72 Changements de l'information professionelle Zebinix 200 mg |
-povidone K 29/32, croscarmellose sodique (contient < 23 mg de sodium ) et stéarate de magnésium.
- +povidone K 29/32, croscarmellose sodique (correspond à un maximum de 1.2 mg de sodium par comprimé de 200 mg d’acétate d’eslicarbazépine; correspond à un maximum de 4.8 mg de sodium par comprimé de 800 mg d’acétate d’eslicarbazépine) et stéarate de magnésium.
-• en monothérapie dans le traitement de l’épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire chez des adultes avec une épilepsie récemment diagnostiquée;
-• en association chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 6 ans dans le traitement de l’épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire.
- +•en monothérapie dans le traitement de l’épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire chez des adultes avec une épilepsie récemment diagnostiquée;
- +•en association chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 6 ans dans le traitement de l’épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire.
-Zebinix peut être utilisé en monothérapie ou en association à un traitement anticonvulsivant en cours. La dose initiale recommandée est de 400 mg une fois par jour avec augmentation à 800 mg une fois par jour après une ou deux semaines. En fonction de la réponse individuelle, la dose pourra être augmentée jusqu’à une dose maximum de 1 200 mg une fois par jour. En monothérapie, une dose de 1 600 mg une fois par jour pourrait être utilisée chez certains patients (voir «Propriétés/Effets»)
- +Zebinix peut être utilisé en monothérapie ou en association à un traitement anticonvulsivant en cours. La dose initiale recommandée est de 400 mg une fois par jour avec augmentation à 800 mg une fois par jour après une ou deux semaines. En fonction de la réponse individuelle, la dose pourra être
- +augmentée jusqu’à une dose maximum de 1 200 mg une fois par jour. En monothérapie, une dose de 1 600 mg une fois par jour pourrait être utilisée chez certains patients (voir «Propriétés/Effets»)
-- CLCR >60 ml/min : aucun ajustement posologique requis.
-- CLCR 30-60 ml/min : dose initiale de 200 mg (ou 5 mg/kg chez les enfants de plus de 6 ans) une fois par jour ou de 400 mg (ou 10 mg/kg chez les enfants de plus de 6 ans) une fois tous les deux jours pendant 2 semaines, suivie d’une dose de 400 mg (ou 10 mg/kg chez les enfants de plus de 6 ans) une fois par jour. Cependant, la dose peut être augmentée en fonction de la réponse individuelle. La dose doit être arrondie à l'unité de 100 mg la plus proche.
-- CLCR <30 ml/min : l’utilisation du produit n’est pas recommandée chez les patients atteints d’insuffisance rénale sévère en raison de données insuffisantes.
- +-CLCR >60 ml/min : aucun ajustement posologique requis.
- +-CLCR 30-60 ml/min : dose initiale de 200 mg (ou 5 mg/kg chez les enfants de plus de 6 ans) une fois par jour ou de 400 mg (ou 10 mg/kg chez les enfants de plus de 6 ans) une fois tous les deux jours pendant 2 semaines, suivie d’une dose de 400 mg (ou 10 mg/kg chez les enfants de plus de 6 ans) une fois par jour. Cependant, la dose peut être augmentée en fonction de la réponse individuelle. La dose doit être arrondie à l'unité de 100 mg la plus proche.
- +-CLCR <30 ml/min : l’utilisation du produit n’est pas recommandée chez les patients atteints d’insuffisance rénale sévère en raison de données insuffisantes.
-La sécurité et l'efficacité de Zebinix chez les enfants âgés de 6 ans et moins n'ont pas encore été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites aux rubriques «Effets indésirables», «Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique» mais aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée.
- +La sécurité et l'efficacité de Zebinix chez les enfants âgés de 6 ans et moins n'ont pas encore été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites aux rubriques «Effets indésirables»,
- +«Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique» mais aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée.
-Le traitement par Zebinix a été associé à des effets indésirables du système nerveux central (ex. sensations vertigineuses, troubles de l’équilibre et de la coordination, somnolence et fatigue) ainsi que oculaires (ex. diplopie, vision trouble). Ceux-ci pouvant augmenter le risque de survenue de blessures accidentelles (voir « Effets indésirables »).
- +Le traitement par Zebinix a été associé à des effets indésirables du système nerveux central (ex. sensations vertigineuses, troubles de l’équilibre et de la coordination, somnolence et fatigue) ainsi que oculaires (ex. diplopie, vision trouble). Ceux-ci pouvant augmenter le risque de survenue de blessures accidentelles (voir « Effets indésirables »).
-Des cas de réactions cutanées sévères induites par des médicaments incluant le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), de nécrolyse épidermique toxique (NET) et le syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS), pouvant engager le pronostic vital et dont l’issue peut être fatale, ont été rapportés dans l’expérience post-commercialisation avec le traitement par Zebinix. Lors de la prescription, il convient d’informer les patients des signes et symptômes correspondants et de surveiller étroitement les éventuelles réactions cutanées chez ces patients. Si des signes et symptômes suggérant de telles réactions surviennent, Zebinix doit être immédiatement arrêté et un traitement alternatif doit être envisagé (selon la situation). Chez les patients ayant développé de telles réactions, le traitement par Zebinix ne devra à aucun moment être réinstauré.
