ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Poll-X - Changements - 25.12.2024
62 Changements de l'information professionelle Poll-X
  • -Colorant: carmin d’indigo (E132), excipiens pro compresso obducto.
  • +Cellulose microcristalline, amidon prégélatinisé, stéarate de magnésium, silice colloïdale anhydre, hypromellose, dioxyde de titane (E171), acide stéarique, indigotine (E132).
  • -Adultes et adolescents de 12 ans et plus: 1 comprimé pelliculé de Poll-X de 5 mg 1× par jour.
  • -La rhinite allergique intermittente (présence de symptômes sur une période inférieure à 4 jours par semaine ou une période inférieure à 4 semaines) doit être traitée en fonction de l’évolution antérieure de la maladie, le traitement pouvant être interrompu après la disparition des symptômes, et repris à leur réapparition. En cas de rhinite allergique persistante (présence de symptômes sur une période supérieure ou égale à 4 jours par semaine ou supérieure à 4 semaines), un traitement continu peut-être recommandé aux patients pendant période d’allergies.
  • -Enfants de moins de 12 ans
  • +Adultes et adolescents de 12 ans et plus
  • +1 comprimé pelliculé de Poll-X à 5 mg 1× par jour.
  • +La rhinite allergique intermittente (présence de symptômes sur une période inférieure à 4 jours par semaine ou une période inférieure à 4 semaines) doit être traitée en fonction de l’évolution antérieure de la maladie, le traitement pouvant être interrompu après la disparition des symptômes, et repris à leur réapparition. En cas de rhinite allergique persistante (présence de symptômes sur une période supérieure ou égale à 4 jours par semaine ou supérieure à 4 semaines), un traitement continu peut être recommandé aux patients pendant période d’allergie.
  • +Enfants et adolescents
  • +L’efficacité et la tolérance des comprimés pelliculés de Poll-X n’ont pas été établies à ce jour chez les enfants et les adolescents de moins de 12 ans.
  • -Réactions anaphylactiques: Poll-X n’est pas indiqué pour le traitement d’une réaction anaphylactique. Les patients chez lesquels survient une urticaire aiguë associée à symptômes respiratoires ou circulatoires dans le cadre d’une réaction anaphylactique doivent être informés de la nécessité de consulter un médecin en urgence.
  • -L’efficacité et la tolérance des comprimés pelliculés de Poll-X n’ont pas été établies à ce jour chez les enfants et les adolescents de moins de 12 ans.
  • -Les patients souffrant d’intolérance héréditaire rare au fructose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Réactions anaphylactiques: Poll-X n’est pas indiqué pour le traitement d’une réaction anaphylactique. Les patients chez lesquels survient une urticaire aiguë associée à des symptômes respiratoires ou circulatoires dans le cadre d’une réaction anaphylactique doivent être invités à consulter un médecin en urgence.
  • +Lors de l’administration concomitante de 5 mg de desloratadine et d’azithromycine, on a observé une augmentation de 15% des concentrations sériques maximales et de 5% de l’AUC. L’azithromycine n’a pas influé sur les paramètres pharmacocinétiques de la desloratadine.
  • -Lors des expérimentations animales, aucune tératogénicité n’a été observée. La sécurité lors de la grossesse chez l’être humain n’a pas été démontrée. La desloratadine ne doit pas, comme certains autres médicaments, être pris pendant la grossesse.
  • -En cas de prise accidentelle pendant la grossesse, un effet néfaste sur le fœtus n’est pas à craindre, mais le traitement doit être arrêté immédiatement par mesure de précaution.
  • +Aucun effet tératogène n’a été observé dans les études effectuées chez l’animal. La sécurité du produit pendant la grossesse n’est pas établie. Comme d’autres médicaments, la desloratadine ne doit pas être utilisée pendant la grossesse. Aucun effet nocif n’est attendu chez le fœtus en cas de prise accidentelle pendant la grossesse; toutefois, le traitement devra par mesure de précaution être immédiatement arrêté.
  • -La desloratadine passe dans le lait maternel. L’utilisation de Poll-X est donc déconseillée pendant l’allaitement.
  • +La desloratadine passant dans le lait maternel. Il est conseillé de ne pas allaiter durant un traitement par Poll-X.
  • -Des effets sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation des machines n’ont pas été constatés au cours des études réalisées jusqu’ici. Les patients doivent cependant être informés que dans des cas très rares, des étourdissements en mesure d’altérer l’aptitude à conduire et à utiliser des machines peuvent survenir.
  • +Aucune influence sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines n’a été observée dans les études menées jusqu’à ce jour. Les patients doivent cependant être informés que dans des cas très rares, des étourdissements en mesure d’altérer l’aptitude à conduire et à utiliser des machines peuvent survenir.
