88 Changements de l'information professionelle Trazimera 150 mg |
-Principe actif:
- +Principes actifs
-Excipients:
- +Excipients
-a.en monothérapie chez des patients ayant préalablement reçu une ou plusieurs chimiothérapies pour leur maladie métastatique;
-b.en association avec le paclitaxel ou le docétaxel chez des patients qui n'ont pas encore reçu de chimiothérapie pour leur maladie métastatique;
-c.en association avec un inhibiteur de l'aromatase pour le traitement des patientes postménopausées présentant un cancer du sein métastatique avec récepteurs hormonaux positifs et qui n'ont pas encore reçu de chimiothérapie pour leur maladie métastatique.
- +a) en monothérapie chez des patients ayant préalablement reçu une ou plusieurs chimiothérapies pour leur maladie métastatique;
- +b) en association avec le paclitaxel ou le docétaxel chez des patients qui n'ont pas encore reçu de chimiothérapie pour leur maladie métastatique;
- +c) en association avec un inhibiteur de l'aromatase pour le traitement des patientes postménopausées présentant un cancer du sein métastatique avec récepteurs hormonaux positifs et qui n'ont pas encore reçu de chimiothérapie pour leur maladie métastatique.
- +Généralités
- +
-Les patients atteints de cancer du sein métastatique ou de cancer avancé de l'estomac ou de la jonction œso-gastrique doivent être traités par Trazimera jusqu'à progression de la maladie.
-Les patients atteints d'un cancer du sein au stade précoce doivent être traités pendant 1 an ou jusqu'à rechute de la maladie, selon le critère qui intervient en premier. Lors de cancer du sein au stade précoce, une durée de traitement supérieure à 1 an n'est pas recommandée (voir «Propriétés/Effets: Données cliniques»).
- +Les patients atteints de cancer du sein métastatique ou de cancer avancé de l'estomac ou de la jonction œso-gastrique doivent être traités par Trazimera jusqu'à progression de la maladie ou jusqu'à survenue d'une toxicité non maîtrisable.
- +Les patients atteints d'un cancer du sein au stade précoce doivent être traités pendant 1 an ou jusqu'à rechute de la maladie ou jusqu'à survenue d'une toxicité non maîtrisable, selon le critère qui intervient en premier. Lors de cancer du sein au stade précoce, une durée de traitement supérieure à 1 an n'est pas recommandée (voir «Propriétés/Effets: Efficacités cliniques»).
-Réduction de la dose
- +Ajustement de la posologie
- +Si le patient développe une réaction liée à la perfusion (IRR), il convient de ralentir le débit de perfusion de Trazimera ou d'interrompre la perfusion et de surveiller le patient jusqu'à la disparition de tous les symptômes observés (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Si la fraction d'éjection ventriculaire gauche (FEVG) baisse de 10 points de pourcentage ou plus par rapport à la valeur initiale ou descend en-dessous de 50%, le traitement doit être provisoirement arrêté et une nouvelle détermination de la FEVG doit intervenir en l'espace d'environ 3 semaines. Si la FEVG ne s'est pas améliorée au cours de cet intervalle, si elle a continué à baisser ou si une insuffisance cardiaque congestive (ICC) symptomatique s'est développée, l'arrêt du traitement par Trazimera doit être sérieusement envisagé, à moins que le bénéfice individuel escompté ne soit supérieur aux risques encourus par le patient. Ces patients doivent être adressés à un cardiologue pour évaluation et doivent continuer d'être suivis.
- +Instructions posologiques particulières
-Au cours des études cliniques, aucune réduction des doses de trastuzumab n'a été effectuée chez les patients âgés.
-Utilisation chez les enfants et les adolescents
-L'utilisation et la sécurité du trastuzumab chez les enfants et les adolescents n'ont à ce jour pas été évaluées.
- +Au cours des études cliniques, aucune réduction des doses de trastuzumab n'a été effectuée chez les patients âgés de 65 ans et plus.
- +Enfants et adolescents
- +L'utilisation et la sécurité du trastuzumab chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n'ont à ce jour pas été évaluées.
