18 Changements de l'information professionelle Sarclisa 100 mg/5 mL |
-Saccharum, L-Histidini hydrochloridum monohydricum, L-Histidinum, Polysorbatum 80, Aqua ad iniectabilia.
- +Saccharum, L-Histidini hydrochloridum monohydricum, L-Histidinum, Polysorbatum 80, Aqua ad iniectabile.
-Enfants et adolescents
-La sécurité et l'efficacité de SARCLISA chez l'enfant de moins de 18 ans n'ont pas été établies.
- +Population pédiatrique
- +SARCLISA n'est pas autorisé pour une utilisation dans la population pédiatrique. Outre les indications autorisées, SARCLISA a été étudié chez les enfants de 1,4 à 17 ans atteints de leucémie myéloïde ou lymphatique aiguë récidivante ou réfractaire. L'efficacité de SARCLISA n'a pas été démontrée chez les enfants de 1,4 à 17 ans. Les données actuellement disponibles sont décrites aux rubriques «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets», mais aucune recommandation posologique ne peut être fournie.
-D'après l'analyse démographique pharmacocinétique et les données de sécurité clinique, aucun ajustement posologique n'est recommandé chez les patients présentant une atteinte rénale légère à sévère (voir «Pharmacocinétique»).
- +D'après l'analyse démographique pharmacocinétique et les données cliniques, aucun ajustement posologique n'est recommandé chez les patients présentant une atteinte rénale légère à sévère, y compris en cas d'insuffisance rénale terminale (voir «Pharmacocinétique»).
-SARCLISA se lie au récepteur CD38 présent sur les globules rouges et peut fausser le test indirect à l'antiglobuline (réaction de Coombs indirect). Le test indirect à l'antiglobuline était positif chez 64,2% des patients recevant le traitement d'isatuximab. Chez les patients dont le test indirect à l'antiglobuline était positif, les transfusions de sang ont été administrées sans signe d'hémolyse. Le groupage ABO/RhD n'était pas affecté par le traitement par SARCLISA (voir «Interactions»). Pour éviter les problèmes éventuels avec les transfusions de globules rouges, les patients recevant SARCLISA doivent faire l'objet d'un groupage sanguin et de tests de dépistage avant la première perfusion du médicament. Le phénotypage peut être considéré avant de commencer SARCLISA conformément à la pratique en vigueur à l'échelle locale. Si le traitement par SARCLISA a déjà commencé, la banque du sang doit être informée que le patient reçoit actuellement ce médicament et que les interférences entre ce dernier et les tests de compatibilité sanguine peuvent être résolus en utilisant des globules rouges traités par du dithiothréitol (DTT). En cas de nécessité d'une transfusion d'urgence, des globules rouges ABO/RhD compatibles sans épreuve de compatibilité croisée peuvent être perfusés conformément aux pratiques de la banque du sang locale (voir «Interactions»).
- +SARCLISA se lie au récepteur CD38 présent sur les globules rouges et peut fausser le test indirect à l'antiglobuline (réaction de Coombs indirect). Cette interférence avec le test de Coombs indirect peut persister pendant environ 6 mois après la dernière perfusion de SARCLISA. Le test indirect à l'antiglobuline était positif chez 64,2% des patients recevant le traitement d'isatuximab. Chez les patients dont le test indirect à l'antiglobuline était positif, les transfusions de sang ont été administrées sans signe d'hémolyse. Le groupage ABO/RhD n'était pas affecté par le traitement par SARCLISA (voir «Interactions»). Pour éviter les problèmes éventuels avec les transfusions de globules rouges, les patients recevant SARCLISA doivent faire l'objet d'un groupage sanguin et de tests de dépistage avant la première perfusion du médicament. Le phénotypage peut être considéré avant de commencer SARCLISA conformément à la pratique en vigueur à l'échelle locale. Si le traitement par SARCLISA a déjà commencé, la banque du sang doit être informée que le patient reçoit actuellement ce médicament et que les interférences entre ce dernier et les tests de compatibilité sanguine peuvent être résolus en utilisant des globules rouges traités par du dithiothréitol (DTT). En cas de nécessité d'une transfusion d'urgence, des globules rouges ABO/RhD compatibles sans épreuve de compatibilité croisée peuvent être perfusés conformément aux pratiques de la banque du sang locale (voir «Interactions»).
