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Accueil - Information professionnelle sur Koselugo 10 mg - Changements - 21.05.2025
48 Changements de l'information professionelle Koselugo 10 mg
  • -D’après les études cliniques, aucun ajustement posologique n’est recommandé chez les patients atteints d’insuffisance hépatique légère. Chez les patients atteints d’insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh B), la dose de départ doit être réduite à 20 mg/m2 de SC, deux fois par jour. Koselugo est contreindiqué chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C) (voir Cinétique pour certains groupes de patients - Troubles de la fonction hépatique).
  • +D’après les études cliniques, aucun ajustement posologique n’est recommandé chez les patients atteints d’insuffisance hépatique légère. Chez les patients atteints d’insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh B), la dose de départ doit être réduite à 20 mg/m2 de SC, deux fois par jour. Koselugo n’est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C) (voir Cinétique pour certains groupes de patients - Troubles de la fonction hépatique).
  • -Une diminution asymptomatique de la fraction d’éjection a été rapportée chez 22% des patients pédiatriques dans l’étude clinique pivot (voir Effets indésirables). Le délai médian de survenue initiale de ces effets indésirables était de 226 jours.
  • +Une diminution asymptomatique de la fraction d’éjection a été rapportée chez 26% des patients pédiatriques dans l’étude clinique pivot (voir Effets indésirables). Le délai médian de survenue initiale de ces effets indésirables était de 232 jours.
  • -Des cas de rash cutané (y compris rash maculopapuleux et rash acnéiforme), de périonyxis et de troubles pileux ont été rapportés très fréquemment dans l’étude clinique pivot (voir la rubrique Effets indésirables). Les cas de rash pustuleux, de modification de la couleur des cheveux ou des poils et de sécheresse cutanée ont été observés plus fréquemment chez les enfants plus jeunes (âgés de 3 à 11 ans) et les cas de rash acnéiforme plus fréquemment chez les enfants pubères (âgés de 12 à 16 ans).
  • +Des cas de rash cutané (y compris rash maculopapuleux et rash acnéiforme), de périonyxis et de troubles pileux ont été rapportés très fréquemment dans l’étude clinique pivot (voir la rubrique Effets indésirables). Les cas de sécheresse cutanée, de modification de la couleur des cheveux ou des poils, de périonyxis et de rash maculopapuleux ont été observés plus fréquemment chez les enfants plus jeunes (âgés de 3 à 11 ans) et les cas de rash acnéiforme plus fréquemment chez les enfants pubères (âgés de 12 à 16 ans).
  • -Ce «pool» de patients pédiatriques comprenait 50 patients de la strate I de la phase II de l’étude SPRINT et 24 patients de la phase I de l’étude SPRINT.
  • -La durée totale médiane du traitement par sélumétinib chez les patients pédiatriques présentant une NF1 et ayant des NFP était de 28 mois (minmax: < 1–71 mois), et 23% des patients ont été exposés au traitement par sélumétinib pendant > 48 mois.
  • -Dans le pool pédiatrique (N = 74), les effets indésirables les plus fréquents, tous grades confondus (fréquence ≥ 10%), étaient des vomissements (82%), des rashs (tous types)* (80%), des douleurs abdominales (78%), des diarrhées (77%), une augmentation de la CPK dans le sang (76%), des nausées (73%), des événements asthéniques (59%), une sécheresse cutanée (58%), de la fièvre (57%), des rashs (acnéiformes)* (54%), une hypoalbuminémie (50%), une augmentation de l’AST (50%), un périonyxis (45%), une réduction de l’hémoglobine (45%), un prurit (42%), des troubles pileux* (39%), une stomatite (38%), une augmentation de l’ALT (36%), une constipation (34%), une dermatite (34%), une épistaxis (30%), une augmentation de la créatinine dans le sang (28%), une tachycardie sinusinale (26%), une hématurie (24%), une diminution de la fraction d’éjection (23%), une protéinurie (23%), une infection cutanée (22%), une élévation de la pression artérielle* (16%) et des œdèmes périphériques* (12%).
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés de grade ≥ 3 étaient des diarrhées (15%), un périonyxis (9%), une augmentation de la CPK dans le sang (9%), de la fièvre (8%), des vomissements (8%), des rashs (tous types) (5%), des rashs (acnéiformes) (3%), une réduction de l’hémoglobine (3%), une augmentation de l’ALT (3%), une dermatite (3%), une infection cutanée (3%), des douleurs abdominales (1%), des nausées (1%), une stomatite (1%), une augmentation de l’AST (1%), une augmentation de la créatinine dans le sang (1%), une hématurie (1%) et une diminution de la fraction d’éjection (1%).
