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Accueil - Information professionnelle sur Deferipron Lipomed 500 mg - Changements - 21.03.2025
58 Changements de l'information professionelle Deferipron Lipomed 500 mg
  • -Principe actif: Défériprone.
  • -Excipients: Hypromellose, Croscarmellose sodique, Silice colloïdale anhydre, Cellulose microcristalline, Stéarate de magnésium, Macrogol 6000 et Dioxyde de titane.
  • +Principes actifs
  • +Défériprone.
  • +Excipients
  • +Hypromellose, Croscarmellose sodique (équivalent à 0,7 mg de sodium par comprimé pelliculé), Silice colloïdale anhydre, Cellulose microcristalline, Stéarate de magnésium, Macrogol 6000 et Dioxyde de titane (E 171).
  • -Comprimés pelliculés sécables à 500 mg.
  • +Comprimés pelliculés sécables à 500 mg, avec ligne de cassure.
  • -Il n’y a pas d’expériences chez les patients avec insuffisance rénale ou troubles de la fonction hépatique (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Il n'est pas nécessaire d'ajuster la dose chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère ou modérée (voir «Mises en garde et précautions»). La sécurité et la pharmacocinétique de la défériprone chez les patients atteints d'insuffisance hépatique grave sont inconnues.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Il n'est pas nécessaire d'ajuster la dose chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère, modérée ou grave (voir «Mises en garde et précautions»). La sécurité et la pharmacocinétique de la défériprone chez les patients atteints d'insuffisance rénale terminale sont inconnues.
  • -·Femmes en âge de procréer qui n’utilisent pas une méthode contraceptive sûre (voir
  • -«Grossesse/Allaitement»).
  • +·Femmes en âge de procréer qui n’utilisent pas une méthode contraceptive sûre (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • -Il a été démontré que la défériprone provoque une neutropénie, y compris une agranulocytose. Il est recommandé de contrôler chaque semaine le nombre de neutrophiles. Au cours d’études cliniques, cette méthode s’est révélée efficace pour identifier une neutropénie et une agranulocytose. La neutropénie et l’agranulocytose ont disparu avec l’arrêt du traitement. Si le patient développe une infection, le traitement par la défériprone doit être interrompu et le nombre de neutrophiles surveillé plus fréquemment. Il convient de recommander aux patients de signaler immédiatement à leur médecin tout symptôme indicateur d’une infection, tel que par exemple: fièvre, angine et symptômes grippaux.
  • -Un traitement par la défériprone ne doit pas être instauré chez des patients présentant une
  • -neutropénie. Le risque d’agranulocytose et de neutropénie est augmenté si le taux de
  • -neutrophiles (ANC) initial est inférieur à 1,5 x 109/l.
  • -En cas de neutropénie
  • -Demander au patient d’arrêter immédiatement la défériprone et tous les autres médicaments
  • -susceptibles de provoquer une neutropénie médicamenteuse. Conseiller au patient de limiter ses contacts avec d’autres personnes afin de réduire le risque d’une infection éventuelle. Dès que le diagnostic est posé, il faut déterminer l’hémogramme et la formule leucocytaire, ainsi que le taux de neutrophiles et de thrombocytes; ces contrôles doivent être répétés chaque jour. Après normalisation du taux de neutrophiles, il est recommandé de contrôler chaque semaine pendant 3 semaines la formule sanguine, la formule leucocytaire et les taux de neutrophiles et de thrombocytes, pour s’assurer que le patient se rétablit complètement. Si la neutropénie s’accompagne de signes d’infection, il convient d’effectuer les cultures et les examens diagnostiques nécessaires et d’instaurer une antibiothérapie appropriée.
  • -En cas de neutropénie sévère ou d’agranulocytose
  • -Suivre les directives ci-dessus et instaurer – le jour même où l’affection est confirmée – un
  • -traitement approprié, par exemple par des facteurs de croissance granulocytaires. Poursuivre le traitement quotidiennement jusqu’à la normalisation des neutrophiles. Isoler le patient et procéder à son hospitalisation si celle-ci est cliniquement indiquée.
