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Accueil - Information professionnelle sur Skyrizi 75 mg - Changements - 23.04.2025
48 Changements de l'information professionelle Skyrizi 75 mg
  • -Skyrizi 150 mg, solution injectable en stylo prérempli:
  • -Acétate de sodium trihydraté, acide acétique 99 %, tréhalose dihydraté, polysorbate 20 et eau pour préparations injectables q.s. ad solutionem pro 1 ml corresp. 0,21 mg de sodium.
  • -Skyrizi 150 mg, solution injectable en seringue préremplie:
  • -Acétate de sodium trihydraté, acide acétique 99 %, tréhalose dihydraté, polysorbate 20 et eau pour préparations injectables q.s. ad solutionem pro 1 ml corresp. 0,21 mg de sodium.
  • -Skyrizi 75 mg, solution injectable en seringue préremplie:
  • +Skyrizi 150 mg, solution injectable en stylo prérempli
  • +Acétate de sodium trihydraté, acide acétique 99%, tréhalose dihydraté, polysorbate 20 et eau pour préparations injectables q.s. ad solutionem pro 1 ml corresp. 0,21 mg de sodium.
  • +Skyrizi 150 mg, solution injectable en seringue préremplie
  • +Acétate de sodium trihydraté, acide acétique 99%, tréhalose dihydraté, polysorbate 20 et eau pour préparations injectables q.s. ad solutionem pro 1 ml corresp. 0,21 mg de sodium.
  • +Skyrizi 75 mg, solution injectable en seringue préremplie
  • -Psoriasis en plaques:
  • +Psoriasis en plaques
  • -Arthrite psoriasique:
  • +Arthrite psoriasique
  • -SKYRIZI peut accroître le risque d'infections. Lors des études cliniques sur le psoriasis, des infections ont été observées pendant le traitement de 16 semaines chez 22,1 % des patients du groupe SKYRIZI et chez 14,7 % des patients du groupe placebo. Les taux d'infections graves ont été de 0,4 % (5/1'306) dans le groupe SKYRIZI et de 0,3 % (1/300) dans le groupe placebo. Chez les patients présentant une infection active cliniquement significative, le traitement par SKYRIZI ne doit pas être instauré tant que l'infection n'a pas régressé ou qu'elle n'est pas traitée de façon adéquate. Ont été exclus des études cliniques les patients qui étaient séropositifs pour le VHC ou le VIH, qui avaient obtenu un résultat positif au test de dépistage de l'hépatite B et qui avaient des antécédents d'infections chroniques ou récidivantes.
  • +SKYRIZI peut accroître le risque d'infections. Lors des études cliniques sur le psoriasis, des infections ont été observées pendant le traitement de 16 semaines chez 22,1% des patients du groupe SKYRIZI et chez 14,7% des patients du groupe placebo. Les taux d'infections graves ont été de 0,4% (5/1'306) dans le groupe SKYRIZI et de 0,3% (1/300) dans le groupe placebo. Chez les patients présentant une infection active cliniquement significative, le traitement par SKYRIZI ne doit pas être instauré tant que l'infection n'a pas régressé ou qu'elle n'est pas traitée de façon adéquate. Ont été exclus des études cliniques les patients qui étaient séropositifs pour le VHC ou le VIH, qui avaient obtenu un résultat positif au test de dépistage de l'hépatite B et qui avaient des antécédents d'infections chroniques ou récidivantes.
  • -Dans le cadre du développement clinique, 2'234 patients au total ont été traités par SKYRIZI au cours d'études sur le psoriasis en plaques, ce qui correspond à une exposition de 2'167 patients-années. Parmi ces patients, 1'208 patients atteints de psoriasis ont reçu SKYRIZI pendant au moins un an. Au total, 1'590 patients ont reçu 150 mg de SKYRIZI après la randomisation ou après 16 semaines de traitement par placebo, ce qui correspond à une exposition de 1'688 patients-années. Parmi ces patients, 2'127 ont reçu SKYRIZI pendant au moins un an et 809 patients ont été traités par SKYRIZI pendant plus de cinq ans.
  • -Les données issues des études contrôlées par placebo et par comparateur actif ont été combinées afin d'évaluer la sécurité de SKYRIZI sur une période allant jusqu'à 16 semaines. Dans le groupe SKYRIZI à 150 mg, les données de 1'306 patients ont été évaluées. Dans le groupe SKYRIZI, 2,4 % des patients ont développé des événements indésirables graves (9,9 événements pour 100 patients-années), comparativement à 4,0 % dans le groupe placebo (17,4 événements pour 100 patients-années), 5,0 % dans le groupe ustékinumab (18,4 événements pour 100 patients-années) et 3,0 % dans le groupe adalimumab (14,7 événements pour 100 patients-années).
  • +Dans le cadre du développement clinique, 2'234 patients au total ont été traités par SKYRIZI au cours d'études sur le psoriasis en plaques, ce qui correspond à une exposition de 2'167 patients-années. Parmi ces patients, 1'208 patients atteints de psoriasis ont reçu SKYRIZI pendant au moins un an. Au total, 1'590 patients ont reçu 150 mg de SKYRIZI après la randomisation ou après 16 semaines de traitement par placebo, ce qui correspond à une exposition de 1'688 patients-années. Parmi ces patients, 2'127 ont reçu SKYRIZI pendant au moins un an et 809 patients ont été traités par SKYRIZI pendant plus de 5 ans.
  • +Les données issues des études contrôlées par placebo et par comparateur actif ont été combinées afin d'évaluer la sécurité de SKYRIZI sur une période allant jusqu'à 16 semaines. Dans le groupe SKYRIZI à 150 mg, les données de 1'306 patients ont été évaluées. Dans le groupe SKYRIZI, 2,4% des patients ont développé des événements indésirables graves (9,9 événements pour 100 patients-années), comparativement à 4,0% dans le groupe placebo (17,4 événements pour 100 patients-années), 5,0% dans le groupe ustékinumab (18,4 événements pour 100 patients-années) et 3,0% dans le groupe adalimumab (14,7 événements pour 100 patients-années).