  • -Des interruptions de traitement et des réductions de dose en raison d’effets indésirables ont été rapportées respectivement chez 80% et 24% des patients. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés qui ont nécessité une modification de la dose de sélumétinib étaient des vomissements (24%), un périonyxis (14%), des diarrhées (12%) et des nausées (10%). Un arrêt définitif du traitement en raison d’effets indésirables a été rapporté chez 12% des patients.
  • +Ce «pool» de patients pédiatriques comprenait 50 patients de la strate 1 de la phase II de l’étude SPRINT et 24 patients de la phase I de l’étude SPRINT.
  • +La durée totale médiane du traitement par sélumétinib chez les patients pédiatriques présentant une NF1 et ayant des NFP était de 55 mois (minmax: < 1–97 mois), et 61% des patients ont été exposés au traitement par sélumétinib pendant > 48 mois et chez 16% des patients pendant > 72 mois.
  • +Dans le pool pédiatrique (N = 74), les effets indésirables les plus fréquents, tous grades confondus (fréquence ≥ 10%), étaient des vomissements (86%), des diarrhées (81%), des douleurs abdominales (78%), une augmentation de la CPK dans le sang (77%), des nausées (77%), une sécheresse cutanée (65%), de la fièvre (61%), des rashs (acnéiformes)* (61%), des événements asthéniques (59%), un périonyxis (57%), une stomatite (55%), une réduction de l’hémoglobine (54%), des rashs non-acnéiformes (53%), une hypoalbuminémie (51%), une augmentation de l’AST (51%), un prurit (42%), des troubles pileux* (39%), une augmentation de l’ALT (39%), une constipation (34%), une dermatite (34%), une augmentation de la créatinine dans le sang (32%), des œdèmes périphériques* (31%), une épistaxis (30%), une diminution de la fraction d’éjection (28%), une tachycardie sinusinale (26%), une hématurie (24%), une protéinurie (23%), une infection cutanée (22%), une élévation de la pression artérielle* (18%) et une vision trouble (15%).
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés de grade ≥ 3 étaient des diarrhées (15%), un périonyxis (14%), une augmentation de la CPK dans le sang (9%), des vomissements (9%), de la fièvre (8%), des rashs (acnéiformes) (4%), une réduction de l’hémoglobine (3%), une augmentation de l’ALT (3%), une dermatite (3%), une infection cutanée (3%), des rashs (non-acnéiformes) (3%), des nausées (3%), des douleurs abdominales (1%), une stomatite (1%), une augmentation de l’AST (1%), une augmentation de la créatinine dans le sang (1%), une hématurie (1%), une sécheresse cutanée (1%) et une diminution de la fraction d’éjection (1%).
  • +Des interruptions de traitement et des réductions de dose en raison d’effets indésirables ont été rapportées respectivement chez 80% et 24% des patients. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés qui ont nécessité une modification de la dose de sélumétinib étaient des vomissements (32%), un périonyxis (23%), des nausées (19%), des diarrhées (15%) et de la fièvre (11%). Un arrêt définitif du traitement en raison d’effets indésirables a été rapporté chez 12% des patients.
  • -Le Tableau 6 présente les effets indésirables rapportés dans la population pédiatrique présentant une NF1 et ayant des NFP inopérables et dans la population adulte (voir la note en dessous du Tableau 6). La fréquence est déterminée d’après le pool des données pédiatriques (N = 74).
  • +Le Tableau 6 présente les effets indésirables rapportés dans la population pédiatrique présentant une NF1 et ayant des NFP inopérables et dans la population adulte (voir la note en dessous du Tableau 6). La fréquence est déterminée d’après le pool des données pédiatriques (N = 74), comprenant 50 patients du pool de patients de la strate 1 de la phase II de l’étude pivot SPRINT et 24 patients du pool de la phase I de l’étude SPRINT de soutien.
