| 28 Changements de l'information professionelle Beovu 120mg/1ml |
-La dose recommandée pour Beovu est de 6 mg (0,05 ml), administrée par injection intravitréenne, les trois premières injections étant effectuées toutes les 4 semaines (mensuellement). Beovu est ensuite administré toutes les 12 semaines (3 mois). L'intervalle de traitement peut être ajusté à toutes les 8 semaines (2 mois) (voir «Propriétés/Effets»). Le médecin peut déterminer les intervalles de traitement sur une base individuelle en fonction de l'activité de la maladie, mesurée par l'acuité visuelle et/ou des paramètres anatomiques.
- +La dose recommandée pour Beovu est de 6 mg (0,05 ml), administrée par injection intravitréenne, les trois premières injections étant effectuées toutes les 4 semaines (mensuellement). Beovu est ensuite administré toutes les 12 semaines (3 mois). Le médecin peut déterminer les intervalles de traitement sur une base individuelle en fonction de l'activité de la maladie, mesurée par l'acuité visuelle et/ou des paramètres anatomiques. L'intervalle de traitement peut être ajusté à 8 semaines (2 mois) (voir «Propriétés/Effets»), mais il ne doit pas être inférieur à 8 semaines (2 mois) (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Les injections intravitréennes, y compris celles de Beovu, sont associées à une endophtalmie, inflammation intraoculaire et décollement de la rétine. Des cas de vascularite rétinienne et/ou d'occlusion vasculaire rétinienne lors de l'utilisation de Beovu ont été rapportés. Dans la plupart des cas, une inflammation intraoculaire était également présente (voir «Contre-indications» et «Effets indésirables»). Beovu doit toujours être administré dans des conditions d'injection aseptiques. Les patients doivent être informés de la nécessité de signaler immédiatement tout symptôme potentiellement en lien avec l'un ou l'autre des événements énumérés ci-dessus.
- +Les injections intravitréennes, y compris celles de Beovu, sont associées à une endophtalmie, inflammation intraoculaire et décollement de la rétine.
- +Des cas de vascularite rétinienne et/ou d'occlusion vasculaire rétinienne lors de l'utilisation de Beovu ont été rapportés. Dans la plupart des cas, une inflammation intraoculaire était également présente (voir «Contreindications» et «Effets indésirables»).
- +Beovu doit toujours être administré dans des conditions d'injection aseptiques. Les patients doivent être informés de la nécessité de signaler immédiatement tout symptôme potentiellement en lien avec l'un ou l'autre des événements énumérés ci-dessus.
- +Dans une étude clinique de phase IIIa (MERLIN), des inflammations intraoculaires (y compris des vascularites rétiniennes) et des occlusions vasculaires rétiniennes sont survenues plus fréquemment chez les patients atteints de DMLA néovasculaire ayant reçu Beovu toutes les 4 semaines comme dose d'entretien que chez les patients ayant reçu Beovu toutes les 8 ou 12 semaines comme dose d'entretien dans les études cliniques pivots de phase III (HAWK et HARRIER). L'intervalle entre deux doses de Beovu pendant le traitement d'entretien ne doit pas être inférieur à 8 semaines (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
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-Les effets indésirables les plus fréquemment signalés (chez plus de 5% des patients traités par Beovu 6 mg) ont été une diminution de l'acuité visuelle (7,3%), une cataracte (7,0%), une hémorragie conjonctivale (6,3%) et des mouches volantes (5,1%).
- +Les effets indésirables les plus fréquemment signalés (chez plus de 5 % des patients traités par Beovu 6 mg) ont été une diminution de l'acuité visuelle (7,3 %), une cataracte (7,0 %), une hémorragie conjonctivale (6,3 %) et des mouches volantes (5,1 %).
-Les effets indésirables des médicaments lors d'études cliniques sont énumérés selon la fréquence, les effets indésirables les plus fréquents étant mentionnés en premier. En outre, la catégorie de fréquence respective de chaque effet indésirable est basée sur la convention suivante (CIOMS III): très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1 000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1 000) et très rares (<1/10 000).
- +Les effets indésirables des médicaments lors d'études cliniques sont énumérés selon la fréquence, les effets indésirables les plus fréquents étant mentionnés en premier. En outre, la catégorie de fréquence respective de chaque effet indésirable est basée sur la convention suivante (CIOMS III): très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à < 1/10), occasionnels (≥1/1 000 à < 1/100), rares (≥1/10 000 à < 1/1 000) et très rares (<1/10 000).
