60 Changements de l'information professionelle Fulphila 6 mg |
-Hydroxyde de sodium (equivalent à sodium 0.0115 mg/0.6 ml (0.019 mg/ml)), acide acétique, sorbitol (E420) 30 mg pro 0.6 ml, polysorbate 20 (le polysorbate 20 peut être fabriqué avec du maïs génétiquement modifié), eau pour préparations injectables.
- +Hydroxyde de sodium (équivalent à sodium 0.0115 mg/0.6 ml (0.019 mg/ml)), acide acétique, sorbitol (E420) 30 mg pro 0.6 ml, polysorbate 20 (le polysorbate 20 peut être fabriqué avec du maïs génétiquement modifié), eau pour préparations injectables.
- +Le traitement par Fulphila doit être instauré et supervisé par des médecins expérimentés en oncologie et/ou en hématologie.
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-Le traitement par Fulphila doit être instauré et supervisé par des médecins expérimentés en oncologie et/ou en hématologie.
-Un nombre limité de données cliniques obtenues chez 83 patients traités lors d'une étude interrompue prématurément par erreur suggère que l'effet du pegfilgrastim et celui du filgrastim sur le temps de récupération d'une neutropénie sévère sont comparables chez les patients présentant une leucémie aiguë myéloïde (LAM) de novo (voir «Propriétés/Effets»). Cependant, les effets à long terme de Fulphila n'ont pas encore été suffisamment étudiés lors de la LAM; par conséquent, Fulphila doit être utilisé avec précaution dans cette population de patients.
- +Un nombre limité de données cliniques obtenues chez 83 patients traités lors d'une étude interrompue prématurément par erreur suggère que l'effet du pegfilgrastim et celui du filgrastim sur le temps de récupération d'une neutropénie sévère sont comparables chez les patients présentant une leucémie myéloïde aiguë (LMA) de novo (voir Propriétés/Effets). Cependant, les effets à long terme de Fulphila n'ont pas encore été suffisamment étudiés lors de la LMA; par conséquent, Fulphila doit être utilisé avec précaution dans cette population de patients.
-La sécurité et l'efficacité de Fulphila n'ont pas été étudiées chez les patients atteints de syndrome myélodysplasique, de leucémie myéloïde chronique ou de LAM secondaire; par conséquent, Fulphila ne doit pas être utilisé chez ces patients. Une attention particulière doit être portée au diagnostic différentiel entre la transformation blastique d'une leucémie myéloïde chronique et une leucémie aiguë myéloïde.
- +La sécurité et l'efficacité de Fulphila n'ont pas été étudiées chez les patients atteints de syndrome myélodysplasique, de leucémie myéloïde chronique ou de LMA secondaire; par conséquent, Fulphila ne doit pas être utilisé chez ces patients. Une attention particulière doit être portée au diagnostic différentiel entre la transformation blastique d'une leucémie myéloïde chronique et une leucémie aiguë myéloïde.
-De rares cas (>0,01% et <0,1%) d'effets indésirables pulmonaires, notamment de pneumonie interstitielle, ont été rapportés après l'administration de G-CSF. Le risque peut être accru chez les patients ayant une anamnèse récente d'infiltrats pulmonaires ou de pneumonie.
- +Effets indésirables pulmonaires
- +De rares cas (> 0,01% et < 0,1%) d'effets indésirables pulmonaires, notamment de pneumonie interstitielle, ont été rapportés après l'administration de G-CSF. Le risque peut être accru chez les patients ayant une anamnèse récente d'infiltrats pulmonaires ou de pneumonie.
- +Glomérulonéphrite
- +
-Un syndrome de fuite capillaire a été rapporté après l'administration de facteur de croissance granulocytaire et est caractérisé par une hypotension, une hypoalbuminémie, des œdèmes et une hémoconcentration. Les patients développant des symptômes du syndrome de fuite capillaire doivent être étroitement surveillés et recevoir un traitement symptomatique standard, qui peut inclure un recours à des soins intensifs (voir rubrique «Effets indésirables»).
- +Syndrome de fuite capillaire
- +Un syndrome de fuite capillaire a été rapporté après l'administration de facteur de croissance granulocytaire et est caractérisé par une hypotension, une hypoalbuminémie, des œdèmes et une hémoconcentration. Les patients développant des symptômes du syndrome de fuite capillaire doivent être étroitement surveillés et recevoir un traitement symptomatique standard, qui peut inclure un recours à des soins intensifs (voir Effets indésirables).