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique Réduction de l’hémoglobine* Très fréquents (45%) [3%]
  • -Affections cardiaques Diminution de la fraction d’éjection^ Très fréquents (23%) [1%]
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Réduction de l’hémoglobine* Très fréquents (54%) [3%]
  • +Affections cardiaques Diminution de la fraction d’éjection^ Très fréquents (28%) [1%]
  • -Affections oculaires Vision trouble ^ Fréquents [-**]
  • +Affections oculaires Vision trouble ^ Très fréquents (15%) [-**]
  • -Affections gastro-intestinales Vomissements^ Très fréquents (82%) [8%]
  • +Affections gastro-intestinales Vomissements^ Très fréquents (86%) [9%]
  • -Diarrhées^ Très fréquents (77%) [15%]
  • -Nausées^ Très fréquents (73%) [1%]
  • -Stomatite^ Très fréquents (38%) [1%]
  • +Diarrhées^ Très fréquents (81%) [15%]
  • +Nausées^ Très fréquents (77%) [3%]
  • +Stomatite^ Très fréquents (55%) [1%]
  • -Troubles généraux Événements asthéniques* Très fréquents (59%) [-**]
  • -Fièvre Très fréquents (57%) [8%]
  • -Œdème périphérique* Très fréquents (12%) [-**]
  • +Troubles généraux Fièvre Très fréquents (61%) [8%]
  • +Événements asthéniques* Très fréquents (59%) [-**]
  • +Œdème périphérique* Très fréquents (31%) [-**]
  • -Affections hépatobiliaires AST augmentée Très fréquents (50%) [1%]
  • -ALT augmentée Très fréquents (36%) [3%]
  • +Affections hépatobiliaires AST augmentée Très fréquents (51%) [1%]
  • +ALT augmentée Très fréquents (39%) [3%]
  • -Investigations Augmentation de la CPK dans le sang^ Très fréquents (76%) [9%]
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition Hypoalbuminémie Très fréquents (50%) [-**]
  • -Affections du rein et des voies urinaires Augmentation de la créatinine dans le sang Très fréquents (28%) [1%]
  • +Investigations Augmentation de la CPK dans le sang^ Très fréquents (77%) [9%]
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition Hypoalbuminémie Très fréquents (51%) [-**]
  • +Affections du rein et des voies urinaires Augmentation de la créatinine dans le sang Très fréquents (32%) [1%]
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané Rash (tous types)^* Très fréquents (80%) [5%]
  • -Sécheresse de la peau Très fréquents (58%) [-**]
  • -Rash (acnéiformes)^* Très fréquents (54%) [3%]
  • -Périonyxis^ Très fréquents (45%) [9%]
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Sécheresse de la peau Très fréquents (65%) [1%]
  • +Rash (acnéiforme)^* Très fréquents (61%) [4%]
  • +Périonyxis^ Très fréquents (57%) [14%]
  • +Rash (nonacnéiforme)^* Très fréquents (53%) [3%]
  • -Affections vasculaires Élévation de la pression artérielle* Très fréquents (16%) [-**]
  • +Affections vasculaires Élévation de la pression artérielle* Très fréquents (18%) [-**]
  • -Œdème périphérique: œdème périphérique, œdème
  • -Rash (acnéiformes): dermatite acnéiforme
  • -Rash (tous types): dermatite acnéiforme, exanthème maculopapuleux, exanthème papuleux, exanthème, exanthème érythémateux, exanthème maculeux
  • +Œdème périphérique: œdème périphérique, œdème, œdème localisé, gonflement périphérique
  • +Rashs (non-acnéiformes): rash prurigineux, rash maculopapuleux, rash papuleux, rash cutané, rash érythémateux, rash maculeux
  • -Dans la strate 1 de l’étude de phase II SPRINT, une réduction de la FEVG (PT: fraction d’éjection diminuée) a été rapportée chez 11 (22%) patients; tous les cas étaient de grade 2, asymptomatiques, et n’ont entraîné aucune réduction de dose ni aucun arrêt du traitement. Sur ces 11 patients, 6 patients se sont rétablis et l’issue n’a pas été rapportée pour les 5 autres patients. Le délai médian de première survenue de la réduction de la FEVG était de 226 jours (durée médiane: 78 jours). Concernant la majorité des réductions de la FEVG rapportées, il s’agissait d’une réduction de la valeur par rapport à la valeur initiale (réduction ≥ 10%). Cependant, les valeurs étaient considérées comme étant toujours comprises dans l’intervalle normal. Les patients présentant initialement une FEVG en dessous de la LLN de l’établissement n’ont pas été inclus dans l’étude pivot. En outre, 2 cas graves de réduction de la FEVG associés au sélumétinib ont été rapportés chez des patients pédiatriques ayant participé à un programme d’accès élargi. Pour le traitement clinique d’une diminution de la FEVG, voir les rubriques Posologie et mode d’emploi et Mises en garde et précautions.
