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Accueil - Information professionnelle sur Saroten 10 mg - Changements - 08.04.2020
128 Changements de l'information professionelle Saroten 10 mg
  • -Principe actif : amitriptyline sous forme de chlorhydrate
  • -Excipients :
  • -Noyau du comprimé : Amidon de maïs, monohydrate de lactose, silice colloïdale hydrogénée, cellulose microcristalline, crospovidone, croscarmellose sodique, stéarate de magnésium
  • -Enrobage : Macrogol 400
  • -Colorant : Opadry-S-9470 rouille (E172, E171)
  • +Principe actif: amitriptyline sous forme de chlorhydrate.
  • +Excipients:
  • +Noyau du comprimé: Amidon de maïs, monohydrate de lactose, silice colloïdale hydrogénée, cellulose microcristalline, crospovidone, croscarmellose sodique, stéarate de magnésium.
  • +Enrobage: Macrogol 400.
  • +Colorant: Opadry-S-9470 rouille (E172, E171).
  • -Comprimés pelliculés à 10 mg ou 25 mg d'amitriptyline
  • -Aspect des capsules :
  • -10 mg : comprimés pelliculés ronds, biconvexes, de couleur rouille
  • -25 mg : comprimés pelliculés ronds, biconvexes, de couleur rouille
  • -Indications / Possibilités d’emploi
  • -Saroten est indiqué dans :
  • -- le traitement des épisodes dépressifs majeurs chez ladulte
  • -- le traitement des douleurs neuropathiques chez l'adulte
  • -- le traitement prophylactique des céphalées de tension chroniques (CTTH) chez l'adulte
  • -- le traitement prophylactique de la migraine chez l'adulte
  • -Posologie / Mode d’emploi
  • +Comprimés pelliculés à 10 mg ou 25 mg d'amitriptyline.
  • +Aspect des capsules:
  • +10 mg: comprimés pelliculés ronds, biconvexes, de couleur rouille.
  • +25 mg: comprimés pelliculés ronds, biconvexes, de couleur rouille.
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • +Saroten est indiqué dans:
  • +·le traitement des épisodes dépressifs majeurs chez l'adulte
  • +·le traitement des douleurs neuropathiques chez l'adulte
  • +·le traitement prophylactique des céphalées de tension chroniques (CTTH) chez l'adulte
  • +·le traitement prophylactique de la migraine chez l'adulte
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • -Patients âgés et patients atteints dune pathologie cardiovasculaire
  • +Pour les doses supérieures à 150 mg par jour, voir Propriétés/Effets.
  • +Patients âgés (plus de 65 ans) et patients atteints d'une pathologie cardiovasculaire
  • -Utilisation chez les enfants et les adolescents jusquà 18 ans
  • +Utilisation chez les enfants et les adolescents jusqu'à 18 ans
  • -L'effet antidépresseur se manifeste généralement au bout de 2 à 4 semaines. Le traitement par antidépresseurs est symptomatique et doit, par conséquent, être poursuivi pendant une durée allant généralement jusquà 6 mois après la survenue des symptômes, afin de prévenir les rechutes.
  • +L'effet antidépresseur se manifeste généralement au bout de 2 à 4 semaines. Le traitement par antidépresseurs est symptomatique et doit, par conséquent, être poursuivi pendant une durée allant généralement jusqu'à 6 mois après la survenue des symptômes, afin de prévenir les rechutes.
  • -La posologie doit être augmentée au cas par cas jusquà la dose qui apporte une réponse thérapeutique adéquate avec des effets indésirables tolérables. De façon générale, la dose efficace la plus faible doit être utilisée pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes.
  • -Les doses recommandées sont de 25 mg à 75 mg par jour, le soir. Les doses de plus de 100 mg doivent être administrées avec précaution.
  • +La posologie doit être augmentée au cas par cas jusqu'à la dose qui apporte une réponse thérapeutique adéquate avec des effets indésirables tolérables. De façon générale, la dose efficace la plus faible doit être utilisée pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes.
  • +Les doses recommandées sont de 25 mg à 75 mg par. Les doses de plus de 100 mg doivent être administrées avec précaution.
  • -Elle peut être administrée une fois par jour ou fractionnée en deux prises. Les doses individuelles de plus de 75 mg ne sont pas recommandées.
  • +Elle peut être administrée une fois par jour (le soir) ou fractionnée en deux prises. Les doses individuelles de plus de 75 mg ne sont pas recommandées.
  • -Patients âgés et patients atteints dune pathologie cardiovasculaire de plus de 65 ans
  • +Patients âgés (plus de 65 ans) et patients atteints d'une pathologie cardiovasculaire
  • -Il est généralement recommandé dinstaurer le traitement en utilisant les doses les plus faibles recommandées chez les adultes. La dose peut être augmentée, en fonction de la réponse et de la tolérance individuelles du patient. Utilisation chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans
  • +Il est généralement recommandé d'instaurer le traitement en utilisant les doses les plus faibles recommandées chez les adultes. La dose peut être augmentée, en fonction de la réponse et de la tolérance individuelles du patient.
  • +Utilisation chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans
  • -Selon la réponse individuelle, une dose plus faible d'amitriptyline doit être envisagée lorsquelle est administrée en association avec un inhibiteur puissant du CYP2D6 (par ex. bupropion, quinidine, fluoxétine, paroxétine) (voir Interactions).
  • +Selon la réponse individuelle, une dose plus faible d'amitriptyline doit être envisagée lorsqu'elle est administrée en association avec un inhibiteur puissant du CYP2D6 (par ex. bupropion, quinidine, fluoxétine, paroxétine) (voir rubrique Interactions).
  • -Chez ces patients, la concentration plasmatique damitriptyline et de son métabolite actif, la nortriptyline, peut être accrue. Une diminution de la dose à 50% de la dose initiale recommandée doit être envisagée.
  • -Mode demploi
  • -Saroten est destiné à lutilisation par voie orale.
  • -Les comprimés doivent être avalés avec de l'eau.
  • +Chez ces patients, la concentration plasmatique d'amitriptyline et de son métabolite actif, la nortriptyline, peut être accrue. Une diminution de la dose à 50% de la dose initiale recommandée doit être envisagée.
  • +Mode d'emploi
  • +Les comprimés Saroten sont destinés à l'utilisation par voie orale et doivent être avalés avec de l'eau.
  • -En cas darrêt du traitement, le médicament doit être interrompu progressivement, sur plusieurs semaines (voir Effets indésirables).
  • +En cas d'arrêt du traitement, le médicament doit être interrompu progressivement, sur plusieurs semaines (voir Effets indésirables).
  • -Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients de la rubrique Composition.
  • -Infarctus du myocarde récent. Bloc cardiaque, quel quen soit le degré, ou trouble du rythme cardiaque et insuffisance coronarienne.
