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Accueil - Information professionnelle sur Sildenafil NOBEL 25 mg - Changements - 23.11.2023
76 Changements de l'information professionelle Sildenafil NOBEL 25 mg
  • -En cas d'insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine: 30-80 ml/min), aucune adaptation posologique n'est nécessaire. La clairance du sildénafil étant réduite chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), il faut choisir une dose initiale de 25 mg. La dose pourra être portée à 50 mg ou 100 mg en fonction de l’efficacité et de la tolérance.
  • +En cas dinsuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine: 30-80 ml/min), aucune adaptation posologique nest nécessaire. La clairance du sildénafil étant réduite chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), il faut choisir une dose initiale de 25 mg. La dose pourra être portée à 50 mg ou 100 mg en fonction de l’efficacité et de la tolérance.
  • -La clairance du sildénafil étant réduite chez le sujet âgé, la dose initiale ne devrait pas dépasser 25 mg (voir «Pharmacocinétique»). La dose pourra être portée à 50 mg ou 100 mg en fonction de l’efficacité et de la tolérance. Les risques cardiovasculaires de ce collectif d'âge doivent être pris en considération (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La clairance du sildénafil étant réduite chez le sujet âgé, la dose initiale ne devrait pas dépasser 25 mg (voir «Pharmacocinétique»). La dose pourra être portée à 50 mg ou 100 mg en fonction de l’efficacité et de la tolérance. Les risques cardiovasculaires de ce collectif dâge doivent être pris en considération (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -On a pu montrer que le sildénafil potentialise l’effet hypotenseur des dérivés nitrés étant donné son effet pharmacologique sur la voie métabolique du monoxyde d’azote/GMPc (voir «Propriétés/Effets»). C’est pourquoi l’administration de Sildénafil NOBEL à des patients qui utilisent un médicament libérant du monoxyde d’azote (par ex. la molsidomine, des autres vasodilatateurs coronariens avec nitro-composé ou un dérivé nitré, quel qu’il soit) est contre-indiquée (voir «Interactions» et «Mises en garde et précautions»).
  • +On a pu montrer que le sildénafil potentialise l’effet hypotenseur des dérivés nitrés étant donné son effet pharmacologique sur la voie métabolique du monoxyde d’azote/GMPc (voir «Propriétés/Effets»). C’est pourquoi l’administration de sildénafil à des patients qui utilisent un médicament libérant du monoxyde d’azote (par ex. la molsidomine, des autres vasodilatateurs coronariens avec nitrocomposé ou un dérivé nitré, quel qu’il soit) est contre-indiquée (voir «Interactions» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Chez les patients à qui une activité sexuelle est déconseillée (par ex. les patients atteints d'une affection cardiovasculaire grave telle qu'angor instable ou insuffisance cardiaque sévère), les médicaments pour le traitement de la dysfonction érectile, comme le sildénafil, ne doivent pas être utilisés.
  • -Sildénafil NOBEL est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité connue à la substance active ou à l'un des composants.
  • +Chez les patients à qui une activité sexuelle est déconseillée (par ex. les patients atteints dune affection cardiovasculaire grave telle quangor instable ou insuffisance cardiaque sévère), les médicaments pour le traitement de la dysfonction érectile, comme le sildénafil, ne doivent pas être utilisés.
  • +Sildénafil NOBEL est contre-indiqué en cas dhypersensibilité connue à la substance active ou à lun des composants.
  • -La sécurité du sildénafil n'ayant pas été étudiée dans les groupes de patients suivants (non inclus dans des études cliniques), l'utilisation du sildénafil n'est pas recommandée chez ces groupes de patients: insuffisance hépatique sévère, hypotension (pression artérielle <90/50 mmHg), hypertension non contrôlée (pression artérielle >170/110 mmHg), patients ayant récemment souffert d'un AVC ou d'un infarctus du myocarde, patients présentant une affection cardiovasculaire sévère telle qu'insuffisance cardiaque sévère, angor instable ou arythmies menaçant le pronostic vital ainsi qu'une maladie dégénérative héréditaire connue de la rétine comme la rétinite pigmentaire (une minorité de ces patients présente des troubles génétiques au niveau des phosphodiestérases rétiniennes).
  • +La sécurité du sildénafil nayant pas été étudiée dans les groupes de patients suivants (non inclus dans des études cliniques), lutilisation du sildénafil nest pas recommandée chez ces groupes de patients: insuffisance hépatique sévère, hypotension (pression artérielle <90/50 mmHg), hypertension non contrôlée (pression artérielle >170/110 mmHg), patients ayant récemment souffert dun AVC ou dun infarctus du myocarde, patients présentant une affection cardiovasculaire sévère telle quinsuffisance cardiaque sévère, angor instable ou arythmies menaçant le pronostic vital ainsi quune maladie dégénérative héréditaire connue de la rétine comme la rétinite pigmentaire (une minorité de ces patients présente des troubles génétiques au niveau des phosphodiestérases rétiniennes).
  • -Les patients atteints d'une affection cardiovasculaire aiguë ne doivent pas être traités avec des dérivés nitrés s'ils ont pris ou s'il est possible qu'ils aient pris du sildénafil, car il pourrait s'ensuivre une hypotension sévère, potentiellement fatale (voir «Interactions»). Bien que les concentrations plasmatiques de sildénafil 24 h après la prise soient bien inférieures aux concentrations plasmatiques maximales, on ignore si les dérivés nitrés peuvent être administrés sans risque 24 h après la prise de sildénafil. Le patient devra en être informé par le médecin.
  • -En cas de besoin correspondant, on ignore à quel moment il est possible d'administrer sans risque des dérivés nitrés à des patients ayant pris de sildénafil. Les concentrations plasmatiques d'une dose unique de 100 mg du sildénafil prise par des volontaires sains sont d'environ 2 ng/ml 24 h après la prise, alors que les pics plasmatiques sont de 440 ng/ml environ. Chez des patients âgés (>65 ans), des patients présentant une altération de la fonction hépatique ou une altération sévère de la fonction rénale (clairance de la créatinine <30 ml/min), ainsi que chez des patients prenant simultanément des inhibiteurs puissants du cytochrome P450 3A4 (par ex. l'érythromycine), les concentrations plasmatiques de sildénafil, 24 h après la prise, étaient toutefois 3 à 8 fois plus élevées que chez des volontaires sains.
