40 Changements de l'information professionelle Aripiprazol NOBEL 5 mg |
-Mannitolum, Crospovidonum, Povidonum, Magnesii stearas, Ferri oxidum flavum (E172) (comprimés à 15 mg), Ferri oxidum rubrum (E172) (comprimés à 10 mg et 30 mg), Indigocarminum (E132) (comprimés à 5 mg).
- +Mannitolum, Crospovidonum, Povidonum, Magnesii stearas, Ferri oxidum flavum (E172iii) (comprimés à 15 mg), Ferri oxidum rubrum (E172ii) (comprimés à 10 mg et 30 mg), Indigocarminum (E132) (comprimés à 5 mg).
-Adolescents (13 - 17 ans)
- +Adolescents (13 à 17 ans)
-Les études cliniques ont montré qu'aripiprazole était efficace à une posologie comprise entre 10 et 30 mg par jour. Une augmentation de l'efficacité à des doses supérieures à la posologie journalière recommandée de 10 mg n'a pas été démontrée, toutefois une dose plus élevée peut s'avérer bénéfique chez certains patients.
- +Les études cliniques ont montré qu'aripiprazole était efficace à une posologie comprise entre 10 mg par jour et 30 mg par jour. Une augmentation de l'efficacité à des doses supérieures à la posologie journalière recommandée de 10 mg n'a pas été démontrée, toutefois une dose plus élevée peut s'avérer bénéfique chez certains patients.
-L'utilisation d'Aripiprazole NOBEL n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 13 ans.
- +L'utilisation de Aripiprazole NOBEL n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 13 ans.
-Affections cardiovasculaires
- +Maladies cardiovasculaires
-Bien que les décès aient des causes variées, la plupart semblaient être soit d'origine cardiovasculaire (par ex. insuffisance cardiaque, mort subite), soit d'origine infectieuse (par ex. pneumonie).
- +Bien que les décès aient des causes variées, la plupart semblaient être soit d'origine cardiovasculaire (par exemple insuffisance cardiaque, mort subite), soit d'origine infectieuse (par exemple pneumonie).
-Les réactions cérébrovasculaires indésirables (par ex. AVC, accident ischémique transitoire), en incluant les décès, sont apparues chez 1,3% des patients traités par aripiprazole contre 0,6% des patients sous placebo (âge moyen: 84 ans, intervalle: 78 à 88 ans). Cette différence n'est pas statistiquement significative. Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec une fréquence ≥5% et au moins deux fois plus souvent pour l'aripiprazole que pour le placebo: léthargie, somnolence et incontinence urinaire.
- +Les réactions cérébrovasculaires indésirables (par exemple AVC, accident ischémique transitoire), en incluant les décès, sont apparues chez 1,3% des patients traités par aripiprazole contre 0,6% des patients sous placebo (âge moyen: 84 ans, intervalle: 78 à 88 ans). Cette différence n'est pas statistiquement significative. Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec une fréquence ≥5% et au moins deux fois plus souvent pour l'aripiprazole que pour le placebo: léthargie, somnolence et incontinence urinaire.
-Des troubles de la motilité œsophagienne et des cas d'aspiration ont été associés à l'utilisation des traitements antipsychotiques, y compris l'aripiprazole. L'aripiprazole et les autres substances actives antipsychotiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients à risque de pneumonie de déglutition.
- +Des troubles de la motilité œsophagienne et des cas d'aspiration ont été associés à l'utilisation des traitements antipsychotiques, y compris l'aripiprazole. L'aripiprazole et les autres substances actives antipsychotiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients à risque de pneumonie par aspiration.
-Dans les études cliniques, l'aripiprazole à des doses allant de 10 à 30 mg/jour n'a pas eu d'effet significatif sur le métabolisme des substrats du CYP2D6 (dextrométhorphane), du CYP2C9 (warfarine), du CYP2C19 (oméprazole, warfarine) et du CYP3A4 (dextrométhorphane). De plus, l'aripiprazole et le déhydro-aripiprazole n'ont pas démontré in vitro de potentiel d'altération du métabolisme dépendant du CYP1A2. Par conséquent, il est peu probable que l'aripiprazole soit à l'origine d'interactions cliniquement significatives impliquant ces enzymes.
- +Dans les études cliniques, l'aripiprazole à des doses allant de 10 mg à 30 mg/jour n'a pas eu d'effet significatif sur le métabolisme des substrats du CYP2D6 (dextrométhorphane), du CYP2C9 (warfarine), du CYP2C19 (oméprazole, warfarine) et du CYP3A4 (dextrométhorphane). De plus, l'aripiprazole et le déhydro-aripiprazole n'ont pas démontré in vitro de potentiel d'altération du métabolisme dépendant du CYP1A2. Par conséquent, il est peu probable que l'aripiprazole soit à l'origine d'interactions cliniquement significatives impliquant ces enzymes.