  • +Hypersensibilité au amitriptyline ou à l'un des excipients de la rubrique Composition.
  • +Infarctus du myocarde récent. Bloc cardiaque, quel qu'en soit le degré, ou trouble du rythme cardiaque et insuffisance coronarienne.
  • -Le traitement par lamitriptyline ne peut être commencé que 14 jours après l'arrêt d'un traitement par inhibiteurs irréver-sibles non sélectifs de la MAO et au plus tôt un jour après l'arrêt du principe actif moclobémide réversible. Un traitement par inhibiteurs de la MAO peut être instauré 14 jours après l'arrêt de l'amitriptyline.
  • +Le traitement par l'amitriptyline ne peut être commencé que 14 jours après l'arrêt d'un traitement par inhibiteurs irréversibles non sélectifs de la MAO et au plus tôt un jour après l'arrêt du principe actif moclobémide réversible. Un traitement par inhibiteurs de la MAO peut être instauré 14 jours après l'arrêt de l'amitriptyline.
  • -Allongement de lintervalle QT
  • -Des cas dallongement de lintervalle QT et darythmies ont été signalés depuis la commercialisation. La prudence est recommandée chez les patients atteints de bradycardie significative, chez ceux en insuffisance cardiaque non équilibrée, ou ceux prenant concomitamment des médicaments qui allongent lintervalle QT. Les troubles électrolytiques (hypokaliémie, hyperkaliémie, hypomagnésémie) sont connus pour augmenter le risque d'arythmie.
  • -Les anesthésiques administrés concomitamment aux antidépresseurs tri/tétracycliques peuvent augmenter le risque darythmies et dhypotension. Si possible, arrêter ces médicaments plusieurs jours avant lintervention chirurgicale ; si une chirurgie en urgence est nécessaire, lanesthésiste doit être informé que le patient prend ce type de traitement.
  • -Chez des patients atteints dhyperthyroïdie ou traités par des médicaments pour la thyroïde, lamitriptyline doit être administrée avec beaucoup de prudence compte-tenu du risque de troubles du rythme cardiaque.
  • -Les patients âgés sont particulièrement enclins à lhypotension orthostatique.
  • -Ce médicament doit être utilisé avec prudence chez les patients souffrant dépilepsie, de rétention urinaire, d'hypertrophie de la prostate, d'hyperthyroïdie, de symptômes paranoïaques et de maladie hépatique ou cardiovasculaire en progression, de sténose du pylore ou d'iléus paralytique.
  • +Allongement de l'intervalle QT
  • +Des cas d'allongement de l'intervalle QT et d'arythmies ont été signalés depuis la commercialisation. La prudence est recommandée chez les patients atteints de bradycardie significative, chez ceux en insuffisance cardiaque non équilibrée, ou ceux prenant concomitamment des médicaments qui allongent l'intervalle QT. Les troubles électrolytiques (hypokaliémie, hyperkaliémie, hypomagnésémie) sont connus pour augmenter le risque d'arythmie.
  • +Les anesthésiques administrés concomitamment aux antidépresseurs tri/tétracycliques peuvent augmenter le risque d'arythmies et d'hypotension. Si possible, arrêter ces médicaments plusieurs jours avant l'intervention chirurgicale; si une chirurgie en urgence est nécessaire, l'anesthésiste doit être informé que le patient prend ce type de traitement.
  • +Chez des patients atteints d'hyperthyroïdie ou traités par des médicaments pour la thyroïde, l'amitriptyline doit être administrée avec beaucoup de prudence compte-tenu du risque de troubles du rythme cardiaque.
  • +Les patients âgés sont particulièrement enclins à l'hypotension orthostatique.
  • +Ce médicament doit être utilisé avec prudence chez les patients souffrant d'épilepsie, de rétention urinaire, d'hypertrophie de la prostate, d'hyperthyroïdie, de symptômes paranoïaques et de maladie hépatique ou cardiovasculaire en progression, de sténose du pylore ou d'iléus paralytique.
  • -Suicide/ idées suicidaires
  • -La dépression est associée à un risque accru d'idées suicidaires, dauto-agression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu'à obtention d'une rémission significative. L'amélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusqu'à obtention de cette amélioration. L'expérience clinique acquise à ce jour démontre que le risque de suicide peut augmenter en début de traitement.
  • +Suicide/idées suicidaires
  • +La dépression est associée à un risque accru d'idées suicidaires, d'auto-agression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu'à obtention d'une rémission significative. L'amélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusqu'à obtention de cette amélioration. L'expérience clinique acquise à ce jour démontre que le risque de suicide peut augmenter en début de traitement.
  • -Outre la dépression, d'autres diagnostiques psychiatriques peuvent être associés à un risque accru de comportement suicidaire et il convient donc d'observer les mêmes mesures de précaution que dans le cadre du traitement d'une dépression. Chez les patients atteints dun trouble bipolaire, un passage à la phase maniaque peut survenir ; si le patient entre dans une phase maniaque, l'amitriptyline doit être arrêtée.
  • -Comme pour les autres psychotropes prescrits, l'amitriptyline peut modifier les réponses glycémiques et insuliniques, ce qui nécessite un ajustement du traitement antidiabétique chez les diabétiques ; en outre, la maladie dépressive en soi peut avoir un effet sur léquilibre glycémique du patient.
  • +Outre la dépression, d'autres diagnostiques psychiatriques peuvent être associés à un risque accru de comportement suicidaire et il convient donc d'observer les mêmes mesures de précaution que dans le cadre du traitement d'une dépression. Chez les patients atteints d'un trouble bipolaire, un passage à la phase maniaque peut survenir; si le patient entre dans une phase maniaque, l'amitriptyline doit être arrêtée.
  • +Comme pour les autres psychotropes prescrits, l'amitriptyline peut modifier les réponses glycémiques et insuliniques, ce qui nécessite un ajustement du traitement antidiabétique chez les diabétiques; en outre, la maladie dépressive en soi peut avoir un effet sur l'équilibre glycémique du patient.
  • -Chez les patients traités par ISRS, l'amitriptyline doit être utilisée avec précaution (voir Posologie/Mode demploi et Interactions).
  • +Chez les patients traités par ISRS, l'amitriptyline doit être utilisée avec précaution (voir Posologie/Mode d'emploi et Interactions).
  • -Aucune donnée nest disponible sur la sécurité à long terme chez les enfants et les adolescents en ce qui concerne la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental (voir rubrique Posologie/Mode demploi).
  • +Aucune donnée n'est disponible sur la sécurité à long terme chez les enfants et les adolescents en ce qui concerne la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental (voir rubrique Posologie/Mode d'emploi).
  • -Effets potentiels de l'amitriptyline sur dautres médicaments
  • +Effets potentiels de l'amitriptyline sur d'autres médicaments
  • -Inhibiteurs de MAO (inhibiteurs non sélectifs et sélectifs de la MOA A (moclobémide) et MAO B (sélégiline)) : Risque de syndrome sérotoninergique (voir rubrique Contre-indications).
