74 Changements de l'information professionelle Pregabalin Spirig HC 25 mg |
-Traitement initial: 150 mg par jour (75 mg 2×/jour ou 50 mg 3×/jour)
- +Traitement initial: 150 mg par jour (75 mg 2x / jour ou 50 mg 3x / jour)
-Traitement initial: 150 mg par jour (75 mg 2×/jour ou 50 mg 3×/jour)
- +Traitement initial: 150 mg par jour (75 mg 2x / jour ou 50 mg 3x / jour)
-Traitement initial: 150 mg par jour (75 mg 2×/jour ou 50 mg 3×/jour)
- +Traitement initial: 150 mg par jour (75 mg 2x / jour ou 50 mg 3x / jour)
-Au cours des études contrôlées, les patients sous prégabaline se sont plus souvent plaints d'une vision floue que les patients sous placebo. Dans la majorité des cas, cet effet indésirable a disparu avec la poursuite du traitement. Au cours des études cliniques contrôlées, des examens ophtalmologiques (comprenant des tests de l'acuité visuelle et du champ visuel, de même qu'un examen du fond d'œil en détail) ont été réalisés chez plus de 3600 patients. Une réduction de l'acuité visuelle a été constatée chez 6.5% des patients sous prégabaline contre 4.8% des patients sous placebo. Une modification du champ visuel a été observée chez 12.4% des patients sous prégabaline contre 11.7% des patients sous placebo. Le fond d'œil a permis de constater des modifications chez 1.7% des patients sous prégabaline contre 2.1% des patients sous placebo.
- +Au cours des études contrôlées, les patients sous prégabaline se sont plus souvent plaints d'une vision floue que les patients sous placebo. Dans la majorité des cas, cet effet indésirable a disparu avec la poursuite du traitement. Au cours des études cliniques contrôlées, des examens ophtalmologiques (comprenant des tests de l'acuité visuelle et du champ visuel, de même qu'un examen du fond d'œil en détail) ont été réalisés chez plus de 3'600 patients. Une réduction de l'acuité visuelle a été constatée chez 6.5% des patients sous prégabaline contre 4.8% des patients sous placebo. Une modification du champ visuel a été observée chez 12.4% des patients sous prégabaline contre 11.7% des patients sous placebo. Le fond d'œil a permis de constater des modifications chez 1.7% des patients sous prégabaline contre 2.1% des patients sous placebo.
-Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre Prégabaline Spirig HC.
- +Femmes en âge de procréer/contraception
- +L'utilisation de prégabaline au cours du premier trimestre de grossesse peut provoquer des malformations congénitales majeures (définies par le réseau European Surveillance of Congenital Anomalies [EUROCAT], version 2014) chez l'enfant à naître et avoir un effet négatif sur le développement neurologique post-natal ainsi que sur le poids de naissance. La prégabaline ne doit pas être utilisée pendant la grossesse, sauf si le bénéfice pour la mère l'emporte clairement sur les risques potentiels pour le fœtus. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement (voir «Grossesse, Allaitement»).
- +Excipients revêtant un intérêt particulier
- +Prégabaline Spirig HC contient du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre Prégabaline Spirig HC.
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-Aucune étude contrôlée n'a été réalisée sur l'administration de la prégabaline chez la femme enceinte.
-Des études effectuées chez l'animal ont montré une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»). En conséquence, le produit ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement.
- +On ne dispose que de données limitées sur l'administration de la prégabaline chez la femme enceinte.
- +Les données issues d'une étude observationnelle portant sur plus de 2'700 expositions à la prégabaline pendant la grossesse, obtenues grâce à des données collectées régulièrement dans les registres administratifs et de santé danois, finlandais, norvégiens et suédois, n'ont révélé aucun risque significativement plus élevé de malformations congénitales majeures (définies dans l'European Surveillance of Congenital Anomalies [EUROCAT], version 2014), d'effets indésirables sur la naissance (p.ex. mortinaissances) ou de développement neurologique post-natal anormal après une exposition à la prégabaline pendant la grossesse (voir ci-après).
- +Malformations congénitales majeures (définies dans l'European Surveillance of Congenital Anomalies [EUROCAT], version 2014)
- +Dans les méta-analyses standard, le rapport de prévalence ajusté (aPR) et l'intervalle de confiance (IC) à 95% s'élevaient à 1.14 (0.96-1.35) pour les grossesses exposées à la prégabaline en monothérapie au cours du premier trimestre par rapport aux grossesses non exposées à des antiépileptiques.
