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Accueil - Information professionnelle sur Skyrizi 75 mg - Changements - 26.01.2022
48 Changements de l'information professionelle Skyrizi 75 mg
  • -Succinate disodique hexahydraté, acide succinique, 34,0 mg de sorbitol (E420), polysorbate 20 et eau pour préparations injectables q.s.ad solutionem pro 0,83 ml corresp. 0,15 mg de sodium.
  • +succinate disodique hexahydraté, acide succinique, 34,0 mg de sorbitol (E420), polysorbate 20 et eau pour préparations injectables q.s.ad solutionem pro 0,83 ml corresp. 0,15 mg de sodium.
  • -SKYRIZI peut accroître le risque d'infections. Lors des études cliniques, des infections ont été observées pendant le traitement de 16 semaines chez 22,1% des patients du groupe SKYRIZI et chez 14,7% des patients du groupe placebo. Les taux d'infections graves ont été de 0,4% (5/1'306) dans le groupe SKYRIZI et de 0,3% (1/300) dans le groupe placebo. Chez les patients présentant une infection active cliniquement significative, le traitement par SKYRIZI ne doit pas être instauré tant que l'infection n'a pas régressé ou qu'elle n'est pas traitée de façon adéquate. Ont été exclus des études cliniques les patients qui étaient séropositifs pour le VHC ou le VIH, qui avaient obtenu un résultat positif au test de dépistage de l'hépatite B et qui avaient des antécédents d'infections chroniques ou récidivantes.
  • +SKYRIZI peut accroître le risque d'infections. Lors des études cliniques, des infections ont été observées pendant le traitement de 16 semaines chez 22,1 % des patients du groupe SKYRIZI et chez 14,7 % des patients du groupe placebo. Les taux d'infections graves ont été de 0,4 % (5/1'306) dans le groupe SKYRIZI et de 0,3 % (1/300) dans le groupe placebo. Chez les patients présentant une infection active cliniquement significative, le traitement par SKYRIZI ne doit pas être instauré tant que l'infection n'a pas régressé ou qu'elle n'est pas traitée de façon adéquate. Ont été exclus des études cliniques les patients qui étaient séropositifs pour le VHC ou le VIH, qui avaient obtenu un résultat positif au test de dépistage de l'hépatite B et qui avaient des antécédents d'infections chroniques ou récidivantes.
  • -SKYRIZI, solution injectable en stylo préremplie ou en seringue préremplie à 150 mg et SKYRIZI, solution injectable en seringue préremplie à 75 mg contiennent moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose de 150 mg, c.-à-d. qu'ils sont essentiellement «sans sodium».
  • +SKYRIZI, solution injectable en stylo préremplie ou en seringue préremplie à 150 mg et SKYRIZI, solution injectable en seringue préremplie à 75 mg contiennent moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose de 150 mg, c.-à-d. qu'elles sont essentiellement «sans sodium».
  • -Les données issues des études contrôlées par placebo et par comparateur actif ont été combinées afin d'évaluer la sécurité de SKYRIZI sur une période allant jusqu'à 16 semaines. Dans le groupe SKYRIZI à 150 mg, les données de 1'306 patients ont été évaluées. Dans le groupe SKYRIZI, 2,4% des patients ont développé des événements indésirables graves (9,9 événements pour 100 patients-années), comparativement à 4,0% dans le groupe placebo (17,4 événements pour 100 patients-années), 5,0% dans le groupe ustékinumab (18,4 événements pour 100 patients-années) et 3,0% dans le groupe adalimumab (14,7 événements pour 100 patients-années).
  • -Les effets indésirables de SKYRIZI rapportés lors des études cliniques (tableau 1) sont indiqués ci-dessous par classes de systèmes d'organes MedDRA, selon la convention suivante: très fréquents (≥1/10); fréquents (<1/10, ≥1/100); occasionnels (<1/100, ≥1/1'000); rares (<1/1'000, ≥1/10'000); très rares (<1/10'000).
