46 Changements de l'information professionelle Libtayo 350 mg/7 ml |
-L-Histidinum, L-Histidini monohydrochloridum monohydricum, Lprolinum, saccharum, polysorbatum 80, aqua ad iniectabilia.
- +L-Histidinum, L-Histidini monohydrochloridum monohydricum, L-prolinum, saccharum, polysorbatum 80, aqua ad iniectabilia.
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
- +Appétit diminué Très fréquent 13,0 0,6 Très fréquent 17,0 1,0
- +Hyperglycémie Fréquent 3,4 0,8 Très fréquent 17,6 1,9
- +Hypoalbuminémie Fréquent 5,3 0,8 Très fréquent 10,3 0,6
- +Affections psychiatriques
- +Insomnie Fréquent 5,8 0 Très fréquent 10,9 0
- +Uvéitedd Rare < 0,1 < 0,1 0 0
- +
-Troubles du métabolisme et de la nutrition
-Appétit diminué Très fréquent 13,0 0,6 Très fréquent 17,0 1,0
-Hyperglycémie Fréquent 3,4 0,8 Très fréquent 17,6 1,9
-Hypoalbuminémie Fréquent 5,3 0,8 Très fréquent 10,3 0,6
-Augmentation de la gammaglutamyltransférase Occasionnel 0,9 0,2 Occasionnel 0,6 0,3
-Affections psychiatriques
-Insomnie Fréquent 5,8 0 Très fréquent 10,9 0
- +Augmentation de la gamma-glutamyltransférase Occasionnel 0,9 0,2 Occasionnel 0,6 0,3
- +dd. Rapporté dans des études cliniques en dehors de l'ensemble des données de sécurité regroupées.
-Trente-trois patients sur 1281 (2,6%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire, dont 4 (0,3%) de grade 4 et 8 (0,6%) de grade 3. La pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire a conduit à l'arrêt définitif du cémiplimab chez 17 patients sur 1281 (1,3%). Parmi les 33 patients présentant une pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire, le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: 7 jours à 22,2 mois) et la durée médiane de la pneumopathie inflammatoire a été de 1,1 mois (intervalle: 5 jours à 16,9 mois). Sur les 33 patients, 27 (81,8%) ont reçu une forte dose de corticostéroïdes pendant une durée médiane de 15 jours (intervalle: 1 jour à 5,9 mois). À la date de fin du recueil des données, la pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire était résolue chez 20 des 33 patients (60,6%). Aucun cas de pneumopathiea à médiation immunitaire de grade 5 n'a été observé.
- +Trente-trois patients sur 1281 (2,6%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire, dont 4 (0,3%) de grade 4 et 8 (0,6%) de grade 3. La pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire a conduit à l'arrêt définitif du cémiplimab chez 17 patients sur 1281 (1,3%). Parmi les 33 patients présentant une pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire, le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: 7 jours à 22,2 mois) et la durée médiane de la pneumopathie inflammatoire a été de 1,1 mois (intervalle: 5 jours à 16,9 mois). Sur les 33 patients, 27 (81,8%) ont reçu une forte dose de corticostéroïdes pendant une durée médiane de 15 jours (intervalle: 1 jour à 5,9 mois). À la date de fin du recueil des données, la pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire était résolue chez 20 des 33 patients (60,6%).
-Vingt-cinq patients sur 1281 (2,0%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une diarrhée ou une colite à médiation immunitaire, dont 10 (0,8%) de grade 3. La diarrhée ou la colite à médiation immunitaire a conduit à l'arrêt définitif du cémiplimab chez 5 des 1281 patients (0,4%). Chez les 25 patients avec diarrhée ou colite à médiation immunitaire, le délai médian d'apparition a été de 3,8 mois (intervalle: 1 jour à 16,6 mois) et la durée médiane de la diarrhée ou de la colite a été de 2,1 mois (intervalle: 4 jours à 26,8 mois). Dix-neuf des 25 patients (76,0%) présentant une diarrhée ou une colite à médiation immunitaire ont reçu une forte dose de corticostéroïdes pendant une durée médiane de 22 jours (intervalle: 2 jours à 5,2 mois). À la date de fin du recueil des données, la diarrhée ou la colite à médiation immunitaire était résolue chez 14 des 25 patients (56,0%). Aucun cas de coliteb à médiation immunitaire de grade 5 n'a été observé.
