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Accueil - Information professionnelle sur Ultomiris 300 mg/30 ml - Changements - 09.08.2022
58 Changements de l'information professionelle Ultomiris 300 mg/30 ml
  • -Ultomiris 300 mg/30 mL : 115 mg de chlorure de sodium par flacon de 30 mL
  • -Ultomiris 300 mg/3 mL : 4,6 mg de chlorure de sodium par flacon de 3 mL
  • -Ultomiris 1100 mg/11 mL : 16,8 mg de chlorure de sodium par flacon de 11 mL
  • +Ultomiris 300 mg/30 mL : chlorure de sodium
  • +Ultomiris 300 mg/30 mL : 115 mg de sodium par flacon de 30 mL
  • +Ultomiris 300 mg/3 mL : 4,6 mg de sodium par flacon de 3 mL
  • +Ultomiris 1100 mg/11 mL : 16,8 mg de sodium par flacon de 11 mL
  • -Eau pour préparations injectables q.s. ad solutionem pro 30 mL
  • +Eau pour préparations injectables
  • -Ultomiris est indiqué dans le traitement de l’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) chez les patients adultes :
  • +Ultomiris est indiqué dans le traitement de l’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) chez les patients adultes et pédiatriques dont le poids est 10 kg ou plus :
  • -Le ravulizumab n’a pas été étudié chez les patients atteints d’HPN dont le poids est inférieur à 40 kg.
  • -Syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa).
  • -Les enfants et les adolescents atteints de SHUa dont le poids est ≥ 40 kg sont traités conformément au schéma posologique recommandé chez l’adulte. Pour les enfants et les adolescents dont le poids est compris entre ≥ 10 kg et < 40 kg, les posologies en fonction du poids et les intervalles posologiques sont présentés au tableau 2.
  • -Tableau 2 : Schéma posologique du ravulizumab en fonction du poids pour les enfants et adolescents dont le poids est inférieur à 40 kg
  • +Les enfants et les adolescents atteints d’HPN et de SHUa dont le poids est ≥ 40 kg sont traités conformément au schéma posologique recommandé chez l’adulte. Pour les enfants et les adolescents dont le poids est compris entre ≥ 10 kg et < 40 kg, les posologies en fonction du poids et les intervalles posologiques sont présentés au tableau 2.
  • +Chez les patients qui passent de l’eculizumab au ravulizumab, la dose de charge de ravulizumab doit être administrée 2 semaines après la dernière perfusion d’eculizumab. Les doses d'entretien suivantes doivent être administrées à partir de 2 semaines après la dose de charge, selon un schéma posologique en fonction du poids, comme indiqué dans le tableau 2.
  • +Tableau 2 : Schéma posologique du ravulizumab en fonction du poids pour les enfants et adolescents atteints d’HPN et de SHUa dont le poids est inférieur à 40 kg
  • -Hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN)
  • -La sécurité et l’efficacité du ravulizumab chez les enfants atteints d’HPN âgés de 0 à < 18 ans n’ont pas été établies. Aucune donnée n’est disponible.
  • +Le ravulizumab n’a pas été étudié chez les enfants et les adolescents atteints d’HPN dont le poids est inférieur à 30 kg. Chez ces patients, la posologie du ravulizumab est basée sur la posologie utilisée chez les enfants et les adolescents atteints de SHUa et sur les données pharmacocinétiques/pharmacodynamiques (PK/PD) disponibles pour les patients atteints de SHUa et d’HPN traités par le ravulizumab.
  • -L’administration du ravulizumab peut entraîner des réactions lors de la perfusion. Au cours des essais cliniques menés dans l’HPN et le SHUa, des patients (4 patients atteints d’HPN sur 296 et 4 patients atteints de SHUa sur 89) ont présenté des réactions à la perfusion d’intensité légère et transitoires (par exemple, lombalgies, baisse de la tension artérielle, augmentation de la tension artérielle, gêne au niveau des membres, hypersensibilité au médicament (réaction allergique) et dysgueusie (mauvais goût)). En cas de réaction à la perfusion et d’apparition de signes d’instabilité cardiovasculaire ou de détresse respiratoire, la perfusion de ravulizumab doit être arrêtée et des mesures de soutien appropriées doivent être mises en place.