  • -Infections et infestations Très fréquents Infection des voies aériennes supérieuresa (13 %)
  • +Infections et infestations Très fréquents Infection des voies aériennes supérieuresa (13%)
  • -Au cours des 16 premières semaines du traitement des études sur le psoriasis en plaques, 22,1 % des patients du groupe SKYRIZI ont développé des infections (90,8 événements pour 100 patients-années), comparativement à 14,7 % dans le groupe placebo (56,5 événements pour 100 patients-années), 20,9 % dans le groupe ustékinumab (87,0 événements pour 100 patients-années) et 24,3 % dans le groupe adalimumab (104,2 événements pour 100 patients-années). Dans la majorité des cas, ces infections n'ont pas été graves, ont été légèrement à modérément sévères et n'ont pas nécessité l'arrêt de SKYRIZI.
  • +Au cours des 16 premières semaines du traitement des études sur le psoriasis en plaques, 22,1% des patients du groupe SKYRIZI ont développé des infections (90,8 événements pour 100 patients-années), comparativement à 14,7% dans le groupe placebo (56,5 événements pour 100 patients-années), 20,9% dans le groupe ustékinumab (87,0 événements pour 100 patients-années) et 24,3% dans le groupe adalimumab (104,2 événements pour 100 patients-années). Dans la majorité des cas, ces infections n'ont pas été graves, ont été légèrement à modérément sévères et n'ont pas nécessité l'arrêt de SKYRIZI.
  • -Lors du traitement des études sur le psoriasis en plaques, la fréquence des effets indésirables jusqu'à la semaine 52 incluse a coïncidé avec le profil de sécurité observé lors des 16 premières semaines de traitement. Le taux d'événements indésirables graves pour 100 patients-années, ajusté selon l'exposition, a atteint jusqu'à la semaine 52 incluse 9,4 % chez les patients sous SKYRIZI et 10,9 % chez les patients sous ustékinumab.
  • -Chez les patients exposés à SKYRIZI pendant plus de cinq ans, aucun nouvel effet indésirable n'a été rapporté par rapport aux 16 premières semaines de traitement.
  • +Lors du traitement des études sur le psoriasis en plaques, la fréquence des effets indésirables jusqu'à la semaine 52 incluse a coïncidé avec le profil de sécurité observé lors des 16 premières semaines de traitement. Le taux d'événements indésirables graves pour 100 patients-années, ajusté selon l'exposition, a atteint jusqu'à la semaine 52 incluse 9,4 chez les patients sous SKYRIZI et 10,9 chez les patients sous ustékinumab.
  • +Après l'achèvement de certains études cliniques de phase 3 sur le psoriasis en plaques, les patients étaient éligibles pour participer à une étude d'extension en ouvert. Au total, 2'170 patients ont été traités avec SKYRIZI dans cette étude, ce qui correspond à une exposition de 11'586 patients-années. 2'139 patients atteints de psoriasis ont été exposés à SKYRIZI pendant au moins 1 an à compter de la première exposition, et 1'419 patients ont été exposés pendant plus de 5 ans. Chez les patients exposés à SKYRIZI pendant plus de 5 ans, aucun nouvel effet indésirable n'a été rapporté par rapport aux 16 premières semaines de traitement.
  • -Parmi les patients qui ont reçu SKYRIZI pendant 52 semaines au plus à la dose clinique recommandée dans le cadre des études cliniques sur le psoriasis, 24 % (263/1'079) des patients évalués pendant le traitement ont développé des anticorps contre le principe actif et 14 % (150/1'079) ont développé des anticorps neutralisants. Le profil d'immunogénicité observé chez les patients qui ont été exposés à SKYRIZI sur une longue durée (pendant jusqu'à 204 semaines dans le cadre de l'étude de prolongation) était cohérent avec celui constaté lors des 52 premières semaines de traitement.
  • -Chez la plupart des patients atteints de psoriasis en plaques, les anticorps dirigés contre le risankizumab, y compris les anticorps neutralisants, n'étaient pas associés à des modifications de la réponse clinique ou de la sécurité. Chez environ 1 % des patients traités par SKYRIZI au cours des études cliniques, des titres d'anticorps élevés étaient associés à des concentrations plus faibles de risankizumab et à une réponse clinique réduite jusqu'à la semaine 52. Chez les patients exposés pendant une longue durée à SKYRIZI (jusqu'à la semaine 256 dans le cadre de l'étude de prolongation), le développement d'anticorps neutralisants a semblé s'accompagner d'une réponse clinique plus faible (score PASI 90: 72 % vs. 87 %; sPGA «sans» ou «minime»: 77 % vs 86 %) chez environ 5 % des patients, sans que cela n'ait de répercussion sur la sécurité.
  • +Parmi les patients qui ont reçu SKYRIZI pendant 52 semaines au plus à la dose clinique recommandée dans le cadre des études cliniques sur le psoriasis, 24% (263/1'079) des patients évalués pendant le traitement ont développé des anticorps contre le principe actif et 14% (150/1'079) ont développé des anticorps neutralisants. Chez les patients exposés à un traitement de longue durée par SKYRIZI dans l'étude d'extension en ouvert, le profil d'immunogénicité observé jusqu'à la 204e semaine de traitement était similaire à celui des 52 premières semaines de traitement.
  • +Chez la plupart des patients atteints de psoriasis en plaques, les anticorps dirigés contre le risankizumab, y compris les anticorps neutralisants, n'étaient pas associés à des modifications de la réponse clinique ou de la sécurité. Chez environ 1% des patients traités par SKYRIZI au cours des études cliniques, des titres d'anticorps élevés étaient associés à des concentrations plus faibles de risankizumab et à une réponse clinique réduite jusqu'à la semaine 52. Chez les patients exposés pendant une longue durée à SKYRIZI (jusqu'à la semaine 256 dans le cadre de l'étude de prolongation), le développement d'anticorps neutralisants a semblé s'accompagner d'une réponse clinique plus faible (score PASI 90: 72% vs. 87%; sPGA «sans» ou «minime»: 77% vs 86%) chez environ 5% des patients, sans que cela n'ait de répercussion sur la sécurité.
