42 Changements de l'information professionelle Amgevita 40 mg/0.8 ml |
-Chez certains patients, lors d'une monothérapie par adalimumab, on observe une diminution de l'effet du médicament. Dans ces cas, une augmentation de la dose d'AMGEVITA à 40 mg d'adalimumab par semaine peut être avantageuse.
- +Chez certains patients, lors d'une monothérapie par adalimumab, on observe une diminution de l'effet du médicament. Dans ces cas, une augmentation de la dose d'AMGEVITA à 40 mg d'adalimumab par semaine ou 80 mg toutes les deux semaines, peut être avantageuse.
-Les patients subissant une perte d'efficacité après avoir atteint une réponse primaire peuvent profiter d'une augmentation de la dose d'AMGEVITA à 40 mg une fois par semaine.
- +Les patients subissant une perte d'efficacité après avoir atteint une réponse primaire peuvent profiter d'une augmentation de la dose d'AMGEVITA à 40 mg une fois par semaine ou à 80 mg toutes les deux semaines.
-Après 16 semaines, une augmentation de la dose d'AMGEVITA à 40 mg par semaine peut être utile chez les patients présentant une perte secondaire de la réponse au traitement après avoir atteint initialement une réponse au moins partielle. Si une réponse suffisante est obtenue avec une dose plus élevée, on peut envisager de réduire à nouveau la dose à 40 mg toutes les deux semaines. Chez les patients qui n'atteignent pas une réponse suffisante en l'espace de 16 semaines même après l'augmentation de la dose d'AMGEVITA à 40 mg par semaine, la poursuite du traitement doit être abandonnée.
- +Après 16 semaines, une augmentation de la dose d'AMGEVITA à 40 mg par semaine ou à 80 mg toutes les deux semaines, peut être utile chez les patients présentant une perte secondaire de la réponse au traitement après avoir atteint initialement une réponse au moins partielle. Si une réponse suffisante est obtenue avec une dose plus élevée, on peut envisager de réduire à nouveau la dose à 40 mg toutes les deux semaines. Chez les patients qui n'atteignent pas une réponse suffisante en l'espace de 16 semaines même après l'augmentation de la dose d'AMGEVITA à 40 mg par semaine ou à 80 mg toutes les deux semaines, la poursuite du traitement doit être abandonnée.
-La dose recommandée d'AMGEVITA pour les patients adultes atteints d'hidradénite suppurée est une dose initiale de 160 mg (en quatre injections administrées soit le même jour ou de deux injections par jour pendant 2 jours consécutifs) la semaine 0, puis dose de 80 mg la semaine 2. Dès la semaine 4 après la dose initiale, la dose est de 40 mg une fois par semaine. AMGEVITA est administré par injection sous-cutanée.
- +La dose recommandée d'AMGEVITA pour les patients adultes atteints d'hidradénite suppurée est une dose initiale de 160 mg (en quatre injections administrées soit le même jour ou de deux injections par jour pendant 2 jours consécutifs) la semaine 0, puis dose de 80 mg la semaine 2. Dès la semaine 4 après la dose initiale, la dose est de 40 mg une fois par semaine ou de 80 mg toutes les deux semaines. AMGEVITA est administré par injection sous-cutanée.
-Le traitement par AMGEVITA peut être commencé en association avec des corticostéroïdes et/ou en association avec d'autres immunosuppresseurs non biologiques. Une co-administration de corticostéroïdes peut progressivement être réduite après l'instauration du traitement par AMGEVITA (cf. «Propriétés/Effets»).
- +Le traitement par AMGEVITA peut être commencé en association avec des corticostéroïdes et/ou en association avec d'autres immunosuppresseurs non biologiques. Une co-administration de corticostéroïdes peut progressivement être réduite après l'instauration du traitement par AMGEVITA (voir aussi «Propriétés/Effets»).
-Chez les patients âgés de 4 à 17 ans qui souffrent d'arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire, la dose d'AMGEVITA recommandée dépend du poids corporel (tableau 1). AMGEVITA est injectée par voie sous-cutanée toutes les deux semaines.
- +Chez les patients âgés de 4 à 17 ans qui souffrent d'arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire, la dose recommandée dépend du poids corporel (tableau 1). AMGEVITA est injectée par voie sous-cutanée toutes les deux semaines.
-Certains patients n'atteignant pas une réponse suffisante au traitement peuvent profiter d'une fréquence d'administration hebdomadaire si une poussée de la maladie ou une réponse insuffisante est observée au cours du traitement d'entretien.
