ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Ogivri 150 mg - Changements - 30.06.2021
148 Changements de l'information professionelle Ogivri 150 mg
  • -Flacon perforable Ogivri 150 mg/440 mg:
  • -L-Histidini hydrochloridum monohydricum, L-Histidinum, Sorbitolum (E420) 115,2 mg (Ogivri 150 mg) resp. 337,9 mg (Ogivri 440 mg), Macrogolum 3350, acidum hydrochloridum, natrii hydroxidum.
  • -1 flacon perforable d'Ogivri 150 mg contient au max. 0,07 mg de sodium.
  • -1 flacon perforable d'Ogivri 440 mg contient au max. 0,18 mg de sodium.
  • -Flacon perforable de 20 ml de solvant (eau bactériostatique pour préparations injectables):
  • -Aqua ad iniectabilia, Alcohol benzylicus (E1519) 231 mg (1,1% V/V).
  • +Flacon Ogivri 150 mg/440 mg
  • +L-histidini hydrochloridum monohydricum, L-histidinum, sorbitolum (E420) 115,2 mg (Ogivri 150 mg) resp. 337,9 mg (Ogivri 440 mg), macrogolum 3350, acidum hydrochloridum, natrii hydroxidum.
  • +1 flacon d'Ogivri 150 mg contient au max. 0,07 mg de sodium.
  • +1 flacon d'Ogivri 440 mg contient au max. 0,18 mg de sodium.
  • +Flacon de 20 ml de solvant (eau bactériostatique pour préparations injectables)
  • +Aqua ad iniectabilia, alcohol benzylicus (E1519) 231 mg (1,1% V/V).
  • -·en association à une chimiothérapie adjuvante composée de docétaxel et carboplatine.
  • +·en association à une chimiothérapie adjuvante composée de docétaxel et carboplatine;
  • -Cas général
  • -Afin d'assurer la traçabilité des médicaments biotechnologiques, il convient de documenter pour chaque traitement le nom commercial et le numéro de lot.
  • +Pour assurer la traçabilité des médicaments issus de la biotechnologie, il est recommandé de documenter le nom commercial et le numéro de lot lors de chaque traitement.
  • -Les doses initiales et les doses ultérieures indiquées ci-après sont recommandées aussi bien en monothérapie qu'en association avec une chimiothérapie:
  • +Les doses initiales et les doses ultérieures indiquées ci-après sont recommandées aussi bien en monothérapie qu'en association avec une chimiothérapie.
  • -Traitement associé au paclitaxel ou au docétaxel
  • +Traitement associé avec le paclitaxel ou le docétaxel
  • -Administration en association à un inhibiteur de l'aromatase
  • +Traitement associé avec un inhibiteur de l'aromatase
  • +Monothérapie et traitement associé
  • +
  • -Cancer du sein (au stade précoce ou métastatique), cancer métastatique de l'estomac ou de la jonction œso-gastrique
  • -Durée d'administration
  • -Les patients atteints de cancer du sein métastatique ou de cancer avancé de l'estomac ou de la jonction œso-gastrique doivent être traités par Ogivri jusqu'à progression de la maladie ou jusqu'à survenue d'une toxicité non maîtrisable. Les patients atteints d'un cancer du sein au stade précoce doivent être traités pendant 1 an ou jusqu'à récidive de la maladie ou jusqu'à survenue d'une toxicité non maîtrisable, selon le cas survenant en premier. Une durée de traitement supérieure à 1 an n'est pas recommandée en cas de cancer du sein au stade précoce (voir «Propriétés/Effets: Données cliniques»).
  • -Doses oubliées
  • -Si le patient a manqué une dose d'Ogivri dans un délai d'une semaine au maximum, la dose d'entretien habituelle (schéma thérapeutique hebdomadaire: 2 mg/kg de poids corporel; schéma thérapeutique toutes les 3 semaines: 6 mg/kg de poids corporel) doit être administrée aussitôt que possible (ne pas attendre jusqu'au prochain cycle prévu). Les doses d'entretien suivantes d'Ogivri doivent être administrées selon le schéma thérapeutique hebdomadaire ou le schéma thérapeutique toutes les 3 semaines, respectivement 7 ou 21 jours plus tard.
  • -Si le patient a manqué une dose d'Ogivri dans un délai de plus d'une semaine, il faut de nouveau administrer une dose initiale d'Ogivri sur env. 90 minutes aussitôt que possible (schéma thérapeutique hebdomadaire: 4 mg/kg de poids corporel; schéma thérapeutique toutes les 3 semaines: 8 mg/kg de poids corporel). Les doses d'entretien suivantes d'Ogivri (schéma thérapeutique hebdomadaire: 2 mg/kg; schéma thérapeutique toutes les 3 semaines: 6 mg/kg) doivent être administrées selon le schéma thérapeutique hebdomadaire ou le schéma thérapeutique toutes les 3 semaines, respectivement 7 ou 21 jours plus tard.
  • -Ajustement de la posologie
  • -Si le patient développe une réaction liée à la perfusion (IRR), il convient de ralentir le débit de perfusion d'Ogivri ou d'interrompre la perfusion et de surveiller le patient jusqu'à la disparition de tous les symptômes observés (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Durée du traitement
  • +Les patients atteints de cancer du sein métastatique ou de cancer avancé de l'estomac ou de la jonction œso-gastrique doivent être traités par Ogivri jusqu'à progression de la maladie ou jusqu'à survenue d'une toxicité non maîtrisable. Les patients atteints d'un cancer du sein au stade précoce doivent être traités pendant 1 an ou jusqu'à rechute de la maladie ou jusqu'à survenue d'une toxicité non maîtrisable, selon le critère qui intervient en premier. Lors de cancer du sein au stade précoce, une durée de traitement supérieure à 1 an n'est pas recommandée (voir «Propriétés/Effets: Efficacité clinique»).
  • +Ajustement de la posologie du fait d'effets indésirables
  • +Si le patient développe une réaction liée à la perfusion (IRR), il convient de ralentir le débit de perfusion d'Ogivri i.v. ou d'interrompre la perfusion et de surveiller le patient jusqu'à la disparition de tous les symptômes observés (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Instructions posologiques particulières
  • +
  • -Aucune réduction des doses de trastuzumab n'a été effectuée chez les patients âgés de 65 ans et plus au cours des études cliniques.
  • +Au cours des études cliniques, aucune réduction des doses de trastuzumab n'a été effectuée chez les patients âgés de 65 ans et plus.
  • -L'utilisation et la sécurité du trastuzumab chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n'ont pas encore été évaluées à ce jour.
  • +L'utilisation et la sécurité du trastuzumab chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n'ont à ce jour pas été évaluées.
  • +Prise retardée
  • +Si le patient a manqué une dose d'Ogivri dans un délai d'une semaine au maximum, la dose d'entretien habituelle (schéma thérapeutique hebdomadaire: 2 mg/kg de poids corporel; schéma thérapeutique toutes les 3 semaines: 6 mg/kg de poids corporel) doit être administrée aussitôt que possible (ne pas attendre jusqu'au prochain cycle planifié). Les doses d'entretien d'Ogivri suivantes doivent être administrées selon le schéma thérapeutique hebdomadaire ou le schéma thérapeutique toutes les 3 semaines, respectivement 7 ou 21 jours plus tard.
  • +Si le patient a manqué une dose d'Ogivri dans un délai de plus d'une semaine, il faut de nouveau administrer une dose initiale d'Ogivri sur env. 90 minutes aussitôt que possible (schéma thérapeutique hebdomadaire: 4 mg/kg de poids corporel; schéma thérapeutique toutes les 3 semaines: 8 mg/kg de poids corporel). Les doses d'entretien d'Ogivri suivantes (schéma thérapeutique hebdomadaire: 2 mg/kg; schéma thérapeutique toutes les 3 semaines: 6 mg/kg) doivent être administrées selon le schéma thérapeutique hebdomadaire ou le schéma thérapeutique toutes les 3 semaines, respectivement 7 ou 21 jours plus tard.
  • -Ogivri est contre-indiqué chez les patients souffrant de dyspnée au repos à la suite de leur affection maligne avancée ou de comorbidités.
  • +Ogivri est contre-indiqué chez les patients souffrant de dyspnée de repos à la suite de leur affection maligne évoluée ou de comorbidités.
  • -La substitution par un autre médicament biologique nécessite l'autorisation du médecin prescripteur. Les informations dans cette information professionnelle ne concernent qu'Ogivri.
  • -Le flacon perforable contenant le solvant pour Ogivri 440 mg (eau bactériostatique pour préparations injectables) contient 220 mg d'alcool benzylique/20 ml comme conservateur. L'alcool benzylique peut provoquer des réactions allergiques. L'alcool benzylique a été associé à des effets indésirables graves, y compris des problèmes respiratoires (syndrome de «Gasping»), chez les enfants en bas âge. Si Ogivri doit être administré à des patients présentant une hypersensibilité connue à l'alcool benzylique, la poudre pour la préparation du concentré pour perfusion doit uniquement être reconstituée avec l'eau pour préparations injectables et une seule dose d'Ogivri doit être prélevée par flacon perforable. La quantité résiduelle non utilisée doit être éliminée.
  • -L'eau stérile pour préparations injectables servant à la reconstitution d'un flacon de 150 ml pour injection unique ne contient pas d'alcool benzylique.