- +Vingt-cinq patients sur 1281 (2,0%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une diarrhée ou une colite à médiation immunitaire, dont 10 (0,8%) de grade 3. La diarrhée ou la colite à médiation immunitaire a conduit à l'arrêt définitif du cémiplimab chez 5 des 1281 patients (0,4%). Chez les 25 patients avec diarrhée ou colite à médiation immunitaire, le délai médian d'apparition a été de 3,8 mois (intervalle: 1 jour à 16,6 mois) et la durée médiane de la diarrhée ou de la colite a été de 2,1 mois (intervalle: 4 jours à 26,8 mois). Dix-neuf des 25 patients (76,0%) présentant une diarrhée ou une colite à médiation immunitaire ont reçu une forte dose de corticostéroïdes pendant une durée médiane de 22 jours (intervalle: 2 jours à 5,2 mois). À la date de fin du recueil des données, la diarrhée ou la colite à médiation immunitaire était résolue chez 14 des 25 patients (56,0%).
-Une hépatite à médiation immunitaire est survenue chez 2 (0,6%) des 312 patients recevant du cémiplimab en association avec une chimiothérapie, dont 2 (0,6%) patients présentant une hépatitec à médiation immunitaire de grade ≥3. Aucun cas d'hépatitec à médiation immunitaire de grade 5 n'a été observé.
- +Une hépatite à médiation immunitaire est survenue chez 2 (0,6%) des 312 patients recevant du cémiplimab en association avec une chimiothérapie, dont 2 (0,6%) patients présentant une hépatitec à médiation immunitaire de grade ≥3.
-Quatre-vingt-sept patients sur 1281 (6,8%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une hypothyroïdie, dont 1 patient (<0,1%) de grade 3. Trois des 1281 patients (0,2%) ont interrompu le cémiplimab en raison d'une hypothyroïdie. Chez les 87 patients présentant une hypothyroïdie à médiation immunitaire, le délai médian d'apparition a été de 4,0 mois (intervalle: 15 jours à 18,9 mois) et la durée médiane de 9,2 mois (intervalle: 1 jour à 37,1 mois). Au moment du recueil des données, l'hypothyroïdie était résolue chez 5 des 87 patients (5,7%). Aucun cas d'hypothyroïdied à médiation immunitaire de grade 5 n'a été observé.
- +Quatre-vingt-sept patients sur 1281 (6,8%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une hypothyroïdie, dont 1 patient (<0,1%) de grade 3. Trois des 1281 patients (0,2%) ont interrompu le cémiplimab en raison d'une hypothyroïdie. Chez les 87 patients présentant une hypothyroïdie à médiation immunitaire, le délai médian d'apparition a été de 4,0 mois (intervalle: 15 jours à 18,9 mois) et la durée médiane de 9,2 mois (intervalle: 1 jour à 37,1 mois). Au moment du recueil des données, l'hypothyroïdie était résolue chez 5 des 87 patients (5,7%).
-Trente-neuf patients sur 1281 (3,0%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une hyperthyroïdie, dont 1 (<0.1%) patient de grade 3 et 11 patients (0,9%) de grade 2. L'hyperthyroïdie n'a conduit à aucun arrêt du traitement par le cémiplimab. Chez les 39 patients avec une hyperthyroïdie, le délai médian d'apparition a été de 1,9 mois (intervalle: 20 jours à 23,8 mois) et la durée médiane de 1,9 mois (intervalle: 9 jours à 32,7 mois). Au moment du recueil des données, l'hyperthyroïdie était résolue chez 22 des 39 patients (56,4%). Aucun cas d'hyperthyroïdiee à médiation immunitaire de grade 5 n'a été observé.
- +Trente-neuf patients sur 1281 (3,0%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une hyperthyroïdie, dont 1 (<0.1%) patient de grade 3 et 11 patients (0,9%) de grade 2. L'hyperthyroïdie n'a conduit à aucun arrêt du traitement par le cémiplimab. Chez les 39 patients avec une hyperthyroïdie, le délai médian d'apparition a été de 1,9 mois (intervalle: 20 jours à 23,8 mois) et la durée médiane de 1,9 mois (intervalle: 9 jours à 32,7 mois). Au moment du recueil des données, l'hyperthyroïdie était résolue chez 22 des 39 patients (56,4%).
-Huit patients sur 1281 (0,6%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une thyroïdite, dont 4 patients (0,3%) de grade 2. La thyroïdite n'a conduit à aucun arrêt du traitement par le cémiplimab. Au moment du recueil des données, la thyroïdite était résolue chez 1 patient (12,5%) sur les 8 patients. Aucun cas de thyroïditef à médiation immunitaire de grade 5 n'a été observé.