-Fréquents: Hypersensibilitéa
- +Fréquents: Hypersensibilitéa.
-a Y compris urticaire, rash, prurit, érythème.
- +a. Y compris urticaire, rash, prurit, érythème.
-Les effets indésirables suivants des médicaments proviennent de rapports spontanés et de cas de la littérature en rapport avec l'expérience acquise avec Beovu après la commercialisation. Ces effets étant déclarés à titre volontaire à partir d'une population de taille indéterminée, il n'est pas possible d'évaluer leur fréquence de manière fiable. Ces effets indésirables des médicaments sont donc classés dans la catégorie de fréquence «inconnue». Les effets indésirables des médicaments sont répertoriés selon la classification par discipline médicale (MedDRA). Au sein de chaque classification par discipline médicale, les effets indésirables des médicaments sont énumérés dans l'ordre de sévérité décroissante:
- +Les effets indésirables suivants des médicaments proviennent de rapports spontanés et de cas de la littérature en rapport avec l'expérience acquise avec Beovu après la commercialisation. Ces effets étant déclarés à titre volontaire à partir d'une population de taille indéterminée, il n'est pas possible d'évaluer leur fréquence de manière fiable. Ces effets indésirables des médicaments sont donc classés dans la catégorie de fréquence «inconnue».
- +Les effets indésirables des médicaments sont répertoriés selon la classification par discipline médicale (MedDRA). Au sein de chaque classification par discipline médicale, les effets indésirables des médicaments sont énumérés dans l'ordre de sévérité décroissante:
-Inconnue: occlusion vasculaire rétinienne, vascularite rétinienne
- +Inconnue: occlusion vasculaire rétinienne, vascularite rétinienne.
- +Inflammation intraoculaire
- +Les résultats d'une analyse rétrospective de données probantes collectées en situation réelle auprès de patients atteints de DMLA néovasculaire, évalués sur une période maximale de 6 mois après le début du traitement par Beovu, suggèrent que les patients ayant présenté une inflammation intraoculaire et/ou une occlusion vasculaire rétinienne au cours de l'année précédant le traitement par Beovu ont été plus susceptibles de présenter des événements similaires après l'injection de Beovu que les patients atteints de DMLA néovasculaire ne présentant pas ces événements dans leurs antécédents médicaux.
-L'incidence des anticorps dirigés contre le brolucizumab avant traitement était de 35 à 52%. Après l'administration de Beovu, des anticorps liés au traitement dirigés contre le brolucizumab ont été détectés chez 23 à 25% des patients pendant 88 semaines.
- +L'incidence des anticorps dirigés contre le brolucizumab avant traitement était de 35 à 52 %. Après l'administration de Beovu, des anticorps liés au traitement dirigés contre le brolucizumab ont été détectés chez 23 à 25 % des patients pendant 88 semaines.
-Dans l'étude HAWK, les patients des groupes Beovu 6 mg et aflibercept ont atteint, à la semaine 48, une variation moyenne de respectivement +6,6 lettres et +6,8 lettres (p <0,0001), par rapport à la situation initiale. La variation moyenne par rapport à la situation initiale dans le groupe recevant 3 mg de Beovu était de +6,1 lettres (p = 0,0003). La proportion de patients ayant gagné au moins 15 lettres d'acuité visuelle par rapport à la situation initiale était de 33,6% dans le groupe brolucizumab contre 25,4% dans le groupe aflibercept. La proportion de patients ayant perdu 15 lettres ou plus d'acuité visuelle par rapport à la situation initiale était de 6,4% dans le groupe recevant 6 mg de brolucizumab contre 5,5% dans le groupe recevant l'aflibercept.
-Dans l'étude HARRIER, les patients des groupes Beovu et aflibercept ont atteint, à la semaine 48, une variation moyenne de respectivement +6,9 lettres et +7,6 lettres (p <0,0001) par rapport à la situation initiale. La proportion de patients ayant gagné au moins 15 lettres d'acuité visuelle par rapport à la situation initiale était de 29,3% dans le groupe brolucizumab contre 29,9% dans le groupe aflibercept. La proportion de patients ayant perdu 15 lettres ou plus d'acuité visuelle par rapport à la situation initiale était de 3,8% dans le groupe recevant 6 mg de brolucizumab contre 4,8% dans le groupe recevant l'aflibercept.
