ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Etoricoxib Spirig HC 30 mg - Changements - 02.02.2023
84 Changements de l'information professionelle Etoricoxib Spirig HC 30 mg
  • -·Hypersensibilité à l'étoricoxibe ou à l'un des excipients selon la composition;
  • -·Antécédents de bronchospasme, d'urticaire ou de symptômes semblables à une manifestation allergique après prise d'acide acétylsalicylique ou d'autres anti-inflammatoires non-stéroïdiens;
  • -·Au cours du troisième trimestre de la grossesse et de la période d'allaitement (cf. «Grossesse/Allaitement»);
  • -·Ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou saignements gastro-intestinaux actifs;
  • -·Maladies intestinales inflammatoires (telles que maladie de Crohn, colite ulcéreuse);
  • -·Troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite);
  • -·Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min);
  • -·Insuffisance cardiaque modérée à sévère (classes NYHA II à IV);
  • -·Cardiopathie coronarienne connue, maladie vasculaire périphérique, maladie cérébrovasculaire ou traitement des douleurs postopératoires chez des patients ayant récemment subi un pontage coronarien (ou recours à la circulation extra-corporelle) ou une angioplastie;
  • -·Enfants et adolescents de moins de 16 ans.
  • +·en cas d'hypersensibilité à l'étoricoxibe ou à l'un des excipients selon la composition;
  • +·chez les patients chez lesquels des bronchospasmes, une rhinite aiguë, une congestion nasale, un œdème angioneurotique, de l'urticaire ou des réactions allergiques surviennent après la prise d'acide acétylsalicylique ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris des inhibiteurs de la COX-2 (cyclooxygénase 2);
  • +·au cours de la grossesse et de la période d'allaitement (cf. «Grossesse/Allaitement»);
  • +·en cas d'ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou saignements gastro-intestinaux actifs;
  • +·en cas de maladies intestinales inflammatoires (telles que maladie de Crohn, colite ulcéreuse);
  • +·en cas de troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite) (albumine sérique <25 g/l ou score de Child-Pugh ≥10);
  • +·en cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min);
  • +·en cas d'insuffisance cardiaque modérée à sévère (classes NYHA II à IV);
  • +·en cas de cardiopathie coronarienne connue, de maladie cérébrovasculaire, de maladie vasculaire périphérique ou traitement des douleurs postopératoires chez des patients ayant récemment subi un pontage coronarien (ou recours à la circulation extra-corporelle) ou une angioplastie;
  • +·chez les patients souffrant d'hypertension chez lesquels la pression artérielle est durablement supérieure à 140/90 mmHg et n'est pas suffisamment contrôlée;
  • +·chez les enfants et adolescents de moins de 16 ans.
  • -Les effets rénaux des AINS englobent une rétention hydrique associée à des oedèmes et/ou une hypertension artérielle. Des précautions doivent par conséquent être prises lors de l'utilisation de l'étoricoxibe chez les patients insuffisants cardiaques ou présentant d'autres états prédisposant à une rétention hydrique. De même, la prudence est de mise chez les patients traités de façon concomitante par diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) ou antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA-II) et chez les patients présentant un risque accru d'hypovolémie.
  • +Les effets rénaux des AINS englobent une rétention hydrique associée à des œdèmes et/ou une hypertension artérielle. Des précautions doivent par conséquent être prises lors de l'utilisation de l'étoricoxibe chez les patients insuffisants cardiaques ou présentant d'autres états prédisposant à une rétention hydrique. De même, la prudence est de mise chez les patients traités de façon concomitante par diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) ou antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA-II) et chez les patients présentant un risque accru d'hypovolémie.
  • -Comme avec d'autres inhibiteurs de la synthèse de prostaglandines, des cas de rétention hydrique, d'oedèmes et d'hypertension ont été observés chez certains patients traités par étroricoxibe. La possibilité d'apparition d'une rétention hydrique, d'oedèmes et d'une hypertension doit être prise en compte lors d'une utilisation de l'étoricoxibe chez des patients présentant déjà des oedèmes, une hypertension ou une insuffisance cardiaque. Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS), y compris l'étoricoxibe, peuvent être associés avec le développement ou la réapparition d'une insuffisance cardiaque congestive (voir «Propriétés/Effets, Sécurité»). L'étoricoxibe, surtout aux doses élevées, est associé à un risque d'hypertension plus élevé et à une hypertension plus sévère que d'autres AINS et inhibiteurs de la COX-2. Par conséquent, on surveillera spécialement la pression artérielle au cours du traitement par étoricoxibe. Si la pression artérielle augmente fortement, un changement de traitement sera envisagé.
