirapin est pris en association avec la zidovudine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Didanosine 100-150 mg 2× par jour. (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× jour × 14 jours) Didanosine ASC ↔ Didanosine Cmax ↔ Didanosine Cmin§ Lorsque Nevirapin Mylan est pris en association avec la didanosine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Lamivudine 150 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) La clairance apparente et le volume de distribution de la lamivudine n'ont pas été modifiés suggérant que la névirapine n'a aucun effet inducteur sur la clairance de la lamivudine. Lorsque Nevirapin Mylan est pris en association avec la lamivudine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Stavudine 30/40 mg 2× par jour (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Stavudine ASC ↔ Stavudine Cmax ↔ Stavudine Cmin§ Nevirapine: les concentrations n'ont pas été modifiées par rapport à des valeurs historiques. Lorsque Nevirapin Mylan est pris en association avec la stavudine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Ténofovir 300 mg 1× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Les concentrations plasmatiques du ténofovir ne sont pas modifiées. Le ténofovir n'as pas d'effet sur les concentrations de NVP. Lorsque Nevirapin Mylan est pris en association avec le ténofovir, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Zalcitabine 0,125-0,25 mg 3× par jour. (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Zalcitabine ASC ↔ Zalcitabine Cmax ↔ Zalcitabine Cmin§ Lorsque Nevirapin Myalan est pris en association avec la zalcitabine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Zidovudine 100-200 mg 3× par jour (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Zidovudine ASC ↓24 (↓69 à ↑83) Zidovudine Cmax ↓26 (↓84 à ↑254) Des données associées suggèrent que la zidovudine n'influence pas la pharmacocinétique de la névirapine. Lorsque Nevirapin Mylan est pris en association avec la zidovudine, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Efavirenz 600 mg 1× par jour (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 400 mg 1× par jour × 14 jours) Efavirenz ASC ↓28 (↓34 à ↓14)a Efavirenz Cmax ↓12 (↓23 à ↑1)a Efavirenz Cmin ↓32 (↓35 à ↓19)a L'association éfavirenz et Nevirapin n'est pas recommandée en raison du risque accru de survenue d'effets indésirables (voir également «Mise en garde et précautions»). De plus, l'association n'apporte pas de bénéfice en terme d'efficacité par rapport à l'administration d'un INNTI seul. En association avec l'éfavirenz, Nevirapin montre in vitro un puissant effet anti-VIH-1 antagoniste (voir également «Propriétés/Effets»).
  • +Efavirenz 600 mg 1× par jour (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 400 mg 1× par jour × 14 jours) Efavirenz ASC ↓28 (↓34 à ↓14)a Efavirenz Cmax ↓12 (↓23 à ↑1)a Efavirenz Cmin ↓32 (↓35 à ↓19)a L'association éfavirenz et Nevirapin Mylan n'est pas recommandée en raison du risque accru de survenue d'effets indésirables (voir également «Mise en garde et précautions»). De plus, l'association n'apporte pas de bénéfice en terme d'efficacité par rapport à l'administration d'un INNTI seul. En association avec l'éfavirenz, la névirapine montre in vitro un puissant effet anti-VIH-1 antagoniste (voir également «Propriétés/Effets»).
  • -Atazanavir/ritonavir 300/100 mg 1× par jour 400/100 mg 1× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Atazanavir 300/100 mg: Atazanavir ASC ↓42 (↓52 à ↓29)a Atazanavir Cmax ↓28 (↓40 à ↓14)a Atazanavir Cmin ↓72 (↓80 à ↓60)a Atazanavir 400/100 mg Atazanavir ASC ↓19 (↓35 à ↑2)a Atazanavir Cmax ↔ Atazanavir Cmin ↓59 (↓73 à ↓40)a (comparé à 300/100 mg sans NVP) Nevirapine ASC ↑25 (↑17 à ↑34)a Nevirapin Cmax ↑17 (↑9 à↑25)a Nevirapin Cmin ↑32 (↑22 à ↑43)a Lorsque l'atazavir est pris en association avec Nevirapin, le dosage doit être de 400 mg d'atazanavir en association avec ritonavir à faible dose 100 mg.
  • -Darunavir/ritonavir 400/100 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Darunavir ASC ↔ Darunavir Cmin ↔ Névirapine ASC ↑27 Névirapine Cmin ↑47 Darunavir/ritonavir augmente les concentrations plasmatiques de la névirapine en raison de l'inhibition du CYP3A4. La différence étant considérée comme cliniquement non significative, le darunavir et Nevirapin avec 100 mg ritonavir peuvent être associés sans ajustement posologique.
  • -Fosamprénavir 1400 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Amprénavir ASC ↓33 (↓45 à ↓20)a Amprénavir Cmax ↓25 (↓37 à ↓11)a Amprénavir Cmin ↓35 (↓51 à ↓15)a Névirapine ASC ↑29 (↑19 à ↑40)a Névirapine Cmax ↑25 (↑14 à ↑37)a Névirapine Cmin ↑34 (↑21 à ↑49)a Nevirapin ne devrait pas être co-administré avec le fosamprénavir si celui-ci n'est pas associé au ritonavir (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Fosamprénavir/ritonavir 700/100 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Amprénavir ASC: non significativement modifié Amprénavir Cmax non significativement modifié Amprénavir Cmin ↓19 (↓32 à ↓5)a Nevirapin ASC ↑14 (↑5 à ↑24)a Névirapine Cmax ↑13 (↑3 à ↑24)a Névirapine Cmin ↑22 (↑10 à ↑35)a Lorsque Nevirapin est pris en association avec 700/100 mg fosamprénavir/ritonavir deux fois par jour, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Indinavir 800 mg toutes les 8 heures (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Indinavir ASC ↓31 (↓64 à ↑30) Indinavir Cmax ↓15 (↓53 à ↑55) Indinavir Cmin ↓44 (↓77 à ↑39) Aucune modification significative des concentrations plasmatiques de la névirapine n'a été observée. Des conclusions cliniques définitives sur les effets possibles d'une co-administration de Nevirapin et d'indinavir n'ont pu être tirées. Une augmentation de la dose d'indinavir à 1000 mg toutes les 8 heures doit être considérée lorsque l'indinavir est administré avec 200 mg de Nevirapin 2× par jour. Cependant, aucun résultat ne démontre actuellement que l'efficacité à court ou long terme de 1000 mg d'indinavir toutes les 8 heures en association avec 200 mg de Nevirapin 2× par jour soit différente de celle de 800 mg d'indinavir toutes les 8 heures en association avec 200 mg de Nevirapin 2× par jour. L'indinavir est actuellement généralement associé au RTV. Peu de données cliniques sont disponibles concernant l'interaction entre Nevirapin et indinavir/ritonavir.
  • -Lopinavir/Ritonavir 400/100 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Lopinavir ASC ↓27 Lopinavir Cmax ↓19 Lopinavir Cmin ↓46 Bien que l'importance clinique de cette observation n'ait pas entièrement été étudiée, une augmentation de la dose de lopinavir/ritonavir à 533/133 mg (4 capsules) deux fois par jour, au cours d'un repas, est recommandée en cas d'association à Nevirapin.
  • +Atazanavir/ritonavir 300/100 mg 1× par jour 400/100 mg 1× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Atazanavir 300/100 mg: Atazanavir ASC ↓42 (↓52 à ↓29)a Atazanavir Cmax ↓28 (↓40 à ↓14)a Atazanavir Cmin ↓72 (↓80 à ↓60)a Atazanavir 400/100 mg Atazanavir ASC ↓19 (↓35 à ↑2)a Atazanavir Cmax ↔ Atazanavir Cmin ↓59 (↓73 à ↓40)a (comparé à 300/100 mg sans NVP) Névirapine ASC ↑25 (↑17 à ↑34)a Névirapine Cmax ↑17 (↑9 à↑25)a Névirapine Cmin ↑32 (↑22 à ↑43)a Lorsque l'atazavir est pris en association avec Nevirapin Mylan, le dosage doit être de 400 mg d'atazanavir en association avec ritonavir à faible dose 100 mg.
  • +Darunavir/ritonavir 400/100 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Darunavir ASC ↔ Darunavir Cmin ↔ Névirapine ASC ↑27 Névirapine Cmin ↑47 Darunavir/ritonavir augmente les concentrations plasmatiques de la névirapine en raison de l'inhibition du CYP3A4. La différence étant considérée comme cliniquement non significative, le darunavir et Nevirapin Mylan avec 100 mg ritonavir peuvent être associés sans ajustement posologique.