-Si la FEVG baisse de 10 points de pourcentage ou plus par rapport à la valeur initiale ou descend en-dessous de 50%, l'administration de Trazimera doit être provisoirement arrêtée et une nouvelle détermination de la FEVG doit intervenir en l'espace d'env. 3 semaines. Dans les cas où la FEVG ne s'est pas améliorée au cours de cet intervalle, si elle a continué à baisser ou si une insuffisance cardiaque cliniquement significative s'est développée, l'arrêt de Trazimera doit être envisagé de toute urgence, hormis dans les cas particuliers où le bénéfice est jugé supérieur au risque encouru par le patient. Les patients développant un trouble asymptomatique de la fonction cardiaque doivent être contrôlés plus souvent (p.ex. toutes les 6-8 semaines). Au cas où les patients présenteraient une dégradation continue de la fonction ventriculaire gauche tout en restant asymptomatiques, le médecin devrait envisager l'arrêt du traitement en l'absence de bénéfice clinique patent du traitement par Trazimera.
- +Si la FEVG baisse de 10 points de pourcentage ou plus par rapport à la valeur initiale ou descend en-dessous de 50%, l'administration de Trazimera doit être provisoirement arrêtée et une nouvelle détermination de la FEVG doit intervenir en l'espace d'env. 3 semaines. Dans les cas où la FEVG ne s'est pas améliorée au cours de cet intervalle, si elle a continué à baisser ou si une insuffisance cardiaque cliniquement significative s'est développée, l'arrêt de Trazimera doit être envisagé de toute urgence, hormis dans les cas particuliers où le bénéfice est jugé supérieur au risque encouru par le patient. Les patients développant un trouble asymptomatique de la fonction cardiaque doivent être contrôlés plus souvent (p.ex. toutes les 6-8 semaines). Au cas où les patients présenteraient une dégradation continue de la fonction ventriculaire gauche tout en restant asymptomatiques, le médecin devrait envisager l'arrêt du traitement, à moins que le bénéfice individuel escompté ne soit supérieur aux risques encourus par le patient. Ces patients doivent être adressés à un cardiologue pour évaluation et doivent continuer d'être suivis.
- +Femmes en âge de procréer
- +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par Trazimera et pendant 7 mois après l'arrêt du traitement (voir «Pharmacocinétique»).
-Après la mise sur le marché du produit, des cas d'altérations du développement rénal fœtal (p.ex. hypoplasie rénale) et/ou de la fonction rénale fœtale, associés à un oligoamnios, ont été signalés chez des femmes enceintes qui avaient été traitées par trastuzumab. Certains d'entre eux se sont accompagnés d'une hypoplasie pulmonaire fœtale d'issue fatale. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par Trazimera et pendant 7 mois après l'arrêt du traitement (voir «Pharmacocinétique»). En cas de survenue d'une grossesse pendant le traitement, les femmes doivent être informées de la possibilité d'atteinte du fœtus. Si une femme enceinte est traitée par Trazimera, ou si une patiente tombe enceinte pendant le traitement par Trazimera ou au cours des 7 mois qui suivent l'administration de la dernière dose de Trazimera, une surveillance étroite, effectuée par une équipe pluridisciplinaire est indiquée.
- +Après la mise sur le marché du produit, des cas d'altérations du développement rénal fœtal (p.ex. hypoplasie rénale) et/ou de la fonction rénale fœtale, associés à un oligoamnios, ont été signalés chez des femmes enceintes qui avaient été traitées par trastuzumab. Certains d'entre eux se sont accompagnés d'une hypoplasie pulmonaire fœtale d'issue fatale. En cas de survenue d'une grossesse pendant le traitement, les femmes doivent être informées de la possibilité d'atteinte du fœtus. Si une femme enceinte est traitée par Trazimera, ou si une patiente tombe enceinte pendant le traitement par Trazimera ou au cours des 7 mois qui suivent l'administration de la dernière dose de Trazimera, une surveillance étroite, effectuée par une équipe pluridisciplinaire est indiquée.
-Des études de reproduction ont été conduites chez le singe cynomolgus, auquel on a administré des doses de trastuzumab jusqu'à 25 fois supérieures à la dose d'entretien hebdomadaire de 2 mg/kg de poids corporel recommandée chez l'être humain. Un passage transplacentaire du trastuzumab a été observé au stade précoce (du 20e au 50e jour de gestation) et au stade tardif (du 120e au 150e jour de gestation) du développement fœtal. Ces études n'ont cependant révélé aucun signe de fœtotoxicité ou d'altération de la fertilité.