  • +Comme avec d'autres inhibiteurs de la synthèse de prostaglandines, des cas de rétention hydrique, d'œdèmes et d'hypertension ont été observés chez certains patients traités par étroricoxibe. La possibilité d'apparition d'une rétention hydrique, d'œdèmes et d'une hypertension doit être prise en compte lors d'une utilisation de l'étoricoxibe chez des patients présentant déjà des oedèmes, une hypertension ou une insuffisance cardiaque. Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS), y compris l'étoricoxibe, peuvent être associés avec le développement ou la réapparition d'une insuffisance cardiaque congestive (voir «Propriétés/Effets, Sécurité»). L'étoricoxibe, surtout aux doses élevées, est associé à un risque d'hypertension plus élevé et à une hypertension plus sévère que d'autres AINS et inhibiteurs de la COX-2. Par conséquent, on surveillera spécialement la pression artérielle au cours du traitement par étoricoxibe. Si la pression artérielle augmente fortement, un changement de traitement sera envisagé.
  • -Après la commercialisation, des réactions cutanées graves, dont certaines d'issue fatale, incluant la dermatite exfoliative, le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique, ont été rapportées dans de très rares cas en association avec l'utilisation d'AINS et de certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 (voir «Effets indésirables»). Ces événements graves peuvent se produire sans signes avant-coureurs. Il semble que le risque d'apparition de tels effets indésirables soit le plus élevé au début du traitement: dans la majorité des cas ils sont survenus au cours du premier mois de traitement. De graves réactions d'hypersensibilité (telles qu'anaphylaxie et angio-oedème) ont été rapportées chez des patients sous étoricoxibe (voir «Effets indésirables»). Certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 ont été associés à un risque accru de réactions cutanées chez les patients ayant des antécédents d'allergie médicamenteuse. L'administration d'étoricoxibe doit être interrompue dès les premières manifestations d'une éruption cutanée, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d'hypersensibilité.
  • +Après la commercialisation, des réactions cutanées graves, dont certaines d'issue fatale, incluant la dermatite exfoliative, le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique, ont été rapportées dans de très rares cas en association avec l'utilisation d'AINS et de certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 (voir «Effets indésirables»). Ces événements graves peuvent se produire sans signes avant-coureurs. Il semble que le risque d'apparition de tels effets indésirables soit le plus élevé au début du traitement: dans la majorité des cas ils sont survenus au cours du premier mois de traitement. De graves réactions d'hypersensibilité (telles qu'anaphylaxie et angio-œdème) ont été rapportées chez des patients sous étoricoxibe (voir «Effets indésirables»). Certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 ont été associés à un risque accru de réactions cutanées chez les patients ayant des antécédents d'allergie médicamenteuse. L'administration d'étoricoxibe doit être interrompue dès les premières manifestations d'une éruption cutanée, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d'hypersensibilité.
  • -Etoricoxibe Spirig HC 30 mg resp. 60 mg contient 0.0637 mg resp. 0.1274 mg de sodium par comprimé, c.-à-d. qu'il est essentiellement « sans sodium ».
  • +Etoricoxibe Spirig HC 30 mg resp. 60 mg contient 0.0637 mg resp. 0.1274 mg de sodium par comprimé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • -Traitement Hormonal Substitutif (THS): l'administration d'étoricoxibe 120 mg et d'un traitement hormonal substitutif avec des oestrogènes conjugués (Premarin™ 0,625 mg, un médicament commercialisé aux Etats-Unis) pendant 28 jours a augmenté la moyenne de l'ASC0–24 hr à l'état d'équilibre de l'estrone non conjugué (41%), du composé équin (76%), et du 17-β-estradiol (22%). L'effet des doses recommandées d'étoricoxibe (30 et 60 mg) n'a pas été étudié au long cours. Les effets d'étoricoxibe 120 mg sur l'exposition (ASC0–24 h) de ces composés oestrogéniques de Premarin ont représenté moins de la moitié de ceux observés lors d'une augmentation de la dose de Premarin seule de 0,625 mg à 1,25 mg. La conséquence clinique de ces augmentations est inconnue, et des doses supérieures de Premarin n'ont pas été étudiées en association avec l'étoricoxibe. Ces augmentations de la concentration en oestrogènes doivent être prises en considération lors du choix d'un traitement hormonal de la ménopause en cas de traitement par l'étoricoxibe, car l'augmentation de l'exposition aux oestrogènes pourrait accroître le risque d'effets indésirables associés au THS.
