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Accueil - Information professionnelle sur Hydromorphone Sintetica 0.2 mg/ml - Changements - 08.02.2024
66 Changements de l'information professionelle Hydromorphone Sintetica 0.2 mg/ml
  • -Patients non habitués aux opioïdes
  • +Patients non habitués aux opioïdes (naïfs d'opioïdes)
  • -Adultes et adolescents (> 12 ans)
  • -Administration intraveineuse (i.v.) 0,15 - 0,45 mg/heure ou
  • -0.004 mg/kg PC/heure
  • +Adultes et adolescents (> 12 ans) ayant un poids corporel ≥50 kg:
  • +Administration intraveineuse (i.v.) 0,15 - 0,45 mg/heure ou 0.004 mg/kg PC/heure
  • -Enfants (>12 mois jusqu’à 12 ans) et adultes avec un poids corporel <50 kg
  • +Enfants (>12 mois jusqu’à 12 ans) et adolescents (> 12 ans) et adultes ayant un poids corporel <50 kg
  • +
  • +
  • -Après la détermination réussie de la dose efficace d'un autre opioïde (titration), les patients ne doivent pas passer à Hydromorphone Sintetica sans une évaluation par le médecin et sans une nouvelle titration soigneuse en fonction des besoins. Dans le cas contraire, un effet analgésique continu n'est pas garanti.
  • +Après la détermination de la dose efficace d'un autre opioïde (titration), les patients ne doivent pas passer à Hydromorphone Sintetica sans une évaluation par le médecin et sans une nouvelle titration minutieuse en fonction des besoins. Dans le cas contraire, un effet analgésique continu n'est pas garanti.
  • -Enfants de moins de 12 mois
  • -L'utilisation de Hydromorphone Sintetica n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 12 mois en raison de l'insuffisance des données disponibles pour cette classe d'âge.
  • -Patients présentant des troubles de la fonction hépatique et rénale
  • -Chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée à sévère (score de Child-Pugh 7-15) ou une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée à sévère (score de Child-Pugh 7-15), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir rubrique «Pharmacocinétique»).y
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Enfants de moins de 12 mois
  • +L'utilisation de Hydromorphone Sintetica n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 12 mois en raison de l'insuffisance des données disponibles pour cette classe d'âge.
  • +
  • -Maladies obstructives sévères des voies respiratoires.
  • +Broncho-pneumopathie chronique obstructive sévère
  • +• Asthme bronchique sévère
  • -Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir rubrique «Surdosage»).
  • -• cœur pulmonaire sévère, asthme bronchique sévère, dépression respiratoire,
  • -• insuffisance hépatique modérée à sévère ou insuffisance rénale sévère,
  • -• hypothyroïdie,
  • -
  • +• cœur pulmonaire sévère, dépression respiratoire,
  • +• apnée du sommeil,
  • +• prise concomitante de substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central (voir «Interactions»),
  • +• traitement concomitant par des inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir rubrique «Interactions»),
  • +• développement d'une tolérance, dépendance physique et symptômes de sevrage,
  • +• dépendance psychique (dépendance au médicament), antécédents d'alcoolisme ou d'usage abusif de drogues ou de médicaments,
  • +• traumatisme crânien (en raison du risque d'augmentation de la pression intracrânienne), blessures intracrâniennes, troubles de la conscience d'origine indéterminée,
  • +hypothyroïdie, myxoedème
  • +insuffisance hépatique modérée à sévère
  • + insuffisance rénale sévère,
  • -blessures à la tête (en raison du risque de tension intracrânienne accrue),
  • -• traitement concomitant par des substances à effet dépresseur sur le système nerveux central ou des inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir rubrique «Interactions»),
  • +• constipation,
  • -L'utilisation prolongée de Hydromorphone Sintetica peut conduire au développement d'une tolérance au médicament rendant nécessaire une augmentation des doses pour parvenir à l'effet analgésique souhaité. Une tolérance croisée avec d'autres opioïdes est possible. L'utilisation chronique de Hydromorphone Sintetica peut conduire à une dépendance physique et l'apparition d'un syndrome de sevrage est possible à l'arrêt abrupt du traitement. Lorsque le traitement par l’hydromorphone n'est plus nécessaire, il est conseillé de réduire progressivement la dose journalière pour éviter l'apparition de symptômes d'un syndrome de sevrage.