- +Certains patients n'atteignant pas une réponse suffisante au traitement peuvent profiter d'une augmentation de la dose d'AMGEVITA si une poussée de la maladie ou une réponse insuffisante est observée au cours du traitement d'entretien:
- +·<40 kg de poids corporel:
- +·20 mg par semaine
- +·≥40 kg de poids corporel:
- +·si 40 mg ont été administrés toutes les deux semaines auparavant: 40 mg par semaine ou 80 mg toutes les deux semaines, ou
- +·si 20 mg ont été administrés toutes les deux semaines auparavant: 20 mg par semaine
-Une relation a été établie entre l'utilisation d'antagonistes du TNF, adalimumab inclus, et la réactivation du virus de l'hépatite B (VHB) chez des patients porteurs chroniques de ce virus. Dans quelques cas, la réactivation du VHB sous traitement par antagonistes du TNF a eu des conséquences fatales. La plupart de ces patients prenaient concomitamment d'autres médicaments immuno-suppresseurs pouvant également contribuer à une réactivation du VHB. Il convient, pour les patients présentant un risque d'infection par le VHB, de rechercher des signes de cette infection avant de commencer le traitement par des antagonistes du TNF. Il convient de prescrire avec prudence les antagonistes du TNF aux patients identifiés comme étant porteurs du VHB. Il convient de surveiller de très près, chez les patients porteurs du VHB et ayant besoin d'un traitement par antagonistes du TNF, les signes et les symptômes d'une infection active par le VHB pendant le traitement et pendant quelques mois après la fin du traitement. Aucune donnée suffisante n'est disponible concernant la sécurité et l'efficacité chez les patients porteurs du VHB traités concomitamment par un antiviral et des antagonistes du TNF pour empêcher la réactivation de l'hépatite B. En cas de réactivation du VHB, le traitement par AMGEVITA doit être stoppé et un traitement antiviral efficace doit être instauré.
- +Une relation a été établie entre l'utilisation d'antagonistes du TNF, adalimumab inclus, et la réactivation du virus de l'hépatite B (VHB) chez des patients porteurs chroniques de ce virus. Dans quelques cas, la réactivation du VHB sous traitement par antagonistes du TNF a eu des conséquences fatales. La plupart de ces patients prenaient concomitamment d'autres médicaments immuno-suppresseurs pouvant également contribuer à une réactivation du VHB. Les patients présentant un risque d'infection par le VHB doivent être examinés avant le début du traitement par les antagonistes du TNF afin de détecter tout signe d'infection par le VHB. Il convient de prescrire avec prudence les antagonistes du TNF aux patients identifiés comme étant porteurs du VHB. Il convient de surveiller de très près, chez les patients porteurs du VHB et ayant besoin d'un traitement par antagonistes du TNF, les signes et les symptômes d'une infection active par le VHB pendant le traitement et pendant quelques mois après la fin du traitement. Aucune donnée suffisante n'est disponible concernant la sécurité et l'efficacité chez les patients porteurs du VHB traités concomitamment par un antiviral et des antagonistes du TNF pour empêcher la réactivation de l'hépatite B. En cas de réactivation du VHB, le traitement par AMGEVITA doit être stoppé et un traitement antiviral efficace doit être instauré.
-L'administration concomitante d'adalimumab avec d'autres DMARDS biologiques (p.ex. anakinra ou abatacept) ou d'autres antagonistes du TNF n'est pas recommandée à cause du risque éventuel d'infections et d'autres interactions pharmacologiques éventuelles.
- +L'administration concomitante d'adalimumab avec d'autres DMARDs biologiques (p.ex. anakinra ou abatacept) ou d'autres antagonistes du TNF n'est pas recommandée à cause du risque éventuel d'infections et d'autres interactions pharmacologiques éventuelles.
-Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose de 0,4 ml / 0,8 ml, c'està-dire qu'il est quasiment «sans sodium».
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose de 0,4 ml / 0,8 ml, c'est-à-dire qu'il est quasiment «sans sodium».
-Au cours des études contrôlées et ouvertes portant sur l'adalimumab chez l'adulte et l'enfant, des infections graves (ayant, rarement, une issue fatale) incluant des cas de tuberculose (miliaire et extra-pulmonaire) et des infections opportunistes invasives (comme histoplasmose disséminée ou extrapulmonaire, blastomycose, coccidioïdomycose, infection à Pneumocystis, candidose (muguet), aspergillose et listériose) ont été signalées. La plupart des cas de tuberculose sont survenus dans les huit premiers mois après le début du traitement et peuvent être le reflet d'une réactivation d'une maladie latente. L'incidence de la réactivation d'une tuberculose a été particulièrement élevée lors de l'administration de doses d'adalimumab supérieures à celles recommandées.