  • +Traitement Hormonal Substitutif (THS): l'administration d'étoricoxibe 120 mg et d'un traitement hormonal substitutif avec des oestrogènes conjugués (Premarin™ 0,625 mg, un médicament commercialisé aux Etats-Unis) pendant 28 jours a augmenté la moyenne de l'ASC0–24 hr à l'état d'équilibre de l'estrone non conjugué (41%), du composé équin (76%), et du 17-β-estradiol (22%). L'effet des doses recommandées d'étoricoxibe (30 et 60 mg) n'a pas été étudié au long cours. Les effets d'étoricoxibe 120 mg sur l'exposition (ASC0–24 hr) de ces composés oestrogéniques de Premarin ont représenté moins de la moitié de ceux observés lors d'une augmentation de la dose de Premarin seule de 0,625 mg à 1,25 mg. La conséquence clinique de ces augmentations est inconnue, et des doses supérieures de Premarin n'ont pas été étudiées en association avec l'étoricoxibe. Ces augmentations de la concentration en oestrogènes doivent être prises en considération lors du choix d'un traitement hormonal de la ménopause en cas de traitement par l'étoricoxibe, car l'augmentation de l'exposition aux oestrogènes pourrait accroître le risque d'effets indésirables associés au THS.
  • -Digoxine: l'étoricoxibe 120 mg administré une fois par jour pendant 10 jours à des volontaires sains n'a pas modifié l'ASC0–24 h à l'état d'équilibre, ni l'élimination rénale de la digoxine. Une augmentation de la Cmax de la digoxine (environ 33%) a été observée. Cette augmentation n'est généralement pas importante pour la plupart des patients. Cependant, les patients ayant des facteurs de risque favorisant la toxicité de la digoxine seront surveillés pour cette raison lorsque l'étoricoxibe et la digoxine sont administrés de façon concomitante.
  • +Digoxine: l'étoricoxibe 120 mg administré une fois par jour pendant 10 jours à des volontaires sains n'a pas modifié l'ASC0–24 hr à l'état d'équilibre, ni l'élimination rénale de la digoxine. Une augmentation de la Cmax de la digoxine (environ 33%) a été observée. Cette augmentation n'est généralement pas importante pour la plupart des patients. Cependant, les patients ayant des facteurs de risque favorisant la toxicité de la digoxine seront surveillés pour cette raison lorsque l'étoricoxibe et la digoxine sont administrés de façon concomitante.
  • -Anti-acides: les anti-acides n'entraînent pas de modifications cliniquement significatives des paramètres pharmacocinétiques de l'étoricoxibe.
  • +Antiacides: les antiacides n'entraînent pas de modifications cliniquement significatives des paramètres pharmacocinétiques de l'étoricoxibe.
  • -L'inhibition de la synthèse de la prostaglandine peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et foetal. Selon certaines données tirées d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. On présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • -Chez les animaux, il est prouvé que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-foetale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l'organogenèse.