  • -Le risankizumab ne se lie pas à l'IL-12 humain, qui possède comme l'IL-23 une sous-unité p40.TE
  • +Le risankizumab ne se lie pas à l'IL-12 humain, qui possède comme l'IL-23 une sous-unité p40.
  • -L'efficacité et la sécurité de SKYRIZI ont été évaluées chez 2'109 patients atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère dans le cadre de quatre études multicentriques randomisées à double insu, contrôlées par placebo et/ou par comparateur actif (ULTIMMA-1, ULTIMMA-2, IMMHANCE et IMMVENT). Dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2, l'ustékinumab a été utilisé comme comparateur actif. L'étude IMMHANCE a évalué l'arrêt, puis la reprise du traitement par le risankizumab chez les patients ayant obtenu une réponse. Dans l'étude IMMVENT, l'adalimumab a été utilisé comme comparateur actif. À l'issue des études, les patients pouvaient être inclus dans la phase de suivi en ouvert LIMITLESS. Les patients inclus étaient âgés d'au moins 18 ans et étaient atteints de psoriasis en plaques avec une surface cutanée atteinte (body surface area, BSA) ≥10 %, un score d'évaluation globale statique par un médecin (static Physician Global Assessment, sPGA) ≥3, un psoriasis de grade de 0 à 4 et un score PASI (Psoriasis Area and Severity Index) ≥12. Les patients atteints de psoriasis érythrodermique, de psoriasis en gouttes ou de psoriasis pustuleux étaient exclus.
  • -Au total, les patients avaient un score PASI initial médian de 17,8 et une surface cutanée atteinte moyenne de 20,0 %. Chez 19,3 % des patients, le score sPGA initial correspondait à une maladie sévère. Chez 9,8 % des patients des études au total, l'anamnèse a révélé une arthrite psoriasique diagnostiquée.
  • -Sur l'ensemble des études, 30,9 % des patients n'avaient reçu auparavant aucun traitement systémique biologique ou non biologique, 38,1 % avaient reçu une photothérapie, 48,3 % un traitement systémique non biologique et 42,1 % un traitement biologique (23,7% de tous les patients dans ces études ont reçu au moins un inhibiteur du TNF-alpha) pour leur psoriasis. Afin d'éviter tout biais dans l'évaluation de l'efficacité de SKYRIZI dans le traitement du psoriasis, l'utilisation concomitante d'un médicament antipsoriasique systémique ou topique (à l'exception des corticostéroïdes topiques sur le visage, les aisselles et/ou les organes génitaux) ou d'une photothérapie était proscrite pendant les études.
  • +L'efficacité et la sécurité de SKYRIZI ont été évaluées chez 2'109 patients atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère dans le cadre de quatre études multicentriques randomisées à double insu, contrôlées par placebo et/ou par comparateur actif (ULTIMMA-1, ULTIMMA-2, IMMHANCE et IMMVENT). Dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2, l'ustékinumab a été utilisé comme comparateur actif. L'étude IMMHANCE a évalué l'arrêt, puis la reprise du traitement par le risankizumab chez les patients ayant obtenu une réponse. Dans l'étude IMMVENT, l'adalimumab a été utilisé comme comparateur actif. À l'issue des études, les patients pouvaient être inclus dans l'étude d'extension en ouvert, LIMMITLESS. Les patients inclus étaient âgés d'au moins 18 ans et étaient atteints de psoriasis en plaques avec une surface cutanée atteinte (body surface area, BSA) ≥10%, un score d'évaluation globale statique par un médecin (static Physician Global Assessment, sPGA) ≥3, un psoriasis de grade de 0 à 4 et un score PASI (Psoriasis Area and Severity Index) ≥12. Les patients atteints de psoriasis érythrodermique, de psoriasis en gouttes ou de psoriasis pustuleux étaient exclus.
  • +Au total, les patients avaient un score PASI initial médian de 17,8 et une surface cutanée atteinte moyenne de 20,0%. Chez 19,3% des patients, le score sPGA initial correspondait à une maladie sévère. Chez 9,8% des patients des études au total, l'anamnèse a révélé une arthrite psoriasique diagnostiquée.
  • +Sur l'ensemble des études, 30,9% des patients n'avaient reçu auparavant aucun traitement systémique biologique ou non biologique, 38,1% avaient reçu une photothérapie, 48,3% un traitement systémique non biologique et 42,1% un traitement biologique (23,7% de tous les patients dans ces études ont reçu au moins un inhibiteur du TNF-alpha) pour leur psoriasis. Afin d'éviter tout biais dans l'évaluation de l'efficacité de SKYRIZI dans le traitement du psoriasis, l'utilisation concomitante d'un médicament antipsoriasique systémique ou topique (à l'exception des corticostéroïdes topiques sur le visage, les aisselles et/ou les organes génitaux) ou d'une photothérapie était proscrite pendant les études.
  • -La semaine 16, SKYRIZI s'est avéré supérieur au placebo sur les co-critères d'évaluation principaux, à savoir score sPGA «sans» ou «minime» (83,5 % SKYRIZI vs. 7,0 % placebo) et PASI 90 (73,2 % SKYRIZI vs. 2,0 % placebo). La semaine 16, un plus grand nombre de patients sous SKYRIZI n'avaient plus de lésions cutanées (score sPGA 0 [46,4 % SKYRIZI vs. 1,0 % placebo] ou score PASI 100 [47,2 % SKYRIZI vs. 1,0 % placebo]). En outre, les patients sous SKYRIZI avaient une plus grande probabilité d'obtenir un score PASI 75 que ceux sous placebo (88,7 % SKYRIZI vs. 8,0 % placebo).