- +Au cours des études contrôlées et ouvertes portant sur l'adalimumab chez l'adulte et l'enfant, des infections graves (ayant, rarement, une issue fatale) incluant des cas de tuberculose (miliaire et extra-pulmonaire) et des infections opportunistes invasives (p.ex. histoplasmose disséminée ou extrapulmonaire, blastomycose, coccidioïdomycose, infection à Pneumocystis, candidose (muguet), aspergillose et listériose) ont été signalées. La plupart des cas de tuberculose sont survenus dans les huit premiers mois après le début du traitement et peuvent être le reflet d'une réactivation d'une maladie latente. L'incidence de la réactivation d'une tuberculose a été particulièrement élevée lors de l'administration de doses d'adalimumab supérieures à celles recommandées.
-L'étude 2 a évalué 544 patients présentant une polyarthrite rhumatoïde active modérée à sévère, ayant ≥18 ans ou plus, en échec d'un traitement comportant au moins un antirhumatismal de fond. Les patients présentaient ≥10 articulations enflées et ≥12 articulations sensibles à la pression et avaient également été diagnostiqués selon les critères de l'ACR. Pendant 26 semaines, les patients ont reçu par injection sous-cutanée 20 ou 40 mg d'adalimumab toutes les deux semaines, en alternance avec un placebo la semaine suivante, ou un placebo chaque semaine. Le placebo a été administré chaque semaine au même moment. Les patients ne suivaient aucun traitement d'appoint par agents antirhumatismaux de fond.
- +L'étude 2 a évalué 544 patients présentant une polyarthrite rhumatoïde active modérée à sévère, ayant ≥18 ans ou plus, en échec d'un traitement comportant au moins un antirhumatismal de fond. Les patients présentaient ≥10 articulations enflées et ≥12 articulations sensibles à la pression et avaient également été diagnostiqués selon les critères de l'ACR. Pendant 26 semaines, les patients ont reçu par injection sous-cutanée 20 ou 40 mg d'adalimumab toutes les deux semaines, en alternance avec un placebo la semaine suivante, ou un placebo chaque semaine. Le placebo a été administré chaque semaine au même moment. Les patients n'ont pas reçu de traitement concomitant par DMARDs.
-La sécurité et l'efficacité de l'adalimumab ont été évaluées dans une étude multicentrique randomisée, en double aveugle, par groupes parallèles, auprès de 171 enfants (de 4 à 17 ans) atteints d'AJI polyarticulaire. L'analyse a été effectuée après avoir stratifié les patients en deux groupes: ceux qui recevaient du méthotrexate (MTX) et ceux qui n'en recevaient pas. Les patients ont reçu des doses stables d'AINS et/ou de prednisone (≤0,2 mg/kg/jour ou au maximum 10 mg par jour). Dans la phase initiale en ouvert («open-label lead-in», OL LI), d'une durée de 16 semaines, tous les patients ont reçu toutes les deux semaines une dose d'adalimumab de 24 mg/m2 (sans dépasser une dose maximale de 40 mg). La répartition des patients est présentée dans le tableau 8.
- +La sécurité et l'efficacité de l'adalimumab ont été évaluées dans une étude multicentrique randomisée, en double aveugle, par groupes parallèles, auprès de 171 enfants (de 4 à 17 ans) atteints d'AJI polyarticulaire. L'analyse a été effectuée après avoir stratifié les patients en deux groupes: ceux qui recevaient du méthotrexate (MTX) et ceux qui n'en recevaient pas. Les patients ont reçu des doses stables d'AINS et/ou de prednisone (≤0,2 mg/kg/jour ou au maximum 10 mg par jour). Dans la phase initiale en ouvert («open-label lead-in», OL LI), d'une durée de 16 semaines, tous les patients ont reçu toutes les deux semaines une dose d'adalimumab de 24 mg/m2 (sans dépasser une dose maximale de 40 mg). La répartition des patients est présentée dans le tableau 9.
-Au bout de 16 semaines (à l'issue de la phase OL LI), 94,1% (80 patients sur 85) du groupe sous adalimumab et MTX et 74,4% (64 patients sur 86) du groupe sous adalimumab en monothérapie avaient atteint une réponse ACR30. Les résultats de la période en double aveugle sont présentés dans le tableau 9.
- +Au bout de 16 semaines (à l'issue de la phase OL LI), 94,1% (80 patients sur 85) du groupe sous adalimumab et MTX et 74,4% (64 patients sur 86) du groupe sous adalimumab en monothérapie avaient atteint une réponse ACR30. Les résultats de la période en double aveugle sont présentés dans le tableau 10.