  • -L'hydromorphone (principe actif) possède un risque d'abus, tout comme d'autres opioïdes puissants. Une dépendance psychique (toxicomanie médicamenteuse) peut apparaître suite à l'administration d'analgésiques opioïdes comme Hydromorphone Sintetica. La prudence est donc de rigueur lors de la prescription de Hydromorphone Sintetica chez les patients présentant des antécédents d'alcoolisme ou d'abus de drogues ou de médicaments.
  • -En cas d'hyperalgésie, un phénomène pouvant survenir notamment à une posologie élevée, une poursuite de l'augmentation des doses de Hydromorphone Sintetica ne permet pas d'atténuer les douleurs. Une réduction de la dose ou le passage à un autre opioïde peut s'avérer nécessaire.
  • -Hydromorphone Sintetica ne doit pas être administré en cas de risque d'iléus paralytique. Si l'on soupçonne un iléus paralytique ou si celui-ci apparaît en cours de traitement, le traitement avec Hydromorphone Sintetica doit être interrompu immédiatement.
  • -Le moment de la première prise de Hydromorphone Sintetica après l'intervention chirurgicale est déterminé à partir d'une évaluation approfondie des bénéfices et des risques pour chaque patient et dépend du type et de l'étendue de l'intervention chirurgicale, des moyens anesthésiques utilisés, des traitements concomitants et de l'état général du patient.
  • +Dépression respiratoire
  • +Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir rubrique «Surdosage»).
  • +Troubles respiratoires associés au sommeil
  • +Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires associés au sommeil, y compris une apnée centrale du sommeil (ACS) et une hypoxémie liée au sommeil. L'utilisation d'opioïdes peut augmenter le risque d'ACS en fonction de la dose (voir «Effets indésirables»). Par conséquent, il convient d'envisager de réduire la dose totale d'opioïdes chez les patients souffrant d'ACS.
  • +Utilisation concomitante de médicaments sédatifs
  • +L'utilisation concomitante d'hydromorphone et de médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou des médicaments apparentés peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. Du fait de ces risques, la prescription concomitante de Hydromorphone Sintetica avec ces médicaments sédatifs est uniquement indiquée pour les patients pour lesquels on ne dispose d'aucune autre alternative. Lorsqu'une telle prescription est néanmoins jugée nécessaire, il convient d'utiliser la dose efficace la plus faible et de limiter autant que possible la durée du traitement.
  • +Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite afin de détecter les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. Dans ce contexte, il est instamment recommandé d'informer les patients et leurs proches de ces symptômes (voir «Interactions»).
  • +Trouble de la tolérance et de la consommation d'opioïdes (abus et dépendance, hyperalgésie
  • +L'utilisation prolongée de Hydromorphone Sintetica peut conduire au développement d'une tolérance au médicament rendant nécessaire une augmentation des doses pour parvenir à l'effet analgésique souhaité. L'utilisation chronique de Hydromorphone Sintetica peut conduire à une dépendance physique et psychique et l'apparition d'un syndrome de sevrage est possible en cas d’arrêt abrupt du traitement. Lorsque le traitement par l’hydromorphone n'est plus nécessaire, il est conseillé de réduire progressivement la dose journalière pour éviter l'apparition de symptômes d'un syndrome de sevrage.