  • +Les patients atteints dune affection cardiovasculaire aiguë ne doivent pas être traités avec des dérivés nitrés sils ont pris ou sil est possible quils aient pris du sildénafil, car il pourrait sensuivre une hypotension sévère, potentiellement fatale (voir «Interactions»). Bien que les concentrations plasmatiques de sildénafil 24 h après la prise soient bien inférieures aux concentrations plasmatiques maximales, on ignore si les dérivés nitrés peuvent être administrés sans risque 24 h après la prise de sildénafil. Le patient devra en être informé par le médecin.
  • +En cas de besoin correspondant, on ignore à quel moment il est possible dadministrer sans risque des dérivés nitrés à des patients ayant pris de sildénafil. Les concentrations plasmatiques dune dose unique de 100 mg du sildénafil prise par des volontaires sains sont denviron 2 ng/ml 24 h après la prise, alors que les pics plasmatiques sont de 440 ng/ml environ. Chez des patients âgés (>65 ans), des patients présentant une altération de la fonction hépatique ou une altération sévère de la fonction rénale (clairance de la créatinine <30 ml/min), ainsi que chez des patients prenant simultanément des inhibiteurs puissants du cytochrome P450 3A4 (par ex. lérythromycine), les concentrations plasmatiques de sildénafil, 24 h après la prise, étaient toutefois 3 à 8 fois plus élevées que chez des volontaires sains.
  • -Avant l'instauration de chaque traitement de la dysfonction érectile, le statut cardiovasculaire du patient doit être pris en compte étant donné que l'activité sexuelle comporte un certain risque cardiaque. Vu ses propriétés vasodilatatrices, le sildénafil provoque un abaissement, léger et passager, de la tension artérielle (voir «Propriétés/Effets») et renforce donc l’effet hypotenseur des dérivés nitrés (voir «Contre-indications» et «Interactions»).
  • +Avant linstauration de chaque traitement de la dysfonction érectile, le statut cardiovasculaire du patient doit être pris en compte étant donné que lactivité sexuelle comporte un certain risque cardiaque. Vu ses propriétés vasodilatatrices, le sildénafil provoque un abaissement, léger et passager, de la tension artérielle (voir «Propriétés/Effets») et renforce donc l’effet hypotenseur des dérivés nitrés (voir «Contre-indications» et «Interactions»).
  • -Le sildénafil possède des qualités vasodilatatrices, qui induisent une chute passagère de la tension artérielle. Chez la plupart des patients, cette chute de tension n’a que des conséquences minimes. Avant de prescrire du sildénafil, le médecin devra cependant évaluer scrupuleusement si l’effet vasodilatateur de cette substance ne risque pas de porter atteinte aux patients souffrant de certaines maladies sous-jacentes, en particulier en association à un rapport sexuel. Une hypersensibilité accrue aux substances vasodilatatrices subsiste en particulier en cas d'obstruction systolique ventriculaire gauche (par ex. un rétrécissement aortique ou une myocardiopathie obstructive hypertrophique) ainsi qu'en cas de syndrome de Shy-Drager, maladie rare se manifestant par une altération grave du mécanisme autonome de contrôle de la pression artérielle.
  • +Le sildénafil possède des qualités vasodilatatrices, qui induisent une chute passagère de la tension artérielle. Chez la plupart des patients, cette chute de tension n’a que des conséquences minimes. Avant de prescrire du sildénafil, le médecin devra cependant évaluer scrupuleusement si l’effet vasodilatateur de cette substance ne risque pas de porter atteinte aux patients souffrant de certaines maladies sous-jacentes, en particulier en association à un rapport sexuel. Une hypersensibilité accrue aux substances vasodilatatrices subsiste en particulier en cas dobstruction systolique ventriculaire gauche (par ex. un rétrécissement aortique ou une myocardiopathie obstructive hypertrophique) ainsi quen cas de syndrome de Shy-Drager, maladie rare se manifestant par une altération grave du mécanisme autonome de contrôle de la pression artérielle.
  • -La prudence est recommandée lorsque le sildénafil est administré à des patients sous traitement alpha-bloquant, car leur administration concomitante peut entraîner une hypotension symptomatique chez un faible nombre de sujets sensibles (voir «Interactions»). L'apparition de ce phénomène est la plus probable dans les 4 h suivant la prise de sildénafil. Afin de minimiser l'éventuelle survenue d'une hypotension orthostatique, les patients sous traitement alpha-bloquant doivent être stabilisés avant d'initier un traitement par sildénafil. L'instauration du traitement par sildénafil aura lieu à la dose de 25 mg. Par ailleurs, les médecins doivent avertir leurs patients de la conduite à tenir lorsque des symptômes d'hypotension orthostatique apparaissent.
  • +La prudence est recommandée lorsque le sildénafil est administré à des patients sous traitement alpha-bloquant, car leur administration concomitante peut entraîner une hypotension symptomatique chez un faible nombre de sujets sensibles (voir «Interactions»). Lapparition de ce phénomène est la plus probable dans les 4 h suivant la prise de sildénafil. Afin de minimiser léventuelle survenue dune hypotension orthostatique, les patients sous traitement alpha-bloquant doivent être stabilisés avant dinitier un traitement par sildénafil. Linstauration du traitement par sildénafil aura lieu à la dose de 25 mg. Par ailleurs, les médecins doivent avertir leurs patients de la conduite à tenir lorsque des symptômes dhypotension orthostatique apparaissent.
  • -Comme les inhibiteurs de la PDE5, les stimulateurs de la guanylate cyclase (tels que le riociguat) induisent des modifications du cGMP intracellulaire. Malgré des mécanismes d'action différents, les deux classes de substances exercent une action vasodilatatrice. Lorsque, sous l'association des deux modes d'action, le taux de cGMP augmente, un effet additif sur la pression artérielle systémique avec augmentation du risque d'hypotension symptomatique est à craindre (voir aussi «Interactions»). Sildenafil NOBEL ne doit par conséquent pas être utilisé conjointement à des stimulateurs de la guanylate cyclase.
  • +Comme les inhibiteurs de la PDE5, les stimulateurs de la guanylate cyclase (tels que le riociguat) induisent des modifications du cGMP intracellulaire. Malgré des mécanismes daction différents, les deux classes de substances exercent une action vasodilatatrice. Lorsque, sous lassociation des deux modes daction, le taux de cGMP augmente, un effet additif sur la pression artérielle systémique avec augmentation du risque dhypotension symptomatique est à craindre (voir aussi «Interactions»). Sildénafil NOBEL ne doit par conséquent pas être utilisé conjointement à des stimulateurs de la guanylate cyclase.
