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Accueil - Information professionnelle sur Skyrizi 75 mg - Changements - 22.03.2022
25 Changements de l'information professionelle Skyrizi 75 mg
  • +Psoriasis en plaques
  • +Arthrite psoriasique
  • +SKYRIZI est indiqué, seul ou en association avec des antirhumatismaux modificateurs de la maladie (DMARD) non biologiques pour le traitement de l'arthrite psoriasique active chez les patients adultes ayant présenté une réponse insuffisante à un ou plusieurs DMARD ou présentant une intolérance à de tels traitements.
  • -SKYRIZI est destiné à être utilisé sous la surveillance d'un médecin expérimenté dans le diagnostic et le traitement du psoriasis en plaques. Avant le début du traitement, le médecin doit vérifier que les patients ont compris que SKYRIZI est un traitement innovant dont l'expérience est limitée au-delà d'un an et les risques à long terme inconnus.
  • +SKYRIZI est destiné à être utilisé sous la surveillance d'un médecin expérimenté dans le diagnostic et le traitement des pathologies pour lesquelles SKYRIZI est indiqué. Avant le début du traitement, le médecin doit vérifier que les patients ont compris que SKYRIZI est un traitement innovant dont l'expérience est limitée au-delà d'un an et les risques à long terme inconnus.
  • +Psoriasis en plaques:
  • +Arthrite psoriasique:
  • +La dose initiale recommandée est de 150 mg en injection sous-cutanée les semaines 0 et 4, puis toutes les 12 semaines par la suite.
  • +
  • -La sécurité et l'efficacité de SKYRIZI chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n'ont pas encore été établies.
  • +La sécurité et l'efficacité de SKYRIZI chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n'ont pas été étudiées.
  • -SKYRIZI peut accroître le risque d'infections. Lors des études cliniques, des infections ont été observées pendant le traitement de 16 semaines chez 22,1 % des patients du groupe SKYRIZI et chez 14,7 % des patients du groupe placebo. Les taux d'infections graves ont été de 0,4 % (5/1'306) dans le groupe SKYRIZI et de 0,3 % (1/300) dans le groupe placebo. Chez les patients présentant une infection active cliniquement significative, le traitement par SKYRIZI ne doit pas être instauré tant que l'infection n'a pas régressé ou qu'elle n'est pas traitée de façon adéquate. Ont été exclus des études cliniques les patients qui étaient séropositifs pour le VHC ou le VIH, qui avaient obtenu un résultat positif au test de dépistage de l'hépatite B et qui avaient des antécédents d'infections chroniques ou récidivantes.
  • +SKYRIZI peut accroître le risque d'infections. Lors des études cliniques sur le psoriasis, des infections ont été observées pendant le traitement de 16 semaines chez 22,1 % des patients du groupe SKYRIZI et chez 14,7 % des patients du groupe placebo. Les taux d'infections graves ont été de 0,4 % (5/1'306) dans le groupe SKYRIZI et de 0,3 % (1/300) dans le groupe placebo. Chez les patients présentant une infection active cliniquement significative, le traitement par SKYRIZI ne doit pas être instauré tant que l'infection n'a pas régressé ou qu'elle n'est pas traitée de façon adéquate. Ont été exclus des études cliniques les patients qui étaient séropositifs pour le VHC ou le VIH, qui avaient obtenu un résultat positif au test de dépistage de l'hépatite B et qui avaient des antécédents d'infections chroniques ou récidivantes.
  • -Les études cliniques avec une durée de suivi de plus d'un an n'ont montré aucune augmentation du risque de maladies malignes.
  • -Les patients atteints de psoriasis précédemment traités par UV doivent être examinés pour dépister d'éventuelles tumeurs cutanées avant et pendant le traitement par SKYRIZI.
  • +Dans les études cliniques sur le psoriasis avec une durée de suivi de plus d'un an, il n'y a jusqu'à présent aucune indication d'un risque accru de malignité.
  • +Les patients précédemment traités par UV doivent être examinés pour dépister d'éventuelles tumeurs cutanées avant et pendant le traitement par SKYRIZI.