  • -Les données disponibles concernant la reprise du traitement sont limitées; il est par consequent déconseillé de reprendre le traitement en cas de neutropénie. En cas d’agranulocytose, la reprise du traitement est contre-indiquée.
  • +Il a été démontré que la défériprone provoque une neutropénie, y compris une agranulocytose (voir «Effets indésirables»). Le nombre absolu des polynucléaires neutrophiles (PNN) du patient doit être surveillé chaque semaine pendant la première année du traitement. Pour les patients chez qui Deferipron Lipomed n'a pas été interrompu au cours de la première année de traitement en raison d'une diminution du nombre de PNN, la fréquence de la surveillance des PNN peut être étendue à l'intervalle de transfusions sanguines du patient (toutes les 2 à 4 semaines) après un an de traitement par la défériprone.
  • +Le passage d'une surveillance hebdomadaire du nombre absolu des PNN à une surveillance au moment des visites de transfusion après 12 mois de traitement par Deferipron Lipomed doit être envisagé au cas par cas, selon l'évaluation faite par le médecin de la compréhension qu'a le patient des mesures de réduction des risques requises pendant le traitement (voir ci-dessous).
  • +Au cours d’études cliniques, cette méthode s’est révélée efficace pour identifier une neutropénie et une agranulocytose. La neutropénie et l’agranulocytose ont disparu avec l’arrêt du traitement, mais des cas mortels d'agranulocytose ont été signalés. Si le patient développe une infection, le traitement par la défériprone doit être immédiatement interrompu et une numération des PNN doit être obtenue au plus vite. La numération des PNN devra ensuite être surveillée plus fréquemment.
  • +Il convient de recommander aux patients de signaler immédiatement à leur médecin tout symptôme indicateur d’une infection, tel que par exemple: fièvre, angine et symptômes grippaux.
  • +Un traitement par la défériprone ne doit pas être instauré chez des patients présentant une neutropénie. Le risque d’agranulocytose et de neutropénie est augmenté si le taux de neutrophiles (ANC) initial est inférieur à 1,5 x 109/l.
  • +Neutropénie (PNN < 1.5 x 109/l et > 0.5 x 109/l):
  • +Demander au patient d’arrêter immédiatement la défériprone et tous les autres médicaments susceptibles de provoquer une neutropénie médicamenteuse. Conseiller au patient de limiter ses contacts avec d’autres personnes afin de réduire le risque d’une infection éventuelle. Dès que le diagnostic est posé, il faut déterminer l’hémogramme et la formule leucocytaire, ainsi que le taux de neutrophiles et de thrombocytes; ces contrôles doivent être répétés chaque jour. Après normalisation du taux de neutrophiles, il est recommandé de contrôler chaque semaine pendant 3 semaines la formule sanguine, la formule leucocytaire et les taux de neutrophiles et de thrombocytes, pour s’assurer que le patient se rétablit complètement. Si la neutropénie s’accompagne de signes d’infection, il convient d’effectuer les cultures et les examens diagnostiques nécessaires et d’instaurer une antibiothérapie appropriée.
  • +Agranulocytose (PNN < 0.5 x 109/l):
  • +Suivre les directives ci-dessus et instaurer – le jour même où l’affection est confirmée – un traitement approprié, par exemple par des facteurs de croissance granulocytaires. Poursuivre le traitement quotidiennement jusqu’à la normalisation des neutrophiles. Isoler le patient et procéder à son hospitalisation si celle-ci est cliniquement indiquée.
  • +Les données disponibles concernant la reprise du traitement sont limitées; il est par conséquent déconseillé de reprendre le traitement en cas de neutropénie. En cas d’agranulocytose, la reprise du traitement est contre-indiquée.
  • -Au vu des résultats de génotoxicité obtenus, un potentiel cancérigène de la défériprone ne peut être exclu (voir «Données précliniques»). Aucune étude sur l’animal visant à évaluer les
  • -possibles effets de la défériprone sur la fertilité n’a été entreprise.