- +Des cas de réactions cutanées sévères induites par des médicaments incluant le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), de nécrolyse épidermique toxique (NET) et le syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS), pouvant engager le pronostic vital et dont l’issue peut être fatale, ont été rapportés dans l’expérience post- commercialisation avec le traitement par Zebinix. Lors de la prescription, il convient d’informer les patients des signes et symptômes correspondants et de surveiller étroitement les éventuelles réactions cutanées chez ces patients. Si des signes et symptômes suggérant de telles réactions surviennent, Zebinix doit être immédiatement arrêté et un traitement alternatif doit être envisagé (selon la situation). Chez les patients ayant développé de telles réactions, le traitement par Zebinix ne devra à aucun moment être réinstauré.
-Allèle HLA-B* 1502 - chez les sujets d'origine chinoise (Han) ou Thaïlandaise et chez d'autres populations asiatiques.
- +Allèle HLA-B* 1502 chez les sujets d'origine chinoise (Han) ou Thaïlandaise et chez d'autres populations asiatiques.
-La prévalence de l'allèle HLA-A*3101 varie de manière importante selon les populations. L'allèle HLA-A*3101 a une prévalence de 2 à 5 % dans les populations européennes et d'environ 10% dans la population japonaise.
- +La prévalence de l'allèle HLA-A*3101 varie de manière importante selon les populations. L'allèle HLA- A*3101 a une prévalence de 2 à 5 % dans les populations européennes et d'environ 10% dans la population japonaise.
-Une hyponatrémie a été rapportée chez 1,5 % des patients traités par Zebinix. Celle-ci était asymptomatique dans la plupart des cas, mais pouvait également être accompagnée de symptômes cliniques comme une aggravation des crises, une confusion ou une diminution de la conscience. La fréquence de l’hyponatrémie augmentait avec la dose d’acétate d’eslicarbazépine. Chez les patients atteints d’une affection rénale préexistante entraînant une hyponatrémie ou chez les patients recevant un traitement concomitant susceptible d’entraîner une hyponatrémie (ex. diurétiques, desmopressine, carbamazépine), il est recommandé de contrôler le sodium sérique des patients avant et pendant le traitement par Zebinix. De plus, le sodium sérique sera surveillé en cas d’apparition de signes d’hyponatrémie. Le sodium sérique sera également surveillé de manière régulière tout au long du traitement. En cas d’hyponatrémie cliniquement significative, le traitement par Zebinix devra être interrompu.
- +Une hyponatrémie a été rapportée chez 1,5 % des patients traités par Zebinix. Celle-ci était asymptomatique dans la plupart des cas, mais pouvait également être accompagnée de symptômes cliniques comme une aggravation des crises, une confusion ou une diminution de la conscience. La fréquence de l’hyponatrémie augmentait avec la dose d’acétate d’eslicarbazépine. Chez les patients atteints d’une affection rénale préexistante entraînant une hyponatrémie ou chez les patients recevant
- +un traitement concomitant susceptible d’entraîner une hyponatrémie (ex. diurétiques, desmopressine, carbamazépine), il est recommandé de contrôler le sodium sérique des patients avant et pendant le traitement par Zebinix. De plus, le sodium sérique sera surveillé en cas d’apparition de signes d’hyponatrémie. Le sodium sérique sera également surveillé de manière régulière tout au long du traitement. En cas d’hyponatrémie cliniquement significative, le traitement par Zebinix devra être interrompu.
-Des diminutions proportionnelles à la dose des taux sériques de T3 et T4 (libre et total) ont été observées chez des patients prenant de l’acétate d’eslicarbazépine. Ces modifications n’ont pas été associées à d’autres tests de fonction thyroïdienne anormaux qui auraient suggéré une hypothyroïdie. Des tests de fonction thyroïdienne anormaux doivent être évalués cliniquement. Une évaluation régulière de l’état hormonal thyroïdien doit être envisagée pour les patients traités avec de Zebinix, en particulier pour les patients pédiatriques, en raison du risque potentiel d'hypothyroïdie subclinique ou clinique et des effets indésirables à long terme sur le développement qui peuvent se produire par rapport aux changements non détectés de l'état d'hormone thyroïdien.
- +Des diminutions proportionnelles à la dose des taux sériques de T3 et T4 (libre et total) ont été observées chez des patients prenant de l’acétate d’eslicarbazépine. Ces modifications n’ont pas été associées à d’autres tests de fonction thyroïdienne anormaux qui auraient suggéré une hypothyroïdie. Des tests de fonction thyroïdienne anormaux doivent être évalués cliniquement. Une évaluation régulière de l’état hormonal thyroïdien doit être envisagée pour les patients traités avec de Zebinix, en particulier pour les patients pédiatriques, en raison du risque potentiel d'hypothyroïdie subclinique ou
- +clinique et des effets indésirables à long terme sur le développement qui peuvent se produire par rapport aux changements non détectés de l'état d'hormone thyroïdien.
-De rares cas de pancytopénie et d’agranulocytose ont été rapportés durant l’utilisation post-commercialisation chez des patients adultes traités par acétate d’eslicarbazépine. Des cas de leucopénie ont été rapportés dans des études cliniques menées chez des adultes et durant l’utilisation post-commercialisation.
- +De rares cas de pancytopénie et d’agranulocytose ont été rapportés durant l’utilisation post- commercialisation chez des patients adultes traités par acétate d’eslicarbazépine. Des cas de leucopénie ont été rapportés dans des études cliniques menées chez des adultes et durant l’utilisation post-commercialisation.