  • -Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, Etoricoxibe Spirig HC ne doit être administré qu'en cas de nécessité absolue. Si Etoricoxibe Spirig HC est donné à une femme qui envisage une grossesse ou qui est au premier ou au deuxième trimestre de sa grossesse, la dose doit être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • -Etoricoxibe Spirig HC est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine peuvent:
  • -·Exposer le foetus aux risques suivants:
  • +L'inhibition de la synthèse de la prostaglandine peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. On présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • +Oligohydramnios / insuffisance rénale néonatale
  • +La prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) à partir de la 20e semaine de grossesse peut entraîner des troubles de la fonction rénale chez le fœtus qui peuvent causer une diminution du volume de liquide amniotique (oligohydramnios) chez la femme enceinte et, dans certains cas, une insuffisance rénale chez le nouveau-né. Ces effets indésirables surviennent en moyenne après des jours, voire des semaines de traitement, bien que de rares cas d'oligohydramnios aient été rapportés dès 48 heures après le début du traitement par des AINS. L'oligohydramnios est souvent, mais pas systématiquement, réversible après l'arrêt du traitement. Des contractions des membres et un retard dans la maturation pulmonaire sont des exemples de complications dues à un prolongement de l'oligohydramnios. Après commercialisation, des procédures invasives telles qu'une exsanguinotransfusion ou une dialyse ont été nécessaires dans certains cas d'insuffisance rénale chez le nouveau-né.
  • +Chez les animaux, il est prouvé que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l'organogenèse.
  • +Tous les inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine peuvent:
  • +·Exposer le fœtus aux risques suivants:
  • -Fécondi
  • -L'utilisation d'Etoricoxibe Spirig HC peut avoir un impact négatif sur la fécondité féminine et n'est dès lors pas recommandé aux femmes qui envisagent une grossesse. L'arrêt des traitements à base d'Etoricoxibe Spirig HC devrait également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests de fécondité.
  • +L'utilisation d'étoricoxibe durant la grossesse est contre-indiquée (voir «Contre-indications»). Si une femme tombe enceinte pendant le traitement, la prise d'étoricoxibe doit être arrêtée.
  • +Fertili
  • +L'utilisation d'Etoricoxibe Spirig HC peut avoir un impact négatif sur la fertilité féminine et n'est dès lors pas recommandé aux femmes qui envisagent une grossesse. L'arrêt des traitements à base d'Etoricoxibe Spirig HC devrait également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests de fertilité.
  • -(Très fréquent [≥1/10], fréquent [≥1/100, <1/10], peu fréquent [≥1/1000, <1/100], rare [≥1/10'000, <1/1000], très rare [<1/10'000], inconnu [ne peut pas être estimé sur la base des données disponibles].)
  • +(Très fréquent [≥1/10], fréquent [≥1/100, <1/10], occasionnel [≥1/1000, <1/100], rare [≥1/10'000, <1/1000], très rare [<1/10'000], fréquence inconnu [ne peut pas être estimé sur la base des données disponibles].)
  • -Peu fréquent: gastro-entérite, infection des voies respiratoires supérieures, infection des voies urinaires.
  • +Occasionnel: gastro-entérite, infection des voies respiratoires supérieures, infection des voies urinaires.
  • -Peu fréquent: anémie (essentiellement en rapport avec des hémorragies gastrointestinales), leucopénie, thrombocytopénie, baisse de l'hématocrite.
  • +Occasionnel: anémie (essentiellement en rapport avec des hémorragies gastrointestinales), leucopénie, thrombocytopénie, baisse de l'hématocrite.
  • -Très rare: réactions d'hypersensibilité dont angio-oedème, réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes, y compris choc.
  • +Très rare: réactions d'hypersensibilité dont angio-œdème, réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes, y compris choc.
  • -Fréquent: oedème/rétention hydrique.
  • -Peu fréquent: augmentation ou diminution de l'appétit, prise de poids.
  • +Fréquent: œdème/rétention hydrique.
  • +Occasionnel: augmentation ou diminution de l'appétit, prise de poids.
  • -Peu fréquent: anxiété, dépression, problèmes de concentration.
  • +Occasionnel: anxiété, dépression, problèmes de concentration.
  • -Inconnu: agitation.
  • +Fréquence inconnu: agitation.
  • -Peu fréquent: dysgueusie, insomnie, paresthésie/hypoesthésie, somnolence.
  • +Occasionnel: dysgueusie, insomnie, paresthésie/hypoesthésie, somnolence.
  • -Peu fréquent: vision trouble, conjonctivite.
  • +Occasionnel: vision trouble, conjonctivite.
  • -Peu fréquent: acouphènes, vertiges.
  • +Occasionnel: acouphènes, vertiges.
