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Accueil - Information professionnelle sur Pantoprazol NOBEL 20 mg - Changements - 13.07.2023
110 Changements de l'information professionelle Pantoprazol NOBEL 20 mg
  • -Une comprimé gastro-résistant 20 mg contient au maximum 3.58 mg de sodium ou 7.17 mg de sodium par comprimé gastro-résistant de 40 mg.
  • +Un comprimé gastro-résistant 20 mg contient au maximum 3.58 mg de sodium ou 7.17 mg de sodium par comprimé gastro-résistant de 40 mg.
  • -Amélioration des symptômes et guérison de la maladie de reflux gastro-œsophagien légère (stade 1 selon Savary-Miller). Traitement au long cours et prévention des récidives après guérison d'une œsophagite par reflux gastro-œsophagien.
  • +Amélioration des symptômes et guérison de la maladie de reflux gastro-œsophagien légère (stade 1 selon Savary-Miller). Traitement au long cours et prévention des récidives après guérison dune œsophagite par reflux gastro-œsophagien.
  • -Traitement de l'infection bactérienne par Helicobacter pylori dans les cas d'ulcère duodénal et d'ulcère gastrique, en association avec deux antibiotiques. Prévention des ulcères gastro-duodénaux induits par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) chez les patients à risque élevé de développer de telles lésions et pour lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi.
  • -Cas aigus d'ulcères duodénaux et d'ulcères gastriques. Formes légères et moyennement graves de l'œsophagite par reflux gastro-œsophagien (stade 2-3 selon Savary-Miller).
  • -Syndrome de Zollinger-Ellison et autres affections associées à une hypersécrétion pathologique d'acide gastrique.
  • +Traitement de linfection bactérienne par Helicobacter pylori dans les cas dulcère duodénal et dulcère gastrique, en association avec deux antibiotiques. Prévention des ulcères gastro-duodénaux induits par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) chez les patients à risque élevé de développer de telles lésions et pour lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi.
  • +Cas aigus dulcères duodénaux et dulcères gastriques. Formes légères et moyennement graves de lœsophagite par reflux gastro-œsophagien (stade 2-3 selon Savary-Miller).
  • +Syndrome de Zollinger-Ellison et autres affections associées à une hypersécrétion pathologique dacide gastrique.
  • -Adultes:
  • -Maladie de reflux gastro-œsophagien légère:
  • -En règle générale, la posologie recommandée est de 1 comprimé gastrorésistant de Pantoprazole NOBEL 20 mg par jour. Une amélioration des symptômes est habituellement obtenue dans les 4 semaines qui suivent le début du traitement. Dans le cas contraire, il faut poursuivre le traitement par Pantoprazole NOBEL 20 mg pendant 4 semaines supplémentaires. Si les symptômes persistent, il faut procéder à d'autres examens.
  • +Adultes
  • +Maladie de reflux gastro-œsophagien légère
  • +En règle générale, la posologie recommandée est de 1 comprimé gastrorésistant de Pantoprazole NOBEL 20 mg par jour. Une amélioration des symptômes est habituellement obtenue dans les 4 semaines qui suivent le début du traitement. Dans le cas contraire, il faut poursuivre le traitement par Pantoprazole NOBEL 20 mg pendant 4 semaines supplémentaires. Si les symptômes persistent, il faut procéder à dautres examens.
  • -Traitement au long cours et prévention des récidives de l'œsophagite par reflux:
  • +Traitement au long cours et prévention des récidives de lœsophagite par reflux
  • -Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • -En cas d'insuffisance hépatique sévère, la dose journalière de 20 mg de pantoprazole ne doit pas être dépassée.
  • -Patients âgés, Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • -Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie chez les patients âgés, ni chez les patients dont la fonction rénale est limitée. La dose journalière de 40 mg ne doit pas être dépassée.
  • -Enfants et adolescents à partir de 12 ans:
  • -L'utilisation de pantoprazole a été évaluée chez les enfants âgés de 2 à 16 ans présentant une maladie de reflux légère. La posologie recommandée est de 20 mg 1x par jour. Une amélioration des symptômes intervient généralement en l'espace de 4 semaines. Dans le cas contraire, il faut poursuivre le traitement par Pantoprazole NOBEL 20 pendant 4 semaines supplémentaires. Si les symptômes persistent, il faut procéder à d'autres examens.
  • +Patients atteints d’insuffisance hépatique
  • +En cas dinsuffisance hépatique sévère, la dose journalière de 20 mg de pantoprazole ne doit pas être dépassée.
  • +Patients âgés, patients atteints d’insuffisance rénale
  • +Il nest pas nécessaire dadapter la posologie chez les patients âgés, ni chez les patients dont la fonction rénale est limitée. La dose journalière de 40 mg ne doit pas être dépassée.
  • +Enfants et adolescents à partir de 12 ans
  • +L’utilisation de pantoprazole a été évaluée chez les enfants âgés de 2 à 16 ans présentant une maladie de reflux légère. La posologie recommandée est de 20 mg 1x par jour. Une amélioration des symptômes intervient généralement en lespace de 4 semaines. Dans le cas contraire, il faut poursuivre le traitement par Pantoprazole NOBEL 20 pendant 4 semaines supplémentaires. Si les symptômes persistent, il faut procéder à dautres examens.
  • -Adultes:
  • +Adultes
  • -Si le patient est atteint d'un ulcère duodénal ou d'un ulcère gastrique et qu'une infection par Helicobacter pylori a été prouvée, on s'efforcera d'éradiquer cette dernière au moyen d'un traitement combiné. En ce qui concerne la situation locale en matière de résistance aux antibiotiques ainsi que l'administration et la prescription adéquates des antibiotiques, il convient d'observer les directives applicables ainsi que les informations professionnelles des différents médicaments. Selon le profil de résistance, les combinaisons suivantes sont recommandées pour éradiquer Helicobacter pylori:
  • +Si le patient est atteint dun ulcère duodénal ou dun ulcère gastrique et quune infection par Helicobacter pylori a été prouvée, on sefforcera déradiquer cette dernière au moyen dun traitement combiné. En ce qui concerne la situation locale en matière de résistance aux antibiotiques ainsi que ladministration et la prescription adéquates des antibiotiques, il convient dobserver les directives applicables ainsi que les informations professionnelles des différents médicaments. Selon le profil de résistance, les combinaisons suivantes sont recommandées pour éradiquer Helicobacter pylori:
  • -+ 1000 mg d'amoxicilline 2x/jour
  • ++ 1000 mg damoxicilline 2x/jour
  • -+ 1000 mg d'amoxicilline 2x/jour
  • ++ 1000 mg damoxicilline 2x/jour
  • -Le traitement combiné visant à éliminer l'infection par Helicobacter pylori est pris pendant 7 jours. Lors d'un traitement combiné recourant au métronidazole, il convient de ne pas dépasser la durée de traitement maximale recommandée de 10 jours pour le métronidazole. Afin de garantir la guérison des ulcères, il convient de respecter les recommandations posologiques relatives aux ulcères gastriques et duodénaux.