  • +Le solvant pour Ogivri 440 mg (eau bactériostatique pour préparations injectables) contient 231 mg d'alcool benzylique/20 ml comme conservateur. L'alcool benzylique peut provoquer des réactions allergiques. L'alcool benzylique a été associé à un risque d'effets secondaires graves, y compris des problèmes respiratoires (appelés syndrome de «suffocation»), chez les jeunes enfants. Ne pas utiliser ce produit chez le nouveau-né ou le jeune enfant. Si Ogivri doit être administré à des patients présentant une hypersensibilité connue à l'alcool benzylique, la poudre d'Ogivri doit être reconstituée uniquement avec de l'eau pour préparations injectables et seule une dose d'Ogivri par flacon doit être prélevée. Tout résidu non utilisé doit être jeté.
  • +L'eau stérile pour préparations injectables servant à la reconstitution du flacon d'Ogivri à 150 mg pour injection unique ne contient pas d'alcool benzylique.
  • -Ogivri ne doit pas être administré en même temps que des anthracyclines en cas de cancer du sein métastatique et de traitement adjuvant. En cas de traitement néoadjuvant, l'administration concomitante d'Ogivri et d'anthracyclines doit être prudente et ne doit être réalisée que chez les patients n'ayant pas encore reçu de chimiothérapie (voir «Contre-indications»). La dose cumulée maximale d'anthracyclines à faible dose ne doit pas dépasser 180 mg/m² (doxorubicine) ou 360 mg/m² (épirubicine). Si les patients ont reçu en traitement néoadjuvant des anthracyclines à faible dose associées à Ogivri, aucune chimiothérapie cytotoxique supplémentaire ne doit être administrée après l'intervention chirurgicale. L'expérience clinique du traitement néoadjuvant-adjuvant est limitée chez les patients de plus de 65 ans.
  • +Ogivri ne doit pas être administré en même temps que des anthracyclines en cas de cancer du sein métastatique et de traitement adjuvant. En cas de traitement néoadjuvant, l'administration concomitante d'Ogivri et d'anthracyclines doit être prudente et ne doit être réalisée que chez les patients n'ayant pas reçu de chimiothérapie (voir «Contre-indications»). La dose cumulée maximale d'anthracyclines à faible dose ne doit pas dépasser 180 mg/m² (doxorubicine) ou 360 mg/m² (épirubicine). Si les patients ont reçu en traitement néoadjuvant des anthracyclines à faible dose associées à Ogivri, aucune chimiothérapie cytotoxique supplémentaire ne doit être administrée après l'intervention chirurgicale. L'expérience clinique du traitement néoadjuvant-adjuvant est limitée chez les patients de plus de 65 ans.
  • -Si la FEVG baisse de 10 points de pourcentage ou plus par rapport à la valeur initiale ou descend en dessous de 50%, l'administration d'Ogivri doit être provisoirement arrêtée et une nouvelle détermination de la FEVG doit intervenir en l'espace d'env. 3 semaines. Dans les cas où la FEVG ne s'est pas améliorée au cours de cet intervalle, si elle a continué à baisser ou si une insuffisance cardiaque cliniquement significative s'est développée, l'arrêt d'Ogivri doit être envisagé de toute urgence, hormis dans les cas particuliers où le bénéfice est jugé supérieur au risque encouru par le patient. Les patients développant un trouble asymptomatique de la fonction cardiaque doivent être contrôlés plus souvent (p.ex. toutes les 6 à 8 semaines). Au cas où les patients présenteraient une dégradation continue de la fonction ventriculaire gauche tout en restant asymptomatiques, le médecin devrait envisager l'arrêt du traitement si aucun bénéfice clinique n'est constaté avec le traitement par Ogivri à moins que le bénéfice individuel escompté ne soit supérieur aux risques encourus par le patient. Ces patients doivent être adressés à un cardiologue pour évaluation et doivent continuer d'être suivis.
  • +Si la FEVG baisse de 10 points de pourcentage ou plus par rapport à la valeur initiale ou descend en dessous de 50%, l'administration d'Ogivri doit être provisoirement arrêtée et une nouvelle détermination de la FEVG doit intervenir en l'espace d'env. 3 semaines. Dans les cas où la FEVG ne s'est pas améliorée au cours de cet intervalle, si elle a continué à baisser ou si une insuffisance cardiaque cliniquement significative s'est développée, l'arrêt d'Ogivri doit être envisagé de toute urgence, hormis dans les cas particuliers où le bénéfice est jugé supérieur au risque encouru par le patient. Les patients développant un trouble asymptomatique de la fonction cardiaque doivent être contrôlés plus souvent (p.ex. toutes les 6 à 8 semaines). Au cas où les patients présenteraient une dégradation continue de la fonction ventriculaire gauche tout en restant asymptomatiques, le médecin devrait envisager l'arrêt du traitement, à moins que le bénéfice individuel escompté ne soit supérieur aux risques encourus par le patient. Ces patients doivent être adressés à un cardiologue pour évaluation et doivent continuer d'être suivis.
  • -Les facteurs de risque associés aux pneumopathies interstitielles comprennent d'autres traitements antinéoplasiques antérieurs ou simultanés, pour lesquels un rapport avec des pneumopathies interstitielles est connu, par exemple les taxanes, la gemcitabine, la vinorelbine et la radiothérapie. Les patients souffrant de dyspnée au repos en relation avec des complications d'une maladie maligne avancée et des comorbidités peuvent présenter un risque accru d'évènements pulmonaires. En conséquence, ces patients ne doivent pas être traités par Ogivri.
  • +Les facteurs de risque associés aux pneumopathies interstitielles comprennent d'autres traitements antinéoplasiques antérieurs ou simultanés, pour lesquels un rapport avec des pneumopathies interstitielles est connu, comme par exemple les taxanes, la gemcitabine, la vinorelbine et la radiothérapie. Les patients souffrant de dyspnée de repos en relation avec des complications d'une maladie maligne avancée et de comorbidités peuvent présenter un risque accru d'évènements pulmonaires. En conséquence, ces patients ne doivent pas être traités par Ogivri.
  • -Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par flacon perforable, il est donc pratiquement «sans sodium».
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par flacon, il est donc pratiquement «sans sodium».
  • -Interactions pharmacocinétiques/pharmacodynamiques
  • +Interactions pharmacocinétiques
  • +Données in vivo
  • -Les concentrations de paclitaxel et de doxorubicine [ainsi que celles de leurs métabolites principaux 6-α-hydroxypaclitaxel (POH) et doxorubicinol (DOL)] étaient inchangées en présence du trastuzumab. Cependant, le trastuzumab peut augmenter l'exposition globale à un métabolite de la doxorubicine [7déoxy-13-dihydro-doxorubicinone (D7D)]. L'activité biologique du D7D et l'impact clinique d'une élévation de ce métabolite ne sont pas connus. En présence de paclitaxel et de doxorubicine, aucune modification des concentrations de trastuzumab n'a été observée.
  • -Les résultats d'une sous-étude d'interactions médicamenteuses sur l'évaluation de la pharmacocinétique de la capécitabine et du cisplatine utilisés avec ou sans trastuzumab suggèrent que l'exposition aux métabolites biologiquement actifs de la capécitabine (p.ex. le 5 -FU) n'a pas été modifiée par l'utilisation concomitante du cisplatine ou par celle du cisplatine associé au trastuzumab. Cependant, lorsque la capécitabine était associée au trastuzumab, des concentrations plus élevées et une demi-vie allongée de la capécitabine ont été observées. Les données suggèrent également que la pharmacocinétique du cisplatine n'a pas été affectée par l'utilisation concomitante de la capécitabine ou par celle de la capécitabine associée au trastuzumab.
  • +Les concentrations de paclitaxel et de doxorubicine [ainsi que celles de leurs métabolites principaux6-α-hydroxypaclitaxel (POH) et doxorubicinol (DOL)] étaient inchangées en présence du trastuzumab. Cependant, le trastuzumab peut augmenter l'exposition globale à un métabolite de la doxorubicine [7-déoxy-13-dihydro-doxorubicinone (D7D)]. L'activité biologique du D7D et l'impact clinique d'une élévation de ce métabolite ne sont pas connus. En présence de paclitaxel et de doxorubicine, aucune modification des concentrations de trastuzumab n'a été observée.
  • +Les résultats d'une sous-étude d'interactions médicamenteuses sur l'évaluation de la pharmacocinétique de la capécitabine et du cisplatine utilisés avec ou sans trastuzumab suggèrent que l'exposition aux métabolites biologiquement actifs de la capécitabine (p.ex. le 5-FU) n'a pas été modifiée par l'utilisation concomitante du cisplatine ou par celle du cisplatine associé au trastuzumab. Cependant, lorsque la capécitabine était associée au trastuzumab, des concentrations plus élevées et une demi-vie allongée de la capécitabine ont été observées. Les données suggèrent également que la pharmacocinétique du cisplatine n'a pas été affectée par l'utilisation concomitante de la capécitabine ou par celle de la capécitabine associée au trastuzumab.
  • -Femmes en age de procréer
  • -Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par Ogivri et pendant 7 mois après l'arrêt du traitement (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Ogivri ne doit pas être administré pendant la grossesse, à moins que le bénéfice potentiel pour la mère prédomine sur le risque encouru par le fœtus.
  • -Après la mise sur le marché du produit, des cas d'altérations du développement rénal fœtal (p.ex. hypoplasie rénale) et/ou de la fonction rénale fœtale, associés à un oligoamnios, ont été signalés chez des femmes enceintes qui avaient été traitées par le trastuzumab. Certains d'entre eux se sont accompagnés d'une hypoplasie pulmonaire fœtale d'issue fatale. En cas de survenue d'une grossesse pendant le traitement, les femmes doivent être informées de la possibilité d'atteinte du fœtus. Si une femme enceinte est traitée par Ogivri, ou si une patiente tombe enceinte pendant le traitement par Ogivri ou au cours des 7 mois qui suivent l'administration de la dernière dose d'Ogivri, une surveillance étroite, effectuée par une équipe pluridisciplinaire est indiquée.