- +Fertilité
- +Des études de reproduction ont été conduites chez le singe cynomolgus, auquel on a administré des doses de trastuzumab jusqu'à 25 fois supérieures à la dose d'entretien hebdomadaire de 2 mg/kg de poids corporel recommandée chez l'être humain. Un passage transplacentaire du trastuzumab a été observé au stade précoce (du 20e au 50e jour de gestation) et au stade tardif (du 120e au 150e jour de gestation) du développement fœtal. Ces études n'ont cependant révélé aucun signe de fœtotoxicité ou d'altération de la fertilité.
- +Les effets indésirables du médicament et les événements indésirables rapportés lors de l'administration de trastuzumab i.v. seul ou en association avec une chimiothérapie au cours des études cliniques pivots et après la commercialisation sont présentés ci-dessous.
- +Les indications de fréquence se rapportent aux fréquences maximales (en %) des effets indésirables, observées dans les études cliniques pivots.
- +
-Très fréquents: rhinopharyngite (>10%), infection.
-Fréquents: cystite, zona, grippe, sinusite, infection cutanée, rhinite, infection des voies aériennes supérieures, infection urinaire, pharyngite.
-Fréquence inconnue: cellulite, érysipèle, septicémie neutropénique, septicémie, méningite, bronchite.
- +Très fréquents: infection (24%), rhinopharyngite (17%).
- +Fréquents: cystite, zona, grippe, pharyngite, infection cutanée, sinusite, rhinite, infection des voies respiratoires supérieures, érysipèle, cellulite, infection urinaire, septicémie, septicémie neutropénique.
- +Fréquence inconnue: méningite, bronchite.
-Très fréquents: anémie (>10%), thrombocytopénie (>10%), neutropénie fébrile (>10%), leucopénie.
-Fréquents: neutropénie.
- +Très fréquents: neutropénie (47%), anémie (28%), *neutropénie fébrile (23%), thrombocytopénie (16%), leucopénie (15%).
-Très fréquents: prise de poids (>10%), perte de poids (>10%), diminution de l'appétit (>10%).
-Fréquents: anorexie.
-Fréquence inconnue: hyperkaliémie.
- +Très fréquents: anorexie (46%), perte de poids (23%), diminution de l'appétit (20%), prise de poids (15%).
- +Fréquence inconnue: hyperkaliémie, syndrome de lyse tumorale.
-Très fréquents: insomnie (>10%).
-Fréquents: anxiété, dépression, troubles de la pensée.
- +Très fréquents: insomnie (11%).
- +Fréquents: dépression, anxiété, troubles de la pensée.
-Très fréquents: tremblements (>10%), vertiges (11%), céphalées (21%), paresthésie (>10%), hypoesthésie (>10%), dysgueusie (>10%).
-Fréquents: troubles gustatifs, hypertonie, neuropathie périphérique, obnubilation, somnolence.
-Fréquence inconnue: parésie, ataxie, œdème cérébral, léthargie, coma, troubles cérébrovasculaires.
- +Très fréquents: paresthésie (50%), céphalées (25%), vertiges (21%), dysgueusie (19%), hypoesthésie (11%), $tremblements.
- +Fréquents: troubles gustatifs, tonus musculaire augmenté (hypertonie musculaire), neuropathie périphérique, obnubilation, somnolence, ataxie.
- +Rares: parésie.
- +Fréquence inconnue: œdème cérébral, léthargie, coma, troubles cérébrovasculaires.
-Très fréquents: larmoiement accru (>10%), conjonctivite (>10%).
-Fréquents: œil sec.
- +Très fréquents: conjonctivite (38%), larmoiement accru (21%).
- +Fréquents: sécheresse oculaire.
-Très fréquents: flutter cardiaque (>10%), battements cardiaques irréguliers (>10%), réduction de la fraction d'éjection.
-Fréquents: insuffisance cardiaque congestive, tachyarythmie supraventriculaire, cardiomyopathie, palpitations.
-Fréquence inconnue: choc cardiogénique, épanchement péricardique, péricardite, bradycardie, rythme de galop, tachycardie.
- +Très fréquents: réduction de la fraction d'éjection (11%), $flutter cardiaque, $battements cardiaques irréguliers,$palpitations.
- +Fréquents: $tachyarythmie supraventriculaire, insuffisance cardiaque (congestive), cardiomyopathie.