  • +Inhibiteurs de MAO (inhibiteurs non sélectifs et sélectifs de la MOA A (moclobémide) et MAO B (sélégiline)): Risque de syndrome sérotoninergique (voir rubrique Contre-indications).
  • -Système sympathomimétique : L'amitriptyline peut potentialiser les effets cardiovasculaires de l'adrénaline, de l'éphédrine, de l'isoprénaline, de la noradrénaline, de la phényléphrine et de la phénylpropanolamine (contenues par ex. dans les produits d'anesthésie locale et générale et dans les décongestionnants nasaux).
  • -Agents bloquant des récepteurs adrénergiques : les antidépresseurs tricycliques peuvent contrer les effets antihypertenseurs des antihypertenseurs à action centrale comme par ex. la guanéthidine, la bétanidine, la réserpine, la clonidine et la méthyldopamine. Il est recommandé de vérifier chaque traitement antihypertenseur pendant la durée du traitement par antidépresseurs tricycliques.
  • -Anticholinergiques : Les antidépresseurs tricycliques peuvent potentialiser les effets de ces principes actifs sur les yeux, le système nerveux central, l'intestin et la vessie ; l'utilisation concomitante de ces principes actifs doit être évitée, car ils sont liés à un risque accru d'iléus paralytique, d'hyperpyrexie, etc.
  • +Système sympathomimétique: L'amitriptyline peut potentialiser les effets cardiovasculaires de l'adrénaline, de l'éphédrine, de l'isoprénaline, de la noradrénaline, de la phényléphrine et de la phénylpropanolamine (contenues par ex. dans les produits d'anesthésie locale et générale et dans les décongestionnants nasaux).
  • +Agents bloquant des récepteurs adrénergiques: les antidépresseurs tricycliques peuvent contrer les effets antihypertenseurs des antihypertenseurs à action centrale comme par ex. la guanéthidine, la bétanidine, la réserpine, la clonidine et la méthyldopamine. Il est recommandé de vérifier chaque traitement antihypertenseur pendant la durée du traitement par antidépresseurs tricycliques.
  • +Anticholinergiques: Les antidépresseurs tricycliques peuvent potentialiser les effets de ces principes actifs sur les yeux, le système nerveux central, l'intestin et la vessie; l'utilisation concomitante de ces principes actifs doit être évitée, car ils sont liés à un risque accru d'iléus paralytique, d'hyperpyrexie, etc.
  • -Ils doivent être utilisés avec prudence lors de lutilisation concomitante damitriptyline et de méthadone en raison dun risque deffets cumulés sur lintervalle QT et du risque accru deffets cardiovasculaires graves.
  • -En cas dadministration concomitante d'amitriptyline et de diurétiques induisant une hypokaliémie (par ex. furosémide), la prudence est également recommandée.
  • -Thioridazine : L'administration concomitante d'amitriptyline et de thioridazine (substrat de CYP2D6) doit être évitée en raison de linhibition du métabolisme de la thioridazine et, en conséquence, du risque accru deffets
  • -Tramadol : L'utilisation concomitante de tramadol (substrat de CYP2D6) et d'antidépresseurs tricycliques, comme par ex. l'amitriptyline, augmente le risque dépilepsie et de syndrome sérotoninergique. En outre, cette association peut inhiber la métabolisation du tramadol en son métabolite actif et donc, augmenter la concentration en tramadol et potentiellement entraîner une toxicité due aux opioïdes.
  • -Les antifongiques, comme le fluconazole et la terbinafine, augmentent la concentration sérique des tricycliques et la toxicité qui y est associée. Des cas de syncope et de torsades de pointe ont été observés.
  • +Ils doivent être utilisés avec prudence lors de l'utilisation concomitante d'amitriptyline et de méthadone en raison d'un risque d'effets cumulés sur l'intervalle QT et du risque accru d'effets cardiovasculaires graves.
  • +En cas d'administration concomitante d'amitriptyline et de diurétiques induisant une hypokaliémie (par ex. furosémide), la prudence est également recommandée.
  • +Thioridazine: L'administration concomitante d'amitriptyline et de thioridazine (substrat de CYP2D6) doit être évitée en raison de l'inhibition du métabolisme de la thioridazine et, en conséquence, du risque accru d'effets.
  • +Tramadol: L'utilisation concomitante de tramadol (substrat de CYP2D6) et d'antidépresseurs tricycliques, comme par ex. l'amitriptyline, augmente le risque d'épilepsie et de syndrome sérotoninergique. En outre, cette association peut inhiber la métabolisation du tramadol en son métabolite actif.
  • +Il a été observé que les antifongiques, comme le fluconazole (inhibiteur du CYP2C9) et la terbinafine (inhibiteur du CYP2D6) peuvent augmenter les concentrations sériques d'amitriptyline et de nortriptyline et la toxicité qui y est associée. Des cas de syncope et de torsades de pointe ont été observés.
  • -Dépresseurs du SNC : L'amitriptyline peut augmenter l'effet sédatif de l'alcool, des barbituriques et des autres dépresseurs du système nerveux central.
  • -Effets potentiels dautres médicaments sur l'amitriptyline
  • -Les antidépresseurs tricycliques (ATC), y compris l'amitriptyline, sont essentiellement métabolisés par les isoenzymes CYP2D6 et CYP2C19 du cytochrome P450 hépatiques, qui sont polymorphes dans la population. Les autres isoenzymes dans le métabolisme de lamitriptyline sont CYP3A4, CYP1A2 et CYP2C9.
  • -Inhibiteurs de CYP2D6 : L'isoenzyme CYP2D6 peut être inhibée par différents médicaments, par ex. les neuroleptiques, les inhibiteurs de recapture de la sérotonine, les bêtabloquants et les antiarythmiques. Le bupropion, la fluoxétine, la paroxétine et la quinidine sont des exemples d'inhibiteurs puissants de CYP2D6. Ces médicaments peuvent ralentir de façon importante le métabolisme des ATC et entraîner une augmentation significative de leurs concentrations plasmatiques. Envisager de contrôler les concentrations plasmatiques des ATC, dès lors quun ATC doit être administré conjointement à un autre médicament connu comme étant un inhibiteur du CYP2D6. Des ajustements posologiques de lamitriptyline peuvent être nécessaires (voir Posologie/Mode demploi).
  • -Autres inhibiteurs du cytochrome P450 : La cimétidine, le méthylphénidate et les inhibiteurs des canaux calciques (par ex. diltiazem et vérapamil) peuvent augmenter la concentration plasmatique des antidépresseurs tricycliques et la toxicité que cela implique. Il a été observé que les antifongiques tels que le fluconazole (inhibiteur du CYP2C9) et la terbinafine (inhibiteur du CYP2D6) augmentent les concentrations sériques d’amitriptyline et de nortriptyline.