  • +Dans la strate 1 de l’étude de phase II SPRINT, une réduction de la FEVG (PT: fraction d’éjection diminuée) a été rapportée chez 13 (26%) patients; tous les cas étaient de grade 2, asymptomatiques, et n’ont entraîné aucun arrêt du traitement; un cas a mené à une interruption du traitement suivie d’une réduction de dose. Sur ces 13 patients, 11 patients se sont rétablis et l’issue n’a pas été rapportée pour les 2 autres patients. Le délai médian de première survenue de la réduction de la FEVG était de 232 jours (durée médiane: 252 jours). Concernant la majorité des réductions de la FEVG rapportées, il s’agissait d’une réduction de la valeur par rapport à la valeur initiale (réduction ≥ 10%). Cependant, les valeurs étaient considérées comme étant toujours comprises dans l’intervalle normal. Les patients présentant initialement une FEVG en dessous de la LLN de l’établissement n’ont pas été inclus dans l’étude pivot. En outre, un faible nombre de cas graves de réduction de la FEVG associés au sélumétinib ont été rapportés chez des patients pédiatriques ayant participé à un programme d’accès élargi. Pour le traitement clinique d’une diminution de la FEVG, voir les rubriques Posologie et mode d’emploi et Mises en garde et précautions.
  • -Dans la strate 1 de l’étude de phase II SPRINT, des effets secondaires de grades 1 et 2 à type de vision trouble ont été rapportés chez 4 (8%) patients. Chez deux patients, il a fallu interrompre le traitement. Tous les effets indésirables ont été traités sans réduction de dose. Pour le traitement clinique de troubles de la vision nouvellement survenus, voir les rubriques Posologie et mode d’emploi et Mises en garde et précautions. De plus, un événement secondaire isolé se traduisant par une DEPR a été signalé chez un patient pédiatrique sous monothérapie par sélumétinib (25 mg/m2 deux fois par jour) dans le cadre d’une étude pédiatrique sponsorisée de manière externe portant sur le traitement d’un astrocytome pilocytique avec présence de la voie de signalisation optique (voir les rubriques Posologie/Mode d’emploi et Mises en garde et précautions).
  • +Dans la strate 1 de l’étude de phase II SPRINT, des effets secondaires de grades 1 et 2 à type de vision trouble ont été rapportés chez 7 (14%) patients. Chez deux patients, il a fallu interrompre le traitement. Tous les effets indésirables ont été traités sans réduction de dose. Pour le traitement clinique de troubles de la vision nouvellement survenus, voir les rubriques Posologie et mode d’emploi et Mises en garde et précautions. De plus, un événement secondaire isolé se traduisant par une DEPR a été signalé chez un patient pédiatrique sous monothérapie par sélumétinib (25 mg/m2 deux fois par jour) dans le cadre d’une étude pédiatrique sponsorisée de manière externe portant sur le traitement d’un astrocytome pilocytique avec présence de la voie de signalisation optique (voir les rubriques Posologie/Mode d’emploi et Mises en garde et précautions).
  • -Dans la strate 1 de l’étude de phase II SPRINT, un périonyxis a été rapporté chez 23 (46%) patients; le délai médian de première survenue d’un effet indésirable de périonyxis de grade maximum était de 306 jours et la durée médiane des effets indésirables était de 96 jours. La majorité de ces effets indésirables étaient de grade 1 ou 2 et ont été traités par un traitement supportif ou symptomatique et une réduction de la dose. Des événements de grade ≥ 3 sont survenus chez 3 (6%) patients. Sept patients ont interrompu l’administration de sélumétinib en raison d’effets indésirables de périonyxis; cette interruption du traitement ayant pour 3 d’entre eux été suivie d’une réduction de dose (2 patients ont eu besoin d’une seconde réduction de dose). Chez un patient (2%), l’événement a conduit à l’arrêt du traitement.