  • -D'après les résultats d'une étude d'interactions médicamenteuses menée chez des patients atteints de psoriasis en plaques et les résultats des analyses pharmacocinétiques de population, le risankizumab ne devrait pas provoquer d'interactions médicamenteuses et ne devrait pas être influencé par d'autres médicaments (voir «Pharmacocinétique»).
  • +D'après les résultats d'une étude d'interactions médicamenteuses menée chez des patients atteints de psoriasis en plaques et les résultats des analyses pharmacocinétiques de population sur le psoriasis en plaques et l'arthrite psoriasique, le risankizumab ne devrait pas provoquer d'interactions médicamenteuses et ne devrait pas être influencé par d'autres médicaments (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Psoriasis en plaques
  • +
  • -Au cours des 16 premières semaines, 22,1 % des patients du groupe SKYRIZI ont développé des infections (90,8 événements pour 100 patients-années), comparativement à 14,7 % dans le groupe placebo (56,5 événements pour 100 patients-années), 20,9 % dans le groupe ustékinumab (87,0 événements pour 100 patients-années) et 24,3 % dans le groupe adalimumab (104,2 événements pour 100 patients-années). Dans la majorité des cas, ces infections n'ont pas été graves, ont été légèrement à modérément sévères et n'ont pas nécessité l'arrêt de SKYRIZI.
  • +Au cours des 16 premières semaines du traitement des études sur le psoriasis en plaques, 22,1 % des patients du groupe SKYRIZI ont développé des infections (90,8 événements pour 100 patients-années), comparativement à 14,7 % dans le groupe placebo (56,5 événements pour 100 patients-années), 20,9 % dans le groupe ustékinumab (87,0 événements pour 100 patients-années) et 24,3 % dans le groupe adalimumab (104,2 événements pour 100 patients-années). Dans la majorité des cas, ces infections n'ont pas été graves, ont été légèrement à modérément sévères et n'ont pas nécessité l'arrêt de SKYRIZI.
  • -La fréquence des effets indésirables jusqu'à la semaine 52 incluse a coïncidé avec le profil de sécurité observé lors des 16 premières semaines de traitement. Le taux d'événements indésirables graves pour 100 patients-années, ajusté selon l'exposition, a atteint jusqu'à la semaine 52 incluse 9,4 % chez les patients sous SKYRIZI et 10,9 % chez les patients sous ustékinumab. Chez les patients exposés à SKYRIZI pendant un maximum de 77 semaines, aucun nouvel effet indésirable n'a été rapporté par rapport aux 16 premières semaines de traitement.
  • +Lors du traitement des études sur le psoriasis en plaques, la fréquence des effets indésirables jusqu'à la semaine 52 incluse a coïncidé avec le profil de sécurité observé lors des 16 premières semaines de traitement. Le taux d'événements indésirables graves pour 100 patients-années, ajusté selon l'exposition, a atteint jusqu'à la semaine 52 incluse 9,4 % chez les patients sous SKYRIZI et 10,9 % chez les patients sous ustékinumab. Chez les patients exposés à SKYRIZI pendant un maximum de 77 semaines, aucun nouvel effet indésirable n'a été rapporté par rapport aux 16 premières semaines de traitement.
  • +Arthrite psoriasique
  • +Dans les études sur l'arthrite psoriasique avec une durée d'exposition allant jusqu'à 52 semaines, le profil de sécurité de SKYRIZI a coïncidé avec le profil observé jusqu'à 24 semaines. Dans l'ensemble, le profil de sécurité observé pour les patients présentant une arthrite psoriasique et traités par SKYRIZI était cohérent avec celui des patients atteints de psoriasis en plaques.
  • +Psoriasis en plaques
  • +
  • -Chez la plupart des patients, les anticorps dirigés contre le risankizumab, y compris les anticorps neutralisants, n'étaient pas associés à des modifications de la réponse clinique ou de la sécurité. Chez environ 1% des patients traités par SKYRIZI, des titres d'anticorps élevés étaient associés à des concentrations plus faibles de risankizumab et une réponse clinique réduite.