  • -On ignore si l'administration de trastuzumab à des femmes enceintes peut affecter la capacité de reproduction.
  • -
  • +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par Ogivri et pendant 7 mois après l'arrêt du traitement (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Le médicament a des effets pharmacologiques nuisibles sur la grossesse et/ou le fœtus ou le nouveau-né.
  • +Ogivri ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue, c.-à-d. si le bénéfice potentiel pour la mère prédomine sur le risque encouru par le fœtus.
  • +Après la mise sur le marché du médicament, des cas d'altérations du développement rénal fœtal (p.ex. hypoplasie rénale) et/ou de la fonction rénale fœtale, associés à un oligoamnios, ont été signalés chez des femmes enceintes qui avaient été traitées par le trastuzumab. Certains d'entre eux se sont accompagnés d'une hypoplasie pulmonaire fœtale d'issue fatale. En cas de survenue d'une grossesse pendant le traitement, les femmes doivent être informées de la possibilité d'atteinte du fœtus. Si une femme enceinte est traitée par Ogivri, ou si une patiente tombe enceinte pendant le traitement par Ogivri ou au cours des 7 mois qui suivent l'administration de la dernière dose d'Ogivri, une surveillance étroite, effectuée par une équipe pluridisciplinaire est indiquée.
  • -Une étude menée chez des singes cynomolgus femelles allaitantes, auxquels on a administré des doses de trastuzumab 25 fois supérieures à la dose d'entretien hebdomadaire de 2 mg/kg de poids corporel recommandée chez l'être humain, a montré que le trastuzumab passe dans le lait maternel. La présence du trastuzumab dans le sérum des bébés singes n'a été associée à aucun effet indésirable pour leur croissance ou leur développement pendant le mois qui a suivi la naissance. On ignore si le trastuzumab passe dans le lait maternel chez l'être humain. Étant donné que, chez l'être humain, des IgG sériques sont libérées dans le lait maternel et que le potentiel toxicologique chez le nourrisson n'est pas connu, les femmes ne doivent pas allaiter pendant le traitement par Ogivri.
  • +Dans une étude au cours de laquelle des singes Cynomolgus ont reçu, du jour 120 au jour 150 de la gestation, des doses jusqu'à 25 fois supérieures à la dose d'entretien hebdomadaire de 2 mg/kg de trastuzumab i.v. utilisée chez l'homme, il a été démontré que le trastuzumab passe dans le lait en période de postpartum. L'exposition in utero au trastuzumab et la présence de trastuzumab dans le sérum des jeunes singes allaités n'étaient associées à aucun effet indésirable sur leur croissance ou leur développement entre la naissance et l'âge de 1 mois. On ignore si le trastuzumab passe dans le lait maternel chez l'être humain. Étant donné que, chez l'être humain, des IgG sériques sont libérées dans le lait maternel et que le potentiel toxicologique chez le nourrisson n'est pas connu, les femmes ne doivent pas allaiter pendant le traitement par Ogivri.
  • +On ignore si l'administration de trastuzumab à des femmes enceintes peut affecter la capacité de reproduction.
  • +
  • -Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
  • -On ignore si l'administration de trastuzumab a des répercussions sur l'aptitude à la conduite ou à l'utilisation de machines. Sur la base de son activité pharmacologique et des évènements indésirables signalés jusqu'ici, aucun élément ne plaide en ce sens.
  • -Les patients présentant des symptômes liés à la perfusion doivent être informés de ne pas conduire de véhicules ou utiliser de machines jusqu'à disparition complète de ces symptômes.
  • +Ogivri a une influence légère sur l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines. Des vertiges et une somnolence peuvent survenir au cours du traitement par Ogivri (voir «Effets indésirables»). Les patients présentant des symptômes liés à la perfusion (voir «Mises en garde et précautions») devront être avertis de s'abstenir de conduire des véhicules ou d'utiliser des machines jusqu'à disparition complète des symptômes.
  • -Les effets indésirables pulmonaires sévères sont rares lors d'un traitement par le trastuzumab, mais ont été occasionnellement associés à une issue fatale. Ces effets comprennent notamment des infiltrats pulmonaires, un syndrome de détresse respiratoire aiguë, une pneumonie, une pneumonite, un épanchement pleural, une détresse respiratoire, un œdème aigu du poumon et une insuffisance respiratoire (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Les effets indésirables pulmonaires sévères sont rares lors d'un traitement par le trastuzumab, mais étaient occasionnellement associés à une issue fatale. Ces effets comprennent notamment des infiltrats pulmonaires, un syndrome de détresse respiratoire aiguë, une pneumonie, une pneumopathie, un épanchement pleural, une détresse respiratoire, un œdème aigu du poumon et une insuffisance respiratoire (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Fréquents: cystite, zona, grippe, pharyngite, infection cutanée, sinusite, rhinite, infection des voies respiratoires supérieures, érysipèle, cellulite, infection urinaire, septicémie, septicémie neutropénique.
  • +Fréquents: cystite, grippe, pharyngite, infection cutanée, sinusite, rhinite, infection des voies respiratoires supérieures, infection urinaire, septicémie neutropénique.
  • -Après commercialisation, de rares cas de graves thrombocytopénies immunes accompagnées de saignements et pouvant survenir quelques heures après la perfusion ont été observés.
  • -Fréquence inconnue: réaction anaphylactique, choc anaphylactique.
  • +Rares: réaction anaphylactique, choc anaphylactique.
  • -Fréquence inconnue: hyperkaliémie.
  • +Fréquence inconnue: hyperkaliémie, syndrome de lyse tumorale.
  • -Fréquents: dépression, anxiété, troubles de la pensée.
  • +Fréquents: dépression, anxiété.
  • -Fréquents: troubles gustatifs, tonus musculaire augmenté (hypertonie musculaire), neuropathie périphérique, obnubilation, somnolence, ataxie.
  • -Rares: parésie.
  • -Fréquence inconnue: œdème cérébral, léthargie, coma, troubles cérébrovasculaires.
  • +Fréquents: troubles gustatifs, tonus musculaire augmenté (hypertonie musculaire), neuropathie périphérique, obnubilation, somnolence.
  • +Fréquence inconnue: léthargie, coma, troubles cérébrovasculaires.
  • -Très fréquents: réduction de la fraction d'éjection (11%), $flutter cardiaque, $battements cardiaques irréguliers, $palpitations.
  • -Fréquents: $tachyarythmie supraventriculaire, insuffisance cardiaque (congestive), cardiomyopathie.
  • -Occasionnel: épanchement péricardique.
  • -Fréquence inconnue: choc cardiogénique, péricardite, bradycardie, rythme de galop, tachycardie.
  • +Très fréquents: réduction de la fraction d'éjection (11%), $flutter cardiaque, $battements cardiaques irréguliers.
  • +Fréquents: $tachyarythmie supraventriculaire, insuffisance cardiaque (congestive), cardiomyopathie, $palpitations.
  • +Occasionnels: épanchement péricardique.
  • +Fréquence inconnue: choc cardiogénique, rythme de galop, tachycardie.
  • -Très fréquents: épistaxis (18%), rhinorrhée (18%), toux (16%), douleurs oropharyngées (15%), dyspnée (14%), $respiration haletante.
  • +Très fréquents: épistaxis (18%), rhinorrhée (18%), toux (16%), douleurs oropharyngées (15%), dyspnée (14%).
  • -Occasionnels: pneumonite.
  • -Fréquence inconnue: pneumopathie interstitielle y compris infiltrats pulmonaires, fibrose pulmonaire, insuffisance respiratoire, arrêt respiratoire, œdème aigu du poumon, détresse respiratoire aiguë, bronchospasme, œdème laryngé, orthopnée, dyspnée d'effort, hoquet, syndrome de détresse respiratoire aiguë, syndrome de détresse respiratoire, désaturation en oxygène, hypoxie, respiration de Cheyne-Stokes.
  • +Occasionnels: pneumonite, $respiration haletante.
  • +Fréquence inconnue: pneumopathie interstitielle y compris infiltrats pulmonaires, fibrose pulmonaire, insuffisance respiratoire, arrêt respiratoire, œdème aigu du poumon, détresse respiratoire aiguë, bronchospasme, œdème laryngé, orthopnée, dyspnée d'effort, hoquet, syndrome de détresse respiratoire aiguë, syndrome de détresse respiratoire, désaturation en oxygène, hypoxie,respiration de Cheyne-Stokes.
  • -Fréquence inconnue: insuffisance hépatique.
  • -Fréquence inconnue: angioœdème, onychorrhexis, syndrome de Stevens-Johnson.
  • +Fréquence inconnue: angio-œdème, onychorrhexis, syndrome de Stevens-Johnson.
  • -$ signifie que l'incidence indiquée est la somme des incidences de plusieurs termes. Aucune indication de pourcentage des différents effets indésirables n'est disponible.
  • +$ Signifie que l'incidence indiquée est la somme des incidences de plusieurs termes. Aucune indication de pourcentage des différents effets indésirables n'est disponible.
  • +Effets indésirables après commercialisation
  • +Après commercialisation, de rares cas de thrombocytopénies immunes sévères, accompagnées d'hémorragies et pouvant survenir quelques heures après la perfusion, ont été observés.