- +Dans l'étude HAWK, les patients des groupes Beovu 6 mg et aflibercept ont atteint, à la semaine 48, une variation moyenne de respectivement +6,6 lettres et +6,8 lettres (p < 0,0001), par rapport à la situation initiale. La variation moyenne par rapport à la situation initiale dans le groupe recevant 3 mg de Beovu était de +6,1 lettres (p = 0,0003). La proportion de patients ayant gagné au moins 15 lettres d'acuité visuelle par rapport à la situation initiale était de 33,6 % dans le groupe brolucizumab contre 25,4 % dans le groupe aflibercept. La proportion de patients ayant perdu 15 lettres ou plus d'acuité visuelle par rapport à la situation initiale était de 6,4 % dans le groupe recevant 6 mg de brolucizumab contre 5,5 % dans le groupe recevant l'aflibercept.
- +Dans l'étude HARRIER, les patients des groupes Beovu et aflibercept ont atteint, à la semaine 48, une variation moyenne de respectivement +6,9 lettres et +7,6 lettres (p < 0,0001) par rapport à la situation initiale. La proportion de patients ayant gagné au moins 15 lettres d'acuité visuelle par rapport à la situation initiale était de 29,3 % dans le groupe brolucizumab contre 29,9 % dans le groupe aflibercept. La proportion de patients ayant perdu 15 lettres ou plus d'acuité visuelle par rapport à la situation initiale était de 3,8% dans le groupe recevant 6 mg de brolucizumab contre 4,8% dans le groupe recevant l'aflibercept.
-Dans les études HAWK et HARRIER, respectivement 56% et 51% des patients traités par Beovu 6 mg à 12 semaines d'intervalle ont atteint ce gain d'acuité visuelle à la semaine 48 (variation moyenne par rapport à la situation initiale), et respectivement 45% et 39% des patients à la semaine 96.
-Parmi les patients considérés comme adaptés à cet intervalle de traitement au cours du premier intervalle de 12 semaines de traitement, respectivement 85% et 82% ont maintenu l'intervalle de 12 semaines jusqu'à la semaine 48. Chez respectivement 82% et 75% des patients traités à la semaine 48 avec l'intervalle de traitement de 12 semaines, l'intervalle de traitement de 12 semaines a été maintenu de la semaine 48 à la semaine 96.
- +Dans les études HAWK et HARRIER, respectivement 56 % et 51 % des patients traités par Beovu 6 mg à 12 semaines d'intervalle ont atteint ce gain d'acuité visuelle à la semaine 48 (variation moyenne par rapport à la situation initiale), et respectivement 45 % et 39 % des patients à la semaine 96.
- +Parmi les patients considérés comme adaptés à cet intervalle de traitement au cours du premier intervalle de 12 semaines de traitement, respectivement 85 % et 82 % ont maintenu l'intervalle de 12 semaines jusqu'à la semaine 48. Chez respectivement 82 % et 75 % des patients traités à la semaine 48 avec l'intervalle de traitement de 12 semaines, l'intervalle de traitement de 12 semaines a été maintenu de la semaine 48 à la semaine 96.