  • +Les données issues des études contrôlées par placebo et par comparateur actif ont été combinées afin d'évaluer la sécurité de SKYRIZI sur une période allant jusqu'à 16 semaines. Dans le groupe SKYRIZI à 150 mg, les données de 1'306 patients ont été évaluées. Dans le groupe SKYRIZI, 2,4 % des patients ont développé des événements indésirables graves (9,9 événements pour 100 patients-années), comparativement à 4,0 % dans le groupe placebo (17,4 événements pour 100 patients-années), 5,0 % dans le groupe ustékinumab (18,4 événements pour 100 patients-années) et 3,0 % dans le groupe adalimumab (14,7 événements pour 100 patients-années).
  • +Les effets indésirables de SKYRIZI rapportés lors des études cliniques (tableau 1) sont indiqués ci-dessous par classes de systèmes d'organes MedDRA, selon la convention suivante: très fréquents (≥1/10); fréquents (< 1/10, ≥1/100); occasionnels (< 1/100, ≥1/1'000); rares (< 1/1'000, ≥1/10'000); très rares (< 1/10'000).
  • -Infections et infestations Très fréquents Infection des voies aériennes supérieuresa (13%)
  • +Infections et infestations Très fréquents Infection des voies aériennes supérieuresa (13 %)
  • -Au cours des 16 premières semaines, 22,1% des patients du groupe SKYRIZI ont développé des infections (90,8 événements pour 100 patients-années), comparativement à 14,7% dans le groupe placebo (56,5 événements pour 100 patients-années), 20,9% dans le groupe ustékinumab (87,0 événements pour 100 patients-années) et 24,3% dans le groupe adalimumab (104,2 événements pour 100 patientsannées). Dans la majorité des cas, ces infections n'ont pas été graves, ont été légèrement à modérément sévères et n'ont pas nécessité l'arrêt de SKYRIZI.
  • +Au cours des 16 premières semaines, 22,1 % des patients du groupe SKYRIZI ont développé des infections (90,8 événements pour 100 patients-années), comparativement à 14,7 % dans le groupe placebo (56,5 événements pour 100 patients-années), 20,9 % dans le groupe ustékinumab (87,0 événements pour 100 patients-années) et 24,3 % dans le groupe adalimumab (104,2 événements pour 100 patients-années). Dans la majorité des cas, ces infections n'ont pas été graves, ont été légèrement à modérément sévères et n'ont pas nécessité l'arrêt de SKYRIZI.
  • -La fréquence des effets indésirables jusqu'à la semaine 52 incluse a coïncidé avec le profil de sécurité observé lors des 16 premières semaines de traitement. Le taux d'événements indésirables graves pour 100 patients-années, ajusté selon l'exposition, a atteint jusqu'à la semaine 52 incluse 9,4% chez les patients sous SKYRIZI et 10,9% chez les patients sous ustékinumab. Chez les patients exposés à SKYRIZI pendant un maximum de 77 semaines, aucun nouvel effet indésirable n'a été rapporté par rapport aux 16 premières semaines de traitement.
  • +La fréquence des effets indésirables jusqu'à la semaine 52 incluse a coïncidé avec le profil de sécurité observé lors des 16 premières semaines de traitement. Le taux d'événements indésirables graves pour 100 patients-années, ajusté selon l'exposition, a atteint jusqu'à la semaine 52 incluse 9,4 % chez les patients sous SKYRIZI et 10,9 % chez les patients sous ustékinumab. Chez les patients exposés à SKYRIZI pendant un maximum de 77 semaines, aucun nouvel effet indésirable n'a été rapporté par rapport aux 16 premières semaines de traitement.
  • -Parmi les patients qui ont reçu SKYRIZI pendant 52 semaines au plus à la dose clinique recommandée dans le cadre des études cliniques sur le psoriasis, 24% (263/1'079) des patients évalués pendant le traitement ont développé des anticorps contre le principe actif et 14% (150/1'079) ont développé des anticorps neutralisants.