  • +Au vu des résultats de génotoxicité obtenus, un potentiel cancérigène de la défériprone ne peut être exclu (voir «Données précliniques»). Aucune étude sur l’animal visant à évaluer les possibles effets de la défériprone sur la fertilité n’a été entreprise.
  • -Il est recommandé de surveiller tous les deux à trois mois le taux de ferritine sérique ou tout
  • -autre indicateur (comme le taux de fer hépatique et la charge corporelle en fer) afin d’évaluer
  • -l’efficacité du traitement chélateur. On envisagera d’interrompre le traitement par la défériprone si la ferritine sérique passe au-dessous de 500 μg/l.
  • -Il est recommandé de surveiller le taux plasmatique de Zn2+ et de fournir le cas échéant un
  • -apport complémentaire de Zn2+.
  • +Il est recommandé de surveiller tous les deux à trois mois le taux de ferritine sérique ou tout autre indicateur (comme le taux de fer hépatique et la charge corporelle en fer) afin d’évaluer l’efficacité du traitement chélateur. On envisagera d’interrompre le traitement par la défériprone si la ferritine sérique passe au-dessous de 500 μg/l.
  • +Il est recommandé de surveiller le taux plasmatique de Zn2+ et de fournir le cas échéant un apport complémentaire de Zn2+.
  • -Comme la défériprone est principalement éliminée par voie rénale, un risque accru de
  • -complications peut exister chez les patients présentant une dysfonction rénale. Comme la
  • -défériprone est métabolisée par le foie, il faut également faire preuve de prudence chez les
  • -patients présentant une dysfonction hépatique.
  • -Les fonctions rénale et hépatique doivent faire lobjet dune surveillance dans cette population de patients pendant un traitement par la défériprone. En cas daugmentation persistante du taux des enzymes hépatiques sériques, une interruption du traitement par la défériprone doit être envisagée.
  • +Il n'existe aucune donnée relative à une utilisation chez les patients atteints d'une insuffisance rénale en phase terminale ou d'insuffisance hépatique sévère (voir «Pharmacocinétique»). La prudence est de mise chez les patients atteints d'insuffisance rénale en phase terminale ou présentant une dysfonction hépatique sévère. Les fonctions rénale et hépatique doivent faire l'objet d'une surveillance dans ces populations de patients pendant un traitement par la défériprone. En cas d'augmentation persistante des taux sériques d'alanine aminotransférase (ALT), une interruption du traitement par la défériprone doit être envisagée.
  • +Excipients
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu’il est essentiellement «sans sodium».
  • +
  • -Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu. Dans ces circonstances, le medicament ne doit pas être administré pendant la grossesse (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu. Dans ces circonstances, le médicament ne doit pas être administré pendant la grossesse (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Rien n’indique que la défériprone influence l’aptitude à la conduite ou la sécurité lors de
  • -l’utilisation de machines.
  • +Rien n’indique que la défériprone influence l’aptitude à la conduite ou la sécurité lors de l’utilisation de machines.
  • -L’effet indésirable le plus sévère rapporté au cours des études cliniques avec la défériprone est l’agranulocytose (neutrophiles <0,5 x 109/l) avec une incidence de 1,1% (0,6 cas pour
  • -100 années-patients de traitement). L’incidence d’une neutropénie (neutrophiles <1,5 x 109/l) est de 4,9% (2,5 cas pour 100 années-patients).
  • -Des épisodes de diarrhée, généralement modérés et transitoires, ont été signalés chez des
  • -patients traités par la défériprone. Les effets gastro-intestinaux sont plus fréquents au début du traitement et sont spontanément réversibles dans la plupart des cas après quelques semaines, sans nécessiter l’arrêt du traitement. Chez certains patients, il pourrait être bénéfique de réduire la dose de défériprone, puis de l’augmenter à nouveau pour retrouver la dose précédente. Des cas d’arthropathie, allant d’une légère douleur au niveau d’une ou de plusieurs articulations à une arthrite sévère avec épanchement et invalidité significative, ont également été rapportés chez des patients traités par la défériprone. Les arthropathies légères sont généralement transitoires.