  • -Les isoenzymes CYP3A4 et CYP1A2 participent dans une moindre mesure à la métabolisation de l'amitriptyline. Il a toutefois été démontré que la fluvoxamine (puissant inhibiteur de CYP1A2) augmentait la concentration plasmatique damitriptyline et cette association doit être évitée. Des interactions cliniquement significatives peuvent être attendues avec lutilisation concomitante damitriptyline et de puissants inhibiteurs du CYP3A4 tels que le kétoconazole, litraconazole et le ritonavir.
  • -Les antidépresseurs tricycliques et les neuroleptiques inhibent mutuellement leur métabolisation ; cela peut entraîner un seuil de convulsion plus bas et des crises convulsives. Il peut être nécessaire dajuster la posologie de ces médicaments.
  • -Inducteurs du cytochrome P450 : Les contraceptifs oraux, la rifampicine, la phénytoïne, les barbituriques, la carbamazépine et le millepertuis (Hypericum perforatum) peuvent accélérer le métabolisme des antidépresseurs tricycliques, ce qui entraîne des concentrations plasmatiques plus basses dantidépresseurs tricycliques et une diminution de la réponse aux antidépresseurs.
  • -En présence d'éthanol, les concentrations plasmatiques libres damitriptyline et les concentrations de nortriptyline étaient augmentées.
  • -Grossesse / Allaitement
  • +Dépresseurs du SNC: L'amitriptyline peut augmenter l'effet sédatif de l'alcool, des barbituriques et des autres dépresseurs du système nerveux central.
  • +Effets potentiels d'autres médicaments sur l'amitriptyline
  • +Les antidépresseurs tricycliques (ATC), y compris l'amitriptyline, sont essentiellement métabolisés par les isoenzymes CYP2D6 et CYP2C19 du cytochrome P450 hépatiques, qui sont polymorphes dans la population. Les autres isoenzymes dans le métabolisme de l'amitriptyline sont CYP3A4, CYP1A2 et CYP2C9.
  • +Inhibiteurs de CYP2D6: L'isoenzyme CYP2D6 peut être inhibée par différents médicaments, par ex. les neuroleptiques, les inhibiteurs de recapture de la sérotonine, les bêtabloquants et les antiarythmiques. Le bupropion, la fluoxétine, la paroxétine et la quinidine sont des exemples d'inhibiteurs puissants de CYP2D6. Ces médicaments peuvent ralentir de façon importante le métabolisme des ATC et entraîner une augmentation significative de leurs concentrations plasmatiques. Envisager de contrôler les concentrations plasmatiques des ATC, dès lors qu'un ATC doit être administré conjointement à un autre médicament connu comme étant un inhibiteur du CYP2D6. Des ajustements posologiques de l'amitriptyline peuvent être nécessaires (voir rubrique Posologie/Mode d'emploi).
  • +Autres inhibiteurs du cytochrome P450: La cimétidine, le méthylphénidate et les inhibiteurs des canaux calciques (par ex. diltiazem et vérapamil) peuvent augmenter la concentration plasmatique des antidépresseurs tricycliques et la toxicité que cela implique.
  • +Les isoenzymes CYP3A4 et CYP1A2 participent dans une moindre mesure à la métabolisation de l'amitriptyline. Il a toutefois été démontré que la fluvoxamine (puissant inhibiteur de CYP1A2) augmentait la concentration plasmatique d'amitriptyline et cette association doit être évitée. Des interactions cliniquement significatives peuvent être attendues avec l'utilisation concomitante d'amitriptyline et de puissants inhibiteurs du CYP3A4 tels que le kétoconazole, l'itraconazole et le ritonavir.
  • +Les antidépresseurs tricycliques et les neuroleptiques inhibent mutuellement leur métabolisation; cela peut entraîner un seuil de convulsion plus bas et des crises convulsives. Il peut être nécessaire d'ajuster la posologie de ces médicaments.
  • +Inducteurs du cytochrome P450: La rifampicine, la phénytoïne, les barbituriques, la carbamazépine et le millepertuis (Hypericum perforatum) peuvent accélérer le métabolisme des antidépresseurs tricycliques, ce qui entraîne des concentrations plasmatiques plus basses d'antidépresseurs tricycliques et une diminution de la réponse aux antidépresseurs.
  • +En présence d'éthanol, les concentrations plasmatiques libres d'amitriptyline et les concentrations de nortriptyline étaient augmentées.
  • +Le valproate de sodium et le valpromide peuvent augmenter la concentration plasmatique d'amitriptyline. Par conséquent, une surveillance clinique est recommandée.
  • +Grossesse, allaitement
  • -Les données d'études cliniques relatives à l'utilisation de lamitriptyline chez les femmes enceintes sont limitées.
  • -Les études effectuées chez lanimal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir Données précliniques).
  • +Les données d'études cliniques relatives à l'utilisation de l'amitriptyline chez les femmes enceintes sont limitées.
  • +Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données précliniques).
  • -En cas dutilisation chronique et après une administration au cours des dernières semaines de grossesse, des symptômes de sevrage peuvent apparaître chez le nouveau-né. Cela peut comprendre irritabilité, hypertonie, tremblements, respiration irrégulière, mauvaise prise alimentaire et pleurs intenses, et potentiellement des symptômes anticholinergiques (rétention urinaire, constipation).
  • +En cas d'utilisation chronique et après une administration au cours des dernières semaines de grossesse, des symptômes de sevrage peuvent apparaître chez le nouveau-né. Cela peut comprendre irritabilité, hypertonie, tremblements, respiration irrégulière, mauvaise prise alimentaire et pleurs intenses, et potentiellement des symptômes anticholinergiques (rétention urinaire, constipation).
  • -Lamitriptyline et ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel (correspondant à une quantité de 0,6 % à 1 % de la dose maternelle). Un risque pour le nourrisson allaité ne peut pas être exclu. La décision dinterrompre lallaitement ou dinterrompre le traitement avec ce médicament ou de ne pas lutiliser sera prise en tenant compte du bénéfice de lallaitement pour lenfant et du bénéfice du traitement pour la femme.
  • +L'amitriptyline et ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel (correspondant à une quantité de 0,6% à 1% de la dose maternelle). Un risque pour le nourrisson allaité ne peut pas être exclu. La décision d'interrompre l'allaitement ou d'interrompre le traitement avec ce médicament ou de ne pas l'utiliser sera prise en tenant compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement pour la femme.
  • -Chez les rates, l'amitriptyline a diminué le taux de fertilité (voir Données précliniques).
  • -Aucune donnée nest disponible concernant les effets de l'amitriptyline sur la fertilité chez les humains.
  • +Chez les rates, l'amitriptyline a diminué le taux de fertilité (voir rubrique Données précliniques).