  • -Au cours d’études cliniques menées auprès d’adultes et d’enfants pour différentes indications, y compris la rhinite allergique et l’urticaire idiopathique chronique, une augmentation de 3% des effets indésirables a été observée sous la posologie recommandée par rapport au placebo.
  • +Résumé du profil de sécurité
  • +Lors des études cliniques menées chez des adultes et des adolescents dans différentes indications, y compris rhinite allergique et urticaire chronique idiopathique, des effets indésirables ont été observés à la dose recommandée chez 3% de patients de plus que chez ceux traités par le placebo.
  • +Liste des effets indésirables
  • +Les effets indésirables sont listés par classe de système d’organes (classification MedDRA) et par fréquence selon la convention suivante:
  • -«Très rare» (<1/10'000).
  • +«Très rare» (<1/10'000),
  • -Très rares: hallucinations.
  • +Très rare: hallucinations.
  • -Fréquents: fatigue.
  • -Occasionnels: céphalées.
  • -Très rares: vertiges, somnolence, hyperactivité psychomotrice, crises convulsives.
  • +Fréquent: fatigue.
  • +Occasionnel: céphalées.
  • +Très rare: vertiges, somnolence, hyperactivité psychomotrice, crises convulsives.
  • -Très rares: tachycardie, palpitations.
  • +Très rare: tachycardie, palpitations.
  • -Occasionnels: sécheresse de la bouche.
  • -Très rares: douleurs abdominales, nausées, vomissements, dyspepsie, diarrhée.
  • +Occasionnel: sécheresse de la bouche.
  • +Très rare: douleurs abdominales, nausées, vomissements, dyspepsie, diarrhée.
  • -Très rares: augmentation des enzymes hépatiques, augmentation de la bilirubine, hépatite.
  • +Très rare: augmentation des enzymes hépatiques, augmentation de la bilirubine, hépatite.
  • -Très rares: myalgies.
  • +Très rare: myalgies.
  • -Très rares: anaphylaxie, angio-œdème, prurit, exanthème, urticaire.
  • +Très rare: anaphylaxie, angio-œdème, prurit, exanthème, urticaire.
  • -En cas de surdosage massif, un lavage d’estomac doit être réalisé avec les mesures de soutien habituelles.
  • -Au cours d’une étude avec des administrations répétées chez des adultes et des adolescents traités par la desloratadine à une posologie allant jusqu’à 45 mg (9 fois la dose clinique), aucun effet cliniquement important n’a été observé.
  • -La desloratadine nest pas éliminée par l’hémodialyse; on ne sait pas si elle est éliminée par la dialyse péritonéale.
  • +En cas de surdosage massif, il faut procéder à un lavage d’estomac, en plus des mesures de soutien habituelles.
  • +Dans une étude à doses répétées chez l’adulte et l’adolescent, dans laquelle la desloratadine a été administrée à une dose allant jusqu’à 45 mg (9 fois la dose clinique), aucun effet cliniquement significatif n’a pu être observé.
  • +La desloratadine n'est pas éliminée par hémodialyse et on ignore si elle est éliminée par dialyse péritonéale.
  • -Mécanisme d’action
  • +Mécanisme d’action/Pharmacodynamique
  • -La desloratadine est un antihistaminique non sédatif à longue durée d’action qui présente un effet antagoniste puissant et sélectif sur les récepteurs périphériques H1 à l’histamine. Après administration orale, la desloratadine inhibe sélectivement les récepteurs périphériques H1 à l’histamine car le passage du médicament dans le système nerveux central est faible.
  • -Dans le cadre d’une étude clinique avec des administrations répétées, au cours de laquelle la desloratadine a été administrée à des doses allant jusqu’à 20 mg par jour pendant 14 jours, aucun effet statistiquement significatif ou cliniquement important n’a été observé au niveau cardiovasculaire.
  • -Lors d’une étude clinique/pharmacologique au cours de laquelle la desloratadine à été administrée à une posologie allant jusqu’à 45 mg par jour (9 fois la dose clinique) pendant dix jours, un prolongement de l’intervalle QTc n’a pas été observé. On ne connaît actuellement pas la pertinence de cette observation chez les «poor metabolizer» (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -La desloratadine ne passe dans le système nerveux central qu’à faibles doses. Sous la posologie recommandée de 5 mg par jour, une augmentation de la fréquence des somnolences n’a pas été constatée par rapport au placebo.
  • -Au cours d’études cliniques/pharmacologiques avec prise concomitante d’alcool, une aggravation de l’altération des performances induite par l’alcool ou une augmentation des somnolences n’a pas été constatée. Les résultats des tests psychomoteurs n’ont pas permis de détecter une différence significative entre les patients traités par la desloratadine et ceux traités par le placebo, indépendamment de la prise de la desloratadine seule ou simultanément avec de l’alcool.