- +Effets sur la naissance et troubles du développement neurologique post-natal
- +Aucun effet statistiquement significatif n'a été constaté en ce qui concerne une mortinaissance, un faible poids de naissance, une prématurité, une taille ou un poids insuffisant pour l'âge gestationnel (c'est-à-dire un nouveau-né dont le poids de naissance ou la taille se situe dans la fourchette inférieure de la distribution normale pour l'âge gestationnel correspondant), un faible score d'Apgar et une microcéphalie.
- +Dans une population pédiatrique ayant été exposée in utero, aucun risque accru de trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), de trouble du spectre de l'autisme (TSA) et de déficience intellectuelle n'a été mis en évidence au cours de l'étude.
- +Des études effectuées chez l'animal ont montré une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»). En conséquence, la prégabaline ne doit pas être administrée pendant la grossesse, sauf si le bénéfice pour la mère l'emporte clairement sur les risques potentiels pour le fœtus. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement.
-Les effets indésirables suivants proviennent d'études cliniques portant sur plus de 8000 patients. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ont été les étourdissements et la somnolence. La sévérité des effets indésirables était en règle générale légère à modérée. Le taux d'arrêt du traitement en raison d'effets indésirables dans toutes les études contrôlées se situe à 13% chez les patients sous prégabaline et à 7% chez les patients sous placebo. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ayant entraîné l'arrêt du traitement par la prégabaline étaient les étourdissements et la somnolence.
- +Les effets indésirables suivants proviennent d'études cliniques portant sur plus de 8'000 patients. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ont été les étourdissements et la somnolence. La sévérité des effets indésirables était en règle générale légère à modérée. Le taux d'arrêt du traitement en raison d'effets indésirables dans toutes les études contrôlées se situe à 13% chez les patients sous prégabaline et à 7% chez les patients sous placebo. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ayant entraîné l'arrêt du traitement par la prégabaline étaient les étourdissements et la somnolence.
-La liste ci-dessous énumère les effets indésirables apparus dans le programme d'études cliniques, indépendamment de leur cause, classés par système d'organe et par fréquence (très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (<1/1000)).
- +La liste ci-dessous énumère les effets indésirables apparus dans le programme d'études cliniques, indépendamment de leur cause, classés par système d'organe et par fréquence (très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1'000 à <1/100), rares (<1/1'000)).
-Infections
- +Infections et infestations
-Circulation sanguine et lymphatique
- +Affections hématologique et du système lymphatique
-Système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Troubles oculaires
- +Affections oculaires
-Oreille et conduit auditif
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
-Troubles cardiaques
- +Affections cardiaques
-Troubles vasculaires
- +Affections vasculaires
-Organes respiratoires
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Expérience post-marketing: Occasionnels: tuméfaction du visage, prurit, cas de syndrome de Stevens-Johnson.
-Troubles musculosquelettiques
- +Expérience post-marketing: Occasionnels: tuméfaction du visage, prurit. Cas de syndrome de Stevens-Johnson.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
-Troubles rénaux et urinaires
- +Affections du rein et des voies urinaires
-Troubles des organes de reproduction et des seins
- +Affections des organes de reproduction et du sein
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Dans les études cliniques sur les polyneuropathies diabétiques allant jusqu'à 13 semaines, le critère de jugement moyen sur l'échelle de la douleur s'est amélioré significativement par rapport au placebo de –1.3 à –1.5 avec 300 mg/j et de –1.0 à –1.5 avec 600 mg/j. Une baisse significative des douleurs par rapport au placebo a été établie au cours de la première semaine et s'est maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur l'échelle de la douleur) atteignait 33–46% pour une dose de 300 mg/j et 39–48% pour une dose de 600 mg/j comparé à 15–30% sous placebo.
-Dans les études cliniques sur la névralgie post-herpétique pendant 13 semaines, le critère de jugement moyen sur l'échelle de la douleur s'est amélioré significativement par rapport au placebo de –0.9 à –1.2 avec 150 mg/j, de –1.1 à –1.6 avec 300 mg/j et de –1.7 à –1.8 avec 600 mg/j. Une baisse significative des douleurs par rapport au placebo a été mise en évidence au cours de la première semaine et s'est maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur l'échelle de la douleur) atteignait 22–26% pour une dose de 150 mg/j, 26–28% pour une dose de 300 mg/j et 38–50% pour une dose de 600 mg/j comparé à 9–20% sous placebo.
-Dans une étude clinique sur des lésions de la moelle épinière menée sur 12 semaines, le critère de jugement moyen sur l'échelle de la douleur s'est amélioré significativement par rapport au placebo de –1.53 sur l'échelle numérique d'évaluation de la douleur, qui compte 11 points. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur l'échelle de la douleur) atteignait 22% chez les patients traités par la prégabaline, comparé à 7% chez les patients sous placebo.