  • +Aucune donnée n'est disponible concernant les effets de l'amitriptyline sur la fertilité chez les humains.
  • -Les patients à qui lon a prescrit des psychotropes peuvent sattendre à une certaine diminution de lattention et de la concentration générales et doivent être mis en garde quant à leur capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Ces effets indésirables peuvent être potentialisés par la prise concomitante dalcool.
  • +Les patients à qui l'on a prescrit des psychotropes peuvent s'attendre à une certaine diminution de l'attention et de la concentration générales et doivent être mis en garde quant à leur capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Ces effets indésirables peuvent être potentialisés par la prise concomitante d'alcool.
  • -L'amitriptyline peut provoquer des effets indésirables similaires à ceux des autres antidépresseurs tricycliques. Certains des effets indésirables indiqués ci-dessous, par ex. céphalées, tremblements, troubles de l'attention, constipation et diminution de la libido, peuvent également être des symptômes de dépression et satténuent généralement lorsque létat dépressif saméliore.
  • -La convention suivante s'applique à la liste ci-dessous :
  • -Très fréquent (>1/10) ;
  • -Fréquent (>1/100, <1/10) ;
  • -Occasionnel (>1/1000, <1/100) ;
  • -Rare (>1/10000, <1/000) ;
  • -Très rare (<1/10000) ;
  • +L'amitriptyline peut provoquer des effets indésirables similaires à ceux des autres antidépresseurs tricycliques. Certains des effets indésirables indiqués ci-dessous, par ex. céphalées, tremblements, troubles de l'attention, constipation et diminution de la libido, peuvent également être des symptômes de dépression et s'atténuent généralement lorsque l'état dépressif s'améliore.
  • +La convention suivante s'applique à la liste ci-dessous:
  • +Très fréquent (>1/10);
  • +Fréquent (>1/100, <1/10);
  • +Occasionnel (>1/1'000, <1/100);
  • +Rare (>1/10'000, <1/'000);
  • +Très rare (<1/10'000);
  • -Rare : Dépression médullaire, agranulocytose, leucopénie, éosinophilie, thrombocytopénie
  • +Rare: Dépression médullaire, agranulocytose, leucopénie, éosinophilie, thrombocytopénie
  • -Rare : Diminution de lappétit
  • -Fréquence indéterminée : Anorexie, augmentation ou diminution de la glycémie
  • +Rare: Diminution de l'appétit
  • +Fréquence indéterminée: Anorexie, augmentation ou diminution de la glycémie
  • -Très fréquent : Agressivité
  • -Fréquent : État de confusion, diminution de la libido, agitation
  • -Occasionnel : Hypomanie, manie, anxiété, insomnie, cauchemars
  • -Rare : Délire (chez les personnes âgées), hallucinations (chez les patients schizophrènes), pensées suicidaires ou comportement suicidaire*
  • -Fréquence indéterminée : Paranoïa
  • -*Des cas de pensées suicidaires ou de comportement suicidaire ont été signalés pendant le traitement ou juste après larrêt du traitement par amitriptyline (voir rubrique Mises en garde et précautions).
  • +Très fréquent: Agressivité
  • +Fréquent: État de confusion, diminution de la libido, agitation
  • +Occasionnel: Hypomanie, manie, anxiété, insomnie, cauchemars
  • +Rare: Délire (chez les personnes âgées), hallucinations, pensées suicidaires ou comportement suicidaire*
  • +Fréquence indéterminée: Paranoïa
  • +* Des cas de pensées suicidaires ou de comportement suicidaire ont été signalés pendant le traitement ou juste après l'arrêt du traitement par amitriptyline (voir rubrique Mises en garde et précautions).
  • -Très fréquent : Somnolence, tremblements, vertiges, céphalées, étourdissement, trouble du langage (dysarthrie)
  • -Fréquent : Troubles de l'attention, dysgueusie, paresthésie, ataxie
  • -Occasionnel : Convulsions
  • -Très rare : Acathisie, polyneuropathie
  • -Fréquence indéterminée : Troubles extrapyramidaux
  • +Très fréquent: Somnolence, tremblements, vertiges, céphalées, étourdissement, trouble du langage (dysarthrie)
  • +Fréquent: Troubles de l'attention, dysgueusie, paresthésie, ataxie
  • +Occasionnel: Convulsions
  • +Très rare: Acathisie, polyneuropathie
  • +Fréquence indéterminée: Troubles extrapyramidaux
  • -Très fréquent : Trouble de laccommodation
  • -Fréquent : Mydriase
  • -Très rare : Glaucome aiguë
  • -Fréquence indéterminée : Sècheresse oculaire
  • +Très fréquent: Trouble de l'accommodation
  • +Fréquent: Mydriase
  • +Très rare: Glaucome aiguë
  • +Fréquence indéterminée: Sècheresse oculaire
  • -Occasionnel : Acouphènes
  • +Occasionnel: Acouphènes
  • -Très fréquent : Palpitations, tachycardie
  • -Fréquent : Bloc auriculoventriculaire, bloc de branche
  • -Occasionnel : Effondrement, aggravation d'une insuffisance cardiaque
  • -Rare : Arythmie
  • -Très rare : Cardiomyopathies, torsades de pointe
  • -Fréquence indéterminée : Myocardite d'hypersensibilité
  • +Très fréquent: Palpitations, tachycardie
  • +Fréquent: Bloc auriculoventriculaire, bloc de branche
  • +Occasionnel: Effondrement, aggravation d'une insuffisance cardiaque
  • +Rare: Arythmie
  • +Très rare: Cardiomyopathies, torsades de pointe
  • +Fréquence indéterminée: Myocardite d'hypersensibilité
  • -Très fréquent : Hypotension orthostatique
  • -Occasionnel : Hypertension
  • -Fréquence indéterminée : Hyperthermie
  • +Très fréquent: Hypotension orthostatique
  • +Occasionnel: Hypertension
  • +Fréquence indéterminée: Hyperthermie
  • -Très fréquent : Nez bouché
  • -Très rare : Inflammation allergique des alvéoles pulmonaires et des tissus pulmonaires (alvéolite, syndrome de Löffler)
  • +Très fréquent: Nez bouché
  • +Très rare: Inflammation allergique des alvéoles pulmonaires et des tissus pulmonaires (alvéolite, syndrome de Löffler)
  • -Très fréquent : Sècheresse buccale, constipation, nausées
  • -Occasionnel : Diarrhée, vomissements, œdème de la langue
  • -Rare : Hypertrophie des glandes salivaires, iléus paralytique
  • +Très fréquent: Sècheresse buccale, constipation, nausées
  • +Occasionnel: Diarrhée, vomissements, œdème de la langue
  • +Rare: Hypertrophie des glandes salivaires, iléus paralytique
  • -Rare : Ictère
  • -Occasionnel : Altération de la fonction hépatique (par ex. maladie hépatique cholestatique)
  • -Fréquence indéterminée : Hépatite
  • +Rare: Ictère
  • +Occasionnel: Altération de la fonction hépatique (par ex. maladie hépatique cholestatique)
  • +Fréquence indéterminée: Hépatite
  • -Très fréquent : Hyperhidrose
  • -Occasionnel : Eruption cutanée, urticaire, œdème du visage
  • -Rare : Alopécie, réaction de photosensibilité
  • +Très fréquent: Hyperhidrose
  • +Occasionnel: Eruption cutanée, urticaire, œdème du visage
  • +Rare: Alopécie, réaction de photosensibilité
  • -Fréquent : Troubles de la miction
  • -Occasionnel : Rétention urinaire
  • +Fréquent: Troubles de la miction
  • +Occasionnel: Rétention urinaire
  • -Fréquent : Troubles Troubles de la miction.