  • +La desloratadine est un antihistaminique non sédatif, d’action prolongée exerçant un effet antagoniste puissant et sélectif sur les récepteurs histaminiques H1 périphériques. Après administration orale, la desloratadine bloque sélectivement les récepteurs histaminiques H1 périphériques, car elle diffuse très faiblement dans le système nerveux central.
  • +Lors d’une étude clinique à doses répétées dans laquelle jusqu’à 20 mg par jour de desloratadine ont été administrés pendant 14 jours, aucun effet cardiovasculaire statistiquement ou cliniquement significatif n’a été observé.
  • +Dans le cadre d’une étude pharmacologique clinique dans laquelle la desloratadine a été administrée à une dose de 45 mg par jour (neuf fois la dose clinique) pendant dix jours, aucun allongement de l’intervalle QTc n’a été observé. Il n’est pas élucidé à ce jour si ceci concerne aussi les «poor metabolizer» (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +La desloratadine ne diffuse qu’en faibles quantités dans le système nerveux central. A la posologie recommandée de 5 mg par jour, il n’y a pas eu d’augmentation de l’incidence de la somnolence par rapport au placebo.
  • +Dans des études cliniques pharmacologiques, la prise concomitante d’alcool n’a pas accentué l’altération des performances induite par l’alcool ni augmenté la somnolence. Les résultats des tests psychomoteurs n’ont pas mis en évidence de différences significatives entre les patients traités par la desloratadine et ceux traités par placebo, que la desloratadine ait été associée à de l’alcool ou non.
  • -En plus de la classification établie en «saisonnière» et «pérenne», la rhinite allergique peut également être classée en «intermittente» et «persistante» en fonction de la durée des symptômes. La rhinite allergique intermittente est définie par une persistance des symptômes pendant moins de 4 jours par semaine ou moins de 4 semaines. La rhinite allergique persistante se caractérise par une survenue des symptômes pendant 4 jours ou plus par semaine et plus de 4 semaines.
  • +En plus de la classification établie de la rhinite allergique différenciant la rhinite saisonnière et perannuelle, la rhinite allergique peut aussi être divisée en rhinite allergique intermittente et rhinite allergique persistante selon la durée des symptômes. La rhinite allergique intermittente est définie par la présence de symptômes sur une période inférieure à 4 jours par semaine ou inférieure à 4 semaines. La rhinite allergique persistante est définie par la présence de symptômes sur une période supérieure ou égale à 4 jours par semaine et sur une période supérieure à 4 semaines.
  • -L’efficacité et la sécurité cliniques des comprimés de desloratadine ont été examinées auprès de plus de 2300 patients âgés de 12 à 75 ans et souffrant de rhinite allergique saisonnière. Au total, 1838 patients ont reçu au cours de 4 études cliniques contrôlées contre placebo, menées en double aveugle et randomisées de 2 à 4 semaines, de la desloratadine à une posologie de 2.5-20 mg/jour. Les résultats de ces études démontrent l’efficacité et la sécurité d’emploi des comprimés à 5 mg de la desloratadine pour le traitement des patients adultes et adolescents souffrant de rhinite allergique saisonnière. Au cours d’une étude sur la posologie, la desloratadine a été étudiée à des doses de 2.5-20 mg/jour. Les doses de 5, 7.5, 10 et 20 mg/jour ont été supérieures au placebo; aucun bénéfice supplémentaire n’a été constaté à des doses supérieures à 5.0 mg.
  • -Au cours de 2 études de quatre semaines auprès de 924 patients (âgés de 15 à 75 ans) souffrant de rhinite allergique saisonnière et d’asthme, les comprimés de desloratadine 5 mg une fois par jour ont permis une amélioration des symptômes de la rhinite sans aggraver la fonction pulmonaire. Elles démontrent la sécurité de l’utilisation des comprimés de desloratadine chez les patients adultes souffrant de rhinite allergique saisonnière et d’asthme léger à modéré.
  • -L’administration journalière unique des comprimés de desloratadine 5 mg a permis une réduction significative du score symptomatique global (somme des scores individuels pour les symptômes nasaux et non nasaux) chez les patients avec rhinite allergique saisonnière (voir Tableau 1).