  • +Parmi les patients qui ont reçu SKYRIZI pendant 52 semaines au plus à la dose clinique recommandée dans le cadre des études cliniques sur le psoriasis, 24 % (263/1'079) des patients évalués pendant le traitement ont développé des anticorps contre le principe actif et 14 % (150/1'079) ont développé des anticorps neutralisants.
  • -L'efficacité et la sécurité de SKYRIZI ont été évaluées chez 2'109 patients atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère dans le cadre de quatre études multicentriques randomisées à double insu, contrôlées par placebo et/ou par comparateur actif (ULTIMMA-1, ULTIMMA-2, IMMHANCE et IMMVENT). Dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2, l'ustékinumab a été utilisé comme comparateur actif. L'étude IMMHANCE a évalué l'arrêt, puis la reprise du traitement par le risankizumab chez les patients ayant obtenu une réponse. Dans l'étude IMMVENT, l'adalimumab a été utilisé comme comparateur actif. À l'issue des études, les patients pouvaient être inclus dans la phase de suivi en ouvert LIMITLESS. Les patients inclus étaient âgés d'au moins 18 ans et étaient atteints de psoriasis en plaques avec une surface cutanée atteinte (body surface area, BSA) ≥10%, un score d'évaluation globale statique par un médecin (static Physician Global Assessment, sPGA) ≥3, un psoriasis de grade de 0 à 4 et un score PASI (Psoriasis Area and Severity Index) ≥12. Les patients atteints de psoriasis érythrodermique, de psoriasis en gouttes ou de psoriasis pustuleux étaient exclus.
  • -Au total, les patients avaient un score PASI initial médian de 17,8 et une surface cutanée atteinte moyenne de 20,0%. Chez 19,3% des patients, le score sPGA initial correspondait à une maladie sévère. Chez 9,8% des patients des études au total, l'anamnèse a révélé une arthrite psoriasique diagnostiquée.
  • -Sur l'ensemble des études, 30,9% des patients n'avaient reçu auparavant aucun traitement systémique biologique ou non biologique, 38,1% avaient reçu une photothérapie, 48,3% un traitement systémique non biologique et 42,1% un traitement biologique (23,7% de tous les patients dans ces études ont reçu au moins un inhibiteur du TNF-alpha) pour leur psoriasis. Afin d'éviter tout biais dans l'évaluation de l'efficacité de SKYRIZI dans le traitement du psoriasis, l'utilisation concomitante d'un médicament antipsoriasique systémique ou topique (à l'exception des corticostéroïdes topiques sur le visage, les aisselles et/ou les organes génitaux) ou d'une photothérapie était proscrite pendant les études.
  • +L'efficacité et la sécurité de SKYRIZI ont été évaluées chez 2'109 patients atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère dans le cadre de quatre études multicentriques randomisées à double insu, contrôlées par placebo et/ou par comparateur actif (ULTIMMA-1, ULTIMMA-2, IMMHANCE et IMMVENT). Dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2, l'ustékinumab a été utilisé comme comparateur actif. L'étude IMMHANCE a évalué l'arrêt, puis la reprise du traitement par le risankizumab chez les patients ayant obtenu une réponse. Dans l'étude IMMVENT, l'adalimumab a été utilisé comme comparateur actif. À l'issue des études, les patients pouvaient être inclus dans la phase de suivi en ouvert LIMITLESS. Les patients inclus étaient âgés d'au moins 18 ans et étaient atteints de psoriasis en plaques avec une surface cutanée atteinte (body surface area, BSA) ≥10 %, un score d'évaluation globale statique par un médecin (static Physician Global Assessment, sPGA) ≥3, un psoriasis de grade de 0 à 4 et un score PASI (Psoriasis Area and Severity Index) ≥12. Les patients atteints de psoriasis érythrodermique, de psoriasis en gouttes ou de psoriasis pustuleux étaient exclus.