  • +Dans la strate 1 de l’étude de phase II SPRINT, un périonyxis a été rapporté chez 28 (56%) patients; le délai médian de première survenue d’un effet indésirable de périonyxis de grade maximum était de 423 jours et la durée médiane des effets indésirables était de 51 jours. La majorité de ces effets indésirables étaient de grade 1 ou 2 et ont été traités par un traitement supportif ou symptomatique et une réduction de la dose. Des événements de grade ≥ 3 sont survenus chez 4 (8%) patients. Dix patients ont interrompu l’administration de sélumétinib en raison d’effets indésirables de périonyxis; cette interruption du traitement ayant pour 5 d’entre eux été suivie d’une réduction de dose (2 patients ont eu besoin d’une seconde réduction de dose). Chez un patient (2%), l’événement a conduit à l’arrêt du traitement.
  • -Des effets indésirables causés par une élévation de la CPK sanguine sont survenus chez 76% des patients dans l’étude SPRINT. Le délai médian de première survenue de l’augmentation de la CPK de grade maximum était de 106 jours et la durée médiane des effets indésirables était de 126 jours. La majorité des effets indésirables étaient de grade 1 ou 2 et ont disparu sans devoir modifier la dose de sélumétinib. Des événements de grade ≥ 3 sont survenus chez 3 (6%) patients. Un effet indésirable de grade 4 a conduit à l’interruption du traitement et ensuite à une réduction de la dose.
  • +Des effets indésirables causés par une élévation de la CPK sanguine sont survenus chez 39 (78%) patients dans l’étude SPRINT. Le délai médian de première survenue de l’augmentation de la CPK de grade maximum était de 112 jours et la durée médiane des effets indésirables était de 153 jours. La majorité des effets indésirables étaient de grade 1 ou 2 et ont disparu sans devoir modifier la dose de sélumétinib. Des événements de grade ≥ 3 sont survenus chez 3 (6%) patients. Un effet indésirable de grade 4 a conduit à une interruption du traitement suivie d’une réduction de la dose.
  • -Les effets du traitement sur le système gastro-intestinal (GI) les plus fréquents étaient les vomissements (82%), les diarrhées (70%), les nausées (66%) et les stomatites (50%). La majorité de ces cas étaient de grade 1 ou 2 et n’ont pas nécessité d’interruption de traitement ni de réduction de la dose.
  • -Des effets indésirables de grade 3 ont été rapportés pour les diarrhées (16%), les nausées (2%) et les vomissements (6%). Chez un patient, les diarrhées ont conduit à une réduction de la dose, puis à l’arrêt du traitement. Aucune réduction de dose ni aucun arrêt de traitement n’a été nécessaire pour les effets indésirables nausées, vomissements ou stomatite. Aucun effet de grade ≥4 n’a été rapporté.
  • +Les effets du traitement sur le système gastro-intestinal (GI) les plus fréquents étaient les vomissements (43 patients, 86%), les diarrhées (37 patients, 74%), les nausées (36 patients, 72%) et les stomatites (26 patients, 52%). La majorité de ces cas étaient de grade 1 ou 2 et n’ont pas nécessité d’interruption de traitement ni de réduction de la dose.
  • +Des effets indésirables de grade 3 ont été rapportés pour les diarrhées (8 patients, 16%), les nausées (2 patients, 4%) et les vomissements (4 patients, 8%). Chez un patient, les diarrhées ont conduit à une réduction de la dose, puis à l’arrêt du traitement. Aucune réduction de dose ni aucun arrêt de traitement n’a été nécessaire pour les effets indésirables nausées, vomissements ou stomatite. Aucun effet de grade ≥4 n’a été rapporté.
  • -Dans le cadre de l’étude SPRINT, un rash acnéiforme a été observé chez 25 (50%) patients (délai médian de survenue: 13 jours; durée médiane de 60 jours pour l’événement de grade CTCAE maximum). La majorité de ces cas étaient de grade 1 ou 2 et ont été observés chez des patients pubères (> 12 ans) et n’ont pas nécessité d’interruption de traitement ni de réduction de la dose. Des effets indésirables de grade 3 ont été rapportés chez 4% des patients.
  • -D’autres cas de rash (non acnéiformes) ont été observés chez 35 (70%) patients dans l’étude pivot et étaient principalement de grade 1 ou 2.