- +Splénomégalie et rupture splénique
- +Thrombopénie et anémie
- +Syndrome myélodysplasique et leucémie myéloïde aiguë chez les patients atteints de cancer du sein et du poumon
- +Dans le cadre d'études observationnelles après commercialisation, le pegfilgrastim associé à la chimiothérapie et/ou à la radiothérapie a été associé à l'apparition de cas de syndrome myélodysplasique (SMD) et de leucémie myéloïde aiguë (LMA) chez les patients atteints de cancer du sein et du poumon (voir Effets indésirables). Les patients traités dans ces conditions doivent être surveillés afin de détecter tout signe ou symptôme de SMD/LMA.
- +Anémie falciforme
-Un nombre de leucocytes supérieur ou égal à 100× 109/l a été observé chez moins de 1% des patients traités par Fulphila. Aucun effet indésirable directement attribuable à un tel niveau de leucocytose n'a cependant été rapporté. Une telle élévation du nombre de leucocytes est transitoire, elle survient typiquement entre 24 et 48 heures après l'administration et elle conforme aux effets pharmacodynamiques de Fulphila.
-Une hypersensibilité, incluant des réactions anaphylactiques, a été rapportée chez des patients traités par Fulphila, lors du traitement initial ou des traitements suivants. Le traitement par Fulphila doit être arrêté de façon définitive chez les patients présentant une hypersensibilité cliniquement significative. Ne pas administrer Fulphila à des patients ayant des antécédents d'hypersensibilité au pegfilgrastim ou au filgrastim.
-Si une réaction allergique grave survient, un traitement approprié doit être administré et le patient devra être attentivement suivi pendant plusieurs jours.
-Une aortite a été signalée chez des patients après l'administration de G-CSF (comme le pegfilgrastim). Les symptômes ressentis comprenaient: fièvre, douleurs abdominales, malaise, maux de dos et augmentation de marqueurs inflammatoires (p.ex. protéine C-réactive et nombre de globules blancs). Dans la plupart des cas, l'aortite a été diagnostiquée par un examen TDM et a été résolue après l'arrêt du traitement par G-CSF (voir également section «Effets Indésirables»).
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- +Leucocytose
- +Un nombre de leucocytes supérieur ou égal à 100× 109/l a été observé chez moins de 1% des patients traités par Fulphila. Aucun effet indésirable directement attribuable à un tel niveau de leucocytose n'a cependant été rapporté. Une telle élévation du nombre de leucocytes est transitoire, elle survient typiquement entre 24 et 48 heures après l'administration et elle est conforme aux effets pharmacodynamiques de Fulphila.
- +Hypersensibilité
- +Une hypersensibilité, incluant des réactions anaphylactiques, a été rapportée chez des patients traités par Fulphila, lors du traitement initial ou des traitements suivants. Le traitement par Fulphila doit être arrêté de façon définitive chez les patients présentant une hypersensibilité cliniquement significative. Ne pas administrer Fulphila à des patients ayant des antécédents d'hypersensibilité au pegfilgrastim ou au filgrastim. Si une réaction allergique grave survient, un traitement approprié doit être administré et le patient devra être attentivement suivi pendant plusieurs jours.
- +Syndrome de Stevens-Johnson
- +De rares cas de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), pouvant engager le pronostic vital ou avoir une issue fatale, ont été rapportés en association avec le traitement par pegfilgrastim. En cas de survenue d'un syndrome de Stevens-Johnson chez un patient traité par pegfilgrastim, ce traitement ne doit en aucun cas être réinstauré.
- +Aortite
- +Une aortite a été signalée après administration de G-CSF (comme le pegfilgrastim) chez des sujets sains et des patients atteints d'un cancer. Les symptômes ressentis comprenaient: fièvre, douleurs abdominales, malaise, maux de dos et augmentation des marqueurs inflammatoires (p.ex. protéine C-réactive et nombre de globules blancs). Dans la plupart des cas, l'aortite a été diagnostiquée par un examen TDM et a été résolue après l'arrêt du traitement par G-CSF (voir également Effets Indésirables).