  • +Description de certains effets indésirables
  • +
  • -Dans l'analyse commune des études NSABP B-31 et NCCTG N9831 comportant une durée médiane de suivi de 8,1 ans, la fréquence rapportée au patient de la dysfonction cardiaque nouvellement apparue, déterminée à l'aide de la FEVG, est restée inchangée dans le groupe AC→PH (doxorubicine plus cyclophosphamide, suivis de paclitaxel plus trastuzumab) par rapport à l'évaluation effectuée après un suivi médian de 2,0 ans dans le groupe AC→PH: une diminution de la FEVG ≥10% à moins de 50% a été observée chez 18,5% des patients du groupe AC→PH. La dysfonction ventriculaire gauche a été réversible chez 64,5% des patients du groupe AC→PH qui avaient souffert d'une insuffisance cardiaque congestive symptomatique et étaient asymptomatiques lors du dernier examen de suivi, ainsi que chez 90,3% des patients qui présentaient un rétablissement complet ou partiel de la FEVG
  • +Dans l'analyse commune des études NSABP B-31 et NCCTG N9831 comportant une durée médiane de suivi de 8,1 ans, la fréquence rapportée au patient de la dysfonction cardiaque nouvellement apparue, déterminée à l'aide de la FEVG, est restée inchangée dans le groupe AC→PH (doxorubicine plus cyclophosphamide, suivi de paclitaxel plus trastuzumab) par rapport à l'évaluation effectuée après un suivi médian de 2,0 ans dans le groupe AC→PH: une diminution de la FEVG ≥10% à moins de 50% a été observée chez 18,5% des patients du groupe AC→PH. La dysfonction ventriculaire gauche a été réversible chez 64,5% des patients du groupe AC→PH qui avaient souffert d'une insuffisance cardiaque congestive symptomatique et étaient asymptomatiques lors du dernier examen de suivi, ainsi que chez 90,3% des patients qui présentaient un rétablissement complet ou partiel de la FEVG.
  • -Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
  • +Mécanisme d'action
  • -Le proto-oncogène HER2 (ou c-erbB2) code pour une grande protéine monocaténaire transmembranaire de 185 kDa, semblable à un récepteur, structurellement apparentée au récepteur du facteur de croissance épidermique humain. Une surexpression de HER2 est observée dans 15% à 20% des cancers du sein primaires. Le taux global de positivité de HER2 (définie par IHC3+ ou IHC2+/FISH+) dans les cancers gastriques avancés, observé dans le cadre de la visite de sélection de l'étude BO18255, a été de 15%. Lors de l'utilisation de la définition plus large dans laquelle IHC3+ ou FISH+ suffit pour affirmer la positivité de HER2, ce taux a été de 22,1%. L'amplification génique de HER2 entraîne une augmentation de l'expression de la protéine HER2 à la surface de ces cellules tumorales, allant de pair avec une forte activation de la protéine HER2.
  • +Le proto-oncogène HER2 (ou c-erbB2) code pour une grande protéine monocaténaire transmembranaire de 185 kDa, semblable à un récepteur, structurellement apparentée au récepteur du facteur de croissance épidermique humain. Une surexpression de HER2 est observée dans 15% à 20% des cancers du sein primaires. Le taux global de positivité de HER2 (définie par IHC3+ ou IHC2+/FISH+) dans les cancers gastriques avancés, observé dans le cadre de la visite de sélection de l'étude BO18255, est de 15%. Lors de l'utilisation de la définition plus large dans laquelle IHC3+ ou FISH+ suffit pour affirmer la positivité de HER2, ce taux est de 22,1%. L'amplification génique de HER2 entraîne une augmentation de l'expression de la protéine HER2 à la surface de ces cellules tumorales, allant de pair avec une forte activation de la protéine HER2.
  • +Pharmacodynamique
  • +
  • -L'immunohistochimie a constitué la principale méthode d'évaluation de la surexpression de HER2 dans l'étude pivot portant sur le traitement par le docétaxel administré seul ou en association avec le trastuzumab. Un test FISH a été utilisé chez une minorité de patients. Dans cette étude, 87% des patients inclus présentaient une surexpression cotée IHC3+ et 95% des patients étaient IHC3+ et/ou FISH-positifs.
  • -Traitement combiné associant trastuzumab et paclitaxel ou docétaxel:
  • +L'immunohistochimie a constitué la principale méthode d'évaluation de la surexpression de HER2 dans l'étude pivot portant sur le traitement par le docétaxel administré seul ou en association avec le trastuzumab. Un test FISH a été utilisé chez une minorité de patients. Dans cette étude, 87% des patients inclus présentaient une surexpression cotée IHC3+ et 95% des patients présentaient un IHC3+ et/ou un FISH-positifs.
  • +Traitement combiné associant trastuzumab et paclitaxel ou docétaxel
  • -Traitement combiné associant trastuzumab et anastrozole:
  • -Le trastuzumab a été étudié en association avec l'anastrozole, en traitement de première intention chez des patientes postménopausées présentant un cancer du sein métastatique surexprimant le HER2 avec récepteurs hormonaux positifs (p.ex. récepteurs aux œstrogènes (RE) et/ou récepteurs à la progestérone (RP) positifs), mais qui n'avaient pas encore reçu de chimiothérapie pour leur affection métastatique. Les patients présentant des métastases cérébrales ont également été exclus. La survie sans progression de la maladie a été significativement prolongée dans le groupe sous trastuzumab et anastrozole par rapport au groupe sous anastrozole seul (4,8 mois versus 2,4 mois, p=0,0016). En outre, les paramètres suivants ont été significativement améliorés par l'administration de trastuzumab: taux de réponse global (16,5% versus 6,7%), taux de bénéfice clinique (Clinical-Benefit-Rate, 42,7% versus 27,9%) et temps jusqu'à la progression de la maladie (4,8 mois versus 2,4 mois). Aucune différence n'a pu être identifiée entre les deux groupes en ce qui concerne le temps jusqu'à l'apparition de la réponse ainsi que la durée de la réponse. En moyenne, la durée moyenne de survie globale a été prolongée de 4,6 mois dans le groupe de patientes sous traitement combiné. La différence n'était cependant pas statistiquement significative. Dans ce contexte, il faut néanmoins tenir compte du fait que le traitement a été changé (crossover) chez plus de la moitié des patientes du groupe sous monothérapie par l'anastrozole, au bénéfice d'une thérapie incluant le trastuzumab après progression de la maladie. 52% des patientes qui avaient reçu du trastuzumab et de l'anastrozole ont survécu au moins 2 ans contre 45% des patientes qui n'avaient reçu que de l'anastrozole au début du traitement (différence statistiquement non significative).
  • +Traitement combiné associant trastuzumab et anastrozole
  • +Le trastuzumab a été étudié en association avec l'anastrozole, en traitement de première intention chez des patientes postménopausées présentant un cancer du sein métastatique surexprimant le HER2 avec récepteurs hormonaux positifs (p.ex. récepteurs aux œstrogènes (RE) et/ou récepteurs à la progestérone (RP) positifs), mais qui n'avaient pas encore reçu de chimiothérapie pour leur affection métastatique. Les patients présentant des métastases cérébrales ont également été exclus. La survie sans progression de la maladie a été significativement prolongée dans le groupe sous trastuzumab et anastrozole par rapport au groupe sous anastrozole seul (4,8 mois versus 2,4 mois, p=0,0016). En outre, les paramètres suivants ont été significativement améliorés par l'administration de trastuzumab: taux de réponse global (16,5% versus 6,7%), taux de bénéfice clinique (Clinical-Benefit-Rate, 42,7% versus 27,9%) et temps jusqu'à la progression de la maladie (4,8 mois versus 2,4 mois). Aucune différence n'a pu être identifiée entre les deux groupes en ce qui concerne le temps jusqu'à l'apparition de la réponse ainsi que la durée de la réponse. En moyenne, le temps de survie total a été prolongé de 4,6 mois dans le groupe de patients sous traitement combiné. La différence n'était cependant pas statistiquement significative. Dans ce contexte, il faut néanmoins tenir compte du fait que le traitement a été changé (crossover) chez plus de la moitié des patients du groupe sous monothérapie par l'anastrozole, au bénéfice d'une thérapie incluant le trastuzumab après progression de la maladie. 52% des patients qui avaient reçu du trastuzumab et de l'anastrozole ont survécu au moins 2 ans en comparaison aux 45% des patients qui n'avaient reçu que de l'anastrozole au début du traitement (différence statistiquement non significative).
  • -Les résultats enregistrés dans l'étude BO16348 (HERA) en termes d'efficacité sont résumés dans le tableau ci-après:
  • +Les résultats enregistrés dans l'étude BO16348 (HERA) en termes d'efficacité sont résumés dans le tableau ci-après.
  • -* Le critère co-primaire de survie sans maladie à un an versus suivi se situait dans les limites statistiques prédéfinies.
  • -** Analyse finale (y compris 52% des patients du groupe observationnel passés dans le groupe trastuzumab).
  • +* Le critère co-primaire de survie sans maladie à un an versus observation se situait dans les limites statistiques prédéfinies.
  • +** Analyse finale (y compris 52% des patients du groupe observationnel ayant passé au groupe trastuzumab).
  • -·paclitaxel intraveineux 80 mg/m² sous forme de perfusion i. v. continue, administrés toutes les semaines pendant 12 semaines
  • +·paclitaxel intraveineux - 80 mg/m² sous forme de perfusion i. v. continue, administrés toutes les semaines pendant 12 semaines
  • -·paclitaxel intraveineux 175 mg/m² sous forme de perfusion i. v. continue, administrés toutes les 3 semaines pendant 4 cycles (jour 1 de chaque cycle).
  • +·paclitaxel intraveineux - 175 mg/m² sous forme de perfusion i. v. continue, administrés toutes les 3 semaines pendant 4 cycles (jour 1 de chaque cycle).
