6 Changements de l'information professionelle Onpattro 2 mg/ml |
-Transplantation hépatique
-Onpattro n’a pas été étudié chez les patients ayant déjà reçu une transplantation hépatique; toutefois, aucun ajustement posologique n’est considéré comme nécessaire.
- +Autre(s) population(s) particulière(s)
- +Patients ayant reçu une transplantation hépatique
- +Dans une étude menée en ouvert chez 23 patients atteints d’amylose hATTR et présentant une progression de la polyneuropathie après une transplantation hépatique, le profil de sécurité du patisiran était conforme à celui obtenu lors des études cliniques précédentes (voir rubrique « Efficacité clinique »).
-Onpattro contient du patisiran, un petit acide ribonucléique interférent (pARNi) double brin, qui cible spécifiquement une séquence conservée génétiquement dans la région 3’ non traduite de tous les ARNm mutants et de type sauvage de la TTR. Le patisiran est formulé en nanoparticules lipidiques pour délivrer le pARNi aux hépatocytes, la principale source de protéine TTR dans la circulation. Grâce à un processus naturel appelé interférence ARN (ARNi), le patisiran provoque la dégradation catalytique de l’ARNm de la TTR dans le foie, ce qui entraîne une diminution du taux sériques de protéine TTR.
- +Onpattro contient du patisiran, un petit acide ribonucléique interférent (pARNi) double brin, qui cible spécifiquement une séquence conservée génétiquement dans la région 3’ non traduite de tous les ARNm variants et de type sauvage de la TTR. Le patisiran est formulé en nanoparticules lipidiques pour délivrer le pARNi aux hépatocytes, la principale source de protéine TTR dans la circulation. Grâce à un processus naturel appelé interférence ARN (ARNi), le patisiran provoque la dégradation catalytique de l’ARNm de la TTR dans le foie, ce qui entraîne une diminution du taux sériques de protéine TTR.
- +Patients ayant reçu une transplantation hépatique
- +Dans une étude menée en ouvert, 23 patients atteints d’amylose hATTR et présentant une progression de la polyneuropathie après une transplantation hépatique ont été traités par patisiran à une dose de 300 microgrammes par kg par perfusion IV une fois toutes les 3 semaines. Le délai médian entre la greffe et la première dose de patisiran était de 9,4 ans et la durée médiane du traitement par patisiran était de 13,1 mois. Tous les patients ont reçu des immunosuppresseurs de façon concomitante. L’étude a mis en évidence une réduction médiane statistiquement significative des taux sériques de TTR de 91 % par rapport aux valeurs de référence (p < 0,001). Les patients ont également présenté une stabilisation ou une amélioration des critères d’efficacité au douzième mois par rapport aux valeurs de référence. Ces résultats étaient conformes à ceux de l’étude contrôlée versus placebo sur le patisiran.
- +Transplantation hépatique
- +Dans une étude clinique menée chez des patients atteints d’amylose hATTR ayant reçu une transplantation hépatique, les paramètres pharmacocinétiques à l’état d’équilibre et la réduction du taux de TTR étaient comparables à ceux observés chez les patients n’ayant pas reçu de transplantation hépatique.
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-Mars 2021
- +Juin 2022
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