- +Autres précautions
- +
-Ce médicament contient 30 mg de sorbitol par seringue préremplie, équivalent à 50 mg/ml. L'effet additif des produits administrés concomitamment contenant du sorbitol (ou du fructose) et l'apport alimentaire de sorbitol (ou de fructose) doit être pris en compte. Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas recevoir ce médicament,sauf en cas de nécessité uniquement. L'historique détaillé des symptômes d'IHF doit être obtenu pour chaque patient avant de prescrire ce médicament.
-Fulphila contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose de 6 mg, c.-à-d. qu'il est essentiellement « sans sodium ».
- +Mises en garde relatives aux autres composants
- +Sorbitol
- +Ce médicament contient 30 mg de sorbitol par seringue préremplie, équivalent à 50 mg/ml. L'effet additif des produits administrés concomitamment contenant du sorbitol (ou du fructose) et l'apport alimentaire de sorbitol (ou de fructose) doit être pris en compte. Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas recevoir ce médicament,sauf en cas de nécessité uniquement. L'historique détaillé des symptômes d'IHF doit être obtenu pour chaque patient avant de prescrire ce médicament.
- +Sodium
- +Fulphila contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose de 6 mg, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-Les expérimentations animales ont révélé une toxicité de reproduction (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel pour l'être humain n'est pas connu.
- +Les expérimentations animales ont révélé une toxicité de reproduction (voir Données précliniques). Le risque potentiel pour l'être humain n'est pas connu.
-Lors des études cliniques randomisées menées avec des patients atteints de tumeurs malignes et traités par une chimiothérapie cytotoxique suivie de la pegfilgrastim, la plupart des effets indésirables ont été attribués à la pathologie maligne sous-jacente ou à la chimiothérapie cytotoxique
- +Lors des études cliniques randomisées menées avec des patients atteints de tumeurs malignes et traités par une chimiothérapie cytotoxique suivie de la pegfilgrastim, la plupart des effets indésirables ont été attribués à la pathologie maligne sous-jacente ou à la chimiothérapie cytotoxique.
-Des symptômes de réactions allergiques, incluant anaphylaxie, éruption cutanée, urticaire, angio-œdème, dyspnée, hypotension, réactions au site de l'injection, érythèmes et rougeurs cutanées ont été rapportées lors de l'administration initiale ou d'un traitement ultérieur par le pegfilgrastim. Dans certains cas, ces symptômes ont réapparus lors d'une nouvelle administration du médicament, ce qui suggère donc une relation de cause à effet. Si une réaction allergique grave survient, un traitement approprié doit être instauré et le patient doit être suivi soigneusement pendant plusieurs jours. Le traitement par le pegfilgrastim doit être définitivement arrêté chez les patients présentant une réaction allergique grave.
-Des augmentations réversibles légères à modérées des taux d'acide urique, de phosphatase alcaline et de lactate-déshydrogénase, sans signes cliniques associés, se sont produites chez respectivement 7%, 10% et 20% des patients qui ont reçu du pegfilgrastim après une chimiothérapie cytotoxique. Des nausées ont été observées chez les volontaires sains (11%) et chez moins de 1% des patients recevant une chimiothérapie
-Dans des rares cas, des effets indésirables pulmonaires ont été rapportés comme la pneumonie interstitielle, l'œdème pulmonaire, les infiltrats pulmonaires, l'hémorragie pulmonaire et la fibrose pulmonaire. Dans certains des cas rapportés, ces effets ont entraîné une défaillance respiratoire ou un syndrome de détresse respiratoire de l'adulte (SDRA) qui peuvent avoir une issue fatale.
-Un syndrome de fuite capillaire, pouvant engager le pronostic vital si le traitement n'est pas instauré à temps, a été rarement rapporté chez des patients atteints de cancer recevant une chimiothérapie et un traitement ultérieur par des facteurs de croissance granulocytaire; voir rubrique «Mises en garde et précautions».
-Après l'administration de pegfilgrastim, des cas généralement asymptomatiques de splénomégalie ont fréquemment été rapportés, tout comme de très rares cas de rupture splénique dont certains ont eu une issue fatale (voir «Mises en garde et précautions»).
-Des cas peu fréquents d'hémoptysie ont été rapportés.
-Des rares cas de thrombopénie et de leucocytose ont été rapportés.
-Des rares cas de l'aortite ont été rapportés chez des patients. Dans la plupart des cas, l'aortite a été diagnostiquée par un examen TDM et a été résolue généralement après l'arrêt du traitement par G-CSF.