  • +L’administration du ravulizumab peut entraîner des réactions lors de la perfusion. Au cours des essais cliniques menés dans l’HPN et le SHUa, des patients [(2 patients adultes atteints d’HPN sur 222), (aucun enfant et adolescent atteints d’HPN sur 13) et 4 patients atteints de SHUa sur 89)] ont présenté des réactions à la perfusion d’intensité légère et transitoires (par exemple, lombalgies, baisse de la tension artérielle, augmentation de la tension artérielle, gêne au niveau des membres, hypersensibilité au médicament (réaction allergique) et dysgueusie (mauvais goût)). En cas de réaction à la perfusion et d’apparition de signes d’instabilité cardiovasculaire ou de détresse respiratoire, la perfusion de ravulizumab doit être arrêtée et des mesures de soutien appropriées doivent être mises en place.
  • -En cas de survenue de complications de MAT après l'interruption du traitement par le ravulizumab, il convient d’envisager la reprise du traitement par le ravulizumab, en commençant par la dose de charge et la dose d'entretien décrites à la rubrique 4.2.
  • +En cas de survenue de complications de MAT après l'interruption du traitement par le ravulizumab, il convient d’envisager la reprise du traitement par le ravulizumab, en commençant par la dose de charge et la dose d'entretien (voir rubrique « Posologie/Mode d’emploi ».
  • -Infections et infestations Infection des voies respiratoires supérieures (18,8 %), Rhinopharyngite (15,7 %) Infection à méningocoque*
  • -Affections du système nerveux Céphalées (34,5 %) Sensations vertigineuses
  • +Infections et infestations Infection des voies respiratoires supérieures, Rhinopharyngite Infection à méningocoque*
  • +Affections du système nerveux Céphalées Sensations vertigineuses
  • -La vaccination réduit, mais n’élimine pas totalement, le risque d’infections à méningocoque. Dans les essais cliniques, 3 patients atteints d’HPN sur 261 ont développé une infection/septicémie à méningocoque grave pendant le traitement par le ravulizumab ; tous les trois avaient été vaccinés. Les trois patients se sont rétablis tout en poursuivant le traitement par le ravulizumab. Dans les essais cliniques menés dans le SHUa, aucune infection à méningocoque n'est survenue parmi les 89 patients recevant un traitement par le ravulizumab. Voir la rubrique « Mises en garde et précautions » pour obtenir des informations sur la prévention et le traitement d’une infection à méningocoque suspectée. Chez les patients traités par le ravulizumab, les infections à méningocoque se présentaient sous forme de septicémie à méningocoque. Les patients doivent être informés des signes et symptômes de septicémie à méningocoque et avertis de la nécessité de consulter immédiatement un médecin.
  • +La vaccination réduit, mais n’élimine pas totalement, le risque d’infections à méningocoque. Dans les essais cliniques, 3 patients adultes atteints d’HPN sur 261 ont développé une infection/septicémie à méningocoque grave pendant le traitement par le ravulizumab ; tous les trois avaient été vaccinés. Les trois patients se sont rétablis tout en poursuivant le traitement par le ravulizumab. Dans l’essai clinique mené chez des enfants et des adolescents atteints d’HPN, aucune infection à méningocoque n’est survenue chez les 13 patients traités par le ravulizumab. Dans les essais cliniques menés dans le SHUa, aucune infection à méningocoque n'est survenue parmi les 89 patients recevant un traitement par le ravulizumab. Voir la rubrique « Mises en garde et précautions » pour obtenir des informations sur la prévention et le traitement d’une infection à méningocoque suspectée. Chez les patients traités par le ravulizumab, les infections à méningocoque se présentaient sous forme de septicémie à méningocoque. Les patients doivent être informés des signes et symptômes de septicémie à méningocoque et avertis de la nécessité de consulter immédiatement un médecin.