  • +Fosamprénavir 1400 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Amprénavir ASC ↓33 (↓45 à ↓20)a Amprénavir Cmax ↓25 (↓37 à ↓11)a Amprénavir Cmin ↓35 (↓51 à ↓15)a Névirapine ASC ↑29 (↑19 à ↑40)a Névirapine Cmax ↑25 (↑14 à ↑37)a Névirapine Cmin ↑34 (↑21 à ↑49)a Nevirapin Mylan ne devrait pas être co-administré avec le fosamprénavir si celui-ci n'est pas associé au ritonavir (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Fosamprénavir/ritonavir 700/100 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Amprénavir ASC: non significativement modifié Amprénavir Cmax non significativement modifié Amprénavir Cmin ↓19 (↓32 à ↓5)a Névirapine ASC ↑14 (↑5 à ↑24)a Névirapine Cmax ↑13 (↑3 à ↑24)a Névirapine Cmin ↑22 (↑10 à ↑35)a Lorsque Nevirapin Mylan est pris en association avec 700/100 mg fosamprénavir/ritonavir deux fois par jour, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Indinavir 800 mg toutes les 8 heures (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Indinavir ASC ↓31 (↓64 à ↑30) Indinavir Cmax ↓15 (↓53 à ↑55) Indinavir Cmin ↓44 (↓77 à ↑39) Aucune modification significative des concentrations plasmatiques de la névirapine n'a été observée. Des conclusions cliniques définitives sur les effets possibles d'une co-administration de la névirapine et d'indinavir n'ont pu être tirées. Une augmentation de la dose d'indinavir à 1000 mg toutes les 8 heures doit être considérée lorsque l'indinavir est administré avec 200 mg de Nevirapin 2× par jour. Cependant, aucun résultat ne démontre actuellement que l'efficacité à court ou long terme de 1000 mg d'indinavir toutes les 8 heures en association avec 200 mg de Nevirapin 2× par jour soit différente de celle de 800 mg d'indinavir toutes les 8 heures en association avec 200 mg de Nevirapin 2× par jour. L'indinavir est actuellement généralement associé au RTV. Peu de données cliniques sont disponibles concernant l'interaction entre la névirapine et indinavir/ritonavir.
  • +Lopinavir/Ritonavir 400/100 mg 2× par jour (NVP 200 mg 2× par jour) Lopinavir ASC ↓27 Lopinavir Cmax ↓19 Lopinavir Cmin ↓46 Bien que l'importance clinique de cette observation n'ait pas entièrement été étudiée, une augmentation de la dose de lopinavir/ritonavir à 533/133 mg (4 capsules) deux fois par jour, au cours d'un repas, est recommandée en cas d'association à la névirapine.
  • -Raltégravir Aucune donnée clinique n'est disponible. Aucune interaction n'est attendue en raison du métabolisme du raltégravir. Lorsque Nevirapin est pris en association avec le raltégravir, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Raltégravir Aucune donnée clinique n'est disponible. Aucune interaction n'est attendue en raison du métabolisme du raltégravir. Lorsque Nevirapin Mylan est pris en association avec le raltégravir, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Rifampicine 600 mg 1× fois par jour (NVP 200 mg 1× fois par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Rifampicine Cmax et ASC: pas de changement significatif. Nevirapin ASC ↓58 Nevirapin Cmax ↓50 Nevirapin Cmin ↓68 comparé à des valeurs historiques. La co-administration de Nevirapin et de la rifampicine n'est pas recommandée. Des données cliniques limitées existent sur l'adaptation de la dose de Nevirapin lorsque celui-ci est co-administré avec la rifampicine (voir également «Mises en garde et précautions»). La rifabutine peut être envisagée par le médecin, comme alternative à la rifampicine, pour le traitement des patients coinfectés par la tuberculose et sous traitement par Nevirapin.
  • +Rifampicine 600 mg 1× fois par jour (NVP 200 mg 1× fois par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) Rifampicine Cmax et ASC: pas de changement significatif. Névirapine ASC ↓58 Névirapine Cmax ↓50 Névirapine Cmin ↓68 comparé à des valeurs historiques. La co-administration de Nevirapin et de la rifampicine n'est pas recommandée. Des données cliniques limitées existent sur l'adaptation de la dose de la névirapine lorsque celle-ci est co-administrée avec la rifampicine (voir également «Mises en garde et précautions»). La rifabutine peut être envisagée par le médecin, comme alternative à la rifampicine, pour le traitement des patients coinfectés par la tuberculose et sous traitement par Nevirapin.
  • -ANTACIDES
  • +Antacides
  • -ANTITHROMBOTIQUES
  • +Antithrombotiques
  • -CONTRACEPTIFS
  • +Contraceptifs
  • -Ethinylestradiol (EE) 0,035 mg et Noréthindrone (NET) 1,0 mg administration unique (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) EE AUC ↓20 (↓57 à ↑52) EE Cmax ↔ EE Cmin§ NET ASC ↓19 (↓50 à ↑30) NET Cmax ↓16 (↓49 à ↑37) NET Cmin§ Les contraceptifs hormonaux oraux sont déconseillés comme méthode unique de contraception chez les femmes traitées par Nevirapin (voir également «Mises en garde et précautions»). Les doses appropriées de contraceptifs hormonaux (oraux ou autres formes d'application) autres que le DMPA en association avec Nevirapin n'ont pas été établies en ce qui concerne la sécurité et l'efficacité.
  • -ANALGÉSIQUES/OPIACES
  • +Ethinylestradiol (EE) 0,035 mg et Noréthindrone (NET) 1,0 mg administration unique (NVP 200 mg 1× par jour × 14 jours; 200 mg 2× par jour × 14 jours) EE AUC ↓20 (↓57 à ↑52) EE Cmax ↔ EE Cmin§ NET ASC ↓19 (↓50 à ↑30) NET Cmax ↓16 (↓49 à ↑37) NET Cmin§ Les contraceptifs hormonaux oraux sont déconseillés comme méthode unique de contraception chez les femmes traitées par Nevirapin (voir également «Mises en garde et précautions»). Les doses appropriées de contraceptifs hormonaux (oraux ou autres formes d'application) autres que le DMPA en association avec la névirapine n'ont pas été établies en ce qui concerne la sécurité et l'efficacité.
  • +Analgésiques/Opiaces
  • -MEDICAMENTS A BASE DE PLANTES
  • +Médicaments à base de plantes
  • -L'administration concomitante de névirapine et d'elvitégravir en combinaison avec le cobicistat ainsi que de névirapine et de bocéprévir et de névirapine et de NNRTI n'est pas recommandée (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Aucune étude d'interactions n'a été réalisée, mais en cas d'administration concomitante de télaprévir et de névirapine, des interactions sont à attendre. Etant donné que l'ampleur de ces interactions n'est pas connue, une administration concomitante est déconseillée.
  • -
  • +L'administration concomitante de névirapine et d'elvitégravir en combinaison avec le cobicistat ainsi que de névirapine et de NNRTI n'est pas recommandée (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +La préparation doit être utilisée avec prudence pendant la grossesse.
  • +Grossesse, allaitement
  • -Des données cliniques chez des femmes enceintes (584 et 1044 expositions au cours du premier et du deuxième/troisième trimestre d'après le US-Antiretroviral Pregnancy Registry du 31 juillet 2007) n'ont montré ni d'effet tératogène ni de toxicité fœtale ou néonatale. Cependant, aucune étude contrôlée suffisante n'est disponible dans le traitement de l'infection par le VIH-1 chez la femme enceinte. Aucun effet tératogène n'a été observé lors des études de toxicité sur la reproduction. Le médicament doit être utilisé avec prudence au cours de la grossesse.
  • +Les données du registre américain Antiretroviral Pregnancy Registry chez des femmes enceintes (1171 et 1529 expositions à la névirapine au cours du premier et du deuxième/troisième trimestre) de juin 2021 n'ont pas montré une augmentation du taux de malformations ni une toxicité fœtale ou néonatale. Cependant, aucune étude contrôlée suffisante n'est disponible dans le traitement de l'infection par le VIH-1 chez la femme enceinte. Aucun effet tératogène n'a été observé lors des études de toxicité sur la reproduction. Le médicament doit être utilisé avec prudence au cours de la grossesse.