  • +Chez la plupart des patients atteints de psoriasis en plaques, les anticorps dirigés contre le risankizumab, y compris les anticorps neutralisants, n'étaient pas associés à des modifications de la réponse clinique ou de la sécurité. Chez environ 1% des patients traités par SKYRIZI, des titres d'anticorps élevés étaient associés à des concentrations plus faibles de risankizumab et une réponse clinique réduite.
  • +Arthrite psoriasique
  • +Parmi les patients qui ont reçu SKYRIZI pendant 28 semaines au plus à la dose clinique recommandée dans le cadre des études cliniques sur l'arthrite psoriasique, 12,1% (79/652) des patients évalués ont développé pendant le traitement des anticorps contre le principe actif et 0% (0/652) ont développé des anticorps neutralisants. Les anticorps dirigés contre le risankizumab n'étaient pas associés à des modifications de la réponse clinique pour l'arthrite psoriasique. Une proportion plus élevée de patients avec anticorps dirigés contre le risankizumab ont présenté des réactions d'hypersensibilité (6,3% [5/79]) et des réactions au site d'injection (2,5% [2/79]) que les patients sans anticorps dirigés contre le risankizumab (3,8% [22/574] de réactions d'hypersensibilité et 0,7% [4/574] de réactions au site d'injection). Aucune de ces réactions d'hypersensibilité n'a entraîné l'arrêt du traitement par le risankizumab.
  • +Annonce d'effets secondaires présumés
  • +Dans une étude menée chez des patients atteints d'arthrite psoriasique et qui ont reçu le risankizumab 150 mg à la semaine 0, à la semaine 4 puis toutes les 12 semaines, le risankizumab a diminué le taux sérique d'IL-17A, d'IL-17F et d'IL-22 jusqu'à la semaine 24 par rapport à l'inclusion et par rapport au placebo.
  • +Psoriasis en plaques
  • +Arthrite psoriasique
  • +Il a pu être démontré que chez les adultes atteints d'arthrite psoriasique active (APs), SKYRIZI améliore les signes et symptômes de la maladie, les capacités fonctionnelles ainsi que la qualité de vie liée à la santé.
  • +La sécurité et l'efficacité de SKYRIZI ont été évaluées chez 1'407 patients de plus de 18 ans atteints d'une APs active au cours de deux études randomisés en double aveugle, contrôlées contre placebo (964 patients dans KEEPSAKE-1 et 443 patients dans KEEPSAKE-2).
  • +Les participants présentaient un diagnostic d'APs depuis au moins six mois, selon les critères de classification de l'arthrite psoriasique (CASPAR), une durée médiane d'APs de 4,9 ans à l'inclusion, ≥5 articulations douloureuses à la pression et ≥5 articulations gonflées et un psoriasis en plaques actif ou un psoriasis unguéal à l'inclusion. 55,9% des participants présentaient un psoriasis en plaques actif avec un score BSA correspondant ≥3 %. Des enthésites et des dactylites étaient présentes chez respectivement 63,4% et 27,9% des patients. Dans l'étude KEEPSAKE-1, au cours de laquelle le psoriasis unguéal a été plus spécifiquement évalué, 67,3% des patients présentaient un psoriasis unguéal.
  • +Dans l'étude KEEPSAKE-1, tous les participants à l'étude présentaient des antécédents de réponse inadéquate ou d'intolérance à un traitement par DMARD non biologiques et étaient naïfs de traitement biologique. Dans l'étude KEEPSAKE-2, 53,5% des participants à l'étude avaient présenté une réponse inadéquate ou une intolérance à un thérapie par DMARD non biologique et 46,5% des participants à l'étude avaient présenté une réponse inadéquate ou une intolérance à une thérapie biologique.
  • +Dans les deux études, les sujets étaient randomisés pour recevoir SKYRIZI 150 mg ou le placebo aux semaines 0, 4 et 16. À partir de la semaine 28, tous les sujets ont reçu SKYRIZI toutes les 12 semaines. Les deux études incluent une prolongation à long terme encore en cours allant jusqu'à 204 semaines supplémentaires. 59,6% des participants aux deux études recevaient un traitement concomitant par méthotrexate (MTX), 11,6% ont reçu un traitement concomitant par DMARD non biologique autre que le MTX et 28,9% recevaient SKYRIZI en monothérapie.