-Des rares cas de syndrome de Sweet (dermatose aigue fébrile) ont été rapportés, bien qu'une pathologie hématologique sous-jacente ait pu jouer un rôle dans certains cas.
-Des très rares cas de vascularite cutanée ont été rapportés parmi les patients traités par le pegfilgrastim. Le mécanisme qui conduit à une vascularite chez les patients recevant du pegfilgrastim n'est pas connu.
-Dans des cas isolés, des crises drépanocytaires ont été rapportées chez les patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints de drépanocytose (voir «Mises en garde et précautions»).
-Des augmentations des paramètres hépatiques ont été observées chez les patients qui ont reçu du pegfilgrastim après une chimiothérapie cytotoxique. Ces augmentations sont passagères et les paramètres retournent à leurs valeurs initiales.
-Les effets indésirables très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10) et occasionnels (≥1/1000, <1/100) dans les études cliniques étaient les suivants:
-Affections musculosquesettiques et du tissu conjonctif
-Très fréquents: douleurs osseuses (26%).
- +Les effets indésirables très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10) et peu fréquents (≥1/1000, <1/100) dans les études cliniques étaient les suivants:
- +Affections musculo-squelettiques et systémiques
- +Très fréquent: douleurs osseuses (26%).
-Troubles généraux et anomalies au site d'administation
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Addections du système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Occasionnel: réactions d'hypersensibilité, anaphylaxie.
- +Peu fréquent: réactions d'hypersensibilité, anaphylaxie.
-Occasionnel: glomérulonéphrite.
-Effets indésirables après commercialisation
-Après la commercialisation, des cas de syndrome de fuite capillaire ont été rapportés après administration de facteurs de croissance granulocytaire. Ceux-ci sont généralement apparus chez des patients ayant des pathologies malignes à un stade avancé, un sepsis ou chez des patients ayant reçu plusieurs chimiothérapies ou ayant subi une aphérèse (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Description de certains effets indésirables
- +Peu fréquent: glomérulonéphrite.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Fréquent: thrombopénie
- +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)
- +Peu fréquent: syndrome myélodysplasique, leucémie aiguë myéloïde
-Une fréquence plus élevée d'événements indésirables graves a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (92%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans (80%), de 12 à 21 ans (67%) et aux adultes. L'effet indésirable lié au médicament étudié le plus fréquemment rapporté était la douleur osseuse (voir «Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique»).
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- +Une fréquence plus élevée d'événements indésirables graves a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (92%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans (80%), de 12 à 21 ans (67%) et aux adultes. L'effet indésirable lié au médicament étudié le plus fréquemment rapporté était la douleur osseuse (voir Propriétés/Effets et Pharmacocinétique).
- +Effets indésirables après commercialisation
- +Après la commercialisation, des cas de syndrome de fuite capillaire ont été rapportés après administration de facteurs de croissance granulocytaire. Ceux-ci sont généralement apparus chez des patients ayant des pathologies malignes à un stade avancé, un sepsis ou chez des patients ayant reçu plusieurs chimiothérapies ou ayant subi une aphérèse (voir Mises en garde et précautions).
- +Des symptômes de réactions allergiques, incluant anaphylaxie, éruption cutanée, urticaire, angio-œdème, dyspnée, hypotension, réactions au site de l'injection, érythèmes et rougeurs cutanées ont été rapportées lors de l'administration initiale ou d'un traitement ultérieur par le pegfilgrastim. Dans certains cas, ces symptômes sont réapparus lors d'une nouvelle administration du médicament, ce qui suggère donc une relation de cause à effet. Si une réaction allergique grave survient, un traitement approprié doit être instauré et le patient doit être soigneusement suivi pendant plusieurs jours. Le traitement par le pegfilgrastim doit être définitivement arrêté chez les patients présentant une réaction allergique grave.
- +Des augmentations réversibles légères à modérées des taux d'acide urique, de phosphatase alcaline et de lactate-déshydrogénase, sans signes cliniques associés, se sont produites chez respectivement 7%, 10% et 20% des patients qui ont reçu du pegfilgrastim après une chimiothérapie cytotoxique. Des nausées ont été observées chez les volontaires sains (11%) et chez moins de 1% des patients recevant une chimiothérapie.