  • -Si le traitement combiné n'entre pas en ligne de compte chez un patient, parce qu'il n'est pas porteur d'Helicobacter pylori, Pantoprazole NOBEL 40 mg doit être administré en monothérapie selon les directives posologiques suivantes:
  • -Ulcère duodénal, ulcère gastrique, œsophagite par reflux gastro-œsophagien et prévention des ulcères gastro-duodénaux induits par les AINS:
  • -En règle générale, 1 comprimé gastrorésistant de Pantoprazole NOBEL 40 mg par jour. La dose pourra être doublée dans certains cas particuliers tout comme en présence d'une œsophagite par reflux gastro-œsophagien ou d'une ulcération gastrique ou duodénale, notamment lorsque ces dernières n'ont pas répondu à d'autres médicaments (augmentation posologique à 2 comprimés gastrorésistants de Pantoprazole NOBEL 40 mg par jour).
  • -Dans la majorité des cas, un ulcère duodénal guérit en l'espace de 2 semaines. Si un traitement de 2 semaines ne suffit pas, la guérison sera obtenue par un traitement complémentaire de 2 semaines dans une grande majorité des cas. Dans le cas de l'ulcère gastrique et de l'œsophagite par reflux, la guérison intervient le plus souvent en l'espace de 4 semaines. Si un traitement de 4 semaines ne suffit pas, la guérison sera obtenue par un traitement complémentaire de 4 semaines dans la majorité des cas.
  • -Syndrome de Zollinger-Ellison et affections associées à une hypersécrétion pathologique d'acide gastrique
  • -Traitement à long terme du syndrome de Zollinger-Ellison et d'autres affections associées à une hypersécrétion pathologique d'acide gastrique: la posologie initiale recommandée est de 80 mg (2 comprimés gastro-résistant de Pantoprazole NOBEL 40 mg) par jour. La posologie sera ensuite ajustée individuellement en fonction de la sécrétion d'acide gastrique. À des posologies supérieures à 80 mg par jour, la dose journalière doit être répartie sur deux prises. Une augmentation momentanée de la posologie à une dose de plus de 160 mg de pantoprazole par jour est possible; toutefois, elle ne doit pas être maintenue plus longtemps que ce qui est nécessaire pour un contrôle suffisant de la sécrétion acide.
  • -En cas de syndrome de Zollinger-Ellison et d'autres affections associées à une hypersécrétion pathologique d'acide gastrique, le traitement n'est pas limité dans sa durée et sera poursuivi jusqu'à l'amélioration de l'état clinique.
  • +Le traitement combiné visant à éliminer linfection par Helicobacter pylori est pris pendant 7 jours. Lors dun traitement combiné recourant au métronidazole, il convient de ne pas dépasser la durée de traitement maximale recommandée de 10 jours pour le métronidazole. Afin de garantir la guérison des ulcères, il convient de respecter les recommandations posologiques relatives aux ulcères gastriques et duodénaux.
  • +Si le traitement combiné nentre pas en ligne de compte chez un patient, parce quil nest pas porteur dHelicobacter pylori, Pantoprazole NOBEL 40 mg doit être administré en monothérapie selon les directives posologiques suivantes:
  • +Ulcère duodénal, ulcère gastrique, œsophagite par reflux gastro-œsophagien et prévention des ulcères gastro-duodénaux induits par les AINS
  • +En règle générale, 1 comprimé gastrorésistant de Pantoprazole NOBEL 40 mg par jour. La dose pourra être doublée dans certains cas particuliers tout comme en présence dune œsophagite par reflux gastro-œsophagien ou dune ulcération gastrique ou duodénale, notamment lorsque ces dernières nont pas répondu à dautres médicaments (augmentation posologique à 2 comprimés gastrorésistants de Pantoprazole NOBEL 40 mg par jour).
  • +Dans la majorité des cas, un ulcère duodénal guérit en lespace de 2 semaines. Si un traitement de 2 semaines ne suffit pas, la guérison sera obtenue par un traitement complémentaire de 2 semaines dans une grande majorité des cas. Dans le cas de lulcère gastrique et de lœsophagite par reflux, la guérison intervient le plus souvent en lespace de 4 semaines. Si un traitement de 4 semaines ne suffit pas, la guérison sera obtenue par un traitement complémentaire de 4 semaines dans la majorité des cas.
  • +Syndrome de Zollinger-Ellison et affections associées à une hypersécrétion pathologique dacide gastrique
  • +Traitement à long terme du syndrome de Zollinger-Ellison et dautres affections associées à une hypersécrétion pathologique dacide gastrique: la posologie initiale recommandée est de 80 mg (2 comprimés gastro-résistants de Pantoprazole NOBEL 40 mg) par jour. La posologie sera ensuite ajustée individuellement en fonction de la sécrétion dacide gastrique. À des posologies supérieures à 80 mg par jour, la dose journalière doit être répartie sur deux prises. Une augmentation momentanée de la posologie à une dose de plus de 160 mg de pantoprazole par jour est possible; toutefois, elle ne doit pas être maintenue plus longtemps que ce qui est nécessaire pour un contrôle suffisant de la sécrétion acide.
  • +En cas de syndrome de Zollinger-Ellison et dautres affections associées à une hypersécrétion pathologique dacide gastrique, le traitement nest pas limité dans sa durée et sera poursuivi jusqu’à l’amélioration de létat clinique.
  • -Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • -En cas d'insuffisance hépatique sévère, la dose journalière de pantoprazole doit être réduite à 20 mg.
  • -On ne dispose d'aucune donnée concernant l'efficacité et l'innocuité du pantoprazole à raison de 1 x 20 mg par jour dans le traitement combiné visant à éradiquer Helicobacter pylori chez les patients atteints de troubles hépatiques sévères.
  • -Patients âgés, Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Patients atteints d’insuffisance hépatique
  • +En cas dinsuffisance hépatique sévère, la dose journalière de pantoprazole doit être réduite à 20 mg.
  • +On ne dispose daucune donnée concernant lefficacité et linnocuité du pantoprazole à raison de 1 x 20 mg par jour dans le traitement combiné visant à éradiquer H. pylori chez les patients atteints de troubles hépatiques sévères.
  • +Patients âgés, patients atteints d’insuffisance rénale
  • -On ne dispose d'aucune donnée clinique concernant l'efficacité et l'innocuité du pantoprazole à raison de 1 x 40 mg par jour dans le traitement combiné visant à éradiquer Helicobacter pylori chez les patients atteints d'insuffisance rénale.
  • -Enfants et adolescents de moins de 18 ans:
  • -Pantoprazole NOBEL 40 mg:
  • -Il n'existe aucune expérience suffisante réalisée avec 40 mg de pantoprazole chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans.
  • -Mode d'administration
  • -Mode d'administration correct de Pantoprazole NOBEL
  • -Les comprimés gastro-résistant ne doivent être ni croqués ni écrasés, mais avalés entiers avec un peu d'eau 1 heure avant un repas. Lors d'un traitement combiné pour l'éradication d'Helicobacter pylori, il est recommandé de prendre le second comprimé gastro-résistant de Pantoprazole NOBEL avant le repas du soir.
  • +On ne dispose daucune donnée clinique concernant lefficacité et linnocuité du pantoprazole à raison de 1 x 40 mg par jour dans le traitement combiné visant à éradiquer H. pylori chez les patients atteints dinsuffisance rénale.