  • +La semaine 16, SKYRIZI s'est avéré supérieur au placebo sur les co-critères d'évaluation principaux, à savoir score sPGA «sans» ou «minime» (83,5% SKYRIZI vs. 7,0% placebo) et PASI 90 (73,2% SKYRIZI vs. 2,0% placebo). La semaine 16, un plus grand nombre de patients sous SKYRIZI n'avaient plus de lésions cutanées (score sPGA 0 [46,4% SKYRIZI vs. 1,0% placebo] ou score PASI 100 [47,2% SKYRIZI vs. 1,0% placebo]). En outre, les patients sous SKYRIZI avaient une plus grande probabilité d'obtenir un score PASI 75 que ceux sous placebo (88,7% SKYRIZI vs. 8,0% placebo).
  • -Chez les patients sous adalimumab ayant obtenu à la semaine 16 un score PASI 50 à < PASI 90 et de nouveau randomisés, une différence entre ceux qui sont passés à SKYRIZI et ceux qui ont poursuivi le traitement par adalimumab a été observée en termes de taux de réponse PASI 90 (49,1 % vs. 26,8 %) dès la quatrième semaine suivant la nouvelle randomisation. Au total, 66,0 % (35/53) des patients ont obtenu un score PASI 90 après 28 semaines de traitement par SKYRIZI, comparativement à 21,4 % (12/56) chez ceux qui ont continué de recevoir l'adalimumab. Des autres paramètres de réponse ont été également supérieurs après le relais par SKYRIZI: 39,6 % ont obtenu un score PASI 100, 39,6 % un score sPGA «sans» et 73,6 % un score sPGA «sans» ou «minime» après le changement par SKYRIZI, comparativement à 7,1 % ayant obtenu un score PASI 100, 7,1 % un score sPGA «sans» et 33,9 % un score sPGA «sans» ou «minime» avec la poursuite du traitement par adalimumab.
  • +Chez les patients sous adalimumab ayant obtenu à la semaine 16 un score PASI 50 à < PASI 90 et de nouveau randomisés, une différence entre ceux qui sont passés à SKYRIZI et ceux qui ont poursuivi le traitement par adalimumab a été observée en termes de taux de réponse PASI 90 (49,1% vs. 26,8%) dès la quatrième semaine suivant la nouvelle randomisation. Au total, 66,0% (35/53) des patients ont obtenu un score PASI 90 après 28 semaines de traitement par SKYRIZI, comparativement à 21,4% (12/56) chez ceux qui ont continué de recevoir l'adalimumab. Des autres paramètres de réponse ont été également supérieurs après le relais par SKYRIZI: 39,6% ont obtenu un score PASI 100, 39,6% un score sPGA «sans» et 73,6% un score sPGA «sans» ou «minime» après le changement par SKYRIZI, comparativement à 7,1% ayant obtenu un score PASI 100, 7,1% un score sPGA «sans» et 33,9% un score sPGA «sans» ou «minime» avec la poursuite du traitement par adalimumab.
  • -Dans une analyse combinée des patients ayant reçu SKYRIZI dans le cadre des études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2 et qui présentaient un score PASI 100 à la semaine 16, le taux de réponse est resté à 79,8 % (206/258) chez les patients qui ont poursuivi le traitement par SKYRIZI jusqu'à la semaine 52. Parmi les patients ayant obtenu un score PASI 90 à la semaine 16, 88,4 % (398/450) ont maintenu leur réponse jusqu'à la semaine 52.
  • -Après une nouvelle randomisation, les patients ayant reçu initialement SKYRIZI dans le cadre de l'étude IMMHANCE et dont le score sPGA à la semaine 28 était «sans» ou «minime» ont continué d'être traités par SKYRIZI toutes les 12 semaines jusqu'à la semaine 88 incluse (N=111) ou ont arrêté le traitement (N=225).
  • -À la semaine 104 (soit 16 semaines après la dernière administration de SKYRIZI), 81,1 % (90/111) des patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI ont obtenu un score sPGA «sans» ou «minime», comparativement à 7,1 % (16/225) des patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI. Chez les patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI, une perte du score sPGA «sans» ou «minime» a été observée dès 12 semaines après une dose manquée.
  • -À la semaine 104, 63,1 % (70/111) des patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI ont obtenu un score sPGA «sans», comparativement à 2,2 % (5/225) des patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI.
  • -Une augmentation des scores sPGA «sans» et PASI 100 a été constatée entre la semaine 28 et la semaine 88 chez les patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI.
  • -Parmi les patients ayant obtenu un score sPGA «sans» ou «minime» à la semaine 28 et ayant présenté une rechute (sPGA ≥3) après l'arrêt du traitement par SKYRIZI, 83,7 % (128/153) ont de nouveau obtenu un score sPGA «sans» ou «minime» 16 semaines après la reprise du traitement.
  • -Dans l'étude LIMMITLESS, les patients qui avaient achevé les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2 ont reçu SKYRIZI toutes les 12 semaines. Les taux de réponse PASI 90 et sPGA obtenus chez les patients traités en continu par le risankizumab ont perduré jusqu'à la semaine 160.
  • -La proportion de patients qui présentaient un score PASI 90 et une réponse sPGA «sans» ou «minime» était de 86 % (452/525) et de 89 % (467/525) au début de l'étude et de 88 % (460/525) et de 88 % (462/525) à la semaine 160. S'agissant des patients randomisés dans le groupe sous ustékinumab à la semaine 0 et qui sont passés à un traitement par SKYRIZI à la semaine 52, une augmentation des réponses PASI 90 et sPGA «sans» ou «minime» a été observée de la semaine 52 à la semaine 76 et a été conservée jusqu'à la semaine 160.
  • +Dans une analyse combinée des patients ayant reçu SKYRIZI dans le cadre des études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2 et qui présentaient un score PASI 100 à la semaine 16, le taux de réponse est resté à 79,8% (206/258) chez les patients qui ont poursuivi le traitement par SKYRIZI jusqu'à la semaine 52. Parmi les patients ayant obtenu un score PASI 90 à la semaine 16, 88,4% (398/450) ont maintenu leur réponse jusqu'à la semaine 52.