  • -Les résultats d'une étude pharmacocinétique menée chez 10 femmes enceintes infectées par le VIH-1 et recevant une dose orale unique de 100 ou 200 mg de Nevirapin, 5,8 heures (médiane) avant la naissance de l'enfant montrent que la névirapine franchit facilement la barrière placentaire et est excrétée dans le lait maternel.
  • +Les résultats d'une étude pharmacocinétique menée chez 10 femmes enceintes infectées par le VIH-1 et recevant une dose orale unique de 100 ou 200 mg de virapine, 5,8 heures (médiane) avant la naissance de l'enfant montrent que la névirapine franchit facilement la barrière placentaire et est excrétée dans le lait maternel.
  • -Les données disponibles ne sont pas suffisantes pour affirmer que l'absence de risque accru de toxicité observé chez les femmes ayant subi un prétraitement antirétroviral, avec une charge virale indétectable (charge virale plasmatique de VIH-1 <50 copies/ml) et un taux de CD4+ >250 cellules/mm3 au début du traitement par Nevirapin, s'applique également aux femmes enceintes. Toutes les études randomisées sur ce sujet ont spécifiquement exclu les femmes enceintes et les femmes enceintes étaient quantitativement sous-représentées dans les études de cohorte ainsi que dans les méta-analyses.
  • +Les données disponibles ne sont pas suffisantes pour affirmer que l'absence de risque accru de toxicité observé chez les femmes ayant subi un prétraitement antirétroviral, avec une charge virale indétectable (charge virale plasmatique de VIH-1<50 copies/ml) et un taux de CD4+ >250 cellules/mm3 au début du traitement par virapine, s'applique également aux femmes enceintes. Toutes les études randomisées sur ce sujet ont spécifiquement exclu les femmes enceintes et les femmes enceintes étaient quantitativement sous-représentées dans les études de cohorte ainsi que dans les méta-analyses.
  • -Il est recommandé aux femmes infectées par le VIH de ne pas allaiter leur enfant afin d'éviter un risque de transmission postnatale du virus et d'interrompre l'allaitement en cas d'instauration d'un traitement par Nevirapine Mylan.
  • +Il est recommandé aux femmes infectées par le VIH de ne pas allaiter leur enfant afin d'éviter un risque de transmission postnatale du virus et d'interrompre l'allaitement en cas d'instauration d'un traitement par Nevirapin Mylan.
  • +Fertilité
  • +On ne dispose pas de données concernant la fertilité chez l'être humain. Des études de toxicité sur la reproduction ont montré une alteration de la fertilité chez le rat (voir «Données précliniques»).
  • +
  • -Les patients doivent cependant être informés que des effets indésirables tels que la fatigue peuvent survenir pendant le traitement avec Nevirapine Mylan. La prudence est donc recommandée en ce qui concerne la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines. Si la fatigue survient, des activités potentiellement dangereuses comme la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines doivent être évitées.
  • +Les patients doivent cependant être informés que des effets indésirables tels que la fatigue peuvent survenir pendant le traitement avec Nevirapin Mylan. La prudence est donc recommandée en ce qui concerne la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines. Si la fatigue survient, des activités potentiellement dangereuses comme la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines doivent être évitées.
  • -Au cours des essais cliniques, les effets indésirables les plus souvent décrits et imputés au traitement par Nevirapin ont été des cas d'éruption cutanée (voir ci-dessous), de nausées, de fatigue, de fièvre, de céphalées, de vomissements, de diarrhées, de douleurs abdominales, de myalgies et d'élévation des paramètres hépatiques.
  • +Au cours des essais cliniques, les effets indésirables les plus souvent décrits et imputés au traitement par virapine ont été des cas d'éruption cutanée (voir ci-dessous), de nausées, de fatigue, de fièvre, de céphalées, de vomissements, de diarrhées, de douleurs abdominales, de myalgies et d'élévation des paramètres hépatiques.
  • -Les manifestations les plus fréquentes de la toxicité de Nevirapin sont des éruptions cutanées. Celles-ci ont été observées lors des études cliniques contrôlées chez 13,6% des patients ayant reçu Nevirapin comprimés en association à d'autres antirétroviraux. Lors de ces études cliniques, des éruptions cutanées ont été constatées chez 24% des patients traités par Nevirapin comprimés contre 15% de ceux des groupes témoins.
  • -Des éruptions cutanées graves ou menaçant le pronostic vital sont survenues chez 1,7% des patients traités par Nevirapin comprimés et 0,2% de ceux des groupes témoins.
  • +L'éruption cutanée est le principal effet secondaire clinique de la névirapine. Dans des études cliniques contrôlées, 13,6% des patients traités par une association thérapeutique ont présenté une éruption cutanée due au traitement par la névirapine en comprimés. Lors de ces études cliniques, des éruptions cutanées ont été constatées chez 24% des patients traités par virapine comprimés contre 15% de ceux des groupes témoins.
  • +Des éruptions cutanées graves ou menaçant le pronostic vital sont survenues chez 1,7% des patients traités par virapine comprimés et 0,2% de ceux des groupes témoins.
  • -Les éruptions cutanées surviennent seules ou dans un contexte de manifestation d'hypersensibilité caractérisée par une éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux tels que fièvre, arthralgie, myalgie, lymphadénopathie, ainsi qu'une ou plusieurs manifestations suivantes: modifications de la formule sanguine (éosinophilie, granulocytopénie) ou atteintes viscérales (hépatite, atteinte rénale). Des éruptions cutanées sévères, mettant en jeu le pronostic vital, sont survenues chez des patients traités par Nevirapin, y compris des cas de syndrome de Stevens-Johnson et de nécrolyse épidermique toxique. Des cas de syndrome de Stevens-Johnson, de nécrolyse épidermique toxique et des réactions d'hypersensibilité fatals ont été rapportés.
  • +Les éruptions cutanées surviennent seules ou dans un contexte de manifestation d'hypersensibilité caractérisée par une éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux tels que fièvre, arthralgie, myalgie, lymphadénopathie, ainsi qu'une ou plusieurs manifestations suivantes: modifications de la formule sanguine (éosinophilie, granulocytopénie) ou atteintes viscérales (hépatite, atteinte rénale). Des éruptions cutanées sévères, mettant en jeu le pronostic vital, sont survenues chez des patients traités par virapine, y compris des cas de syndrome de Stevens-Johnson et de nécrolyse épidermique toxique. Des cas de syndrome de Stevens-Johnson, de nécrolyse épidermique toxique et des réactions d'hypersensibilité fatals ont été rapportés.
  • -Au cours de l'étude 1100.1486 (VERxVE), des patients n'ayant jamais auparavant été sous traitement antirétroviral (naïfs d'ARV) ont reçu une posologie initiale de Nevirapin comprimés 200 mg une fois par jour pendant 14 jours (n= 1068). Ils ont ensuite été randomisés pour recevoir soit Nevirapin comprimés 200 mg deux fois par jour, soit Nevirapin comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour. Tous les patients ont reçu l'association ténofovir + emtricitabine en traitement de fond.
  • +Au cours de l'étude 1100.1486 (VERxVE), des patients n'ayant jamais auparavant été sous traitement antirétroviral (naïfs d'ARV) ont reçu une posologie initiale de virapine 200 mg une fois par jour pendant 14 jours (n = 1068). Ils ont ensuite été randomisés pour recevoir soit virapine 200 mg deux fois par jour, soit virapine comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour. Tous les patients ont reçu l'association ténofovir + emtricitabine en traitement de fond.
  • -Une éruption cutanée sévère ou mettant en jeu le pronostic vital associée au traitement par Nevirapin est survenue chez 1,4% des patients pendant la phase d'initiation par Nevirapin comprimés. Pendant la phase de randomisation, une éruption cutanée sévère est survenue chez 1,4% ou 0,2% des patients traités par Nevirapin comprimés et Nevirapin comprimés à libération prolongée. Aucune éruption cutanée engageant le pronostic vital (degré 4) mise en rapport avec le traitement par Nevirapin ne s'est produite pendant la phase de randomisation.
  • -Six cas de syndrome de Stevens-Johnson ont été rapportés au cours de cette étude; à l'exception d'un cas, ils sont tous survenus dans les 30 premiers jours du traitement par Nevirapin.