  • -Occasionnel : Galactorrhée
  • -Rare : Gynécomastie
  • -Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • -Fréquent : Fatigue, sensation de soif
  • -Rare : Pyrexie.
  • +Fréquent: Troubles Troubles de la miction.
  • +Occasionnel: Galactorrhée
  • +Rare: Gynécomastie
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquent: Fatigue, sensation de soif
  • +Rare: Pyrexie.
  • -Très fréquent : Prise de poids
  • -Fréquent : Anomalies à lélectrocardiogramme, allongement de lintervalle QT à lélectrocardiogramme, allongement du complexe QRS à lélectrocardiogramme, hyponatrémie
  • -Occasionnel : Augmentation de la pression intraoculaire
  • -Rare : Perte de poids, augmentation de la phosphatase alcaline sanguine, augmentation des transaminases
  • +Très fréquent: Prise de poids
  • +Fréquent: Anomalies à l'électrocardiogramme, allongement de l'intervalle QT à l'électrocardiogramme, allongement du complexe QRS à l'électrocardiogramme, hyponatrémie
  • +Occasionnel: Augmentation de la pression intraoculaire
  • +Rare: Perte de poids, augmentation de la phosphatase alcaline sanguine, augmentation des transaminases
  • -Larrêt brusque du traitement après une administration prolongée peut provoquer des nausées, des céphalées et des malaises. Des rapports font cas de symptômes passagers pouvant inclure de l'excitabilité, de l'agitation, des rêves étranges et des troubles du sommeil lors dune réduction progressive de la dose en l'espace de deux semaines. Dans de rares cas, des signes de manie ou d'hypomanie ont été observés 2 à 7 jours après l'arrêt dun traitement au long cours par des antidépresseurs tricycliques. Des études épidémiologiques, menées principalement chez des patients âgés de plus de 50 ans, montrent un risque accru de fractures osseuses chez les patients recevant des ISRS et des ATC. Le mécanisme qui sous-tend ce risque est inconnu.
  • +L'arrêt brusque du traitement après une administration prolongée peut provoquer des nausées, des céphalées et des malaises. Des rapports font cas de symptômes passagers pouvant inclure de l'excitabilité, de l'agitation, des rêves étranges et des troubles du sommeil lors d'une réduction progressive de la dose en l'espace de deux semaines. Dans de rares cas, des signes de manie ou d'hypomanie ont été observés 2 à 7 jours après l'arrêt d'un traitement au long cours par des antidépresseurs tricycliques. Des études épidémiologiques, menées principalement chez des patients âgés de plus de 50 ans, montrent un risque accru de fractures osseuses chez les patients recevant des ISRS et des ATC. Le mécanisme qui sous-tend ce risque est inconnu.
  • -Les symptômes peuvent se manifester lentement et progressivement ou soudainement et à limproviste. Pendant les premières heures, somnolence ou excitation, agitation et hallucinations, mydriase, tachycardie, rétention urinaire, sècheresse des muqueuses, baisse de la motilité intestinale, crampes et fièvre. Plus tard, dépressions du SNC survenant soudainement. Etourdissement allant jusqu'au coma profond avec dépression respiratoire.
  • -Symptômes cardiaques : Arythmies (tachyarythmie ventriculaire, fibrillation auriculaire), insuffisance cardiaque, hypotension, choc cardiogénique. Sur les échantillons d'ECG pathologiques, les troubles du rythme cardiaque se manifestent par un allongement du complexe QRS. Acidose métabolique, hypokaliémie. Au réveil éventuellement, de nouveau confusion, agitation, hallucinations et ataxie.
  • -Durée : 24 à 72 heures.
  • +Les symptômes peuvent se manifester lentement et progressivement ou soudainement et à l'improviste. Pendant les premières heures, somnolence ou excitation, agitation et hallucinations, mydriase, tachycardie, rétention urinaire, sècheresse des muqueuses, baisse de la motilité intestinale, crampes et fièvre. Plus tard, dépressions du SNC survenant soudainement. Etourdissement allant jusqu'au coma profond avec dépression respiratoire.
  • +Symptômes cardiaques: Arythmies (tachyarythmie ventriculaire, fibrillation auriculaire), insuffisance cardiaque, hypotension, choc cardiogénique. Sur les échantillons d'ECG pathologiques, les troubles du rythme cardiaque se manifestent par un allongement du complexe QRS. Acidose métabolique, hypokaliémie, hyponatrémie.
  • +Au réveil éventuellement, de nouveau confusion, agitation, hallucinations et ataxie.
  • +Durée: 24 à 72 heures.
  • -En raison du potentiel convulsif élevé, le charbon activé est préférable au lavage gastrique. Lors d'intoxications sévères ou d'une altération des réflexes protecteurs, le patient sera intubé au préalable. Pour accélérer l'élimination (décontamination secondaire), des administrations répétées par voie orale de charbon activé peuvent éventuellement être efficaces en cas de surdosage de certains antidépresseurs tricycliques. L'hémodialyse est inefficace lorsquelle est utilisée à des fins de décontamination secondaire.
  • -En cas d'hypotonie artérielle et/ou d'arythmies ventriculaires avec élargissement du complexe QRS sur l'ECG (> 100 ms), un traitement par bicarbonate de sodium (1 mmol/kg) sous forme de bolus ou de perfusion brève (5 min) est indiqué. Ce traitement peut être répété jusqu'à ce que la tension artérielle remonte et que les modifications de l'ECG s'améliorent, sans toutefois dépasser un pH artériel maximal de 7.55. Eventuellement, ajout de lidocaïne par voie I.V. En cas de brady-arythmie, la pose d'un stimulateur temporaire est indiquée. En cas de tachycardie ventriculaire polymorphe de type torsades de pointe : Administration de sulfate de magnésium à 0.5 à 1.5 g par voie I.V. en injection unique.
  • -En cas de crises dépilepsie : Traitement par benzodiazépine par voie I.V.