- +Occasionnels: épanchement péricardique.
- +Fréquence inconnue: choc cardiogénique, péricardite, bradycardie, rythme de galop, tachycardie.
-Très fréquents: lymphœdème (>10%), bouffées de chaleur (>10%).
-Fréquents: hypotension, hypertension, vasodilatation.
- +Très fréquents: bouffées de chaleur (17%) lymphœdème (11%).
- +Fréquents: $hypotension, $hypertension, vasodilatation.
-Très fréquents: respiration haletante (>10%), dyspnée (14%), toux (>10%), rhinorrhée (>10%), épistaxis (>10%), douleurs oropharyngées (>10%).
- +Très fréquents: épistaxis (18%), rhinorrhée (18%), toux (16%), douleurs oropharyngées (15%), dyspnée (14%), $respiration haletante.
-Fréquence inconnue (rapport postcommercialisation): pneumopathie interstitielle y compris infiltrats pulmonaires, fibrose pulmonaire, insuffisance respiratoire, arrêt respiratoire, œdème aigu du poumon, détresse respiratoire aiguë, bronchospasme, hypoxie, œdème laryngé, orthopnée, dyspnée d'effort, hoquet, syndrome de détresse respiratoire aiguë, syndrome de détresse respiratoire, désaturation en oxygène, respiration de Cheyne-Stokes.
- +Fréquence inconnue: pneumopathie interstitielle y compris infiltrats pulmonaires, fibrose pulmonaire, insuffisance respiratoire, arrêt respiratoire, œdème aigu du poumon, détresse respiratoire aiguë, bronchospasme, œdème laryngé, orthopnée, dyspnée d'effort, hoquet, syndrome de détresse respiratoire aiguë, syndrome de détresse respiratoire, désaturation en oxygène, hypoxie, respiration de Cheyne-Stokes.
-Très fréquents: douleurs abdominales (16%), diarrhée (43%), gonflement des lèvres (>10%), nausées (67%), vomissements (50%), dyspepsie (>10%), stomatite (>10%), constipation (>10%).
- +Très fréquents: nausées (78%), diarrhée (50%), vomissements (50%), stomatite (40%), constipation (27%), douleurs abdominales (20%), dyspepsie (14%), $gonflement des lèvres.
-Fréquents: hépatite, sensibilité du foie, atteinte hépatocellulaire.
- +Fréquents: atteinte hépatocellulaire, hépatite, sensibilité du foie.
-Très fréquents: érythème (23%), éruption (24%), œdème facial (>10%), alopécie (>10%), érythrodysesthésie palmo-plantaire (>10%), toxicité unguéale (>10%), troubles des ongles.
-Fréquents: acné, sécheresse cutanée, hémorragie sous-cutanée, hyperhidrose, éruption maculopapuleuse, prurit, onychoclasie, dermatite.
- +Très fréquents: alopécie (94%), érythrodysesthésie palmo-plantaire (26%), éruption (24%), érythème (23%), troubles des ongles (17%), toxicité unguéale (11%), $œdème facial.
- +Fréquents: acné, dermatite, sécheresse cutanée, hémorragie sous-cutanée, hyperhidrose, éruption maculo-papuleuse, prurit, onychoclasie.
-Fréquence inconnue: angio-œdème, onychorrhexie, syndrome de Stevens-Johnson.
-Affections musculo-squelettiques et systémiques
-Très fréquents: arthralgie (27%), contractures musculaires (>10%), myalgies (27%).
-Fréquents: arthrite, dorsalgies, douleurs osseuses, crampes musculaires, cervicalgies, douleurs des extrémités, douleurs musculo-squelettiques.
- +Fréquence inconnue: angio-œdème, onychorrhexis, syndrome de Stevens-Johnson.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Très fréquents: myalgies (35%), arthralgie (28%), $contractures musculaires.
- +Fréquents: arthrite, dorsalgies, douleurs osseuses, crampes musculaires, cervicalgies, douleurs des extrémités, douleurs musculosquelettiques.
-Fréquence inconnue: glomérulonéphrite membraneuse, glomérulonéphropathie, insuffisance rénale, dysurie.
- +Fréquence inconnue: glomérulonéphrite membraneuse, glomérulopathie, insuffisance rénale, dysurie.