  • +Après une nouvelle randomisation, les patients ayant reçu initialement SKYRIZI dans le cadre de l'étude IMMHANCE et dont le sPGA à la semaine 28 était «sans» ou «minime» ont continué d'être traités par SKYRIZI toutes les 12 semaines jusqu'à la semaine 88 incluse (N=111) ou ont arrêté le traitement (N=225).
  • +À la semaine 104 (soit 16 semaines après la dernière administration de SKYRIZI), 81,1% (90/111) des patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI ont obtenu un sPGA «sans» ou «minime», comparativement à 7,1% (16/225) des patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI. Chez les patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI, une perte du sPGA «sans» ou «minime» a été observée dès 12 semaines après une dose manquée.
  • +À la semaine 104, 63,1% (70/111) des patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI ont obtenu un score sPGA «sans», comparativement à 2,2% (5/225) des patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI. Une augmentation du sPGA «sans» et PASI 100 a été constatée entre la semaine 28 et la semaine 88 chez les patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI. Parmi les patients ayant obtenu un sPGA «sans» ou «minime» à la semaine 28 et ayant présenté une rechute (sPGA ≥3) après l'arrêt du traitement par SKYRIZI, 83,7% (128/153) ont de nouveau obtenu un sPGA «sans» ou «minime» 16 semaines après la reprise du traitement.
  • +Dans l'étude LIMMITLESS, chez les patients ayant terminé les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2 et qui ont poursuivi le traitement par SKYRIZI, le taux de réponse PASI 90 et sPGA «sans» ou «minime» a été maintenu jusqu'à la semaine 304. Chez les patients qui sont passés de l'ustékinumab à un traitement par SKYRIZI à la semaine 52, une augmentation des réponses PASI 90 et sPGA «sans» ou «minime» a été observée de la semaine 52 à la semaine 76 et a été conservée jusqu'à la semaine 304 (figure 3 et 4).
  • +Figure 3: Pourcentage de patients ayant obtenu une réponse PASI 90 lors d'une visite dans LIMMITLESS (Last Observation Carried Forward, LOCF)*
  • +(image)
  • +*Patients randomisés pour recevoir l'ustekinumab ou le risankizumab 150 mg dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2 et inclus à LIMMITLESS.
  • +Figure 4: Pourcentage de patients ayant obtenu une réponse de score sPGA «sans» ou «minime» lors d'une visite dans LIMMITLESS (Last Observation Carried Forward, LOCF)*
  • +(image)
  • +*Patients randomisés pour recevoir l'ustekinumab ou le risankizumab 150 mg dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2 et inclus à LIMMITLESS.
  • -Un nombre significativement supérieur de patients traités par SKYRIZI ont obtenu un score DLQI (Dermatology Life Quality Index) de 0 ou 1 [aucun effet sur la qualité de vie liée à la santé] à la semaine 16 comparativement aux patients sous placebo, adalimumab ou ustékinumab. L'amélioration s'est maintenue jusqu'à la semaine 52 dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2.
  • -Dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2, une amélioration significativement supérieure des symptômes du psoriasis (démangeaisons, douleurs, rougeur et sensation de brûlure, mesurés au moyen du score PSS [Psoriasis Symptom Score]) a été observée comparativement au placebo à la semaine 16. Comparativement à l'ustékinumab et au placebo, une proportion significativement supérieure de patients sous SKYRIZI a obtenu un score PSS de 0 (absence de symptômes) à la semaine 16. Jusqu'à la semaine 52, 55,7 % (333/598) des patients sous SKYRIZI n'ont rapporté aucune démangeaison, douleur, rougeur ou sensation de brûlure.
  • +Un nombre significativement supérieur de patients traités par SKYRIZI ont obtenu un score DLQI (Dermatology Life Quality Index) de 0 ou 1 [aucun effet sur la qualité de vie liée à la santé] à la semaine 16 comparativement aux patients sous placebo, adalimumab ou ustékinumab. L'amélioration s'est maintenue jusqu'à la semaine 52 dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2 et a été maintenu chez les patients qui ont continué le traitement par SKYRIZI dans l'étude d'extension en ouvert LIMMITLESS jusqu'à la semaine 304.
  • +Dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2, une amélioration significativement supérieure des symptômes du psoriasis (démangeaisons, douleurs, rougeur et sensation de brûlure, mesurés au moyen du score PSS [Psoriasis Symptom Score]) a été observée comparativement au placebo à la semaine 16. Comparativement à l'ustékinumab et au placebo, une proportion significativement supérieure de patients sous SKYRIZI a obtenu un score PSS de 0 (absence de symptômes) à la semaine 16. Jusqu'à la semaine 52, 55,7% (333/598) des patients sous SKYRIZI n'ont rapporté aucune démangeaison, douleur, rougeur ou sensation de brûlure.
  • -La sécurité et l'efficacité de SKYRIZI ont été évaluées chez 1'407 patients de plus de 18 ans atteints d'une APs active au cours de deux études randomisés en double aveugle, contrôlées contre placebo (964 patients dans KEEPSAKE-1 et 443 patients dans KEEPSAKE-2).
  • -Les participants présentaient un diagnostic d'APs depuis au moins six mois, selon les critères de classification de l'arthrite psoriasique (CASPAR), une durée médiane d'APs de 4,9 ans à l'inclusion, ≥5 articulations douloureuses à la pression et ≥5 articulations gonflées et un psoriasis en plaques actif ou un psoriasis unguéal à l'inclusion. 55,9% des participants présentaient un psoriasis en plaques actif avec un score BSA correspondant ≥3 %. Des enthésites et des dactylites étaient présentes chez respectivement 63,4% et 27,9% des patients. Dans l'étude KEEPSAKE-1, au cours de laquelle le psoriasis unguéal a été plus spécifiquement évalué, 67,3% des patients présentaient un psoriasis unguéal.