  • -En cas de coma et/ou d'insuffisance respiratoire : Intubation et ventilation artificielle.
  • -Hyperventilation pour augmenter le pH artériel, uniquement en labsence dadministration concomitante de bicarbonate (risque d'alcalose massive).
  • +En raison du potentiel convulsif élevé, le charbon activé est préférable au lavage gastrique. Lors d'intoxications sévères ou d'une altération des réflexes protecteurs, le patient sera intubé au préalable. Pour accélérer l'élimination (décontamination secondaire), des administrations répétées par voie orale de charbon activé peuvent éventuellement être efficaces en cas de surdosage de certains antidépresseurs tricycliques. L'hémodialyse est inefficace lorsqu'elle est utilisée à des fins de décontamination secondaire.
  • +En cas d'hypotonie artérielle et/ou d'arythmies ventriculaires avec élargissement du complexe QRS sur l'ECG (>100 ms), un traitement par bicarbonate de sodium (1 mmol/kg) sous forme de bolus ou de perfusion brève (5 min) est indiqué. Ce traitement peut être répété jusqu'à ce que la tension artérielle remonte et que les modifications de l'ECG s'améliorent, sans toutefois dépasser un pH artériel maximal de 7,55. Eventuellement, ajout de lidocaïne par voie I.V. En cas de brady-arythmie, la pose d'un stimulateur temporaire est indiquée. En cas de tachycardie ventriculaire polymorphe de type torsades de pointe: Administration de sulfate de magnésium à 0,5 à 1,5 g par voie I.V. en injection unique.
  • +En cas de crises d'épilepsie: Traitement par benzodiazépine par voie I.V.
  • +En cas de coma et/ou d'insuffisance respiratoire: Intubation et ventilation artificielle.
  • +Hyperventilation pour augmenter le pH artériel, uniquement en l'absence d'administration concomitante de bicarbonate (risque d'alcalose massive).
  • -Propriétés / Effets
  • +Propriétés/Effets
  • -Mécanisme daction
  • +Mécanisme d'action
  • -Le mécanisme daction inclut également des effets de blocage des canaux sodiques, potassiques et NMDA tant au niveau central que médullaire. Les effets sur la noradrénaline, le sodium et la NMDA contribuent dans une certaine mesure à la régulation de la douleur neuropathique, ainsi quà la prophylaxie des céphalées de tension chroniques et des migraines. Leffet analgésique de lamitriptyline nest pas lié à ses propriétés antidépressives.
  • +Le mécanisme d'action inclut également des effets de blocage des canaux sodiques, potassiques et NMDA tant au niveau central que médullaire. Les effets sur la noradrénaline, le sodium et la NMDA contribuent dans une certaine mesure à la régulation de la douleur neuropathique, ainsi qu'à la prophylaxie des céphalées de tension chroniques et des migraines. L'effet analgésique de l'amitriptyline n'est pas lié à ses propriétés antidépressives.
  • -L'efficacité et la sécurité de l'amitriptyline ont été démontrées chez ladulte dans le traitement des indications suivantes chez ladulte :
  • -- Episode dépressif majeur
  • -- Douleurs neuropathiques
  • -- Prophylaxie des céphalées de tension chroniques
  • -- Prophylaxie de la migraine
  • -Le doses recommandées sont indiquées dans la rubrique Posologie/Mode demploi.
  • +L'efficacité et la sécurité de l'amitriptyline ont été démontrées chez l'adulte dans le traitement des indications suivantes chez l'adulte:
  • +·Episode dépressif majeur
  • +·Douleurs neuropathiques
  • +·Prophylaxie des céphalées de tension chroniques
  • +·Prophylaxie de la migraine
  • +Le doses recommandées sont indiquées dans la rubrique Posologie/Mode d'emploi.
  • -Suite à lutilisation par voie orale des comprimés, la concentration sérique maximale est atteinte après environ 4 heures (tmax = 3.89±1.87 heures ; plage 1.93-7.98 heures). Suite à l'administration par voie orale de 50 mg, la valeur Cmax moyenne est = 30.95±9.61 ng/ml ; plage 10.85-45.70 ng/ml (111.57±34.64 nmol/l ; plage 39.06-164.52 nmol/l). La biodisponibilité absolue moyenne est de 53% (Fabs = 0.527±0.23 ; plage 0.219-0.756).
  • +Suite à l'utilisation par voie orale des comprimés, la concentration sérique maximale est atteinte après environ 4 heures (tmax = 3,89±1,87 heures; plage 1,93-7,98 heures). Suite à l'administration par voie orale de 50 mg, la valeur Cmax moyenne est = 30,95±9,61 ng/ml; plage 10,85-45,70 ng/ml (111,57±34.64 nmol/l; plage 39,06-164,52 nmol/l). La biodisponibilité absolue moyenne est de 53% (Fabs = 0,527±0,23; plage 0,219-0,756).
  • -Les volumes de distribution apparents estimés (Vd)β après administration par voie intraveineuse sont de 1221 ± 280 L ; plage 769–1702 L (16 ± 3 L/kg).
  • -Les taux de liaison aux protéines dans le plasma est denviron 95%.
  • +Les volumes de distribution apparents estimés (Vd)β après administration par voie intraveineuse sont de 1221 ± 280 L; plage 769–1702 L (16 ± 3 L/kg).
  • +Les taux de liaison aux protéines dans le plasma est d'environ 95%.
  • -In vitro, lamitriptyline est principalement métabolisée par déméthylation (CYP2C19, CYP3A4) et hydroxylation (CYP2D6), suivies par la conjugaison à l'acide glucuronique. Les autres isoenzymes impliquées sont CYP1A2 et CYP2C9. La métabolisation est soumise à l'influence de la polymorphie génétique. Lamine secondaire nortriptyline est le principal métabolite actif.
  • -La nortriptyline inhibe plus fortement la réabsorption de la noradrénaline que de la sérotonine, tandis que l'amitiptyline inhibe la réabsorption de la noradrénaline et de la sérotonine dans la même mesure. D'autres métabolites, comme les cis- et trans-10-hydroxy-amitriptylines et les cis- et trans-10- hydroxynortriptyline, présentent un profil similaire à celui de la nortriptyline, mais sont significativement plus faibles. La déméthylnortriptyline et lamitriptyline-N-oxyde ne sont présents qu'en faible quantité dans le plasma ; le dernier métabolite est quasiment inactif. Tous les métabolites sont moins anticholinergiques que l'amitriptyline et la nortriptyline. Dans le plasma, la 10-hydroxynortriptyline totale domine en termes de quantité, mais la majeure partie des métabolites est conjuguée.
  • +In vitro, l'amitriptyline est principalement métabolisée par déméthylation (CYP2C19, CYP3A4) et hydroxylation (CYP2D6), suivies par la conjugaison à l'acide glucuronique. Les autres isoenzymes impliquées sont CYP1A2 et CYP2C9. La métabolisation est soumise à l'influence de la polymorphie génétique. L'amine secondaire nortriptyline est le principal métabolite actif.