  • +Dans les deux études, le critère d'évaluation principal était la proporption de patients ayant atteint une réponse ACR20 (American College of Rheumatology) à la semaine 24.
  • +Réponse clinique
  • +Dans les deux études, le traitement par SKYRIZI a entraîné une amélioration significative des paramètres de l'activité de la maladie à la semaine 24 par rapport au placebo. Les principaux résultats d'efficacité figurent dans le tableau 4.
  • +L'évaluation de la dactylite et de l'enthésite a été menée sur la base des données poolées des études KEEPSAKE-1 et 2. Chez les patients ayant une dactylite préexistante, la proportion des patients ayant observé une résolution de la dactylite à la semaine 24 était plus élevée dans le groupe SKYRIZI (68,1%, p < 0,001) que dans le groupe placebo (51,0%). Chez les patients ayant une enthésite préexistante, la proportion des patients ayant observé une résolution de l'enthésite à la semaine 24 était plus élevée dans le groupe SKYRIZI (48,4%, p < 0,001) que dans le groupe placebo (34,8%).
  • +Dans les deux études, une réponse similaire a été observée, indépendamment de l'utilisation concomitante de DMARD non biologiques, du nombre de traitements antérieurs par DMARD non biologiques, de l'âge, du sexe, de l'origine ethnique et de l'IMC. Dans l'étude KEEPSAKE-2, les réponses observées étaient indépendantes du traitement biologique antérieur.
  • +Tableau 4. Résultats d'efficacité des études KEEPSAKE-1 et KEEPSAKE-2
  • + KEEPSAKE-1 KEEPSAKE-2
  • +Critère d'évaluation Placebo n = 481 n (%) SKYRIZI n = 483 n (%) Placebo n = 219 n (%) SKYRIZI n = 224 n (%)
  • +Réponse ACR20
  • +Semaine 16 161 (33,4) 272 (56,3)a 55 (25,3) 108 (48,3)a
  • +Semaine 24 161 (33,5) 277 (57,3)a 58 (26,5) 115 (51,3)a
  • +Semaine 52* - 338/433 (78,1) - 131/191 (68,6)
  • +Réponse ACR50
  • +Semaine 24 54 (11,3) 162 (33,4)b 20 (9,3) 59 (26,3)b
  • +Semaine 52* - 209/435 (48,0) - 72/192 (37,5)
  • +Réponse ACR70
  • +Semaine 24 23 (4,7) 74 (15,3)b 13 (5,9) 27 (12,0)c
  • +Semaine 52* - 125/437 (28,6) - 37/192 (19,3)
  • +Réponse relative à l'activité minimale de la maladie
  • +Semaine 24 49 (10,2) 121 (25,0)a 25 (11,4) 57 (25,6)a
  • +Semaine 52* - 183/444 (41,2) - 61/197 (31,0)
  • +*Les données sur les participants à l'étude observés sont indiquées au format n/N observés (%). a Multiplicité contrôlée p ≤0,001 SKYRIZI par rapport au placebo b Valeur nominale p ≤0,001 SKYRIZI par rapport au placebo c Valeur nominale p ≤0,05 SKYRIZI par rapport au placebo Les patients qui avaient un traitement concomitant contre l'APs avec un effet possible sur l'évaluation de l'efficacité, qui ont reçu un traitement de secours ou qui avaient des données manquantes la semaine de l'évaluation sont indiqués comme non-répondeurs dans les analyses des semaines 16 et 24. Les patients ayant des données manquantes la semaine de l'évaluation ont été exclus des analyses à la semaine 52. Toutes les données observées ont été utilisées pour les analyses de la semaine 52.
  • +
  • +Dans KEEPSAKE-1, une réponse ACR20 plus forte a été observée dès la semaine 4 par rapport au placebo et s'est renforcée jusqu'à la semaine 24. Le pourcentage de participants ayant obtenu une réponse ACR20 jusqu'à la semaine 24 dans l'étude KEEPSAKE-1 est présenté dans la figure 3.
