32 Changements de l'information professionelle Tabrecta 150 mg |
-Augmentations combinées des taux d'ALAT et/ou d'ASAT accompagnées d'une augmentation de la bilirubine totale en l'absence d'une cholestase ou d'une hémolyse En cas d'apparition de taux d'ALAT et/ou d'ASAT > 3 × LSN et d'une bilirubine totale > 2 × LSN, indépendamment de la valeur initiale, arrêter définitivement Tabrecta
- +Augmentations combinées des taux d'ALAT et/ou d'ASAT accompagnées d'une augmentation de la bilirubine totale en l'absence d'une cholestase ou d'une hémolyse En cas d'apparition de taux d'ALAT et/ou d'ASAT > 3 × LSN et d'une bilirubine totale > 2 × LSN, indépendamment de la valeur initiale, arrêter définitivement Tabrecta.
-Chez les patients traités par Tabrecta dans l'étude GEOMETRY mono-1, aucun cas d'hypersensibilité grave n'a été signalé. Dans d'autres études cliniques, des cas d'hypersensibilité grave ont été rapportés chez des patients traités par Tabrecta (voir «Effets indésirables»). Les symptômes ont inclus fièvre, frissons, démangeaisons, rash cutané, pression artérielle basse, nausées et vomissements. En fonction de la gravité des effets indésirables du médicament, l'administration de Tabrecta doit soit être suspendue temporairement, soit être arrêtée définitivement.
- +Chez les patients traités par Tabrecta dans l'étude GEOMETRY mono-1, aucun cas d'hypersensibilité grave n'a été signalé. Dans d'autres études cliniques, des cas d'hypersensibilité grave ont été rapportés chez des patients traités par Tabrecta (voir «Effets indésirables»). Les symptômes cliniques ont inclus fièvre, frissons, démangeaisons, rash cutané, pression artérielle basse, nausées et vomissements. En fonction de la gravité des effets indésirables du médicament, l'administration de Tabrecta doit soit être suspendue temporairement, soit être arrêtée définitivement.
-D'après des simulations utilisant des modèles pharmacocinétiques physiologiques (PBPK), l'administration concomitante d'une dose de 400 mg de carmatinib et d'éfavirenz (600 mg une fois par jour pendant 20 jours), un inducteur modéré du CYP3A, devrait entraîner à l'état d'équilibre une diminution de 44% de l'ASC0–12h et de 34% de la Cmax du capmatinib comparativement à l'administration du capmatinib seul. Une diminution de l'exposition au capmatinib peut réduire l'activité antitumorale de Tabrecta. L'administration concomitante de Tabrecta avec des inducteurs modérés du CYP3A doit être évitée. Un autre médicament concomitant présentant un potentiel nul ou modéré d'induction du CYP3A doit être envisagé.
- +D'après des simulations utilisant des modèles pharmacocinétiques physiologiques (PBPK), l'administration concomitante d'une dose de 400 mg de capmatinib et d'éfavirenz (600 mg une fois par jour pendant 20 jours), un inducteur modéré du CYP3A, devrait entraîner à l'état d'équilibre une diminution de 44% de l'ASC0–12h et de 34% de la Cmax du capmatinib comparativement à l'administration du capmatinib seul. Une diminution de l'exposition au capmatinib peut réduire l'activité antitumorale de Tabrecta. L'administration concomitante de Tabrecta avec des inducteurs modérés du CYP3A doit être évitée. Un autre médicament concomitant présentant un potentiel nul ou modéré d'induction du CYP3A doit être envisagé.