  • -Peu fréquent: fibrillation auriculaire, insuffisance cardiaque, modifications non spécifiques de l'ECG, angine de poitrine, infarctus du myocarde*.
  • -Inconnu: arythmie.
  • +Occasionnel: fibrillation auriculaire, insuffisance cardiaque, modifications non spécifiques de l'ECG, angine de poitrine, infarctus du myocarde.
  • +Fréquence inconnu: arythmie.
  • -Peu fréquent: bouffées vasomotrices, accident vasculaire cérébral*, accident ischémique transitoire (AIT).
  • +Occasionnel: bouffées vasomotrices, accident vasculaire cérébral, accident ischémique transitoire (AIT).
  • -Peu fréquent: toux, dyspnée, épistaxis.
  • +Occasionnel: toux, dyspnée, épistaxis.
  • -Peu fréquent: ballonnement abdominal, reflux acide, modification du péristaltisme, constipation, sécheresse buccale, gastrite, ulcère gastroduodénal, syndrome du côlon irritable, oesophagite, ulcération de la muqueuse buccale, vomissements.
  • +Occasionnel: ballonnement abdominal, reflux acide, modification du péristaltisme, constipation, sécheresse buccale, gastrite, ulcère gastroduodénal, syndrome du côlon irritable, œsophagite, ulcération de la muqueuse buccale, vomissements.
  • -Inconnu: ictère, défaillance hépatique.
  • +Fréquence inconnu: ictère, défaillance hépatique.
  • -Peu fréquent: oedème facial, prurit, éruption cutanée.
  • +Occasionnel: œdème facial, prurit, éruption cutanée.
  • -Peu fréquent: crampes/spasmes musculaires, douleurs/raideur musculo-squelettique.
  • +Occasionnel: crampes/spasmes musculaires, douleurs/raideur musculo-squelettique.
  • -Peu fréquent: protéinurie, taux accru de créatinine sérique.
  • +Occasionnel: protéinurie, taux accru de créatinine sérique.
  • -Peu fréquent: douleurs thoraciques.
  • +Occasionnel: douleurs thoraciques.
  • -Peu fréquent: augmentation du taux d'azote uréique sanguin (BUN), augmentation du taux de créatine phosphokinase, hyperkaliémie, augmentation du taux d'acide urique.
  • -Les effets indésirables graves suivants ont été rapportés en association avec l'utilisation d'AINS et ne peuvent pas être exclus pour l'étoricoxibee: néphrotoxicité, y compris néphrite interstitielle et syndrome néphrotique; hépatotoxicité et pancréatite.
  • -* Sur la base de l'analyse d'études au long cours avec contrôle actif versus placebo, certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 ont été associés à un risque accru d'événements thrombotiques atériels graves, incluant notamment des infarctus du myocarde et des accidents vasulaires cérébraux. Au vu des données disponibles, il est improbable que l'augmentation absolue du risque d'un tel événement dépasse 1% par année (rare).
  • +Occasionnel: augmentation du taux d'azote uréique sanguin (BUN), augmentation du taux de créatine phosphokinase, hyperkaliémie, augmentation du taux d'acide urique.
  • +Les effets indésirables graves suivants ont été rapportés en association avec l'utilisation d'AINS et ne peuvent pas être exclus pour l'étoricoxibe: néphrotoxicité, y compris néphrite interstitielle et syndrome néphrotique; hépatotoxicité et pancréatite.
  • +Pharmacodynamique
  • +Voir Mécanisme d'action.
  • +Efficacité clinique
  • -Dans 4 autres études avec 913 patients, l'étoricoxibe 30 mg une fois par jour a été plus efficace qu'un placebo pendant les 12 premières semaines de traitement (selon les mêmes critères d'évaluation que dans les études mentionnées ci-dessus). Dans deux de ces études, l'étoricoxibe 30 mg une fois par jour a été comparable à l'ibuprofène 2400 mg par jour (800 mg trois fois par jour) sur 12 semaines. Dans les deux autres, il a été comparable au célécoxib 200 mg une fois par jour sur 12 et sur 26 semaines.