  • +Enfants et adolescents de moins de 18 ans
  • +Pantoprazole NOBEL 40 mg
  • +Il nexiste aucune expérience suffisante réalisée avec 40 mg de pantoprazole chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans.
  • +Mode dadministration
  • +Mode dadministration correct de Pantoprazole NOBEL
  • +Les comprimés gastro-résistants ne doivent être ni croqués ni écrasés, mais avalés entiers avec un peu deau 1 heure avant un repas. Lors dun traitement combiné pour léradication dHelicobacter pylori, il est recommandé de prendre le second comprimé gastro-résistant de Pantoprazole NOBEL avant le repas du soir.
  • -Pantoprazole NOBEL ne doit pas être administré en cas d'hypersensibilité connue au principe actif, aux benzimidazoles substitués ou à l'un de ses composants.
  • +Pantoprazole NOBEL ne doit pas être administré en cas dhypersensibilité connue au principe actif, aux benzimidazoles substitués ou à lun de ses composants.
  • -Chez les insuffisants hépatiques graves, un contrôle régulier du taux des enzymes hépatiques est indiqué pendant un traitement par Pantoprazole NOBEL, principalement lors d'un traitement au long cours. Interrompre l'administration de Pantoprazole NOBEL lors d'une élévation du taux des enzymes hépatiques.
  • +Chez les insuffisants hépatiques graves, un contrôle régulier du taux des enzymes hépatiques est indiqué pendant un traitement par Pantoprazole NOBEL, principalement lors dun traitement au long cours. Interrompre ladministration de Pantoprazole NOBEL lors dune élévation du taux des enzymes hépatiques.
  • -L'administration de Pantoprazole NOBEL 40 mg comme traitement préventif des ulcères gastro-duodénaux induits par les AINS devrait être limitée aux patients chez lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi et qui présentent un risque accru de développer des complications gastro-duodénales. Le risque accru doit être évalué selon les facteurs de risques individuels comme par ex. l'âge (>65 ans), les antécédents d'ulcère gastro-duodénal ou d'hémorragie digestive haute.
  • -On ne dispose à ce jour d'aucune donnée concernant le traitement chez l'enfant de moins de 12 ans.
  • +Ladministration de Pantoprazole NOBEL 40 mg comme traitement préventif des ulcères gastro-duodénaux induits par les AINS devrait être limitée aux patients chez lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi et qui présentent un risque accru de développer des complications gastro-duodénales. Le risque accru doit être évalué selon les facteurs de risques individuels comme par ex. lâge (>65 ans), les antécédents dulcère gastro-duodénal ou dhémorragie digestive haute.
  • +On ne dispose à ce jour daucune donnée concernant le traitement chez lenfant de moins de 12 ans.
  • -En cas de traitement combiné, il convient d'observer les informations professionnelles des différents médicaments.
  • +En cas de traitement combiné, il convient dobserver les informations professionnelles des différents médicaments.
  • -Seul un nombre limité de patients a été traité par Pantoprazole NOBEL sur plusieurs années. Lorsque la durée d'un traitement dépasse un an, cette expérience limitée dans le traitement au long cours doit être prise en considération lors de l'évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque.
  • -Pantoprazole NOBEL n'est pas indiqué lors de légers troubles gastro-intestinaux comme p.ex. lors de dyspepsie fonctionnelle.
  • -Apparition de symptômes d'alerte
  • -En présence de symptômes d'alerte (tels que perte pondérale significative et inexpliquée, émèse répétée, dysphagie, hématémèse, anémie ou méléna) et en cas d'ulcère gastrique supposé ou existant, il faudra exclure un éventuel caractère malin, car le traitement par Pantoprazole NOBEL peut en masquer les symptômes et ainsi retarder le diagnostic.
  • -Si les symptômes persistent malgré un traitement adéquat, il convient d'envisager de procéder à des examens supplémentaires.
  • -Infections gastro-intestinales d'origine bactérienne
  • -Comme tous les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), le pantoprazole peut entraîner une augmentation du nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal supérieur. Par conséquent, un traitement par Pantoprazole NOBEL peut entraîner un risque légèrement accru d'infection gastro-intestinale d'origine bactérienne, par exemple par des salmonelles, Campylobacter et Clostridium difficile.
  • +Seul un nombre limité de patients a été traité par du pantoprazole sur plusieurs années. Lorsque la durée dun traitement dépasse un an, cette expérience limitée dans le traitement au long cours doit être prise en considération lors de lévaluation individuelle du rapport bénéfice/risque.
  • +Pantoprazole NOBEL nest pas indiqué lors de légers troubles gastro-intestinaux comme p.ex. lors de dyspepsie fonctionnelle.
  • +Apparition de symptômes dalerte
  • +En présence de symptômes dalerte (tels que perte pondérale significative et inexpliquée, émèse répétée, dysphagie, hématémèse, anémie ou méléna) et en cas dulcère gastrique supposé ou existant, il faudra exclure un éventuel caractère malin, car le traitement par Pantoprazole NOBEL peut en masquer les symptômes et ainsi retarder le diagnostic.
  • +Si les symptômes persistent malgré un traitement adéquat, il convient denvisager de procéder à des examens supplémentaires.
  • +Infections gastro-intestinales dorigine bactérienne
  • +Comme tous les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), le pantoprazole peut entraîner une augmentation du nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal supérieur. Par conséquent, un traitement par Pantoprazole NOBEL peut entraîner un risque légèrement accru dinfection gastro-intestinale dorigine bactérienne, par exemple par des salmonelles, Campylobacter et Clostridium difficile.
  • -Le traitement quotidien prolongé (pendant plusieurs années) par des médicaments qui bloquent la sécrétion acide peut provoquer une malabsorption de la cyanocobalamine (vitamine B12) par hypochlorhydrie ou achlorhydrie. Une carence en cyanocobalamine doit être envisagée chez les patients atteints du syndrome de Zollinger-Ellison et dans des cas états hypersécrétoires pathologiques nécessitant un traitement prolongé. Cette carence peut également survenir chez les personnes présentant une baisse des réserves de l'organisme, des facteurs de risque de réduction de l'absorption de la vitamine B12 (telles que les personnes âgées) pendant un traitement au long cours ou en présence de symptômes cliniques importants.
  • +Le traitement quotidien prolongé (pendant plusieurs années) par des médicaments qui bloquent la sécrétion acide peut provoquer une malabsorption de la cyanocobalamine (vitamine B12) par hypochlorhydrie ou achlorhydrie. Une carence en cyanocobalamine doit être envisagée chez les patients atteints du syndrome de Zollinger-Ellison et dans des cas états hypersécrétoires pathologiques nécessitant un traitement prolongé. Cette carence peut également survenir chez les personnes présentant une baisse des réserves de lorganisme, des facteurs de risque de réduction de labsorption de la vitamine B12 (telles que les personnes âgées) pendant un traitement au long cours ou en présence de symptômes cliniques importants.
  • -Des cas d'hypomagnésémie sévère ont été rapportés chez des patients traités avec des IPP (inhibiteurs de la pompe à protons) comme le pantoprazole pendant au moins 3 mois et dans la plupart des cas pendant un an. Des formes sévères d'hypomagnésémie telles que fatigue, tétanie, délire, crampes, vertiges et arythmie ventriculaire peuvent survenir. Elles peuvent se déclarer de manière insidieuse et ne pas être remarquées. Chez la plupart des patients concernés, l'hypomagnésémie s'est améliorée après un apport en magnésium et l'arrêt du traitement avec un IPP.