- +Dans des rares cas, des effets indésirables pulmonaires ont été rapportés comme la pneumonie interstitielle, l'œdème pulmonaire, les infiltrats pulmonaires, l'hémorragie pulmonaire et la fibrose pulmonaire. Dans certains des cas rapportés, ces effets ont entraîné une défaillance respiratoire ou un syndrome de détresse respiratoire de l'adulte (SDRA) qui peuvent avoir une issue fatale.
- +Un syndrome de fuite capillaire, pouvant engager le pronostic vital si le traitement n'est pas instauré à temps, a été rarement rapporté chez des patients atteints de cancer recevant une chimiothérapie et un traitement ultérieur par des facteurs de croissance granulocytaire; voir Mises en garde et précautions.
- +Après l'administration de pegfilgrastim, des cas généralement asymptomatiques de splénomégalie ont fréquemment été rapportés, tout comme de très rares cas de rupture splénique dont certains ont eu une issue fatale (voir Mises en garde et précautions).
- +Des cas peu fréquents d'hémoptysie ont été rapportés.
- +Des cas peu fréquents de syndrome myélodysplasique (SMD) et de leucémie myéloïde aiguë (LMA) ont été rapportés chez des patients atteints de cancer du sein et du poumon (voir Mises en garde et précautions).
- +Des rares cas de leucocytose ont été rapportés.
- +Des rares cas d'aortite ont été rapportés chez des patients. Dans la plupart des cas, l'aortite a été diagnostiquée par un examen TDM et a été résolue après l'arrêt du traitement par G-CSF.
- +Des rares cas de syndrome de Sweet (dermatose aigue fébrile) ont été rapportés, bien qu'une pathologie hématologique sous-jacente ait pu jouer un rôle dans certains cas.
- +De rares cas de syndrome de Stevens-Johnson ont été rapportés (voir Mises en garde et précautions).
- +Des très rares cas de vascularite cutanée ont été rapportés parmi les patients traités par le pegfilgrastim. Le mécanisme qui conduit à une vascularite chez les patients recevant du pegfilgrastim n'est pas connu.
- +Dans des cas isolés, des crises drépanocytaires ont été rapportées chez les patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints de drépanocytose (voir Mises en garde et précautions).
- +Des augmentations des paramètres hépatiques ont été observées chez les patients qui ont reçu du pegfilgrastim après une chimiothérapie cytotoxique. Ces augmentations sont passagères et les paramètres retournent à leurs valeurs initiales.
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-Aucun cas de surdosage n'a été rapporté à ce jour.
-Des doses uniques de 300 µg/kg ont été administrées par voie sous-cutanée à 8 volontaires sains et à 3 patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules sans que des effets indésirables graves ne soient apparus. Ces sujets ont présenté un ANC maximal (Absolute Neutrophil Count – nombre absolu de granulocytes neutrophiles) de 55× 109/l en moyenne en présence d'un nombre maximal correspondant de leucocytes de 67× 109/l en moyenne. L'ANC maximal observé s'est élevé à 96× 109/l pour un nombre absolu maximal correspondant de leucocytes de 120× 109/l. La durée de la leucocytose a varié entre 6 et 13 jours. Une leucaphérèse doit être envisagée pour le traitement des personnes symptomatiques.
- +Des doses uniques de 300 mcg/kg ont été administrées par voie sous-cutanée à 8 volontaires sains et à 3 patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules sans que des effets indésirables graves ne soient apparus. Ces sujets ont présenté un ANC maximal (Absolute Neutrophil Count – nombre absolu de granulocytes neutrophiles) de 55× 109/l en moyenne en présence d'un nombre maximal correspondant de leucocytes de 67× 109/l en moyenne. L'ANC maximal observé s'est élevé à 96× 109/l pour un nombre absolu maximal correspondant de leucocytes de 120× 109/l. La durée de la leucocytose a varié entre 6 et 13 jours. Une leucaphérèse doit être envisagée pour le traitement des personnes symptomatiques.
-Le pegfilgrastim est produit par la technique de l'ADN recombinant à partir d'E. Coli (K12).
- +Le pegfilgrastim est produit à partir d'E. Coli (K12) par technologie de l'ADN recombinant.