  • +Une hyperalgésie, au cours de laquelle une augmentation supplémentaire de la dose de Hydromorphone Sintetica ne permet pas de réduire davantage la douleur, peut survenir, en particulier à une posologie élevée. Une diminution de la dose d'hydromorphone ou le passage à un autre opioïde peut alors être nécessaire.
  • +L'abus ou la mauvaise utilisation intentionnelle de Hydromorphone Sintetica peut entraîner un surdosage et/ou la mort. Le risque de développer un trouble lié à l'utilisation d'opioïdes est plus élevé chez les patients ayant des antécédents personnels ou familiaux (parents ou frères et soeurs) de troubles liés à l'utilisation de substances (y compris les troubles liés à l'utilisation d'alcool), chez les fumeurs ou chez les patients ayant des antécédents d'autres maladies mentales (par ex. dépression majeure, troubles anxieux et troubles de la personnalité).
  • +Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signe de comportement addictif (drug-seeking behavior) (p.ex. demande trop précoce d'ordonnances de suivi). Cela implique également de vérifier l'utilisation simultanée d'opioïdes et de médicaments psychoactifs (comme les benzodiazépines).
  • +Chez les patients présentant des signes et des symptômes de troubles liés à l'usage d'opioïdes il convient d'envisager la consultation d'un spécialiste des addictions.
  • +Tractus gastro-intestinal
  • +En cas d'apparition ou de suspicion d'un iléus paralytique, l'administration de Hydromorphone Sintetica doit immédiatement être arrêtée.
  • +La prudence est de mise dans le cadre de l'utilisation de Hydromorphone Sintetica avant une intervention chirurgicale et dans les 12 à 24 heures suivantes. Le moment de la première prise de Hydromorphone Sintetica après l'intervention chirurgicale est déterminé à partir d'une évaluation approfondie des bénéfices et des risques pour chaque patient et dépend du type et de l'étendue de l'intervention chirurgicale, des moyens anesthésiques utilisés, des traitements concomitants et de l'état général du patient.
  • -Il convient de noter qu'après la détermination réussie de la dose efficace d'un certain opioïde (titration), les patients ne doivent pas passer à un autre opioïde sans une évaluation par le médecin et sans une nouvelle titration soigneuse en fonction des besoins. Dans le cas contraire, un effet analgésique continu n'est pas garanti.
  • -Les opioïdes tels que l’hydromorphone peuvent influer sur l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles qu’une élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • +Modifications hormonales
  • +Les opioïdes tels que l’hydromorphone peuvent influer sur l’axe hypothalamohypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles qu’une élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone.
  • +Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • +Mode d'administration
  • +La transition des patients entre la prise orale et l'utilisation parentérale de l'hydromorphone doit se faire en fonction de la sensibilité de chaque patient. La
  • +dose orale initiale ne doit pas être surestimée (biodisponibilité orale voir «Pharmacocinétique» Absorption). La prudence s'impose en cas de passage à une autre forme galénique et/ou à un autre médicament avec le même principe actif. Le patient doit faire l'objet d'une surveillance adéquate (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +
  • -Les substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central telles que benzodiazépines, barbituriques, d'autres opioïdes, alcool, neuroleptiques (phénothiazines), antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques H1 avec effet sédatif, antiémétiques avec action centrale, gabapentine, prégabaline, anesthésiques, sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques peuvent augmenter le risque de dépression respiratoire, d'hypotension et de déficience de l'attention. Dans les cas graves, une sédation prononcée, le coma et la mort peuvent survenir.
  • -Si un traitement en association est envisagé, il convient de prendre en considération une réduction de la dose d'une des substances ou des deux et de surveiller régulièrement les patients pour repérer les signes de dépression respiratoire, de sédation et d'hypotension.
  • +Système nerveux central (SNC):
  • +L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou médicaments apparentés augmente le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de décès en raison d'un effet dépresseur supplémentaire sur le SNC.