  • -Chez les patients probablement traités sur une longue période ou qui prennent des IPP avec de la digoxine ou des médicaments pouvant causer l'hypomagnésémie (p.ex. diurétiques), la mesure du taux de magnésium doit être prise en considération avant le traitement par IPP et pendant celui-ci à intervalles réguliers.
  • +Des cas dhypomagnésémie sévère ont été rapportés chez des patients traités avec des IPP (inhibiteurs de la pompe à protons) comme le pantoprazole pendant au moins 3 mois et dans la plupart des cas pendant un an. Des formes sévères dhypomagnésémie telles que fatigue, tétanie, délire, crampes, vertiges et arythmie ventriculaire peuvent survenir. Elles peuvent se déclarer de manière insidieuse et ne pas être remarquées. Chez la plupart des patients concernés, lhypomagnésémie sest améliorée après un apport en magnésium et larrêt du traitement avec un IPP.
  • +Chez les patients probablement traités sur une longue période ou qui prennent des IPP avec de la digoxine ou des médicaments pouvant causer lhypomagnésémie (p.ex. diurétiques), la mesure du taux de magnésium doit être prise en considération avant le traitement par IPP et pendant celui-ci à intervalles réguliers.
  • -Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, en particulier lorsqu'ils sont utilisés à fortes doses et sur une longue période (>1 an), légèrement augmenter le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, surtout chez les personnes âgées ou celles qui présentent d'autres facteurs de risque. Des études d'observation indiquent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Une partie de cette hausse peut être le fait d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être traités selon les directives cliniques actuelles et recevoir suffisamment d'apports en calcium et vitamine D.
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, en particulier lorsquils sont utilisés à fortes doses et sur une longue période (>1 an), légèrement augmenter le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, surtout chez les personnes âgées ou celles qui présentent dautres facteurs de risque. Des études dobservation indiquent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Une partie de cette hausse peut être le fait dautres facteurs de risque. Les patients présentant un risque dostéoporose doivent être traités selon les directives cliniques actuelles et recevoir suffisamment dapports en calcium et vitamine D.
  • -Au cours du traitement par des médicaments antiacides, la gastrine sérique augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. De la même manière, la chromogranine A (CgA) augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. Cette augmentation du taux de CgA peut interférer avec les analyses réalisées lors de tumeurs neuroendocriniennes. Des données de la littérature mentionnent que tout traitement par un IPP doit être interrompu 5 à 14 jours avant un dosage de la CgA réalisé dans le cadre du bilan ou du contrôle de l'évolution de tumeurs neuroendocriniennes, car les taux de CgA accrus suite au traitement se normalisent en l'espace de 5 à 14 jours – ou plus dans de rares cas. Le dosage doit être répété si les taux de CgA sont encore trop élevés après ce délai.
  • +Au cours du traitement par des médicaments antiacides, la gastrine sérique augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. De la même manière, la chromogranine A (CgA) augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. Cette augmentation du taux de CgA peut interférer avec les analyses réalisées lors de tumeurs neuroendocriniennes. Des données de la littérature mentionnent que tout traitement par un IPP doit être interrompu 5 à 14 jours avant un dosage de la CgA réalisé dans le cadre du bilan ou du contrôle de lévolution de tumeurs neuroendocriniennes, car les taux de CgA accrus suite au traitement se normalisent en lespace de 5 à 14 jours – ou plus dans de rares cas. Le dosage doit être répété si les taux de CgA sont encore trop élevés après ce délai.
  • +Réactions médicamenteuses cutanées sévères (SCAR)
  • +Des réactions médicamenteuses cutanées sévères (SCAR), telles que l’érythème polymorphe, le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), la nécrolyse épidermique toxique (NET), l’exanthème médicamenteux avec éosinophilie et manifestations systémiques (DRESS) et la pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) et ont été rapportées chez les patients traités par pantoprazole et d’autres IPP’s (voir «Effets indésirables»). Le pantoprazole doit être arrêté dès les premiers signes ou symptômes de réactions médicamenteuses cutanées sévères ou d’autres signes d’hypersensibilité et des examens complémentaires doivent être considérés.
  • +
  • -Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à de très rares cas de lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager l'arrêt de Pantoprazole NOBEL comprimés gastro-résistant. La survenue d'un LECS après un traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS lors de la prise d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à de très rares cas de lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles saccompagnent darthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager larrêt de Pantoprazole NOBEL. La survenue dun LECS après un traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS lors de la prise dautres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • -Influence du pantoprazole sur la résorption d'autres médicaments
  • -En raison de l'inhibition profonde et durable de la production d'acide gastrique, le pantoprazole peut diminuer la résorption de médicaments dont la biodisponibilité est pH-dépendante tels que les antimycosiques azolés (par ex. le kétoconazole, l'itraconazole, le posaconazole) et d'autres médicaments tels que l'erlotinib.
  • -Études d'interaction
  • -Le pantoprazole est en grande partie métabolisé dans le foie par le système enzymatique du cytochrome P450, principalement par le biais de la déméthylation médiée par le CYP2C19, mais aussi par le biais d'autres voies métaboliques telles que l'oxydation médiée par le CYP3A4.
  • -Aucune interaction cliniquement significative n'a toutefois pu être mise en évidence dans les études d'interaction relatives à des médicaments métabolisés par le biais du même système enzymatique tels que la carbamazépine, le diazépam, le glibenclamide, la nifédipine et un contraceptif oral contenant du levonorgestrel et de l'ethinylestradiol.
  • -Les résultats d'une série d'études d'interaction montrent que le pantoprazole n'a aucune influence sur la résorption de la digoxine liée à la glycoprotéine P ou sur le métabolisme des principes actifs par le CYP1A2 (par ex. la caféine, la théophylline), le CYP2C9 (par ex. le piroxicam, le diclofénac, le naproxène), le CYP2D6 (par ex. le métoprolol) et le CYP2E1 (par ex. l'éthanol).
  • -De même, aucune interaction avec les antiacides administrés simultanément n'a été observée.
  • -Effet de pantoprazole sur d'autres médicaments
  • +Influence du pantoprazole sur la résorption dautres médicaments
  • +En raison de linhibition profonde et durable de la production dacide gastrique, le pantoprazole peut diminuer la résorption de médicaments dont la biodisponibilité est pH-dépendante tels que les antimycosiques azolés (par ex. le kétoconazole, litraconazole, le posaconazole) et dautres médicaments tels que lerlotinib.
  • +Études dinteraction
  • +Le pantoprazole est en grande partie métabolisé dans le foie par le système enzymatique du cytochrome P450, principalement par le biais de la déméthylation médiée par le CYP2C19, mais aussi par le biais dautres voies métaboliques telles que loxydation médiée par le CYP3A4.
  • +Aucune interaction cliniquement significative na toutefois pu être mise en évidence dans les études dinteraction relatives à des médicaments métabolisés par le biais du même système enzymatique tels que la carbamazépine, le diazépam, le glibenclamide, la nifédipine et un contraceptif oral contenant du levonorgestrel et de lethinylestradiol.