  • -Au moment de l'analyse intermédiaire, la durée médiane du suivi était de 1,8 an pour le groupe AC→P et de 2,0 ans pour le groupe AC→PH.
  • +Au moment de l'analyse intermédiaire, la durée médiane du suivi était de 1,8 an pour le bras AC→P et de 2,0 ans pour le bras AC→PH.
  • -* pour une durée médiane de suivi de 1,8 an chez les patients du groupe AC→P et de 2,0 ans chez les patients du groupe AC→PH
  • +* pour une durée médiane de suivi de 1,8 an chez les patients du bras AC→P et de 2,0 ans chez les patients du bras AC→PH.
  • -En ce qui concerne le critère principal, la survie sans maladie, l'ajout de trastuzumab à une chimiothérapie par le paclitaxel a entraîné une diminution du risque de récidive de la maladie de 52%. En ce qui concerne le taux de survie à 3 ans sans maladie, le hazard ratio se traduit par un bénéfice absolu de 11,8 points de pourcentage (87,2% vs 75,4%) en faveur du groupe AC→PH (trastuzumab).
  • +En ce qui concerne le critère principal, la survie sans maladie, l'ajout de trastuzumab à une chimiothérapie par le paclitaxel a entraîné une diminution du risque de récidive de la maladie de 52%. En ce qui concerne le taux de survie à 3 ans sans maladie, le hazard ratio se traduit par un bénéfice absolu de 11,8 points de pourcentage (87,2% vs 75,4%) en faveur du bras AC→PH (trastuzumab).
  • -Dans l'étude BCIRG 006, le trastuzumab a été administré soit en association avec le docétaxel après une chimiothérapie à base d'AC (AC-DH), soit en association avec le docétaxel et le carboplatine (DCarbH). Le docétaxel a été administré comme suit:
  • -·docétaxel intraveineux – 100 mg/m² sous forme de perfusion i. v. sur 1 heure, administrée toutes les 3 semaines pendant 4 cycles (jour 2 du cycle 1 de docétaxel, puis jour 1 de chaque cycle suivant)
  • +Dans l'étude BCIRG 006, le trastuzumab a été administré soit en association avec le docétaxel après une chimiothérapie à base d'AC (AC-DH), soit en association avec le docétaxel et le carboplatine (DCarbH).
  • +Le docétaxel a été administré comme suit:
  • +·docétaxel intraveineux – 100 mg/m² sous forme de perfusion i. v. sur 1 heure, administrés toutes les 3 semaines pendant 4 cycles (jour 2 du cycle 1 de docétaxel, puis jour 1 de chaque cycle suivant)
  • -·docétaxel intraveineux – 75 mg/m² sous forme de perfusion i. v. sur 1 heure, administrée toutes les 3 semaines pendant 6 cycles (jour 2 du cycle 1, puis jour 1 de chaque cycle suivant), suivis de carboplatine – pour une AUC cible de 6 mg/ml/min sous forme de perfusion i. v. sur 30-60 minutes, administrées toutes les 3 semaines pendant au total 6 cycles.
  • +·docétaxel intraveineux – 75 mg/m² sous forme de perfusion i. v. sur 1 heure, administrés toutes les 3 semaines pendant 6 cycles (jour 2 du cycle 1, puis jour 1 de chaque cycle suivant),
  • +suivis de carboplatine – pour une AUC cible de 6 mg/ml/min sous forme de perfusion i. v. sur 30-60 minutes, administrés toutes les 3 semaines pendant au total 6 cycles.
  • -La durée médiane du suivi a été de 2,9 ans dans le groupe AC→D et de 3,0 ans dans le groupe AC→DH ainsi que dans le groupe DCarbH.
  • -Les résultats en termes d'efficacité de l'étude BCIRG 006 sont résumés dans les tableaux suivants:
  • -Résumé des analyses d'efficacité AC→D versus AC→DH (étude BCIRG 006)
  • +La durée médiane du suivi a été de 2,9 ans dans le bras AC→D et de 3,0 ans dans le groupe AC→DH ainsi que dans le bras DCarbH.
  • +Les résultats en termes d'efficacité de l'étude BCIRG 006 sont résumés dans les tableaux suivants.
  • -En ce qui concerne le critère principal, la survie sans maladie, le hazard ratio de l'étude BCIRG 006 se traduit par un bénéfice absolu en termes de survie à 3 ans sans maladie de 5,8 points de pourcentage (86,7 vs 80,9%) en faveur du groupe AC→DH (trastuzumab) et de 4,6 points de pourcentage (85,5 vs 80,9%) en faveur du groupe DCarbH (trastuzumab) par rapport à AC→D.
  • +En ce qui concerne le critère principal, la survie sans maladie, le hazard ratio de l'étude BCIRG 006 se traduit par un bénéfice absolu en termes de survie à 3 ans sans maladie de 5,8 points de pourcentage (86,7 vs 80,9%) en faveur du bras AC→DH (trastuzumab) et de 4,6 points de pourcentage (85,5 vs 80,9%) en faveur du bras DCarbH (trastuzumab) par rapport à AC→D.
  • -Dans l'étude BCIRG 006, 213 des 1075 patients du groupe DCarbH, 221 des 1074 patients du groupe AC→DH et 217 des 1073 patients du groupe AC→D ont eu un indice de Karnofsky ≤90 (soit 80 soit 90). Aucun bénéfice en termes de survie sans maladie n'a été constaté dans ce sous-groupe de patients (hazard ratio = 1,16, IC à 95% [0,73, 1,83] pour DCarbH vs AC→D; hazard ratio 0,97, IC à 95% [0,60, 1,55] pour AC→DH vs AC→D).
  • +Dans l'étude BCIRG 006, 213 des 1075 patients du bras DCarbH, 221 des 1074 patients du bras AC→DH et 217 des 1073 patients du bras AC→D ont eu un indice de Karnofsky ≤90 (soit 80 soit 90). Aucun bénéfice en termes de survie sans maladie n'a été constaté dans ce sous-groupe de patients (hazard ratio = 1,16, IC à 95% [0,73, 1,83] pour DCarbH vs AC→D; hazard ratio 0,97, IC à 95% [0,60, 1,55] pour AC→DH vs AC→D).
  • -Dans l'étude MO16432 (NOAH), l'administration de trastuzumab a été évaluée en association avec 10 cycles au total de chimiothérapie néoadjuvante comprenant non seulement une anthracycline, mais aussi un taxane (doxorubicine (A) et paclitaxel (P) plus trastuzumab (H), suivis de P+H, suivis de cyclophosphamide/méthotrexate/fluorouracile (CMF) plus H, suivis d'un traitement adjuvant par le trastuzumab jusqu'à une durée totale de traitement d'un an) chez des patients atteints d'un cancer du sein nouvellement diagnostiqué, localement avancé (stade III) ou inflammatoire et HER2-positif.
  • -La durée médiane du suivi dans le groupe sous trastuzumab a été de 3,8 ans. La réponse pathologique complète est définie comme l'absence de toute tumeur invasive à la fois dans les seins et les ganglions axillaires.
  • +Dans l'étude MO16432 (NOAH), l'administration de trastuzumab a été évaluée en association avec 10 cycles au total de chimiothérapie néoadjuvante comprenant non seulement une anthracycline, mais aussi un taxane (doxorubicine (A) et paclitaxel (P) plus trastuzumab (H), suivis de P+H, suivis de cyclophosphamide/méthotrexate/fluorouracile (CMF) plus H, suivis d'un traitement adjuvant par le trastuzumab jusqu'à une durée totale de traitement d'un an) chez des patients atteints d'un cancer du sein nouvellement diagnostiqué, localement avancé (stade III) ou inflammatoire HER2-positif.
  • +La durée médiane du suivi dans le bras sous trastuzumab a été de 3,8 ans. La réponse pathologique complète est définie comme l'absence de toute tumeur invasive à la fois dans les seins et les ganglions axillaires.
  • -Survie sans évènement Hazard ratio (IC à 95%)
  • +Survie sans évènement Hazard Ratio (IC à 95%)
  • -Concernant le critère d'évaluation principal, la survie sans évènement, l'ajout de trastuzumab à la chimiothérapie néoadjuvante suivi d'un traitement adjuvant par le trastuzumab pendant une durée totale de 52 semaines a entraîné une réduction du risque de récidive/progression de la maladie de 35% (hazard ratio: 0,65 [IC à 95%: 0,44, 0,96]; p<0,0275). Après 3 ans, 65% des patients du groupe sous trastuzumab et 52% des patients du groupe témoin étaient sans évènement, ce qui reflète une amélioration de 13% en faveur du groupe sous trastuzumab.
  • +Concernant le critère d'évaluation principal, la survie sans évènement, l'ajout de trastuzumab à la chimiothérapie néoadjuvante suivi d'un traitement adjuvant par le trastuzumab pendant une durée totale de 52 semaines a entraîné une réduction du risque de récidive/progression de la maladie de 35% (hazard ratio: 0,65 [IC à 95%: 0,44, 0,96]; p<0,0275). Après 3 ans, 65% des patients du bras sous trastuzumab et 52% des patients du bras témoin étaient sans évènement, ce qui reflète une amélioration de 13% en faveur du bras sous trastuzumab.
  • -Dans l'étude HERA, il a été constaté, en ce qui concerne la localisation des premières récidives, une différence de 0,3% pour ce qui est des métastases du SNC dans le groupe sous trastuzumab (1,2% des patients contre 0,9% des patients du groupe témoin). Au total, l'incidence des métastases du SNC (premières récidives et récidives suivantes) a cependant été semblable dans les deux groupes (23 patients dans le groupe sous observation contre 25 dans le groupe sous trastuzumab). Cela signifie que, selon toute probabilité, les micrométastases du SNC étaient, à la fin de la chimiothérapie adjuvante, à peu près aussi fréquentes dans les deux groupes thérapeutiques.