  • +La nortriptyline inhibe plus fortement la réabsorption de la noradrénaline que de la sérotonine, tandis que l'amitiptyline inhibe la réabsorption de la noradrénaline et de la sérotonine dans la même mesure. D'autres métabolites, comme les cis- et trans-10-hydroxy-amitriptylines et les cis- et trans-10- hydroxy-nortriptyline, présentent un profil similaire à celui de la nortriptyline, mais sont significativement plus faibles. La déméthylnortriptyline et l'amitriptyline-N-oxyde ne sont présents qu'en faible quantité dans le plasma; le dernier métabolite est quasiment inactif. Tous les métabolites sont moins anticholinergiques que l'amitriptyline et la nortriptyline. Dans le plasma, la 10-hydroxynortriptyline totale domine en termes de quantité, mais la majeure partie des métabolites est conjuguée.
  • -La demi-vie d'élimination (t½ β) de l'amitriptyline après administration par voie orale est d'environ 25 heures (24.65 ± 6.31 heures ; plage 16.49–40.36 heures). La clairance systémique moyenne (Cls) est de 39.24 ± 10.18 l/h ; plage 24.53–53.73 l/h.
  • -L'élimination se fait principalement par l'urine. La part damitriptyline excrétée inchangée par les reins est insignifiante (environ 2%).
  • -Les concentrations plasmatiques à létat déquilibre de l'amitriptyline + nortriptyline sont atteintes en une semaine chez la plupart des patients ; à l'état stable suivant le traitement par comprimés conventionnels trois fois par jour, le taux plasmatique se compose systématiquement des mêmes taux approximatifs d'amitriptyline et de nortriptyline.
  • +La demi-vie d'élimination (t½ β) de l'amitriptyline après administration par voie orale est d'environ 25 heures (24,65 ± 6,31 heures; plage 16,49–40,36 heures). La clairance systémique moyenne (Cls) est de 39,24 ± 10.18 l/h; plage 24,53–53,73 l/h.
  • +L'élimination se fait principalement par l'urine. La part d'amitriptyline excrétée inchangée par les reins est insignifiante (environ 2%).
  • +Les concentrations plasmatiques à l'état d'équilibre de l'amitriptyline + nortriptyline sont atteintes en une semaine chez la plupart des patients; à l'état stable suivant le traitement par comprimés conventionnels trois fois par jour, le taux plasmatique se compose systématiquement des mêmes taux approximatifs d'amitriptyline et de nortriptyline.
  • -Un trouble de la fonction hépatique peut entraîner une hausse des concentrations plasmatiques compte-tenu de l'excrétion hépatique réduite ; chez ces patients, le médicament ne doit donc être utilisé qu'avec prudence concernant la posologie (voir rubrique Posologie/Mode demploi). Saroten est contre-indiqué en cas de maladie hépatique sévère.
  • +Un trouble de la fonction hépatique peut entraîner une hausse des concentrations plasmatiques compte-tenu de l'excrétion hépatique réduite; chez ces patients, le médicament ne doit donc être utilisé qu'avec prudence concernant la posologie (voir rubrique Posologie/Mode d'emploi). Saroten est contre-indiqué en cas de maladie hépatique sévère.
  • -La métabolisation est soumise à l'influence de la polymorphie génétique (CYP2D6 et CYP2C19) (voir rubrique Posologie/Mode demploi).
  • +La métabolisation est soumise à l'influence de la polymorphie génétique (CYP2D6 et CYP2C19) (voir rubrique Posologie/Mode d'emploi).
  • -Les concentrations plasmatiques en amitriptyline et en nortriptyline varient très fortement d'un individu à l'autre et, pour lheure, aucune corrélation simple n'a pu être établie avec la réponse thérapeutique.
  • -En cas de troubles dépressifs (épisodes d'une dépression majeure), la concentration plasmatique thérapeutique est d'environ 80–200 ng/ml (~280–700 nmol/l) (amitriptyline + nortriptyline). Les concentrations supérieures à 300–400 ng/ml sont associées à un risque accru de troubles de la conduction cardiaque prenant la forme dun allongement du complexe QRS ou d'un bloc AV.
  • +Les concentrations plasmatiques en amitriptyline et en nortriptyline varient très fortement d'un individu à l'autre et, pour l'heure, aucune corrélation simple n'a pu être établie avec la réponse thérapeutique.
  • +En cas de troubles dépressifs (épisodes d'une dépression majeure), la concentration plasmatique thérapeutique est d'environ 80–200 ng/ml (~280–700 nmol/l) (amitriptyline + nortriptyline). Les concentrations supérieures à 300–400 ng/ml sont associées à un risque accru de troubles de la conduction cardiaque prenant la forme d'un allongement du complexe QRS ou d'un bloc AV.
  • -Aucun effet tératogène n'a été observé dans les études sur la reproduction menées avec des souris, des rates et des lapines ayant reçu de l'amitriptyline par voie orale à des doses allant de 2 à 40 mg/kg/jour (soit jusqu'à 13 fois la dose maximale d'amitryptyline recommandée chez l'homme de 150 mg/jour ou 3 mg/kg/jour pour un poids corporel de 50 kg). Toutefois, des données issues de la littérature démontrent un risque de fausse-couche et un retardement de l'ossification chez les souris, les hamsters, les rats et les lapins à des doses 9 à 33 fois supérieures à la dose maximale recommandée. Chez les rates, il existait une association potentielle avec un effet sur la fertilité (prenant la forme dune baisse du taux de fertilité). Le motif de cet effet sur la fertilité est inconnu.
  • +Aucun effet tératogène n'a été observé dans les études sur la reproduction menées avec des souris, des rates et des lapines ayant reçu de l'amitriptyline par voie orale à des doses allant de 2 à 40 mg/kg/jour (soit jusqu'à 13 fois la dose maximale d'amitryptyline recommandée chez l'homme de 150 mg/jour ou 3 mg/kg/jour pour un poids corporel de 50 kg). Toutefois, des données issues de la littérature démontrent un risque de fausse-couche et un retardement de l'ossification chez les souris, les hamsters, les rats et les lapins à des doses 9 à 33 fois supérieures à la dose maximale recommandée. Chez les rates, il existait une association potentielle avec un effet sur la fertilité (prenant la forme d'une baisse du taux de fertilité). Le motif de cet effet sur la fertilité est inconnu.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention « EXP » sur lemballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -66978 (Swissmedic)
  • +66978 (Swissmedic).
  • -Lundbeck (Schweiz) AG, Opfikon
  • +Lundbeck (Schweiz) AG, Opfikon.
  • -Novembre 2018
  • -20181210FI
  • +Octobre 2019.
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