  • +Les résultats dune série détudes dinteraction montrent que le pantoprazole na aucune influence sur la résorption de la digoxine liée à la glycoprotéine P ou sur le métabolisme des principes actifs par le CYP1A2 (par ex. la caféine, la théophylline), le CYP2C9 (par ex. le piroxicam, le diclofénac, le naproxène), le CYP2D6 (par ex. le métoprolol) et le CYP2E1 (par ex. léthanol).
  • +De même, aucune interaction avec les antiacides administrés simultanément na été observée.
  • +Effet du pantoprazole sur dautres médicaments
  • -Bien qu'aucune interaction n'ait été observée avec la phenprocoumone et la warfarine lors des études pharmacocinétiques menées chez l'être humain, des cas isolés de modifications du temps de prothrombine/INR ont été rapportés après la commercialisation (phase post-marketing). En conséquence, un contrôle du temps de prothrombine/INR est recommandé chez les patients traités par des anticoagulants de type coumarinique après l'instauration d'un traitement par le pantoprazole, après son arrêt ainsi que lors d'une utilisation irrégulière de pantoprazole.
  • +Bien quaucune interaction nait été observée avec la phenprocoumone et la warfarine lors des études pharmacocinétiques menées chez lêtre humain, des cas isolés de modifications du temps de prothrombine/INR ont été rapportés après la commercialisation (phase post-marketing). En conséquence, un contrôle du temps de prothrombine/INR est recommandé chez les patients traités par des anticoagulants de type coumarinique après linstauration dun traitement par le pantoprazole, après son arrêt ainsi que lors dune utilisation irrégulière de pantoprazole.
  • -La prise concomitante de pantoprazole et d'inhibiteurs de protéases du VIH dont l'absorption est dépendante d'un faible pH gastrique (tels que l'atazanavir et le nelfinavir) n'est pas recommandée, car ceci diminue nettement leur biodisponibilité.
  • -L'administration concomitante de pantoprazole et de clarithromycine, de métronidazol et/ou d'amoxicilline dans le cadre d'études d'interaction n'a révélé aucune interaction cliniquement significative.
  • +La prise concomitante de pantoprazole et dinhibiteurs de protéases du VIH dont labsorption est dépendante dun faible pH gastrique (tels que latazanavir et le nelfinavir) nest pas recommandée, car ceci diminue nettement leur biodisponibilité.
  • +Ladministration concomitante de pantoprazole et de clarithromycine, de métronidazole et/ou damoxicilline dans le cadre détudes dinteraction na révélé aucune interaction cliniquement significative.
  • -On ne dispose pas de suffisamment de données concernant l'administration du pantoprazole chez les femmes enceintes. Les expérimentations animales ont révélé une toxicité de reproduction (données plus précises sous rubrique «Données précliniques»). Le risque potentiel pour l'être humain n'est pas connu.
  • -Pantoprazole NOBEL ne doit pas être administré pendant la grossesse sauf en cas d'absolue nécessité.
  • +On ne dispose pas de suffisamment de données concernant ladministration du pantoprazole chez les femmes enceintes.
  • +Les expérimentations animales ont révélé une toxicité de reproduction (données plus précises sous «Données précliniques»). Le risque potentiel pour lêtre humain nest pas connu.
  • +Pantoprazole NOBEL ne doit pas être administré pendant la grossesse sauf en cas dabsolue nécessité.
  • -Le passage du pantoprazole dans le lait maternel a été constaté lors de l'expérimentation animale (voir également sous «Pharmacocinétique»).
  • -Chez l'être humain, des cas de passage du pantoprazole dans le lait maternel ont été signalés.
  • -Par conséquent, la décision relative à l'interruption ou à la poursuite de l'allaitement ou du traitement par Pantoprazole NOBEL doit s'appuyer sur une mise en balance du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement par Pantoprazole NOBEL pour la mère.
  • +Le passage du pantoprazole dans le lait maternel a été constaté lors de lexpérimentation animale (voir également sous «Pharmacocinétique»).
  • +Chez lêtre humain, des cas de passage du pantoprazole dans le lait maternel ont été signalés.
  • +Par conséquent, la décision relative à linterruption ou à la poursuite de lallaitement ou du traitement par Pantoprazole NOBEL doit sappuyer sur une mise en balance du bénéfice de lallaitement pour lenfant et du bénéfice du traitement par Pantoprazole NOBEL pour la mère.
  • -L'apparition d'effets indésirables tels que vertiges et troubles visuels est possible (voir rubrique «Effets indésirables»). Les patients concernés doivent renoncer à conduire un véhicule ou à utiliser des machines.
  • +Lapparition deffets indésirables tels que vertiges et troubles visuels est possible (voir rubrique «Effets indésirables»). Les patients concernés doivent renoncer à conduire un véhicule ou à utiliser des machines.
  • -Il faut s'attendre à l'apparition d'effets indésirables chez environ 5% des patients. Les effets indésirables les plus fréquemment signalés sont la diarrhée et les céphalées. Ces effets indésirables apparaissent chez environ 1% des patients.
  • -Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000); inconnus (ne peut pas être évalué sur la base des données disponibles).
  • -Il est impossible d'attribuer les effets secondaires observés après l'introduction sur le marché à un groupe de fréquence. C'est pourquoi ces effets secondaires sont accompagnés de la mention «inconnus».
  • +Il faut sattendre à lapparition deffets indésirables chez environ 5% des patients. Les effets indésirables les plus fréquemment signalés sont la diarrhée et les céphalées. Ces effets indésirables apparaissent chez environ 1% des patients.
  • +Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1’000 à <1/100); rares (≥1/10’000 à <1/1000); très rares (<1/10000); inconnus (ne peut pas être évalué sur la base des données disponibles).
  • +Il est impossible dattribuer les effets secondaires observés après lintroduction sur le marché à un groupe de fréquence. Cest pourquoi ces effets secondaires sont accompagnés de la mention «inconnus».
  • -Effets secondaires observés avec le pantoprazole dans le cadre d'études cliniques et après l'introduction sur le marché.
  • +Effets secondaires observés avec le pantoprazole dans le cadre détudes cliniques et après lintroduction sur le marché.
  • -Très rares: Leucopénie, thrombopénie, pancytopénie.
  • +Très rares: Thrombopénie, leucopénie, pancytopénie.
  • -Inconnus: Hyponatrémie, hypomagnésémie (voir «Mises en garde et précautions»). Une hypomagnésémie sévère peut être accompagnée d'une hypocalcémie et/ou d'une hypokaliémie.
  • +Inconnus: Hyponatrémie, hypomagnésémie (voir «Mises en garde et précautions»). Une hypomagnésémie sévère peut être accompagnée dune hypocalcémie et/ou dune hypokaliémie.
  • -Rares: Dépression, aggravation d'une dépression préexistante.
  • -Très rares: Désorientation, aggravation d'une désorientation préexistante.
  • -Inconnus: Hallucinations, confusion mentale, en particulier chez les patients prédisposés ainsi qu'une aggravation en cas de préexistence de ces symptômes.
  • +Rares: Dépression, aggravation dune dépression préexistante.
  • +Très rares: Désorientation, aggravation dune désorientation préexistante.