  • +Dans 4 autres études avec 913 patients, l'étoricoxibe 30 mg une fois par jour a été plus efficace qu'un placebo pendant les 12 premières semaines de traitement (selon les mêmes critères d'évaluation que dans les études mentionnées ci-dessus). Dans deux de ces études, l'étoricoxibe 30 mg une fois par jour a été comparable à l'ibuprofène 2400 mg par jour (800 mg trois fois par jour) sur 12 semaines. Dans les deux autres, il a été comparable au célécoxibe 200 mg une fois par jour sur 12 et sur 26 semaines.
  • -En intention de traiter: tous les événements confirmés jusqu'à la fin de l'étude (y compris les patients potentiellement exposés à des interventions non prévues dans l'étude suite à un arrêt du traitement). Nombre total de patients randomisés, n= 17'412 dans le groupe étoricoxibe et 17'289 dans le groupe diclofénac.
  • +En intention de traiter: tous les événements confirmés jusqu'à la fin de l'étude (y compris les patients potentiellement exposés à des interventions non prévues dans l'étude suite à un arrêt du traitement). Nombre total de patients randomisés, n = 17'412 dans le groupe étoricoxibe et 17'289 dans le groupe diclofénac.
  • -Environ 50% des patients inclus dans l'étude MEDAL avaient un antécédent d'hypertension artérielle à l'inclusion. Au cours de l'étude, l'incidence des arrêts de traitement en raison d'événements indésirables dus à une hypertension artérielle a été statistiquement significativement plus élevée avec l'étoricoxibe qu'avec le diclofénac. L'incidence des événements indésirables dus à une insuffisance cardiaque congestive (arrêts de traitement et événements graves) a été similaire avec l'étoricoxibe 60 mg comparée au diclofénac 150 mg mais a été supérieure avec l'étoricoxibe 90 mg comparée au diclofénac 150 mg (statistiquement significative pour l'étoricoxibe 90 mg par rapport au diclofénac 150 mg dans le groupe de patients atteints d'arthrose de MEDAL). L'incidence des événements indésirables dus à une insuffisance cardiaque congestive confirmée (événements graves et ayant entraîné une hospitalisation ou une consultation dans un service d'urgence) n'a pas été significativement plus élevée avec l'étoricoxibe qu'avec le diclofénac 150 mg, et cet effet était dose-dépendant. L'incidence des arrêts de traitement en raison d'événements indésirables dus à un oedème a été plus élevée avec l'étoricoxibe qu'avec le diclofénac 150 mg et cet effet était dose-dépendant (statistiquement significatif pour l'étoricoxibe 90 mg mais pas pour l'étoricoxibe 60 mg).
  • +Environ 50% des patients inclus dans l'étude MEDAL avaient un antécédent d'hypertension artérielle à l'inclusion. Au cours de l'étude, l'incidence des arrêts de traitement en raison d'événements indésirables dus à une hypertension artérielle a été statistiquement significativement plus élevée avec l'étoricoxibe qu'avec le diclofénac. L'incidence des événements indésirables dus à une insuffisance cardiaque congestive (arrêts de traitement et événements graves) a été similaire avec l'étoricoxibe 60 mg comparée au diclofénac 150 mg mais a été supérieure avec l'étoricoxibe 90 mg comparée au diclofénac 150 mg (statistiquement significative pour l'étoricoxibe 90 mg par rapport au diclofénac 150 mg dans le groupe de patients atteints d'arthrose de MEDAL). L'incidence des événements indésirables dus à une insuffisance cardiaque congestive confirmée (événements graves et ayant entraîné une hospitalisation ou une consultation dans un service d'urgence) n'a pas été significativement plus élevée avec l'étoricoxibe qu'avec le diclofénac 150 mg, et cet effet était dose-dépendant. L'incidence des arrêts de traitement en raison d'événements indésirables dus à un œdème a été plus élevée avec l'étoricoxibe qu'avec le diclofénac 150 mg et cet effet était dose-dépendant (statistiquement significatif pour l'étoricoxibe 90 mg mais pas pour l'étoricoxibe 60 mg).
  • -Dans les études individuelles du Programme MEDAL, concernant l'étoricoxibe (60 mg ou 90 mg), l'incidence absolue d'arrêts de traitement dans chaque groupe de traitement était au plus de 2,6% pour l'hypertension artérielle, 1,9% pour l'oedème et 1,1% pour l'insuffisance cardiaque congestive, avec des taux d'arrêts de traitement plus élevés avec l'étoricoxibe 90 mg qu'avec l'étoricoxibe 60 mg.
