16 Changements de l'information professionelle Zebinix 200 mg |
-Zebinix peut être pris au cours ou en dehors des repas.
- +Zebinix peut être pris au cours ou en dehors des repas. Les patients qui n’arrivent pas à avaler les comprimés entiers peuvent les écraser et les mélanger à de l’eau ou à des aliments semi-liquides, tels que de la compote de pommes, juste avant leur administration par voie orale.
-Le profil de sécurité de l’acétate d’eslicarbazépine était généralement similaire entre les adultes et les patients pédiatriques, sauf en ce qui concerne l’agitation (fréquent, 1,3 %) et la douleur abdominale (fréquent, 2,1 %) qui étaient plus communes chez les enfants que chez les adultes. Les sensations vertigineuses, la somnolence, les vertiges, l’asthénie, les troubles de la marche, les tremblements, l’ataxie, les troubles de l’équilibre, la vision trouble, les diarrhées et le rash étaient moins communs chez les enfants que chez les adultes. L’hyponatrémie a été rapportée uniquement dans la population adulte. La dermatite allergique (peu fréquent, 0,8 %) a été rapportée uniquement dans la population pédiatrique.
- +Le profil de sécurité de l’acétate d’eslicarbazépine était généralement similaire entre les adultes et les patients pédiatriques, sauf en ce qui concerne l’agitation (fréquent, 1,3 %) et la douleur abdominale (fréquent, 2,1 %) qui étaient plus communes chez les enfants que chez les adultes. Dans des études contrôlées contre placebo, les sensations vertigineuses, la somnolence, les vertiges, l’asthénie, les troubles de la marche, les tremblements, l’ataxie, les troubles de l’équilibre, la vision trouble, les diarrhées et le rash étaient moins communs chez les enfants que chez les adultes. La dermatite allergique (peu fréquent, 0,8 %) a été rapportée uniquement dans la population pédiatrique.
- +Pendant les études contrôlées contre placebo, l’hyponatrémie a été rapportée uniquement dans la population adulte, mais après la mise sur le marché, il y a aussi eu des rapports dans la population pédiatrique.
- +Les données de sécurité à long terme au sein de la population pédiatrique obtenues dans le cadre des extensions en ouvert de l’étude de phase III coïncidaient avec le profil de sécurité connu du produit sans nouvelles données observées.
-La sécurité et l’efficacité de l’acetate d’eslicarbazepine en association pour le traitement des crises partielles chez les sujets âgés ont été évaluées lors d’une étude non contrôlée, d’une durée de 26 semaines, sur 72 personnes (âgées de ≥ 65 ans). Les résultats montrent que l’incidence des effets indésirables dans cette population (65.3 %) est similaire à celle de la population générale analysée lors des études double-aveugle sur l’épilepsie (66.8%). Les effets indésirables individuels les plus fréquents ont été sensations vertigineuses (12.5% des patients), somnolence (9.7%), fatigue, convulsion et hyponatrémie (8.3%, chacun), nasopharyngite (6.9%) et infection des voies respiratoires supérieures (5.6%). Un total de 50 sur 72 individus qui ont commencé l’étude ont terminé le traitement de 26 semaines, ce qui correspond à un taux de maintien de 69,4% (voir section 4.2 pour plus d’information sur l’utilisation chez les sujets âgés). Les données disponibles chez la population âgée en monothérapie sont limitées. Seuls quelques sujets (N=27) âgés de plus de 65 ans ont été traités par acétate d’eslicarbazépine dans une étude sur la monothérapie.
- +La sécurité et l’efficacité de l’acetate d’eslicarbazepine en association pour le traitement des crises partielles chez les sujets âgés ont été évaluées lors d’une étude non contrôlée, d’une durée de 26 semaines, sur 72 personnes (âgées de ≥ 65 ans). Les résultats montrent que l’incidence des effets indésirables dans cette population (65.3 %) est similaire à celle de la population générale analysée lors des études double-aveugle sur l’épilepsie (66.8%). Les effets indésirables individuels les plus fréquents ont été sensations vertigineuses (12.5% des patients), somnolence (9.7%), fatigue, convulsion et hyponatrémie (8.3%, chacun), nasopharyngite (6.9%) et infection des voies respiratoires supérieures (5.6%). Un total de 50 sur 72 individus qui ont commencé l’étude ont terminé le traitement de 26 semaines, ce qui correspond à un taux de maintien de 69,4% (voir « Posologie/mode d’emploi »). Les données disponibles chez la population âgée en monothérapie sont limitées. Seuls quelques sujets (N=27) âgés de plus de 65 ans ont été traités par acétate d’eslicarbazépine dans une étude sur la monothérapie.