-Dans l'étude ICARIA-MM, des cancers secondaires ont été rapportés à une durée médiane de suivi de 52,44 mois chez 10 patients (6,6 %) traités par Isa-Pd et chez 3 patients (2 %) traités par Pd. Les cancers secondaires étaient des cancers de la peau chez 6 patients traités par Isa-Pd et chez 3 patients traités par Pd, des tumeurs solides autres que le cancer de la peau chez 3 patients traités par Isa-Pd (un patient avait également un cancer de la peau) et un cancer hématologique (syndrome myélodysplasique) chez 1 patient traité par Isa-Pd (voir «Effets indésirables»). Les patients ont poursuivi le traitement après résection du nouveau cancer de la peau, à l'exception de deux patients traités par Isa-Pd. Un patient a développé un mélanome métastatique et l'autre un syndrome myélodysplasique. Dans l'étude IKEMA, des cancers secondaires ont été rapportés à une durée médiane de suivi de 20,73 mois chez 13 patients (7,3 %) traités par Isa-Kd et chez 6 patients (4,9 %) traités par Kd. Les cancers secondaires étaient des cancers de la peau chez 9 patients (5,1 %) traités par Isa-Kd et chez 3 patients (2,5 %) traités par Kd, et étaient des tumeurs solides autres que le cancer de la peau chez 5 patients (2,8 %) traités par Isa-Kd et chez 4 patients (3,3 %) traités par Kd. Un patient (0,6 %) du groupe Isa-Kd et un patient (0,8 %) du groupe Kd présentaient à la fois un cancer de la peau et des tumeurs solides autres que le cancer de la peau. Les patients atteints d'un cancer de la peau ont poursuivi le traitement après résection du cancer de la peau. Des tumeurs solides autres que le cancer de la peau ont été diagnostiquées dans les 3 mois suivant l'instauration du traitement chez 3 patients (1,7 %) traités par Isa-Kd et chez 2 patients (1,6 %) traités par Kd. L'incidence globale des cancers secondaires chez tous les patients exposés au SARCLISA est de 4,1%, et ont inclus le cancer de la peau chez 2,5% des patients, le cancer solide non cutané chez 1,7% des patients et une tumeur maligne hématologique chez 0,1% des patients traités par isatuximab. Les médecins doivent soigneusement évaluer les patients avant et pendant le traitement conformément aux directives de l'IMWG (International Myeloma Working Group) pour la survenue d'un cancer secondaire et initier le traitement indiqué.
- +Dans l'étude ICARIA-MM, des cancers secondaires ont été rapportés à une durée médiane de suivi de 52,44 mois chez 10 patients (6,6 %) traités par Isa-Pd et chez 3 patients (2 %) traités par Pd. Les cancers secondaires étaient des cancers de la peau chez 6 patients traités par Isa-Pd et chez 3 patients traités par Pd, des tumeurs solides autres que le cancer de la peau chez 3 patients traités par Isa-Pd (un patient avait également un cancer de la peau) et un cancer hématologique (syndrome myélodysplasique) chez 1 patient traité par Isa-Pd (voir «Effets indésirables»). Les patients ont poursuivi le traitement après résection du nouveau cancer de la peau, à l'exception de deux patients traités par Isa-Pd. Un patient a développé un mélanome métastatique et l'autre un syndrome myélodysplasique. Dans l'étude IKEMA, des cancers secondaires ont été rapportés à une durée médiane de suivi de 56,61 mois chez 18 patients (10,2 %) traités par Isa-Kd et chez 10 patients (8,2 %) traités par Kd. Les cancers secondaires étaient des cancers de la peau chez 13 patients (7,3 %) traités par Isa-Kd et chez 4 patients (3,3 %) traités par Kd. Ils étaient des tumeurs solides autres que le cancer de la peau chez 7 patients (4,0 %) traités par Isa-Kd et chez 6 patients (4,9 %) traités par Kd, ainsi que des cancers hématologiques (leucémie myéloïde aiguë) chez un patient traité par Kd (0,8 %). Un patient (0,6 %) du groupe Isa-Kd présentait un cancer primitif secondaire d'étiologie inconnue. Deux patients (1,1 %) du groupe Isa-Kd et un patient (0,8 %) du groupe Kd présentaient à la fois un cancer de la peau et des tumeurs solides autres que le cancer de la peau. Les patients atteints d'un cancer de la peau ont poursuivi le traitement après résection du cancer de la peau. Des tumeurs solides autres que le cancer de la peau ont été diagnostiquées dans les 3 mois suivant l'instauration du traitement chez 3 patients (1,7 %) traités par Isa-Kd et chez 2 patients (1,6 %) traités par Kd. L'incidence globale des cancers secondaires chez tous les patients exposés au SARCLISA est de 4,3 %, et ont inclus le cancer de la peau chez 2,7 % des patients, le cancer solide non cutané chez 1,7% des patients et une tumeur maligne hématologique chez 0,1% des patients traités par isatuximab. Les médecins doivent soigneusement évaluer les patients avant et pendant le traitement conformément aux directives de l'IMWG (International Myeloma Working Group) pour la survenue d'un cancer secondaire et initier le traitement indiqué.