-In vivo, l’eslicarbazépine a présenté un effet inducteur sur le métabolisme de médicaments qui sont principalement métabolisés par le CYP3A4 (ex. Simvastatine). Ainsi, une augmentation de la dose des médicaments qui sont principalement métabolisés par le CYP3A4 peut être nécessaire en cas d’administration concomitante de Zebinix. In vivo, l’eslicarbazépine est susceptible d’avoir un effet inducteur sur le métabolisme de médicaments qui sont principalement métabolisés par conjugaison avec les UDPglucuronyl transférases. Il est donc possible au cours de l’instauration/de l’arrêt du traitement ou d’un changement de posologie qu’une période de 2 à 3 semaines soit nécessaire pour atteindre le nouveau niveau d’activité enzymatique. Ce délai doit impérativement être pris en compte en cas d’utilisation de Zebinix avant ou associé à d’autres médicaments nécessitant un ajustement posologique du fait de l’administration concomitante avec Zebinix. L’eslicarbazépine a des effets inhibiteurs sur le CYP2C19. De ce fait, des interactions sont possibles en cas d’administration concomitante de Zebinix à forte dose et de produits fortement métabolisés par le CYP2C19 (ex. Phénytoïne).
-Effet de ZEBINIX sur d’autres médicaments
-Phénytoïne
- +In vivo, l’eslicarbazépine a présenté un effet inducteur sur le métabolisme de médicaments qui sont principalement métabolisés par le CYP3A4 (ex. Simvastatine). Ainsi, une augmentation de la dose des médicaments qui sont principalement métabolisés par le CYP3A4 peut être nécessaire en cas d’administration concomitante de Zebinix. In vivo, l’eslicarbazépine est susceptible d’avoir un effet inducteur sur le métabolisme de médicaments qui sont principalement métabolisés par conjugaison avec les UDPglucuronyl transférases. Il est donc possible au cours de l’instauration/de l’arrêt du
- +traitement ou d’un changement de posologie qu’une période de 2 à 3 semaines soit nécessaire pour atteindre le nouveau niveau d’activité enzymatique. Ce délai doit impérativement être pris en compte en cas d’utilisation de Zebinix avant ou associé à d’autres médicaments nécessitant un ajustement posologique du fait de l’administration concomitante avec Zebinix. L’eslicarbazépine a des effets inhibiteurs sur le CYP2C19. De ce fait, des interactions sont possibles en cas d’administration concomitante de Zebinix à forte dose et de produits fortement métabolisés par le CYP2C19 (ex.
- +Phénytoïne).
- +Effet de ZEBINIX sur d’autres médicaments Phénytoïne
-Une étude menée chez des sujets sains a montré que l'administration de simvastatine associée à 800 mg d'acétate d'eslicarbazépine une fois par jour entraînait une diminution moyenne de 50 % de l'exposition systémique à la simvastatine, très probablement à cause d’une induction de CYP3A4. Une augmentation de la dose de simvastatine peut être nécessaire en cas d’utilisation concomitante de Zebinix.
- +Une étude menée chez des sujets sains a montré que l'administration de simvastatine associée à 800 mg d'acétate d'eslicarbazépine une fois par jour entraînait une diminution moyenne de 50 % de l'exposition systémique à la simvastatine, très probablement à cause d’une induction de CYP3A4.
- +Une augmentation de la dose de simvastatine peut être nécessaire en cas d’utilisation concomitante de Zebinix.
-Effet d’autres médicaments sur ZEBINIX
-Carbamazépine
- +Effet d’autres médicaments sur ZEBINIX Carbamazépine
-Il existe des données cliniques limitées concernant l’emploi de l’acétate d’eslicarbazépine chez la femme enceinte. Les expérimentations animales ont révélé une toxicité de reproduction (données plus précises sous la rubrique « Données précliniques »). Un risque chez l’homme (y compris de malformations congénitales majeures, de troubles neurodéveloppementaux et d’autres effets toxiques sur la reproduction) est inconnu.
- +Il existe des données cliniques limitées concernant l’emploi de l’acétate d’eslicarbazépine chez la femme enceinte. Les expérimentations animales ont révélé une toxicité de reproduction (données plus précises sous la rubrique « Données précliniques »). Un risque chez l’homme (y compris de malformations congénitales majeures, de troubles neurodéveloppementaux et d’autres effets toxiques sur la reproduction) est inconnu.
-Chez le nouveau-né
- +Chez le nouveauné
-Zebinix a une mineure à modérée influence sur l’aptitude à la conduite ou l’utilisation de machines.
-Certains patients sont susceptibles de présenter sensations vertigineuses, somnolence ou troubles visuels, en particulier en début de traitement. Il est donc recommandé d’avertir les patients sur la possibilité d’une diminution de leurs capacités physiques et/ou mentales nécessaires à la conduite ou à l'utilisation de machines et il leur est conseillé de pas conduire ni d’utiliser de machines tant que leur aptitude n’a pas été clairement établie.
- +Zebinix a une mineure à modérée influence sur l’aptitude à la conduite ou l’utilisation de machines. Certains patients sont susceptibles de présenter sensations vertigineuses, somnolence ou troubles visuels, en particulier en début de traitement. Il est donc recommandé d’avertir les patients sur la possibilité d’une diminution de leurs capacités physiques et/ou mentales nécessaires à la conduite ou à l'utilisation de machines et il leur est conseillé de pas conduire ni d’utiliser de machines tant que leur aptitude n’a pas été clairement établie.
