108 Ã„nderungen an Fachinfo Libtayo 350 mg/7 ml |
-Ajustement de la posologie du fait d'effets indésirables/d'interactions
- +Ajustement de la posologie du fait d'effets indésirables / d'interactions
-Les consignes détaillées pour la prise en charge des effets indésirables d'origine immunologique sont décrites dans la rubrique « Mises en garde et précautions ».
- +Les consignes détaillées pour la prise en charge des effets indésirables d'origine immunologique sont décrites dans les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables».
-Effet indésirable Gravitéa Modification posologique Autre intervention
- +Effet indésirablea Gravitéb Modification posologique Autre intervention
- +Effets indésirables liés au système immunitaire
- +
-Hépatite Grade 2 avec ASAT ou ALAT >3 et ≤5 × LSN Ou bilirubine totale >1,5 et ≤3 × LSN Suspendre le traitement par cémiplimab Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
- +Hépatite Grade 2 avec ASAT ou ALAT > 3 et ≤5 × LSN Ou bilirubine totale > 1,5 et ≤3 × LSN Suspendre le traitement par cémiplimab Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
-Grade ≥3 avec ASAT ou ALAT >5 × LSN ou bilirubine totale >3 × LSN Arrêter définitivement Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
- +Grade ≥3 avec ASAT ou ALAT > 5 × LSN ou bilirubine totale > 3 × LSN Arrêter définitivement Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
-Insuffisance surrénalienne Grade 2 à 4 Suspendre le traitement par cémiplimab Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
- +Insuffisance surrénalienne Grade 2 à 4 Suspendre le traitement par cémiplimab Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive et d'un remplacement hormonal selon les indications cliniques
- +
-Réaction cutanée d'origine immunologique ou autres effets indésirables d'origine immunologique chez les patients avec traitement antérieur par idelalisib Grade 2 Suspendre le traitement par cémiplimab Instaurer une prise en charge immédiate des symptômes, y compris une posologie initiale de 1mg/kg/jour à 2mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
- +Réaction cutanée d'origine immunologique ou autres effets indésirables d'origine immunologique chez les patients avec traitement antérieur par idelalisib Grade 2 Suspendre le traitement par cémiplimab Instaurer une prise en charge immédiate y compris une posologie initiale de 1mg/kg/jour à 2mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
-Grade 3 ou 4 (endocrinopathies exclues) ou Grade 2 récidivant Arrêter définitivement Instaurer une prise en charge immédiate des symptômes, y compris une posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
-Néphrite Grade 2 Suspendre le traitement par cémiplimab Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
- +Grade 3 ou 4 (endocrinopathies exclues) ou Grade 2 récidivant Arrêter définitivement Instaurer une prise en charge immédiate y compris une posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
- +Néphrite avec dysfonctionnement rénal Grade 2 créatinine augmentée Suspendre le traitement par cémiplimab Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
-Grade 3 ou 4 Arrêter définitivement Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
-Autres effets indésirables d'origine immunologique (y compris, mais pas seulement, la méningite, l'encéphalopathie paranéoplasique, l'encéphalomyélite, l'arthrite, le syndrome de Guillain-Barré, l'encéphalite, la polyradiculoneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique, l'inflammation du système nerveux central, la myocardite auto-immune, et le purpura thrombopénique immunologique, la myalgie, le syndrome de Sjögren, la vascularite, la myasthénie gravis)b Symptômes ou signes cliniques de Grade 2 ou 3 d'un effet indésirable d'origine immunologique non décrit ci-dessus Suspendre le traitement par cémiplimab Instaurer une prise en charge des symptômes et introduction de prednisone ou équivalent
- +Grade 3 ou 4 créatinine augmentée Arrêter définitivement Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
- +Autres effets indésirables d'origine immunologique (y compris, mais pas seulement, encéphalomyélite paranéoplasique, méningite, myosite, rejet de greffe d'organe solide, maladie du greffon contre l'hôte, syndrome de Guillain-Barré, inflammation du système nerveux central, polyradiculoneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique, encéphalite, myasthénie grave, neuropathie périphérique, myocardite, péricardite, purpura thrombopénique auto-immun, vascularite, arthralgie, arthrite, faiblesse musculaire, myalgie, polymyalgie rhumatismale, syndrome de Sjögren, kératite, stomatite, thyroïdite). Grade 2 ou 3 selon le type de réaction Suspendre le traitement par cémiplimab Instaurer une prise en charge des symptômes incluant une dose initiale de 1 à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, selon les indications cliniques, suivie d'une réduction
-·Effet indésirable de Grade 4 (endocrinopathies exclues) ·Effet indésirable d'origine immunologique de Grade 3 récidivant ·Persistance des effets indésirables d'origine immunologique de Grade 2 ou 3 pendant au moins 12 semaines (endocrinopathies exclues) ·Incapacité à réduire la dose de corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour en l'espace de 12 semaines Arrêter définitivement Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive
- +·Grade 3 selon le type de réaction ou Grade 4 (à l'exclusion des endocrinopathies) ·Toxicité neurologique de Grade 3 ou 4 ·Myocardite ou péricardite de Grade 3 ou 4 ·Effet indésirable d'origine immunologique de Grade 3 récidivant ·Persistance des effets indésirables d'origine immunologique de Grade 2 ou 3 pendant au moins 12 semaines (endocrinopathies exclues) ·Incapacité à réduire la dose de corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour en l'espace de 12 semaines Arrêter définitivement Posologie initiale de 1 mg/kg/jour à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, selon les indications cliniques, suivie d'une réduction progressive
- +Réactions liées à la perfusiona
- +
-a La toxicité doit être évaluée selon la version actuelle de la terminologie NCI CTCAE (National Cancer Institute Common Terminology Criteria for Adverse Events).
-b Observées avec cémiplimab ou avec d'autres anticorps monoclonaux anti-PD-1/PD-L1
-
- +a Voir aussi rubriques «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables».
- +b La toxicité doit être évaluée selon la version actuelle de la terminologie NCI CTCAE (National Cancer Institute Common Terminology Criteria for Adverse Events).
-Libtayo doit impérativement être administré par perfusion intraveineuse pendant 30 minutes au moyen d'une ligne intraveineuse contenant un filtre stérile installé en ligne ou en supplément (diamètre des pores de 0,2 à 5 microns).
- +Libtayo est administré par perfusion intraveineuse pendant 30 minutes au moyen d'une ligne intraveineuse contenant un filtre stérile installé en ligne ou en supplément (diamètre des pores de 0,2 à 5 microns).
-Des effets indésirables d'origine immunologique sévères et mortels ont été observés avec cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Ces effets d'origine immunologique peuvent toucher n'importe quel système d'organe. La plupart des réactions d'origine immunologique se manifestent initialement pendant le traitement par cémiplimab; cependant des effets indésirables d'origine immunologique peuvent survenir après l'arrêt du cémiplimab.