  • -Au cours de l'étude 1100.1526 (TRANxITION), des patients traités par Nevirapin comprimés 200 mg deux fois par jour pendant au moins 18 semaines ont été randomisés pour soit recevoir Nevirapin comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour (n= 295), soit poursuivre le même schéma que précédemment par Nevirapin comprimés (n= 148). Lors de cette étude, aucune éruption cutanée de grade 3 ou 4 n'a été observée dans aucun des groupes.
  • +Une éruption cutanée sévère ou mettant en jeu le pronostic vital associée au traitement par virapine est survenue chez 1,4% des patients pendant la phase d'initiation par virapine comprimés. Pendant la phase de randomisation, une éruption cutanée sévère est survenue chez 1,4% ou 0,2% des patients traités par virapine comprimés et virapine comprimés à libération prolongée. Aucune éruption cutanée engageant le pronostic vital (degré 4) mise en rapport avec le traitement par virapine ne s'est produite pendant la phase de randomisation.
  • +Six cas de syndrome de Stevens-Johnson ont été rapportés au cours de cette étude; à l'exception d'un cas, ils sont tous survenus dans les 30 premiers jours du traitement par virapine.
  • +Au cours de l'étude 1100.1526 (TRANxITION), des patients traités par virapine comprimés 200 mg deux fois par jour pendant au moins 18 semaines ont été randomisés pour soit recevoir virapine comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour (n = 295), soit poursuivre le même schéma que précédemment par virapine comprimés (n = 148). Lors de cette étude, aucune éruption cutanée de grade 3 ou 4 n'a été observée dans aucun des groupes.
  • -Les anomalies biologiques observées le plus fréquemment avec Nevirapin comprimés sont des augmentations des paramètres hépatiques (ASAT, ALAT, gamma-GT, bilirubine totale et phosphatases alcalines), dans certains cas dès la première semaine de traitement. Il s'agit dans la plupart des cas d'élévations asymptomatiques des gamma-GT. Des cas d'hépatite (isolée ou en association avec des éruptions cutanées et/ou des symptômes généraux supplémentaires), d'ictère et des cas d'hépatotoxicité sévère menaçant le pronostic vital, y compris des cas fatals d'hépatite fulminante, ont également été rapportés. Au cours d'une étude clinique, le risque de manifestation hépatique était environ le double pour les patients traités avec Nevirapin comprimés pendant un an que pour le groupe témoin.
  • -Au cours de l'étude 1100.1486 (VERxVE), des patients naïfs de traitement ont reçu une posologie initiale de Nevirapin comprimés 200 mg une fois par jour pendant 14 jours, avant d'être randomisés pour recevoir soit Nevirapin comprimés 200 mg deux fois par jour, soit Nevirapin comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour. Tous les patients ont reçu l'association ténofovir + emtricitabine en traitement de fond. Un critère d'inclusion était un taux de CD4 inférieur à 250 cellules/mm3 (femmes) ou inférieur à 400 cellules/mm3 (hommes). L'incidence des complications hépatiques symptomatiques était de 0,5% au cours de la phase d'initiation. Après la phase d'initiation, l'incidence des complications hépatiques symptomatiques était de 2,4% chez les patients sous Nevirapin comprimés, et de 1,6% sous Nevirapin comprimés à libération prolongée.
  • +Les anomalies biologiques observées le plus fréquemment avec virapine comprimés sont des augmentations des paramètres hépatiques (ASAT, ALAT, gamma-GT, bilirubine totale et phosphatases alcalines), dans certains cas dès la première semaine de traitement. Il s'agit dans la plupart des cas d'élévations asymptomatiques des gamma-GT. Des cas d'hépatite (isolée ou en association avec des éruptions cutanées et/ou des symptômes généraux supplémentaires), d'ictère et des cas d'hépatotoxicité sévère menaçant le pronostic vital, y compris des cas fatals d'hépatite fulminante, ont également été rapportés. Au cours d'une étude clinique, le risque de manifestation hépatique était environ le double pour les patients traités avec virapine comprimés pendant un an que pour le groupe témoin.
  • +Au cours de l'étude 1100.1486 (VERxVE), des patients naïfs de traitement ont reçu une posologie initiale de virapine comprimés 200 mg une fois par jour pendant 14 jours, avant d'être randomisés pour recevoir soit virapine comprimés 200 mg deux fois par jour, soit virapine comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour. Tous les patients ont reçu l'association ténofovir + emtricitabine en traitement de fond. Un critère d'inclusion était un taux de CD4 inférieur à 250 cellules/mm3 (femmes) ou inférieur à 400 cellules/mm3 (hommes). L'incidence des complications hépatiques symptomatiques était de 0,5% au cours de la phase d'initiation. Après la phase d'initiation, l'incidence des complications hépatiques symptomatiques était de 2,4% chez les patients sous virapine comprimés, et de 1,6% sous virapine comprimés à libération prolongée.
  • -Les valeurs élevées d'ASAT ou ALAT et/ou une hépatite B et/ou C séropositive étaient associées à un risque plus élevé d'effets indésirables hépatiques (patients traités avec Nevirapin comprimés ou par placebo). Le risque de manifestation hépatique était de moins de 2% chez les patients séronégatifs pour l'hépatite B et/ou C après un an de traitement avec Nevirapin comprimés. Une surveillance étroite pendant les 18 premières semaines de traitement, puis régulière, est vivement conseillée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Les valeurs élevées d'ASAT ou ALAT et/ou une hépatite B et/ou C séropositive étaient associées à un risque plus élevé d'effets indésirables hépatiques (patients traités avec virapine comprimés ou par placebo). Le risque de manifestation hépatique était de moins de 2% chez les patients séronégatifs pour l'hépatite B et/ou C après un an de traitement avec virapine comprimés. Une surveillance étroite pendant les 18 premières semaines de traitement, puis régulière, est vivement conseillée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Les fréquences sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (<1/10, ≥1/100), occasionnel (<1/100, ≥1/1000), rare (<1/1000, ≥1/10'000), très rare (<1/10'000).
  • +Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10'000), très rares (<1/10'000).
  • -Fréquent: granulocytopénie.
  • -Occasionnel: anémie.
  • +Fréquents: granulocytopénie.
  • +Occasionnels: anémie.
  • -Fréquent: hypersensibilité.
  • -Occasionnel: réaction anaphylactique.
  • -Rare: réaction au médicament avec éosinophilie et symptômes systémiques.
  • +Fréquents: hypersensibilité.
  • +Occasionnels: réaction anaphylactique.
  • +Rares: réaction au médicament avec éosinophilie et symptômes systémiques.
  • -Fréquent: céphalées.
  • +Fréquents: céphalées.
  • -Fréquent: nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhées.
  • +Fréquents: nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhées.
  • -Fréquent: hépatite (y compris atteintes hépatiques sévères et menaçant le pronostic vital).
  • -Occasionnel: ictère.
  • -Rare: hépatite fulminante (avec issue fatale possible).
  • +Fréquents: hépatite (y compris atteintes hépatiques sévères et menaçant le pronostic vital).
  • +Occasionnels: ictère.
  • +Rares: hépatite fulminante (avec issue fatale possible).
  • -Très fréquent: éruption cutanée (12,51%).
  • -Occasionnel: urticaire, angio-œdème, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (avec issue fatale possible).
  • +Très fréquents: éruption cutanée (12,51%).
  • +Occasionnels: urticaire, angio-œdème, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (avec issue fatale possible).
  • -Occasionnel: arthralgie, myalgie.
  • +Occasionnels: arthralgie, myalgie.
  • -Fréquent: fatigue, fièvre.
  • +Fréquents: fatigue, fièvre.
  • -Fréquent: élévation des paramètres hépatiques (alaninaminotransférase; aspartate aminotransférase, gamma-glutamyltransférase).
  • -Occasionnel: élévation de la tension artérielle, diminution du taux de phosphore dans le sang.
  • -Les événements suivants ont été observés lors de l'association avec d'autres agents antirétroviraux: hypertriglycéridémie, thrombocytopénie, pancréatite et neuropathie périphérique. La causalité avec le traitement par Nevirapin est inconnue.
  • +Fréquents: élévation des paramètres hépatiques (alaninaminotransférase; aspartate aminotransférase, gamma-glutamyltransférase).
  • +Occasionnels: élévation de la tension artérielle, diminution du taux de phosphore dans le sang.