  • +Dans le cadre de l’étude SPRINT, un rash acnéiforme a été observé chez 28 (56%) patients (délai médian de survenue: 43 jours; durée médiane de 202 jours pour l’événement de grade CTCAE maximum). La majorité de ces cas étaient de grade 1 ou 2 et ont été observés chez des patients pubères (> 12 ans) et n’ont pas nécessité d’interruption de traitement ni de réduction de la dose. Des effets indésirables de grade 3 ont été rapportés chez 3 patients (6%).
  • +D’autres cas de rashs (non acnéiformes) ont été observés chez 27 (54%) patients dans l’étude pivot et étaient principalement de grade 1 ou 2.
  • -Dans le cadre de l’étude SPRINT, 32% des patients ont présenté des troubles pileux (rapportés comme un éclaircissement des cheveux ou des poils [PT: modification de la couleur des cheveux ou des poils] et comme une chute des cheveux ou de poils (PT: alopécie]). Dans le pool pédiatrique, au cours du traitement, chez 13 patients sur 74 (18%), ces deux effets indésirables sont survenus; chez 22 patients (30%), on a observé au moins un effet indésirable prenant la forme d’une alopécie, et chez 20 patients (27%), on a observé au moins un cas de modification de la couleur des cheveux ou des poils. Tous les cas étaient de grade 1 et n’ont pas nécessité d’interruption de traitement ni de réduction de la dose.
  • +Dans le cadre de l’étude SPRINT, 16 patients (32%) ont présenté des troubles pileux (rapportés comme un éclaircissement des cheveux ou des poils [PT: modification de la couleur des cheveux ou des poils] et comme une chute des cheveux ou de poils (PT: alopécie]). Dans le pool pédiatrique, au cours du traitement, chez 13 patients sur 74 (18%), ces deux effets indésirables sont survenus; chez 22 patients (30%), on a observé au moins un effet indésirable prenant la forme d’une alopécie, et chez 20 patients (27%), on a observé au moins un cas de modification de la couleur des cheveux ou des poils. Tous les cas étaient de grade 1 et n’ont pas nécessité d’interruption de traitement ni de réduction de la dose.
  • -L’âge médian des patients s’élevait à 10,2 ans (minmax: 3,5 – 17,4 ans), 60% étaient de sexe masculin, 84% étaient caucasiens.
  • +Au début de l’étude, l’âge médian des patients s’élevait à 10,2 ans (minmax: 3,5 – 17,4 ans), 60% étaient de sexe masculin, 84% étaient caucasiens.
  • -Le délai médian de survenue de la réponse était de 7,2 mois (plage: 3.3 mois – 1,6 an).
  • -La DoR médiane à compter de la survenue de la réponse n’a pas été atteinte; au moment de l’évaluation des données, la durée de suivi médiane était de 22,1 mois. Parmi les patients qui présentaient une réponse, 27 (82%) d’entre eux ont manifesté une DoR supérieure à 12 mois.
  • -Autorisation temporaire
  • -Étant donné qu’au moment de l’examen de la demande d’autorisation, les données cliniques disponibles sont incomplètes, la mise sur le marché du médicament Koselugo est autorisée de manière temporaire (Art. 9a de la Loi sur les produits thérapeutiques). L’autorisation temporaire est possible uniquement si les conditions nécessaires sont réunies dans les délais impartis. Une fois ces conditions réunies, l’autorisation temporaire pourra devenir une autorisation ordinaire.
  • +Le délai médian de survenue de la réponse était de 7,2 mois (plage: 3,3 mois – 1,6 an).
  • +La DoR médiane à compter de la survenue de la réponse n’a pas été atteinte; au moment de l’évaluation des données, la durée médiane de suivi était de 22,1 mois. Parmi les patients qui présentaient une réponse, 27 (82%) d’entre eux ont manifesté une DoR supérieure à 12 mois.
  • +Résultats actualisés selon les données cut-off du 31 mars 2021
  • +Le critère d’évaluation principal TRG s’élevait à 68% (IC 95%, 53,3 – 80,5). Parmi ce pourcentage de patient s’élevant à 68% qui présentaient une réponse, tous manifestaient une réponse partielle (Partial Response, PR), aucun patient n’a manifesté de réponse complète (Complete Response, CR).
  • +Après une période de suivi médiane de 41,3 mois, le délai médian de survenue de la réponse ainsi que le pourcentage de patients avec une DoR supérieure à 12 mois étaient inchangés. La DoR médiane à compter de la survenue de la réponse n’a pas été atteinte.
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