-En cas de suspicion d'effets indésirables d'origine immunologique, le patient doit être évalué afin de confirmer l'effet indésirable d'origine immunologique et afin d'exclure d'autres causes, dont l'infection. Le patient doit être pris en charge avec des modifications thérapeutiques, une hormonothérapie substitutive (si cliniquement indiqué) et des corticostéroïdes. Selon la sévérité de l'effet indésirable, suspendre ou arrêter définitivement cémiplimab (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Des effets indésirables d'origine immunologique sévères et mortels ont été observés avec cémiplimab (voir rubriques «Posologie/Mode d'emploi» et «Effets indésirables»). Ces effets d'origine immunologique peuvent toucher n'importe quel système d'organe. La plupart des réactions d'origine immunologique se manifestent initialement pendant le traitement par cémiplimab; cependant des effets indésirables d'origine immunologique peuvent survenir après l'arrêt du cémiplimab.
- +Des effets indésirables d'origine immunologique touchant plusieurs systèmes de l'organisme peuvent se produire simultanément, tels que la myosite et la myocardite ou la myasthénie grave, chez les patients traités par le cemiplimab ou d'autres inhibiteurs de la PD-1/PD-L1.
- +Veuillez surveiller les patients pour détecter les signes et les symptômes d'effets indésirables d'origine immunologique. En cas de suspicion d'effets indésirables d'origine immunologique, le patient doit être évalué afin de confirmer l'effet indésirable d'origine immunologique et afin d'exclure d'autres causes, dont l'infection. Le patient doit être pris en charge avec des modifications thérapeutiques, une hormonothérapie substitutive (si cliniquement indiqué) et des corticostéroïdes. Selon la sévérité de l'effet indésirable, suspendre ou arrêter définitivement cémiplimab (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Des pneumopathies inflammatoires d'origine immunologique, définies comme nécessitant le recours à des corticostéroïdes en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, incluant des cas mortels, ont été observées chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme de pneumopathie inflammatoire et les causes autres que la pneumopathie d'origine immunologique doivent être exclues chez les patients. En cas de suspicion de pneumopathie inflammatoire, des radiographies doivent être effectuées, comme indiqué en fonction de l'évaluation clinique, et les patients doivent être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes.
-Les corticostéroïdes doivent être administrés à une posologie initiale de 1 à 2 mg/kg/jour (Grade 2) ou de 2 à 4 mg/kg/jour (Grade 3 ou plus ou Grade 2 récidivant) de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive. Le traitement par cémiplimab doit être suspendu en cas de pneumopathie inflammatoire modérée (Grade 2). Le traitement par cémiplimab peut être repris si la pneumopathie inflammatoire s'atténue et reste à un Grade de 0 à 1 après réduction progressive des corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour. Le traitement doit être arrêté définitivement en cas de pneumopathie inflammatoire sévère (Grade 3), de pneumopathie inflammatoire menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4), ou de pneumopathie inflammatoire modérée (Grade 2) récidivante (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Des pneumopathies inflammatoires d'origine immunologique, définies comme nécessitant le recours à des corticostéroïdes en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, incluant des cas mortels, ont été observées chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme de pneumopathie inflammatoire et les causes autres que la pneumopathie d'origine immunologique doivent être exclues chez les patients. En cas de suspicion de pneumopathie inflammatoire, des radiographies doivent être effectuées, comme indiqué en fonction de l'évaluation clinique, et les patients doivent être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Une diarrhée ou une colite d'origine immunologique, définie comme nécessitant le recours à des corticostéroïdes en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme de diarrhée ou de colite chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications thérapeutiques, des antidiarrhéiques et des corticostéroïdes. Les corticostéroïdes doivent être administrés à une posologie initiale de 1 à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive en cas de diarrhée ou de colite de Grade 2 ou plus. Le traitement par cémiplimab doit être suspendu en cas de diarrhée ou de colite modérée ou sévère (Grade 2 ou 3) jusqu'à résolution du problème. Le traitement par cémiplimab peut être repris si la diarrhée ou la colite s'atténue et reste à un Grade de 0 à 1 après réduction progressive des corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour.
-Le traitement par cémiplimab doit être arrêté définitivement en cas de diarrhée ou de colite menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4), ou en cas de diarrhée ou de colite sévère (Grade 3) récidivante (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Une diarrhée ou une colite d'origine immunologique, définie comme nécessitant le recours à des corticostéroïdes en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique « Effets indésirables »). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme de diarrhée ou de colite chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications thérapeutiques, des antidiarrhéiques et des corticostéroïdes (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Une hépatite d'origine immunologique, définie comme nécessitant le recours à des corticostéroïdes en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, incluant des cas mortels, a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller toute valeur anormale de la fonction hépatique avant l'introduction du traitement et régulièrement tout au long du traitement. En cas de suspicion d'hépatite d'origine immunologique, il convient de traiter les patients avec des corticostéroïdes et de suspendre ou d'arrêter définitivement le traitement par le cémiplimab. Les corticostéroïdes doivent être administrés à une posologie initiale de 1 à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive en cas d'hépatite de Grade 2 (ASAT ou ALAT >3 et ≤5 x LSN ou bilirubine totale >1,5 et ≤3 x LSN) ou plus. Le traitement par cémiplimab doit être suspendu en cas d'hépatite modérée (Grade 2) jusqu'à résolution du problème. Le traitement par cémiplimab peut être repris si l'hépatite s'atténue et reste à un Grade de 0 à 1 après réduction progressive des corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour. Le traitement doit être arrêté définitivement en cas d'hépatite d'origine immunologique sévère (Grade 3 avec ASAT ou ALAT >5 x LSN ou bilirubine totale >3 x LSN) ou menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4) (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Une hépatite d'origine immunologique, définie comme nécessitant le recours à des corticostéroïdes en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, incluant des cas mortels, a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller toute valeur anormale de la fonction hépatique avant l'introduction du traitement et régulièrement tout au long du traitement et de le prendre en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Des troubles thyroïdiens d'origine immunologique ont été observés chez les patients recevant du cémiplimab. Les troubles thyroïdiens peuvent survenir à tout moment pendant le traitement. Il convient de surveiller chez les patients tout changement de la fonction thyroïdienne au début du traitement et, régulièrement, au cours du traitement, comme indiqué en fonction de l'évaluation clinique (voir rubrique «Effets indésirables»). Les patients présentant une hypothyroïdie doivent être pris en charge avec une hormonothérapie substitutive, conformément à la pratique médicale standard. L'hyperthyroïdie doit être prise en charge conformément à la pratique médicale standard.
-Suspendre le traitement par cémiplimab en cas de troubles thyroïdiens sévères (Grade 3) ou menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4). Le traitement par cémiplimab peut être repris lorsque les troubles thyroïdiens reviennent à un Grade de 0 à 1, ou s'ils sont stables sur le plan clinique (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Des troubles thyroïdiens ont été observés chez les patients recevant du cémiplimab. Les troubles thyroïdiens peuvent survenir à tout moment pendant le traitement. Il convient de surveiller chez les patients tout changement de la fonction thyroïdienne au début du traitement et, régulièrement, au cours du traitement, comme indiqué en fonction de l'évaluation clinique (voir rubrique «Effets indésirables»). Les patients présentant une hypothyroïdie doivent être pris en charge avec une hormonothérapie substitutive, conformément à la pratique médicale standard. L'hyperthyroïdie doit être prise en charge conformément à la pratique médicale standard (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Une hypophysite d'origine immunologique a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme d'hypophysite chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications thérapeutiques, des corticostéroïdes à une posologie initiale de 1 à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive de la corticothérapie et d'une substitution hormonale, selon l'indication clinique. Le traitement par cémiplimab doit être suspendu en cas d'hypophysite modérée (Grade 2), sévère (Grade 3) ou menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4). Le traitement par cémiplimab peut être repris si l'hypophysite s'atténue et reste à un Grade de 0 à 1 après réduction progressive des corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour, ou si elle est stable sur le plan clinique (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Une hypophysite a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme d'hypophysite chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications thérapeutiques, des corticostéroïdes et une substitution hormonale, selon l'indication clinique (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Une insuffisance surrénalienne a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme d'insuffisance surrénalienne pendant et après le traitement chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications thérapeutiques, des corticostéroïdes à une posologie initiale de 1 à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive de la corticothérapie et d'une substitution hormonale, selon l'indication clinique.