- +Huit patients sur 1281 (0,6%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté une thyroïdite, dont 4 patients (0,3%) de grade 2. La thyroïdite n'a conduit à aucun arrêt du traitement par le cémiplimab. Au moment du recueil des données, la thyroïdite était résolue chez 1 patient (12,5%) sur les 8 patients.
-Vingt-quatre patients sur 1281 (1,9%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté des réactions cutanées à médiation immunitaire, dont 11 patients (0,9%) de grade 3/4. Les réactions cutanées à médiation immunitaire ont conduit à l'arrêt définitif du cémiplimab chez 3 des 1281 patients (0,2%). Chez les 24 patients présentant des réactions cutanées à médiation immunitaire, le délai médian d'apparition de la réaction cutanée a été de 2,0 mois (intervalle: 2 jours à 17,0 mois) et la durée médiane de 2,9 mois (intervalle: 8 jours à 38,8 mois). Dix-sept des 24 patients (70,8%) présentant des réactions cutanées à médiation immunitaire ont reçu une forte dose de corticostéroïdes pendant une durée médiane de 10 jours (intervalle: 1 jour à 2,9 mois). À la date de fin du recueil des données, les réactions cutanées étaient résolues chez 17 des 24 patients (70,8%). Aucun cas de réaction cutanée à médiation immunitaire de grade 5 n'a été observé.
- +Vingt-quatre patients sur 1281 (1,9%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté des réactions cutanées à médiation immunitaire, dont 11 patients (0,9%) de grade 3/4. Les réactions cutanées à médiation immunitaire ont conduit à l'arrêt définitif du cémiplimab chez 3 des 1281 patients (0,2%). Chez les 24 patients présentant des réactions cutanées à médiation immunitaire, le délai médian d'apparition de la réaction cutanée a été de 2,0 mois (intervalle: 2 jours à 17,0 mois) et la durée médiane de 2,9 mois (intervalle: 8 jours à 38,8 mois). Dix-sept des 24 patients (70,8%) présentant des réactions cutanées à médiation immunitaire ont reçu une forte dose de corticostéroïdes pendant une durée médiane de 10 jours (intervalle: 1 jour à 2,9 mois). À la date de fin du recueil des données, les réactions cutanées étaient résolues chez 17 des 24 patients (70,8%).
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané: prurit
-Affections oculaires: kératite.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: prurit.
- +Affections oculaires: kératite, uvéiteo (grade 4).
-c augmentation de l'alanine aminotransférase, de l'aspartate aminotransférase, de la bilirubine sanguine, de la gammaglutamyltransférase.
- +c augmentation de l'alanine aminotransférase, de l'aspartate aminotransférase, de la bilirubine sanguine, de la gamma-glutamyltransférase.
- +o rapporté dans des études cliniques en dehors de l'ensemble des données de sécurité regroupées
- +
-Quatre-vingt-quatorze patients sur 1281 (7,3%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté des réactions liées à la perfusion, dont 2 patients (0,2%) de grade 3 ou 4. Les réactions liées à la perfusion ont conduit à l'arrêt définitif du traitement par le cémiplimab chez 1 des 1198 patients (0,1%). Les symptômes fréquents des réactions liées à la perfusion comprennent fièvre, nausées et éruption cutanée. Les réactions liées à la perfusion se sont résolues chez tous les patients. Aucun cas de réaction liée à la perfusion de grade 5 n'a été observé.
- +Quatre-vingt-quatorze patients sur 1281 (7,3%) recevant du cémiplimab en monothérapie ont présenté des réactions liées à la perfusion, dont 2 patients (0,2%) de grade 3 ou 4. Les réactions liées à la perfusion ont conduit à l'arrêt définitif du traitement par le cémiplimab chez 1 des 1198 patients (0,1%). Les symptômes fréquents des réactions liées à la perfusion comprennent fièvre, nausées et éruption cutanée. Les réactions liées à la perfusion se sont résolues chez tous les patients.
-Comme toute protéine thérapeutique, le cémiplimab présente un risque d'immunogénicité. Dans les études cliniques avec 1029 patients traités par le cémiplimab, 2,1% des patients ont développé des anticorps liés au traitement, environ 0,3% présentant des anticorps persistants. Aucun cas d'anticorps neutralisant n'a été observé. Aucun signe d'altération du profil pharmacocinétique ou du profil de sécurité d'emploi du produit n'a été observé avec l'apparition des anticorps anticémiplimab.