- +Dans les études cliniques sur les polyneuropathies diabétiques allant jusqu'à 13 semaines, le critère de jugement moyen sur l'échelle de la douleur s'est amélioré significativement par rapport au placebo de -1.3 à -1.5 avec 300 mg/j et de -1.0 à -1.5 avec 600 mg/j. Une baisse significative des douleurs par rapport au placebo a été établie au cours de la première semaine et s'est maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur l'échelle de la douleur) atteignait 33-46% pour une dose de 300 mg/j et 39-48% pour une dose de 600 mg/j comparé à 15-30% sous placebo.
- +Dans les études cliniques sur la névralgie post-herpétique pendant 13 semaines, le critère de jugement moyen sur l'échelle de la douleur s'est amélioré significativement par rapport au placebo de -0.9 à -1.2 avec 150 mg/j, de -1.1 à -1.6 avec 300 mg/j et de -1.7 à -1.8 avec 600 mg/j. Une baisse significative des douleurs par rapport au placebo a été mise en évidence au cours de la première semaine et s'est maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur l'échelle de la douleur) atteignait 22-26% pour une dose de 150 mg/j, 26-28% pour une dose de 300 mg/j et 38-50% pour une dose de 600 mg/j comparé à 9-20% sous placebo.
- +Dans une étude clinique sur des lésions de la moelle épinière menée sur 12 semaines, le critère de jugement moyen sur l'échelle de la douleur s'est amélioré significativement par rapport au placebo de -1.53 sur l'échelle numérique d'évaluation de la douleur, qui compte 11 points. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur l'échelle de la douleur) atteignait 22% chez les patients traités par la prégabaline, comparé à 7% chez les patients sous placebo.
-L'efficacité de la prégabaline comme traitement adjuvant a été évaluée dans trois études multicentriques, randomisées, menées en double aveugle et contrôlées contre placebo d'une durée de 12 semaines chez 1052 patients traités par une posologie répartie en deux et/ou en trois prises quotidiennes. Les patients présentaient des crises réfractaires partielles avec ou sans généralisation secondaire ainsi qu'initialement une fréquence moyenne de crises entre 19 et 27 crises et une fréquence médiane de crises entre 9 et 12 crises en 28 jours.
-L'efficacité de la prégabaline dans l'épilepsie a été démontrée dans toutes les études par la réduction du nombre de crises par rapport au placebo. Les patients répondeurs étaient ceux qui ont vu la fréquence de leurs crises partielles réduite de ≥50% pendant le traitement par rapport à la fréquence initiale. Les taux des répondeurs étaient de 14 à 31% avec 150 mg/j, de 40% avec 300 mg/j et de 43 à 51% avec 600 mg/j comparé à 6–14% sous placebo, ce qui indique un effet dose-dépendant.
- +L'efficacité de la prégabaline comme traitement adjuvant a été évaluée dans trois études multicentriques, randomisées, menées en double aveugle et contrôlées contre placebo d'une durée de 12 semaines chez 1'052 patients traités par une posologie répartie en deux et/ou en trois prises quotidiennes. Les patients présentaient des crises réfractaires partielles avec ou sans généralisation secondaire ainsi qu'initialement une fréquence moyenne de crises entre 19 et 27 crises et une fréquence médiane de crises entre 9 et 12 crises en 28 jours.
- +L'efficacité de la prégabaline dans l'épilepsie a été démontrée dans toutes les études par la réduction du nombre de crises par rapport au placebo. Les patients répondeurs étaient ceux qui ont vu la fréquence de leurs crises partielles réduite de ≥50% pendant le traitement par rapport à la fréquence initiale. Les taux des répondeurs étaient de 14 à 31% avec 150 mg/j, de 40% avec 300 mg/j et de 43 à 51% avec 600 mg/j comparé à 6-14% sous placebo, ce qui indique un effet dose-dépendant.
-La prégabaline a été évaluée au cours de six études contrôlées portant sur une durée de 4–6 semaines, une étude de 8 semaines chez des patients âgés ainsi qu'une étude à long terme sur la prévention des rechutes avec une phase de prévention des rechutes en double aveugle de 6 mois.
- +La prégabaline a été évaluée au cours de six études contrôlées portant sur une durée de 4-6 semaines, une étude de 8 semaines chez des patients âgés ainsi qu'une étude à long terme sur la prévention des rechutes avec une phase de prévention des rechutes en double aveugle de 6 mois.