-Affections hématologiques et du système lymphatique
-Peu fréquents: Anémie
- +Affections hématologiques et du système lymphatique Peu fréquents: Anémie
-Affections du système immunitaire
-Peu fréquents: Hypersensibilité
-Affections endocriniennes
-Peu fréquents: Hypothyroïdie
-Troubles du métabolisme et de la nutrition
-Fréquents: Hyponatrémie, appétit diminué
- +Affections du système immunitaire Peu fréquents: Hypersensibilité
- +Affections endocriniennes Peu fréquents: Hypothyroïdie
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition Fréquents: Hyponatrémie, appétit diminué
-Affections psychiatriques
-Fréquents: Insomnie
- +Affections psychiatriques Fréquents: Insomnie
-Affections de l’oreille et du labyrinthe
-Fréquents: Vertige
- +Affections de l’oreille et du labyrinthe Fréquents: Vertige
-Affections gastro-intestinales
- +Affections gastrointestinales
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Fréquents: Rash
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Fréquents: Rash
-Affections du rein et des voies urinaires
-Peu fréquents: Infection des voies urinaires
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Fréquents: Fatigue, troubles de la marche, asthénie
- +Affections du rein et des voies urinaires Peu fréquents: Infection des voies urinaires
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fréquents: Fatigue, troubles de la marche, asthénie
-Description de certains effets indésirables
-Affections oculaires et du système nerveux
- +Description de certains effets indésirables Affections oculaires et du système nerveux
-Aucun effet indésirable rare, comme une myélosuppression, des réactions anaphylactiques, un lupus érythémateux disséminé ou une arythmie cardiaque grave n’a été observé au cours des études contrôlées contre placebo évaluant l‘efficacité de l’acétate d’eslicarbazépine dans l’épilepsie. Ils ont en revanche été rapportés avec l’usage de l’oxcarbazépine. Leur apparition suite à un traitement par Zebinix n’est donc pas exclue.
- +Aucun effet indésirable rare, comme une myélosuppression, des réactions anaphylactiques, un lupus érythémateux disséminé ou une arythmie cardiaque grave n’a été observé au cours des études contrôlées contre placebo évaluant l‘efficacité de l’acétate d’eslicarbazépine dans l’épilepsie. Ils ont
- +en revanche été rapportés avec l’usage de l’oxcarbazépine. Leur apparition suite à un traitement par Zebinix n’est donc pas exclue.
-Le profil des effets indésirables de l’acétate d’eslicarbazépine est généralement similaire dans tous les groupes d’âge. Dans le groupe des 6 à 11 ans, les effets indésirables les plus fréquents observés chez plus de deux patients traités par acétate d’eslicarbazépine était la diplopie (9,5 %), la somnolence (7,4 %), les sensations vertigineuses (6,3 %), les convulsions (6,3 %) et les nausées (3,2 %) ; dans le groupe des 12 à 18 ans, les effets indésirables les plus fréquents étaient la somnolence (7,4 %), les vomissements (4,2 %), la diplopie (3,2 %) et la fatigue (3,2 %). La sécurité d’emploi de Zebinix chez l’enfant âgé de 6 ans et moins n’a pas été établie à ce jour.
-Le profil de sécurité de l’acétate d’eslicarbazépine était généralement similaire entre les adultes et les patients pédiatriques, sauf en ce qui concerne l’agitation (fréquent, 1,3 %) et la douleur abdominale (fréquent, 2,1 %) qui étaient plus communes chez les enfants que chez les adultes. Dans des études contrôlées contre placebo, les sensations vertigineuses, la somnolence, les vertiges, l’asthénie, les troubles de la marche, les tremblements, l’ataxie, les troubles de l’équilibre, la vision trouble, les diarrhées et le rash étaient moins communs chez les enfants que chez les adultes. La dermatite allergique (peu fréquent, 0,8 %) a été rapportée uniquement dans la population pédiatrique.
- +Le profil des effets indésirables de l’acétate d’eslicarbazépine est généralement similaire dans tous les groupes d’âge. Dans le groupe des 6 à 11 ans, les effets indésirables les plus fréquents observés chez plus de deux patients traités par acétate d’eslicarbazépine était la diplopie (9,5 %), la somnolence (7,4 %), les sensations vertigineuses (6,3 %), les convulsions (6,3 %) et les nausées (3,2
- +%) ; dans le groupe des 12 à 18 ans, les effets indésirables les plus fréquents étaient la somnolence (7,4 %), les vomissements (4,2 %), la diplopie (3,2 %) et la fatigue (3,2 %). La sécurité d’emploi de Zebinix chez l’enfant âgé de 6 ans et moins n’a pas été établie à ce jour.
- +Le profil de sécurité de l’acétate d’eslicarbazépine était généralement similaire entre les adultes et les patients pédiatriques, sauf en ce qui concerne l’agitation (fréquent, 1,3 %) et la douleur abdominale (fréquent, 2,1 %) qui étaient plus communes chez les enfants que chez les adultes. Dans des études contrôlées contre placebo, les sensations vertigineuses, la somnolence, les vertiges, l’asthénie, les troubles de la marche, les tremblements, l’ataxie, les troubles de l’équilibre, la vision trouble, les diarrhées et le rash étaient moins communs chez les enfants que chez les adultes. La dermatite allergique (peu fréquent, 0,8 %) a été rapportée uniquement dans la population pédiatrique.