-Le traitement par cémiplimab doit être suspendu en cas d'insuffisance surrénalienne modérée (Grade 2), sévère (Grade 3), ou menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4). Le traitement par cémiplimab peut être repris si l'insuffisance surrénalienne s'atténue et reste à un Grade de 0 à 1 après réduction progressive des corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour, ou si elle est stable sur le plan clinique (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Une insuffisance surrénalienne a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme d'insuffisance surrénalienne pendant et après le traitement chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications thérapeutiques, des corticostéroïdes et d'une substitution hormonale, selon l'indication clinique (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Un diabète de type 1 d'origine immunologique, y compris une acidocétose diabétique, a été observé chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller l'apparition de signes et de symptômes d'hyperglycémie et de diabète chez les patients, comme indiqué en fonction de l'évaluation clinique. Les patients doivent être pris en charge avec des hypoglycémiants oraux ou de l'insuline et des modifications du traitement par cémiplimab. Le traitement par cémiplimab doit être suspendu et des hypoglycémiants ou de l'insuline doivent être administrés aux patients en cas d'hyperglycémie sévère ou menaçant le pronostic vital (Grade ≥3). Le traitement par cémiplimab peut être repris lorsque l'équilibre métabolique est obtenu sous insulinothérapie ou sous hypoglycémiants (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Un diabète de type 1, y compris une acidocétose diabétique, a été observé chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller l'apparition de signes et de symptômes d'hyperglycémie et de diabète chez les patients, comme indiqué en fonction de l'évaluation clinique. Les patients doivent être pris en charge avec des hypoglycémiants oraux ou de l'insuline et des modifications du traitement par cémiplimab (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme de réactions cutanées sévères présumées chez les patients, et d'exclure toute autre cause. Les patients doivent être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes à une posologie initiale de 1 à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive en cas d'effetsindésirables cutanés de Grade 2 pendant plus de 8 jours, d'effetsindésirables cutanés sévères (Grade 3) ou menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4). Le traitement par cémiplimab doit être suspendu en cas d'effetsindésirables cutanés de Grade 2 pendant plus de 8 jours, ou d'effetsindésirables cutanés sévères (Grade 3).
-Le traitement par cémiplimab peut être repris si les effets indésirables cutanés s'atténuent et restent à un Grade de 0 à 1 après réduction progressive des corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour. En cas de symptômes ou de signes de SJS ou de NET, le traitement par cémiplimab doit être suspendu et le patient être orienté vers des soins spécifiques d'évaluation et de traitement. Le traitement par cémiplimab doit être arrêté définitivement en cas d'effetsindésirables cutanés menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4), ou de confirmation du SJS ou de la NET (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Des cas de SJS/NET/stomatite, y compris de NET fatale, sont survenus après 1 dose de cémiplimab chez les patients avec exposition antérieure à l'idelalisib, qui participaient à un essai clinique évaluant le cémiplimab dans le cadre du lymphome non hodgkinien (LNH), et qui avaient été récemment exposés à des antibiotiques sulfamidés (voir rubrique «Effets indésirables»). Les patients doivent être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes comme décrit précédemment (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme de réactions cutanées sévères présumées chez les patients, et d'exclure toute autre cause. Les patients doivent être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes. En cas de symptômes ou de signes de SJS ou de NET, le patient doit être orienté vers des soins spécifiques d'évaluation et de traitement et la prise en charge thérapeutique doit être modifiée (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Des cas de SJS/NET/stomatite, y compris de NET fatale, sont survenus après la prise de cémiplimab chez les patients avec exposition antérieure à l'idelalisib, qui participaient à un essai clinique évaluant le cémiplimab dans le cadre du lymphome non hodgkinien (LNH), et qui avaient été récemment exposés à des antibiotiques sulfamidés (voir rubrique «Effets indésirables»). Les patients doivent être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes comme décrit précédemment (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Une néphrite d'origine immunologique, définie comme nécessitant le recours à des corticostéroïdes en l'absence d'une étiologie alternative, a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout changement de la fonction rénale chez les patients. Les patients doivent être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes à une posologie initiale de 1 à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, suivie d'une réduction progressive des corticostéroïdes. Le traitement par cémiplimab doit être suspendu en cas de néphrite de Grade 2. Le traitement par cémiplimab peut être repris si la néphrite s'atténue et reste à un Grade de 0 à 1 après réduction progressive des corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour. Le traitement par cémiplimab doit être arrêté définitivement en cas de néphrite sévère (Grade 3) ou menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4) (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Une néphrite d'origine immunologique, définie comme nécessitant le recours à des corticostéroïdes en l'absence d'une étiologie alternative, a été observée chez les patients recevant du cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout changement de la fonction rénale chez les patients. Les patients doivent être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-D'autres effets indésirables d'origine immunologique mortels ou menaçant le pronostic vital ont été observés chez des patients recevant du cémiplimab, y compris des encéphalomyélites paranéoplasiques et des méningites (voir la rubrique «Description de certains effets indésirables» pour les autres effets indésirables d'origine immunologique).
-Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme d'effets indésirables d'origine immunologique chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications de leur traitement par cémiplimab et avec des corticostéroïdes (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-En fonction de la gravité de l'effet indésirable, suspendre ou arrêter définitivement le traitement par cémiplimab, administrer les corticostéroïdes à une posologie initiale de 1 à 2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent, et le cas échéant, instaurer une hormonothérapie substitutive. Une fois les réactions revenues à un niveau de Grade 1 ou moins, instaurer une réduction progressive de la corticothérapie. Le traitement par cémiplimab peut être repris si les autres effets indésirables d'origine immunologique s'atténuent et restent à un Grade de 0 à 1 après réduction progressive des corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour. Le traitement par cémiplimab doit être arrêté définitivement en cas de réaction menaçant le pronostic vital (Grade 4) du patient (endocrinopathies exclues), ou d'effet indésirable d'origine immunologique (Grade 3) récidivante, ou de persistance d'un effet indésirable d'origine immunologique de Grade 2 ou 3 pendant au moins 12 semaines (endocrinopathies exclues), ou en cas d'incapacité à réduire la dose de corticostéroïdes à 10 mg ou moins de prednisone ou équivalent par jour en l'espace de 12 semaines (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +D'autres effets indésirables d'origine immunologique mortels ou menaçant le pronostic vital ont été observés chez des patients recevant du cémiplimab, y compris des encéphalomyélites paranéoplasiques, des méningites et des myosites (voir la rubrique «Effets indésirables»).