  • +Inconnus: Hallucinations, confusion mentale, en particulier chez les patients prédisposés ainsi quune aggravation en cas de préexistence de ces symptômes.
  • -Inconnus: Syndrome de Stevens-Johnson; syndrome de Lyell; érythème polymorphe; photosensibilité, DRESS (exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques).
  • +Inconnus: Syndrome de Stevens-Johnson (SSJ); nécrolyse épidermique toxique (NET); syndrome de Lyell; érythème polymorphe; photosensibilité, exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS); pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG).
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • -La sécurité d'emploi du pantoprazole a été évaluée dans des études cliniques menées avec 250 enfants âgés de 2 à 16 ans présentant une œsophagite de reflux gastro-œsophagien légère. La majorité des enfants étaient âgés de plus de 12 ans. Le pantoprazole a été généralement bien toléré et son profil de sécurité était comparable à celui observé chez les adultes.
  • +La sécurité demploi du pantoprazole a été évaluée dans des études cliniques menées avec 250 enfants âgés de 2 à 16 ans présentant une œsophagite de reflux gastro-œsophagien légère. La majorité des enfants étaient âgés de plus de 12 ans. Le pantoprazole a été généralement bien toléré et son profil de sécurité était comparable à celui observé chez les adultes.
  • -Signes et symptômes
  • -Les symptômes d'un surdosage ne sont pas connus chez l'être humain. Dans des cas isolés, une dose de 240 mg i.v. a été administrée sur 2 minutes et bien tolérée.
  • -Traitement
  • -Hormis le traitement symptomatique et le traitement d'appoint, aucune recommandation thérapeutique spécifique ne peut être donnée en cas de surdosage s'accompagnant de signes cliniques d'empoisonnement.
  • -Le pantoprazole est fortement lié aux protéines et n'est donc pas facilement dialysable.
  • +Les symptômes dun surdosage ne sont pas connus chez lêtre humain. Dans des cas isolés, une dose de 240 mg i.v. a été administrée sur 2 minutes et bien tolérée.
  • +Hormis le traitement symptomatique et le traitement dappoint, aucune recommandation thérapeutique spécifique ne peut être donnée en cas de surdosage saccompagnant de signes cliniques dempoisonnement.
  • +Le pantoprazole est fortement lié aux protéines et nest donc pas facilement dialysable.
  • -Le pantoprazole appartient à la classe des inhibiteurs de la pompe à protons. Il conduit d'une manière spécifique et dose-dépendante à une inhibition de l'enzyme H+/K+-ATPase des cellules pariétales, responsable de la sécrétion d'acide gastrique.
  • +Le pantoprazole appartient à la classe des inhibiteurs de la pompe à protons. Il conduit dune manière spécifique et dose-dépendante à une inhibition de lenzyme H+/K+-ATPase des cellules pariétales, responsable de la sécrétion dacide gastrique.
  • -Le pantoprazole est un benzimidazole substitué. Après son absorption, il s'accumule dans le compartiment acide de la cellule pariétale, où il est transformé en sa forme active, un sulfénamide cyclique. Ce dernier se fixe ensuite à l'enzyme H+/K+-ATPase et inhibe ainsi la pompe à protons. On obtient ainsi une inhibition durable de la sécrétion basale et de la sécrétion stimulée de l'acide gastrique.
  • -Comme l'action du pantoprazole se produit en aval des récepteurs (au niveau de la pompe à protons), il diminue la sécrétion acide indépendamment de l'origine du stimulus (acétylcholine, histamine, gastrine).
  • +Le pantoprazole est un benzimidazole substitué. Après son absorption, il saccumule dans le compartiment acide de la cellule pariétale, où il est transformé en sa forme active, un sulfénamide cyclique. Ce dernier se fixe ensuite à lenzyme H+/K+-ATPase et inhibe ainsi la pompe à protons. On obtient ainsi une inhibition durable de la sécrétion basale et de la sécrétion stimulée de lacide gastrique.
  • +Comme laction du pantoprazole se produit en aval des récepteurs (au niveau de la pompe à protons), il diminue la sécrétion acide indépendamment de lorigine du stimulus (acétylcholine, histamine, gastrine).
  • -Après administration par voie orale ou intraveineuse, le pantoprazole inhibe de manière dose-dépendante la sécrétion d'acide gastrique stimulée par la pentagastrine. Chez les volontaires testés, une dose orale de 40 mg a permis d'atteindre une inhibition de 51% le jour 1 et de 85% le jour 7. L'acidité basale sur 24 heures a baissé de 37% le jour 1 et de 98% le jour 7 sous l'effet de 40 mg par voie orale.
  • -La sélectivité du pantoprazole repose sur sa propriété à déployer la totalité de son effet uniquement dans le milieu fortement acide (pH <3) des cellules pariétales, alors qu'il reste largement inactif à un pH plus élevé. En conséquence, le pantoprazole ne peut développer un effet pharmacologique complet et donc un effet thérapeutique que dans les cellules pariétales de l'estomac qui possèdent une activité de sécrétion acide.
  • -Cet effet diminue de nouveau dans le cadre d'un processus de rétroaction, dans la même mesure que l'inhibition globale de la sécrétion acide. En cas de traitement au long cours par pantoprazole, la gastrinémie à jeun augmente pour atteindre environ deux fois la normale. Une augmentation excessive de la gastrinémie reste toutefois très rare. Après un traitement par voie orale, les valeurs médianes de gastrinémie retombent nettement. La suppression de la sécrétion acide peut provoquer une multiplication de cellules endocrines particulières (les cellules ECL) par l'intermédiaire d'une augmentation de la sécrétion de gastrine. L'apparition de précurseurs de carcinoïdes (hyperplasies atypiques) ou de carcinoïdes gastriques telle que signalée dans le cadre d'expérimentations animales (voir rubrique «Données précliniques») n'a pas été observée chez l'être humain.
  • -D'après les résultats des expérimentations animales, l'influence d'un traitement au long cours par pantoprazole de plus d'un an sur les paramètres endocriniens de la thyroïde ne peut être totalement exclue.
  • +Après administration par voie orale ou intraveineuse, le pantoprazole inhibe de manière dose-dépendante la sécrétion dacide gastrique stimulée par la pentagastrine. Chez les volontaires testés, une dose orale de 40 mg a permis datteindre une inhibition de 51% le jour 1 et de 85% le jour 7. Lacidité basale sur 24 heures a baissé de 37% le jour 1 et de 98% le jour 7 sous leffet de 40 mg par voie orale.
  • +La sélectivité du pantoprazole repose sur sa propriété à déployer la totalité de son effet uniquement dans le milieu fortement acide (pH <3) des cellules pariétales, alors quil reste largement inactif à un pH plus élevé. En conséquence, le pantoprazole ne peut développer un effet pharmacologique complet et donc un effet thérapeutique que dans les cellules pariétales de lestomac qui possèdent une activité de sécrétion acide.