  • -Le patient doit être informé qu'il doit immédiatement interrompre la prise de tous les inhibiteurs de la PDE5, y compris Sildénafil NOBEL, en cas de perte subite de la vue au niveau d'un œil ou des deux yeux et qu’il doit consulter un médecin. Un tel événement est peut-être le signe d'une neuropathie optique ischémique antérieure non artéritique (NAION), entraînant une diminution de l'acuité visuelle et pouvant même avoir pour conséquence une cécité définitive. D'après la littérature, l'incidence annuelle de NAION dans la population générale est de 2.5-11.8 cas pour 100’000 hommes d'âge ≥50 ans par an.
  • -Depuis la mise sur le marché du médicament, quelques rares cas de NAION ont été observés dans un rapport temporel avec l'utilisation d'inhibiteurs de la PDE5 comme le sildénafil. La plupart des patients concernés, mais pas tous, présentait des facteurs de risque antérieurs pour le développement d'une NAION tels que rapport cupule/papille optique abaissé («crowded disc»), diabète, hypertension artérielle, âge de 50 ans et plus, angiopathies coronaires, hyperlipidémie ou tabagisme.
  • -Dans une étude d'observation, on a étudié si une administration épisodique récente d'inhibiteurs de la PDE5 (en tant que classe) était en relation avec l'apparition aiguë d'une NAION. Les résultats ont montré qu'après la prise d'inhibiteurs de la PDE5, l'élévation du risque était environ du double en 5 temps de demi-vie. Les personnes qui ont déjà présenté une NAION ont un risque accru de récidive de NAION et de NAION de l'autre œil. Les inhibiteurs de la PDE5 comme le sildénafil doivent être prescrits avec prudence chez ces patients et uniquement si les bénéfices attendus sont supérieurs aux risques.
  • -Les médecins doivent également informer leurs patients de ce risque. En outre, il faudra rechercher dans quelle mesure l'utilisation d'inhibiteurs de la PDE5 chez ce type de patients peut également conduire à d'autres effets indésirables en raison de leurs propriétés vasodilatatrices (voir «Effets indésirables»).
  • +Le patient doit être informé quil doit immédiatement interrompre la prise de tous les inhibiteurs de la PDE5, y compris Sildénafil NOBEL, en cas de perte subite de la vue au niveau dun œil ou des deux yeux et qu’il doit consulter un médecin. Un tel événement est peut-être le signe dune neuropathie optique ischémique antérieure non artéritique (NAION), entraînant une diminution de lacuité visuelle et pouvant même avoir pour conséquence une cécité définitive. Daprès la littérature, lincidence annuelle de NAION dans la population générale est de 2.5-11.8 cas pour 100’000 hommes dâge ≥50 ans par an.
  • +Depuis la mise sur le marché du médicament, quelques rares cas de NAION ont été observés dans un rapport temporel avec lutilisation dinhibiteurs de la PDE5 comme le sildénafil. La plupart des patients concernés, mais pas tous, présentait des facteurs de risque antérieurs pour le développement dune NAION tels que rapport cupule/papille optique abaissé («crowded disc»), diabète, hypertension artérielle, âge de 50 ans et plus, angiopathies coronaires, hyperlipidémie ou tabagisme.
  • +Dans une étude dobservation, on a étudié si une administration épisodique récente dinhibiteurs de la PDE5 (en tant que classe) était en relation avec lapparition aiguë dune NAION. Les résultats ont montré quaprès la prise dinhibiteurs de la PDE5, lélévation du risque était environ du double en 5 temps de demi-vie. Les personnes qui ont déjà présenté une NAION ont un risque accru de récidive de NAION et de NAION de lautre œil. Les inhibiteurs de la PDE5 comme le sildénafil doivent être prescrits avec prudence chez ces patients et uniquement si les bénéfices attendus sont supérieurs aux risques.
  • +Les médecins doivent également informer leurs patients de ce risque. En outre, il faudra rechercher dans quelle mesure lutilisation dinhibiteurs de la PDE5 chez ce type de patients peut également conduire à dautres effets indésirables en raison de leurs propriétés vasodilatatrices (voir «Effets indésirables»).
  • -Des cas d'érection prolongée et de priapisme ont été signalés au cours de la surveillance post-marketing du sildénafil. Il faut avertir les patients du fait que, si une érection dure plus de 4 h, ils doivent consulter sans délai un médecin. Le priapisme constitue une urgence urologique. Un priapisme qui n'est pas traité immédiatement peut engendrer des lésions des tissus du pénis et une perte définitive de la puissance sexuelle.
  • +Des cas dérection prolongée et de priapisme ont été signalés au cours de la surveillance post-marketing du sildénafil. Il faut avertir les patients du fait que, si une érection dure plus de 4 h, ils doivent consulter sans délai un médecin. Le priapisme constitue une urgence urologique. Un priapisme qui nest pas traité immédiatement peut engendrer des lésions des tissus du pénis et une perte définitive de la puissance sexuelle.
  • -Le sildénafil ne modifie pas le temps de saignement, même en cas de prise concomitante d'acide acétylsalicylique. Des études in vitro sur des thrombocytes humains ont toutefois indiqué que le sildénafil renforce l'effet antiagrégant du nitroprussiate de sodium (un donneur de monoxyde d'azote).
  • -Aucune donnée concernant l'administration de sildénafil à des patients présentant des troubles de la coagulation ou un ulcère peptique actif n'est disponible. L'administration de Sildénafil NOBEL à ces patients n'aura donc lieu qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque.
  • +Le sildénafil ne modifie pas le temps de saignement, même en cas de prise concomitante dacide acétylsalicylique. Des études in vitro sur des thrombocytes humains ont toutefois indiqué que le sildénafil renforce leffet antiagrégant du nitroprussiate de sodium (un donneur de monoxyde dazote).
  • +Aucune donnée concernant ladministration de sildénafil à des patients présentant des troubles de la coagulation ou un ulcère peptique actif nest disponible. Ladministration de Sildénafil NOBEL à ces patients naura donc lieu quaprès une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque.
  • -Il n'existe aucune étude concernant la sécurité d'emploi et l'efficacité du sildénafil en association avec d'autres inhibiteurs de la PDE5 ou d'autres procédés de traitement d'une dysfonction érectile. Le recours à de telles associations thérapeutiques est par conséquent déconseillé.