-Dans les études chez l'animal, l'aripiprazole n'a pas eu d'effet préjudiciable sur la fertilité. Une toxicité sur le développement, notamment des effets tératogènes potentiels, a été observée: chez les rats pour des doses correspondant à une exposition sous-thérapeutique à des expositions thérapeutiques (basée sur l'ASC) et chez les lapins pour des doses correspondant à une exposition égale à 3 à 11 fois l'ASC moyenne à l'état d'équilibre à la dose maximale recommandée chez l'homme. Une toxicité maternelle a été observée à des doses similaires à celles responsables de la toxicité sur le développement.
- +Dans les études chez l'animal, l'aripiprazole n'a pas eu d'effet préjudiciable sur la fertilité. Une toxicité sur le développement, notamment des effets tératogènes potentiels, a été observée: chez les rats pour des doses correspondant à une exposition sous-thérapeutique à des expositions thérapeutiques (basée sur l'ASC) et chez les lapins pour des doses correspondant à une exposition égale à 3 fois à 11 fois l'ASC moyenne à l'état d'équilibre à la dose maximale recommandée chez l'homme. Une toxicité maternelle a été observée à des doses similaires à celles responsables de la toxicité sur le développement.
-Les nouveau-nés exposés aux antipsychotiques (dont l'aripiprazole) pendant le troisième trimestre de la grossesse, présentent un risque de réactions indésirables incluant des symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage après l'accouchement (voir «Effets indésirables»). Ces symptômes chez les nouveau-nés peuvent être les suivants: agitation, hypertonie ou hypotonie musculaire inhabituelles, tremblements, somnolence, détresse respiratoire, troubles de l'alimentation. Ces complications variaient en termes de sévérité. Si les symptômes étaient autolimitatifs dans certains cas, d'autres cas ont nécessité une surveillance en soins intensifs ou une hospitalisation prolongée. De tels événements ont été très rarement rapportés lors d'une exposition à l'aripiprazole.
- +Les nouveau-nés exposés aux antipsychotiques (dont l'aripiprazole) pendant le troisième trimestre de la grossesse, présentent un risque de réactions indésirables incluant des symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage après l'accouchement (voir «Effets indésirables»). Ces symptômes peuvent être les suivants: agitation, hypertonie ou hypotonie musculaire inhabituelles, tremblements, somnolence, détresse respiratoire, troubles de l'alimentation. Ces complications variaient en termes de sévérité. Si les symptômes étaient autolimitatifs dans certains cas, d'autres cas ont nécessité une surveillance en soins intensifs ou une hospitalisation prolongée. De tels événements ont été très rarement rapportés lors d'une exposition à l'aripiprazole.
-L'aripiprazole est excrété dans le lait maternel.
- +L'aripiprazole/les métabolites sont excrétés dans le lait maternel
-Ils sont classés par classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par fréquence décroissante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
-Affections endocriniennes
-Occasionnel: hyperprolactinémie.
-Affections psychiatriques
-Très fréquent: insomnie (11%)
-Fréquent: anxiété, agitation
-Occasionnel: hypersexualité.
-Affections du système nerveux
-Très fréquent: céphalée (15%)
-Fréquent: akathisie, étourdissements, sédation, tremblements, somnolence, symptômes
-extrapyramidaux (p. ex. dystonie, parkinsonisme, dyskinésie)
-Occasionnel: dyskinésie tardive*, crise de convulsions*
-Rare: syndrome malin des neuroleptiques (SMN)*.
-Affections oculaires
-Fréquent: vision floue
-Occasionnel: vue double.
-Affections cardiaques
-Fréquent: tachycardie*.
-Affections vasculaires
-Fréquent: syndrome de tachycardie orthostatique posturale*.
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Occasionnel: hoquet.
-Affections gastro-intestinales
-Très fréquent: nausées (11%)
-Fréquent: vomissements, dyspepsie, constipation, hypersalivation.
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Fréquent: fatigue.
-Effets indésirables après commercialisation
-Les effets indésirables suivants ont également été rapportés dans le cadre de la surveillance post-commercialisation. La fréquence de ces effets n'est pas connue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Affections hématologiques et du système lymphatique
-Leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie.
-Affections du système immunitaire
-Réactions allergiques (par exemple, réactions anaphylactiques, œdème de Quincke comprenant œdème de la langue et œdème de la face, prurit, urticaire, éruption cutanée).