-Pour l'utilisation en pédiatrie, voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
-Dans une étude de phase II multicentrique, randomisée, en ouvert (n = 37) réalisée chez des patients pédiatriques présentant un sarcome et ayant reçu 100 mcg/kg de pegfilgrastim après un premier cycle de chimiothérapie associant vincristine, doxorubicine et cyclophosphamide (VAdriaC/IE), il a été observé que la durée de la neutropénie sévère (neutrophiles <0,5× 109) était plus longue chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (8,9 jours) que chez les enfants âgés de 6 à 11 ans (6 jours), chez ceux de 12 à 21 ans (3,7 jours) et chez les adultes. De plus, une incidence plus élevée de neutropénie fébrile a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (75%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans et de 12 à 21 ans (respectivement 70% et 33%) et aux adultes (voir les rubriques «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
-Une fréquence plus élevée d'événements indésirables graves a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (92%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans (80%), à ceux âgés de 12 à 21 ans (67%) et aux adultes. L'effet indésirable lié au médicament étudié le plus fréquemment rapporté était la douleur osseuse (voir également «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
- +Pour l'utilisation en pédiatrie, voir Posologie/Mode d'emploi.
- +Dans une étude de phase II multicentrique, randomisée, en ouvert (n = 37) et réalisée chez des patients pédiatriques présentant un sarcome et ayant reçu 100 mcg/kg de pegfilgrastim après un premier cycle de chimiothérapie associant vincristine, doxorubicine et cyclophosphamide (VAdriaC/IE), il a été observé que la durée de la neutropénie sévère (neutrophiles <0,5× 109) était plus longue chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (8,9 jours) que chez les enfants âgés de 6 à 11 ans (6 jours), chez ceux de 12 à 21 ans (3,7 jours) et chez les adultes. De plus, une incidence plus élevée de neutropénie fébrile a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (75%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans et de 12 à 21 ans (respectivement 70% et 33%) et aux adultes (voir Effets indésirables et Pharmacocinétique).
- +Une fréquence plus élevée d'événements indésirables graves a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (92%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans (80%), à ceux âgés de 12 à 21 ans (67%) et aux adultes. L'effet indésirable lié au médicament étudié le plus fréquemment rapporté était la douleur osseuse (voir également Effets indésirables et Pharmacocinétique).
-Au cours d'une petite étude (n = 83) randomisée de phase II, menée en double aveugle et interrompue prématurément par erreur, l'utilisation du pegfilgrastim (à une dose unique de 6 mg) et celle du filgrastim pendant la chimiothérapie d'induction ont été comparées chez des patients atteints de LAM de novo et traités par chimiothérapie. Le temps de récupération d'une neutropénie sévère a été estimé à 22 jours (médiane) dans les deux groupes de traitement. Les résultats d'un traitement à long terme n'ont pas été étudiés (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Au cours d'une petite étude (n = 83) randomisée de phase II, menée en double aveugle et interrompue prématurément par erreur, l'utilisation du pegfilgrastim (à une dose unique de 6 mg) et celle du filgrastim pendant la chimiothérapie d'induction ont été comparées chez des patients atteints de LMA de novo et traités par chimiothérapie. Le temps de récupération d'une neutropénie sévère a été estimé à 22 jours (médiane) dans les deux groupes de traitement. Les résultats d'un traitement à long terme n'ont pas été étudiés (voir Mises en garde et précautions).
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- +Aucune donnée.
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- +Aucune donnée.
-Troubles de la fonction hépatique
-Troubles de la fonction rénale
- +Troubles de la fonction hépatique et rénale
-En l'absence d'une expérience clinique suffisante, l'administration de Fulphila n'est pas recommandée chez les enfants en bas âge, les enfants et les adolescents d'un poids inférieur à 45 kg (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-La pharmacocinétique du pegfilgrastim a été étudiée chez 37 patients pédiatriques atteints d'un sarcome et ayant reçu 100 mcg/kg de pegfilgrastim au terme d'une chimiothérapie par VAdriaC/IE (voir la rubrique «Propriétés/Effets»). Dans le groupe des enfants les plus jeunes (0 à 5 ans), l'exposition moyenne au pegfilgrastim (AUC) (± écart type) a été plus élevée (47,9 ± 22,5 mcg·hr/ml) que chez les enfants âgés de 6 à 11 ans et ceux de 12 à 21 ans (respectivement 22,0 ± 13,1 mcg·hr/ml et 29,3 ± 23,2 mcg·hr/ml) (voir la rubrique «Propriétés/Effets»). À l'exception du groupe des enfants les plus jeunes (0 à 5 ans), l'AUC moyenne chez les patients pédiatriques semble similaire à celle chez les adultes présentant un cancer du sein à haut risque de stade II-IV qui ont reçu 100 mcg/kg de pegfilgrastim après une chimiothérapie par doxorubicine/docétaxel (voir les rubriques «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets»).