  • +Les événements suivants ont été observés lors de l'association avec d'autres agents antirétroviraux: hypertriglycéridémie, thrombocytopénie, pancréatite et neuropathie périphérique. La causalité avec le traitement par névirapine est inconnue.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Il n'existe aucun antidote connu de Nevirapin Mylan en cas de surdosage de Nevirapine Mylan. Des cas de surdosage des doses comprises entre 800 et 6000 mg par jour sur des périodes allant jusqu'à 15 jours ont été rapportés avec Nevirapin comprimés. Ils se sont manifestés par des œdèmes, des érythèmes noueux, une asthénie, de la fièvre, des céphalées, des insomnies, des nausées, des infiltrats pulmonaires, des éruptions cutanées, des vertiges, des vomissements, élévation des transaminases et une perte de poids. Tous les symptômes ont régressé à l'arrêt du traitement.
  • +Il n'existe aucun antidote connu de Nevirapin Mylan en cas de surdosage de Nevirapin Mylan. Des cas de surdosage des doses comprises entre 800 et 6000 mg par jour sur des périodes allant jusqu'à 15 jours ont été rapportés avec Nevirapin Mylan comprimés. Ils se sont manifestés par des œdèmes, des érythèmes noueux, une asthénie, de la fièvre, des céphalées, des insomnies, des nausées, des infiltrats pulmonaires, des éruptions cutanées, des vertiges, des vomissements, élévation des transaminases et une perte de poids. Tous les symptômes ont régressé à l'arrêt du traitement avec Nevirapin Mylan.
  • -ATC-Code: J05AG01
  • +Code ATC
  • +J05AG01
  • +Mécanisme d'action
  • +
  • -Au cours d'études cliniques, Nevirapin a été associé à une augmentation du HDL-cholestérol et à une amélioration globale du rapport cholestérol total sur HDL-cholestérol, associé à une réduction du risque cardio-vasculaire dans la population générale. Cependant, en l'absence d'études spécifiques menées sur le rôle éventuel de Nevirapin dans la modification du risque cardio-vasculaire chez les patients infectés par le VIH, l'impact clinique de ces résultats n'est pas connu. Le choix des antirétroviraux doit être principalement guidé par leur efficacité antivirale.
  • +Pharmacodynamique
  • +Au cours d'études cliniques, la névirapine a été associée à une augmentation du HDL-cholestérol et à une amélioration globale du rapport cholestérol total sur HDL-cholestérol, associée à une réduction du risque cardio-vasculaire dans la population générale. Cependant, en l'absence d'études spécifiques menées sur le rôle éventuel de la névirapine dans la modification du risque cardio-vasculaire chez les patients infectés par le VIH, l'impact clinique de ces résultats n'est pas connu. Le choix des antirétroviraux doit être principalement guidé par leur efficacité antivirale.
  • +Efficacité clinique
  • +
  • -L'efficacité clinique de Nevirapin comprimés à libération prolongée est fondée sur les données à 24 semaines d'une étude ouverte randomisée en cours auprès de patients chez qui le traitement par Nevirapin comprimés (une dose biquotidienne) a été converti en Nevirapin comprimés à libération prolongée (une dose uniquotidienne) (TRANxITION – étude 1100.1526).
  • -Passage de Nevirapin comprimés à Nevirapin comprimés à libération prolongée
  • -TRANxITION (étude 1100.1526) est une étude de phase 3 évaluant la sécurité et l'efficacité antirétrovirale du passage de Nevirapin comprimés à Nevirapin comprimés à libération prolongée. Au cours de cette étude ouverte, 443 patients déjà traités par une association antirétrovirale contenant Nevirapin comprimés 200 mg deux fois par jour et présentant une charge virale de VIH-1<50 copies/ml ont été répartis selon une randomisation de 2:1 soit dans le groupe recevant Nevirapin comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour, soit dans le groupe recevant Nevirapin comprimés 200 mg deux fois par jour. Environ la moitié des patients ont reçu l'association ténofovir + emtricitabine en traitement de fond; les autres patients ont été traités par sulfate d'abacavir + lamivudine ou par zidovudine + lamivudine. Avant l'inclusion dans l'étude 1100.1526, environ la moitié des patients avaient déjà été exposés à Nevirapin comprimés pendant un minimum de 3 ans.
  • -24 semaines après la randomisation dans l'étude TRANxITION, la charge virale de VIH-1 était restée inférieure à 50 copies/ml chez 92,6% des patients recevant Nevirapin comprimés 200 mg deux fois par jour et 93,6% des patients recevant Nevirapin comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour.
  • +L'efficacité clinique de virapine comprimés à libération prolongée est fondée sur les données à 24 semaines d'une étude ouverte randomisée en cours auprès de patients chez qui le traitement par virapine comprimés (une dose biquotidienne) a été converti en virapine comprimés à libération prolongée (une dose uniquotidienne) (TRANxITION – étude 1100.1526).
  • +Passage de virapine comprimés à virapine comprimés à libération prolongée
  • +TRANxITION (étude 1100.1526) est une étude de phase 3 évaluant la sécurité et l'efficacité antirétrovirale du passage de virapine comprimés à virapine comprimés à libération prolongée. Au cours de cette étude ouverte, 443 patients déjà traités par une association antirétrovirale contenant virapine comprimés 200 mg deux fois par jour et présentant une charge virale de VIH-1<50 copies/ml ont été répartis selon une randomisation de 2:1 soit dans le groupe recevant virapine comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour, soit dans le groupe recevant virapine comprimés 200 mg deux fois par jour. Environ la moitié des patients ont reçu l'association ténofovir + emtricitabine en traitement de fond; les autres patients ont été traités par sulfate d'abacavir + lamivudine ou par zidovudine + lamivudine. Avant l'inclusion dans l'étude 1100.1526, environ la moitié des patients avaient déjà été exposés à virapine comprimés pendant un minimum de 3 ans.
  • +24 semaines après la randomisation dans l'étude TRANxITION, la charge virale de VIH-1 était restée inférieure à 50 copies/ml chez 92,6% des patients recevant virapine comprimés 200 mg deux fois par jour et 93,6% des patients recevant virapine comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour.
  • -L'activité antivirale in vitro de la névirapine a été mesurée sur différentes lignées cellulaires: dans des cellules mononuclées du sang périphérique, des macrophages dérivés de monocytes ou une lignée cellulaire lymphoblastoïde. Au cours d'études plus récentes sur des lymphocytes humains provenant de sang de cordon ombilical et de cellules embryonnaires rénales, les valeurs des concentrations inhibitrices à 50% (CI50) étaient comprises entre 14 et 302 nM pour des isolats obtenus en laboratoire et des isolats cliniques du VIH-1. La névirapine montrait une activité antivirale in vitro contre un ensemble d'isolats du VIH-1 du groupe M, de sous-types A, B, C, D, F, G et H, et de formes recombinantes circulantes (CRF) CRF01_AE, CRF02_AG et CRF12_BF (valeur CI50 médiane de 63 nM). La névirapine n'a aucune activité antivirale en culture cellulaire contre des isolats de VIH-1 de groupe O ou du VIH-2.
  • +L'activité antivirale in vitro de la névirapine a été mesurée sur différentes lignées cellulaires: dans des cellules mononuclées du sang périphérique, des macrophages dérivés de monocytes ou une lignée cellulaire lymphoblastoïde. Au cours d'études plus récentes sur des lymphocytes humains provenant de sang de cordon ombilical et de cellules embryonnaires rénales, les valeurs des concentrations inhibitrices à 50% (CI50) étaient comprises entre 14 et 302 nM pour des isolats obtenus en laboratoire et des isolats cliniques du VIH-1. La névirapine montrait une activité antivirale in vitro contre un ensemble d'isolats du VIH-1 du groupe M, de sous-types A, B, C, D, F, G et H, et de formes recombinantes circulantes (CRF) CRF01_AE, CRF02_AG et CRF12_BF (valeur CI50 médiane de 63 nM). La névirapine n'a aucune activité antivirale in vitro contre des isolats de VIH-1 du groupe O ou de VIH-2.