- +Évaluer les effets indésirables présumés liés au système immunitaire pour exclure d'autres causes.Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme d'effets indésirables d'origine immunologique chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications de leur traitement par cémiplimab et avec des corticostéroïdes selon les indications cliniques (voir la rubrique « Posologie/mode d'emploi » et «Effets indésirables»).
- +Le rejet de greffe d'organe solide a été signalé durant la période de post-commercialisation chez les patients traités avec des inhibiteurs de la PD-1. Le traitement avec du cemiplimab peut augmenter le risque de rejet chez les receveurs de greffe d'organe solide. Le bénéfice du traitement par le cemiplimab par rapport au risque de rejet éventuel de l'organe doit être pris en compte chez ces patients. Des cas de maladie du greffon contre l'hôte ont été signalés durant la période de post-commercialisation chez des patients traités avec d'autres inhibiteurs de la PD-1/PD-L1 en association avec une greffe de cellules souches hématopoïétiques allogéniques.
-Cémiplimab peut provoquer des réactions liées à la perfusion sévères ou menaçant le pronostic vital du patient (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme de réactions liées à la perfusion chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes. Le traitement par cémiplimab doit être interrompu, ou la vitesse de perfusion être ralentie, en cas de réactions liées à la perfusion légères ou modérées. La perfusion doit être arrêtée et le traitement par cémiplimab être arrêté définitivement en cas de réactions liées à la perfusion sévères (Grade 3) ou menaçant le pronostic vital du patient (Grade 4) (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Effets indésirables chez les patients transplantés
-Durant la période post-commercialisation, le rejet de greffe d'organe solide a été observé chez des patients traités par des inhibiteurs de PD-1/PD-L1. Le traitement par cémiplimab peut augmenter le risque de rejet chez les bénéficiaires d'une greffe d'organe solide. Chez ces patients, le rapport entre le bénéfice du traitement par cémiplimab et le risque de rejet d'organe doit être évalué.
-
- +Cémiplimab peut provoquer des réactions liées à la perfusion sévères ou menaçant le pronostic vital du patient (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient de surveiller tout signe ou tout symptôme de réactions liées à la perfusion chez les patients, ceux-ci devant alors être pris en charge avec des modifications thérapeutiques et des corticostéroïdes. Le traitement par cémiplimab doit être interrompu, ou la vitesse de perfusion être ralentie ou définitivement arrêtée en fonction de la sévérité de la réaction. (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Les patients répondant à l'un quelconque des critères suivants ont été exclus des études cliniques: maladie auto-immune ayant nécessité un traitement systémique avec des agents immunosuppresseurs au cours des 5 dernières années; antécédents de greffe d'organe solide; traitement antérieur avec anti-PD-1/PD-L1 ou autre traitement avec des inhibiteurs de points de contrôle immunitaires; infection par le VIH, hépatite B ou hépatite C, patients avec leucémie lymphoïde chronique (LLC); indice de performance ECOG ≥2, ou fonction rénale CLcr <30 ml/min.
- +Les patients répondant à l'un quelconque des critères suivants ont été exclus des études cliniques: maladie auto-immune ayant nécessité un traitement systémique avec des agents immunosuppresseurs au cours des 5 dernières années; antécédents de greffe d'organe solide; traitement antérieur avec anti-PD-1/PD-L1 ou autre traitement avec des inhibiteurs de points de contrôle immunitaires; infection par le VIH, hépatite B ou hépatite C, patients avec leucémie lymphoïde chronique (LLC); indice de performance ECOG ≥2, ou fonction rénale CLcr < 30 ml/min.
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-Le cémiplimab a un effet négligeable ou nul sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Des cas de fatigue ont été rapportés suite au traitement par le cémiplimab (voir rubrique « Effets indésirables »).
- +Le cémiplimab a un effet négligeable ou nul sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Des cas de fatigue ont été rapportés suite au traitement par le cémiplimab (voir rubrique «Effets indésirables»).
-Dans les essais cliniques, des effets indésirables d'origine immunologique sont survenus chez 20,1% des patients traités par le cémiplimab, parmi lesquelles des réactions de Grade 5 (0,7%), de Grade 4 (1,2%) et de Grade 3 (6,1%). Les effets indésirables d'origine immunologique ont conduit à l'interruption définitive du traitement par le cémiplimab chez 4,4% des patients. Les effets indésirables d'origine immunologique les plus fréquents ont été les suivants: hypothyroïdie (7,1%), pneumonite (3,7%), effets indésirables cutanés (2,0%), hyperthyroïdie (1,9%) et hépatite (1,9%) (voir les rubriques «Description de certains effets indésirables», ci-dessous, «Mises en garde et précautions» et «Ajustement de la posologie du fait d'effets indésirables/d'interactions»). Les effets indésirables ont été graves chez 8,6% des patients et ont conduit à une interruption définitive de l'administration du cémiplimab chez 5,8% des patients.
- +Dans les essais cliniques, des effets indésirables d'origine immunologique sont survenus chez 20,1% des patients traités par le cémiplimab, parmi lesquelles des réactions de Grade 5 (0,7%), de Grade 4 (1,2%) et de Grade 3 (6,1%). Les effets indésirables d'origine immunologique ont conduit à l'interruption définitive du traitement par le cémiplimab chez 4,4% des patients. Les effets indésirables d'origine immunologique les plus fréquents ont été les suivants: hypothyroïdie (7,1%), pneumonite (3,7%), effets indésirables cutanés (2,0%), hyperthyroïdie (1,9%) et hépatite (1,9%) (voir les rubriques «Description de certains effets indésirables », ci-dessous, «Mises en garde et précautions» et «Ajustement de la posologie du fait d'effets indésirables/d'interactions»). Les effets indésirables ont été graves chez 8,6% des patients et ont conduit à une interruption définitive de l'administration du cémiplimab chez 5,8% des patients.
-Les effets indésirables sont présentés par classe de système d'organes et par fréquence comme suit: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100 à <1/10); occasionnel (≥1/1000 à <1/100); rare (≥1/10'000 à <1/1000); très rare (<1/10'000). Pour chaque niveau de fréquence, les effets indésirables sont présentés dans l'ordre de gravité décroissante.
- +Les effets indésirables sont présentés par classe de système d'organes et par fréquence comme suit: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100 à < 1/10); occasionnel (≥1/1 000 à < 1/100); rare (≥1/10 000 à < 1/1 000); très rare (< 1/10 000), fréquence inconnue (ne peut être estimé à partir des données disponibles) Pour chaque niveau de fréquence, les effets indésirables sont présentés dans l'ordre de gravité décroissante.
- +Fréquence inconnue: Rejet de greffe d'organe solidea.
- +
-Occasionnel: diabète de type 1a, insuffisance surrénalienne, hypophysite, thyroïdite.
- +Occasionnel: diabète de type 1b, insuffisance surrénalienne, hypophysite, thyroïdite.
-Occasionnel: encéphalomyélite paranéoplasique, polyradiculoneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique, encéphalite, méningiteb, syndrome de Guillain-Barré, inflammation du système nerveux central, neuropathie périphériquec, myasthénie gravis.
- +Occasionnel: encéphalomyélite paranéoplasique, polyradiculoneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique, encéphalite, méningitec, syndrome de Guillain-Barré, inflammation du système nerveux central, neuropathie périphériqued, myasthénie gravis.