  • -Dans l'étude KEEPSAKE-1, tous les participants à l'étude présentaient des antécédents de réponse inadéquate ou d'intolérance à un traitement par DMARD non biologiques et étaient naïfs de traitement biologique. Dans l'étude KEEPSAKE-2, 53,5% des participants à l'étude avaient présenté une réponse inadéquate ou une intolérance à un thérapie par DMARD non biologique et 46,5% des participants à l'étude avaient présenté une réponse inadéquate ou une intolérance à une thérapie biologique.
  • -Dans les deux études, les sujets étaient randomisés pour recevoir SKYRIZI 150 mg ou le placebo aux semaines 0, 4 et 16. À partir de la semaine 28, tous les sujets ont reçu SKYRIZI toutes les 12 semaines. Les deux études incluent une prolongation à long terme encore en cours allant jusqu'à 204 semaines supplémentaires. 59,6% des participants aux deux études recevaient un traitement concomitant par méthotrexate (MTX), 11,6% ont reçu un traitement concomitant par DMARD non biologique autre que le MTX et 28,9% recevaient SKYRIZI en monothérapie.
  • +La sécurité et l'efficacité de SKYRIZI ont été évaluées chez 1'407 patients de plus de 18 ans atteints d'une APs active au cours de deux études randomisés en double aveugle, contrôlées contre placebo (964 patients dans KEEPSAKE1 et 443 patients dans KEEPSAKE2).
  • +Les participants présentaient un diagnostic d'APs depuis au moins six mois, selon les critères de classification de l'arthrite psoriasique (CASPAR), une durée médiane d'APs de 4,9 ans à l'inclusion, ≥5 articulations douloureuses à la pression et ≥5 articulations gonflées et un psoriasis en plaques actif ou un psoriasis unguéal à l'inclusion. 55,9% des patients présentaient un psoriasis en plaques actif avec un score BSA correspondant ≥3%. Des enthésites et des dactylites étaient présentes chez respectivement 63,4% et 27,9% des patients. Dans l'étude KEEPSAKE1, au cours de laquelle le psoriasis unguéal a été plus spécifiquement évalué, 67,3% des patients présentaient un psoriasis unguéal.
  • +Dans l'étude KEEPSAKE1, tous les patients à l'étude présentaient des antécédents de réponse inadéquate ou d'intolérance à un traitement par DMARD non biologiques et étaient naïfs de traitement biologique. Dans l'étude KEEPSAKE2, 53,5% des patients à l'étude avaient présenté une réponse inadéquate ou une intolérance à un thérapie par DMARD non biologique et 46,5% des patients à l'étude avaient présenté une réponse inadéquate ou une intolérance à une thérapie biologique.
  • +Dans les deux études, les patients étaient randomisés pour recevoir SKYRIZI 150 mg ou le placebo aux semaines 0, 4 et 16. À partir de la semaine 28, tous les patients ont reçu SKYRIZI toutes les 12 semaines. Les deux études incluent une prolongation à long terme encore en cours allant jusqu'à 204 semaines supplémentaires. 59,6% des patients aux deux études recevaient un traitement concomitant par méthotrexate (MTX), 11,6% ont reçu un traitement concomitant par DMARD non biologique autre que le MTX et 28,9% recevaient SKYRIZI en monothérapie.
  • -L'évaluation de la dactylite et de l'enthésite a été menée sur la base des données poolées des études KEEPSAKE-1 et 2. Chez les patients ayant une dactylite préexistante, la proportion des patients ayant observé une résolution de la dactylite à la semaine 24 était plus élevée dans le groupe SKYRIZI (68,1%, p < 0,001) que dans le groupe placebo (51,0%). Chez les patients ayant une enthésite préexistante, la proportion des patients ayant observé une résolution de l'enthésite à la semaine 24 était plus élevée dans le groupe SKYRIZI (48,4%, p < 0,001) que dans le groupe placebo (34,8%).
  • -Dans les deux études, une réponse similaire a été observée, indépendamment de l'utilisation concomitante de DMARD non biologiques, du nombre de traitements antérieurs par DMARD non biologiques, de l'âge, du sexe, de l'origine ethnique et de l'IMC. Dans l'étude KEEPSAKE-2, les réponses observées étaient indépendantes du traitement biologique antérieur.
  • -Tableau 4. Résultats d'efficacité des études KEEPSAKE-1 et KEEPSAKE-2
  • - KEEPSAKE-1 KEEPSAKE-2
  • +L'évaluation de la dactylite et de l'enthésite a été menée sur la base des données poolées des études KEEPSAKE1 et 2. Chez les patients ayant une dactylite préexistante, la proportion des patients ayant observé une résolution de la dactylite à la semaine 24 était plus élevée dans le groupe SKYRIZI (68,1%, p < 0,001) que dans le groupe placebo (51,0%). Chez les patients ayant une enthésite préexistante, la proportion des patients ayant observé une résolution de l'enthésite à la semaine 24 était plus élevée dans le groupe SKYRIZI (48,4%, p < 0,001) que dans le groupe placebo (34,8%).
  • +Dans les deux études, une réponse similaire a été observée, indépendamment de l'utilisation concomitante de DMARD non biologiques, du nombre de traitements antérieurs par DMARD non biologiques, de l'âge, du sexe, de l'origine ethnique et de l'IMC. Dans l'étude KEEPSAKE2, les réponses observées étaient indépendantes du traitement biologique antérieur.
  • +Tableau 4. Résultats d'efficacité des études KEEPSAKE1 et KEEPSAKE2
  • + KEEPSAKE1 KEEPSAKE2
  • -*Les données sur les participants à l'étude observés sont indiquées au format n/N observés (%). a Multiplicité contrôlée p ≤0,001 SKYRIZI par rapport au placebo b Valeur nominale p ≤0,001 SKYRIZI par rapport au placebo c Valeur nominale p ≤0,05 SKYRIZI par rapport au placebo Les patients qui avaient un traitement concomitant contre l'APs avec un effet possible sur l'évaluation de l'efficacité, qui ont reçu un traitement de secours ou qui avaient des données manquantes la semaine de l'évaluation sont indiqués comme non-répondeurs dans les analyses des semaines 16 et 24. Les patients ayant des données manquantes la semaine de l'évaluation ont été exclus des analyses à la semaine 52. Toutes les données observées ont été utilisées pour les analyses de la semaine 52.