  • -Des isolats du VIH présentant une sensibilité réduite de 100 à 250 fois à la névirapine sont apparus in vitro. L'analyse génotypique a montré l'existence des mutations aux positions Y181C et/ou V106A du gène de la transcriptase inverse du VIH-1 en fonction de la souche virale et de la lignée cellulaire utilisées. Le délai d'apparition d'une résistance à la névirapine in vitro n'a pas été modifié lorsque la névirapine a été utilisée en association avec plusieurs autres INNTIs. Chez des patients, le phénotype ainsi que le génotype des isolats du VIH se sont modifiés en l'espace de 1 à 12 semaines sous traitement par la névirapine seule ou associée à la zidovudine. Après une monothérapie d'une semaine avec Nevirapin comprimés, les isolats de 3 patients sur 3 ont montré une diminution de la sensibilité in vitro à la névirapine. Au moins une mutation de la transcriptase inverse aux positions d'acides aminés 103, 106, 108, 181, 188 et 190 a été détectée chez certains patients, dès la fin de la 2e semaine après le début du traitement. Jusqu'à la 8e semaine de monothérapie par la névirapine, tous les isolats du VIH présentaient une diminution de plus de 100 fois de la sensibilité à la névirapine in vitro par rapport aux valeurs initiales, et au moins une présentait des mutations sur le gène de la transcriptase inverse associées à une résistance à la névirapine (80% présentaient des isolats montrant une mutation à la position 181).
  • -L'analyse génotypique des isolats provenant de patients non traités auparavant présentant un échec virologique (n= 71), et recevant la névirapine une fois par jour (n= 25) ou deux fois par jour (n= 46) en association avec la lamivudine et la stavudine pendant 48 semaines (étude 2NN) a montré que les isolats provenant respectivement de 8 patients sur 25 et de 23 patients sur 46 contenaient au moins l'une des mutations associées à une résistance aux INNTIs suivantes: Y181C, K101E, G190A/S, K103N, V106A/M, V108I, Y188C/L, A98G, F227L et M230L.
  • -L'analyse génotypique a été réalisée sur des isolats de 86 patients naïfs de traitements antirétroviraux qui avaient abandonné l'étude VERxVE (1100.1486) en raison d'un échec virologique (rebond, réponse partielle) ou d'un événement indésirable ou avaient présenté une augmentation transitoire de la charge virale en cours d'étude. L'analyse de ces échantillons de patients traités par Nevirapin comprimés deux fois par jour ou Nevirapin comprimés à libération prolongée une fois par jour associé à du ténofovir et de l'emtricitabine a indiqué que les isolats de 50 patients contenaient les mutations de résistance attendues dans le cadre d'un schéma thérapeutique utilisant de la névirapine. Sur ces 50 patients, 28 ont développé une résistance à l'éfavirenz, et 39 une résistance à l'étravirine (la mutation de résistance Y181C étant la plus fréquente). Aucune différence imputable au type de préparation administrée (comprimés à libération immédiate deux fois par jour ou comprimés à libération prolongée une fois par jour) n'a été révélée.
  • -Deux nouvelles substitutions ont été observées sur des codons précédemment associés à la résistance à la névirapine: un patient avec la mutation Y181I dans le groupe sous Nevirapin comprimés à libération prolongée, et un patient avec la mutation Y188N dans le groupe sous Nevirapin comprimés; la résistance à la névirapine a été confirmée par le phénotype.
  • +Des isolats du VIH présentant une sensibilité réduite de 100 à 250 fois à la névirapine sont apparus in vitro. L'analyse génotypique a montré l'existence des mutations aux positions Y181C et/ou V106A du gène de la transcriptase inverse du VIH-1 en fonction de la souche virale et de la lignée cellulaire utilisées. Le délai d'apparition d'une résistance à la névirapine in vitro n'a pas été modifié lorsque la névirapine a été utilisée en association avec plusieurs autres INNTIs. Chez des patients, le phénotype ainsi que le génotype des isolats du VIH se sont modifiés en l'espace de 1 à 12 semaines sous traitement par la névirapine seule ou par la névirapine associée à la zidovudine. Après une monothérapie d'une semaine avec virapine comprimés, les isolats de 3 patients sur 3 ont montré une diminution de la sensibilité in vitro à la névirapine. Au moins une mutation de la transcriptase inverse aux positions d'acides aminés 103, 106, 108, 181, 188 et 190 a été détectée chez certains patients, dès la fin de la 2e semaine après le début du traitement. Jusqu'à la 8e semaine de monothérapie par la névirapine, tous les isolats du VIH présentaient une diminution de plus de 100 fois de la sensibilité à la névirapine in vitro par rapport aux valeurs initiales, et au moins une présentait des mutations sur le gène de la transcriptase inverse associées à une résistance à la névirapine (80% présentaient des isolats montrant une mutation à la position 181).
  • +L'analyse génotypique des isolats provenant de patients non traités auparavant présentant un échec virologique (n = 71), et recevant la névirapine une fois par jour (n = 25) ou deux fois par jour (n = 46) en association avec la lamivudine et la stavudine pendant 48 semaines (étude 2NN) a montré que les isolats provenant respectivement de 8 patients sur 25 et de 23 patients sur 46 contenaient au moins l'une des mutations associées à une résistance aux INNTIs suivantes: Y181C, K101E, G190A/S, K103N, V106A/M, V108I, Y188C/L, A98G, F227L et M230L.
  • +L'analyse génotypique a été réalisée sur des isolats de 86 patients naïfs de traitements antirétroviraux qui avaient abandonné l'étude VERxVE (1100.1486) en raison d'un échec virologique (rebond, réponse partielle) ou d'un événement indésirable ou avaient présenté une augmentation transitoire de la charge virale en cours d'étude. L'analyse de ces échantillons de patients traités par virapine comprimés deux fois par jour ou virapine comprimés à libération prolongée une fois par jour associé à du ténofovir et de l'emtricitabine a indiqué que les isolats de 50 patients contenaient les mutations de résistance attendues dans le cadre d'un schéma thérapeutique utilisant de la névirapine. Sur ces 50 patients, 28 ont développé une résistance à l'éfavirenz, et 39 une résistance à l'étravirine (la mutation de résistance Y181C étant la plus fréquente). Aucune différence imputable au type de préparation administrée (comprimés à libération immédiate deux fois par jour ou comprimés à libération prolongée une fois par jour) n'a été révélée.
  • +Deux nouvelles substitutions ont été observées sur des codons précédemment associés à la résistance à la névirapine: un patient avec la mutation Y181I dans le groupe sous virapine comprimés à libération prolongée, et un patient avec la mutation Y188N dans le groupe sous virapine comprimés; la résistance à la névirapine a été confirmée par le phénotype.
  • -Nevirapin comprimés
  • -La névirapine est facilement absorbée après administration orale (>90%) chez des volontaires sains et des adultes infectés par le VIH-1. La biodisponibilité absolue d'un comprimé à 50 mg a été de 93 ± 9% (moyenne ± écart-type) et celle d'une solution buvable de 91 ± 8% après administration d'une dose unique chez 12 adultes sains. La concentration plasmatique de la névirapine a atteint sa valeur maximale de 2 ± 0,4 µg/ml (7,5 μM) 4 heures après la prise d'une dose unique de 200 mg. Lors d'administrations réitérées, les concentrations plasmatiques de la névirapine paraissent augmenter de façon linéaire avec des doses de 200 à 400 mg/jour. La concentration plasmatique minimale moyenne de la névirapine à l'état d'équilibre a été de 4,5 ± 1,9 µg/ml (17 ± 7 µM) lors de traitements par 400 mg/jour chez 242 patients.
  • -Influence de l'alimentation et des antacides sur l'absorption:
  • -Après administration de Nevirapin 200 mg à 24 adultes sains (12 femmes et 12 hommes) soit avec un petit-déjeuner riche en lipides (857 kcal, 50 g de lipides, 53% des calories d'origine lipidique) soit avec un antacide (hydroxyde de magnésium ou carbonate de calcium), l'importance de l'absorption de la névirapine (ASC) était semblable à celle déterminée à jeun, avec un tmax allongé. Chez des patients infectés par le VIH-1 (n= 6), l'exposition systémique à la névirapine à l'état d'équilibre (ASC) n'était pas significativement modifiée par l'administration concomitante de didanosine, dont la formulation comporte un tampon alcalin. La névirapine peut être administré avec ou en dehors des repas, avec un antacide ou didanosine.