  • -Tout traitement par une protéine thérapeutique peut induire une réponse immunitaire. Dans les études réalisées chez des patients atteints d’HPN (n = 261) et dans les études menées dans le SHUa (n = 89), seul 2 patients (0,57 %) ont développé des anticorps anti-médicament au cours du traitement par le ravulizumab. Ces anticorps anti-médicament étaient de nature transitoire, de faible titre et n’étaient pas corrélés à la réponse clinique ou aux événements indésirables.
  • +Tout traitement par une protéine thérapeutique peut induire une réponse immunitaire. Dans les études réalisées chez des patients adultes atteints d’HPN (n = 261), dans une étude réalisée chez des enfants et adolescents atteints d’HPN (n = 13) et dans les études menées dans le SHUa (n = 89), seul 2 patients (0,55 %) ont développé des anticorps anti-médicament au cours du traitement par le ravulizumab (1 patient adulte atteint d’HPN et un patient adulte atteint de SHUa). Ces anticorps anti-médicament étaient de nature transitoire, de faible titre et n’étaient pas corrélés à la réponse clinique ou aux événements indésirables.
  • +Hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN)
  • +Chez les enfants et les adolescents atteints d’HPN (âgés de 9 à 17 ans) inclus dans l’étude pédiatrique sur l’HPN (ALXN1210-PNH-304), le profil de sécurité s’est révélé similaire à celui observé chez les patients adultes atteints d’HPN. Les effets indésirables les plus fréquemment signalés chez les enfants et les adolescents atteints d’HPN étaient des douleurs abdominales et une rhinopharyngite, survenues chez 2 patients (15,4 %).
  • +Syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa)
  • +
  • -La sécurité du ravulizumab chez les enfants atteints d’HPN âgés de 0 à moins de 18 ans n'a pas été établie. Aucune donnée n'est disponible.
  • -Après l’administration de ravulizumab chez des patients atteints d’HPN naïfs d’inhibiteur du complément ou préalablement traités par l’eculizumab dans les études de phase III, une inhibition immédiate et complète de la protéine C5 libre sérique (concentration < 0,5 μg/mL) a été observée à la fin de la première perfusion et s'est prolongée pendant toute la période de traitement de 26 semaines chez tous les patients. Une inhibition immédiate et complète de la protéine C5 sérique libre a également été observée chez les patients adultes et pédiatriques atteints de SHUa à la fin de la première perfusion et s’est prolongée pendant toute la période de traitement de 26 semaines. L'ampleur et la durée de la réponse pharmacodynamique chez les patients atteints d’HPN et de SHUa dépendaient de l'exposition au ravulizumab.
  • -Des taux de protéine C5 libre inférieurs à 0,5 μg/mL étaient corrélés à un contrôle maximal de l’hémolyse intravasculaire et à une inhibition complète du complexe terminal du complément.
  • +Après l’administration de ravulizumab chez des patients adultes et pédiatriques atteints d’HPN naïfs d’inhibiteur du complément ou préalablement traités par l’eculizumab dans les études de phase III, une inhibition immédiate, complète et durable de la protéine C5 libre sérique (concentration < 0,5 μg/mL) a été observée à la fin de la première perfusion et s'est prolongée pendant toute la période de traitement de 26 semaines chez tous les patients. Une inhibition immédiate et complète de la protéine C5 sérique libre a également été observée chez les patients adultes et pédiatriques atteints de SHUa à la fin de la première perfusion et s’est prolongée pendant toute la période de traitement de 26 semaines.