  • +Dans l'étude HERA, il a été constaté, en ce qui concerne la localisation des premières récidives, une différence de 0,3% pour ce qui est des métastases du SNC dans le groupe sous trastuzumab (1,2% des patients contre 0,9% des patients du groupe témoin). Au total, l'incidence des métastases du SNC (premières récidives et récidives suivantes) a cependant été semblable dans les deux groupes (23 patients dans le groupe sous observation et 25 dans le groupe sous trastuzumab). Cela signifie que, selon toute probabilité, les micrométastases du SNC étaient, à la fin de la chimiothérapie adjuvante, à peu près aussi fréquentes dans les deux groupes thérapeutiques.
  • -Les résultats d'efficacité de l'étude BO18255 sont résumés dans le tableau suivant. Les patients ayant participé à l'étude n'avaient pas encore reçu de traitement pour leur adénocarcinome métastatique de l'estomac ou de la jonction œso-gastrique. Le critère d'évaluation principal était la survie globale. Au moment de l'analyse, au total 349 patients randomisés étaient décédés: 182 patients (62,8%) dans le groupe témoin et 167 patients (56,8%) dans le groupe traité. La majorité des décès était due à des évènements liés au cancer sous-jacent.
  • -La survie globale a été significativement meilleure dans le groupe sous trastuzumab + capécitabine/5 -FU et cisplatine, que dans le groupe sous capécitabine/5 -FU et cisplatine (p=0,0046, test du Log-Rank). La survie moyenne a été de 11,1 mois avec le traitement capécitabine/5 -FU et cisplatine et de 13,8 mois avec trastuzumab + capécitabine/5 -FU et cisplatine. Les patients du groupe sous trastuzumab ont présenté une réduction du risque de mortalité de 26% par rapport aux patients du groupe sous capécitabine/5 -FU (hazard ratio [HR] 0,74, IC à 95% [0,60, 0,91]).
  • -Des analyses de sous-groupes réalisées a posteriori ont indiqué que les effets thérapeutiques étaient plus marqués lorsque les tumeurs traitées présentaient des concentrations élevées de protéine HER2 (IHC 2+/FISH+ et IHC 3+/indépendamment du statut FISH). La survie globale médiane du groupe exprimant plus fortement HER2 a été de 11,8 mois contre 16 mois, avec un HR de 0,65 (IC à 95% 0,51, 0,83) et la survie moyenne sans progression a été de 5,5 mois contre 7,6 mois, avec un HR de 0,64 (IC à 95% 0,51, 0,79) pour capécitabine/5 -FU et cisplatine et pour trastuzumab + capécitabine/5 -FU et cisplatine.
  • -Résumé des données d'efficacité (étude BO18255):
  • +Les résultats d'efficacité de l'étude BO18255 sont résumés dans le tableau suivant. Les patients ayant participé à l'étude n'avaient pas encore reçu de traitement pour leur adénocarcinome métastatique de l'estomac ou de la jonction œso-gastrique. Le critère d'évaluation principal était la survie globale. Au moment de l'analyse, au total 349 patients randomisés étaient décédés: 182 patients (62,8%) dans le bras témoin et 167 patients (56,8%) dans le bras traité. La majorité des décès était due à des évènements liés au cancer sous-jacent.
  • +La survie globale a été significativement meilleure dans le bras sous trastuzumab + capécitabine/5-FU et cisplatine, que dans le bras sous capécitabine/5-FU et cisplatine (p=0,0046, test du Log-Rank). La survie moyenne a été de 11,1 mois avec le traitement capécitabine/5-FU et cisplatine et de 13,8 mois avec trastuzumab + capécitabine/5-FU et cisplatine. Les patients du bras sous trastuzumab ont présenté une réduction du risque de mortalité de 26% par rapport aux patients du groupe sous capécitabine/5-FU (hazard ratio [HR] 0,74, IC à 95% [0,60, 0,91]).
  • +Des analyses de sous-groupes réalisées à posteriori ont indiqué que les effets thérapeutiques étaient plus marqués lorsque les tumeurs traitées présentaient des concentrations élevées de protéine HER2 (IHC 2+/FISH+ et IHC 3+/indépendamment du statut FISH). La survie globale médiane du groupe exprimant le plus fortement HER2 a été de 11,8 mois contre 16 mois, HR 0,65 (IC à 95% 0,51, 0,83) et la survie moyenne sans progression a été de 5,5 mois contre 7,6 mois, HR 0,64 (IC à 95% 0,51, 0,79) pour capécitabine/5-FU et cisplatine et pour trastuzumab + capécitabine/5-FU et cisplatine.
  • +Résumé des données d'efficacité (étude BO18255)
  • -b Les valeurs de p ne sont pas mentionnées pour les sous-groupes, la puissance étant insuffisante pour mettre en évidence des différences entre les groupes de l'étude.
  • +b Les valeurs de p ne sont pas mentionnées pour les sous-groupes, la puissance étant insuffisante pour mettre en évidence des différences entre les bras de l'étude.
  • -La pharmacocinétique du trastuzumab a été évaluée avec une analyse de modèle de la pharmacocinétique de population à partir de la consultation des données compilées de 1582 sujets issus de 18 études de phase I, II et III, ayant reçu du trastuzumab par voie intraveineuse. Un modèle à deux compartiments, avec une élimination parallèle linéaire et non linéaire à partir du compartiment central, reflétait le profil de concentration du trastuzumab en fonction du temps. En raison de l'élimination non linéaire, la clearance totale s'élevait lorsque les concentrations diminuaient. En cas de cancer du sein (MBC/EBC), la clearance linéaire était de 0,127 l/jour et de 0,176 l/jour en cas d'AGC (advanced gastric cancer). La vitesse maximale d'élimination (Vmax) était de 8,81 mg/j en cas d'élimination non linéaire, et la constante de Michaelis-Menten (Km) était de 8,92 mg/l. Le volume dans le compartiment central était de 2,62 l chez les patients présentant un cancer du sein et de 3,63 l chez les patients présentant un AGC.
  • -Les tableaux suivants présentent les pronostics d'exposition pharmacocinétiques prédits pour les populations concernées (avec les 5e -95e percentiles) et les valeurs des paramètres pharmacocinétiques en cas de concentrations cliniquement significatives (Cmax et Cmin) pour les patients présentant un cancer du sein et pour les patients présentant un AGC, ayant été traités avec les schémas posologiques autorisés administrés sur un mode hebdomadaire et toutes les 3 semaines.
  • -Pronostics d'exposition pharmacocinétiques prédits au cycle 1 pour les populations concernées (avec 5e -95e percentiles médians) pour le schéma thérapeutique intraveineux chez les patients présentant un cancer du sein et les patients présentant un AGC
  • +La pharmacocinétique du trastuzumab a été définie dans une analyse de modèle de la pharmacocinétique de population à partir de la consultation des données poolées de 1582 sujets issus de 18 études de phase I, II et III, ayant reçu du trastuzumab par voie intraveineuse.
  • +Absorption
  • +Non applicable.
  • +Distribution
  • +Les tableaux suivants présentent les pronostics d'exposition pharmacocinétiques prédits pour les populations concernées (avec les 5ème-95ème percentiles) et les valeurs des paramètres pharmacocinétiques en cas de concentrations cliniquement significatives (Cmax et Cmin) pour les patients présentant un cancer du sein et pour les patients présentant un AGC, ayant été traités avec les schémas posologiques autorisés administrés sur un mode hebdomadaire et toutes les 3 semaines.
  • +Pronostics d'exposition pharmacocinétiques prédits au cycle 1 pour les populations concernées (avec médiane 5ème-95ème percentiles) pour le schéma thérapeutique intraveineux chez les patients présentant un cancer du sein et les patients présentant un AGC
  • -4 mg/kg + 2 mg/kg hebdomadaires MBC/EBC 1195 37,7 (12,3-70,9) 88,3 (58-144) 1066 (586-1754)
  • +4 mg/kg + 2 mg/kg hebdomadaire MBC/EBC 1195 37,7 (12,3-70,9) 88,3 (58-144) 1066 (586-1754)
  • -Pronostics d'exposition pharmacocinétiques prédits à l'état d'équilibre pour les populations concernées (avec 5e -95e percentiles) pour le schéma thérapeutique intraveineux chez les patients présentant un cancer du sein et les patients présentant un AGC
  • +Pronostics d'exposition pharmacocinétiques prédits à l'état d'équilibre pour les populations concernées (avec 5ème-95ème percentiles) pour le schéma thérapeutique intraveineux chez les patients présentant un cancer du sein et les patients présentant un AGC
  • -4 mg/kg + 2 mg/kg hebdomadaires MBC/EBC 1195 66,1 (14,9-142) 109 (51,0-209) 1765 (647-3578) 12 0,201-0,244
  • +4 mg/kg + 2 mg/kg hebdomadaire MBC/EBC 1195 66,1 (14,9-142) 109 (51,0-209) 1765 (647-3578) 12 0,201-0,244
  • +Métabolisme
  • +Non applicable.
  • +Élimination
  • +
  • -Cancer du sein: des concentrations mesurables du domaine extracellulaire circulant du récepteur HER2 («shed antigen») ont été décelées dans le sérum de 64% des patients atteints de cancer du sein avec surexpression de HER2 (jusqu'à 1880 ng/ml; médiane = 11 ng/ml). Les patients dont les taux initiaux d'antigène HER2 circulant étaient plus élevés avaient des concentrations sériques minimales de trastuzumab moins élevées. Lors d'une administration hebdomadaire, la plupart des patients ayant des taux élevés d'antigène circulant ont obtenu les concentrations sériques souhaitées de trastuzumab jusqu'à la 6e semaine. Aucun rapport significatif n'a été retrouvé entre le taux initial de l'antigène circulant et l'efficacité clinique.