  • -Il n'existe aucune étude concernant la sécurité d'emploi du sildénafil chez les patients souffrant d'une dysfonction érectile et recevant un traitement au long cours par sildénafil en raison d'une hypertension artérielle pulmonaire. Chez ces patients, l'administration concomitante de Sildénafil NOBEL est donc déconseillée.
  • +Il nexiste aucune étude concernant la sécurité demploi et lefficacité du sildénafil en association avec dautres inhibiteurs de la PDE5 ou dautres procédés de traitement dune dysfonction érectile. Le recours à de telles associations thérapeutiques est par conséquent déconseillé.
  • +Il nexiste aucune étude concernant la sécurité demploi du sildénafil chez les patients souffrant dune dysfonction érectile et recevant un traitement au long cours par sildénafil en raison dune hypertension artérielle pulmonaire. Chez ces patients, ladministration concomitante de Sildénafil NOBEL est donc déconseillée.
  • -Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu’il est essentiellement «sans sodium».
  • -Le sildénafil est essentiellement métabolisé par l'intermédiaire du cytochrome P450 (CYP), principalement par l'isoenzyme CYP3A4 et accessoirement par le CYP2C9. Par conséquent, les inhibiteurs de ces isoenzymes peuvent entraîner une réduction de la clairance du sildénafil et les inducteurs de ces isoenzymes une augmentation de celle-ci. On peut donc supposer que la concentration plasmatique de sildénafil augmente lorsqu'il est administré simultanément avec un inhibiteur du CYP3A4 et diminue lorsqu'il est administré simultanément avec un inducteur du CYP3A4 (comme p.ex. la rifampicine).
  • +Le sildénafil est essentiellement métabolisé par lintermédiaire du cytochrome P450 (CYP), principalement par lisoenzyme CYP3A4 et accessoirement par le CYP2C9. Par conséquent, les inhibiteurs de ces isoenzymes peuvent entraîner une réduction de la clairance du sildénafil et les inducteurs de ces isoenzymes une augmentation de celle-ci. On peut donc supposer que la concentration plasmatique de sildénafil augmente lorsquil est administré simultanément avec un inhibiteur du CYP3A4 et diminue lorsquil est administré simultanément avec un inducteur du CYP3A4 (comme p.ex. la rifampicine).
  • -L'administration concomitante de sildénafil (dose unique de 100 mg) et d'un inhibiteur de la protéase du VIH et puissant inhibiteur du P450, à savoir le ritonavir à l'état d'équilibre (500 mg 2×/j), a causé une multiplication par 4 de la Cmax du sildénafil et par 11 de son AUC. Au bout de 24 h, les concentrations plasmatiques de sildénafil étaient toujours de 200 ng/ml environ, alors qu'elles sont d'environ 5 ng/ml lorsque le sildénafil est administré seul (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Ceci concorde avec le fait que le ritonavir a un effet marqué sur toute une série de substrats du cytochrome P450.
  • -L'administration concomitante de sildénafil (dose unique de 25 mg) et d'un puissant inhibiteur du CYP3A4, l'indinavir à l'état d'équilibre (800 mg/j), a entraîné une multiplication par 4.4 de l'AUC du sildénafil chez 6 patients atteints du VIH au cours d'une étude.
  • -L’administration concomitante de sildénafil (dose unique de 100 mg) et d'un inhibiteur de la protéase du VIH, le saquinavir à l'état d'équilibre (1200 mg 3×/j), également puissant inhibiteur du CYP3A4, a entraîné une multiplication par 2.4 de la Cmax de sildénafil et par 3.1 de l'AUC de sildénafil (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Chez des patients traités par 500 mg d'érythromycine, un inhibiteur modéré du CYP3A4, 2×/j pendant cinq jours, l'exposition systémique au sildénafil (AUC) était 2.8 fois plus importante après la prise d'une dose unique de 100 mg de sildénafil.
  • -L'administration concomitante de sildénafil (50 mg) et de cimétidine (800 mg), un inhibiteur faible du CYP3A4, a entraîné une augmentation de 56% du taux plasmatique de sildénafil.
  • -On peut s'attendre à ce que des inhibiteurs puissants du CYP3A4, comme l'itraconazole, le voriconazole ou la clarithromycine exercent une action proportionnellement plus forte sur la pharmacocinétique de sildénafil.
  • -En cas d'administration concomitante de sildénafil et d'un inhibiteur du CYP3A4, on considérera donc la prescription d'une dose initiale de 25 mg.
  • +Ladministration concomitante de sildénafil (dose unique de 100 mg) et dun inhibiteur de la protéase du VIH et puissant inhibiteur du P450, à savoir le ritonavir à létat déquilibre (500 mg 2×/j), a causé une multiplication par 4 de la Cmax du sildénafil et par 11 de son AUC. Au bout de 24 h, les concentrations plasmatiques de sildénafil étaient toujours de 200 ng/ml environ, alors quelles sont denviron 5 ng/ml lorsque le sildénafil est administré seul (voir «Posologie/Mode demploi»). Ceci concorde avec le fait que le ritonavir a un effet marqué sur toute une série de substrats du cytochrome P450.
  • +Ladministration concomitante de sildénafil (dose unique de 25 mg) et dun puissant inhibiteur du CYP3A4, lindinavir à létat déquilibre (800 mg/j), a entraîné une multiplication par 4.4 de lAUC du sildénafil chez 6 patients atteints du VIH au cours dune étude.
  • +L’administration concomitante de sildénafil (dose unique de 100 mg) et dun inhibiteur de la protéase du VIH, le saquinavir à létat déquilibre (1200 mg 3×/j), également puissant inhibiteur du CYP3A4, a entraîné une multiplication par 2.4 de la Cmax de sildénafil et par 3.1 de lAUC de sildénafil (voir «Posologie/Mode demploi»).
  • +Chez des patients traités par 500 mg dérythromycine, un inhibiteur modéré du CYP3A4, 2×/j pendant cinq jours, lexposition systémique au sildénafil (AUC) était 2.8 fois plus importante après la prise dune dose unique de 100 mg de sildénafil.
  • +Ladministration concomitante de sildénafil (50 mg) et de cimétidine (800 mg), un inhibiteur faible du CYP3A4, a entraîné une augmentation de 56% du taux plasmatique de sildénafil.