  • +Névirapine comprimés
  • +La névirapine est facilement absorbée après administration orale (>90%) chez des volontaires sains et des adultes infectés par le VIH-1. La biodisponibilité absolue d'un comprimé à 50 mg a été de 93 ± 9% (moyenne ± écart-type) et celle d'une solution buvable de 91 ± 8% après administration d'une dose unique chez 12 adultes sains. La concentration plasmatique de la névirapine a atteint sa valeur maximale de 2 ± 0,4 µg/ml (7,5 μM) 4 heures après la prise d'une dose unique de 200 mg. Lors d'administrations réitérées, les concentrations plasmatiques de la névirapine paraissent augmenter de façon linéaire avec des doses de 200 à 400 mg/jour. La concentration plasmatique minimale moyenne de la névirapine à l'état d'équilibre a été de 4,5 ± 1,9 µg/ml (17 ± 7 µM) lors de traitements par 400 mg/jour de névirapine (n = 242).
  • +Influence de l'alimentation et des antacides sur l'absorption
  • +Après administration de virapine 200 mg à 24 adultes sains (12 femmes et 12 hommes) soit avec un petit-déjeuner riche en lipides (857 kcal, 50 g de lipides, 53% des calories d'origine lipidique) soit avec un antacide (hydroxyde de magnésium ou carbonate de calcium), l'importance de l'absorption de la névirapine (ASC) était semblable à celle déterminée à jeun, avec un tmax allongé. Chez des patients infectés par le VIH-1 (n = 6), la concentration à l'état d'équilibre (ASC) de la névirapine n'était pas significativement modifiée par l'administration concomitante de didanosine, dont la formulation comporte un tampon alcalin. La névirapine peut être administré avec ou en dehors des repas, avec un antacide ou didanosine.
  • +Névirapine comprimés à libération prolongée
  • +La pharmacocinétique de névirapine comprimés à libération prolongée a été étudiée au cours d'une étude pharmacocinétique à doses multiples (étude 1100.1489) auprès de 24 patients infectés par le VIH-1 dont le traitement au long cours par névirapine comprimés a été converti en névirapine comprimés à libération prolongée. L'ASC0-24,ss et la Cmin,ss de la névirapine, mesurées après 19 jours d'administration à jeun de névirapine comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour, étaient respectivement d'environ 80 % et 90 % de l'ASC0-24,ss et de la Cmin,ss mesurées lors de l'administration de névirapine comprimés 200 mg deux fois par jour. La moyenne géométrique de la Cmin,ss de la névirapine était de 2770 ng/ml.
  • +Lorsque névirapine comprimés à libération prolongée était pris avec un repas riche en matières grasses, l'ASC0-24,ss et la Cmin,ss de la névirapine étaient d'environ 94 % et 98 % respectivement de l'ASC0-24,ss et la Cmin,ss mesurées après l'administration de névirapine comprimés. Les différences observées dans la pharmacocinétique de la névirapine après l'administration de névirapine comprimés à libération prolongée à jeun et après un repas ne sont pas considérées comme cliniquement significatives. Nevirapin Mylan comprimés à libération prolongée peut être pris avec ou sans nourriture.
  • +Névirapine comprimés
  • +
  • -Le taux de liaison de la névirapine aux protéines du plasma est d'environ 60% quand sa concentration plasmatique est de 1 à 10 µg/ml. La concentration de la névirapine dans le liquide céphalo-rachidien humain (n= 6) était de 45% (± 5%) de la concentration plasmatique, soit un rapport voisin de la fraction non liée aux protéines plasmatiques.
  • +Le taux de liaison de la névirapine aux protéines du plasma est d'environ 60% quand sa concentration plasmatique est de 1 à 10 µg/ml. La concentration de la névirapine dans le liquide céphalo-rachidien humain (n = 6) était de 45% (± 5%) de la concentration plasmatique, soit un rapport voisin de la fraction non liée aux protéines plasmatiques.
  • +Névirapine comprimés
  • +
  • -Elimination
  • +Élimination
  • +Névirapine comprimés
  • +
  • -Patients âgés: Les paramètres pharmacocinétiques de la névirapine chez les adultes infectés par le VIH-1 ne semblent pas dépendre de l'âge (de 18 à 68 ans). Il n'existe cependant pas d'étude précise chez des patients de plus de 55 ans.
  • -Enfants: Le métabolisme de la névirapine est plus rapide chez l'enfant que chez l'adulte.
  • -Sexe: Dans l'étude multinationale 2NN, une analyse de pharmacocinétique de population a été effectuée sur 1077 patients, incluant 391 femmes. Les femmes ont présenté une diminution de la clairance de la névirapine de 13,8% par rapport aux hommes. Cette différence n'est pas considérée comme cliniquement significative. Dans la mesure où ni le poids corporel ni l'Indice de Masse Corporelle (IMC) n'ont d'influence sur la clairance de la névirapine, l'influence du sexe ne peut être expliquée par le volume corporel.
  • -Insuffisance rénale: Les propriétés pharmacocinétiques après administration d'une dose unique de Nevirapin ont été comparées chez 23 sujets présentant une insuffisance rénale légère (50 ≤ CLcreat <80 ml/min), modérée (30 ≤ CLcreat <50 ml/min), ou sévère CLcreat <30 ml/min) ou une insuffisance rénale en phase terminale nécessitant une dialyse, et chez 8 sujets présentant une fonction rénale normale (CLcreat >80 ml/min). L'insuffisance rénale (légère, modérée ou sévère) n'a pas entraîné de modification significative des propriétés pharmacocinétiques de névirapine. Cependant, chez les patients présentant une insuffisance rénale en phase terminale nécessitant une dialyse, l'ASC de la névirapine a été réduite de 43,5% après une période d'exposition de 1 semaine. Une accumulation des métabolites hydroxy de la névirapine dans le plasma a également été observée. Les résultats suggèrent qu'une dose additionnelle de 200 mg de Nevirapin après chaque dialyse peut compenser l'effet de la dialyse sur la clairance de Nevirapin. Par ailleurs, chez les patients ayant une CLcreat ≥20 ml/min, une adaptation posologique de Nevirapin n'est pas nécessaire.
  • -Insuffisance hépatique: Une étude à l'état d'équilibre a été conduite chez 46 patients ayant une fibrose hépatique, reflet de l'insuffisance hépatique, à un stade léger (n= 17; score Ishak 1-2), modéré (n= 20; score Ishak 3-4), ou sévère (n= 9; score Ishak 5-6, Child-Pugh classe A chez 8 patients; le score Child-Pugh n'a pas été évalué chez un patient). Les patients de l'étude recevaient un traitement antirétroviral comprenant Nevirapin 200 mg deux fois par jour pendant au moins 6 semaines avant les prélèvements sanguins pharmacocinétiques, et présentaient une durée médiane de traitement de 3,4 années. Dans cette étude, le profil pharmacocinétique en doses multiples de la névirapine et des cinq métabolites oxydés n'a pas été modifié. Cependant, environ 15% de ces patients ayant une fibrose hépatique ont présenté des concentrations résiduelles de névirapine supérieures à 9000 ng/ml (2 fois la concentration résiduelle moyenne habituelle). Les patients présentant une insuffisance hépatique doivent être attentivement surveillés afin de détecter tout signe de toxicité médicamenteuse.
  • -Au cours d'une étude pharmacocinétique avec une dose unique de 200 mg de névirapine chez des patients VIH-négatifs présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (Child-Pugh classe A, n= 6; Child-Pugh classe B, n= 4), une augmentation significative de l'ASC de la névirapine a été observée chez un patient Child-Pugh B présentant une ascite, suggérant que les patients avec une aggravation de la fonction hépatique et une ascite peuvent présenter un risque d'accumulation de la névirapine dans la circulation systémique. La névirapine en doses multiples induisant son propre métabolisme, cette étude en dose unique peut ne pas refléter l'impact de l'insuffisance hépatique sur la pharmacocinétique en doses multiples (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les données pharmacocinétiques suivantes ont été observées après l'utilisation de Nevirapin comprimés à libération prolongée:
  • -Absorption
  • -La pharmacocinétique de Nevirapin comprimés à libération prolongée a été étudiée au cours d'une étude pharmacocinétique à doses multiples (étude 1100.1489) auprès de 24 patients infectés par le VIH-1 dont le traitement au long cours par Nevirapin comprimés a été converti en Nevirapin comprimés à libération prolongée. L'ASC0-24,ss et la Cmin,ss de la névirapine, mesurées après 19 jours d'administration à jeun de Nevirapin comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour, étaient respectivement d'environ 80% et 90% de l'ASC0-24,ss et de la Cmin,ss mesurées lors de l'administration de Nevirapin comprimés 200 mg deux fois par jour. La moyenne géométrique de la Cmin,ss de la névirapine était de 2770 ng/ml.