  • +L'ampleur et la durée de la réponse pharmacodynamique chez les patients atteints d’HPN et de SHUa dépendaient de l'exposition au ravulizumab. Des taux de protéine C5 libre inférieurs à 0,5 μg/mL étaient corrélés à un contrôle maximal de l’hémolyse intravasculaire et à une inhibition complète du complexe terminal du complément.
  • -La sécurité et l’efficacité du ravulizumab chez les patients atteints d’HPN ont été évaluées au cours de deux études de phase III randomisées en ouvert, contrôlées contre comparateur actif :
  • +La sécurité et l’efficacité du ravulizumab chez les patients adultes atteints d’HPN ont été évaluées au cours de deux études de phase III randomisées en ouvert, contrôlées contre comparateur actif :
  • -une étude menée chez des patients atteints d’HPN préalablement traités par l’eculizumab qui étaient stables sur le plan clinique après traitement par l’eculizumab depuis au moins 6 mois.
  • +une étude menée chez des patients adultes atteints d’HPN préalablement traités par l’eculizumab qui étaient stables sur le plan clinique après traitement par l’eculizumab depuis au moins 6 mois.
  • -Étude chez des patients atteints d’HPN naïfs d’inhibiteur du complément
  • +Étude chez des patients adultes atteints d’HPN naïfs d’inhibiteur du complément
  • -Étude chez des patients atteints d’HPN préalablement traités par l’eculizumab
  • +Étude chez des patients adultes atteints d’HPN préalablement traités par l’eculizumab
  • -Hémoglobinurie paroxystique nocturne Ultomiris n’a pas été évalué chez les patients pédiatriques atteints d’HPN.
  • -Swissmedic, l'autorité d'autorisation et de contrôle des produits thérapeutiques en Suisse, a différé l’obligation de soumettre les résultats d’étudesalisées avec Ultomiris dans une ou plusieurs classes d’âge de la population pédiatrique dans l’indication d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (voir la rubrique « Posologie/Mode d’emploi » et les informations concernant l’emploi chez les enfants et les adolescents).
  • +Hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN)
  • +Étude sur des patients pédiatriques atteints d’HPN
  • +L’étude pédiatrique (ALXN1210-PNH-304) est une étude multicentrique ouverte de phase III menée chez des enfants et des adolescents atteints d’HPN préalablement traités par eculizumab ou naïfs d’inhibiteur du complément.
  • +Selon les résultats intermédiaires, un total de 13 patients pédiatriques atteints d’HPN ont terminé le traitement par le ravulizumab pendant la période d’évaluation principale (26 semaines) de l’étude ALXN1210-PNH-304. Cinq des 13 patients étaient naïfs d’inhibiteur du complément et 8 patients avaient reçu un traitement par l’eculizumab avant l’inclusion dans l'étude.
  • +La plupart des patients étaient âgés de 12 à 17 ans lors de la première perfusion (âge moyen : 14,4 ans), tandis que 2 patients étaient âgés de moins de 12 ans (11 ans et 9 ans). Huit des 13 patients étaient de sexe féminin. Le poids moyen au début de l’étude (inclusion) était de 56 kg, fourchette : 37 à 72 kg. Le tableau 11 présente les antécédents médicaux et les caractéristiques des patients pédiatriques inclus dans l’étude ALXN1210-PNH-304 à l’inclusion.