-Occasionnel: myocardited, péricardite.
- +Occasionnel: myocarditee, péricardite.
-Fréquent: pneumonite.
- +Fréquent: pneumonite, dyspnéef.
-Très fréquent: diarrhéese (13.2%).
- +Très fréquent: diarrhéesg (13.2%).
-Fréquent: hépatitef, augmentation de l'alanine aminotransférase et de l'aspartate aminotransférase, augmentation de la phosphatase alcaline sanguine.
- +Fréquent: hépatiteh, augmentation de l'alanine aminotransférase et de l'aspartate aminotransférase, augmentation de la phosphatase alcaline sanguine.
-Très fréquent: éruption cutanéeg (23.3%), prurith (12.3%).
- +Très fréquent: éruption cutanéei (23.3%), pruritj (12.3%).
-Fréquent: arthralgie, douleurs musculosquelettiquesi, arthritej.
-Occasionnel: faiblesse musculaire.
- +Fréquent: arthralgie, douleurs musculosquelettiquesk, arthritel.
- +Occasionnel: faiblesse musculaire, polymyalgie rhumatismale.
- +Rare: Myositef.
-Très fréquent: fatiguek (21.5%).
-a Diabète de type 1: terme global couvrant le diabète proprement dit, l'acidocétose diabétique et le diabète de type 1.
-b Méningite: terme global couvrant la méningite proprement dite et la méningite aseptique.
-c Neuropathie périphérique: terme global couvrant la neuropathie périphérique proprement dite et la névrite.
-d Myocardite: terme global couvrant la myocardite auto-immune et la myocardite proprement dite.
-e Diarrhée: terme global couvrant la diarrhée proprement dite et la colite.
-f Hépatite: terme global couvrant l'hépatite proprement dite et l'hépatite auto-immune.
-g Éruption cutanée: terme global couvrant l'éruption maculopapuleuse, l'éruption cutanée proprement dite, la dermatite, l'éruption cutanée généralisée, la dermatite bulleuse, la toxidermie, l'érythème, la pemphigoïde, le psoriasis, l'éruption érythémateuse, l'éruption maculaire, l'éruption pruritique et la réaction cutanée.
-h Prurit: terme global couvrant le prurit proprement dit et le prurit allergique.
-i Douleurs musculosquelettiques: terme global couvrant les douleurs dorsales, les douleurs musculosquelettiques proprement dites, la myalgie, les douleurs cervicales et les douleurs des extrémités.
-j Arthrite: terme global couvrant l'arthrite proprement dite et la polyarthrite.
-k Fatigue: terme global couvrant la fatigue proprement dite et l'asthénie.
- +Très fréquent: fatiguem (21.5%).
- +a Evenement post-commercialisation
- +b Diabète de type 1: terme global couvrant le diabète proprement dit, l'acidocétose diabétique et le diabète de type 1.
- +c Méningite: terme global couvrant la méningite proprement dite et la méningite aseptique.
- +d Neuropathie périphérique: terme global couvrant la neuropathie périphérique proprement dite et la névrite.
- +e Myocardite: terme global couvrant la myocardite auto-immune et la myocardite proprement dite.
- +f Fréqence basée sur 2184 patients inclus dans les essais cliniques en cours sur plusieurs types de cancer.
- +g Diarrhée: terme global couvrant la diarrhée proprement dite et la colite.
- +h Hépatite: terme global couvrant l'hépatite proprement dite et l'hépatite auto-immune.
- +i Éruption cutanée: terme global couvrant l'éruption maculopapuleuse, l'éruption cutanée proprement dite, la dermatite, l'éruption cutanée généralisée, la dermatite bulleuse, la toxidermie, l'érythème, la pemphigoïde, le psoriasis, l'éruption érythémateuse, l'éruption maculaire, l'éruption pruritique et la réaction cutanée.
- +j Prurit: terme global couvrant le prurit proprement dit et le prurit allergique.
- +k Douleurs musculosquelettiques: terme global couvrant les douleurs dorsales, les douleurs musculosquelettiques proprement dites, la myalgie, les douleurs cervicales et les douleurs des extrémités.
- +l Arthrite: terme global couvrant l'arthrite proprement dite et la polyarthrite.
- +m Fatigue: terme global couvrant la fatigue proprement dite et l'asthénie.
-Effets indésirables d'origine immunologique (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Effets indésirables d'origine immunologique (voir rubriques «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
-Les effets indésirables d'origine immunologique cliniquement significatifs suivants sont survenus avec une incidence inférieure à 1% chez les 591 patients traités par le cémiplimab. Les événements ont été de Grade 3 ou inférieur, sauf indication contraire:
-Troubles du système nerveux: méningitea (Grade 4), encéphalomyélite paranéoplasique (Grade 5), syndrome de Guillain-Barré, inflammation du système nerveux central, polyradiculoneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique, encéphaliteb, myasthénie gravis, neuropathie périphérique.
-Troubles cardiaques: myocarditec, péricardite.
- +Les effets indésirables d'origine immunologique cliniquement significatifs suivants sont survenus avec une incidence inférieure à 1% (sauf indication contraire) chez les 591 patients atteints de tumeurs solides avancées traités par le cémiplimab dans les essais cliniques. Les événements ont été de Grade 3 ou inférieur, sauf indication contraire:
- +Troubles du système nerveux: méningitea (Grade 4), encéphalomyélite paranéoplasique (Grade 5), syndrome de Guillain-Barré, inflammation du système nerveux central, polyradiculoneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique, encéphaliteb, myasthénie gravis, neuropathie périphériquec.
- +Troubles cardiaques: myocardited, péricarditee.
-Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif: myalgie, arthrited, syndrome de Sjögren.
- +Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif: arthralgie (1,4 %), arthritef, faiblesse musculaire, myalgie, polymyalgie rhumatismale, syndrome de Sjögren.
-a inclut la méningite proprement dite et la méningite aseptique.
-b inclut l'encéphalite proprement dite et l'encéphalite non infectieuse.
-c inclut la myocardite auto-immune et la myocardite proprement dite.
-d inclut l'arthrite et la polyarthrite.
- +Trouble endocriniens: thyroïdite.
- +a inclut la méningite proprement dite et la méningite aseptique
- +b inclut l'encéphalite proprement dite et l'encéphalite non infectieuse
- +c inclut la névrite et la neuropathie périphérique
- +d inclut la myocardite auto-immune et la myocardite proprement dite
- +e inclus la préricardite proprement dite et la péricardite auto-immune
- +f inclut l'arthrite et la polyarthrite
-Comme toute protéine thérapeutique, le cémiplimab présente un risque d'immunogénicité. Cinq des 398 patients (1,3%) recevant du cémiplimab ont développé des anticorps en cours de traitement, 1 patient sur 398 (0,3%) présentant des anticorps persistants. Aucun cas d'anticorps neutralisant n'a été observé. Aucun signe d'altération du profil pharmacocinétique ou du profil de sécurité d'emploi du produit n'a été observé avec l'apparition des anticorps anti-cémiplimab.