-L’efficacité de l’acétate d’eslicarbazépine en monothérapie a été démontrée dans une étude contrôlée contre un comparateur (carbamazépine à libération contrôlée), menée en double aveugle et incluant 815 patients adultes randomisés ayant un diagnostic récent d’épilepsie partielle. L’acétate d’eslicarbazépine a été testé aux doses de 800 mg, 1 200 mg et 1 600 mg administrées une fois par jour. Les doses du comparateur actif (carbamazépine à libération contrôlée) ont été de 200 mg, 400 mg et 600 mg, deux fois par jour. Tous les sujets ont été randomisés à la dose la plus faible ; la dose supérieure suivante leur a été attribuée uniquement en cas de crise épileptique. Parmi 815 patients randomisés, 401 patients ont été traités par acétate d’eslicarbazépine une fois par jour (271 patients [67,6 %] ont été maintenus à la dose de 800 mg, 70 patients [17,5 %] à la dose de 1 200 mg et 60 patients [15,0 %] ont été traités à 1 600 mg). Dans l’analyse d’efficacité primaire dans laquelle les abandons ont été considérés comme une absence de réponse, 71,1 % des sujets ont été classés comme n’ayant aucune crise épileptique dans le groupe acétate d’eslicarbazépine et 75,6 % dans le groupe libération contrôlée de carbamazépine pendant la période d’évaluation de 26 semaines (différence moyenne de risque -4,28 %, intervalle de confiance à 95 % : [-10,30 ; 1,74]). L’effet thérapeutique observé durant la période d’évaluation de 26 semaines s’est maintenu pendant 1 an de traitement chez 64,7 % des sujets du groupe acétate d’eslicarbazépine et chez 70,3 % des sujets du groupe carbamazépine à libération contrôlée classés comme n’ayant aucune crise épileptique (différence moyenne de risque -5,46 %, intervalle de confiance à 95 % : [-11,88 ; 0,97]). Dans l’analyse de l’échec thérapeutique (risque de crise épileptique) basée sur l’analyse du délai de survenue d’un événement (analyse de Kaplan-Meier et régression de Cox), l’estimateur de Kaplan-Meier du risque de crise épileptique à la fin de la période d’évaluation a été de 0,06 pour la carbamazépine et 0,12 pour l’acétate d’eslicarbazépine avec une augmentation supplémentaire du risque après un an à 0,11 pour la carbamazépine et 0,19 pour l’acétate d’eslicarbazépine (p=0,0002).
-À un an, la probabilité d’arrêt du médicament en raison d’effets indésirables ou de manque d’efficacité a été de 0,26 pour l’acétate d’eslicarbazépine et de 0,21 pour la libération contrôlée de carbamazépine.
-L’efficacité de l’acétate d’eslicarbazépine dans le cadre de conversion à la monothérapie a été évaluée dans 2 études contrôlées, randomisées et menées en double aveugle chez 365 patients adultes souffrant d’épilepsie partielle. L’acétate d’eslicarbazépine a été testé aux doses de 1 200 mg et 1 600 mg administrées une fois par jour. Les taux d’absence de crises épileptiques durant toute la période de 10 semaines de monothérapie ont été de 7,6 % (1 600 mg) et de 8,3 % (1 200 mg) dans une étude et de 10,0 % (1 600 mg) et 7,4 % (1 200 mg) dans une autre étude.
- +L’efficacité de l’acétate d’eslicarbazépine en monothérapie a été démontrée dans une étude contrôlée contre un comparateur (carbamazépine à libération contrôlée), menée en double aveugle et incluant 815 patients adultes randomisés ayant un diagnostic récent d’épilepsie partielle. L’acétate d’eslicarbazépine a été testé aux doses de 800 mg, 1 200 mg et 1 600 mg administrées une fois par jour. Les doses du comparateur actif (carbamazépine à libération contrôlée) ont été de 200 mg, 400 mg et 600 mg, deux fois par jour. Tous les sujets ont été randomisés à la dose la plus faible ; la dose supérieure suivante leur a été attribuée uniquement en cas de crise épileptique. Parmi 815 patients randomisés, 401 patients ont été traités par acétate d’eslicarbazépine une fois par jour (271 patients [67,6 %] ont été maintenus à la dose de 800 mg, 70 patients [17,5 %] à la dose de 1 200 mg et 60 patients [15,0 %] ont été traités à 1 600 mg). Dans l’analyse d’efficacité primaire dans laquelle les abandons ont été considérés comme une absence de réponse, 71,1 % des sujets ont été classés comme n’ayant aucune crise épileptique dans le groupe acétate d’eslicarbazépine et 75,6 % dans le groupe libération contrôlée de carbamazépine pendant la période d’évaluation de 26 semaines (différence moyenne de risque -4,28 %, intervalle de confiance à 95 % : [-10,30 ; 1,74]). L’effet thérapeutique observé durant la période d’évaluation de 26 semaines s’est maintenu pendant 1 an de
- +traitement chez 64,7 % des sujets du groupe acétate d’eslicarbazépine et chez 70,3 % des sujets du groupe carbamazépine à libération contrôlée classés comme n’ayant aucune crise épileptique (différence moyenne de risque -5,46 %, intervalle de confiance à 95 % : [-11,88 ; 0,97]). Dans l’analyse de l’échec thérapeutique (risque de crise épileptique) basée sur l’analyse du délai de survenue d’un événement (analyse de Kaplan-Meier et régression de Cox), l’estimateur de Kaplan- Meier du risque de crise épileptique à la fin de la période d’évaluation a été de 0,06 pour la carbamazépine et 0,12 pour l’acétate d’eslicarbazépine avec une augmentation supplémentaire du risque après un an à 0,11 pour la carbamazépine et 0,19 pour l’acétate d’eslicarbazépine (p=0,0002). À un an, la probabilité d’arrêt du médicament en raison d’effets indésirables ou de manque d’efficacité a été de 0,26 pour l’acétate d’eslicarbazépine et de 0,21 pour la libération contrôlée de carbamazépine.
- +L’efficacité de l’acétate d’eslicarbazépine dans le cadre de conversion à la monothérapie a été évaluée dans 2 études contrôlées, randomisées et menées en double aveugle chez 365 patients adultes souffrant d’épilepsie partielle. L’acétate d’eslicarbazépine a été testé aux doses de 1 200 mg et 1 600 mg administrées une fois par jour. Les taux d’absence de crises épileptiques durant toute la période de 10 semaines de monothérapie ont été de 7,6 % (1 600 mg) et de 8,3 % (1 200 mg) dans
- +une étude et de 10,0 % (1 600 mg) et 7,4 % (1 200 mg) dans une autre étude.