  • +Cet effet diminue de nouveau dans le cadre dun processus de rétroaction, dans la même mesure que linhibition globale de la sécrétion acide. En cas de traitement au long cours par pantoprazole, la gastrinémie à jeun augmente pour atteindre environ deux fois la normale. Une augmentation excessive de la gastrinémie reste toutefois très rare. Après un traitement par voie orale, les valeurs médianes de gastrinémie retombent nettement. La suppression de la sécrétion acide peut provoquer une multiplication de cellules endocrines particulières (les cellules ECL) par lintermédiaire dune augmentation de la sécrétion de gastrine. Lapparition de précurseurs de carcinoïdes (hyperplasies atypiques) ou de carcinoïdes gastriques telle que signalée dans le cadre dexpérimentations animales (voir rubrique «Données précliniques») na pas été observée chez lêtre humain.
  • +Daprès les résultats des expérimentations animales, linfluence dun traitement au long cours par pantoprazole de plus dun an sur les paramètres endocriniens de la thyroïde ne peut être totalement exclue.
  • -L'efficacité des comprimés gastro-résistants pantoprazole 20 et 40 mg a été évaluée dans une étude randomisée menée avec 136 patients âgés de 12 à 16 ans présentant une œsophagite de reflux symptomatique légère (GORD). Pantoprazole a clairement amélioré les symptômes de la GORD.
  • +Lefficacité des comprimés gastro-résistants de pantoprazole 20 mg et 40 mg a été évaluée dans une étude randomisée menée avec 136 patients âgés de 12 à 16 ans présentant une œsophagite de reflux symptomatique légère (GORD). Le pantoprazole a clairement amélioré les symptômes de la GORD.
  • -Le pantoprazole est entièrement résorbé après administration par voie orale. Le taux de principe actif maximal est déjà atteint après l'administration unique orale ou intraveineuse d'une dose correspondante de pantoprazole. Le taux sérique maximal (pantoprazole 20 mg: environ 1-1,5 µg/ml, pantoprazole 40 mg: environ 2-3 µg/ml) est atteint environ 2,5 heures en moyenne après l'administration et il se maintient sans modification à ce niveau, même après plusieurs administrations.
  • -Les caractéristiques pharmacocinétiques restent les mêmes après une administration unique ou une administration multiple. Dans l'intervalle posologique étudié de 10 à 80 mg, le pantoprazole présente une cinétique presque linéaire. La biodisponibilité absolue avec les comprimés gastro-résistant est de 77%. La prise concomitante de nourriture n'affecte pas l'AUC ni la concentration sérique maximale, et donc la biodisponibilité. Seule la variabilité du délai d'absorption est augmentée par la prise simultanée de nourriture.
  • +Le pantoprazole est entièrement résorbé après administration par voie orale. Le taux de principe actif maximal est déjà atteint après ladministration unique orale ou intraveineuse dune dose correspondante de pantoprazole. Le taux sérique maximal (pantoprazole 20 mg: environ 1-1.5 µg/ml, pantoprazole 40 mg: environ 2-3 µg/ml) est atteint environ 2.5 heures en moyenne après ladministration et il se maintient sans modification à ce niveau, même après plusieurs administrations.
  • +Les caractéristiques pharmacocinétiques restent les mêmes après une administration unique ou une administration multiple. Dans lintervalle posologique étudié de 10 à 80 mg, le pantoprazole présente une cinétique presque linéaire. La biodisponibilité absolue avec les comprimés est de 77%. La prise concomitante de nourriture naffecte pas lAUC ni la concentration sérique maximale, et donc la biodisponibilité. Seule la variabilité du délai dabsorption est augmentée par la prise simultanée de nourriture.
  • -Le volume de distribution est d'environ 0,15 l/kg. La liaison du pantoprazole aux protéines sériques est de 98%. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié sur des rates gravides. Le passage augmente avec la progression de la gestation. En conséquence, et indépendamment du mode d'administration, la concentration dans le fœtus augmente peu avant la mise bas. Au maximum 0,02% de la dose administrée sont excrétés chez la rate dans le lait maternel. Aucune donnée n'est actuellement disponible sur l'excrétion du produit par le lait chez l'être humain.
  • +Le volume de distribution est denviron 0.15 l/kg. La liaison du pantoprazole aux protéines sériques est de 98%. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié sur des rates gravides. Le passage augmente avec la progression de la gestation. En conséquence, et indépendamment du mode dadministration, la concentration dans le fœtus augmente peu avant la mise bas. Au maximum 0.02% de la dose administrée sont excrétés chez la rate dans le lait maternel. Aucune donnée nest actuellement disponible sur lexcrétion du produit par le lait chez lêtre humain.
  • -Le pantoprazole est dégradé presque exclusivement par le foie. Le métabolisme du pantoprazole se fait principalement par le biais de la déméthylation médiée par le CYP2C19 et de la sulfatation subséquente, mais aussi par le biais d'autres voies métaboliques telles que l'oxydation médiée par le CYP3A4. Dans le sérum, tout comme dans l'urine, le métabolite principal est le desméthyl-pantoprazole conjugué au sulfate. La demi-vie du métabolite principal (environ 1,5 heures) est à peine plus longue que celle du pantoprazole. Le métabolite principal ne contribue pas à l'inhibition de la sécrétion acide (expérimentation animale).
  • +Le pantoprazole est dégradé presque exclusivement par le foie. Le métabolisme du pantoprazole se fait principalement par le biais de la déméthylation médiée par le CYP2C19 et de la sulfatation subséquente, mais aussi par le biais dautres voies métaboliques telles que loxydation médiée par le CYP3A4. Dans le sérum, tout comme dans lurine, le métabolite principal est le desméthyl-pantoprazole conjugué au sulfate. La demi-vie du métabolite principal (environ 1.5 heures) est à peine plus longue que celle du pantoprazole. Le métabolite principal ne contribue pas à linhibition de la sécrétion acide (expérimentation animale).
  • -La demi-vie terminale d'élimination a été déterminée à environ 1 h et la clairance est d'environ 0,1 l/h/kg. Dans quelques cas, un ralentissement de l'élimination a été observé chez les volontaires. En raison de l'activation spécifique dans les cellules pariétales, la demi-vie d'élimination ne présente aucune corrélation avec la durée d'action qui est beaucoup plus longue (inhibition de la sécrétion acide). La majeure partie des métabolites (environ 80%) est excrétée par voie rénale, et le reste par les selles.
  • +La demi-vie terminale délimination a été déterminée à environ 1 h et la clairance est denviron 0.1 l/h/kg. Dans quelques cas, un ralentissement de lélimination a été observé chez les volontaires. En raison de lactivation spécifique dans les cellules pariétales, la demi-vie délimination ne présente aucune corrélation avec la durée daction qui est beaucoup plus longue (inhibition de la sécrétion acide). La majeure partie des métabolites (environ 80%) est excrétée par voie rénale, et le reste par les selles.
  • -Chez les patients présentant une cirrhose du foie (Child A, Child B), la demi-vie se prolonge vers des valeurs comprises entre 3 et 6 heures (Pantoprazol 20 mg), et entre 7 et 9 heures (Pantoprazol 40 mg), et l'AUC est multipliée par un facteur de 3 à 5 (Pantoprazol 20 mg) et 5 à 7 (Pantoprazol 40 mg). Toutefois, le taux sérique maximal n'augmente que peu par rapport aux volontaires sains, d'un facteur de 1,3 (Pantoprazol 20 mg) et de 1,5 (Pantoprazol 40 mg).