  • +Dans les études individuelles du Programme MEDAL, concernant l'étoricoxibe (60 mg ou 90 mg), l'incidence absolue d'arrêts de traitement dans chaque groupe de traitement était au plus de 2,6% pour l'hypertension artérielle, 1,9% pour l'œdème et 1,1% pour l'insuffisance cardiaque congestive, avec des taux d'arrêts de traitement plus élevés avec l'étoricoxibe 90 mg qu'avec l'étoricoxibe 60 mg.
  • -Une étude randomisée, en double-aveugle, contre placebo, en groupes parallèles, a évalué les effets d'un traitement de 15 jours d'étoricoxibe (90 mg), de célécoxib (200 mg 2 fois/jour), de naproxène (500 mg 2 fois/jour) et d'un placebo sur l'excrétion urinaire du sodium, la pression artérielle, ainsi que sur d'autres paramètres de la fonction rénale. Cette étude a été faite chez des sujets de 60 à 85 ans, placés sous un régime apportant 200 mEq/jour de sodium. L'étoricoxibe, le célécoxib, et le naproxène ont eu des effets similaires sur l'excrétion urinaire du sodium pendant les 2 semaines de traitement. Une augmentation de la pression artérielle systolique a été observée avec tous les comparateurs actifs par rapport au placebo; cependant l'étoricoxibe a été associé à une augmentation statistiquement significative le 14ème jour par rapport au célécoxib et au naproxène (variation moyenne de la pression artérielle systolique par rapport à la valeur initiale: étoricoxibe 7,7 mmHg, célécoxib 2,4 mmHg, naproxène 3,6 mmHg).
  • -Pharmacodynamique
  • -Voir «Mécanisme d'action».
  • -Efficacité clinique
  • -Voir «Mécanisme d'action».
  • -
  • +Une étude randomisée, en double-aveugle, contre placebo, en groupes parallèles, a évalué les effets d'un traitement de 15 jours d'étoricoxibe (90 mg), de célécoxibe (200 mg 2 fois/jour), de naproxène (500 mg 2 fois/jour) et d'un placebo sur l'excrétion urinaire du sodium, la pression artérielle, ainsi que sur d'autres paramètres de la fonction rénale. Cette étude a été faite chez des sujets de 60 à 85 ans, placés sous un régime apportant 200 mEq/jour de sodium. L'étoricoxibe, le célécoxibe, et le naproxène ont eu des effets similaires sur l'excrétion urinaire du sodium pendant les 2 semaines de traitement. Une augmentation de la pression artérielle systolique a été observée avec tous les comparateurs actifs par rapport au placebo; cependant l'étoricoxibe a été associé à une augmentation statistiquement significative le 14ème jour par rapport au célécoxibe et au naproxène (variation moyenne de la pression artérielle systolique par rapport à la valeur initiale: étoricoxibe 7,7 mmHg, célécoxibe 2,4 mmHg, naproxène 3,6 mmHg).
  • -L'étoricoxibe administré par voie orale est bien absorbé. La biodisponibilité orale moyenne est d'environ 100%. Après administration à jeun d'une dose quotidienne de 120 mg jusqu'à l'obtention de l'état stationnaire chez l'adulte, le pic de concentration plasmatique (moyenne géométrique de Cmax = 3,6 µg/ml) a été observé au bout d'une heure environ (Tmax). La moyenne géométrique de l'aire sous la courbe (ASC0–24 h) a été de 37,8 µg × h/ml. L'étoricoxibe a une pharmacocinétique linéaire à toutes les doses thérapeutiques utilisées.
  • +L'étoricoxibe administré par voie orale est bien absorbé. La biodisponibilité orale moyenne est d'environ 100%. Après administration à jeun d'une dose quotidienne de 120 mg jusqu'à l'obtention de l'état stationnaire chez l'adulte, le pic de concentration plasmatique (moyenne géométrique de Cmax = 3,6 µg/ml) a été observé au bout d'une heure environ (Tmax). La moyenne géométrique de l'aire sous la courbe (ASC0–24 hr) a été de 37,8 µg × h/ml. L'étoricoxibe a une pharmacocinétique linéaire à toutes les doses thérapeutiques utilisées.
