46 Changements de l'information professionelle Ezetimib axapharm 10 mg |
-Emploi chez des patients âgés
-Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients âgés (voir également sous «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
-Emploi chez des patients pédiatriques
-Enfants et adolescents à partir de 10 ans: aucune adaptation posologique n’est nécessaire (voir sous «Pharmacocinétique»).
-Enfants de moins de 10 ans: un traitement à l’ézétimibe n’est pas recommandé.
-Emploi en cas d’insuffisance hépatique
- +Instructions posologiques particulières
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
-Emploi en cas de troubles de la fonction rénale
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Patients âgés
- +Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients âgés (voir également sous «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
- +Enfants et adolescents
- +Enfants et adolescents à partir de 10 ans: aucune adaptation posologique n’est nécessaire (voir sous «Pharmacocinétique»).
- +Enfants de moins de 10 ans: un traitement à l’ézétimibe n’est pas recommandé.
-Dans une étude clinique randomisée et contrôlée, avec une durée d’observation médiane de 4.9 ans, plus de 9'000 patients souffrant d’une affection rénale chronique ont reçu soit de l’ézétimibe 10 mg en association avec de la simvastatine dosée à 20 mg par jour (n = 4650), soit un placebo (n = 4620). L’incidence de myopathie/rhabdomyolyse a été de 0.2% sous l’association ézétimibe/simvastatine et de 0.1% sous placebo.
- +Dans une étude clinique randomisée et contrôlée, avec une durée d’observation médiane de 4.9 ans, plus de 9'000 patients souffrant d’une affection rénale chronique ont reçu soit de l’ézétimibe 10 mg en association avec de la simvastatine dosée à 20 mg par jour (n=4650), soit un placebo (n=4620). L’incidence de myopathie/rhabdomyolyse a été de 0.2% sous l’association ézétimibe/simvastatine et de 0.1% sous placebo.
-Il n’existe pas de donnée clinique concernant l’utilisation en cas de grossesse. Les études de monothérapie avec l’ézétimibe menées sur des animaux n’ont pas mis en évidence, directement ou indirectement, d’effet nocif sur la grossesse, le développement embryonnaire/foetal, la naissance ou le développement post-natal (voir sous «Données précliniques»). Toutefois, la prudence est de rigueur en cas de prescription d’ézétimibe à des femmes enceintes.
-L’utilisation simultanée d’ézétimibe et de lovastatine, de simvastatine, de pravastatine ou d’atorvastatine dans le cadre d’études sur le développement embryonnaire/foetal chez des rates gravides n’a pas mis en évidence d’effet tératogène. Chez des lapines gravides, un faible nombre de malformations squelettiques a été observé (voir sous «Données précliniques»). Lors de l’utilisation simultanée d’ézétimibe et de fénofibrate, aucun effet tératogène n’a été observé chez les rats et les lapins.
- +Il n’existe pas de donnée clinique concernant l’utilisation en cas de grossesse. Les études de monothérapie avec l’ézétimibe menées sur des animaux n’ont pas mis en évidence, directement ou indirectement, d’effet nocif sur la grossesse, le développement embryonnaire/fœtal, la naissance ou le développement post-natal (voir sous «Données précliniques»). Toutefois, la prudence est de rigueur en cas de prescription d’ézétimibe à des femmes enceintes.
- +L’utilisation simultanée d’ézétimibe et de lovastatine, de simvastatine, de pravastatine ou d’atorvastatine dans le cadre d’études sur le développement embryonnaire/fœtal chez des rates gravides n’a pas mis en évidence d’effet tératogène. Chez des lapines gravides, un faible nombre de malformations squelettiques a été observé (voir sous «Données précliniques»). Lors de l’utilisation simultanée d’ézétimibe et de fénofibrate, aucun effet tératogène n’a été observé chez les rats et les lapins.
-Période d’allaitement
- +Allaitement
-Investigations
-Occasionnel: augmentation d’ALAT et/ou ASAT, de CPK, de γ-GT ou des tests fonctionnels hépatiques.
-Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
-Occasionnel: toux.
-Troubles gastro-intestinaux
-Fréquent: douleurs abdominales, diarrhées, flatulence.
-Occasionnel: dyspepsie, reflux gastro-oesophagien, nausées.
-Troubles du système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
-Occasionnel: arthralgie, crampes musculaires, douleurs cervicales.
-Troubles vasculaires
-
- +Affections vasculaires
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnel: toux.
- +Affections gastro-intestinales
- +Fréquent: douleurs abdominales, diarrhées, flatulence.
- +Occasionnel: dyspepsie, reflux gastro-œsophagien, nausées.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Occasionnel: arthralgie, crampes musculaires, douleurs cervicales.
-Autres effets sous traitement associant l’ézétimibe et une statine
-Fréquent: augmentation d’ALAT et/ou ASAT.
-Troubles du système nerveux
- +Occasionnel: augmentation d’ALAT et/ou ASAT, de CPK, de γ-GT ou des tests fonctionnels hépatiques.
- +Autres effets sous traitement associant l'ézétimibe et une statine
- +Affections du système nerveux
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
- +Affections de la peau et du tissus sous-cutané
-Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
-Traitement associant l’ézétimibe et le fénofibrate
-Troubles gastro-intestinaux
- +Investigations
- +Fréquent: augmentation d'ALAT et/ou ASAT.Traitement associant l’ézétimibe et le fénofibrate
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Troubles du système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles du système nerveux
- +Affections psychiatriques
- +Dépression.
- +Affections du système nerveux
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Dyspnée.
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles hépato-biliaires
-Hépatite, ictère, cholélithiase, cholécystite.
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
-Erythème polymorphe.
-Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
- +Affections hépatobiliaires
- +Hépatite, ictère, cholélithiase, cholécystite, lésions hépatiques induites par un médicament.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Effets indésirables cutanés sévères (Severe Cutaneous Adverse Reactions, SCARs), incluant syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), nécrolyse épidermique toxique (NET), réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) et érythème polymorphe.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
-Investigations
-Augmentation des transaminases, augmentation des taux de CPK.
-Troubles psychiatriques
-Dépression.
-Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
-Dyspnée.
-
- +Investigations
- +Augmentation des transaminases, augmentation des taux de CPK.
-Changement moyen sous l’ézétimibe chez des patients atteints d’hypercholestérolémie familiale homozygote
-(changement moyen en pour cent par rapport au taux initial)
- +Changement moyen sous l’ézétimibe chez des patients atteints d’hypercholestérolémie familiale homozygote (changement moyen en pour cent par rapport au taux initial)
-Après administration orale, l’ézétimibe est rapidement absorbé et principalement conjugué en un phénylglucuronide (glucuronide d’ézétimibe) pharmacologiquement actif. La concentration plasmatique maximale moyenne (Cmax) est atteinte en 1-2 heures pour le glucuronide d’ézétimibe et après 4-12 heures pour l’ézétimibe. La biodisponibilité absolue de l’ézétimibe ne peut pas être déterminée, car la substance est pratiquement insoluble dans les solutions aqueuses convenant aux injections.
- +Après administration orale, l’ézétimibe est rapidement absorbé et principalement conjugué en un phényl-glucuronide (glucuronide d’ézétimibe) pharmacologiquement actif. La concentration plasmatique maximale moyenne (Cmax) est atteinte en 1-2 heures pour le glucuronide d’ézétimibe et après 4-12 heures pour l’ézétimibe. La biodisponibilité absolue de l’ézétimibe ne peut pas être déterminée, car la substance est pratiquement insoluble dans les solutions aqueuses convenant aux injections.
-Patients pédiatriques
-L’absorption et le métabolisme de l’ézétimibe chez les enfants et les adolescents (10-18 ans) sont similaires à ceux chez l’adulte. Il n’existe pas de différence entre la pharmacocinétique de l’ézétimibe total chez les adolescents et celle chez les adultes. A ce jour, on ne dispose d’aucune donnée concernant la pharmacocinétique chez les enfants de moins de 10 ans. L’expérience clinique concernant le traitement des enfants et des adolescents (9-17 ans) se limite aux cas de patients atteints d’hypercholestérolémie familiale homozygote ou de sitostérolémie.