  • -Une augmentation des enzymes hépatiques sériques a été signalée chez des patients sous
  • -défériprone. Pour la majorité de ces patients, l’augmentation a été asymptomatique et transitoire, et les valeurs initiales ont été retrouvées sans que le traitement par la défériprone ait été suspendu ou la dose diminuée (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +L’effet indésirable le plus sévère rapporté au cours des études cliniques avec la défériprone est l’agranulocytose (neutrophiles <0,5 x 109/l) avec une incidence de 1,1% (0,6 cas pour 100 années-patients de traitement). L’incidence d’une neutropénie (neutrophiles <1,5 x 109/l) est de 4,9% (2,5 cas pour 100 années-patients).
  • +Les données tirées d'études cliniques regroupées chez des patients présentant une surcharge en fer systémique ont montré que 63 % des épisodes d'agranulocytose sont survenus au cours des six premiers mois de traitement, 74 % au cours de la première année et 26 % après un an de traitement. Le délai médian avant le début du premier épisode d'agranulocytose était de 190 jours (intervalle de 22 jours – 17.6 ans) et la durée médiane était de 10 jours dans les études cliniques. Un décès a été observé dans 8.3 % des épisodes d'agranulocytose signalés lors des études cliniques et après la commercialisation.
  • +Des épisodes de diarrhée, généralement modérés et transitoires, ont été signalés chez des patients traités par la défériprone. Les effets gastro-intestinaux sont plus fréquents au début du traitement et sont spontanément réversibles dans la plupart des cas après quelques semaines, sans nécessiter l’arrêt du traitement. Chez certains patients, il pourrait être bénéfique de réduire la dose de défériprone, puis de l’augmenter à nouveau pour retrouver la dose précédente.
  • +Des cas d’arthropathie, allant d’une légère douleur au niveau d’une ou de plusieurs articulations à une arthrite sévère avec épanchement et invalidité significative, ont également été rapportés chez des patients traités par la défériprone. Les arthropathies légères sont généralement transitoires.
  • +Une augmentation des enzymes hépatiques sériques a été signalée chez des patients sous défériprone. Pour la majorité de ces patients, l’augmentation a été asymptomatique et transitoire, et les valeurs initiales ont été retrouvées sans que le traitement par la défériprone ait été suspendu ou la dose diminuée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les fréquences sont définies comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (la fréquence ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Circulation sanguine et lymphatique
  • +Liste des effets indésirables
  • +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (1/100 à <1/10), «occasionnels» (1/1000 à <1/100), «rares» (1/10 000 à <1/1000), «très rares» (<1/10 000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Troubles cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles musculosquelettiques
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles généraux
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Aucun cas de surdose aiguë n’a été signalé. Chez des patients qui ont été traités pendant
  • -plusieurs années avec une dose qui était 2,5 fois supérieure à la dose maximum recommandée des troubles neurologiques (tels que symptômes cérébelleux, diplopie, nystagmus latéral, ralentissement psychomoteur, des mouvements de la main et hypotonie axiale) ont été observés.
  • -Les troubles neurologiques ont diminué progressivement après l’arrêt de la prise de défériprone.
  • +Aucun cas de surdose aiguë n’a été signalé. Chez des patients qui ont été traités pendant plusieurs années avec une dose qui était 2,5 fois supérieure à la dose maximum recommandée des troubles neurologiques (tels que symptômes cérébelleux, diplopie, nystagmus latéral, ralentissement psychomoteur, des mouvements de la main et hypotonie axiale) ont été observés. Les troubles neurologiques ont diminué progressivement après l’arrêt de la prise de défériprone.