  • +On peut sattendre à ce que des inhibiteurs puissants du CYP3A4, comme litraconazole, le voriconazole ou la clarithromycine exercent une action proportionnellement plus forte sur la pharmacocinétique de sildénafil.
  • +En cas dadministration concomitante de sildénafil et dun inhibiteur du CYP3A4, on considérera donc la prescription dune dose initiale de 25 mg.
  • -Chez les volontaires sains, l'administration concomitante de sildénafil à l'état d'équilibre (80 mg 3×/j) et de bosentan (125 mg 2×/j), antagoniste de l'endothéline et inducteur du CYP3A4 (modéré), du CYP2C9 et, éventuellement, du CYP2C19, a provoqué une baisse de l'ASC du sildénafil de 62.6% et de la Cmax du sildénafil de 55.4%. Pour les inhibiteurs puissants du CYP3A4, comme la rifampicine, on s'attend à une diminution supérieure des concentrations plasmatiques du sildénafil.
  • -L'administration d'azithromycine (500 mg/j pendant 3 jours) n'a fait apparaître aucun effet significatif de cet antibiotique sur l'AUC, la Cmax, le tmax, le taux d'élimination ou la demi-vie du sildénafil ou de son principal métabolite.
  • -La biodisponibilité du sildénafil n'a pas été modifiée par l'administration de doses uniques d'un antiacide (hydroxyde de magnésium/hydroxyde d'aluminium).
  • -Bien que l'on ne dispose pas d'études d'interaction spécifiques pour tous les médicaments, l'analyse des données pharmacocinétiques provenant des études cliniques menées à ce jour n'a mis en évidence aucune modification des paramètres pharmacocinétiques du sildénafil lors de l'administration concomitante d'inhibiteurs de la CYP2C9 (comme le tolbutamide, la warfarine, la phénytoïne), d'inhibiteurs de la CYP2D6 (comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, les antidépresseurs tricycliques), de diurétiques thiazidiques et autres diurétiques apparentés, de diurétiques de l'anse et de diurétiques d'épargne potassique, d'IEC, d'inhibiteurs calciques, d'antagonistes des récepteurs β.
  • +Chez les volontaires sains, ladministration concomitante de sildénafil à létat déquilibre (80 mg 3×/j) et de bosentan (125 mg 2×/j), antagoniste de lendothéline et inducteur du CYP3A4 (modéré), du CYP2C9 et, éventuellement, du CYP2C19, a provoqué une baisse de l’AUC du sildénafil de 62.6% et de la Cmax du sildénafil de 55.4%. Pour les inhibiteurs puissants du CYP3A4, comme la rifampicine, on sattend à une diminution supérieure des concentrations plasmatiques du sildénafil.
  • +Ladministration dazithromycine (500 mg/j pendant 3 jours) na fait apparaître aucun effet significatif de cet antibiotique sur lAUC, la Cmax, le tmax, le taux délimination ou la demi-vie du sildénafil ou de son principal métabolite.
  • +La biodisponibilité du sildénafil na pas été modifiée par ladministration de doses uniques dun antiacide (hydroxyde de magnésium/hydroxyde daluminium).
  • +Bien que lon ne dispose pas détudes dinteraction spécifiques pour tous les médicaments, lanalyse des données pharmacocinétiques provenant des études cliniques menées à ce jour na mis en évidence aucune modification des paramètres pharmacocinétiques du sildénafil lors de ladministration concomitante dinhibiteurs de la CYP2C9 (comme le tolbutamide, la warfarine, la phénytoïne), dinhibiteurs de la CYP2D6 (comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, les antidépresseurs tricycliques), de diurétiques thiazidiques et autres diurétiques apparentés, de diurétiques de lanse et de diurétiques dépargne potassique, dIEC, dinhibiteurs calciques, dantagonistes des récepteurs β.
  • -Le sildénafil inhibe légèrement les isoenzymes 1A2, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 3A4 (CI50 >150 µM) du cytochrome P450. Comme les pics plasmatiques du sildénafil sont de 1 µM environ après la prise d'une dose recommandée, il semble improbable que Sildénafil NOBEL modifie la clairance des substrats de ces isoenzymes.
  • -On ne dispose d'aucune donnée sur l'interaction du sildénafil avec des inhibiteurs non spécifiques des phosphodiestérases comme la théophylline ou le dipyridamole.
  • +Le sildénafil inhibe légèrement les isoenzymes 1A2, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 3A4 (CI50 >150 µM) du cytochrome P450. Comme les pics plasmatiques du sildénafil sont de 1 µM environ après la prise dune dose recommandée, il semble improbable que Sildénafil NOBEL modifie la clairance des substrats de ces isoenzymes.
  • +On ne dispose daucune donnée sur linteraction du sildénafil avec des inhibiteurs non spécifiques des phosphodiestérases comme la théophylline ou le dipyridamole.
  • -Au cours d'études cliniques d'interaction, l'administration concomitante de sildénafil (50 mg) n'a fait apparaître aucune interaction significative avec le tolbutamide (250 mg) ni avec la warfarine (40 mg), deux substances qui sont métabolisées par le CYP2C9. Des cas isolés d'interaction avec la warfarine (prolongement du temps de prothrombine) ont cependant été signalés au cours de la surveillance post-marketing.
  • -On ne peut exclure avec certitude un effet sur l'anticoagulation par la phenprocoumone ou l'acénocoumarol, tous deux distribués en Suisse. Une surveillance étroite des patients sous ces anticoagulants est donc nécessaire lors de traitement concomitant avec le sildénafil.
  • -En cas d'administration concomitante, le sildénafil à l'état d'équilibre (80 mg 3×/j) a causé une augmentation de l'AUC et de la Cmax du bosentan (125 mg 2×/j) de 49.8% et 42% respectivement.
  • -Le sildénafil (100 mg) n'a eu aucune influence sur la pharmacocinétique à l'état d'équilibre du saquinavir et du ritonavir, des inhibiteurs de la protéase du VIH, tous deux substrats du CYP3A4.
  • +Au cours détudes cliniques dinteraction, ladministration concomitante de sildénafil (50 mg) na fait apparaître aucune interaction significative avec le tolbutamide (250 mg) ni avec la warfarine (40 mg), deux substances qui sont métabolisées par le CYP2C9. Des cas isolés dinteraction avec la warfarine (prolongement du temps de prothrombine) ont cependant été signalés au cours de la surveillance post-marketing.