  • +Patients atteints d’insuffisance hépatique, patients âgés
  • +Chez les patients présentant une cirrhose du foie (Child A, Child B), la demi-vie se prolonge vers des valeurs comprises entre 3 et 6 heures (pantoprazole 20 mg), et entre 7 et 9 heures (pantoprazole 40 mg), et lAUC est multipliée par un facteur de 3 à 5 (pantoprazole 20 mg) et 5 à 7 (pantoprazole 40 mg). Toutefois, le taux sérique maximal naugmente que peu par rapport aux volontaires sains, dun facteur de 1.3 (pantoprazole 20 mg) et de 1.5 (pantoprazole 40 mg). Une légère augmentation de l’AUC et de la Cmax chez les volontaires âgés, par rapport aux volontaires jeunes ne présente aucune pertinence clinique. Cependant, le pantoprazole doit être utilisé avec précaution chez les patients âgés (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • -Chez les patients présentant une insuffisance rénale (y compris les patients sous dialyse), aucune réduction posologique n'est nécessaire. Comme chez les volontaires sains, la demi-vie du pantoprazole est courte. Le pantoprazole n'est dialysé que dans une très faible mesure. Bien que le métabolite principal présente une demi-vie (2 - 3 heures) modérément plus longue que la substance mère, aucune accumulation ne peut se produire car l'excrétion reste malgré tout rapide.
  • -Patients âgés
  • -Une légère augmentation de l'AUC et de la Cmax chez les volontaires âgés, par rapport aux volontaires jeunes ne présente aucune pertinence clinique. Cependant, le pantoprazole doit être utilisé avec précaution chez les patients âgés (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -
  • +Patients atteints d’insuffisance rénale
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale (y compris les patients sous dialyse), aucune réduction posologique nest nécessaire. Comme chez les volontaires sains, la demi-vie du pantoprazole est courte. Le pantoprazole nest dialysé que dans une très faible mesure. Bien que le métabolite principal présente une demi-vie (2 - 3 heures) modérément plus longue que la substance mère, aucune accumulation ne peut se produire car lexcrétion reste malgré tout rapide.
  • -Après l'administration de doses orales uniques de 20 ou 40 mg de pantoprazole chez des enfants âgés de 5 à 16 ans, l'AUC et la Cmax étaient comparables à celles constatées chez les adultes.
  • +Après ladministration de doses orales uniques de 20 ou 40 mg de pantoprazole chez des enfants âgés de 5 à 16 ans, lAUC et la Cmax étaient comparables à celles constatées chez les adultes.
  • -Environ 3% de la population européenne présente un déficit en enzyme CYP2C19 fonctionnel (poor metabolizers = métaboliseurs lents). Chez ces personnes, le pantoprazole sera vraisemblablement principalement catalysé par le CYP3A4. Après une administration unique de 40 mg de pantoprazole, l'AUC médiane était environ six fois plus élevée chez les métaboliseurs lents que chez les personnes présentant une activité de l'enzyme CYP2C19 intacte (métaboliseurs rapides). La concentration plasmatique maximale avait augmenté de 60%. Ces résultats n'ont aucune influence sur le dosage du pantoprazole.
  • +Environ 3% de la population européenne présente un déficit en enzyme CYP2C19 fonctionnel (poor metabolizers = métaboliseurs lents). Chez ces personnes, le pantoprazole sera vraisemblablement principalement catalysé par le CYP3A4. Après une administration unique de 40 mg de pantoprazole, lAUC médiane était environ six fois plus élevée chez les métaboliseurs lents que chez les personnes présentant une activité de lenzyme CYP2C19 intacte (métaboliseurs rapides). La concentration plasmatique maximale avait augmenté de 60%. Ces résultats nont aucune influence sur le dosage du pantoprazole.
  • -Les données précliniques issues d'essais conventionnels au sujet de la sécurité pharmacologique, de la toxicité par administrations réitérées, et de la génotoxicité ne mettent en évidence aucun risque particulier chez l'être humain.
  • -Mutagénicité
  • -Il ressort des études de mutagénicité, des tests de mutation cellulaire et d'une étude de fixation sur l'ADN que le pantoprazole n'a pas de potentiel génotoxique.
  • -Carcinogénicité
  • -Au cours des études de carcinogénicité sur 2 ans menées chez le rat (correspondant à un traitement à vie chez le rat), des néoplasies neuroendocriniennes sont apparues. De plus, des papillomes des cellules squameuses sont apparus dans la partie proximale de l'estomac du rat. Le mécanisme entraînant la formation de carcinoïdes gastriques par les benzimidazoles substitués a été étudié de façon approfondie et permet de conclure à une réaction indirecte secondaire à l'élévation massive de la gastrinémie chez le rat au cours de l'administration chronique de la substance.
  • +Les données précliniques issues dessais conventionnels au sujet de la sécurité pharmacologique, de la toxicité par administrations réitérées, et de la génotoxicité ne mettent en évidence aucun risque particulier chez lêtre humain.
  • +Mutagénicité et carcinogénicité
  • +Il ressort des études de mutagénicité, des tests de mutation cellulaire et dune étude de fixation sur lADN que le pantoprazole na pas de potentiel génotoxique.
  • +Au cours des études de carcinogénicité sur 2 ans menées chez le rat (correspondant à un traitement à vie chez le rat), des néoplasies neuroendocriniennes sont apparues. De plus, des papillomes des cellules squameuses sont apparus dans la partie proximale de lestomac du rat. Le mécanisme entraînant la formation de carcinoïdes gastriques par les benzimidazoles substitués a été étudié de façon approfondie et permet de conclure à une réaction indirecte secondaire à lélévation massive de la gastrinémie chez le rat au cours de ladministration chronique de la substance.
  • -Une légère augmentation des transformations néoplasiques de la thyroïde a été notée dans le groupe de rats recevant la dose la plus forte. L'apparition de ces néoplasies est associée aux modifications induites par le pantoprazole des processus de dégradation de la thyroxine au niveau hépatique chez le rat.
  • +Une légère augmentation des transformations néoplasiques de la thyroïde a été notée dans le groupe de rats recevant la dose la plus forte. Lapparition de ces néoplasies est associée aux modifications induites par le pantoprazole des processus de dégradation de la thyroxine au niveau hépatique chez le rat.
  • -Les essais n'ont montré ni une influence sur la fertilité, ni un effet tératogène. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié chez le rat et augmente avec la progression de la gestation. En conséquence, la concentration du pantoprazole chez le fœtus est accrue juste avant la naissance.
  • +Les essais nont montré ni une influence sur la fertilité, ni un effet tératogène. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié chez le rat et augmente avec la progression de la gestation. En conséquence, la concentration du pantoprazole chez le fœtus est accrue juste avant la naissance.
  • -Pantoprazole NOBEL 20 mg: emballages avec 15, 30, 60 et 120 comprimés gastrorésistants. [B]
  • -Pantoprazole NOBEL 40 mg: emballages avec 7, 15, 30, 60 et 105 comprimés gastrorésistants. [B]
  • +Pantoprazole NOBEL 20 mg: 15, 30, 60 et 120 comprimés gastrorésistants. [B]
  • +Pantoprazole NOBEL 40 mg: 7, 15, 30, 60 et 105 comprimés gastrorésistants. [B]
  • -Février 2021.
  • +Décembre 2022.
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