  • +*Les données sur les patients à l'étude observés sont indiquées au format n/N observés (%). a Multiplicité contrôlée p ≤0,001 SKYRIZI par rapport au placebo b Valeur nominale p ≤0,001 SKYRIZI par rapport au placebo c Valeur nominale p ≤0,05 SKYRIZI par rapport au placebo Les patients qui avaient un traitement concomitant contre l'APs avec un effet possible sur l'évaluation de l'efficacité, qui ont reçu un traitement de secours ou qui avaient des données manquantes la semaine de l'évaluation sont indiqués comme non-répondeurs dans les analyses des semaines 16 et 24. Les patients ayant des données manquantes la semaine de l'évaluation ont été exclus des analyses à la semaine 52. Toutes les données observées ont été utilisées pour les analyses de la semaine 52.
  • -Dans KEEPSAKE-1, une réponse ACR20 plus forte a été observée dès la semaine 4 par rapport au placebo et s'est renforcée jusqu'à la semaine 24. Le pourcentage de participants ayant obtenu une réponse ACR20 jusqu'à la semaine 24 dans l'étude KEEPSAKE-1 est présenté dans la figure 3.
  • -Figure 3. Pourcentage de participants ayant obtenu une réponse ACR20 jusqu'à la semaine 24 dans l'étude KEEPSAKE-1
  • +Dans KEEPSAKE1, une réponse ACR20 plus forte a été observée dès la semaine 4 par rapport au placebo et s'est renforcée jusqu'à la semaine 24. Le pourcentage de patients ayant obtenu une réponse ACR20 jusqu'à la semaine 24 dans l'étude KEEPSAKE1 est présenté dans la figure 5.
  • +Figure 5. Pourcentage de patients ayant obtenu une réponse ACR20 jusqu'à la semaine 24 dans l'étude KEEPSAKE1
  • -Dans létude KEEPSAKE-1, les participants traités par SKYRIZI ont montré une amélioration significative de la douleur par rapport à linclusion lors de lévaluation de la douleur par le patient à laide dune échelle visuelle analogique (EVA) à la semaine 24 (évolution moyenne: -21,0) par rapport aux participants ayant reçu le placebo (évolution moyenne: -10,2) (valeur p ≤0,001). Dans létude KEEPSAKE-2, les participants traités par SKYRIZI ont montré une amélioration significative de la douleur par rapport à linclusion lors de lévaluation de la douleur par le patient à laide de lEVA à la semaine 24 (évolution moyenne: -14,7) par rapport aux participants ayant reçu le placebo (évolution moyenne: -6,5) (valeur p ≤0,001). Les améliorations ont été maintenues jusquà la semaine 52 dans les deux études.
  • -Chez les patients ayant une APs active avec une atteinte psoriasique correspondant à un score BSA ≥3%, des améliorations significatives de latteinte cutanée ont été observées dans le groupe risankizumab par rapport au placebo.
  • -Dans l'étude KEEPSAKE-1, les patients atteints d'arthrite psoriasique et de psoriasis unguéal traités par SKYRIZI ont rapporté des améliorations statistiquement significatives du psoriasis unguéal à linclusion (67,3 %) par rapport à la valeur initiale, mesurées par l'indice modifié de sévérité du psoriasis unguéal (mNAPSI) par rapport au placebo (-9. 76 vs. -5,57, p≤0,001) et l'AGP du psoriasis unguéal (PGA-F) composé de 5 points (-0,8 vs. -0,4, p≤0,001) à la semaine 24. Ces améliorations ont duré jusqu'à la semaine 52.
  • +Dans l'étude KEEPSAKE1, les patients traités par SKYRIZI ont montré une amélioration significative de la douleur par rapport à l'inclusion lors de l'évaluation de la douleur par le patient à l'aide d'une échelle visuelle analogique (EVA) à la semaine 24 (évolution moyenne: -21,0) par rapport aux patients ayant reçu le placebo (évolution moyenne: -10,2) (valeur p ≤0,001). Dans l'étude KEEPSAKE2, les patients traités par SKYRIZI ont montré une amélioration significative de la douleur par rapport à l'inclusion lors de l'évaluation de la douleur par le patient à l'aide de l'EVA à la semaine 24 (évolution moyenne: -14,7) par rapport aux patients ayant reçu le placebo (évolution moyenne: -6,5) (valeur p ≤0,001). Les améliorations ont été maintenues jusqu'à la semaine 52 dans les deux études.
  • +Chez les patients ayant une APs active avec une atteinte psoriasique correspondant à un score BSA ≥3%, des améliorations significatives de l'atteinte cutanée ont été observées dans le groupe risankizumab par rapport au placebo.
  • +Dans l'étude KEEPSAKE1, les patients atteints d'arthrite psoriasique et de psoriasis unguéal traités par SKYRIZI ont rapporté des améliorations statistiquement significatives du psoriasis unguéal à l'inclusion (67,3%) par rapport à la valeur initiale, mesurées par l'indice modifié de sévérité du psoriasis unguéal (mNAPSI) par rapport au placebo (-9. 76 vs. -5,57, p ≤0,001) et l'AGP du psoriasis unguéal (PGA-F) composé de 5 points (-0,8 vs. -0,4, p ≤0,001) à la semaine 24. Ces améliorations ont duré jusqu'à la semaine 52.