  • +On ne peut exclure avec certitude un effet sur lanticoagulation par la phenprocoumone ou lacénocoumarol, tous deux distribués en Suisse. Une surveillance étroite des patients sous ces anticoagulants est donc nécessaire lors de traitement concomitant avec le sildénafil.
  • +En cas dadministration concomitante, le sildénafil à létat déquilibre (80 mg 3×/j) a causé une augmentation de lAUC et de la Cmax du bosentan (125 mg 2×/j) de 49.8% et 42% respectivement.
  • +Le sildénafil (100 mg) na eu aucune influence sur la pharmacocinétique à létat déquilibre du saquinavir et du ritonavir, des inhibiteurs de la protéase du VIH, tous deux substrats du CYP3A4.
  • -Il a pu être démontré que sildénafil renforce l'effet hypotenseur des dérivés nitrés étant donné son effet pharmacologique sur la voie métabolique du monoxyde d'azote/GMPc. C'est pourquoi l'administration concomitante de sildénafil et de dérivés nitrés ou de substances libérant du monoxyde d'azote, molsidomine comprise, est contre-indiquée. Chez des patients atteints d'angor stable et ayant pris, dans le cadre d'études, de la nitroglycérine (trinitrate de glycéryle, trinitrine) une heure après la prise de sildénafil, une baisse tensionnelle cliniquement appréciable a été observée immédiatement après la prise de nitroglycérine, ceci en comparaison des patients ayant pris uniquement de la nitroglycérine. Cette interaction a duré environ 2 heures. L'effet de la prise de nitroglycérine plus d'une heure après celle de sildénafil n'a pas été étudié.
  • -Chez des patients angineux bien contrôlés par un traitement d'entretien avec du mononitrate d'isosorbide (MNIS), la prise de sildénafil a provoqué une chute cliniquement appréciable de la tension, comparativement à ce qui a été constaté chez des patients n'ayant pris que du MNIS. Cet effet était à son maximum environ une heure après la prise de sildénafil; il était encore observable 6 heures après la prise.
  • +Il a pu être démontré que le sildénafil renforce leffet hypotenseur des dérivés nitrés étant donné son effet pharmacologique sur la voie métabolique du monoxyde dazote/GMPc. Cest pourquoi ladministration concomitante de sildénafil et de dérivés nitrés ou de substances libérant du monoxyde dazote, molsidomine comprise, est contre-indiquée. Chez des patients atteints dangor stable et ayant pris, dans le cadre détudes, de la nitroglycérine (trinitrate de glycéryle, trinitrine) une heure après la prise de sildénafil, une baisse tensionnelle cliniquement appréciable a été observée immédiatement après la prise de nitroglycérine, ceci en comparaison des patients ayant pris uniquement de la nitroglycérine. Cette interaction a duré environ 2 heures. Leffet de la prise de nitroglycérine plus dune heure après celle de sildénafil na pas été étudié.
  • +Chez des patients angineux bien contrôlés par un traitement dentretien avec du mononitrate disosorbide (MNIS), la prise de sildénafil a provoqué une chute cliniquement appréciable de la tension, comparativement à ce qui a été constaté chez des patients nayant pris que du MNIS. Cet effet était à son maximum environ une heure après la prise de sildénafil; il était encore observable 6 heures après la prise.
  • -Dans des modèles animaux, une action additive sur la tension artérielle a été observée lorsque le riociguat, un stimulateur de la guanylate cyclase, a été associé à des inhibiteurs de la PDE5 (sildénafil ou vardénafil). A de hautes doses, des effets synergiques sur la pression artérielle systémique sont apparus dans certains cas. Des effets hémodynamiques additifs ont également été observés dans des études cliniques. Par conséquent, l'administration concomitante de Sildénafil NOBEL et de stimulateurs de la guanylate cyclase est contre-indiquée.
  • +Dans des modèles animaux, une action additive sur la tension artérielle a été observée lorsque le riociguat, un stimulateur de la guanylate cyclase, a été associé à des inhibiteurs de la PDE5 (sildénafil ou vardénafil). A de hautes doses, des effets synergiques sur la pression artérielle systémique sont apparus dans certains cas. Des effets hémodynamiques additifs ont également été observés dans des études cliniques. Par conséquent, ladministration concomitante de Sildénafil NOBEL et de stimulateurs de la guanylate cyclase est contre-indiquée.
  • -L'administration concomitante de sildénafil à des patients sous traitement alpha-bloquant peut entraîner une hypotension symptomatique chez un faible nombre de sujets sensibles. L'apparition de ce phénomène est la plus probable dans les 4 heures suivant la prise de sildénafil (voir «Mises en garde et précautions»). Dans trois études d'interactions médicamenteuses, l'alpha-bloquant doxazosine (4 mg et 8 mg) et le sildénafil (25 mg, 50 mg ou 100 mg) ont été administrés simultanément chez des patients présentant une hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) stabilisée sous traitement par doxazosine. Dans les populations de ces études, des réductions additionnelles moyennes de la pression artérielle en décubitus de 7/7 mmHg, 9/5 mmHg, et 8/4 mmHg et des réductions additionnelles moyennes de la pression artérielle en position debout de 6/6 mmHg, 11/4 mmHg et 4/5 mmHg, respectivement, ont été observées. Des cas d'hypotension orthostatique symptomatique ont été occasionnellement rapportés. Ces rapports incluaient des vertiges et des sensations d'étourdissement, mais aucune syncope.
  • -Dans une étude d'interaction ciblée, du sildénafil (100 mg) a été administré à des sujets hypertendus traités par de l'amlodipine (5 mg ou 10 mg). Ceci a entraîné un abaissement tensionnel supplémentaire de 8 mmHg pour la pression systolique et de 7 mmHg pour la pression diastolique mesurée en position couchée.
  • -Au cours d'une analyse, le profil de sécurité du sildénafil n'a pas différé entre les patients qui avaient reçu, en plus de cette médication, un placebo ou l'un des médicaments antihypertenseurs des classes suivantes: diurétiques, antagonistes des récepteurs β, IEC, antagonistes de l'angiotensine II, ganglioplégiques, inhibiteurs calciques et antagonistes des récepteurs α ou autres antihypertenseurs (vasodilatateurs directs et médicaments à action centrale).