- +Comme toute protéine thérapeutique, le cémiplimab présente un risque d'immunogénicité. Cinq des 467 patients (1,1%) recevant du cémiplimab ont développé des anticorps en cours de traitement, 1 patient sur 467 (0,2%) présentant des anticorps persistants. Aucun cas d'anticorps neutralisant n'a été observé. Aucun signe d'altération du profil pharmacocinétique ou du profil de sécurité d'emploi du produit n'a été observé avec l'apparition des anticorps anti-cémiplimab.
-Les deux études ont exclu les patients dans les cas suivants: maladie auto-immune ayant nécessité un traitement systémique avec des agents immunosuppresseurs au cours des 5 dernières années; antécédents de greffe d'organe solide; traitement antérieur avec anti-PD-1/PD-L1 ou autre traitement avec des inhibiteurs de points de contrôle immunitaires; infection par le VIH, hépatite B ou hépatite C; patients avec leucémie lymphoïde chronique (LLC); indice de performance ECOG ≥2, ou fonction rénale CLcr <30 ml/min.
-Les patients des deux études ont reçu cémiplimab en perfusion intraveineuse pendant 30 minutes jusqu'à progression évidente de la maladie, l'apparition d'une toxicité inacceptable ou jusqu'à l'échéance prévue du traitement (3 mg/kg toutes les 2 semaines pendant 48 semaines dans l'étude R2810-ONC-1423 ou pendant 96 semaines (groupes 1 et 2) dans l'étude R2810-ONC-1540 ou 350 mg toutes les 3 semaines pendant 54 semaines (groupe 3) dans l'étude R2810-ONC-1540). Les patients pouvaient continuer le traitement au-delà de la progression initiale, à la discrétion de l'investigateur. Si les patients atteints d'une maladie localement avancée montraient une réponse suffisante au traitement, la chirurgie avec intention curative était autorisée. Des évaluations de la réponse tumorale étaient effectuées toutes les 8 semaines. Le critère d'évaluation primaire était la confirmation du taux de réponse objective (ORR), d'après l'évaluation faite par un comité d'examen indépendant (ICR). Pour les patients atteints d'un CEC métastatique sans lésions cibles visibles de manière externe, le ORR était déterminé par les critères d'évaluation de réponse dans les tumeurs solides (RECIST 1.1, Response Evaluation Criteria in Solid Tumours). Pour les patients présentant des lésions cibles visibles de manière externe (CEC localement avancé et CEC métastatique), le ORR était déterminé par un critère d'évaluation composite qui intégrait les évaluations faites par le comité d'examen indépendant (ICR), des données radiologiques (RECIST 1.1) et des clichés numériques (critères de l'OMS). Les critères d'évaluation secondaires étaient la durée de réponse (DR) évaluée par l'ICR et par l'investigateur, le taux de réponse objective (ORR) évalué par l'investigateur, ainsi que la survie sans progression (SSP) évaluée par l'ICR et l'investigateur, la survie globale (OS) et le taux de réponse complète (TRC) évalués par l'ICR.
-Les résultats sont présentés sous la forme d'une analyse combinée de 26 patients atteints d'un CEC issus de l'étude R2810-ONC-1423, et de 193 patients issus de l'étude R2810-ONC-1540. Parmi ces 219 patients, 131 avaient un CEC métastatique et 88 un CEC localement avancé, avec un âge médian de 72 ans (intervalle: 38 à 96). 89 patients (40,6%) avaient 75 ans et plus. 182 patients étaient des hommes (83,1%), et 211 étaient de type caucasien (96,3%); l'indice de performance ECOG était de 0 (43,8%) ou de 1 (56,2%). 36,5% des patients avaient déjà reçu au moins 1 traitement systémique antinéoplasique, 90,4% avaient déjà subi une chirurgie liée au cancer, et 69,4% avaient déjà suivi une radiothérapie. Parmi les patients avec CEC métastatique, 72,5% avaient des métastases à distance et 26,7% seulement des métastases ganglionnaires.
-Chez les patients atteints de CEC avancé, la durée médiane d'exposition au cémiplimab a été de 38 semaines (intervalle: 2 à 110 semaines).
-Les résultats d'efficacité des études R2810-ONC-1423 et R2810-ONC-1540 sont présentés dans le tableau 2. Un taux de réponse objective (ORR) similaire était observé chez les patients avec CEC métastatique (44,3%) et chez les patients avec CEC localement avancé (45,5%). À la date de fin du recueil des données, les patients avec CEC avancé avaient été suivis pendant une durée médiane de 9,7 mois; la durée de réponse (DR) médiane n'avait pas été atteinte. Nonante-huit patients (44,7%) ont présenté une réponse complète (RC) ou une réponse partielle (RP).
-Tableau 2: Résultats d'efficacité des études R2810-ONC-1423 et R2810-ONC-1540 – CEC métastatique, CEC localement avancé et CEC combiné
-Critères d'évaluation de l'efficacité CEC métastatique (N = 131) CEC localement avancé (N = 88) CEC combiné (N = 219)
-Taux de réponse objective (ORR) confirméa
-ORR % 44,3% 45,5% 44,7%
-IC Ã 95% (35,6% - 53,2%) (34,8% - 56,4%) (38,0% - 51,6%)
-Taux de réponse complète (RC)b 9,2% 11,4% 10,0%
-Taux de réponse partielle (RP) 35,1% 34,1% 34,7%
-Maladie stable (SD) 16,0% 34,1% 23,3%
-Maladie évolutive (ME) 21,4% 10,2% 16,9%
-Durée de réponse (DR)a,
-Médiane (mois) NAd NA NA
-Intervalle (mois) 2,1 - 21,6+ 1,0 - 24,2+ 1,0 - 24,2+
-Patients avec DR ≥6 mois, % 81,0% 70,0% 76,5%
-Délai de réponse (mois)
-Médiane 2,04 1,91 2,0
-Intervalle (mois) (1,7 - 9,1) (1,8 - 8,8) (1,7 - 9,1)
-Survie sans progression (SSP)a,c
-6 mois 62,6% 73,6% 66,9%
-IC Ã 95% (53,6 - 70,4) (61,9 - 82,1) (60,0 - 73,0)
-12 mois IC Ã 95% 51,2% (41,8 - 59,9) 62,3% (49,1 - 72,9) 55,4% (47,8 - 62,3)
-Survie globale (OS)a,c,d
-12 mois IC Ã 95% 80,7% (72,5 - 86,7) 92,7% (84,5 - 96,7) 85,4% (79,7 - 89,6)
-
-IC: intervalle de confiance; NA: non atteinte; +: «en cours» lors de la dernière évaluation.
-a durée médiane du suivi: métastatique: 9,7 mois; localement avancé: 10,1 mois; combiné: 9,7 mois
-b n'inclut que les patients avec cicatrisation complète d'une atteinte cutanée antérieure; les patients avec CEC localement avancé de l'étude R2810-ONC-1540 ont dû subir une biopsie pour confirmer une réponse complète.
-c basé sur les estimations de Kaplan-Meier.
-d la survie globale ne nécessite pas de revue centrale.
-Les résultats du taux de réponse objective (ORR) pour l'étude R2810-ONC-1540 seule sont présentés dans le tableau 3.