  • +Tableau 11 : Antécédents médicaux et caractéristiques à l’inclusion (population complète d’analyse)
  • +Variable Patients naîfs d’inhibiteur du complément (n = 5) Patients préalablement traités par l’eculizumab (n = 8)
  • +Taille totale du clone HPN érythrocytaire (%) (n = 4) (n = 6)
  • +Médiane (min., max.) 40,05 (6,9 ; 68,1) 71,15 (21,2 ; 85,4)
  • +Taille totale du clone HPN granulocytaire (%) Médiane (min., max.) 78,30 (36,8 ; 99,0) 91,60 (20,3 ; 97,6)
  • +Nombre de patients ayant reçu des transfusions de concentré érythrocytaire/sang total au cours des 12 mois précédant la première dose, n (%) 2 (40,0) 2 (25,0)
  • +Nombre de transfusions de concentré érythrocytaire/sang total au cours des 12 mois précédant la première dose
  • +Total 10 2
  • +Médiane (min.; max.) 5,0 (4 ; 6) 1,0 (1 ; 1)
  • +Unités de concentré érythrocytaire/sang total transfusées au cours des 12 mois précédant la première dose
  • +Total 14 2
  • +Médiane (min.; max.) 7,0 (3 ; 11) 2,0 (2 ; 2)
  • +Patients atteints de pathologies liées à l’HPN avant l’obtention du consentement éclairé à l’étude, n (%) Anémie Hématurie ou hémoglobinurie Anémie aplasique Insuffisancenale Autrea 5 (100) 2 (40,0) 8 (100) 5 (62,5)
  • +2 (40,0) 3 (60,0) 2 (40,0) 0 5 (62,5) 1 (12,5) 2 (25,0) 1 (12,5)
  • +Taux de LDH avant traitement U/L) Médiane (min., max.) 588,50 (444 ; 2.269,7) 251,50 (140,5 ; 487)
  • +
  • +a Les autres pathologies liées à l’HPN étaient rapportées avec les termes « infarctus rénal et splénique » et
  • +« lésions multiples évoquant un processus embolique ».
  • +Note : les pourcentages sont basés sur le nombre total de patients dans chaque cohorte.
  • +Abréviations : LDH = lactate déshydrogénase ; max. = maximum ; min. = minimum ; HPN = hémoglobinurie paroxystique nocturne.
  • +Les patients ont reçu une dose de charge de ravulizumab en fonction du poids au jour 1, suivie d'un traitement d'entretien au jour 15, puis une fois toutes les 8 semaines (q8S) pour les patients dont le poids est ≥ 20 kg ou une fois toutes les 4 semaines (q4S) pour les patients dont le poids est < 20 kg. Pour les patients qui recevaient un traitement par l’eculizumab à l'entrée dans l'étude, le jour 1 du traitement de l'étude était prévu 2 semaines après la dernière dose d'eculizumab du patient.
  • +Le ravulizumab administré selon un schéma posologique en fonction du poids a conféré une inhibition immédiate, complète et maintenue de la voie terminale du complément pendant toute la période d’évaluation principale de 26 semaines, que les patients aient été ou non préalablement traités par l’eculizumab. Après l’instauration du traitement par le ravulizumab, les concentrations sériques du ravulizumab à l’état d’équilibre ont été atteintes immédiatement après la première dose et se sont maintenues pendant toute la période d’évaluation principale de 26 semaines dans les deux cohortes. Il n’a pas été observé d’épisodes hémolytiques dans l’étude et aucun patient n’a eu un taux de protéine C5 libre supérieur à 0,5 μg/mL après l’inclusion. Pendant la période d’évaluation principale de 26 semaines, la variation relative moyenne du taux de LDH par rapport à l’inclusion était de -47,91 % le jour 183 dans la cohorte de patients naïfs d’inhibiteur du complément et le taux est resté stable dans la cohorte de patients préalablement traités par l’eculizumab. Soixante pour cent des patients naïfs d’inhibiteur du complément (3/5) et 75 % des patients préalablement traités par l’eculizumab (6/8) respectivement avaient obtenu une stabilisation de l’hémoglobine à la semaine 26. L’absence de recours à la transfusion a été rapportée chez 84,6 % des patients (11/13) pendant la période d’évaluation principale de 26 semaines.Ces résultats intermédiaires des critères d’efficacité sont résumés dans le tableau 12 ci-dessous.