  • +Au total, les patients avaient un score PASI initial médian de 17,8 et une surface cutanée atteinte moyenne de 20,0 %. Chez 19,3 % des patients, le score sPGA initial correspondait à une maladie sévère. Chez 9,8 % des patients des études au total, l'anamnèse a révélé une arthrite psoriasique diagnostiquée.
  • +Sur l'ensemble des études, 30,9 % des patients n'avaient reçu auparavant aucun traitement systémique biologique ou non biologique, 38,1 % avaient reçu une photothérapie, 48,3 % un traitement systémique non biologique et 42,1 % un traitement biologique (23,7% de tous les patients dans ces études ont reçu au moins un inhibiteur du TNF-alpha) pour leur psoriasis. Afin d'éviter tout biais dans l'évaluation de l'efficacité de SKYRIZI dans le traitement du psoriasis, l'utilisation concomitante d'un médicament antipsoriasique systémique ou topique (à l'exception des corticostéroïdes topiques sur le visage, les aisselles et/ou les organes génitaux) ou d'une photothérapie était proscrite pendant les études.
  • -La semaine 16, SKYRIZI s'est avéré supérieur au placebo sur les co-critères d'évaluation principaux, à savoir score sPGA «sans» ou «minime» (83,5% SKYRIZI vs. 7,0% placebo) et PASI 90 (73,2% SKYRIZI vs. 2,0% placebo). La semaine 16, un plus grand nombre de patients sous SKYRIZI n'avaient plus de lésions cutanées (score sPGA 0 [46,4% SKYRIZI vs. 1,0% placebo] ou score PASI 100 [47,2% SKYRIZI vs. 1,0% placebo]). En outre, les patients sous SKYRIZI avaient une plus grande probabilité d'obtenir un score PASI 75 que ceux sous placebo (88,7% SKYRIZI vs. 8,0% placebo).
  • +La semaine 16, SKYRIZI s'est avéré supérieur au placebo sur les co-critères d'évaluation principaux, à savoir score sPGA «sans» ou «minime» (83,5 % SKYRIZI vs. 7,0 % placebo) et PASI 90 (73,2 % SKYRIZI vs. 2,0 % placebo). La semaine 16, un plus grand nombre de patients sous SKYRIZI n'avaient plus de lésions cutanées (score sPGA 0 [46,4 % SKYRIZI vs. 1,0 % placebo] ou score PASI 100 [47,2 % SKYRIZI vs. 1,0 % placebo]). En outre, les patients sous SKYRIZI avaient une plus grande probabilité d'obtenir un score PASI 75 que ceux sous placebo (88,7 % SKYRIZI vs. 8,0 % placebo).
  • -Chez les patients sous adalimumab ayant obtenu à la semaine 16 un score PASI 50 à < PASI 90 et de nouveau randomisés, une différence entre ceux qui sont passés à SKYRIZI et ceux qui ont poursuivi le traitement par adalimumab a été observée en termes de taux de réponse PASI 90 (49,1% vs. 26,8%) dès la quatrième semaine suivant la nouvelle randomisation. Au total, 66,0% (35/53) des patients ont obtenu un score PASI 90 après 28 semaines de traitement par SKYRIZI, comparativement à 21,4% (12/56) chez ceux qui ont continué de recevoir l'adalimumab. Des autres paramètres de réponse ont été également supérieurs après le relais par SKYRIZI: 39,6% ont obtenu un score PASI 100, 39,6% un score sPGA «sans» et 73,6% un score sPGA «sans» ou «minime» après le changement par SKYRIZI, comparativement à 7,1% ayant obtenu un score PASI 100, 7,1% un score sPGA «sans» et 33,9% un score sPGA «sans» ou «minime» avec la poursuite du traitement par adalimumab.