-Fréquents: inflammation des seins/mastite, douleurs des seins.
- +Fréquents: inflammation des seins/mastite, douleurs mammaires.
-Très fréquents: asthénie (45%), douleurs thoraciques (11%), frissons (15%), fatigue (35%), symptômes grippaux (12%), réactions liées à la perfusion (40%), douleurs (12%), fièvre (12%), œdème périphérique (>10%), inflammation des muqueuses (>10%).
-Fréquents: malaise, œdème.
- +Très fréquents: réactions liées à la perfusion (74%), fatigue (53%), asthénie (51%), symptômes grippaux (23%), inflammation des muqueuses (23%), œdème périphérique (17%), frissons (15%), douleurs (12%), fièvre (12%), douleurs thoraciques (11%).
- +Fréquents: œdème, malaise.
- +$ signifie que l'incidence indiquée est la somme des incidences de plusieurs termes. Aucune indication de pourcentage des différents effets indésirables n'est disponible.
-En situation néoadjuvante-adjuvante, des anticorps anti-trastuzumab ont été décelés chez 8,1% (24/296) des patients (quels qu'aient été les taux initiaux d'anticorps anti-trastuzumab). Chez 2 sur 24 patients traités par trastuzumab, des anticorps neutralisants ont été détectés dans des échantillons prélevés après le début de l'étude. La pertinence clinique de ces anticorps est inconnue. La pharmacocinétique, l'efficacité [déterminée par la réponse pathologique complète (pCR)] ou la sécurité [déterminée à l'aide de la fréquence des réactions liées à la perfusion] du trastuzumab ne semblaient cependant pas être influencées par ces anticorps contre le trastuzumab.
- +Dans une étude néoadjuvante-adjuvante (B022227), des anticorps anti-trastuzumab ont été décelés chez 10,1% (30/296) des patients (anticorps dus au traitement et anticorps de survenue plus fréquente à cause du traitement) dans le cadre du suivi médian de plus de 70 mois. Chez 2 patients sur 30 traités par trastuzumab, des anticorps neutralisants ont été détectés dans des échantillons prélevés après le début de l'étude. La pertinence clinique de ces anticorps est inconnue. La pharmacocinétique, l'efficacité [déterminée par la réponse pathologique complète (pCR)] ou la sécurité [déterminée à l'aide de la fréquence des réactions liées à la perfusion] du trastuzumab ne semblaient cependant pas être influencées défavorablement par ces anticorps dirigés contre le trastuzumab.
-Code ATC: L01XC03
- +Code ATC
- +L01XC03
-Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
- +Mécanisme d'action
- +Pharmacodynamique
-Score d'intensité de coloration Coloration Evaluation de la surexpression de
- +Score d'intensité de coloration Coloration Evaluation de la surexpression de HER2
-2+ Une coloration faible à modérée de toute la membrane est observée dans plus de 10% des cellules tumorales. Equivoque
- +2+ Une coloration faible à modérée de toute la membrane est observée dans plus de 10% des cellules tumorales. Équivoque
-2+ Une coloration membranaire complète ou basolatérale, faible à modérée, est observée dans au moins 10% des cellules tumorales Un amas de cellules tumorales avec une coloration membranaire faible à modérée, complète, basolatérale ou latérale, est observé indépendamment du pourcentage de cellules tumorales colorées Equivoque
- +2+ Une coloration membranaire complète ou basolatérale, faible à modérée, est observée dans au moins 10% des cellules tumorales Un amas de cellules tumorales avec une coloration membranaire faible à modérée, complète, basolatérale ou latérale, est observé indépendamment du pourcentage de cellules tumorales colorées Équivoque
-Données cliniques
- +Efficacité clinique
-L'étude BCIRG 006 a évalué le trastuzumab soit en association avec le docétaxel après une chimiothérapie à base d'AC, soit en association avec le docétaxel et le carboplatine, chez des patients atteints d'un cancer du sein HER2-positif au stade précoce après intervention chirurgicale.
- +L'étude BCIRG 006 a évalué le trastuzumab soit en association avec le docétaxel après une chimiothérapie à base d'AC, soit en association avec le docétaxel et le carboplatine, chez des patients atteints d'un cancer du sein HER2positif au stade précoce après intervention chirurgicale.