-Tableau 3: Résultats des taux de réponse objective (étude R2810-ONC-1540) – CEC métastatique par posologie, CEC localement avancé et CEC combiné
- CEC métastatique cémiplimab: 3 mg/kg toutes les 2 semaines (Groupe 1) (N = 59) CEC localement avancé cémiplimab: 3 mg/kg toutes les 2 semaines (Groupe 2) (N = 78) CEC métastatique cémiplimab: 350 mg toutes les 3 semaines (Groupe 3) (N = 56) CEC combiné (N=193)a
- +Les deux études ont exclu les patients dans les cas suivants: maladie auto-immune ayant nécessité un traitement systémique avec des agents immunosuppresseurs au cours des 5 dernières années; antécédents de greffe d'organe solide; traitement antérieur avec anti-PD-1/PD-L1 ou autre traitement avec des inhibiteurs de points de contrôle immunitaires; infection par le VIH, hépatite B ou hépatite C; patients avec leucémie lymphoïde chronique (LLC); indice de performance ECOG ≥2, ou fonction rénale CLcr < 30 ml/min.
- +Les patients des deux études ont reçu cémiplimab en perfusion intraveineuse pendant 30 minutes jusqu'à progression évidente de la maladie, l'apparition d'une toxicité inacceptable ou jusqu'à l'échéance prévue du traitement (3 mg/kg toutes les 2 semaines pendant 48 semaines dans l'étude R2810-ONC-1423 ou pendant 96 semaines (groupes 1 et 2) dans l'étude R2810-ONC-1540 ou 350 mg toutes les 3 semaines pendant 54 semaines (groupe 3) dans l'étude R2810-ONC-1540). Les patients pouvaient continuer le traitement au-delà de la progression initiale, à la discrétion de l'investigateur. Si les patients atteints d'une maladie localement avancée montraient une réponse suffisante au traitement, la chirurgie avec intention curative était autorisée. Des évaluations de la réponse tumorale étaient effectuées toutes les 8 ou 9 semaines. Le critère d'évaluation primaire était la confirmation du taux de réponse objective (ORR) définie comme la réponse complète (RC) plus la réponse partielle (RP), d'après l'évaluation faite par un comité d'examen indépendant (ICR). Pour les patients atteints d'un CEC métastatique sans lésions cibles visibles de manière externe, le ORR était déterminé par les critères d'évaluation de réponse dans les tumeurs solides (RECIST 1.1, Response Evaluation Criteria in Solid Tumours). Pour les patients présentant des lésions cibles visibles de manière externe (CEC localement avancé et CEC métastatique), le ORR était déterminé par un critère d'évaluation composite qui intégrait les évaluations faites par le comité d'examen indépendant (ICR), des données radiologiques (RECIST 1.1) et des clichés numériques (critères de l'OMS). Les critères d'évaluation secondaires étaient la durée de réponse (DR) évaluée par l'ICR et par l'investigateur, le taux de réponse objective (ORR) évalué par l'investigateur, ainsi que la survie sans progression (SSP) évaluée par l'ICR et l'investigateur, la survie globale (OS) et le taux de réponse complète (TRC) évalués par l'ICR. L'analyse primaire de l'efficacité pour chaque groupe a été réalisée lorsque tous les patients avaient la possibilité d'un suivi pendant au moins 6 mois.
- +Les résultats proviennent de 219 patients atteints de CEC avancés dont 193 patients sont inclus dans l'étude 1540 et 26 patients sont inclus dans l'étude 1423. Parmi ces 193 patients de l'étude R2810-ONC-1540, 115 avaient un CEC métastatique et 78 un CEC localement avancé. L'âge médian était de 72 ans (intervalle de 38 à 96 ans): 78 (40,4%) patients avaient 75 ans ou plus, 66 (34,2%) avaient 65 ans ou moins de 75 ans et 49 (25,4%) avaient moins de 65 ans. Au total, 161 (83,4 %) patients étaient de sexe masculin et 187 (96,9 %) étaient de race blanche; le score ECOG était de 0 (44,6 %) et de 1 (55,4 %). Trente-trois et 7/10 % (33,7 %) des patients avaient reçu au moins une thérapie systémique anticancéreuse antérieure, 90,2 % des patients avaient subi une chirurgie liée au cancer et 67,9 % des patients avaient reçu une radiothérapie antérieure. Parmi les patients atteints d'un CEC métastatique, 76,5 % avaient des métastases à distance et 22,6 % n'avaient que des métastases nodales.
- +Les résultats de l'efficacité de l'étude R2810-ONC-1540 sont présentés dans le tableau 2.
- +Tableau 2: Résultats d'efficacité (étude R2810-ONC-1540) – CEC métastatique par posologie, CEC localement avancé et CEC combiné
- +Critères d'efficacitéa CEC métastatique cémiplimab: 3 mg/kg toutes les 2 semaines (Groupe 1) (N = 59) CEC localement avancé cémiplimab: 3 mg/kg toutes les 2 semaines (Groupe 2) (N = 78) CEC métastatique cémiplimab: 350 mg toutes les 3 semaines (Groupe 3) (N = 56) CEC combiné (N=193)
-Taux de réponse objective (ORR) confirméb
-ORR 49.2% 43.6% 39.3% 44%
-95% CI pour ORR (35.9, 62.5) (32.4, 55.3) (26.5, 53.2) (36.9, 51.3)
-Réponse complète (RC)c 16.9% 12.8% 3.6% 11.4%
- +Taux de réponse objective (ORR) confirmé
- +ORR 49.2% 43.6% 41.3% 44.6%
- +95% CI pour ORR (35.9, 62.5) (32.4, 55.3) (28.1, 55.0) (37.4, 51.9)
- +Réponse complète (RC)b 16.9% 12.8% 5.4% 11.9%
-Maladie évolutive (ME) 16.9% 11.5% 26.8% 17.6%
- +Maladie évolutive (ME) 16.9% 11.5% 25.0% 17.1%
- +Durée de la réponse (DR)
- +Médianec (mois) NA NA NA NA
- +Intervalle (mois) 2.8-21.6+ 1.9-24.2+ 2.1-11.1+ 1.9 – 24.2+
- +Patients avec DR ≥6 mois 93.1% 67.6% 65.2% 75.6%
- +Patients avec DR ≥12 mois 75.9% 35.3% 0% 39.5%
- +Délai de réponse
- +Médiane (mois) Intervalle (min:max) 1.9 (1.7: 9.1) 1.9 (1.8: 8.8) 2.1 (2.0: 8.3) 2.0 (1.7, 9.1)
- +Survie sans progression (SSP)c
- +6 mois (IC Ã 95%) 65.8% (51.8, 76.7) 71.5% (58.9, 80.9) 59.3% (45.0, 71.0) 66.2% (58.6, 72.6)
- +12 mois (IC Ã 95%) 52.9% (39.0, 65.0) 58.1% (43.7, 70.0) 47.4% (29.6, 63.3) 54.0% (45.7, 61.5)
- +Survie Globale (SG)c,d
- +12 mois (IC Ã 95%) 81.3% (68.7, 89.2) 93.2% (84.4, 97.1) 76.1% (56.9, 87.6) 85.7% (79.6, 90.1)
-CI: intervalle de confiance; ICR: revue centralisée indépendante (Independent Central Review)
-a Ne comprend pas les 26 patients de l'étude R2810-ONC-1423.
-b Dans les groupes 1, 2, 3, et CEC combiné, la durée médiane de suivi était respectivement de 16.5, 9.3, 8.1 et 9.4 mois.