  • +Les substances ayant un effet dépresseur sur le SNC sont notamment les autres opioïdes, alcool, les antipsychotiques, les neuroleptiques (phénothiazines), les antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques H1 avec effet sédatif, les antiémétiques avec action centrale, les gabapentinoïdes (gabapentine, prégabaline), les anesthésiques (p. ex. barbituriques), les sédatifs (y compris benzodiazépines), les hypnotiques ou les anxiolytiques.
  • +Lorsqu'une telle association est indiquée, il convient de réduire la posologie d'une des substances ou des deux, de limiter la durée du traitement et de surveiller régulièrement les patients pour repérer les signes de dépression respiratoire, de sédation et d'hypotension (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +L'utilisation simultanée d'opioïdes et de gabapentinoïdes (gabapentine et prégabaline) augmente le risque de surdose d'opioïdes, de dépression respiratoire et de décès.
  • -L'utilisation prolongée de Hydromorphone Sintetica chez la femme enceinte peut provoquer un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En cas d'utilisation pendant la grossesse, Hydromorphone Sintetica peut limiter la contractilité utérine et entraîner une détresse respiratoire chez le nouveau-né.
  • +L'utilisation prolongée de Hydromorphone Sintetica chez la femme enceinte peut provoquer un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En cas d'utilisation pendant l’ accouchement, Hydromorphone Sintetica peut limiter la contractilité utérine et entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
  • +Fertilité
  • +On ne dispose d'aucune donnée concernant la fertilité. Dans le cadre des expérimentations animales, le traitement par l'hydromorphone n'a montré aucune répercussion sur la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • +
  • -Hydromorphone Sintetica a une influence importante sur l’aptitude à la conduite ou l’utilisation de machines.
  • -Hydromorphone Sintetica peut influencer l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines, particulièrement en début de traitement, après ajustement posologique ou passage à Hydromorphone Sintetica, ou en cas d'association de l'hydromorphone avec l'alcool ou des substances à effet dépresseur sur le SNC. La mise en place de restrictions n'est pas obligatoire avec un traitement stable. De ce fait, les patients doivent discuter avec leur médecin pour savoir s'ils ont le droit de conduire ou d'utiliser des machines.
  • +Hydromorphone Sintetica peut influencer l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines, particulièrement en début de traitement, après ajustement posologique ou passage à Hydromorphone Sintetica, ou en cas d'association de l'hydromorphone avec l'alcool ou d'autres substances ayant un effet dépresseur central. La mise en place de restrictions n'est pas obligatoire avec un traitement stable. De ce fait, les patients doivent discuter avec leur médecin pour savoir s'ils ont le droit de conduire ou d'utiliser des machines.
  • -Les fréquences sont définies comme suit: «très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100, <1/10), «occasionnel» (≥1/1000, <1/100), «rare» (≥1/10'000, <1/1000), «très rare» (<1/10'000), «fréquence indéterminée» (ne pouvant pas être évaluée à partir des données disponibles).
  • +Les fréquences sont définies comme suit: «très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100, <1/10), «occasionnel» (≥1/1000, <1/100), «rare» (≥1/10'000, <1/1000), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Fréquence indéterminée: réactions d'hypersensibilité (y compris gonflement oropharyngé), réactions anaphylactiques.
  • +Fréquence inconnue: réactions d'hypersensibilité (y compris gonflement oropharyngé), réactions anaphylactiques.
  • -Fréquence indéterminée: dépendance médicamenteuse, dysphorie.
  • +Fréquence inconnue: dépendance médicamenteuse, dysphorie.
  • -Fréquence indéterminée: convulsions (en particulier chez les patients épileptiques ou prédisposés aux convulsions), dyskinésie, hyperalgésie.
  • +Fréquence inconnue: convulsions (en particulier chez les patients épileptiques ou prédisposés aux convulsions), dyskinésie, hyperalgésie, syndrome d'apnées du sommeil.
  • -Fréquence indéterminée: myosis.
  • +Fréquence inconnue: myosis.