-La sécurité et l’efficacité de l’acétate d’eslicarbazépine en association pour le traitement des crises partielles chez les sujets âgés ont été évaluées lors d’une étude non contrôlée, d’une durée de 26 semaines, sur 72 personnes (âgées de ≥ 65 ans). Les résultats montrent que l’incidence des effets indésirables dans cette population (65.3 %) est similaire à celle de la population générale analysée lors des études double-aveugle sur l’épilepsie (66.8%). Les effets indésirables individuels les plus fréquents ont été sensations vertigineuses (12.5% des patients), somnolence (9.7%), fatigue, convulsion et hyponatrémie (8.3%, chacun), nasopharyngite (6.9%) et infection des voies respiratoires supérieures (5.6%). Un total de 50 sur 72 individus qui ont commencé l’étude ont terminé le traitement de 26 semaines, ce qui correspond à un taux de maintien de 69,4% (voir «Posologie/mode d’emploi»). Les données disponibles chez la population âgée en monothérapie sont limitées. Seuls quelques sujets (N=27) âgés de plus de 65 ans ont été traités par acétate d’eslicarbazépine dans une étude sur la monothérapie.
- +La sécurité et l’efficacité de l’acétate d’eslicarbazépine en association pour le traitement des crises partielles chez les sujets âgés ont été évaluées lors d’une étude non contrôlée, d’une durée de 26 semaines, sur 72 personnes (âgées de ≥ 65 ans). Les résultats montrent que l’incidence des effets indésirables dans cette population (65.3 %) est similaire à celle de la population générale analysée lors des études double-aveugle sur l’épilepsie (66.8%). Les effets indésirables individuels les plus fréquents ont été sensations vertigineuses (12.5% des patients), somnolence (9.7%), fatigue, convulsion et hyponatrémie (8.3%, chacun), nasopharyngite (6.9%) et infection des voies respiratoires supérieures (5.6%). Un total de 50 sur 72 individus qui ont commencé l’étude ont terminé le traitement de 26 semaines, ce qui correspond à un taux de maintien de 69,4% (voir
- +«Posologie/mode d’emploi»). Les données disponibles chez la population âgée en monothérapie sont limitées. Seuls quelques sujets (N=27) âgés de plus de 65 ans ont été traités par acétate d’eslicarbazépine dans une étude sur la monothérapie.
-L’efficacité et la sécurité de l’acétate d’eslicarbazépine en association pour le traitement des crises partielles chez l’enfant ont été évaluées lors d’une étude de phase II menée chez des enfants âgés de 6 à 16 ans (N=123) et d’une étude de phase III menée chez des enfants âgés de 2 à 18 ans (N=304). Ces deux études étaient en double aveugle et contrôlées contre placebo avec une période d’entretien de respectivement 8 semaines (étude 208) et 12 semaines (étude 305). L’étude 208 a inclus 2 périodes consécutives d’extension en ouvert, à long terme (1 an pour la période II et 2 ans pour la période III) et l’étude 305 a inclus 4 périodes consécutives d’extension en ouvert, à long terme (1 an pour les périodes II, III et IV et 2 ans pour la période V). L’acétate d’eslicarbazépine a été testé à des doses de 20 et 30 mg/kg/jour, jusqu’à un maximum de 1 200 mg/jour. La dose cible était de 30 mg/kg/jour dans l’étude 208 et de 20 mg/kg/jour dans l’étude 305. Les doses pouvaient être ajustées en fonction de la tolérance et de la réponse au traitement.
- +L’efficacité et la sécurité de l’acétate d’eslicarbazépine en association pour le traitement des crises partielles chez l’enfant ont été évaluées lors d’une étude de phase II menée chez des enfants âgés de 6 à 16 ans (N=123) et d’une étude de phase III menée chez des enfants âgés de 2 à 18 ans
- +(N=304). Ces deux études étaient en double aveugle et contrôlées contre placebo avec une période d’entretien de respectivement 8 semaines (étude 208) et 12 semaines (étude 305). L’étude 208 a inclus 2 périodes consécutives d’extension en ouvert, à long terme (1 an pour la période II et 2 ans pour la période III) et l’étude 305 a inclus 4 périodes consécutives d’extension en ouvert, à long terme (1 an pour les périodes II, III et IV et 2 ans pour la période V). L’acétate d’eslicarbazépine a été testé à des doses de 20 et 30 mg/kg/jour, jusqu’à un maximum de 1 200 mg/jour. La dose cible était de 30 mg/kg/jour dans l’étude 208 et de 20 mg/kg/jour dans l’étude 305. Les doses pouvaient être ajustées en fonction de la tolérance et de la réponse au traitement.