  • +Figure 3. Pourcentage de participants ayant obtenu une réponse ACR20 jusqu'à la semaine 24 dans l'étude KEEPSAKE-1
  • +(image)
  • +Par rapport au placebo, le traitement par SKYRIZI a produit une amélioration plus importante de toutes les composantes ACR, y compris le nombre d'articulations douloureuses/douloureuses à la pression et gonflées, l'évaluation générale de l'activité de la maladie par le médecin (PGA) et par le patient (PtGA), le Health Assessment Questionnaire-Disability Index (HAQ-DI), l'évaluation de la douleur et la protéine Créactive haute sensibilité (hsCRP).
  • +Dans l'étude KEEPSAKE-1, les participants traités par SKYRIZI ont montré une amélioration significative de la douleur par rapport à l'inclusion lors de l'évaluation de la douleur par le patient à l'aide d'une échelle visuelle analogique (EVA) à la semaine 24 (évolution moyenne: -21,0) par rapport aux participants ayant reçu le placebo (évolution moyenne: -10,2) (valeur p ≤0,001). Dans l'étude KEEPSAKE-2, les participants traités par SKYRIZI ont montré une amélioration significative de la douleur par rapport à l'inclusion lors de l'évaluation de la douleur par le patient à l'aide de l'EVA à la semaine 24 (évolution moyenne: -14,7) par rapport aux participants ayant reçu le placebo (évolution moyenne: -6,5) (valeur p ≤0,001). Les améliorations ont été maintenues jusqu'à la semaine 52 dans les deux études.
  • +Chez les patients ayant une APs active avec une atteinte psoriasique correspondant à un score BSA ≥3%, des améliorations significatives de l'atteinte cutanée ont été observées dans le groupe risankizumab par rapport au placebo.
  • +Dans l’étude KEEPsAKE 1, les patients atteints d’arthrite psoriasique et de psoriasis unguéal au début de l’étude (67,3%) traités par SKYRIZI ont rapporté une amélioration statistiquement significative du psoriasis unguéal par rapport à la valeur initiale, mesurée à l’aide de l’indice mNAPSI (modified Nail Psoriasis Severity Index, indice de sévérité du psoriasis unguéal modifié) par rapport au groupe traité par placebo (-9,76 contre -5,57, p ≤ 0,001) et du score PGA de 5 points pour le psoriasis unguéal (PGA-F) (-0,8 contre -0,4, p ≤ 0,001) à la semaine 24. Les améliorations se sont maintenues jusqu’à la semaine 52.
  • +Réponse radiologique
  • +Dans l'étude KEEPSAKE-1, l'inhibition de la progression de lésions structurelles a été évaluée radiologiquement et exprimée en termes de variation du score total de Sharp modifié (mTSS) à la semaine 24 par rapport à l'inclusion. Le score mTSS a été modifié pour l'arthrite psoriasique en ajoutant les articulations interphalangiennes distales de la main. Par rapport au placebo, SKYRIZI a réduit numériquement la progression moyenne de lésions structurelles à la semaine 24 (le score mTSS moyen était de 0,23 dans le groupe SKYRIZI contre 0,32 dans le groupe placebo [statistiquement non significatif]). La proportion de participants à l'étude ne présentant pas de progression radiologique (définie comme un changement du mTSS ≤0 par rapport à l'inclusion) était plus élevé à la semaine 24 sous SKYRIZI (92,4%) par rapport au placebo (87,7%) (valeur p nominale = 0,016). La réponse s'est maintenue jusqu'à la semaine 52.
  • +Capacités fonctionnelles et qualité de vie liée à la santé
  • +Dans KEEPSAKE-1 et KEEPSAKE-2, les capacités fonctionnelles et l'invalidité ont été évaluées à l'aide du Health Assessment Questionnaire-Disability Index (HAQ-DI), du questionnaire d'état de santé SF-36 (V2) et du score d'évaluation fonctionnelle de la fatigue (FACIT-F, Functional Assessment of Chronic Illness Therapy-Fatigue).