- +Comme toute protéine thérapeutique, le cémiplimab présente un risque d'immunogénicité. Dans les études cliniques avec 1029 patients traités par le cémiplimab, 2,1% des patients ont développé des anticorps liés au traitement, environ 0,3% présentant des anticorps persistants. Aucun cas d'anticorps neutralisant n'a été observé. Aucun signe d'altération du profil pharmacocinétique ou du profil de sécurité d'emploi du produit n'a été observé avec l'apparition des anticorps anti-cémiplimab.
-L'analyse de l'efficacité présente les résultats de 193 patients atteints de CEC avancé dans les groupes 1 à 3 de l'étude 1540.Parmi ces 193 patients de l'étude R2810-ONC-1540, 115 avaient un CEC métastatique et 78 un CEC localement avancé. L'âge médian était de 72 ans (intervalle de 38 à 96 ans): 78 (40,4%) patients avaient 75 ans ou plus, 66 (34,2%) avaient 65 ans ou moins de 75 ans et 49 (25,4%) avaient moins de 65 ans. Au total, 161 (83,4%) patients étaient de sexe masculin et 187 (96,9%) étaient de race blanche; le score ECOG était de 0 (44,6%) et de 1 (55,4%). Soixante-cinq (33,7%) patients avaient reçu au moins une thérapie systémique anticancéreuse antérieure, 157 (81,3%) patients avaient subi une chirurgie liée au cancer et 131 (67,9%) patients avaient reçu une radiothérapie antérieure. Parmi les patients atteints d'un CEC métastatique, 88 (76,5%) avaient des métastases à distance et 26 (22,6%) n'avaient que des métastases ganglionnaires.
- +L'analyse de l'efficacité présente les résultats de 193 patients atteints de CEC avancé dans les groupes 1 à 3 de l'étude 1540. Parmi ces 193 patients de l'étude R2810-ONC-1540, 115 avaient un CEC métastatique et 78 un CEC localement avancé. L'âge médian était de 72 ans (intervalle de 38 à 96 ans): 78 (40,4%) patients avaient 75 ans ou plus, 66 (34,2%) avaient 65 ans ou moins de 75 ans et 49 (25,4%) avaient moins de 65 ans. Au total, 161 (83,4%) patients étaient de sexe masculin et 187 (96,9%) étaient de race blanche; le score ECOG était de 0 (44,6%) et de 1 (55,4%). Soixante-cinq (33,7%) patients avaient reçu au moins une thérapie systémique anticancéreuse antérieure, 157 (81,3%) patients avaient subi une chirurgie liée au cancer et 131 (67,9%) patients avaient reçu une radiothérapie antérieure. Parmi les patients atteints d'un CEC métastatique, 88 (76,5%) avaient des métastases à distance et 26 (22,6%) n'avaient que des métastases ganglionnaires.
-Taux de réponse objective (ORR: RC+ RP) (IC à 95 %) 27 (32.1%) (22.4, 43.2) 13 (24.1%) (13.5, 37.6) 40 (29.0%) (21.6, 37.3)
-Taux de réponse complète (RC) b (IC à 95 %) 6 (7.1%) (2.7, 14.9) 1 (1.9%) (0.0, 9.9) 7 (5.1%) (2.1, 10.2)
-Taux de réponse partielle (PR) 21 (25.0%) 12 (22.2%) 33 (23.9%)
-Taux de maladie stable (SD) 40 (47.6%) 16 (29.6%) 56 (40.6%)
-Taux de progression de la maladie (PD) 9 (10.7%) 16 (29.6%) 25 (18.1%)
- +Taux de réponse objective (ORR: RC+ RP) (IC à 95 %) 27 (32,1%) (22,4; 43,2) 12 (22,2%) (12; 35,6) 39 (28,3%) (20,9; 36,5)
- +Taux de réponse complète (RC) b (IC à 95 %) 6 (7,1%) (2,7; 14,9) 1 (1,9%) (0,0; 9,9) 7 (5,1%) (2,1; 10,2)
- +Taux de réponse partielle (PR) 21 (25,0%) 11 (20,4%) 32 (23,2%)
- +Taux de maladie stable (SD) 40 (47,6%) 17 (31,5%) 57 (41,3%)
- +Taux de progression de la maladie (PD) 9 (10,7%) 16 (29,6%) 25 (18,1%)
-Médiane c (mois) (IC à 95 %) NR (15.5, NE) 16.7 (9.8, NE) NR (15.5, NE)