- +En l'absence d'une expérience clinique suffisante, l'administration de Fulphila n'est pas recommandée chez les enfants en bas âge, les enfants et les adolescents d'un poids inférieur à 45 kg (voir Posologie/Mode d'emploi).
- +La pharmacocinétique du pegfilgrastim a été étudiée chez 37 patients pédiatriques atteints d'un sarcome et ayant reçu 100 mcg/kg de pegfilgrastim au terme d'une chimiothérapie par VAdriaC/IE (voir Propriétés/Effets). Dans le groupe des enfants les plus jeunes (0 à 5 ans), l'exposition moyenne au pegfilgrastim (AUC) (± écart type) a été plus élevée (47,9 ± 22,5 mcg·hr/ml) que chez les enfants âgés de 6 à 11 ans et ceux de 12 à 21 ans (respectivement 22,0 ± 13,1 mcg·hr/ml et 29,3 ± 23,2 mcg·hr/ml) (voir Propriétés/Effets). À l'exception du groupe des enfants les plus jeunes (0 à 5 ans), l'AUC moyenne chez les patients pédiatriques semble similaire à celle chez les adultes présentant un cancer du sein à haut risque de stade II-IV qui ont reçu 100 mcg/kg de pegfilgrastim après une chimiothérapie par doxorubicine/docétaxel (voir Effets indésirables et Propriétés/Effets).
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-À conserver au réfrigérateur (entre 2 °C et 8 °C).
-Fulphila peut être laissé à température ambiante (sans dépasser 30 °C) pendant une période unique maximale de 72 heures. Si Fulphila est laissé à température ambiante pendant plus de 72 heures, il doit être éliminé.
-Ne pas congeler. Une congélation accidentelle pendant une période unique de moins de 24 heures n'a pas d'effet sur la stabilité de Fulphila.
-Conserver le récipient dans son carton pour le protéger de la lumière.
- +Conserver au réfrigérateur ( 2 °C - 8 °C).
- +Fulphila peut être conservé à température ambiante (sans dépasser +30 °C) pendant une période unique maximale de 72 heures. Si Fulphila a été conservé à température ambiante pendant plus de 72 heures, il doit être éliminé.
- +Ne pas congeler.
- +L'exposition accidentelle de Fulphila à une température en-dessous du point de congélation pendant une période unique inférieure à 24 heures n'affecte pas la stabilité du produit.
- +Conserver dans l'emballage d'origine pour le protéger de la lumière.
-Avant administration, la solution de Fulphila doit être inspectée visuellement pour mettre en évidence l'absence de particules. Seule une solution limpide et incolore peut être injectée.
-Une agitation excessive peut provoquer la formation d'agrégats de pegfilgrastim rendant la solution biologiquement inactive.
-Laisser la seringue préremplie atteindre la température ambiante avant l'injection.
-Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
- +Fulphila est une solution stérile, mais sans agent conservateur. Avant l'utilisation, il faut vérifier l'absence de particules visibles dans la solution de Fulphila. Seules les solutions limpides et incolores peuvent être injectées.
- +Une forte agitation peut provoquer la formation d'agrégats de pegfilgrastim, ce qui peut le rendre biologiquement inactif.
- +Laisser la seringue préremplie se réchauffer à température ambiante avant l'injection.
- +Tout médicament non utilisé et tous les déchets doivent être éliminés conformément à la réglementation locale en vigueur.
-Chaque emballage contient 1 seringue préremplie de 0,6 ml de solution injectable (à usage unique).(A)
- +Chaque emballage contient 1 seringue préremplie de 0,6 ml de solution injectable (à usage unique).
- +(Catégoie de remise A)
-Mylan Pharma GmbH, 6312 Steinhausen.
- +Mylan Pharma GmbH, 6312 Steinhausen
-Janvier 2020.
- +Juillet 2021
- +[Version 101-F]
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