-L’efficacité et la sécurité de l’acétate d’eslicarbazépine en association pour le traitement des crises partielles chez l’enfant ont été évaluées lors d’une étude de phase II menée chez des enfants âgés de 6 à 16 ans (N=123) et d’une étude de phase III menée chez des enfants âgés de 2 à 18 ans (N=304). Ces deux études étaient en double aveugle et contrôlées contre placebo avec une période d’entretien de respectivement 8 semaines (étude 208) et 12 semaines (étude 305). L’acétate d’eslicarbazépine a été testé à des doses de 20 et 30 mg/kg/jour, jusqu’à un maximum de 1 200 mg/jour. La dose cible était de 30 mg/kg/jour dans l’étude 208 et de 20 mg/kg/jour dans l’étude 305. Les doses pouvaient être ajustées en fonction de la tolérance et de la réponse au traitement.
-Dans l’étude de phase II, l’évaluation de l’efficacité était un critère secondaire. La réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises entre l’inclusion et la période d’entretien était significativement plus élevée avec l’acétate d’eslicarbazépine (-34,8 %) comparé au placebo (-13,8 %). 42 patients (50,6 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 10 patients (25,0 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (réduction de la fréquence standardisée des crises ≥50 %), ce qui représente une différence significative (p=0,009).
-Dans l’étude de phase III, la réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises avec l’acétate d’eslicarbazépine (-18,1 % par rapport à la valeur initiale) était différente du placebo (-8,6 % par rapport à la valeur initiale), mais non statistiquement significative (p=0,2490). 41 patients (30,6 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 40 patients (31,0 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (réduction de la fréquence standardisée des crises ≥50 %), ce qui représente une différence non significative (p = 0,9017). Des analyses post-hoc de sous-groupes pour l’étude de phase III ont été conduites par tranches d’âge et chez des patients de plus de 6 ans, ainsi que par dose. Chez les enfants de plus de 6 ans, 36 patients (35,0 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 29 patients (30,2 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (p = 0,4759) et la réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises était plus élevée dans le groupe acétate d’eslicarbazépine par rapport au groupe placebo (-24,4 % contre -10,5 %) ; cependant, la différence de 13,9 % n’était pas statistiquement significative (p = 0,1040). Au total, 39 % des patients de l’étude 305 ont bénéficié d’un ajustement à la dose maximale possible (30 mg/kg/jour). Parmi eux, en excluant les patients âgés de 6 ans et moins, 14 patients (48,3 %) du groupe acétate d’eslicarbazépine et 11 patients (30,6 %) du groupe placebo étaient répondeurs (p = 0,1514). Malgré la solidité limitée de ces analyses post-hoc de sous-groupes, les données suggèrent une augmentation de la taille de l’effet dépendant de l’âge et de la dose.
- +L’efficacité et la sécurité de l’acétate d’eslicarbazépine en association pour le traitement des crises partielles chez l’enfant ont été évaluées lors d’une étude de phase II menée chez des enfants âgés de 6 à 16 ans (N=123) et d’une étude de phase III menée chez des enfants âgés de 2 à 18 ans (N=304). Ces deux études étaient en double aveugle et contrôlées contre placebo avec une période d’entretien de respectivement 8 semaines (étude 208) et 12 semaines (étude 305). L’étude 208 a inclus 2 périodes consécutives d’extension en ouvert, à long terme (1 an pour la période II et 2 ans pour la période III) et l’étude 305 a inclus 4 périodes consécutives d’extension en ouvert, à long terme (1 an pour les périodes II, III et IV et 2 ans pour la période V). L’acétate d’eslicarbazépine a été testé à des doses de 20 et 30 mg/kg/jour, jusqu’à un maximum de 1 200 mg/jour. La dose cible était de 30 mg/kg/jour dans l’étude 208 et de 20 mg/kg/jour dans l’étude 305. Les doses pouvaient être ajustées en fonction de la tolérance et de la réponse au traitement.