  • +Tableau 12 : Résultats d’efficacité intermédiaires de l’essai clinique chez des patients pédiatriques atteints d’HPN (ALXN1210-PNH-304) – période d’évaluation principale de 26 semaines
  • +Critère d’évaluation Ravulizumab (naïfs d’inhibiteur du complément, n = 5) Ravulizumab (Relais, traités préalablement par un inhibiteur du complément, n = 8)
  • +LDH - Variation par rapport à l’inclusion (%) Valeur moyenne (ET) -47,91 (52,716) 4,65 (44,702)
  • +Absence de recours à la transfusion Pourcentage (IC à 95 %) 60,0 (14,66 ; 94,73) 100,0 (63,06 ; 100,00)
  • +Stabilisation de l’hémoglobine Pourcentage (IC à 95 %) 60,0 (14,66 ; 94,73) 75 (34,91 ; 96,81)
  • +Épisodes hémolytiques (%) 0 0
  • +
  • +Abréviations : LDH = lactate déshydrogénase
  • +Selon les données de ces résultats intermédiaires, l’efficacité du ravulizumab chez les patients pédiatriques atteints d’HPN s’est révélée similaire à celle observée chez les patients adultes atteints d’HPN.
  • -Le tableau 11 présente les caractéristiques initiales des patients pédiatriques inclus dans l’étude ALXN1210-aHUS-312.
  • -Tableau 11 : Caractéristiques démographiques et initiales dans l’étude ALXN1210-aHUS-312
  • +Le tableau 13 présente les caractéristiques initiales des patients pédiatriques inclus dans l’étude ALXN1210-aHUS-312.
  • +Tableau 13 : Caractéristiques démographiques et initiales dans l’étude ALXN1210-aHUS-312
  • -DFGe (ml/min/1,73 m2) Médiane (min., max.) 22,0 (10 ; 84) 99,75 (54 ; 136,5)
  • +DFGe (mL/min/1,73 m2) Médiane (min., max.) 22,0 (10 ; 84) 99,75 (54 ; 136,5)
  • -Une réponse complète de la MAT a été observée chez 14 des 18 patients naïfs de traitement (77,8 %) pendant la période d’évaluation initiale de 26 semaines, comme indiqué dans le tableau 12.
  • -Tableau 12 : Réponse complète de la MAT et analyse des critères de la réponse complète de la MAT pendant la période d’évaluation initiale de 26 semaines (ALXN1210aHUS-312)
  • +Une réponse complète de la MAT a été observée chez 14 des 18 patients naïfs de traitement (77,8 %) pendant la période d’évaluation initiale de 26 semaines, comme indiqué dans le tableau 14.
  • +Tableau 14 : Réponse complète de la MAT et analyse des critères de la réponse complète de la MAT pendant la période d’évaluation initiale de 26 semaines (ALXN1210aHUS-312)
  • -Les 6 patients qui avaient besoin de séances de dialyse lors de leur inclusion dans l’étude étaient en mesure d’arrêter les séances ; 5 d’entre eux les avaient déjà arrêtées au jour 43. Aucun patient n’a commencé de dialyse pendant l’étude. La majorité de la population de patients (15/17) présentait une amélioration d’au moins 1 stade de l’IRC au jour 183 ; 14 patients présentaient une amélioration d’au moins 2 stades. Le tableau 13 résume les résultats des critères d’efficacité secondaires de l’étude ALXN1210-aHUS-312.
  • -Tableau 13 : Critère d’efficacité secondaire de l’étude ALXN1210-aHUS-312.
  • +Les 6 patients qui avaient besoin de séances de dialyse lors de leur inclusion dans l’étude étaient en mesure d’arrêter les séances ; 5 d’entre eux les avaient déjà arrêtées au jour 43. Aucun patient n’a commencé de dialyse pendant l’étude. La majorité de la population de patients (15/17) présentait une amélioration d’au moins 1 stade de l’IRC au jour 183 ; 14 patients présentaient une amélioration d’au moins 2 stades. Le tableau 15 résume les résultats des critères d’efficacité secondaires de l’étude ALXN1210-aHUS-312.