-Résultats d'efficacité (critères d'évaluation secondaires préétablis) À la semaine Beovu 6 mg (N=360) Aflibercept 2 mg (N=360) Différence (IC à 95%) brolucizumab et aflibercept Beovu 6 mg (N=360) Aflibercept 2 mg (N=369) Différence (IC à 95%) brolucizumab et aflibercept
-Variation moyenne de l'ECR par rapport à la situation initiale (µm) 16c) -161,4 (ET = 6,2) -133,6 (ET = 6,2) -27,8 (-45,1, -10,5) p = 0,0008a) -174,4 (ET = 6,7) -134,2 (ET = 6,7) -40,2 (-58,9, -21,6) p <0,0001a)
-48 -172.8 (ET = 6,7) -143,7 (ET = 6,7) -29,0 (-47,6, -10,4) p = 0,0012a) -193,8 (ET = 6,8) -143,9 (ET = 6,8) -49,9 (-68,9, -30,9) p <0,0001a)
-96 -174.8 (ET = 7,3) -148,7 (ET = 7,3) -26,0 (-46,2, -5,9) p = 0,0115b) -197,7 (ET= 7,0) -155,1 (ET= 7,0) -42,6 (-62,0, -23,3) p <0,0001b)
- +Résultats d'efficacité (critères d'évaluation secondaires préétablis) À la semaine Beovu 6 mg (N=360) Aflibercept 2 mg (N=360) Différence (IC à 95 %) brolucizumab et aflibercept Beovu 6 mg (N=360) Aflibercept 2 mg (N=369) Différence (IC à 95 %) brolucizumab et aflibercept
- +Variation moyenne de l'ECR par rapport à la situation initiale (µm) 16c) -161,4 (ET = 6,2) -133,6 (ET = 6,2) -27,8 (-45,1, -10,5) p = 0,0008a) -174,4 (ET = 6,7) -134,2 (ET = 6,7) -40,2 (-58,9, -21,6) p < 0,0001a)
- +48 -172.8 (ET = 6,7) -143,7 (ET = 6,7) -29,0 (-47,6, -10,4) p = 0,0012a) -193,8 (ET = 6,8) -143,9 (ET = 6,8) -49,9 (-68,9, -30,9) p < 0,0001a)
- +96 -174.8 (ET = 7,3) -148,7 (ET = 7,3) -26,0 (-46,2, -5,9) p = 0,0115b) -197,7 (ET= 7,0) -155,1 (ET= 7,0) -42,6 (-62,0, -23,3) p < 0,0001b)
- +ECR: épaisseur centrale de la rétine, LIR/LSR: liquide intrarétinien/liquide sous-rétinien, EPR: épithélium pigmentaire rétinien a) Critère d'évaluation secondaire dans l'étude HARRIER, analyse de confirmation dans l'étude HAWK. Valeurs p unilatérales pour la supériorité du brolucizumab b) Critères d'évaluation secondaire dans les études HAWK et HARRIER; valeurs de p bilatéral c) Jusqu'à la semaine 16, l'exposition au traitement était identique, permettant une comparaison coordonnée de Beovu avec l'aflibercept.
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-ECR: épaisseur centrale de la rétine, LIR/LSR: liquide intrarétinien/liquide sous-rétinien, EPR: épithélium pigmentaire rétinien
-a) Critère d'évaluation secondaire dans l'étude HARRIER, analyse de confirmation dans l'étude HAWK. Valeurs p unilatérales pour la supériorité du brolucizumab
-b) Critères d'évaluation secondaire dans les études HAWK et HARRIER; valeurs de p bilatéral
-c) Jusqu'à la semaine 16, l'exposition au traitement était identique, permettant une comparaison coordonnée de Beovu avec l'aflibercept.
-La pharmacocinétique systémique du brolucizumab a été évaluée chez des patients atteints de DMAn dont les données pharmacocinétiques sur le brolucizumab sérique et la clairance de la créatinine du brolucizumab étaient disponibles. Le rapport de la moyenne géométrique (IC à 90%) chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (60 à <90 ml/min (n = 22)) et modérée (30 à <60 ml/min (n = 3)) par rapport aux patients avec une fonction rénale normale est Cmax 1,4 (0,7; 2,9) et. 1,7 (1,0; 2,8) pour le brolucizumab et le rapport pour l'ASCinf 1,4 (0,7; 2,9) et 1.0 (0.5, 2.0). Aucun patient présentant une insuffisance rénale sévère (<30 ml/min) n'a été examiné.
- +La pharmacocinétique systémique du brolucizumab a été évaluée chez des patients atteints de DMAn dont les données pharmacocinétiques sur le brolucizumab sérique et la clairance de la créatinine du brolucizumab étaient disponibles. Le rapport de la moyenne géométrique (IC à 90%) chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (60 à < 90 ml/min (n = 22)) et modérée (30 à < 60 ml/min (n = 3)) par rapport aux patients avec une fonction rénale normale est Cmax 1,4 (0,7; 2,9) et. 1,7 (1,0; 2,8) pour le brolucizumab et le rapport pour l'ASCinf 1,4 (0,7; 2,9) et 1.0 (0.5, 2.0). Aucun patient présentant une insuffisance rénale sévère (< 30 ml/min) n'a été examiné.
-Mars 2021
-Remarques concernant la manipulation
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- +Juillet 2021
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