-c Ne comprend que les patients avec une cicatrisation complète d'une atteinte cutanée antérieure; les patients CEC localement avancé de l'étude R2810-ONC-1540 ont dû subir une biopsie pour confirmer leur réponse complète.
- +IC: intervalle de confiance; ICR: revue centralisée indépendante (Independent Central Review); NA: Non atteinte; +: « en cours » lors de la dernière évaluation.
- +a Dans les groupes 1, 2, 3, et CEC combiné, la durée médiane de suivi était respectivement de 16.5, 9.3, 8.1 et 9.4 mois.
- +b Ne comprend que les patients avec une cicatrisation complète d'une atteinte cutanée antérieure; les patients CEC localement avancé de l'étude R2810-ONC-1540 ont dû subir une biopsie pour confirmer leur réponse complète.
- +c Basé sur les estimations de Kaplan Meier
- +d La survie globale ne nécessite pas de revue central
- +Étude R2810-ONC-1423
- +Parmi les 26 patients atteints de CEC dans l'étude 1423, 16 souffraient de CEC métastatique et 10 de CEC localement avancé. L'âge médian était de 73 ans (52 à 88 ans); 81 % des patients étaient de sexe masculin; 92 % des patients étaient de race blanche; le score ECOG était de 0 (38 %) et 1 (62 %); 58 % des patients avaient reçu au moins 1 traitement systémique anticancéreux préalable; 92 % des patients avaient subi une chirurgie liée au cancer et 81 % avaient reçu une radiothérapie préalable. Un patient du groupe CEC métastatique a reçu une dose de 1 mg/kg. Les autres ont reçu 3 mg/kg toutes les deux semaines.
- +Avec une durée médiane de suivi de 13,3 mois, l'ORR confirmé était de 50 % (IC à 95 %: 30, 70); toutes les réponses étaient des RP. Le délai médian de réponse était de 1,9 mois (intervalle: 1,7 à 7,3 mois) et 85 % des répondants avaient une DR confirmée ≥6 mois.
- +
-Des données de concentration ont été recueillies chez 548 patients avec différentes tumeurs solides recevant le cémiplimab, dont 178 patients avec CEC. À des schémas posologiques de 1 mg/kg à 10 mg/kg toutes les 2 semaines et de 350 mg toutes les 3 semaines, la cinétique du cémiplimab observée était linéaire et proportionnelle à la dose, ce qui laisse entendre une saturation de la voie conditionnée par la cible pendant l'intervalle d'administration. Une exposition similaire est obtenue avec les doses de 350 mg toutes les 3 semaines et de 3 mg/kg toutes les 2 semaines. Avec 350 mg toutes les 3 semaines, la concentration moyenne du cémiplimab à l'équilibre était comprise entre une Cmax de 168 mg/l et une Cmin de 61 mg/l. Une exposition à l'équilibre est obtenue après environ 4 mois de traitement.
- +Des données de concentration ont été recueillies chez 548 patients avec différentes tumeurs solides recevant le cémiplimab, dont 178 patients avec CEC. À des schémas posologiques de 1 mg/kg à 10 mg/kg toutes les 2 semaines et de 350 mg toutes les 3 semaines, la cinétique du cémiplimab observée était linéaire et proportionnelle à la dose, ce qui laisse entendre une saturation de la voie conditionnée par la cible pendant l'intervalle d'administration.
- +Chez les patients atteints de carcinome épidermoïde cutané métastatique, l'exposition à l'état d'équilibre à 350 mg toutes les 3 semaines (N=53) et à 3 mg/kg toutes les 2 semaines (N=135), est similaire. A 350 mg toutes les 3 semaines, les concentrations moyennes de cémiplimab observées à l'équilibre était comprise entre une Cmin de 63 mg/l et une Cmax de 151 mg/l.
- +Une exposition à l'équilibre est obtenue après environ 4 mois de traitement.
-L'effet de l'insuffisance rénale sur l'exposition au cémiplimab a été évalué par une analyse PC de populations chez les patients avec insuffisance rénale légère (CLcr 60 à 89 ml/min; n = 197), modérée (CLcr 30 à <60 ml/min; n = 90) ou sévère (CLcr <30 ml/min; n = 4). Aucune différence cliniquement importante en termes d'exposition au cémiplimab n'a été observée entre les patients avec insuffisance rénale et les patients avec fonction rénale normale. Cémiplimab n'a pas été étudié chez les patients présentant une CLcr <25 ml/min (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +L'effet de l'insuffisance rénale sur l'exposition au cémiplimab a été évalué par une analyse PC de populations chez les patients avec insuffisance rénale légère (CLcr 60 à 89 ml/min; n = 197), modérée (CLcr 30 à 59 ml/min; n = 90) ou sévère (CLcr 15 à 29 ml/min; n = 4). Aucune différence cliniquement importante en termes d'exposition au cémiplimab n'a été observée entre les patients avec insuffisance rénale et les patients avec fonction rénale normale. Cémiplimab n'a pas été étudié chez les patients présentant une CLcr < 25 ml/min (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Libtayo ne contient pas de conservateur.
- +
-·à température ambiante jusqu'à 25 °C pendant un maximum de 8 heures à compter de l'heure de préparation. Ce qui inclut la conservation à température ambiante de la solution à perfuser dans le récipient IV et le délai d'administration de la perfusion.
- +·à température ambiante jusqu'à 25 °C pendant un maximum de 8 heures à compter de l'heure de préparation de la perfusion jusqu'à la fin de la perfusion.
-·au réfrigérateur à une température comprise entre 2 °C et 8 °C pendant un maximum de 24 heures à compter de l'heure de préparation de la perfusion. Laisser la solution diluée atteindre la température ambiante avant administration.
- +·au réfrigérateur à une température comprise entre 2 °C et 8 °C pendant un maximum de 24 heures à compter de l'heure de préparation de la perfusion jusqu'à la fin de la perfusion. Laisser la solution diluée atteindre la température ambiante avant administration.
-·Prélever 7 ml (350 mg) du ou des flacon(s) de Libtayo et transférer dans une poche à perfusion intraveineuse (IV) contenant du chlorure de sodium à 0,9% ou du dextrose à 5%. Mélanger la solution diluée en retournant délicatement la poche. Ne pas secouer la solution. La concentration finale de la solution diluée doit être comprise entre 1 mg/ml et 20 mg/ml.
- +·Prélever 7 ml (350 mg) du flacon de Libtayo et transférer dans une poche à perfusion intraveineuse (IV) contenant du chlorure de sodium à 0,9% ou du dextrose à 5%. Mélanger la solution diluée en retournant délicatement la poche. Ne pas secouer la solution. La concentration finale de la solution diluée doit être comprise entre 1 mg/ml et 20 mg/ml.
-·Libtayo doit impérativement être administré par perfusion intraveineuse pendant 30 minutes au moyen d'une ligne intraveineuse contenant un filtre stérile installé en ligne ou en supplément (diamètre des pores de 0,2 à 5 microns).
- +·Libtayo est administré par perfusion intraveineuse pendant 30 minutes au moyen d'une ligne intraveineuse contenant un filtre stérile installé en ligne ou en supplément (diamètre des pores de 0,2 à 5 microns).
-Mai 2020.
- +Mars 2021.
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