  • -Code ATC: V03AC02
  • +Code ATC
  • +V03AC02
  • +Mécanisme d’action
  • +Pharmacodynamique
  • +Efficacité clinique
  • +
  • -La seconde était une étude d’appui ouverte, non comparative. Dans cette étude, les
  • -investigateurs n’ont noté aucune modification des taux de ferritine sérique par rapport aux
  • -valeurs initiales. Le paramètre primaire était l’incidence de l’agranulocytose (fréquence 1,2%).
  • +La seconde était une étude d’appui ouverte, non comparative. Dans cette étude, les investigateurs n’ont noté aucune modification des taux de ferritine sérique par rapport aux valeurs initiales. Le paramètre primaire était l’incidence de l’agranulocytose (fréquence 1,2%).
  • -La défériprone est rapidement résorbée dans le tractus gastro-intestinal supérieur. Les pics
  • -sériques sont apparus 45 à 60 minutes après administration d’une dose unique chez les patients à jeun. Ce délai peut augmenter jusqu’à 2 heures chez les patients qui ont ingéré des aliments.
  • -Après administration d’une dose de 25 mg/kg, on a mesuré des pics sériques plus bas
  • -(85 μmol/l) chez les patients qui avaient mangé que chez ceux qui étaient à jeun (126 μmol/l)
  • -bien que l’ingestion concomitante d’aliments n’ait entraîné aucune baisse de la quantité de
  • -substance résorbée.
  • -Metabolisme
  • -La défériprone est en premier lieu métabolisé en conjugué glucuronide. En raison de
  • -l’inactivation du groupe 3-hydroxy de la défériprone, ce métabolite n’a pas la capacité de fixer le fer. Les concentrations sériques maximales du glucuronide sont observées 2 à 3 heures après l’administration de la défériprone.
  • +La défériprone est rapidement résorbée dans le tractus gastro-intestinal supérieur. Les pics sériques sont apparus 45 à 60 minutes après administration d’une dose unique chez les patients à jeun. Ce délai peut augmenter jusqu’à 2 heures chez les patients qui ont ingéré des aliments.
  • +Distribution
  • +Après administration d’une dose de 25 mg/kg, on a mesuré des pics sériques plus bas (85 μmol/l) chez les patients qui avaient mangé que chez ceux qui étaient à jeun (126 μmol/l) bien que l’ingestion concomitante d’aliments n’ait entraîné aucune baisse de la quantité de substance résorbée.
  • +Métabolisme
  • +La défériprone est en premier lieu métabolisé en conjugué glucuronide. En raison de l’inactivation du groupe 3-hydroxy de la défériprone, ce métabolite n’a pas la capacité de fixer le fer. Les concentrations sériques maximales du glucuronide sont observées 2 à 3 heures après l’administration de la défériprone.
  • -Cinétique dans des situations cliniques particulières
  • -Il n’existe encore aucune étude cinétique avec la défériprone.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Une étude clinique ouverte, non randomisée, à groupes parallèles a été menée pour évaluer l'effet de l'insuffisance hépatique sur la sécurité, la tolérance et la pharmacocinétique d'une dose orale unique de 33 mg/kg de défériprone. Les sujets ont été classés en trois groupes selon le score de classification de Child-Pugh: volontaires sains, insuffisance hépatique légère (Classe A: 5 à 6 points) et insuffisance hépatique modérée (Classe B: 7 à 9 points). L'exposition systémique à la défériprone et à son métabolite, le glucuronide 3-O de défériprone, a été évaluée à l'aide des paramètres pharmacocinétiques Cmax et ASC. L'ASC de la défériprone n'a présenté aucune différence entre les groupes de traitement, tandis que la Cmax a diminué de 20 % chez les sujets atteints d'insuffisance hépatique légère ou modérée par rapports aux sujets sains. L'ASC du glucuronide 3-O de défériprone a diminué de 10 % et la Cmax de 20 % chez les sujets atteints d'insuffisance hépatique légère ou modérée par rapports aux sujets sains. Un effet indésirable grave d'atteinte hépatique et rénale aiguë a été observé chez un sujet présentant une insuffisance hépatique modérée.