  • +Tableau 15 : Critère d’efficacité secondaire de l’étude ALXN1210-aHUS-312.
  • -DFGe (ml/min/1,73 m2), jour 183 Moyenne (ET) Médiane Valeur observée (n = 17) 108,5 (56,87) 108,0 Variation par rapport à l’inclusion (n = 17) 85,4 (54,33) 80,0
  • +DFGe (mL/min/1,73 m2), jour 183 Moyenne (ET) Médiane Valeur observée (n = 17) 108,5 (56,87) 108,0 Variation par rapport à l’inclusion (n = 17) 85,4 (54,33) 80,0
  • -Chez les patients atteints d’HPN et de SHUa recevant la dose en fonction du poids étudiée, le volume de distribution moyen (écart-type [ET]) à l’état d’équilibre était de 5,35 (0,92) et 5,22 (1,85) litres.
  • +Chez les patients adultes atteints d’HPN et chez les patients adultes et pédiatriques atteints de SHUa recevant la dose en fonction du poids étudiée, le volume de distribution moyen (écart-type [ET]) à l’état d’équilibre était de 5,35 (0,92) et 5,22 (1,85) litres.
  • -Les valeurs moyennes (ET) de la demi-vie d’élimination terminale et de la clairance du ravulizumab chez les patients atteints d’HPN et de SHUa étaient de 49,7 (8,9) jours et 0,08 (0,022) L/jour et 51,8 (16,2) jours et 0,08 (0,04) L/jour, respectivement.
  • +Les valeurs moyennes (ET) de la demi-vie d’élimination terminale et de la clairance du ravulizumab chez les patients adultes atteints d’HPN et chez les patients adultes et pédiatriques atteints de SHUa étaient de 49,7 (8,9) jours et 0,08 (0,022) L/jour et 51,8 (16,2) jours et 0,08 (0,04) L/jour, respectivement.
  • -Le poids est une covariable significative chez les patients atteints d’HPN et de SHUa, conduisant à des niveaux d’exposition plus faibles chez les patients ayant un poids plus élevé. La posologie en fonction du poids est proposée à la rubrique « Posologie/Mode d’emploi », tableau 1.
  • +Le poids est une covariable significative chez les patients atteints d’HPN et de SHUa, conduisant à des niveaux d’exposition plus faibles chez les patients ayant un poids plus élevé. La posologie en fonction du poids est proposée à la rubrique « Posologie/Mode d’emploi », tableau 1 et tableau 2.
  • -Tableau 14 : Tableau de référence pour l’administration de la dose de charge d’Ultomiris 300 mg/3 mL et 1100 mg/11 mL solutions à diluer pour perfusion
  • +Tableau 16 : Tableau de référence pour l’administration de la dose de charge d’Ultomiris 300 mg/3 mL et 1100 mg/11 mL solutions à diluer pour perfusion
  • -Tableau 15 : Tableau de référence pour l’administration des doses d’entretien d’Ultomiris 300 mg/3 mL et 1100 mg/11 mL solutions à diluer pour perfusion
  • +Tableau 17 : Tableau de référence pour l’administration des doses d’entretien d’Ultomiris 300 mg/3 mL et 1100 mg/11 mL solutions à diluer pour perfusion
  • -Tableau 16 : Tableau de référence pour l’administration de la dose de charge pour Ultomiris 300 mg/30 mL
  • +Tableau 18 : Tableau de référence pour l’administration de la dose de charge pour Ultomiris 300 mg/30 mL
  • -Tabelle 17: Tableau de référence pour l’administration des doses d’entretien pour Ultomiris 300 mg/30 mL
  • +Tabelle 19: Tableau de référence pour l’administration des doses d’entretien pour Ultomiris 300 mg/30 mL
  • -Septembre 2021
  • +Avril 2022
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