  • +Chez les patients sous adalimumab ayant obtenu à la semaine 16 un score PASI 50 à < PASI 90 et de nouveau randomisés, une différence entre ceux qui sont passés à SKYRIZI et ceux qui ont poursuivi le traitement par adalimumab a été observée en termes de taux de réponse PASI 90 (49,1 % vs. 26,8 %) dès la quatrième semaine suivant la nouvelle randomisation. Au total, 66,0 % (35/53) des patients ont obtenu un score PASI 90 après 28 semaines de traitement par SKYRIZI, comparativement à 21,4 % (12/56) chez ceux qui ont continué de recevoir l'adalimumab. Des autres paramètres de réponse ont été également supérieurs après le relais par SKYRIZI: 39,6 % ont obtenu un score PASI 100, 39,6 % un score sPGA «sans» et 73,6 % un score sPGA «sans» ou «minime» après le changement par SKYRIZI, comparativement à 7,1 % ayant obtenu un score PASI 100, 7,1 % un score sPGA «sans» et 33,9 % un score sPGA «sans» ou «minime» avec la poursuite du traitement par adalimumab.
  • -Dans une analyse combinée des patients ayant reçu SKYRIZI dans le cadre des études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2 et qui présentaient un score PASI 100 à la semaine 16, le taux de réponse est resté à 79,8% (206/258) chez les patients qui ont poursuivi le traitement par SKYRIZI jusqu'à la semaine 52. Parmi les patients ayant obtenu un score PASI 90 à la semaine 16, 88,4% (398/450) ont maintenu leur réponse jusqu'à la semaine 52.
  • +Dans une analyse combinée des patients ayant reçu SKYRIZI dans le cadre des études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2 et qui présentaient un score PASI 100 à la semaine 16, le taux de réponse est resté à 79,8 % (206/258) chez les patients qui ont poursuivi le traitement par SKYRIZI jusqu'à la semaine 52. Parmi les patients ayant obtenu un score PASI 90 à la semaine 16, 88,4 % (398/450) ont maintenu leur réponse jusqu'à la semaine 52.
  • -À la semaine 104 (soit 16 semaines après la dernière administration de SKYRIZI), 81,1% (90/111) des patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI ont obtenu un score sPGA «sans» ou «minime», comparativement à 7,1% (16/225) des patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI. Chez les patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI, une perte du score sPGA «sans» ou «minime» a été observée dès 12 semaines après une dose manquée.
  • -À la semaine 104, 63,1% (70/111) des patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI ont obtenu un score sPGA «sans», comparativement à 2,2% (5/225) des patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI.
  • +À la semaine 104 (soit 16 semaines après la dernière administration de SKYRIZI), 81,1 % (90/111) des patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI ont obtenu un score sPGA «sans» ou «minime», comparativement à 7,1 % (16/225) des patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI. Chez les patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI, une perte du score sPGA «sans» ou «minime» a été observée dès 12 semaines après une dose manquée.
  • +À la semaine 104, 63,1 % (70/111) des patients ayant poursuivi le traitement par SKYRIZI ont obtenu un score sPGA «sans», comparativement à 2,2 % (5/225) des patients ayant arrêté le traitement par SKYRIZI.
  • -Parmi les patients ayant obtenu un score sPGA «sans» ou «minime» à la semaine 28 et ayant présenté une rechute (sPGA ≥3) après l'arrêt du traitement par SKYRIZI, 83,7% (128/153) ont de nouveau obtenu un score sPGA «sans» ou «minime» 16 semaines après la reprise du traitement.
  • +Parmi les patients ayant obtenu un score sPGA «sans» ou «minime» à la semaine 28 et ayant présenté une rechute (sPGA ≥3) après l'arrêt du traitement par SKYRIZI, 83,7 % (128/153) ont de nouveau obtenu un score sPGA «sans» ou «minime» 16 semaines après la reprise du traitement.
  • -Dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2, une amélioration significativement supérieure des symptômes du psoriasis (démangeaisons, douleurs, rougeur et sensation de brûlure, mesurés au moyen du score PSS [Psoriasis Symptom Score]) a été observée comparativement au placebo à la semaine 16. Comparativement à l'ustékinumab et au placebo, une proportion significativement supérieure de patients sous SKYRIZI a obtenu un score PSS de 0 (absence de symptômes) à la semaine 16. Jusqu'à la semaine 52, 55,7% (333/598) des patients sous SKYRIZI n'ont rapporté aucune démangeaison, douleur, rougeur ou sensation de brûlure.