-Il est apparu que la réponse globale au traitement associant l'adalimumab et le MTX était supérieure et que moins de patients ayant reçu ce traitement ont développé des anticorps en comparaison avec le groupe sous adalimumab seul. Compte tenu de ces résultats, il est recommandé d'utiliser l'adalimumab en association avec le MTX. L'utilisation de l'adalimumab en monothérapie n'est recommandée que chez les patients pour lesquels le MTX est inapproprié (cf. «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Il est apparu que la réponse globale au traitement associant l'adalimumab et le MTX était supérieure et que moins de patients ayant reçu ce traitement ont développé des anticorps en comparaison avec le groupe sous adalimumab seul. Compte tenu de ces résultats, il est recommandé d'utiliser l'adalimumab en association avec le MTX. L'utilisation de l'adalimumab en monothérapie n'est recommandée que chez les patients pour lesquels le MTX est inapproprié (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Parmi les patients traités par la dose standard, l'administration de glucocorticoïdes a été arrêtée chez 84,8% à 26 semaines et chez 69,7% à 52 semaines (n=33). À 52 semaines, 30% des patients avaient arrêté les immunosuppresseurs (arrêt selon l'appréciation par le médecin investigateur, à 26 semaines ou plus tard, si le patient remplissait le critère d'une réponse clinique) (n=60). La rémission des fistules (définie comme la fermeture de toutes les fistules drainantes présentes au début de l'étude et objectivée lors d'au moins deux visites consécutives au cours de l'étude) était de 46,7% à 26 semaines et de 40,0% à 52 semaines chez les patients traités par la dose standard (n=15).
- +Parmi les patients traités par la dose standard, l'administration de glucocorticoïdes a été arrêtée chez 84,8% à 26 semaines et chez 69,7% à 52 semaines (n=33). À 52 semaines, 30,0% des patients avaient arrêté les immunosuppresseurs (arrêt selon l'appréciation par le médecin investigateur, à 26 semaines ou plus tard, si le patient remplissait le critère d'une réponse clinique) (n=60). La rémission des fistules (définie comme la fermeture de toutes les fistules drainantes présentes au début de l'étude et objectivée lors d'au moins deux visites consécutives au cours de l'étude) était de 46,7% à 26 semaines et de 40,0% à 52 semaines chez les patients traités par la dose standard (n=15).
-La distribution des âges des patients est présentée dans le Tableau 16.
- +La distribution des âges des patients est présentée dans le tableau 17.
-17 (45 %) des patients avaient reçu auparavant un traitement systémique (étanercept et/ou agents non biologiques tels qu'acitrétine, ciclosporine, méthotrexate, etc.). Les patients non-répondeurs aux traitements antérieurs par le méthotrexate étaient exclus de cette étude.
- +17 (45 %) des patients avaient reçu auparavant un traitement systémique (étanercept et/ou agents non biologiques tels qu'acitrétine, ciclosporine, méthotrexate, etc). Les patients non-répondeurs aux traitements antérieurs par le méthotrexate étaient exclus de cette étude.
-* P<0,05, *** P<0,001, adalimumab vs placebo
- +* p<0,05, *** P<0,001, adalimumab vs placebo
-Après administration sous-cutanée de 40 mg d'adalimumab toutes les deux semaines à des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde, on peut prévoir l'accumulation d'adalimumab, en fonction de la demi-vie, à des concentrations moyennes à l'état d'équilibre d'environ 5 µg/ml (sans administration concomitante de méthotrexate) et de 8 à 9 µg/ml (avec administration concomitante de méthotrexate). À l'état d'équilibre, les concentrations sériques minimales d'adalimumab après administration souscutanée de 20, 40 et 80 mg toutes les deux semaines ou chaque semaine augmentent de manière proportionnelle à la dose.
- +Après administration sous-cutanée de 40 mg d'adalimumab toutes les deux semaines à des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde, on peut prévoir l'accumulation d'adalimumab, en fonction de la demi-vie, à des concentrations moyennes à l'état d'équilibre d'environ 5 µg/ml (sans administration concomitante de méthotrexate) et de 8 à 9 µg/ml (avec administration concomitante de méthotrexate). À l'état d'équilibre, les concentrations sériques minimales d'adalimumab après administration sous-cutanée de 20, 40 et 80 mg toutes les deux semaines ou chaque semaine augmentent de manière proportionnelle à la dose.
- +Exposition des patients au traitement par 80 mg d'adalimumab toutes les deux semaines et son efficacité
- +La modélisation et les simulations pharmacocinétiques/pharmacodynamiques ont permis de prévoir une exposition et une efficacité d'adalimumab chez les patients en ayant reçu 80 mg toutes les deux semaines comparable à l'administration hebdomadaire de 40 mg. La modélisation pharmacocinétique conçue pour pronostiquer l'exposition et la modélisation pharmacocinétique/pharmacodynamique conçue pour pronostiquer l'efficacité du traitement ont porté sur des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde, de colite ulcéreuse, de psoriasis, d'hidrosadénite suppurée ou des patients pédiatriques au poids corporel ≥40 kg atteints de la maladie de Crohn. Parmi ces populations, seuls les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (74/1664) ont reçu 80 mg toutes les deux semaines.
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-Décembre 2022
- +Mai 2023
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