-Durant la période en double aveugle de l’étude de phase III, la réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises avec l’acétate d’eslicarbazépine (-18,1 % par rapport à la valeur initiale) était différente du placebo (-8,6 % par rapport à la valeur initiale), mais non statistiquement significative (p=0,2490). 41 patients (30,6 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 40 patients (31,0 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (réduction de la fréquence standardisée des crises ≥50 %), ce qui représente une différence non significative (p = 0,9017). Des analyses post-hoc de sous-groupes pour l’étude de phase III ont été conduites par tranches d’âge et chez des patients de plus de 6 ans, ainsi que par dose. Chez les enfants de plus de 6 ans, 36 patients (35,0 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 29 patients (30,2 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (p = 0,4759) et la réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises était plus élevée dans le groupe acétate d’eslicarbazépine par rapport au groupe placebo (-24,4 % contre -10,5 %) ; cependant, la différence de 13,9 % n’était pas statistiquement significative (p = 0,1040). Au total, 39 % des patients de l’étude 305 ont bénéficié d’un ajustement à la dose maximale possible (30 mg/kg/jour). Parmi eux, en excluant les patients âgés de 6 ans et moins, 14 patients (48,3 %) du groupe acétate d’eslicarbazépine et 11 patients (30,6 %) du groupe placebo étaient répondeurs (p = 0,1514). Malgré la solidité limitée de ces analyses post-hoc de sous-groupes, les données suggèrent une augmentation de la taille de l’effet dépendant de l’âge et de la dose.
-Dans l’extension en ouvert de 1 an (période II) de l’étude de phase III (population en intention de traiter N = 225), le taux global de répondeurs était de 46,7 % (en constante augmentation de 44,9 % (semaines 1-4) à 57,5 % (semaines > 40)). La fréquence médiane des crises était de 6,1 (passant de 7,0 (semaines 1-4) à 4,0 (semaines > 40), donnant une variation médiane de -46,7 % par rapport à la situation initiale). La variation médiane a été plus importante dans le groupe placebo précédent (-51,4 %) que dans le groupe acétate d’eslicarbazépine précédent (-40,4 %). La proportion de patients présentant une exacerbation (hausse de ≥ 25 %) par rapport à la situation initiale était de 14,2 %.
-Dans les 3 extensions en ouvert (population en intention de traiter N = 148), le taux global de répondeurs était de 26,6% comparé à la situation initiale des périodes III-V (c’est-à-dire les 4 dernières semaines dans la période II). La fréquence médiane des crises était de 2,4 (donnant une variation médiane de -22,9 % par rapport à la situation initiale des périodes III-V). La baisse globale médiane dans la période I a été plus importante chez les patients traités par acétate d’eslicarbazépine (-25,8 %) que chez les patients sous placebo (-16,4 %). La proportion globale de patients présentant une exacerbation (hausse de ≥ 25 %) par rapport à la situation initiale des périodes III-V était de 25,7 %.
-Sur les 183 patients qui ont participé aux périodes I et II de l’étude jusqu’à leur terme, 152 patients ont été inclus dans la période III. Parmi eux, 65 patients ont reçu de l’acétate d’eslicarbazépine et 87 patients ont reçu un placebo durant la partie en double aveugle de l’étude. 14 patients (9,2 %) ont mené à terme un traitement en ouvert par acétate d’eslicarbazépine sur toute la période V.
- +Durant la période en double aveugle de l’étude de phase III, la réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises avec l’acétate d’eslicarbazépine (-18,1 % par rapport à la valeur initiale) était différente du placebo (-8,6 % par rapport à la valeur initiale), mais non statistiquement significative (p=0,2490). 41 patients (30,6 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 40 patients (31,0 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (réduction de la fréquence standardisée des crises ≥50 %), ce qui représente une différence non significative (p
- += 0,9017). Des analyses post-hoc de sous-groupes pour l’étude de phase III ont été conduites par tranches d’âge et chez des patients de plus de 6 ans, ainsi que par dose. Chez les enfants de plus de 6 ans, 36 patients (35,0 %) dans le groupe acétate d’eslicarbazépine contre 29 patients (30,2 %) dans le groupe placebo étaient répondeurs (p = 0,4759) et la réduction moyenne (méthode des moindres carrés) de la fréquence standardisée des crises était plus élevée dans le groupe acétate d’eslicarbazépine par rapport au groupe placebo (-24,4 % contre -10,5 %) ; cependant, la différence de 13,9 % n’était pas statistiquement significative (p = 0,1040). Au total, 39 % des patients de l’étude 305 ont bénéficié d’un ajustement à la dose maximale possible (30 mg/kg/jour). Parmi eux, en excluant les patients âgés de 6 ans et moins, 14 patients (48,3 %) du groupe acétate d’eslicarbazépine et 11 patients (30,6 %) du groupe placebo étaient répondeurs (p = 0,1514). Malgré la solidité limitée de ces analyses post-hoc de sous-groupes, les données suggèrent une augmentation de la taille de l’effet dépendant de l’âge et de la dose.
- +Dans l’extension en ouvert de 1 an (période II) de l’étude de phase III (population en intention de traiter N = 225), le taux global de répondeurs était de 46,7 % (en constante augmentation de 44,9 %
- +(semaines 1-4) à 57,5 % (semaines > 40)). La fréquence médiane des crises était de 6,1 (passant de 7,0 (semaines 1-4) à 4,0 (semaines > 40), donnant une variation médiane de -46,7 % par rapport à la situation initiale). La variation médiane a été plus importante dans le groupe placebo précédent (- 51,4 %) que dans le groupe acétate d’eslicarbazépine précédent (-40,4 %). La proportion de patients présentant une exacerbation (hausse de ≥ 25 %) par rapport à la situation initiale était de 14,2 %.
- +Dans les 3 extensions en ouvert (population en intention de traiter N = 148), le taux global de répondeurs était de 26,6% comparé à la situation initiale des périodes III-V (c’est-à-dire les
- +4 dernières semaines dans la période II). La fréquence médiane des crises était de 2,4 (donnant une variation médiane de -22,9 % par rapport à la situation initiale des périodes III-V). La baisse globale médiane dans la période I a été plus importante chez les patients traités par acétate d’eslicarbazépine (-25,8 %) que chez les patients sous placebo (-16,4 %). La proportion globale de patients présentant une exacerbation (hausse de ≥ 25 %) par rapport à la situation initiale des périodes III-V était de 25,7 %.