  • +Dans les études ULTIMMA-1 et ULTIMMA-2, une amélioration significativement supérieure des symptômes du psoriasis (démangeaisons, douleurs, rougeur et sensation de brûlure, mesurés au moyen du score PSS [Psoriasis Symptom Score]) a été observée comparativement au placebo à la semaine 16. Comparativement à l'ustékinumab et au placebo, une proportion significativement supérieure de patients sous SKYRIZI a obtenu un score PSS de 0 (absence de symptômes) à la semaine 16. Jusqu'à la semaine 52, 55,7 % (333/598) des patients sous SKYRIZI n'ont rapporté aucune démangeaison, douleur, rougeur ou sensation de brûlure.
  • -Après une administration sous-cutanée de risankizumab, la concentration plasmatique maximale a été obtenue 3 à 14 jours après l'administration, avec une biodisponibilité absolue estimée à 89%. Avec le schéma posologique pour les patients atteints de psoriasis (150 mg les semaines 0 et 4, puis toutes les 12 semaines par la suite), les concentrations maximales à l'état d'équilibre et les concentrations minimales dans le plasma sont estimées à 12 et 2 µg/ml.
  • +Après une administration sous-cutanée de risankizumab, la concentration plasmatique maximale a été obtenue 3 à 14 jours après l'administration, avec une biodisponibilité absolue estimée à 89 %. Avec le schéma posologique pour les patients atteints de psoriasis (150 mg les semaines 0 et 4, puis toutes les 12 semaines par la suite), les concentrations maximales à l'état d'équilibre et les concentrations minimales dans le plasma sont estimées à 12 et 2 µg/ml.
  • -Le risankizumab étant un anticorps monoclonal IgG1, il est principalement éliminé par catabolisme intracellulaire et, comme on pouvait s'y attendre, n'est pas métabolisé par les enzymes hépatiques du cytochrome P450 et n'est pas éliminé par voie rénale (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Le risankizumab étant un anticorps monoclonal IgG1, il est principalement éliminé par catabolisme intracellulaire et, comme on pouvait s'y attendre, n'est pas métabolisé par les enzymes hépatiques du cytochrome P450 et n'est pas éliminé par voie rénale (voir «Posologie / Mode d'emploi»).
  • -Sur les 2'234 patients atteints de psoriasis en plaques traités par SKYRIZI, 243 avaient au moins 65 ans et 24 avaient au moins 75 ans. Parmi les patients traités par SKYRIZI, il n'y a généralement eu aucune différence entre les patients plus jeunes et plus âgés en termes d'exposition, de sécurité et d'efficacité du risankizumab (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Sur les 2'234 patients atteints de psoriasis en plaques traités par SKYRIZI, 243 avaient au moins 65 ans et 24 avaient au moins 75 ans. Parmi les patients traités par SKYRIZI, il n'y a généralement eu aucune différence entre les patients plus jeunes et plus âgés en termes d'exposition, de sécurité et d'efficacité du risankizumab (voir «Posologie / Mode d'emploi»).
  • -Une autre étude a été menée sur la toxicité pour le développement pré- et postnatal chez le singe cynomolgus. Des femelles cynomolgus gestantes ont reçu à partir du 20e jour de gestation des doses sous-cutanées hebdomadaires de risankizumab de 5 ou de 50 mg/kg. Les singes cynomolgus (mères et jeunes animaux) ont été observés pendant 6 mois (180 jours) après la naissance. Ces doses ont entraîné des expositions correspondant à environ 70 fois l'exposition clinique à la dose maximale recommandée chez l'être humain (MRHD). Aucun décès et/ou malformation congénitale liés au médicament n'ont été observés chez les fœtus ou les jeunes animaux. Lors de l'évaluation des paramètres externes, viscéraux, squelettiques et neuro-comportementaux et des critères d'évaluation d'immunotoxicologie développementale, aucun effet sur la croissance et le développement n'a été rapporté. Les concentrations sériques moyennes chez les jeunes animaux ont augmenté de façon dose-dépendante, représentant environ 20 à 90% des concentrations maternelles correspondantes. La plupart des femelles cynomolgus adultes et tous les jeunes animaux du groupe traités par risankizumab jusqu'à 91 jours après la naissance avaient des concentrations sériques mesurables postpartum. Les concentrations sériques étaient inférieures à la limite de détection 180 jours après la naissance.