  • -Tableau 1. Score symptomatique global (Total Symptom Score, TSS)
  • -Changements observés chez des patients souffrant de rhinite allergique saisonnière au cours d’une étude clinique de deux semaines
  • -Groupe de traitement (n) Score initial moyen * (SEM) Changement par rapport au score initial** (SEM) Comparaison par rapport au placebo (valeur p)
  • +L’efficacité clinique et la sécurité des comprimés pelliculés de desloratadine ont été étudiées chez plus de 2300 patients âgés de 12 à 75 ans atteints de rhinite allergique saisonnière. Un total de 1838 patients ont été inclus dans 4 études cliniques en double aveugle, randomisées et contrôlées par placebo, au cours desquelles ils ont reçu desloratadine à la posologie de 2.5-20 mg/jour sur une durée de 2 à 4 semaines. Les résultats de ces études ont prouvé l’efficacité et la sécurité de desloratadine à 5 mg dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière de l'adulte et de l'adolescent. Dans une étude de recherche de doses, desloratadine a été étudié à une posologie de 2.5-20 mg/jour. Des doses de 5, 7.5, 10 et 20 mg/jour ont montré des effets supérieurs à ceux du placebo; à des doses supérieures à 5.0 mg, aucun avantage supplémentaire n’a été mis en évidence.
  • +Dans 2 études d’une durée respective de quatre semaines, englobant 924 patients (âgés de 15 à 75 ans) atteints de façon concomitante de rhinite allergique saisonnière et d’asthme, les comprimés pelliculés de desloratadine à une posologie de 5 mg par jour ont entraîné une amélioration des symptômes dus à la rhinite, sans aggraver la fonction pulmonaire. Ceci démontre la sécurité d’emploi des comprimés pelliculés de desloratadine chez l’adulte atteint de façon concomitante de rhinite allergique saisonnière et d’asthme léger à modéré.
  • +La prise quotidienne unique de comprimés pelliculés de desloratadine à 5 mg a entraîné une diminution significative du score total de symptômes (somme des scores isolés de symptômes nasaux et non nasaux) chez les patients atteints de rhinite allergique saisonnière (voir Tableau 1).
  • +Tableau 1. Score total de symptômes (Total Symptom Score, TSS)
  • +Modifications survenues dans une étude clinique de deux semaines chez des patients atteints de rhinite allergique saisonnière
  • +Groupe de traitement (n) Score initial moyen * (SEM) Modification par rapport au score initial** (SEM) Comparaison par rapport au placebo (valeur p)
  • -* Au début de l’étude, un score global pour les symptômes nasaux (somme des 4 symptômes individuels) de 6 au minimum et un score symptomatique global pour les symptômes non nasaux (somme des 4 symptômes individuels) de 5 au minimum étaient nécessaires (chaque symptôme a été évalué sur une échelle de 0 à 3 avec 0= pas de symptôme et 3= symptôme sévère) pour inclure le patient dans l’étude. Le TSS se situe entre 0= pas de symptômes et 24= symptômes maximaux.
  • -** Réduction moyenne du TSS, valeur moyenne pendant la durée du traitement de deux semaines.
  • -Concernant l’efficacité des comprimés de desloratadine 5 mg, aucune différence significative n’a été observée entre les sous-groupes de patients créés en fonction du sexe, de lâge ou de la race.
  • -Rhinite allergique pérenne: l’efficacité et la sécurité cliniques des comprimés de desloratadine 5 mg ont été examinées auprès de 1300 patients d’un âge entre 12 et 80 ans avec rhinite allergique pérenne. Au total, 685 patients ont été traités au cours de 2 études cliniques menées en double aveugle, randomisées et contrôlées contre placebo de 4 semaines par la desloratadine, à une posologie de 5 mg/jour. Au cours de l’une de ces études, les comprimés de desloratadine 5 mg une fois par jour ont permis de réduire de manière avérée et significative les symptômes de la rhinite allergique pérenne (Tableau 2).
  • -Tableau 2. Score symptomatique global (Total Symptom Score, TSS)
  • -Changements observés chez des patients souffrant de rhinite allergique pérenne au cours d’une étude clinique de quatre semaines
  • -Groupe de traitement (n) Score initial moyen * (SEM) Changement par rapport au score initial** (SEM) Comparaison par rapport au placebo (valeur p)
  • +* Au début de l’étude, un score total de symptômes nasaux (somme de 4 symptômes isolés) dau moins 6 et un score total de symptômes non nasaux (somme de 4 symptômes isolés) dau moins 5 était exigé pour l’inclusion dans l’étude (un score de 0 à 3 était attribué à chaque symptôme: 0 = absence de symptômes; 3 = symptômes sévères). Le TSS se situe entre 0 = absence de symptômes et 24 = maximum de symptômes.
  • +** Réduction moyenne du TSS, valeur moyenne au cours des deux semaines de traitement.
  • +En ce qui concerne l’efficacité des comprimés pelliculés de desloratadine à 5 mg, aucune différence significative entre les sous-groupes de patients, définis en fonction du sexe, de l'âge et de la race, n'a été constatée.