  • -De très rares cas d'hypotension ont été décrits au cours de la surveillance post-marketing sur le traitement concomitant avec un antagoniste de l'angiotensine II ou un IEC. On ignore encore si les effets indésirables rapportés dans ces cas sont imputables à la prise du sildénafil seul, à une interaction médicamenteuse possible entre le sildénafil et l'antihypertenseur pris en même temps, à l'affection cardiovasculaire préexistante ou à une aggravation de celle-ci.
  • +Ladministration concomitante de sildénafil à des patients sous traitement alpha-bloquant peut entraîner une hypotension symptomatique chez un faible nombre de sujets sensibles. Lapparition de ce phénomène est la plus probable dans les 4 heures suivant la prise de sildénafil (voir «Mises en garde et précautions»). Dans trois études dinteractions médicamenteuses, lalpha-bloquant doxazosine (4 mg et 8 mg) et le sildénafil (25 mg, 50 mg ou 100 mg) ont été administrés simultanément chez des patients présentant une hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) stabilisée sous traitement par doxazosine. Dans les populations de ces études, des réductions additionnelles moyennes de la pression artérielle en décubitus de 7/7 mmHg, 9/5 mmHg, et 8/4 mmHg et des réductions additionnelles moyennes de la pression artérielle en position debout de 6/6 mmHg, 11/4 mmHg et 4/5 mmHg, respectivement, ont été observées. Des cas dhypotension orthostatique symptomatique ont été occasionnellement rapportés. Ces rapports incluaient des vertiges et des sensations détourdissement, mais aucune syncope.
  • +Dans une étude dinteraction ciblée, du sildénafil (100 mg) a été administré à des sujets hypertendus traités par de lamlodipine (5 mg ou 10 mg). Ceci a entraîné un abaissement tensionnel supplémentaire de 8 mmHg pour la pression systolique et de 7 mmHg pour la pression diastolique mesurée en position couchée.
  • +Au cours dune analyse, le profil de sécurité du sildénafil na pas différé entre les patients qui avaient reçu, en plus de cette médication, un placebo ou lun des médicaments antihypertenseurs des classes suivantes: diurétiques, antagonistes des récepteurs β, IEC, antagonistes de langiotensine II, ganglioplégiques, inhibiteurs calciques et antagonistes des récepteurs α ou autres antihypertenseurs (vasodilatateurs directs et médicaments à action centrale).
  • +De très rares cas dhypotension ont été décrits au cours de la surveillance post-marketing sur le traitement concomitant avec un antagoniste de langiotensine II ou un IEC. On ignore encore si les effets indésirables rapportés dans ces cas sont imputables à la prise du sildénafil seul, à une interaction médicamenteuse possible entre le sildénafil et lantihypertenseur pris en même temps, à laffection cardiovasculaire préexistante ou à une aggravation de celle-ci.
  • -Le sildénafil (50 mg) n'a pas accentué la prolongation du temps de saignement induite par l'acide acétylsalicylique (150 mg).
  • -Le sildénafil (50 mg) n'a pas renforcé l'effet hypotenseur de l'alcool chez des volontaires sains présentant en moyenne un taux sanguin maximal d'alcool de 0.8‰ (80 mg/dl).
  • +Le sildénafil (50 mg) na pas accentué la prolongation du temps de saignement induite par lacide acétylsalicylique (150 mg).
  • +Le sildénafil (50 mg) na pas renforcé leffet hypotenseur de lalcool chez des volontaires sains présentant en moyenne un taux sanguin maximal dalcool de 0.8‰ (80 mg/dl).
  • -Les données concernant la sécurité de sildénafil sont issues d'un ensemble de 74 études cliniques contrôlées contre placebo, ainsi que de la surveillance post-marketing.
  • +Les données concernant la sécurité de sildénafil sont issues dun ensemble de 74 études cliniques contrôlées contre placebo, ainsi que de la surveillance post-marketing.
  • -Tous les effets indésirables médicalement importants, observés pendant l'utilisation de sildénafil dans les études cliniques et/ou au cours de la surveillance post-marketing, sont énumérés ci-dessous par classe de systèmes d’organes et par fréquence, selon les définitions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 et <1/10), occasionnels (≥1/1000 et <1/100), rares (≥1/10’000 et <1/1000), très rares (<1/10’000), inconnus (provenant essentiellement des déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing, la fréquence exacte ne peut pas être estimée).
  • +Tous les effets indésirables médicalement importants, observés pendant lutilisation de sildénafil dans les études cliniques et/ou au cours de la surveillance post-marketing, sont énumérés ci-dessous par classe de systèmes d’organes et par fréquence, selon les définitions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 et <1/10), occasionnels (≥1/1000 et <1/100), rares (≥1/10’000 et <1/1000), très rares (<1/10’000), inconnus (provenant essentiellement des déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing, la fréquence exacte ne peut pas être estimée).
  • -Occasionnels: réactions d'hypersensibilité.
  • +Occasionnels: réactions dhypersensibilité.
  • -Fréquents: vision trouble, altération de la vision des couleurs et autres troubles visuels (comme une sensation d'être ébloui ou la vision d'anneaux lumineux).
  • +Fréquents: vision trouble, altération de la vision des couleurs et autres troubles visuels (comme une sensation dêtre ébloui ou la vision danneaux lumineux).
  • -Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Affections de loreille et du labyrinthe
  • -Occasionnels: vomissements, sécheresse buccale, douleur abdominale haute, brûlures d'estomac.
  • +Occasionnels: vomissements, sécheresse buccale, douleur abdominale haute, brûlures destomac.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • -La prise de doses orales uniques de 100 mg de sildénafil n'a pas provoqué de modifications cliniquement significatives de l'ECG chez des volontaires sains.
  • -Dans une étude examinant les effets hémodynamiques d'une dose orale unique de 100 mg de sildénafil chez 14 patients atteints de coronaropathie sévère (sténose de >70% sur au moins une coronaire), les valeurs moyennes de tension systolique et diastolique au repos ont diminué respectivement de 7% et 6% par rapport à l'inclusion. La tension pulmonaire systolique moyenne a diminué de 9%. Le sildénafil n'a eu aucun effet sur le débit cardiaque et n'a pas entravé la perfusion des artères coronaires sténosées.
  • -Dans une étude d'effort en double aveugle placebo-contrôlée chez 144 patients souffrant de dysfonction érectile et d'angor chronique stable régulièrement traités par des anti-angineux (à l'exclusion de dérivés nitrés), aucune différence cliniquement significative au niveau du temps jusqu'à l'apparition d'un angor contraignant à l'arrêt de l'étude n'a été constatée sous sildénafil par rapport au placebo.