  • -Fréquence indéterminée: bradycardie, palpitations.
  • +Fréquence inconnue: bradycardie, palpitations.
  • -Fréquence indéterminée: rougeurs au visage.
  • +Fréquence inconnue: rougeurs au visage.
  • -Fréquence indéterminée: bronchospasme.
  • +Fréquence inconnue: bronchospasme.
  • -Fréquence indéterminée: iléus paralytique, dyspepsie.
  • +Fréquence inconnue: iléus paralytique, dyspepsie.
  • -Fréquence indéterminée: urticaire.
  • +Fréquence inconnue: urticaire.
  • -Fréquence indéterminée: baisse de la libido.
  • +Fréquence inconnue: baisse de la libido.
  • -Fréquence indéterminée: développement d'une tolérance, syndrome de sevrage néonatal, irritations tissulaires et indurations au site d'injection
  • +Fréquence inconnue: développement d'une tolérance, syndrome de sevrage néonatal, irritations tissulaires et indurations au site d'injection (en particulier après administration répétée par voie s.c.).
  • +Description de certains effets indésirables
  • +Des mesures concomitantes diététiques et/ou prophylactiques médicamenteuses (laxatifs) sont recommandées contre la constipation dès le début du traitement par Hydromorphone Sintetica.
  • +Des nausées et des vomissements ne se manifestent souvent qu'au début du traitement et disparaissent spontanément au bout de quelques jours. Dans certains cas, il peut être indiqué d'administrer un antiémétique.
  • -L'hydromorphone est un agoniste pur des récepteurs opiacés, avec une affinité prépondérante pour les récepteurs µ associée à une affinité faible pour les récepteurs κ. L'hydromorphone exerce son effet analgésique objectif et subjectif au niveau supraspinal et spinal en stimulant les récepteurs situés dans le SNC et dans divers organes périphériques.
  • +L'hydromorphone est un agoniste pur des récepteurs opiacés, avec une affinité prépondérante pour les récepteurs µ associée à une affinité faible pour les récepteurs κ. L'hydromorphone exerce son effet analgésique objectif et subjectif au niveau supraspinal et spinal par le biais des récepteurs situés dans le SNC et dans le système périphériques.
  • -L'hydromorphone est 7 8 fois plus puissante que la morphine.
  • -L'hydromorphone exerce une forte action analgésique, ainsi qu'un effet antitussif, sédatif, dépresseur sur le système respiratoire et inhibiteur sur la motilité du tractus gastro-intestinal.
  • +L'hydromorphone exerce une forte action analgésique, ainsi qu'un effet antitussif, sédatif, dépresseur sur le système respiratoire et inhibiteur sur la motilité du tractus gastro-intestinal. L'hydromorphone est 7 8 fois plus puissante que la morphine.
  • -Absorption / Distribution
  • +Absorption
  • +Distribution
  • -L'hydromorphone a un volume de distribution relativement élevé (1,22 4 l/kg), ce qui indique une absorption tissulaire significative.
  • -La liaison aux protéines plasmatiques est faible (7-19%).
  • +L'hydromorphone a un volume de distribution relativement élevé (1,22-4 l/kg), ce qui indique une absorption tissulaire significative.
  • +La liaison de l'hydromorphone aux protéines plasmatiques est faible (< 10%). Ce taux reste constant jusqu'à des concentrations plasmatiques très élevées d'environ 80 ng/ml qui sont atteintes dans de rares cas avec des doses très élevées d'hydromorphone.
  • -Enfants et adolescents
  • -Les données concernant les propriétés pharmacocinétiques de l'hydromorphone chez l'enfant sont limitées. Son métabolisme chez l'enfant n'est pas différent de celui observé chez l'adulte.
  • -Patients âgés
  • -Après administration unique d'une formulation orale d'hydromorphone, la demi-vie plasmatique de l'hydromorphone chez des patients âgés en bonne santé était comparable à celle observée chez des sujets plus jeunes.