  • +Rhinite allergique perannuelle: l’efficacité clinique et la sécurité des comprimés pelliculés de desloratadine à 5 mg ont été étudiées chez plus de 1300 patients âgés de 12 à 80 ans atteints de rhinite allergique perannuelle. Un total de 685 patients a été inclus dans 2 études cliniques en double aveugle, randomisées et contrôlées par placebo, au cours desquelles ceux-ci ont reçu de desloratadine à raison de 5 mg/jour sur une durée de 4 semaines. Dans une de ces études, la prise d’un comprimé pelliculé de desloratadine à 5 mg une fois par jour a entraîné une réduction prouvée et significative des symptômes de la rhinite allergique perannuelle (Tableau 2).
  • +Tableau 2. Score total de symptômes (Total Symptom Score TSS)
  • +Modifications survenues dans une étude clinique de quatre semaines chez des patients atteints de rhinite allergique perannuelle
  • +Groupe de traitement (n) Score initial moyen * (SEM) Modification par rapport au score initial** (SEM) Comparaison par rapport au placebo (valeur p)
  • -* Au début de l’étude, un score global pour les symptômes nasaux (somme des 5 symptômes nasaux individuels et des 3 symptômes non nasaux; chaque symptôme ayant été évalué sur une échelle de 0 à 3 avec: 0= pas de symptôme; 3= symptôme sévère) de 10 au minimum était nécessaire pour inclure la patient dans l’étude. Le TSS se situe entre 0= pas de symptômes et 24= symptômes maximaux.
  • -** Réduction moyenne du TSS, valeur moyenne pendant la durée du traitement de quatre semaines.
  • +* Au début de l’étude, un score total de symptômes nasaux (somme de 5 symptômes nasaux isolés et 3 symptômes non nasaux, un score de 0 à 3 étant attribué à chaque symptôme: 0 = absence de symptômes; 3 = symptômes sévères) d’au moins 10 était exigé pour l’inclusion dans l’étude. Le TSS se situe entre 0 = absence de symptômes et 24 = maximum de symptômes.
  • +** Réduction moyenne du TSS, valeur moyenne au cours des quatre semaines de traitement.
  • -L’urticaire idiopathique chronique a été examinée à la place d’autres formes d’urticaire car les patients chroniques peuvent être recrutés plus facilement pour une étude prospective.
  • -L’efficacité et la sécurité des comprimés de desloratadine 5 mg une fois par jour ont été examinées auprès de 416 patients âgés de 12 à 84 ans avec urticaire idiopathique chronique; parmi eux 211 ont reçu de la desloratadine. Au cours de deux études cliniques menées en double aveugle, contrôlées contre placebo et randomisées de six semaines, les comprimés de desloratadine ont induit une réduction significative de la sévérité des démangeaisons (partie intégrante du critère primaire prédéterminé) par rapport au placebo (Tableau 3). Les critères secondaires ont été également examinés; lors de la première semaine de traitement, les comprimés de desloratadine 5 mg ont réduit les critères secondaires «nombre de papules» et «taille des papules les plus grosses» par rapport au placebo.
  • -Tableau 3. Score du symptôme «démangeaisons»
  • -Changements observés au cours de la première semaine chez des patients souffrant d’urticaire idiopathique chronique au cours d’une étude clinique
  • -Groupe de traitement (n) Score initial moyen * (SEM) Changement par rapport au score initial** (SEM) Comparaison avec le placebo (valeur p)
  • -Desloratadine 5.0 mg (115) 2.19 (0.04) -1.05 (0.07) p= < 0.01
  • -Placebo (110) 2.21 (0.04) -0-52 (0.07)
  • +L’urticaire chronique idiopathique a été étudiée comme modèle clinique des autres formes d’urticaire parce que les patients chroniques peuvent être plus facilement recrutés prospectivement.
  • +L’efficacité et la sécurité des comprimés pelliculés de desloratadine à la posologie de 5 mg/jour ont été étudiées chez 416 patients âgés de 12 à 84 ans atteints d’urticaire chronique idiopathique; 211 de ces patients ont reçu desloratadine. Dans deux études cliniques en double aveugle, contrôlées par placebo, randomisées, d’une durée de six semaines, les comprimés pelliculés de desloratadine ont entraîné une réduction significative de l’intensité du prurit par rapport au placebo lors de l’examen primaire fixé au préalable au bout d’une semaine (Tableau 3). Des critères d’évaluation secondaires ont également été étudiés: au cours de la première semaine de traitement, les comprimés pelliculés de desloratadine à 5 mg ont diminué les critères secondaires «nombre de papules» et «taille de la papule la plus volumineuse» par rapport au placebo.
  • +Tableau 3. Score des symptômes du prurit
  • +Modifications survenues dans la première semaine d'une étude clinique chez des patients atteints d'urticaire chronique idiopathique
  • +Groupe de traitement (n) Score initial moyen * (SEM) Modification par rapport au score initial** (SEM) Comparaison par rapport au placebo (valeur p)
  • +Desloratadine 5.0 mg (115) 2.19 (0.04) -1.05 (0.07) p= <0.01
  • +Placebo (110) 2.21 (0.04) -0.52 (0.07)
  • -* Les démangeaisons ont été évaluées avec un score de 0 à 3: 0= pas de symptôme; 3= symptôme maximal.