- +Population pédiatrique
- +Dans une étude de phase II à bras unique portant sur 67 patients pédiatriques atteints de leucémie myéloïde ou lymphatique aiguë récidivante ou réfractaire, tous les événements indésirables apparus sous traitement (EIAT) évalués en termes de sécurité d'un grade ≥3 ont été signalés chez 79,1 % des patients. Les EIAT de grade ≥3 les plus fréquents survenus chez > 10 % des patients englobaient la neutropénie fébrile (41,8 %), le choc septique (11,9 %) et la stomatite (10,4 %). L'ajout de SARCLISA aux chimiothérapies standard n'a pas modifié le profil de sécurité attendu observé avec les chimiothérapies standard dans cette population pédiatrique et correspondait à celui de l'isatuximab chez les adultes atteints de myélome multiple dans les études ICARIA-MM et IKEMA (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +
-Le délai médian avant la première réponse chez les répondants était de 35 jours dans le groupe Isa-Pd contre 58 jours dans le groupe Pd. Dans les deux groupes, la survie globale médiane n'a pas été atteinte. Au bout du suivi médian de 52,44 mois, la survie globale médiane finale était de 24,57 mois dans le groupe Isa-Pd et de 17,71 mois dans le groupe Pd (HR = 0,776; IC à 95 %: 0,594 à 1,015).
- +Le délai médian avant la première réponse chez les répondants était de 35 jours dans le groupe Isa-Pd contre 58 jours dans le groupe Pd. Au bout du suivi médian de 52,44 mois, la survie globale médiane finale était de 24,57 mois dans le groupe Isa-Pd et de 17,71 mois dans le groupe Pd (HR = 0,776; IC à 95 %: 0,594 à 1,015).
-Avec une durée médiane de suivi de 20,73 mois, 17,3% des patients du groupe Isa-Kd et 20,3% des patients du groupe Kd sont décédés. Après un suivi médian de 43,96 mois 64 (35,8 %) et 54 (43,9 %) des patients sont décédés dans les groupes Isa-Kd et Kd, respectivement.
- +Avec une durée médiane de suivi de 20,73 mois, 17,3% des patients du groupe Isa-Kd et 20,3% des patients du groupe Kd sont décédés. Après un suivi médian de 43,96 mois 64 (35,8 %) et 54 (43,9 %) des patients sont décédés dans les groupes Isa-Kd et Kd, respectivement. Avec une durée médiane de suivi de 56,61 mois, la survie globale médiane dans le groupe Isa-Kd n'a pas été atteinte (IC 95 %: 52,172-NE) et était de 50,60 mois dans le groupe Kd (IC 95 %: 38,932-NE) (HR = 0,855; IC 95 %: 0,608 – 1,202). La durée médiane jusqu'au prochain traitement anti-myélome était de 43,99 mois dans le groupe Isa-Kd et de 25 mois dans le groupe Kd (HR = 0,583; IC 95 %: 0,429 – 0,792).
- +Population pédiatrique
- +Une étude de phase II à bras unique portait sur 67 patients pédiatriques répartis en 3 cohortes distinctes: patients atteints de leucémie lymphoblastique aiguë à cellules T (LLA-T, 25 patients), de leucémie lymphoblastique aiguë à cellules B (LLA-B, 11 patients) et de leucémie myéloïde aiguë (LMA, 23 patients) récidivante ou réfractaire. L'âge médian était de 8 ans (fourchette de 1,4 à 17 ans). Les patients étaitent traités par SARCLISA en association avec des chimiothérapies standard (p.ex. antimétabolites, anthracycline et agents alkylants). Lors de l'analyse intermédiaire, le taux de réponse complète (critère d'évaluation primaire d'efficacité, défini comme réponse complète, RC ou réponse complète avec récupération périphérique incomplète, RCi) n'a pas atteint la valeur seuil statistique prédéfinie. L'étude a été clôturée après l'analyse intermédiaire prédéfinie.
-Enfants et adolescents
-SARCLISA n'a pas fait l'objet d'évaluation chez les patients de moins de 18 ans.
- +Une analyse pharmacocinétique de 22 patients atteints d'insuffisance rénale terminale (IRT), y compris ceux sous dialyse (DFGe < 15 ml/min/1,73 m²) n'a montré aucun effet cliniquement significatif de l'IRT sur la pharmacocinétique de Sarclisa en comparaison avec les patients à la fonction rénale normale et avec ceux présentant un trouble léger ou modéré de la fonction rénale. Chez les patients présentant un trouble léger, modéré, sévère ou terminal de la fonction rénale, aucun ajustement posologique de Sarclisa n'est nécessaire.
- +Population pédiatrique
- +Dans la population pédiatrique atteinte de LMA et de LLA, une exposition comparable à l'isatuximab a été atteinte en comparaison avec les adultes atteints de LLA et de myélome multiple avec la même dose d'isatuximab.
-Juillet 2023
- +Juin 2024
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