-Extrêmes (observés) (mois) 2.1 – 36.8+ 4.8 – 25.8+ 2.1 – 36.8+
-Patients avec une DOR ≥6 mois, % c (IC à 95 %) 88.5% (68.4, 96.1) 100.0% (NE, NE) 92.2% (77.8, 97.4)
-Patients avec DOR ≥12 mois, % (IC à 95%)c 83.8% (62.2, 93,6) 53.5% (21.2,77.7) 73.5% (54.9,85.3)
- +Médiane c (mois) (IC à 95 %) NR (15,5; NE) 16,7 (9,8; NE) NR (15,0; NE)
- +Extrêmes (observés) (mois) 2,1 – 36,8+ 9,0 – 25,8+ 2,1 – 36,8+
- +Patients avec une DOR ≥6 mois, % c (IC à 95 %) 88,5% (68,4; 96,1) 100,0% (100; 100) 92,1% (77,5; 97,4)
- +Patients avec DOR ≥12 mois, % (IC à 95%)c 83,8% (62,2; 93,6) 53,5% (21,2; 77,7) 73,4% (54,8; 85,2)
-Médiane (mois) (Intervalle) 4.3 (2.1 - 21.4) 4.0 (2.0 - 10.5) 4.2 (2.0 - 21.4)
- +Médiane (mois) (Intervalle) 4,3 (2,1 – 21,4) 3,1 (2,0 – 10,5) 4,2 (2,0 – 21,4)
-6 mois (IC à 95%)) 76.3% (65.1, 84.4) 59.1% (43.9, 71.4) 69.6% (60.7, 76.9)
- +6 mois (IC à 95%)) 76,3% (65,1; 84,4) 59,1% (43,9; 71,4) 69,6% (60,7; 76,9)
-12 mois (IC à 95%)) 92.2% (83.4, 96.4)) 84.4% (71.3, 91.9) 89.1% (82.3, 93.4)
-Durée médiane du suivi (mois) (Intervalle) 15.9 (0.5 – 39. 7) 8.4 (1.5 - 36.2) 12.3 (0.5 - 39.7)
- +12 mois (IC à 95%)) 92,2% (83,4; 96,4) 84,4% (71,3; 91,9) 89,1% (82,3; 93,4)
- +Durée médiane du suivi (mois) (Intervalle) 15,9 (0,5 – 39,7) 8,4 (1,5 – 36,2) 12,3 (0,5 – 39,7)
-L'effet de l'insuffisance rénale sur l'exposition au cémiplimab a été évalué par une analyse PC de populations chez les patients avec insuffisance rénale légère (CLcr 60 à < 89 ml/min; n = 396), modérée (CLcr 30 à 59 ml/min; n = 166) ou sévère (CLcr 15 à 29 ml/min; n = 74). Aucune différence cliniquement importante en termes d'exposition au cémiplimab n'a été observée entre les patients avec insuffisance rénale et les patients avec fonction rénale normale. Le cémiplimab n'a pas été étudié chez les patients présentant une CLcr < 21 ml/min (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +L'effet de l'insuffisance rénale sur l'exposition au cémiplimab a été évalué par une analyse PC de populations chez les patients avec insuffisance rénale légère (CLcr 60 à < 89 ml/min; n = 396), modérée (CLcr 30 à 59 ml/min; n = 166) ou sévère (CLcr 15 à 29 ml/min; n = 74). Aucune différence cliniquement importante en termes d'exposition au cémiplimab n'a été observée entre les patients avec insuffisance rénale et les patients avec fonction rénale normale. Le cémiplimab n'a pas été étudié chez les patients présentant une CLcr < 21 ml/min (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments, à l'exception de ceux qui sont mentionnés dans la rubrique «Remarques concernant la manipulation».
- +En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments, à l'exception de ceux qui sont mentionnés dans «Remarques concernant la manipulation».
-·au réfrigérateur à une température comprise entre 2 °C et 8 °C pendant un maximum de 24 heures à compter de l'heure de préparation de la perfusion jusqu'à la fin de la perfusion. Laisser la solution diluée atteindre la température ambiante avant administration.
- +·au réfrigérateur à une température comprise entre 2 °C et 8 °C pendant un maximum de 10 jours à compter de l'heure de préparation de la perfusion jusqu'à la fin de la perfusion. Laisser la solution diluée atteindre la température ambiante avant administration.
-Novembre 2024.
- +Décembre 2024.
|
|