  • -** Réduction moyenne des démangeaisons, valeur moyenne pendant la première semaine de traitement.
  • -Pharmacodynamie
  • -Aucune donnée n’est disponible.
  • -
  • +* Le prurit a été évalué à l’aide d’un score allant de 0 à 3: 0 = absence de symptômes; 3 = maximum de symptômes.
  • +** Réduction moyenne du prurit, valeur moyenne au cours de la première semaine de traitement.
  • -Aucune donnée.
  • +Voir «Mécanisme d’action».
  • -La desloratadine est bien sorbée, la concentration sérique maximale est atteinte en 3 heures environ. Dans les 30 minutes suivant l’administration de desloratadine, cette dernière peut être détectée dans le plasma. La biodisponibilité de la desloratadine (Cmax et ASC) est proportionnelle à la dose dans la gamme 5 à 20 mg. La biodisponibilité absolue n’est pas connue. La biodisponibilité de la desloratadine est identique après l’administration de 5 mg de desloratadine et de 10 mg de loratadine.
  • +La desloratadine est bien absorbée; la concentration sérique maximale est atteinte environ 3 heures après l’administration. La desloratadine est décelable dans le plasma 30 minutes après l’administration. La biodisponibilité de la desloratadine (Cmax et AUC) est proportionnelle à la dose dans la fourchette comprise entre 5 mg et 20 mg. La biodisponibilité absolue n’est pas connue. La biodisponibilité de la desloratadine est la même après l’administration de 5 mg de desloratadine ou de 10 mg de loratadine.
  • +Influence de l’alimentation
  • +Une étude à dose unique de 7.5 mg de desloratadine a montré que l’alimentation (petit-déjeuner hypercalorique riche en graisses) n’avait pas d’impact sur la pharmacocinétique de la desloratadine.
  • +Dans une autre étude, le jus de pamplemousse n’a pas eu d'influence sur la biodisponibilité de la desloratadine.
  • +
  • -La desloratadine est modérément (83-87%) liée aux protéines plasmatiques. Chez les patients insuffisants rénaux et hépatiques, la liaison aux protéines de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine est inchangée. Il n’existe pas d’indication suggérant une accumulation cliniquement importante après l’utilisation journalière unique de desloratadine (5-20 mg) pendant 14 jours.
  • +La liaison de la desloratadine aux protéines plasmatiques est modérée (83-87%). Chez les patients souffrant d’insuffisance rénale ou hépatique, la liaison aux protéines de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine est restée inchangée. Il n’existe aucun indice en faveur d’une accumulation cliniquement significative après une prise quotidienne unique de desloratadine (5-20 mg) pendant 14 jours.
  • -La desloratadine est amplement métabolisée en 3-hydroxy-desloratadine (métabolite actif), puis transformée par conjugaison avec l’acide glucuronique. Les enzymes responsables de la métabolisation de la desloratadine sont encore inconnus et des interactions avec d’autres médicaments ne peuvent donc pas être exclues. Des études in vivo avec des inhibiteurs spécifiques de CYP3A4 et de CYP2D6 ont montré que ces enzymes ne sont pas importants pour la métabolisation de la desloratadine.
  • -La transformation de la desloratadine en 3-hydroxy-desloratadine est nettement réduite chez une partie de la population en raison d’un polymorphisme encore non identifié au niveau du métabolisme. Environ 2% des Caucasiens et plus de 20% des personnes de peau noire montrent un rapport de l’ASC DL/3-OH-DL >10 (normal <4) et sont qualifiés de «poor metabolizer» (faibles métaboliseurs). Chez les adultes classés «poor metabolizer», l’exposition à la desloratadine (ASC) après administrations répétées a été 6 fois plus élevée que chez les adultes avec un métabolisme normal. Les effets pharmacodynamiques de cette sous-population, tous particulièrement sur l’intervalle QTc, ne sont pas complètement élucidés.
  • -Élimination
  • -La durée de demi-vie terminale est de 27 heures environ. L’intensité de l’accumulation de la desloratadine a correspondu à sa demi-vie (environ 27 heures) et à une administration par jour. Une étude de bilan chez l’homme a montré un taux de récupération de 87% environ de la dose totale de desloratadine marquée au C14, sous forme de métabolites dans les urines et les selles, à parts égales. L’analyse de la 3-hydroxy-desloratadine dans le plasma a montré un tmax et une demi-vie similaire aux valeurs correspondant à la desloratadine. La desloratadine n’est pas éliminée par l’hémodialyse.