  • +Une autre étude a été menée sur la toxicité pour le développement pré- et postnatal chez le singe cynomolgus. Des femelles cynomolgus gestantes ont reçu à partir du 20e jour de gestation des doses sous-cutanées hebdomadaires de risankizumab de 5 ou de 50 mg/kg. Les singes cynomolgus (mères et jeunes animaux) ont été observés pendant 6 mois (180 jours) après la naissance. Ces doses ont entraîné des expositions correspondant à environ 70 fois l'exposition clinique à la dose maximale recommandée chez l'être humain (MRHD). Aucun décès et/ou malformation congénitale liés au médicament n'ont été observés chez les fœtus ou les jeunes animaux. Lors de l'évaluation des paramètres externes, viscéraux, squelettiques et neuro-comportementaux et des critères d'évaluation d'immunotoxicologie développementale, aucun effet sur la croissance et le développement n'a été rapporté. Les concentrations sériques moyennes chez les jeunes animaux ont augmenté de façon dose-dépendante, représentant environ 20 à 90 % des concentrations maternelles correspondantes. La plupart des femelles cynomolgus adultes et tous les jeunes animaux du groupe traités par risankizumab jusqu'à 91 jours après la naissance avaient des concentrations sériques mesurables postpartum. Les concentrations sériques étaient inférieures à la limite de détection 180 jours après la naissance.
  • -Conserver au réfrigérateur (2-8°C). Ne pas congeler. Conserver dans l'emballage d'origine pour protéger le contenu de la lumière. Tenir le médicament hors de portée des enfants.
  • +Conserver au réfrigérateur (2-8°C). Ne pas congeler. Conserver dans l'emballage d'origine pour protéger le contenue de la lumière. Tenir le médicament hors de portée des enfants.
  • +SKYRIZI 150 mg solution injectable dans une seringue préremplie ou dans un stylo prérempli peut être conservé jusqu'à 24 heures en dehors du réfrigérateur (jusqu'à 25 °C maximum) dans l'emballage d'origine (pour protéger le contenu de la lumière).
  • +
  • -La solution contenue dans le stylo prérempli à 150 mg et la seringue préremplie à 150 mg ainsi que dans la seringue préremplie à 75 mg peut comporter quelques particules de produit translucides à blanches. SKYRIZI ne doit pas être utilisé si la solution est trouble ou décolorée ou si elle contient de grosses particules.
  • +La solution contenue dans le stylo prérempli à 150 mg et la seringue préremplie à 150 mg ainsi que dans la seringue préremplie à 75 mg peut comporter quelques particules de produit translucides à blanches. SKYRIZI ne doit pas être utilisé si la solution est trouble ou décolorée ou si elle contient de grosses particules.
  • -Les patients ne doivent pas réaliser l'injection dans les zones où la peau est sensible, présente une ecchymose, est rouge, indurée ou dans une lésion psoriasique. SKYRIZI ne peut être injecté sur la face externe du bras que par un professionnel de santé ou un soignant.
  • +Les patients ne doivent pas réaliser l'injection dans les zones où la peau est sensible, présente une ecchymose, est rouge, indurée ou dans une lésion psoriasique.
  • +SKYRIZI ne peut être injecté sur la face externe du bras que par un professionnel de santé ou un soignant.
  • -AbbVie AG, 6330 Cham, Suisse.
  • +AbbVie AG, 6330 Cham, Suisse
  • -Mai 2021
  • +Décembre 2021
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