  • +Cancer du sein: des concentrations mesurables du domaine extracellulaire circulant du récepteur HER2 («shed antigen») ont été décelées dans le sérum de 64% des patients atteints de cancer du sein avec surexpression de HER2 (jusqu'à 1880 ng/ml; médiane = 11 ng/ml). Les patients dont les taux initiaux d'antigène HER2 circulant étaient plus élevés avaient des concentrations sériques minimales plutôt faibles de trastuzumab. Lors d'une administration hebdomadaire, la plupart des patients ayant des taux élevés d'antigène circulant ont obtenu les concentrations sériques souhaitées de trastuzumab jusqu'à la 6e semaine. Aucun rapport significatif n'a été retrouvé entre le taux initial de l'antigène circulant et l'efficacité clinique.
  • +Linéarité/non-linéarité
  • +Un modèle à deux compartiments, avec une élimination parallèle linéaire et non linéaire à partir du compartiment central, reflétait le profil concentration-temps du trastuzumab. En raison de l'élimination non linéaire, la clearance totale s'élevait lorsque les concentrations diminuaient. En cas de cancer du sein (MBC/EBC), la clearance linéaire était de 0,127 l/jour et de 0,176 l/jour en cas d'AGC. La vitesse maximale d'élimination (Vmax) était de 8,81 mg/j en cas d'élimination non linéaire, et la constance de Michaelis-Menten (Km) était de 8,92 mg/l. Le volume dans le compartiment central était de 2,62 l chez les patients présentant un cancer du sein et de 3,63 l chez les patients présentant un AGC.
  • +
  • -Aucune étude pharmacocinétique détaillée n'a été effectuée chez les patients âgés ou chez les patients avec insuffisance rénale ou hépatique. Dans une analyse pharmacocinétique de population, il a été démontré qu'une insuffisance rénale n'affectait pas la cinétique du trastuzumab.
  • -La cinétique pharmacologique du trastuzumab n'a pas été affectée par des facteurs tels que l'âge des patients ou la créatinine sérique.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Aucune étude pharmacocinétique détaillée n'a été effectuée chez les patients avec insuffisance hépatique.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Aucune étude pharmacocinétique détaillée n'a été effectuée chez les patients âgés ou chez les patients avec insuffisance rénale. Dans une analyse pharmacocinétique de population, il a été démontré qu'une insuffisance rénale n'affectait pas la cinétique du trastuzumab.
  • +La cinétique pharmacologique du trastuzumab n'a pas été affectée par la créatinine sérique.
  • +Patients âgés
  • +Aucune étude pharmacocinétique détaillée n'a été effectuée chez les patients âgés.
  • +L'âge des patients n'a eu aucune influence sur la pharmacocinétique du trastuzumab.
  • +Pharmacologie de sécurité/Toxicité à long terme (ou toxicité en cas d'administration répétée)
  • -Des études de reproduction réalisées chez des singes cynomolgus avec des doses jusqu'à 25 fois supérieures à la dose d'entretien hebdomadaire de 2 mg/kg de trastuzumab utilisée chez l'être humain n'ont montré aucun signe de diminution de la fertilité chez les femelles. L'influence sur la fécondité des animaux mâles n'a pas été étudiée. Des études sur la tératogénicité, la toxicité en fin de gestation et le passage transplacentaire n'ont fourni aucun indice de toxicité sur la reproduction.
  • -Aucune étude de carcinogénicité n'a été réalisée pour évaluer le potentiel carcinogène d'Ogivri.
  • -Deux études de toxicité non cliniques pour déterminer les effets cardiotoxiques du trastuzumab ont été réalisées avec des macaques crabiers (singes cynomolgus).
  • -Les effets de trastuzumab ont été étudiés chez des animaux souffrant de lésions cardiaques manifestes provoquées par le traitement antérieur par la doxorubicine. Après la fin du traitement par le trastuzumab, aucune modification de paramètres évoquant une nécrose des cellules myocardiques n'a été révélée. Les résultats ont montré des modifications au niveau d'un paramètre, la distance entre le point E de coaptation de la valve mitrale et le septum (EPSS), mais non au niveau de deux autres paramètres, la fraction de raccourcissement (FS) et le raccourcissement circonférentiel des fibres (Vcf), qui auraient évoqué un trouble de la fonction cardiaque.
  • +Deux études de toxicité non cliniques pour déterminer les effets cardiotoxiques du trastuzumab ont été réalisées avec des macaques crabiers (singes Cynomolgus).
  • +Les effets du trastuzumab ont été étudiés chez des animaux souffrant de lésions cardiaques manifestes provoquées par le traitement antérieur par la doxorubicine. Après la fin du traitement par le trastuzumab, aucune modification de paramètres évoquant une nécrose des cellules myocardiques n'a été révélée. Les résultats ont montré des modifications au niveau d'un paramètre, la distance entre le point E de coaptation de la valve mitrale et le septum (EPSS), mais non au niveau de deux autres paramètres, la fraction de raccourcissement (FS) et le raccourcissement circonférentiel des fibres (Vcf), qui auraient évoqué un trouble de la fonction cardiaque.
  • +Carcinogénicité
  • +Aucune étude de carcinogénicité n'a été réalisée pour évaluer le potentiel carcinogène d'Ogivri.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Des études de reproduction réalisées chez des singes Cynomolgus avec des doses jusqu'à 25 fois supérieures à la dose d'entretien hebdomadaire de 2 mg/kg de trastuzumab utilisée chez l'être humain n'ont montré aucun signe de diminution de la fertilité féminine. L'influence sur la fécondité des animaux mâles n'a pas été étudiée. Des études sur la tératogénicité, la toxicité en fin de gestation et le passage transplacentaire n'ont fourni aucun indice de toxicité sur la reproduction.
  • +
  • -Ogivri ne doit pas être mélangé ni dilué avec d'autres médicaments.
  • +Aucune étude de tolérance n'ayant été effectuée, Ogivri ne doit pas être mélangé ni dilué avec d'autres médicaments.
  • +Stabilité après ouverture
  • +Ogivri 150 mg pour injection unique
  • +Stabilité de la solution à diluer reconstituée
  • +La stabilité physique et chimique de la solution à diluer reconstituée avec l'eau stérile pour préparations injectables a été démontrée jusqu'à 10 jours à une température comprise entre 2 °C et 8 °C.
  • +Pour des raisons microbiologiques, la solution à diluer reconstituée doit être diluée immédiatement dans la solution pour perfusion. Dans le cas contraire, les durées et les conditions de conservation de la solution prête à l'emploi avant l'utilisation relèvent de la responsabilité de l'utilisateur et ne doivent pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2° C et 8° C, sauf si la reconstitution a été réalisée dans des conditions d'asepsie contrôlées et validées.
  • +Ne pas congeler la solution à diluer reconstituée.
  • +Stabilité de la solution pour perfusion d'Ogivri 150 mg prête à l'emploi
  • +La stabilité physique et chimique de la solution pour perfusion d'Ogivri prête à l'emploi (diluée avec une solution de chlorure de sodium à 0,9% dans des poches en polychlorure de vinyle, en polyéthylène ou en polypropylène) est démontrée jusqu'à 30 jours à une température comprise entre 2 °C et 8 °C et pendant 24 heures à température ambiante (≤30 °C).
  • +Pour des raisons microbiologiques, la solution pour perfusion d'Ogivri doit être utilisée immédiatement. Si elle n'est pas utilisée immédiatement, les durées et les conditions de conservation de la solution pour perfusion avant l'utilisation relèvent de la responsabilité de l'utilisateur et ne doivent pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2 °C et 8 °C, sauf si la reconstitution et la dilution ont été réalisées dans des conditions d'asepsie contrôlées et validées.
  • +Ogivri 440 mg pour injections multiples
  • +Stabilité de la solution à diluer reconstituée
  • +La solution à diluer d'Ogivri reconstituée avec l'eau bactériostatique pour préparations injectables fournie avec le flacon d'Ogivri 440 mg est stable pendant 28 jours à une température comprise entre 2 °C et 8 °C. Elle contient un conservateur et se prête ainsi à des injections multiples. Tout résidu de la solution à diluer reconstituée doit être éliminé après 28 jours.
  • +Pour administrer Ogivri à un patient présentant une hypersensibilité connue à l'alcool benzylique (voir rubrique «Mises en garde et précautions, section Ogivri pour injections multiples (alcool benzylique)»), Ogivri doit être reconstitué avec de l'eau stérile pur préparations injectables et seule une dose d'Ogivri par flacon doit être prélevée. La solution à diluer reconstituée avec l'eau stérile pour préparations injectables doit être utilisée immédiatement. Éliminer tout résidu.
  • +Ne pas congeler la solution à diluer reconstituée.
  • +Stabilité de la solution pour perfusion d'Ogivri 440 mg prête à l'emploi
  • +La stabilité physique et chimique de la solution pour perfusion d'Ogivri prête à l'emploi (diluée dans une solution de chlorure de sodium à 0,9% dans des poches en polychlorure de vinyle ou en polyéthylène) est démontrée pendant 24 heures à une température comprise entre 2 °C et 8 °C , puis pendant 24 heures à des températures allant jusqu'à 30 °C.