  • -Études sur les interactions
  • -Au cours d’études sur les interactions avec des administrations répétées, l’administration concomitante de 7,5 mg de desloratadine et de kétoconazole ou d’érythromycine a conduit à une légère augmentation du taux plasmatique de desloratadine (ASC) de 39% et 14% respectivement. En outre, on a observé une augmentation du métabolite actif, la 3-hydroxy-desloratadine, de 72% avec le kétoconazole et de 40% avec l’érythromycine. Des modifications sur l’ECG n’ont pas été observées. En cas d’administration simultanée de 5 mg de desloratadine et d’azithromycine, une augmentation des concentrations sériques maximales de 15% a été notée, de même qu’une élévation de l’ASC de 5%. L’azithromycine n’a pas exercé d’influence sur les paramètres pharmacocinétiques de la desloratadine.
  • +La desloratadine est largement métabolisée en 3-hydroxy-desloratadine, son métabolite actif, puis subit une glucuronidation. On ne connaît pas les enzymes responsables du métabolisme de la desloratadine. C’est pourquoi on ne peut pas exclure des interactions avec d’autres médicaments. Des études in vivo avec des inhibiteurs spécifiques du CYP3A4 et du CYP2D6 ont montré que ces enzymes ne sont pas importantes pour le métabolisme de la desloratadine.
  • +Elimination
  • +La demi-vie terminale est denviron 27 h. L’accumulation de la desloratadine a correspondu à sa demi-vie (environ 27 h) et à une administration une fois par jour. Une étude relative à l’équilibre des masses réalisée chez l’homme a montré qu’on retrouvait environ 87% de la dose totale de 14C-desloratadine sous forme de métabolites, répartis de façon équilibrée dans les urines et les fèces. L’analyse de la 3-hydroxy-desloratadine dans le plasma a mis en évidence un tmax et une demi-vie équivalente à ceux de la desloratadine. La desloratadine n’est pas éliminée par hémodialyse.
  • -Influence de l’alimentation
  • -Au cours d’une étude en administration unique de 7.5 mg de desloratadine, aucune influence de l’alimentation (petit-déjeuner riche en graisses et en calories) n’a été observée sur la pharmacocinétique de la desloratadine.
  • -Au cours d’une autre étude, le jus de pamplemousse n’a montré aucune influence sur la disponibilité de la desloratadine.
  • -Patients avec insuffisance rénale
  • -On ne dispose pas d’expérience concernant l’administration répétée de desloratadine en cas d’insuffisance rénale. Chez les patients présentant une insuffisance rénale stable de différents degrés, l’ASC de la desloratadine après administration unique a été de 1.5 à 2.5 fois plus élevée et la concentration de la 3-hydroxy-desloratadine a été modifiée de manière minimale. La desloratadine n’a été éliminée par l’hémodialyse que de manière minimale (0.3%). En outre, la liaison aux protéines plasmatiques de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine est restée inchangée en cas de maladie rénale. Par conséquent, aucune modification de la concentration du principe actif libre n’a été constatée.
  • -Patients avec insuffisance hépatique
  • -Chez les patients avec insuffisance hépatique modérée, l’aire sous la courbe (ASC) peut être multipliée par 3. La liaison aux protéines plasmatiques de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine est restée inchangée chez les patients avec une maladie hépatique. La fréquence des effets indésirables au cours d’un traitement de 10 jours au maximum et chez des patients avec des lésions hépatiques modérés (Child B) n’a pas été augmentée.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients souffrant d’une insuffisance hépatique modérée, l’aire sous la courbe (AUC) peut être multipliée par un facteur allant jusqu’à 3. La liaison aux protéines plasmatiques de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine n’était pas modifiée chez les patients atteints d’une affection hépatique. La fréquence des effets indésirables n’était pas augmentée lors d’un traitement de 10 jours au maximum et chez des patients atteints d’une atteinte hépatique modérée (Child B).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +On ne dispose d’aucune expérience relative à l’administration répétée de la desloratadine chez des patients souffrant d’insuffisance rénale. Chez des patients présentant une insuffisance rénale stable de différents degrés, l’AUC de la desloratadine était multipliée par 1.5 à 2.5 après une dose unique et la concentration de la 3-hydroxy-desloratadine était modifiée de manière minimale. La desloratadine n’a été que faiblement (0.3%) éliminée par hémodialyse. Par ailleurs, la liaison aux protéines plasmatiques de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine n’était pas modifiée en cas d'affections rénales; par conséquent, la concentration du principe actif libre n’était pas non plus modifiée.
  • +Enfants et adolescents
  • +Dans des études séparées à dose unique, les valeurs de l’AUC et de la Cmax chez les patients pédiatriques étaient, aux doses recommandées, comparables à celles trouvées chez les adultes ayant reçu 5 mg de desloratadine sous forme de sirop.
  • +L’exposition à la desloratadine après la prise de doses répétées n'a pas été étudiée chez l’enfant.