-Paramètre AC→D (n=1073) AC→DH (n=1074) Valeur de p vs AC→D (Log-Rank) Hazard ratio vs. AC→D (95% KI)
- +Paramètre AC→D (n=1073) AC→DH (n=1074) Valeur de p vs AC→D (Log-Rank) Hazard ratio vs. AC→D (IC à 95%)
-Survie sans événement Hazard-Ratio (95% KI)
- +Survie sans événement Hazard-Ratio (IC à 95%)
-Population/Paramètres FP n=290 H+FP n=294 HR (95% KI) Valeur de p
- +Population/Paramètres FP n=290 H+FP n=294 HR (IC à 95%) Valeur de p
- +Absorption
- +Aucune donnée.
- +Distribution
- +
- AGC 274 23.1 (6.1-50.3) 132 (84.2-225) 1109 (588-1938)
- +AGC 274 23.1 (6.1-50.3) 132 (84.2-225) 1109 (588-1938)
- AGC 274 32,9 (6.1-88.9) 131 (72.5-251) 1338 (557-2875) 9 0.189-0.337
- +AGC 274 32,9 (6.1-88.9) 131 (72.5-251) 1338 (557-2875) 9 0.189-0.337
-Élimination complète du trastuzumab
-La période d'élimination du trastuzumab a été évaluée en utilisant le modèle pharmacocinétique de population correspondant après administration intraveineuse et sous-cutanée. Les résultats de ces simulations suggèrent que les concentrations sériques de trastuzumab sont <1 µg/ml chez au moins 95% des patients 7 mois après la dernière dose (env. 3% de la Cmin,ss prédite pour la population correspondante, et env. 97% de l'élimination complète).
- +Métabolisme
- +Aucune donnée.
- +Élimination
- +Élimination complète du trastuzumab
- +La période d'élimination du trastuzumab a été évaluée en utilisant le modèle pharmacocinétique de population correspondant après administration intraveineuse et sous-cutanée. Les résultats de ces simulations suggèrent que les concentrations sériques de trastuzumab sont <1 µg/ml chez au moins 95% des patients 7 mois après la dernière dose (env. 3% de la Cmin,ss prédite pour la population correspondante, et env. 97% de l'élimination complète).
-Le trastuzumab a été bien toléré par des souris (espèce ne liant pas l'anticorps) et des singes cynomolgus (espèce liant l'anticorps) dans des études de toxicité à dose unique ou à doses multiples d'une durée allant jusqu'à 6 mois. Aucun signe de toxicité aigüe ou chronique n'a été identifié. Des études de reproduction réalisées chez des singes cynomolgus avec des doses jusqu'à 25 fois supérieures à la dose d'entretien hebdomadaire de 2 mg/kg de trastuzumab utilisée chez l'être humain n'ont montré aucun signe de diminution de la fertilité féminine. L'influence sur la fécondité des animaux mâles n'a pas été étudiée. Des études sur la tératogénicité, la toxicité en fin de gestation et le passage transplacentaire n'ont fourni aucun indice de toxicité sur la reproduction.
- +Le trastuzumab a été bien toléré par des souris (espèce ne liant pas l'anticorps) et des singes cynomolgus (espèce liant l'anticorps) dans des études de toxicité à dose unique ou à doses multiples d'une durée allant jusqu'à 6 mois. Aucun signe de toxicité aigüe ou chronique n'a été identifié.
- +Des études de reproduction réalisées chez des singes cynomolgus avec des doses jusqu'à 25 fois supérieures à la dose d'entretien hebdomadaire de 2 mg/kg de trastuzumab utilisée chez l'être humain n'ont montré aucun signe de diminution de la fertilité féminine. L'influence sur la fécondité des animaux mâles n'a pas été étudiée. Des études sur la tératogénicité, la toxicité en fin de gestation et le passage transplacentaire n'ont fourni aucun indice de toxicité sur la reproduction.
- +Aucune étude de carcinogénicité n'a été réalisée pour évaluer le potentiel carcinogène de Trazimera.
- +
-L'utilisation de solutions de glucose (5%) est prohibée.
- +L'utilisation de solutions de glucose (5%) est prohibée, celles-ci entraînant l'agrégation de la protéine.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Remarques concernant le stockage
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Remarques particulières concernant le stockage
-Avril 2019.
-LLD V002
- +Décembre 2019.
- +LLD V003
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