  • +Pour des raisons microbiologiques, la solution pour perfusion d'Ogivri doit être utilisée immédiatement. Si elle n'est pas utilisée immédiatement, les durées et les conditions de conservation relèvent de la responsabilité de l'utilisateur. La durée de conservation ne doit pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2 °C et 8 °C.
  • +Remarques concernant l'élimination
  • +À la fin du traitement ou après l'expiration, rapporter le médicament non utilisé, dans son emballage d'origine, à la personne qui l'a délivré (médecin ou pharmacien) en vue de son élimination conforme.
  • +
  • -Conserver le flacon perforable avec la poudre pour un concentré pour la préparation d'une solution de perfusion au réfrigérateur (2-8 °C).
  • +Conserver le flacon avec la poudre pour un concentré pour la préparation d'une solution de perfusion au réfrigérateur (2-8 °C).
  • -Manipulation d'Ogivri 150 mg pour injection unique
  • +Instructions concernant la manipulation d'Ogivri 150 mg pour injection unique
  • -Le contenu du flacon perforable d'Ogivri 150 mg est reconstitué avec 7,2 ml d'eau stérile pour préparations injectables (non fournie). Ne pas utiliser d'autres agents de reconstitution. On obtient ainsi une solution de 7,4 ml pour administration unique, à 21 mg de trastuzumab par ml et à pH 6,0 environ.
  • +Le contenu du flacon d'Ogivri 150 mg est reconstitué avec 7,2 ml d'eau stérile pour préparations injectables (non fournie). Ne pas utiliser d'autres agents de reconstitution. On obtient ainsi une solution de 7,4 ml pour administration unique, à 21 mg de trastuzumab par ml et de pH 6,0 environ.
  • -1.À l'aide d'une seringue stérile, injecter lentement 7,2 ml d'eau stérile pour préparations injectables sur le lyophilisat d'Ogivri contenu dans le flacon perforable.
  • +1.À l'aide d'une seringue stérile, injecter lentement 7,2 ml d'eau stérile pour préparations injectables sur le lyophilisat d'Ogivri pour solution à diluer pour perfusion contenu dans le flacon.
  • -Préparation en vue de l'utilisation:
  • -Il convient d'opérer dans des conditions d'asepsie appropriées. Le contenu de chaque flacon perforable d'Ogivri 440 mg doit être reconstitué avec 20 ml d'eau bactériostatique pour préparations injectables fournie contenant de l'alcool benzylique à 1,1%. On obtient ainsi une solution à 21 mg de trastuzumab par ml, pour injections multiples, à pH 6,0 environ. Éviter d'utiliser d'autres solutions pour la reconstitution.
  • -Pour la préparation d'une dose unique, de l'eau pour préparations injectables (non fournie) peut aussi être utilisée en cas d'hypersensibilité à l'alcool benzylique. De telles préparations doivent être utilisées immédiatement et tout reste non utilisé doit être jeté. Toute utilisation d'autres solvants doit être évitée.
  • +Préparation en vue de l'utilisation
  • +Il convient d'opérer dans des conditions d'asepsie appropriées. Le contenu de chaque flacon d'Ogivri 440 mg doit être reconstitué avec 20 ml d'eau bactériostatique pour préparations injectables fournie contenant de l'alcool benzylique à 1,1%. On obtient ainsi une solution à 21 mg de trastuzumab par ml, pour injections multiples, de pH 6,0 environ. Éviter d'utiliser d'autres solutions pour la reconstitution.
  • +Pour la préparation d'une dose unique, de l'eau pour préparations injectables (non fournie) peut aussi être utilisée en cas d'hypersensibilité à l'alcool benzylique. De telles préparations doivent être utilisées immédiatement et tout résidu doit être jeté. Toute utilisation d'autres solvants doit être évitée.
  • -Instructions pour la reconstitution:
  • -1.À l'aide d'une seringue stérile, injecter lentement 20 ml d'eau bactériostatique sur la poudre d'Ogivri dans le flacon perforable.
  • +Instructions pour la reconstitution
  • +1.À l'aide d'une seringue stérile, injecter lentement 20 ml d'eau bactériostatique sur le lyophilisat d'Ogivri pour solution à diluer pour perfusion contenu dans le flacon.
  • -Remarques concernant la manipulation des flacons perforables d'Ogivri pour injection unique et injections multiples
  • +Remarques concernant la manipulation des flacons d'Ogivri pour injection unique et injections multiples
  • -Le volume approprié de solution reconstituée doit être prélevé du flacon perforable (soit du flacon à 150 mg pour injection unique, soit du flacon à 440 mg pour injections multiples) et introduit dans une poche à perfusion contenant 250 ml de solution de chlorure de sodium à 0,9%. Ne pas utiliser de solutions de glucose (5%) (voir «Incompatibilités»). La poche doit être retournée avec précautions pour éviter la formation de mousse lors du mélange de la solution. Il convient de vérifier visuellement, avant leur administration, que les médicaments à usage parentéral ne présentent pas de particules en suspension ou de coloration.
  • +Le volume approprié de solution reconstituée doit être prélevé du flacon (soit du flacon à 150 mg pour injection unique, soit du flacon à 440 mg pour injections multiples) à l'aide d'une aigulle et d'une seringue stériles et introduit dans une poche à perfusion contenant 250 ml de solution de chlorure de sodium à 0,9%. Ne pas utiliser de solutions de glucose (5%) (voir «Incompatibilités»). La poche doit être retournée avec précaution pour éviter la formation de mousse lors du mélange de la solution.
  • +Lors de la préparation de la solution à diluer et de la solution pour perfusion prête à l'emploi, il convient de toujours assurer la stérilité des solutions.
  • +Il convient de vérifier visuellement, avant leur administration, que les médicaments à usage parentéral ne présentent pas de particules en suspension ou de coloration.
  • -Stabilité de la solution reconstituée et de la solution pour perfusion
  • -Toute quantité restante de solution reconstituée et de solution pour perfusion n'ayant pas été préparée dans des conditions d'asepsie contrôlées et validées doit être éliminée.
  • -Ogivri 150 mg pour injection unique
  • -Après reconstitution aseptique avec de l'eau stérile pour préparations injectables, la solution reste physiquement et chimiquement stable pendant 48 heures à 2-8 °C (ne pas congeler). Pour des raisons microbiologiques, la solution reconstituée contenant Ogivri doit être utilisée immédiatement, à moins que la préparation ait été réalisée dans des conditions d'asepsie contrôlées et validées.
  • -Ogivri 440 mg pour injections multiples
  • -Le contenu d'un flacon perforable d'Ogivri reconstitué avec l'eau bactériostatique pour préparations injectables fournie peut être conservé pendant 28 jours au réfrigérateur à une température de 2-8 °C. La solution reconstituée contient un conservateur et se prête ainsi à des administrations répétées. Tout reste non utilisé de solution reconstituée doit être jeté après 28 jours.
  • -Pour administrer Ogivri à un patient présentant une hypersensibilité connue à l'alcool benzylique [voir «Mises en garde et précautions: Ogivri pour injections multiples (alcool benzylique)»], Ogivri doit être reconstitué avec de l'eau pour préparations injectables et seule une dose d'Ogivri doit être prélevée de chaque flacon perforable. La solution reconstituée doit être utilisée immédiatement. Tout reste non utilisé doit être jeté.
  • -Ne pas congeler la solution reconstituée.
  • -Solution pour perfusion Ogivri
  • -Solution pour perfusion à 150 mg d'Ogivri:
  • -Lors d'une préparation sous conditions aseptiques, la stabilité physico-chimique de la solution pour perfusion Ogrivi 150 mg dans des poches en polychlorure de vinyle, en polyéthylène ou en polypropylène contenant une solution de chlorure de sodium à 0,9% a été démontrée pendant 24 heures à une température ne dépassant pas 30 °C. Étant donné que la solution pour perfusion Ogivri 150 mg ne contient pas de conservateur, elle doit être utilisée immédiatement pour des raisons microbiologiques.
  • -Solution pour perfusion à 440 mg d'Ogivri:
  • -La stabilité physico-chimique de la solution pour perfusion Ogivri 440 mg dans des poches en polychlorure de vinyle, en polyéthylène ou en polypropylène contenant une solution de chlorure de sodium à 0,9% a été démontrée pendant 24 heures à une température entre 2 °C et 8 °C. La solution pour perfusion d'Ogivri 440 mg doit être utilisée immédiatement pour des raisons microbiologiques. Si la préparation a été effectuée dans des conditions aseptiques, elle peut être conservée au réfrigérateur entre 2 °C et 8 °C pendant 24 heures.
  • -Informations concernant l'élimination
  • -Après la fin du traitement ou en cas de péremption des médicaments, les médicaments non utilisés doivent être retournés dans leur emballage original au lieu de remise (médecin ou pharmacien) en vue d'une élimination conforme.
  • -67467, 67470 (Swissmedic)
  • +67467, 67470 (Swissmedic).
  • -150 mg pour injection unique:
  • -1 flacon perforable d'Ogivri (150 mg de trastuzumab) [A]
  • -440 mg pour injections multiples:
  • -Emballage de 1 flacon perforable d'Ogivri (440 mg de trastuzumab) et de 1 flacon perforable de 20 ml de solvant [A]
  • +150 mg pour injection unique
  • +1 flacon d'Ogivri (150 mg de trastuzumab) [A].
  • +440 mg pour injections multiples
  • +Emballage de 1 flacon d'Ogivri (440 mg de trastuzumab) et de 1 flacon de 20 ml de solvant [A].
  • -Mylan Pharma Sàrl, 6312 Steinhausen.
  • +Mylan Pharma GmbH, 6312 Steinhausen.
  • -Avril 2020.
  • -
  • +Mars 2021.
  • +Version 103 F
  • +
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home