  • +Dans l'étude KEEPSAKE-1, les patients traités par SKYRIZI ont présenté une amélioration statistiquement significative (-0,31) à la semaine 24 par rapport à l'inclusion des capacités fonctionnelles, mesurées à l'aide du score HAQ-DI, qu'avec le placebo (-0,11) (valeur p ≤0,001). Dans l'étude KEEPSAKE-2, les patients traités par SKYRIZI ont présenté une amélioration statistiquement significative (-0,22) à la semaine 24 par rapport à l'inclusion du score HAQ-DI qu'avec le placebo (-0,05) (valeur p ≤0,001). Dans les deux études, une proportion plus importante des participants à l'étude du groupe SKYRIZI ont atteint à la semaine 24 une réduction cliniquement significative du score HAQ-DI d'au moins 0,35 par rapport à l'inclusion que les participants du groupe placebo. Dans les deux études, l'amélioration des capacités fonctionnelles s'est maintenue jusqu'à la semaine 52.
  • +Dans les deux études, les participants traités par SKYRIZI ont en outre démontré à la semaine 24 des améliorations significatives pour les domaines physiques du questionnaire SF-36 V2 et du score FACIT-F par rapport aux participants sous placebo. Dans les deux études, les améliorations des domaines physiques du questionnaire SF-36 V2 et du score FACIT-F se sont maintenues jusqu'à la semaine 52.
  • +La pharmacocinétique du risankizumab était comparable entre les patients atteints de psoriasis en plaques et les patients atteints d'arthrite psoriasique.
  • +
  • -Les analyses pharmacocinétiques de population ont montré que l'exposition au risankizumab n'était pas influencée par les médicaments concomitants (metformine, atorvastatine, lisinopril, amlodipine, ibuprofène, acide acétylsalicylique et lévothyroxine) pris par certains patients atteints de psoriasis en plaques participant aux études cliniques (voir «Interactions»).
  • +Les analyses pharmacocinétiques de population ont montré que l'exposition au risankizumab n'était pas influencée par les médicaments concomitants pris par certains patients atteints de psoriasis en plaques participant aux études cliniques (voir «Interactions»). Une absence d'effet similaire a aussi été observée dans les analyses pharmacocinétiques de population pour l'arthrite psoriasique (voir «Interactions»).
  • -Aucune étude spécifique n'a été menée pour évaluer l'effet d'une insuffisance rénale ou hépatique sur la pharmacocinétique du risankizumab. Les analyses pharmacocinétiques de population n'ont montré aucune influence significative du taux de créatinine sérique, de la clairance de la créatine ou des paramètres de la fonction hépatique (ALAT/ASAT/bilirubine) sur la clairance du risankizumab chez les patients atteints de psoriasis.
  • +Aucune étude spécifique n'a été menée pour évaluer l'effet d'une insuffisance rénale ou hépatique sur la pharmacocinétique du risankizumab. Les analyses pharmacocinétiques de population n'ont montré aucune influence significative du taux de créatinine sérique, de la clairance de la créatine ou des paramètres de la fonction hépatique (ALAT/ASAT/bilirubine) sur la clairance du risankizumab chez les patients atteints de psoriasis ou d'arthrite psoriasique.
  • -Chez les patients adultes atteints de psoriasis en plaques, le sexe ou l'origine ethnique n'ont eu aucun effet significatif sur la clairance du risankizumab. Dans une étude clinique sur la pharmacocinétique, aucune différence significative relativement à l'exposition au rizankizumab entre les sujets chinois ou japonais et les sujets d'origine caucasienne n'a été observée.
  • +Chez les patients adultes atteints de psoriasis en plaques ou d'arthrite psoriasique, le sexe ou l'origine ethnique n'ont eu aucun effet significatif sur la clairance du risankizumab. Dans une étude clinique sur la pharmacocinétique, aucune différence significative relativement à l'exposition au rizankizumab entre les sujets chinois ou japonais et les sujets d'origine caucasienne n'a été observée.
  • -Décembre 2021
  • +Mars 2022
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