  • +La prise de doses orales uniques de 100 mg de sildénafil na pas provoqué de modifications cliniquement significatives de lECG chez des volontaires sains.
  • +Dans une étude examinant les effets hémodynamiques dune dose orale unique de 100 mg de sildénafil chez 14 patients atteints de coronaropathie sévère (sténose de >70% sur au moins une coronaire), les valeurs moyennes de tension systolique et diastolique au repos ont diminué respectivement de 7% et 6% par rapport à linclusion. La tension pulmonaire systolique moyenne a diminué de 9%. Le sildénafil na eu aucun effet sur le débit cardiaque et na pas entravé la perfusion des artères coronaires sténosées.
  • +Dans une étude deffort en double aveugle placebo-contrôlée chez 144 patients souffrant de dysfonction érectile et dangor chronique stable régulièrement traités par des anti-angineux (à lexclusion de dérivés nitrés), aucune différence cliniquement significative au niveau du temps jusqu’à l’apparition dun angor contraignant à larrêt de létude na été constatée sous sildénafil par rapport au placebo.
  • -En moyenne, la baisse tensionnelle maximale en position debout était de 8.3 mmHg pour la pression systolique et de 5.3 mmHg pour la pression diastolique après la prise de 100 mg par voie orale. Cette baisse tensionnelle reflète l'effet vasodilatateur du sildénafil, probablement en relation avec des taux plus élevés de GMPc dans la musculature lisse des vaisseaux sanguins.
  • +En moyenne, la baisse tensionnelle maximale en position debout était de 8.3 mmHg pour la pression systolique et de 5.3 mmHg pour la pression diastolique après la prise de 100 mg par voie orale. Cette baisse tensionnelle reflète leffet vasodilatateur du sildénafil, probablement en relation avec des taux plus élevés de GMPc dans la musculature lisse des vaisseaux sanguins.
  • -Des modifications légères et passagères de la perception des couleurs (bleu/vert) ont été observées chez quelques-uns des participants aux études cliniques 1 heure après la prise de 100 mg (test de Farnsworth-Munsell sur 100 couleurs); 2 heures après la prise, ces modifications avaient disparu. Le mécanisme à l'origine de la modification de la perception des couleurs est probablement lié à l'inhibition de la PDE6 qui joue un rôle dans la transmission des images à la rétine (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Le sildénafil n'a aucun effet sur l'acuité visuelle ou la perception des contrastes. Dans une petite étude placebo-contrôlée sur 9 patients atteints de DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge) documentée au stade précoce, le sildénafil en dose unique de 100 mg n'a pas produit de changements significatifs dans les résultats des tests visuels effectués (acuité visuelle, grille d'Amsler, test de Worth, périmètre de Humphrey et test de photostress maculaire).
  • +Des modifications légères et passagères de la perception des couleurs (bleu/vert) ont été observées chez quelques-uns des participants aux études cliniques 1 heure après la prise de 100 mg (test de Farnsworth-Munsell sur 100 couleurs); 2 heures après la prise, ces modifications avaient disparu. Le mécanisme à lorigine de la modification de la perception des couleurs est probablement lié à linhibition de la PDE6 qui joue un rôle dans la transmission des images à la rétine (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Le sildénafil na aucun effet sur lacuité visuelle ou la perception des contrastes. Dans une petite étude placebo-contrôlée sur 9 patients atteints de DMLA (dégénérescence maculaire liée à lâge) documentée au stade précoce, le sildénafil en dose unique de 100 mg na pas produit de changements significatifs dans les résultats des tests visuels effectués (acuité visuelle, grille dAmsler, test de Worth, périmètre de Humphrey et test de photostress maculaire).
  • -L'administration d'une dose orale unique de sildénafil (100 mg) à des volontaires sains n'a pas donné lieu à des modifications de la motilité ou de la morphologie des spermatozoïdes.
  • +Ladministration dune dose orale unique de sildénafil (100 mg) à des volontaires sains na pas donné lieu à des modifications de la motilité ou de la morphologie des spermatozoïdes.
  • -Chez des sujets présentant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine de 50 à 80 ml/min) à modérée (clairance de la créatinine de 30 à 49 ml/min), la pharmacocinétique du sildénafil ne s’est pas différenciée significativement de celle observée chez des volontaires de même âge sans insuffisance rénale. Après une dose orale unique de 50 mg, la Cmax et l’AUC moyennes du métabolite N-déméthylé ont augmenté respectivement de 73% et 126%. Chez des volontaires présentant une insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <30 ml/min), la clairance du sildénafil a été diminuée, ce qui s’est traduit par une augmentation de l’AUC (de 100%) et de la Cmax (de 88%) par rapport aux volontaires de même dont les reins étaient sains. En cas d'insuffisance rénale grave, l'AUC du métabolite N-déméthylé était multipliée par trois et sa Cmax avait augmenté de 79%.
  • +Chez des sujets présentant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine de 50 à 80 ml/min) à modérée (clairance de la créatinine de 30 à 49 ml/min), la pharmacocinétique du sildénafil ne s’est pas différenciée significativement de celle observée chez des volontaires de même âge sans insuffisance rénale. Après une dose orale unique de 50 mg, la Cmax et l’AUC moyennes du métabolite N-déméthylé ont augmenté respectivement de 73% et 126%. Chez des volontaires présentant une insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <30 ml/min), la clairance du sildénafil a été diminuée, ce qui s’est traduit par une augmentation de l’AUC (de 100%) et de la Cmax (de 88%) par rapport aux volontaires de même âge dont les reins étaient sains. En cas dinsuffisance rénale grave, lAUC du métabolite N-déméthylé était multipliée par trois et sa Cmax avait augmenté de 79%.
  • -Conserver à température ambiante (15-25°C), dans l’emballage d’origine, à l’abri de l’humidité et hors de la portée des enfants.
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C), dans l’emballage d’origine, à l’abri de l’humidité et hors de la portée des enfants.
  • -50 mg: 4 et 12 comprimés pelliculés (sécables). [B]
  • -100 mg: 4, 12 et 24 comprimés pelliculés (quadri-sécables). [B]
  • +50 mg: 4, 12 et 24 comprimés pelliculés (sécables). [B]
  • +100 mg: 4, 12 et 24 comprimés pelliculés (quadrisécables). [B]
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