  • +D'après les résultats de cette étude, aucun ajustement de la posologie de la défériprone ne s'avère nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée.
  • +L'incidence de l'insuffisance hépatique grave sur la pharmacocinétique du défériprone et du glucuronide 3-O de défériprone n'a pas été évaluée. La sécurité et la pharmacocinétique de Deferipron Lipomed chez les patients atteints d'insuffisance hépatique grave sont inconnues.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Une étude clinique ouverte, non randomisée, à groupes parallèles a été menée pour évaluer l'effet de l'insuffisance rénale sur la sécurité, la tolérance et la pharmacocinétique d'une dose orale unique de 33 mg/kg de défériprone. Les sujets ont été classés en 4 groupes en fonction du taux de filtration glomérulaire estimé (eGFR): volontaires sains (eGFR ≥ 90 ml/min/1.73 m2), insuffisance rénale légère (eGFR 60–89 ml/min/1.73 m2), insuffisance rénale modérée (eGFR 30–59 ml/min/1.73 m2) et insuffisance rénale grave (eGFR 15–29 ml/min/1.73 m2). L'exposition systémique à la défériprone et à son métabolite, le glucuronide 3-O de défériprone, a été évaluée à l'aide des paramètres pharmacocinétiques Cmax et ASC.
  • +Quel que soit le degré de l'insuffisance rénale, la majeure partie de la dose de défériprone a été excrétée dans l'urine au cours des 24 premières heures sous forme de glucuronide 3-O de défériprone. Aucun effet significatif de l'insuffisance rénale n'a été observé sur l'exposition systémique à la défériprone. L'exposition systémique au glucuronide 3-O inactif a augmenté avec la diminution de l'eGFR.
  • +D'après les résultats de cette étude, aucun ajustement de la posologie de la défériprone n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale.
  • +La sécurité et la pharmacocinétique de Deferipron Lipomed chez les patients atteints d'insuffisance rénale terminale sont inconnues.
  • -Dans des études précliniques chez la souris, le rat, le lapin, le chien et le singe, les effets les plus fréquemment observés chez les animaux ne présentant pas de surcharge en fer à des doses supérieures ou égales à 100 mg/kg/jour ont été des effets hématologiques tels qu’une
  • -hypocellularité de la moelle osseuse, une diminution du nombre des leucocytes, des érythrocytes et/ou des thrombocytes dans le sang périphérique.
  • -En outre, une atrophie du thymus, des tissus lymphoïdes et des testicules, ainsi qu’une
  • -hypertrophie des glandes surrénales, ont été rapportées pour des doses supérieures ou égales à 100 mg/kg/jour chez les animaux ne présentant pas de surcharge en fer.
  • -Génotoxicité et cancérogénicité
  • -Aucune étude portant sur la cancérogénicité n’a été réalisée chez l’animal avec la défériprone.
  • +Dans des études précliniques chez la souris, le rat, le lapin, le chien et le singe, les effets les plus fréquemment observés chez les animaux ne présentant pas de surcharge en fer à des doses supérieures ou égales à 100 mg/kg/jour ont été des effets hématologiques tels qu’une hypocellularité de la moelle osseuse, une diminution du nombre des leucocytes, des érythrocytes et/ou des thrombocytes dans le sang périphérique.
  • +En outre, une atrophie du thymus, des tissus lymphoïdes et des testicules, ainsi qu’une hypertrophie des glandes surrénales, ont été rapportées pour des doses supérieures ou égales à 100 mg/kg/jour chez les animaux ne présentant pas de surcharge en fer.
  • +Génotoxicité
  • +Cancérogénicité
  • +Aucune étude portant sur la cancérogénicité n’a été réalisée chez l’animal avec la défériprone.
  • -Lipomed AG
  • -Fabrikmattenweg 4
  • -4144 Arlesheim
  • +Lipomed AGFabrikmattenweg 44144 Arlesheim
  • -Mai 2014
  • +Mars 2022
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