  • -Les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) présentent une augmentation de l'AUC de l'hydromorphone allant du double au quadruple. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère peuvent présenter des concentrations plasmatiques significativement accrues d'hydromorphone-3-glucuronide.
  • +Les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) présentent une augmentation de l'ASC de l'hydromorphone allant du double au quadruple. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère peuvent présenter des concentrations plasmatiques significativement accrues d'hydromorphone-3-glucuronide.
  • +Patients âgés
  • +Après administration unique d'une formulation orale d'hydromorphone, la demi-vie plasmatique de l'hydromorphone chez des patients âgés en bonne santé était comparable à celle observée chez des sujets plus jeunes.
  • +Enfants et adolescents
  • +Les données concernant les propriétés pharmacocinétiques de l'hydromorphone chez l'enfant sont limitées. Son métabolisme chez l'enfant n'est pas différent de celui observé chez l'adulte.
  • +Mutagénicité
  • +L'hydromorphone n'a pas été mutagène dans les tests d'Ames et des micronoyaux chez la souris.
  • +Par ailleurs, l'hydromorphone ne s'est pas non plus révélée mutagène dans le test du lymphome de souris sans activation métabolique exogène (S9). Dans les conditions d'une activation métabolique exogène, l'hydromorphone n'était pas mutagène aux concentrations ≤100 µg/ml. Des propriétés mutagènes ont pu être observées aux concentrations ≥200 µg/ml, concentrations significativement plus élevées que la moyenne des pics de concentration plasmatique attendus chez l'être humain.
  • +Carcinogénicité
  • +Aucune étude de cancérogenèse à long terme n'a été réalisée.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • -La mortalité périnatale et post-partum des ratons (F1) a augmenté aux doses de 2 mg/kg/jour et 5 mg/kg/jour et le poids corporel a été réduit pendant la période d'allaitement.
  • +La mortalité périnatale et post-partum des ratons (F1) a augmenté aux doses de 2 mg/kg/jour et 5 mg/kg/jour et le poids corporel restait réduit pendant la période d'allaitement.
  • -L'hydromorphone n'a pas été mutagène dans les tests d'Ames et des micronoyaux chez la souris.
  • -Par ailleurs, l'hydromorphone ne s'est pas non plus révélée mutagène dans le test du lymphome de souris sans activation métabolique exogène (S9). Dans les conditions d'une activation métabolique exogène, l'hydromorphone n'était pas mutagène aux concentrations ≤100 µg/ml. Des propriétés mutagènes ont pu être observées aux concentrations ≥200 µg/ml, concentrations significativement plus élevées que la moyenne des pics de concentration plasmatique attendus chez l'être humain.
  • -Aucune étude de cancérogenèse à long terme n'a été réalisée.
  • -Remarques particulières concernant le stockage
  • -Tenir hors de portée des enfants.
  • -Conserver à température ambiante (15–25 C) et dans son carton pour le protéger de la lumière jusqu’à utilisation.
  • -Remarques concernant la manipulation
  • -N'utiliser que des solutions limpides et des emballages intacts.
  • +Stabilité après ouverture
  • +Toutefois, du point de vue microbiologique, la préparation prête à l'emploi doit être utilisée immédiatement. En cas d'utilisation différée, la durée et les conditions de conservation avant utilisation sont de la responsabilité de l'utilisateur.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15–25° C). Conserver hors de portée des enfants.
  • +Conserver dans son carton pour le protéger de la lumière jusqu’à utilisation.
  • +Remarques concernant la manipulation
  • +Avant d'utiliser les sacs de Hydromorphone Sintetica, un contrôle visuel dois d'abord être effectué. Seules des solutions claires exemptes de particules doivent être utilisées. Une fois ouvert, ce médicament doit être utilisé immédiatement (voir «Stabilité après ouverture»).
  • -Décembre 2017
  • +Septembre 2023
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