-Dans les études cliniques contrôlées portant sur une période de 4–8 semaines, 52% des patients traités par la prégabaline et 38% des patients sous placebo ont présenté une amélioration d'au moins 50% du score global HAM-A par rapport aux valeurs initiales.
- +Dans les études cliniques contrôlées portant sur une période de 4-8 semaines, 52% des patients traités par la prégabaline et 38% des patients sous placebo ont présenté une amélioration d'au moins 50% du score global HAM-A par rapport aux valeurs initiales.
-La prégabaline est rapidement absorbée lorsqu'elle est administrée à jeun. Les pics plasmatiques sont atteints dans l'heure suivant l'administration d'une dose unique ou de doses multiples. La biodisponibilité orale de la prégabaline est estimée à ≥90% et est indépendante de la dose. Après administration répétée du produit, l'état d'équilibre est atteint dans un délai de 24 à 48 heures. Le taux d'absorption de la prégabaline diminue lorsque le médicament est administré pendant un repas, entraînant une diminution de la Cmax de 25–30% environ et un retard du tmax de 2.5 heures environ. Toutefois, l'administration de la prégabaline au cours du repas n'a aucun effet cliniquement significatif sur son taux global d'absorption.
- +La prégabaline est rapidement absorbée lorsqu'elle est administrée à jeun. Les pics plasmatiques sont atteints dans l'heure suivant l'administration d'une dose unique ou de doses multiples. La biodisponibilité orale de la prégabaline est estimée à ≥90% et est indépendante de la dose. Après administration répétée du produit, l'état d'équilibre est atteint dans un délai de 24 à 48 heures. Le taux d'absorption de la prégabaline diminue lorsque le médicament est administré pendant un repas, entraînant une diminution de la Cmax de 25-30% environ et un retard du tmax de 2.5 heures environ. Toutefois, l'administration de la prégabaline au cours du repas n'a aucun effet cliniquement significatif sur son taux global d'absorption.
-La demi-vie d'élimination de la prégabaline est de 6.3 heures en moyenne. La clairance plasmatique et la clairance rénale de la prégabaline sont directement proportionnelles à la clairance de la créatinine (voir «Cinétique pour certains groupes de patients», Troubles de la fonction rénale). L'adaptation de la dose de prégabaline est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir «Posologie/Mode d'emploi», tableau 1).
-Linéarité/non-linéarité
- +La demi-vie d'élimination de la prégabaline est de 6.3 heures en moyenne. La clairance plasmatique et la clairance rénale de la prégabaline sont directement proportionnelles à la clairance de la créatinine (voir «Cinétique pour certains groupes de patients», Troubles de la fonction rénale).
- +L'adaptation de la dose de prégabaline est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir «Posologie/Mode d'emploi», tableau 1).
- +Linéarité/nonlinéarité
-La pharmacocinétique de 300 mg de prégabaline par jour (150 mg toutes les 12 heures) a été étudiée chez 10 femmes qui allaitent (≥12 semaines post-partum). La lactation n'a eu qu'un effet minime ou nul sur la pharmacocinétique de la prégabaline. Dans le lait, la concentration moyenne à l'état d'équilibre représentait environ 76% de la concentration plasmatique maternelle. La dose de prégabaline quotidienne moyenne estimée chez le nourrisson (en partant d'une consommation de lait moyenne de 150 ml/kg/j) était de 0.31 mg/kg/j), ce qui représente, en se basant sur les mg/kg, environ 7% de la dose maternelle.
- +La pharmacocinétique de 300 mg de prégabaline par jour (150 mg toutes les 12 heures) a été étudiée chez 10 femmes qui allaitent (≥12 semaines post-partum). La lactation n'a eu qu'un effet minime ou nul sur la pharmacocinétique de la prégabaline. Dans le lait, la concentration moyenne à l'état d'équilibre représentait environ 76% de la concentration plasmatique maternelle. La dose de prégabaline quotidienne moyenne estimée chez le nourrisson (en partant d'une consommation de lait moyenne de 150 ml/kg/j) était de 0.31 mg/kg/j, ce qui représente, en se basant sur les mg/kg, environ 7% de la dose maternelle.
-Prégabaline Spirig HC capsules ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Ne pas conserver au-dessus de 30 °C et hors de portée des enfants.
- +Conserver à une température ne dépassant pas 30 °C et hors de portée des enfants.
-67155 (Swissmedic).
- +67155 (Swissmedic)
-Spirig HealthCare AG, Egerkingen.
- +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen
-Novembre 2019.
- +Octobre 2022
|
|