- +Sur les 183 patients qui ont participé aux périodes I et II de l’étude jusqu’à leur terme, 152 patients ont été inclus dans la période III. Parmi eux, 65 patients ont reçu de l’acétate d’eslicarbazépine et
- +87 patients ont reçu un placebo durant la partie en double aveugle de l’étude. 14 patients (9,2 %) ont mené à terme un traitement en ouvert par acétate d’eslicarbazépine sur toute la période V.
-Cinétique pour certains groupes de patients
-Troubles de la fonction hépatique
- +Cinétique pour certains groupes de patients Troubles de la fonction hépatique
-Des troubles de la fertilité ont été observés chez le rongeur ; des baisses du nombre d’implantation et d’embryons vivants constatées lors de l’étude de fertilité chez la souris peuvent indiquer des effets sur la fertilité des femelles et des males. Dans des études sur la fertilité chez la souris, l’acétate d’eslicarbazépine a été administré oralement à des doses de 150, 350 et 650 mg/kg/jour. Une diminution liée à la dose du nombre d’implantations et du nombre d’embryons vivants a été observée à toutes les doses et, en l’absence de dénombrement précis des corps jaunes, pourrait avoir été le résultat d’une embryotoxicité ou de l’altération de la fertilité féminine ou masculine. Dans une étude menée chez des rats à des doses de 65, 125 et 250 mg/kg/jour, un allongement des cycles œstraux et une diminution de la fertilité, de la performance d'accouplement et des paramètres de grossesse (nombre de corps jaunes, d'implantations et de fœtus vivants) ont été observés à 250 mg/kg/jour, une dose toxique pour la mère. Les testicules ont également été affectés dans des études menées sur des animaux. Chez le chien, une diminution du poids absolu, mais non relatif, des testicules a été observé chez les animaux exposés à des doses élevées dans l’étude sur 12 mois ; il n'y avait pas de corrélation histologique et on peut conclure que cela n’a pas de signification toxicologique. Un effet sur les testicules (dégénération de l’épithélium germinatif et aspermie de l’épididyme) a été observé durant l’étude de cancérogénèse. Ces changements peuvent être associés à une altération de l’état hormonal, puisque les changements dans les taux circulants d’hormones sexuelles sont couramment observés dans des études toxicologiques où le foie est l’organe cible. Dans des études orales menées chez des souris, rattes et lapines gravides, l’acétate d’eslicarbazépine a montré une toxicité développementale à des doses cliniquement pertinentes, y compris une incidence accrue de malformations (souris), des variations squelettiques (lapin et rat), une embryolétalité (rat) et un retard de croissance du fœtus (toutes les espèces). Un retard du développement sexuel de la génération F1 a été observé dans des études péri-postnatales chez la souris et le rat.
- +Des troubles de la fertilité ont été observés chez le rongeur ; des baisses du nombre d’implantation et d’embryons vivants constatées lors de l’étude de fertilité chez la souris peuvent indiquer des effets sur la fertilité des femelles et des males. Dans des études sur la fertilité chez la souris, l’acétate d’eslicarbazépine a été administré oralement à des doses de 150, 350 et 650 mg/kg/jour. Une diminution liée à la dose du nombre d’implantations et du nombre d’embryons vivants a été observée à toutes les doses et, en l’absence de dénombrement précis des corps jaunes, pourrait avoir été le résultat d’une embryotoxicité ou de l’altération de la fertilité féminine ou masculine. Dans une étude menée chez des rats à des doses de 65, 125 et 250 mg/kg/jour, un allongement des cycles œstraux et une diminution de la fertilité, de la performance d'accouplement et des paramètres de grossesse
- +(nombre de corps jaunes, d'implantations et de fœtus vivants) ont été observés à 250 mg/kg/jour, une dose toxique pour la mère. Les testicules ont également été affectés dans des études menées sur des animaux. Chez le chien, une diminution du poids absolu, mais non relatif, des testicules a été observé chez les animaux exposés à des doses élevées dans l’étude sur 12 mois ; il n'y avait pas de corrélation histologique et on peut conclure que cela n’a pas de signification toxicologique. Un effet sur les testicules (dégénération de l’épithélium germinatif et aspermie de l’épididyme) a été observé durant l’étude de cancérogénèse. Ces changements peuvent être associés à une altération de l’état hormonal, puisque les changements dans les taux circulants d’hormones sexuelles sont couramment observés dans des études toxicologiques où le foie est l’organe cible. Dans des études orales menées chez des souris, rattes et lapines gravides, l’acétate d’eslicarbazépine a montré une toxicité développementale à des doses cliniquement pertinentes, y compris une incidence accrue de malformations (souris), des variations squelettiques (lapin et rat), une embryolétalité (rat) et un retard de croissance du fœtus (toutes les espèces). Un retard du développement sexuel de la génération F1 a été observé dans des études péri-postnatales chez la souris et le rat.
-Zebinix 200 mg : Plaquettes en PVC/Aluminium dans des boîtes de 20 ou 60 comprimés (sécables).
-Zebinix 800 mg : Plaquettes en PVC/Aluminium dans des boîtes de 20, 30 ou 90 comprimés (sécables).
- +Zebinix 200 mg : Plaquettes en PVC/Aluminium dans des boîtes de 20 ou 60 comprimés (sécables). Zebinix 800 mg : Plaquettes en PVC/Aluminium dans des boîtes de 20, 30 ou 90 comprimés (sécables).
-Janvier 2023
- +Novembre 2024
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