  • +Polymorphisme génétique
  • +Chez une partie de la population, la transformation de la desloratadine en 3-hydroxy-desloratadine est nettement ralentie du fait d’un polymorphisme phénotypique du métabolisme encore non élucidé. Environ 2% des Caucasiens et plus de 20% des Noirs présentent un rapport AUC DL/3-OH-DL >10 (normal <4) et sont qualifiés de métaboliseurs lents. Après la prise de doses répétées, l’exposition à la desloratadine (AUC) était six fois plus élevée chez des sujets adultes classés métaboliseurs lents que chez des sujets ayant un métabolisme normal. Les répercussions pharmacodynamiques de cette variante, notamment sur l’intervalle QTc, n’ont pas été complètement élucidées jusqu’ici.
  • -Le potentiel carcinogène de la desloratadine a été examiné au cours d’une étude menée chez la souris et une étude sur la loratadine chez le rat.
  • -Au cours d’une étude de 2 ans chez le rat, la loratadine a été administrée à des doses jusqu’à 25 mg/kg/jour dans l’alimentation. Cela correspond à une ASC de la desloratadine et de son métabolite environ 30 fois plus élevée que celle induite par la dose journalière recommandée chez l’homme. Une incidence significativement plus élevée des tumeurs hépatocellulaires (adénomes et carcinomes) a été observée chez les animaux mâles traités par 10 mg/kg/jour et ainsi que les animaux mâles et femelles traités par 25 mg/kg/jour de loratadine. L’exposition supposée à la desloratadine et au métabolite loratadine chez les rats traités par 10 mg/kg/jour correspondait à peu près à une ASC 7 fois plus élevée que celle chez l’homme à la dose journalière recommandée. L’importance clinique de ces observations pendant une utilisation de longue durée de la desloratadine n’est pas connue.
  • -Au cours d’une étude de 2 ans chez des souris mâles et femelles traitées respectivement par des doses allant jusqu’à 16 mg/kg/jour et 32 mg/kg/jour, aucune augmentation significative de l’incidence d’apparition de tumeurs quelconques n’a été observée. L’exposition supposée à la desloratadine et au métabolite loratadine chez la souris à ces doses correspondait à une ASC respectivement 12 et 27 fois plus importante que celle induite chez l’homme par la dose journalière orale recommandée.
  • -Toxicologie de la reproduction
  • -Chez le rat, aucune influence sur la fertilité n’a été observée sous une dose de desloratadine par kg de poids corporel 34 fois supérieure à la dose clinique recommandée chez l’homme. À très fortes doses, une diminution de la fertilité des rats mâles a cependant été observée.
  • +Carcinogénicité
  • +Le potentiel cancérigène de la desloratadine a été examiné au cours d’une étude menée chez la souris et au cours d’une étude menée avec la loratadine chez le rat. La loratadine a été administrée avec la nourriture lors d’une étude réalisée chez le rat pendant 2 ans, à une dose allant jusqu’à 25 mg/kg/jour. Cette dose correspond à une exposition systémique à la desloratadine et à ses métabolites (représentée par l’AUC) environ 30 fois supérieure à celle obtenue chez l’être humain avec la dose journalière recommandée. Une augmentation significative de l’incidence des tumeurs hépatocellulaires (adénomes et carcinomes) a été observée chez les animaux mâles ayant reçu 10 mg/kg/jour de loratadine ainsi que chez les animaux mâles et femelles ayant reçu 25 mg/kg/jour de loratadine. L’exposition présumée à la desloratadine et aux métabolites de la loratadine chez le rat ayant reçu 10 mg/kg/jour, a correspondu à environ 7 fois l’AUC obtenue chez l’être humain avec la dose journalière recommandée. La pertinence clinique de ces observations pour une administration de desloratadine de longue durée est inconnue.
  • +Une étude menée chez la souris pendant 2 ans avec des doses allant jusqu’à 16 mg/kg/jour pour les mâles et jusqu’à 32 mg/kg/jour pour les femelles, n’a mis en évidence aucune augmentation significative de l’incidence des tumeurs, quelles qu’elles soient. L’exposition estimée à la desloratadine et aux métabolites de la loratadine chez la souris recevant ces doses a correspondu à une AUC environ 12 fois supérieure pour les mâles et environ 27 fois supérieure pour les femelles à celle obtenue chez l’être humain avec la dose orale quotidienne recommandée.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Des études réalisées chez des rats à qui on a administré des doses par kg de poids corporel 34 fois supérieures à la dose clinique recommandée chez l’homme n’ont pas montré d’influence de la desloratadine sur la fertilité. A des doses très élevées, on a toutefois observé une diminution de la fertilité chez les rats mâles.
  • -Mars 2018.
  • +Mars 2024.
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home