  • -Lorsque Nevirapin comprimés à libération prolongée était pris avec un repas riche en matières grasses, l'ASC0-24,ss et la Cmin,ss de la névirapine étaient d'environ 94% et 98% respectivement de l'ASC0-24,ss et la Cmin,ss mesurées après l'administration de Nevirapin comprimés. Les différences observées dans la pharmacocinétique de la névirapine après l'administration de Nevirapin comprimés à libération prolongée à jeun et après un repas ne sont pas considérées comme cliniquement significatives. Nevirapin Mylan comprimés à libération prolongée peut être pris avec ou sans nourriture.
  • -Élimination
  • -Occasionnellement, les excipients des comprimés retard de Nevirapin Mylan sont éliminés par les selles sous la forme de restes mous gonflés susceptibles de ressembler à un comprimé intact. Les enveloppes de comprimés éliminées n'ont aucune influence sur le taux sanguin ni sur l'effet du médicament.
  • -Cinétique chez des groupes de patients particuliers
  • +Névirapine comprimés
  • +Patients âgés
  • +Les paramètres pharmacocinétiques de la névirapine chez les adultes infectés par le VIH-1 ne semblent pas dépendre de l'âge (de 18 à 68 ans). Il n'existe cependant pas d'étude précise chez des patients de plus de 55 ans.
  • +Enfants
  • +Le métabolisme de la névirapine est plus rapide chez l'enfant que chez l'adulte.
  • +Sexe
  • +Dans l'étude multinationale 2NN, une analyse de pharmacocinétique de population a été effectuée sur 1077 patients, incluant 391 femmes. Les femmes ont présenté une diminution de la clairance de la névirapine de 13,8% par rapport aux hommes. Cette différence n'est pas considérée comme cliniquement significative. Dans la mesure où ni le poids corporel ni l'Indice de Masse Corporelle (IMC) n'ont d'influence sur la clairance de la névirapine, l'influence du sexe ne peut être expliquée par le volume corporel.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Les propriétés pharmacocinétiques après administration d'une dose unique de virapine ont été comparées chez 23 sujets présentant une insuffisance rénale légère (50 ≤ CLcreat <80 ml/min), modérée (30 ≤ CLcreat <50 ml/min), ou sévère CLcreat <30 ml/min) ou une insuffisance rénale en phase terminale nécessitant une dialyse, et chez 8 sujets présentant une fonction rénale normale (CLcreat >80 ml/min). L'insuffisance rénale (légère, modérée ou sévère) n'a pas entraîné de modification significative des propriétés pharmacocinétiques de névirapine. Cependant, chez les patients présentant une insuffisance rénale en phase terminale nécessitant une dialyse, l'ASC de la névirapine a été réduite de 43,5% après une période d'exposition de 1 semaine. Une accumulation des métabolites hydroxy de la névirapine dans le plasma a également été observée. Les résultats suggèrent qu'un traitement par névirapine avec une dose additionnelle de 200 mg de virapine après chaque dialyse peut compenser l'effet de la dialyse sur la clairance de virapine. Par ailleurs, chez les patients ayant une CLcreat ≥20 ml/min, une adaptation posologique de virapine n'est pas nécessaire.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Une étude à l'état d'équilibre a été conduite chez 46 patients ayant une fibrose hépatique, reflet de l'insuffisance hépatique, à un stade léger (n = 17; score Ishak 1-2), modéré (n = 20; score Ishak 3-4), ou sévère (n = 9; score Ishak 5-6, Child-Pugh classe A chez 8 patients; le score Child-Pugh n'a pas été évalué chez un patient). Les patients de l'étude recevaient un traitement antirétroviral comprenant virapine 200 mg deux fois par jour pendant au moins 6 semaines avant les prélèvements sanguins pharmacocinétiques, et présentaient une durée médiane de traitement de 3,4 années. Dans cette étude, le profil pharmacocinétique en doses multiples de la névirapine et des cinq métabolites oxydés n'a pas été modifié. Cependant, environ 15% de ces patients ayant une fibrose hépatique ont présenté des concentrations résiduelles de névirapine supérieures à 9000 ng/ml (2 fois la concentration résiduelle moyenne habituelle). Les patients présentant une insuffisance hépatique doivent être attentivement surveillés afin de détecter tout signe de toxicité médicamenteuse.
  • +Au cours d'une étude pharmacocinétique avec une dose unique de 200 mg de névirapine chez des patients VIH-négatifs présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (Child-Pugh classe A,
  • +n = 6; Child-Pugh classe B, n = 4), une augmentation significative de l'ASC de la névirapine a été observée chez un patient Child-Pugh B présentant une ascite, suggérant que les patients avec une aggravation de la fonction hépatique et une ascite peuvent présenter un risque d'accumulation de la névirapine dans la circulation systémique. La névirapine en doses multiples induisant son propre métabolisme, cette étude en dose unique peut ne pas refléter l'impact de l'insuffisance hépatique sur la pharmacocinétique en doses multiples (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +virapine comprimés à libération prolongée
  • -L'influence du sexe des patients sur la pharmacocinétique de Nevirapin comprimés à libération prolongée a été évaluée au cours de l'étude 1100.1486. Dans les deux groupes (Nevirapin comprimés à libération prolongée et Nevirapin comprimés), les femmes avaient tendance à présenter des concentrations résiduelles plus élevées (environ 20% à 30%).
  • -Origine ethnique:
  • -Au cours de l'étude 1100.1486, les concentrations résiduelles des patients à la peau noire (n= 80/groupe) étaient d'environ 30% supérieures à celles des patients de type caucasien (250 à 325 patients/groupe) dans les deux groupes (Nevirapin comprimés et Nevirapin comprimés à libération prolongée, posologie de 400 mg/jour dans chaque groupe, durée du traitement: 48 semaines).
  • -Il n'existe pas de données sur l'utilisation de Nevirapin comprimés à libération prolongée chez des patients présentant des troubles de la fonction rénale ou une insuffisance hépatique.
  • +L'influence du sexe des patients sur la pharmacocinétique de virapine comprimés à libération prolongée a été évaluée au cours de l'étude 1100.1486. Dans les deux groupes (virapine comprimés à libération prolongée et virapine comprimés), les femmes avaient tendance à présenter des concentrations résiduelles plus élevées (environ 20% à 30%).
  • +Origine ethnique
  • +Au cours de l'étude 1100.1486, les concentrations résiduelles des patients à la peau noire (n = 80/groupe) étaient d'environ 30% supérieures à celles des patients de type caucasien (250 à 325 patients/groupe) dans les deux groupes (virapine comprimés et virapine comprimés à libération prolongée, posologie de 400 mg/jour dans chaque groupe, durée du traitement 48 semaines).
  • +Il n'existe pas de données sur l'utilisation de Nevirapin Mylan comprimés à libération prolongée chez des patients présentant des troubles de la fonction rénale ou une insuffisance hépatique.
  • -Les études de toxicité sur la reproduction ont mis en évidence une altération de la fertilité chez le rat à des doses provoquant une exposition systémique similaire (basée sur les valeurs d'ASC) aux doses recommandées pour Nevirapin.
  • +Les études de toxicité sur la reproduction ont mis en évidence une altération de la fertilité chez le rat à des doses provoquant une exposition systémique similaire (basée sur les valeurs d'ASC) aux doses recommandées pour virapine.
  • -Conservation
  • -Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur le récipient avec la mention «EXP».
  • -Conserver à température ambiante (15-25 °C) et hors de portée des enfants.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C).
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • -66764, 66765 (Swissmedic).
  • +66765 (Swissmedic)
  • -Nevirapin Mylan 200 mg, comprimés pelliculés
  • -Blister à 14 et 60 comprimés [A]
  • -Nevirapin Mylan 400 mg, comprimés pelliculés
  • -Blister à 30 comprimés à libération prolongée [A]
  • +Nevirapin Mylan 400 mg, comprimés à libération prolongée: blister de 30 comprimés à libération prolongée. [A]
  • -BGP Products GmbH, 6341 Baar.
  • +Mylan Pharma GmbH, 6312 Steinhausen.
  • -Mai 2016.
  • -[Version 101 F]
  • +Novembre 2022
  • +104 F
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