-Affections endocriniennes
-Acidocétose diabétique, coma hyperosmolaire diabétique
-Troubles du métabolisme et de la nutrition
-Prise de poids, perte de poids, hyponatrémie, anorexie, hyperglycémie, diabète sucré.
-Affections psychiatriques
-Agitation, nervosité, idées suicidaires, tentatives de suicide, suicide (voir «Mises en garde et précautions»), dépression, agressivité, trouble du contrôle des impulsions (p. ex. jeu pathologique, achats compulsifs, crises de fringale ou hyperphagie).
-Affections du système nerveux
-Troubles de l'élocution, crise grand mal, syndrome sérotoninergique, troubles de l'attention, léthargie syndrome des jambes sans repos.
-Affections oculaires
-Crise oculogyre
-Affections cardiaques
-Allongement du QT, arythmie ventriculaire, mort subite de cause inconnue, arrêt cardiaque, torsades de pointes, bradycardie.
-Affections vasculaires
-Syncope, hypertension, évènements thromboemboliques veineux (incluant embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde), voir «Mises en garde et précautions».
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Pneumonie de déglutition, spasme oropharyngé, spasme laryngé.
-Affections gastro-intestinales
-Pancréatite, dysphagie, salivation accrue, maux de ventre, troubles gastriques, diarrhée, sécheresse de la bouche.
-Affections hépatobiliaires
-Hépatite, ictère, élévation de l'alanine aminotransférase (ALAT), élévation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), élévation de la γglutamyltransférase (γ-GT).
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Hyperhidrose, réaction de photosensibilité, alopécie, réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS).
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Myalgie, rhabdomyolyse, raideur.
-Affections du rein et des voies urinaires
-Rétention urinaire, incontinence urinaire.
-Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
-Symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage chez les nouveau-nés (voir «Grossesse/Allaitement»).
-Affections des organes de reproduction et du sein
-Priapisme.
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Douleurs thoraciques, trouble de la régulation de la température (p. ex. hypothermie, fièvre), œdème périphérique, douleurs.
-Investigations
-Augmentation des CPK, augmentation de la glycémie, variation de la glycémie, augmentation de l'hémoglobine glycosylée.
- +Ils sont présentés par classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par fréquence décroissante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
- +La fréquence des effets indésirables rapportés après commercialisation ne peut pas être déterminée puisqu’ils sont dérivés de rapports spontanés. En conséquence, la fréquence de ces effets indésirables est qualifiée d’«inconnue».
- + Très fréquent Fréquent Occasionnel Rares Inconnue 1
- +Affections hématologiques et du système lymphatique Leucopénie, Neutropénie, Thrombocytopénie
- +Affections du système immunitaire Réaction allergique (par exemple réactions anaphylactiques, angio-œdème, incluant œdème de la langue et de la face, prurit, urticaire, éruption cutanée)
- +Affections endocriniennes Hyperprolactinémie, Taux de prolactine dans le sang abaissés Coma diabétique hyperosmolaire, Acidocétose diabétique
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition Diabète sucré, Hyperglycémie, Hyponatrémie, Anorexie
- +Affections psychiatriques Insomnies (11%) Anxiété, Agitation Hypersexualité Dépression, Tentative de suicide, Idées suicidaires, Suicide accompli (voir «Mises en garde et précautions»), Trouble du contrôle des impulsions (p.ex. jeu pathologique, achats compulsifs, crises de fringale ou hyperphagie), Agressivité, Agitation, Nervosité
- +Affections du système nerveux Céphalée (15%) Akathisie, Symptômes extrapyramidaux (par exemple dystonie, parkinsonisme, dyskinésie), Tremblement, Etourdissement, Sédation, Somnolence Dyskinésie tardive*, Crise convulsive* Syndrome malin des neuroleptiques (SMN)* Troubles de l’élocution, Crise grand mal, Syndrome sérotoninergique, Troubles de l’attention, Léthargie, Syndrome des jambes sans repos
- +Affections oculaires Vision trouble Vue double, Photophobie Crise oculogyre
- +Affections cardiaques Tachycardie* Mort subite de cause inconnue, Torsades de pointe, Arythmies ventriculaires, Arrêt cardiaque, Bradycardie
- +Affections vasculaires Syndrome de tachycardie orthostatique posturale* Incidents thrombo-emboliques veineux (incluant embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde) (voir «Mises en garde et précautions»), Syncope, Hypertension
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Hoquet Pneumonie par aspiration, Spasme laryngé, Spasme oropharyngé
- +Affections gastro-intestinales Nausées (11%) Constipation, Dyspepsie, Hypersalivation, Vomissement Pancréatite, Dysphagie, Diarrhée, Salivation accrue, Gêne au niveau de l’abdomen, Gêne au niveau de l’estomac, Bouche sèche
- +Affections hépatobiliaires Insuffisance hépatique, Hépatite, Ictère
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Réaction d’hypersensibilité à la lumière, Alopécie, Hyperhidrose, Réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS)