- +Durant la période en double aveugle de l’étude de phase II, l’évaluation de l’efficacité était un critère secondaire. La réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises entre l’inclusion et la période d’entretien était significativement plus élevée avec l’acétate d’eslicarbazépine (-34,8 %) comparé au placebo (-13,8 %). 42 patients (50,6 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 10 patients (25,0 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (réduction de la fréquence standardisée des crises ≥50 %), ce qui représente une différence significative (p=0,009).
- +Durant la période en double aveugle de l’étude de phase III, la réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises avec l’acétate d’eslicarbazépine (-18,1 % par rapport à la valeur initiale) était différente du placebo (-8,6 % par rapport à la valeur initiale), mais non statistiquement significative (p=0,2490). 41 patients (30,6 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 40 patients (31,0 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (réduction de la fréquence standardisée des crises ≥50 %), ce qui représente une différence non significative (p = 0,9017). Des analyses post-hoc de sous-groupes pour l’étude de phase III ont été conduites par tranches d’âge et chez des patients de plus de 6 ans, ainsi que par dose. Chez les enfants de plus de 6 ans, 36 patients (35,0 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 29 patients (30,2 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (p = 0,4759) et la réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises était plus élevée dans le groupe acétate d’eslicarbazépine par rapport au groupe placebo (-24,4 % contre -10,5 %) ; cependant, la différence de 13,9 % n’était pas statistiquement significative (p = 0,1040). Au total, 39 % des patients de l’étude 305 ont bénéficié d’un ajustement à la dose maximale possible (30 mg/kg/jour). Parmi eux, en excluant les patients âgés de 6 ans et moins, 14 patients (48,3 %) du groupe acétate d’eslicarbazépine et 11 patients (30,6 %) du groupe placebo étaient répondeurs (p = 0,1514). Malgré la solidité limitée de ces analyses post-hoc de sous-groupes, les données suggèrent une augmentation de la taille de l’effet dépendant de l’âge et de la dose.
- +Dans l’extension en ouvert de 1 an (période II) de l’étude de phase III (population en intention de traiter N = 225), le taux global de répondeurs était de 46,7 % (en constante augmentation de 44,9 % (semaines 1-4) à 57,5 % (semaines > 40)). La fréquence médiane des crises était de 6,1 (passant de 7,0 (semaines 1-4) à 4,0 (semaines > 40), donnant une variation médiane de -46,7 % par rapport à la situation initiale). La variation médiane a été plus importante dans le groupe placebo précédent (-51,4 %) que dans le groupe acétate d’eslicarbazépine précédent (-40,4 %). La proportion de patients présentant une exacerbation (hausse de ≥ 25 %) par rapport à la situation initiale était de 14,2 %.
- +Dans les 3 extensions en ouvert (population en intention de traiter N = 148), le taux global de répondeurs était de 26,6% comparé à la situation initiale des périodes III-V (c’est-à-dire les 4 dernières semaines dans la période II). La fréquence médiane des crises était de 2,4 (donnant une variation médiane de -22,9 % par rapport à la situation initiale des périodes III-V). La baisse globale médiane dans la période I a été plus importante chez les patients traités par acétate d’eslicarbazépine (-25,8 %) que chez les patients sous placebo (-16,4 %). La proportion globale de patients présentant une exacerbation (hausse de ≥ 25 %) par rapport à la situation initiale des périodes III-V était de 25,7 %.
- +Sur les 183 patients qui ont participé aux périodes I et II de l’étude jusqu’à leur terme, 152 patients ont été inclus dans la période III. Parmi eux, 65 patients ont reçu de l’acétate d’eslicarbazépine et 87 patients ont reçu un placebo durant la partie en double aveugle de l’étude. 14 patients (9,2 %) ont mené à terme un traitement en ouvert par acétate d’eslicarbazépine sur toute la période V.