  • -Dans létude KEEPSAKE-1, linhibition de la progression de lésions structurelles a été évaluée radiologiquement et exprimée en termes de variation du score total de Sharp modifié (mTSS) à la semaine 24 par rapport à linclusion. Le score mTSS a été modifié pour larthrite psoriasique en ajoutant les articulations interphalangiennes distales de la main. Par rapport au placebo, SKYRIZI a réduit numériquement la progression moyenne de lésions structurelles à la semaine 24 (le score mTSS moyen était de 0,23 dans le groupe SKYRIZI contre 0,32 dans le groupe placebo [statistiquement non significatif]). La proportion de participants à létude ne présentant pas de progression radiologique (définie comme un changement du mTSS ≤0 par rapport à linclusion) était plus élevé à la semaine 24 sous SKYRIZI (92,4%) par rapport au placebo (87,7%) (valeur p nominale = 0,016). La réponse sest maintenue jusquà la semaine 52.
  • +Dans l'étude KEEPSAKE1, l'inhibition de la progression de lésions structurelles a été évaluée radiologiquement et exprimée en termes de variation du score total de Sharp modifié (mTSS) à la semaine 24 par rapport à l'inclusion. Le score mTSS a été modifié pour l'arthrite psoriasique en ajoutant les articulations interphalangiennes distales de la main. Par rapport au placebo, SKYRIZI a réduit numériquement la progression moyenne de lésions structurelles à la semaine 24 (le score mTSS moyen était de 0,23 dans le groupe SKYRIZI contre 0,32 dans le groupe placebo [statistiquement non significatif]). La proportion de patients à l'étude ne présentant pas de progression radiologique (définie comme un changement du mTSS ≤0 par rapport à l'inclusion) était plus élevé à la semaine 24 sous SKYRIZI (92,4%) par rapport au placebo (87,7%) (valeur p nominale = 0,016). La réponse s'est maintenue jusqu'à la semaine 52.
  • -Dans KEEPSAKE-1 et KEEPSAKE-2, les capacités fonctionnelles et l'invalidité ont été évaluées à l'aide du Health Assessment Questionnaire-Disability Index (HAQ-DI), du questionnaire d'état de santé SF-36 (V2) et du score d'évaluation fonctionnelle de la fatigue (FACIT-F, Functional Assessment of Chronic Illness Therapy-Fatigue).
  • -Dans l'étude KEEPSAKE-1, les patients traités par SKYRIZI ont présenté une amélioration statistiquement significative (-0,31) à la semaine 24 par rapport à l'inclusion des capacités fonctionnelles, mesurées à l'aide du score HAQ-DI, qu'avec le placebo (-0,11) (valeur p ≤0,001). Dans l'étude KEEPSAKE-2, les patients traités par SKYRIZI ont présenté une amélioration statistiquement significative (-0,22) à la semaine 24 par rapport à l'inclusion du score HAQ-DI qu'avec le placebo (-0,05) (valeur p ≤0,001). Dans les deux études, une proportion plus importante des participants à l'étude du groupe SKYRIZI ont atteint à la semaine 24 une réduction cliniquement significative du score HAQ-DI d'au moins 0,35 par rapport à l'inclusion que les participants du groupe placebo. Dans les deux études, l'amélioration des capacités fonctionnelles s'est maintenue jusqu'à la semaine 52.
  • -Dans les deux études, les participants traités par SKYRIZI ont en outre démontré à la semaine 24 des améliorations significatives pour les domaines physiques du questionnaire SF-36 V2 et du score FACIT-F par rapport aux participants sous placebo. Dans les deux études, les améliorations des domaines physiques du questionnaire SF-36 V2 et du score FACIT-F se sont maintenues jusqu'à la semaine 52.
  • +Dans KEEPSAKE1 et KEEPSAKE2, les capacités fonctionnelles et l'invalidité ont été évaluées à l'aide du Health Assessment Questionnaire-Disability Index (HAQ-DI), du questionnaire d'état de santé SF-36 (V2) et du score d'évaluation fonctionnelle de la fatigue (FACIT-F, Functional Assessment of Chronic Illness Therapy-Fatigue).
  • +Dans l'étude KEEPSAKE1, les patients traités par SKYRIZI ont présenté une amélioration statistiquement significative (-0,31) à la semaine 24 par rapport à l'inclusion des capacités fonctionnelles, mesurées à l'aide du score HAQ-DI, qu'avec le placebo (-0,11) (valeur p ≤0,001). Dans l'étude KEEPSAKE2, les patients traités par SKYRIZI ont présenté une amélioration statistiquement significative (-0,22) à la semaine 24 par rapport à l'inclusion du score HAQ-DI qu'avec le placebo (- 0,05) (valeur p ≤0,001). Dans les deux études, une proportion plus importante des patients à l'étude du groupe SKYRIZI ont atteint à la semaine 24 une réduction cliniquement significative du score HAQ-DI d'au moins 0,35 par rapport à l'inclusion que les patients du groupe placebo. Dans les deux études, l'amélioration des capacités fonctionnelles s'est maintenue jusqu'à la semaine 52.
  • +Dans les deux études, les patients traités par SKYRIZI ont en outre démontré à la semaine 24 des améliorations significatives pour les domaines physiques du questionnaire SF-36 V2 et du score FACIT-F par rapport aux patients sous placebo. Dans les deux études, les améliorations des domaines physiques du questionnaire SF-36 V2 et du score FACIT-F se sont maintenues jusqu'à la semaine 52.
  • -Conserver au réfrigérateur (2-8°C). Ne pas congeler. Conserver dans l'emballage d'origine pour protéger le contenue de la lumière. Tenir le médicament hors de portée des enfants.
  • -SKYRIZI 150 mg solution injectable dans une seringue préremplie ou dans un stylo prérempli peut être conservé jusqu'à 24 heures en dehors du réfrigérateur (jusqu'à 25 °C maximum) dans l'emballage d'origine (pour protéger le contenu de la lumière).
  • +Conserver au réfrigérateur (2 - 8°C). Ne pas congeler. Conserver dans l'emballage d'origine pour protéger le contenue de la lumière. Tenir le médicament hors de portée des enfants.
  • +SKYRIZI 150 mg solution injectable dans une seringue préremplie ou dans un stylo prérempli peut être conservé jusqu'à 24 heures en dehors du réfrigérateur (jusqu'à 25°C maximum) dans l'emballage d'origine (pour protéger le contenu de la lumière).
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