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Rhabdomyolyse, Myalgie, Raideur
- +Affections du rein et des voies urinaires Incontinence urinaire, Rétention urinaire
- +Affections gravidiques, puerpérales et périnatales Syndrome de sevrage de médicament du nouveau-né (voir «Grossesse/ Allaitement»)
- +Affections des organes de reproduction et du sein Priapisme
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fatigue Douleurs thoraciques, Troubles de la régulation thermique (p.ex. hypothermie, fièvre), Œdème périphérique, Douleurs
- +Investigations Prise de poids, Perte de poids, Elévation de l'alanine aminotransférase (ALAT), Elévation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), Elévation de la γglutamyltransférase (γ-GT), QT prolongé, Augmentation de la créatine phosphokinase, Augmentation de la glycémie, Fluctuation glycémiques, Hémoglobine glycosylée augmentée
- +
- +1 Les effets indésirables figurant dans la colonne "Inconnue" résultent de l'utilisation après la mise sur le marché. Il s'agit de déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing.
- N Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) N Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
- + n Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) n Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
- N Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) N Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
- + n Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) n Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
-À une posologie de 20 à 60 mg/kg/jour (correspondant à 6,5 à 19,5 fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), une toxicité cortico-surrénalienne dose-dépendante a été observée chez le rat après 104 semaines (accumulation du pigment lipofuscine et/ou perte cellulaire parenchymateuse).
-Une cholélithiase s'est manifestée chez des singes après administration orale répétée de 25 à 125 mg/kg/jour (correspondant à 16 à 81 fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), en raison de l'élimination biliaire des sulfoconjugués provenant des métabolites hydroxylés de l'aripiprazole.
- +À une posologie de 20 mg/kg/jour à 60 mg/kg/jour (correspondant à 6,5 à 19,5 fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), une toxicité cortico-surrénalienne dose-dépendante a été observée chez le rat après 104 semaines (accumulation du pigment lipofuscine et/ou perte cellulaire parenchymateuse).
- +Une cholélithiase s'est manifestée chez des singes après administration orale répétée de 25 mg/kg/jour à 125 mg/kg/jour (correspondant à 16 à 81 fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), en raison de l'élimination biliaire des sulfoconjugués provenant des métabolites hydroxylés de l'aripiprazole.
-Dans des études de carcinogénicité, l'aripiprazole n'a provoqué aucune tumeur chez la souris mâle ou le rat mâle. Chez la souris femelle, l'incidence des adénomes hypophysaires, des adénocarcinomes et des adénocanthomes de la glande mammaire a été augmentée après administration orale de 3 à 30 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 à 0,9 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 0,5 à 5 fois la dose en mg/m2 de surface corporelle). Chez le rat femelle, l'incidence des fibro-adénomes de la glande mammaire après administration orale de 10 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 3 fois la dose humaine maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle) a augmenté. De même, l'incidence des carcinomes corticosurrénaliens et des adénomes/carcinomes corticosurrénaliens combinés a augmenté lors d'une administration orale de 60 mg/kg (correspondant à 10 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 19,5 fois la dose maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle).
- +Dans des études de carcinogénicité, l'aripiprazole n'a provoqué aucune tumeur chez la souris mâle ou le rat mâle. Chez la souris femelle, l'incidence des adénomes hypophysaires, des adénocarcinomes et des adénoacanthomes de la glande mammaire a été augmentée après administration orale de 3 mg/kg/jour à 30 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 à 0,9 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 0,5 à 5 fois la dose en mg/m2 de surface corporelle). Chez le rat femelle, l'incidence des fibro-adénomes de la glande mammaire après administration orale de 10 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 3 fois la dose humaine maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle) a augmenté. De même, l'incidence des carcinomes corticosurrénaliens et des adénomes/carcinomes corticosurrénaliens combinés a augmenté lors d'une administration orale de 60 mg/kg (correspondant à 10 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 19,5 fois la dose maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle).
-67607 (Swissmedic).
- +67607 (Swissmedic)
-NOBEL Pharma Schweiz AG, Risch.
- +NOBEL Pharma Schweiz AG, Risch
-Décembre 2020.
- +Juin 2022
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