- +La raison la plus fréquente d’arrêt de l’étude, toutes périodes confondues, était une demande du promoteur (30 patients dans la période III [19,7 % des patients qui ont été inclus dans la période III], 9 dans la période IV [9,6 % des patients qui ont été inclus dans la période IV], et 43 dans la période V [64,2 % des patients qui ont été inclus dans la période V]).
- +En tenant compte des limitations dûes à des données en ouvert non contrôlées, la réponse à long terme à l’acétate d’eslicarbazépine dans les périodes en ouvert de l’étude était globalement maintenue.
- +La biodisponibilité (AUC et Cmax) de l’eslicarbazépine administrée par voie orale sous forme de comprimé écrasé, mélangé à de la compote de pommes ou dissous dans de l’eau, est comparable à celle d’un comprimé entier.
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-La pharmacocinétique et le métabolisme de l’acétate d’eslicarbazépine ont été évalués chez le sujet sain et le patient insuffisant hépatique modéré après administration per os de doses répétées. En cas d’insuffisance hépatique modérée, la pharmacocinétique de l’acétate d’eslicarbazépine n’est pas modifiée. Aucun ajustement posologique n’est recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (voir rubrique 4.2).
- +La pharmacocinétique et le métabolisme de l’acétate d’eslicarbazépine ont été évalués chez le sujet sain et le patient insuffisant hépatique modéré après administration per os de doses répétées. En cas d’insuffisance hépatique modérée, la pharmacocinétique de l’acétate d’eslicarbazépine n’est pas modifiée. Aucun ajustement posologique n’est recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (voir «Posologie/mode d’emploi»).
-Les métabolites de l’acétate d’eslicarbazépine sont principalement éliminés de la circulation systémique par excrétion rénale. Une étude incluant des patients adultes atteints d’une insuffisance rénale légère à sévère a montré que la clairance est dépendante de la fonction rénale. Le degré d’exposition systémique de l’eslicarbazépine suivant une dose unique de 800 mg était accru de 62 % chez les patients atteints d’une insuffisance rénale légère (CrCl 50-80 ml/min), 2 fois plus élevé chez les patients atteints d’une insuffisance rénale modérée (CrCI 30-49 ml/min) et 2,5 fois plus élevé chez les patients atteints d’une insuffisance rénale sévère (CrCI <30 ml/min) par rapport aux sujets sains (CrCI >80 ml/min). Un ajustement posologique est recommandé chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 6 ans dont la clairance de la créatinine est < 60 ml/min (voir rubrique 4.2).
- +Les métabolites de l’acétate d’eslicarbazépine sont principalement éliminés de la circulation systémique par excrétion rénale. Une étude incluant des patients adultes atteints d’une insuffisance rénale légère à sévère a montré que la clairance est dépendante de la fonction rénale. Le degré d’exposition systémique de l’eslicarbazépine suivant une dose unique de 800 mg était accru de 62 % chez les patients atteints d’une insuffisance rénale légère (CrCl 50-80 ml/min), 2 fois plus élevé chez les patients atteints d’une insuffisance rénale modérée (CrCI 30-49 ml/min) et 2,5 fois plus élevé chez les patients atteints d’une insuffisance rénale sévère (CrCI <30 ml/min) par rapport aux sujets sains (CrCI >80 ml/min). Un ajustement posologique est recommandé chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 6 ans dont la clairance de la créatinine est < 60 ml/min (voir «Posologie/mode d’emploi»).
-Le profil pharmacocinétique de l’acétate d’eslicarbazépine reste inchangé chez le sujet âgé, avec une clairance de la créatinine > 60 ml/min (voir rubrique 4.2).
- +Le profil pharmacocinétique de l’acétate d’eslicarbazépine reste inchangé chez le sujet âgé, avec une clairance de la créatinine > 60 ml/min (voir «Posologie/mode d’emploi»).
- +Toutes les présentations ne sont pas disponibles.
-Novembre 2019
- +Septembre 2022
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