  • -La liaison de l'étoricoxibe aux protéines plasmatiques chez l'homme est d'environ 92% aux concentrations de 0,05 à 5 µg/ml. Le volume de distribution à l'état stationnaire (Vdss) est d'environ 120 litres chez l'homme.
  • +La liaison de l'étoricoxibe aux protéines plasmatiques chez l'homme est d'environ 92% aux concentrations de 0,05-5 µg/ml. Le volume de distribution à l'état stationnaire (Vdss) est d'environ 120 l chez l'homme.
  • -Dans une étude pharmacocinétique (n= 16) auprès d'adolescents de 12 à 17 ans, la pharmacocinétique observée chez des adolescents de 40 à 60 kg ayant reçu 60 mg d'étoricoxibe une fois par jour et chez des adolescents de >60 kg ayant reçu 90 mg d'étoricoxibe une fois par jour a été comparable à la pharmacocinétique observée chez l'adulte ayant reçu 90 mg d'étoricoxibe une fois par jour. La sécurité d'emploi et l'efficacité de l'étoricoxibe n'ont pas été examinées chez les patients pédiatriques (voir «Posologie/Mode d'emploi, Pédiatrie»).
  • +Dans une étude pharmacocinétique (n = 16) auprès d'adolescents de 12 à 17 ans, la pharmacocinétique observée chez des adolescents de 40 à 60 kg ayant reçu 60 mg d'étoricoxibe une fois par jour et chez des adolescents de >60 kg ayant reçu 90 mg d'étoricoxibe une fois par jour a été comparable à la pharmacocinétique observée chez l'adulte ayant reçu 90 mg d'étoricoxibe une fois par jour. La sécurité d'emploi et l'efficacité de l'étoricoxibe n'ont pas été examinées chez les patients pédiatriques (voir «Posologie/Mode d'emploi, Pédiatrie»).
  • -L'étoricoxibe n'a pas été tératogène dans les études de reproduction effectuées chez le rat à 15 mg/kg/jour (ce qui représente environ 1,5 fois la dose quotidienne chez l'homme [90 mg] sur la base d'une exposition systémique). Chez le lapin, une augmentation des malformations cardiovasculaires liée au traitement a été observée pour des niveaux d'exposition inférieurs à l'exposition clinique à la dose thérapeutique quotidienne chez l'homme (90 mg). Cependant, aucune malformation foetale externe ou du squelette liée au traitement n'a été observée. Chez le rat et le lapin, il y a eu une augmentation liée à la dose des pertes embryonnaires après la nidation pour des expositions supérieures ou égales à 1,5 fois l'exposition chez l'homme (voir «Contre-indications» et «Grossesse/Allaitement»).
  • +L'étoricoxibe n'a pas été tératogène dans les études de reproduction effectuées chez le rat à 15 mg/kg/jour (ce qui représente environ 1,5 fois la dose quotidienne chez l'homme [90 mg] sur la base d'une exposition systémique). Chez le lapin, une augmentation des malformations cardiovasculaires liée au traitement a été observée pour des niveaux d'exposition inférieurs à l'exposition clinique à la dose thérapeutique quotidienne chez l'homme (90 mg). Cependant, aucune malformation fœtale externe ou du squelette liée au traitement n'a été observée. Chez le rat et le lapin, il y a eu une augmentation liée à la dose des pertes embryonnaires après la nidation pour des expositions supérieures ou égales à 1,5 fois l'exposition chez l'homme (voir «Contre-indications» et «Grossesse/Allaitement»).
  • -Conserver le médicament hors de la portée des enfants.
  • -Ne pas conserver les comprimés pelliculés au-dessus de 30 °C.
  • -Conserver dans l'emballage d'origine.
  • +Conserver le médicament hors de portée des enfants.
  • +Ne pas conserver les comprimés pelliculés au-dessus de 30°C.
  • +Conserver dans l'emballage original.
  • -Spirig HealthCare AG, Egerkingen
  • +Spirig HealthCare AG, 4622 Egerkingen
  • -Octobre 2011
  • +Février 2022
2024 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home