-Patients âgés
-Les concentrations plasmatiques de l’ézétimibe total sont environ deux fois plus élevés chez les patients âgés (plus de 65 ans) que chez les patients plus jeunes (18-45 ans). La baisse de la valeur du cholestérol LDL et le profil de sécurité de l’ézétimibe sont toutefois similaires chez les volontaires âgés ou plus jeunes. C’est pourquoi aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients plus âgés, mais aucune étude clinique spécifique n’a été réalisée chez des patients plus âgés atteints d’insuffisance hépatique ou rénale.
-Insuffisance rénale
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Après administration d’une dose unique de 10 mg d’ézétimibe à des patients atteints d’insuffisance hépatique légère (score de Child Pugh 5 ou 6), l’AUC pour l’ézétimibe total était environ 1.7 fois plus élevée que chez les volontaires sains. Dans une étude d’une durée de 14 jours avec administrations multiples (10 mg par jour) chez des patients atteints d’une insuffisance hépatique modérée (score de Child Pugh 7-9), l’AUC moyenne pour l’ézétimibe total au premier et au quatorzième jour était environ 4 fois plus élevée que celle de volontaires sains. Pour les patients atteints d’insuffisance hépatique légère, aucune adaptation posologique n’est normalement nécessaire. Étant donné que les suites d’une exposition accrue à l’ézétimibe total des patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (score de Child Pugh >9) ne sont pas connues, l’ézétimibe n’est pas recommandé chez ces patients (voir sous «Mises en garde et précautions»).
- +Troubles de la fonction rénale
-Insuffisance hépatique
-Après administration d’une dose unique de 10 mg d’ézétimibe à des patients atteints d’insuffisance hépatique légère (score de Child Pugh 5 ou 6), l’AUC pour l’ézétimibe total était environ 1.7 fois plus élevée que chez les volontaires sains. Dans une étude d’une durée de 14 jours avec administrations multiples (10 mg par jour) chez des patients atteints d’une insuffisance hépatique modérée (score de Child Pugh 7-9), l’AUC moyenne pour l’ézétimibe total au premier et au quatorzième jour était environ 4 fois plus élevée que celle de volontaires sains. Pour les patients atteints d’insuffisance hépatique légère, aucune adaptation posologique n’est normalement nécessaire. Étant donné que les suites d’une exposition accrue à l’ézétimibe total des patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (score de Child Pugh >9) ne sont pas connues, l’ézétimibe n’est pas recommandé chez ces patients (voir sous «Mises en garde et précautions»).
- +Patients âgés
- +Les concentrations plasmatiques de l’ézétimibe total sont environ deux fois plus élevés chez les patients âgés (plus de 65 ans) que chez les patients plus jeunes (18-45 ans). La baisse de la valeur du cholestérol LDL et le profil de sécurité de l’ézétimibe sont toutefois similaires chez les volontaires âgés ou plus jeunes. C’est pourquoi aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients plus âgés, mais aucune étude clinique spécifique n’a été réalisée chez des patients plus âgés atteints d’insuffisance hépatique ou rénale.
- +Enfants et adolescents
- +L’absorption et le métabolisme de l’ézétimibe chez les enfants et les adolescents (10-18 ans) sont similaires à ceux chez l’adulte. Il n’existe pas de différence entre la pharmacocinétique de l’ézétimibe total chez les adolescents et celle chez les adultes. A ce jour, on ne dispose d’aucune donnée concernant la pharmacocinétique chez les enfants de moins de 10 ans. L’expérience clinique concernant le traitement des enfants et des adolescents (9-17 ans) se limite aux cas de patients atteints d’hypercholestérolémie familiale homozygote ou de sitostérolémie.
-Décembre 2012.
- +Février 2024.
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