-La solubilité du capmatinib dépend du pH et il est peu soluble lorsque le pH augmente in vitro. Les médicaments réduisant la quantité d'acide dans l'estomac, p.ex. les inhibiteurs de la pompe à protons, les antagonistes des récepteurs H2, les antiacides, peuvent modifier la solubilité du capmatinib et réduire la biodisponibilité du médicament. Chez les sujets sains, l'administration concomitante d'une dose unique de 600 mg de capmatinib et de l'inhibiteur de la pompe à protons rabéprazole (20 mg une fois par jour pendant 4 jours) a entraîné une diminution de 25% de l'ASCinf et de 38% de la Cmax du capmatinib comparativement à l'administration du capmatinib seul. La prudence est de mise lors de l'utilisation concomitante de Tabrecta avec des inhibiteurs de la pompe à protons. On pourra utiliser un antagoniste des récepteurs H2 ou un antiacide a lieu d'un inhibiteur de la pompe à protons. Tabrecta doit être pris au moins 3 heures avant ou 6 heures après un antagoniste des récepteurs H2. Tabrecta doit être pris au moins 2 heures avant ou 2 heures après un antiacide.
- +La solubilité du capmatinib dépend du pH et il est peu soluble lorsque le pH augmente in vitro. Les médicaments réduisant la quantité d’acide dans l’estomac, p. ex. les inhibiteurs de la pompe à protons, les antagonistes des récepteurs H2, les antiacides, peuvent modifier la solubilité du capmatinib et réduire la biodisponibilité du médicament. Chez les sujets sains, l’administration concomitante d’une dose unique de 600 mg de capmatinib et de l’inhibiteur de la pompe à protons rabéprazole (20 mg une fois par jour pendant 4 jours) a entraîné une diminution de 25% de l’ASCinf et de 38% de la Cmax du capmatinib comparativement à l’administration du capmatinib seul. La survenue d’interactions cliniquement pertinentes entre le capmatinib et des médicaments réduisant l’acidité gastrique sont peu probables; en effet, l’administration simultanée de rabéprazole n’a pas eu d’effets significatifs sur l’exposition au capmatinib.
-L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéficerisque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-Dans les cohortes avec mutation de MET, les patients devaient présenter le statut de type sauvage du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) (pour les délétions dans l'exon 19 et les mutations par substitution L858R de l'exon 21), un réarrangement négatif du gène de la kinase du lymphome anaplasique (ALK) et un CPNPC avec mutation de MET avec au moins une lésion mesurable selon les critères d'évaluation de la réponse tumorale dans les tumeurs solides (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors, RECIST) version 1.1, ainsi qu'un indice de performance ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0 à 1. Les patients présentant des métastases symptomatiques du système nerveux central (SNC) qui étaient neurologiquement instables ou qui avaient eu besoin de doses plus élevées de stéroïdes au cours des deux semaines précédentes afin de contrôler les symptômes du SNC, les patients souffrant d'une affection cardiaque non contrôlée cliniquement significative ou les patients ayant été traités auparavant par un inhibiteur de MET ou de l'HGF n'ont pas pu être inclus dans l'étude.
- +Dans les cohortes avec mutation de MET, les patients devaient présenter le statut de type sauvage du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) (pour les délétions dans l'exon 19 et les mutations par substitution L858R de l'exon 21), un réarrangement négatif du gène de la kinase du lymphome anaplasique (ALK) et un CPNPC avec mutation de MET avec au moins une lésion mesurable selon les critères d'évaluation de la réponse tumorale dans les tumeurs solides (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors, RECIST) version 1.1, ainsi qu'un indice de performance ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0 à 1. Les patients présentant des métastases symptomatiques du système nerveux central (SNC), qui étaient neurologiquement instables ou qui avaient eu besoin de doses plus élevées de stéroïdes au cours des deux semaines précédentes afin de contrôler les symptômes du SNC, les patients souffrant d'une affection cardiaque non contrôlée cliniquement significative ou les patients ayant été traités auparavant par un inhibiteur de MET ou de l'HGF n'ont pas pu être inclus dans l'étude.
-Liste des abréviations: BIRC, Blinded Independent Review Committee; IC, intervalle de confiance; CR, réponse complète; DOR, durée de la réponse; MET, transition épithélio-mésenchymateuse; NE, non évaluable; CPNPC, cancer du poumon non à petites cellules; ORR, taux de réponse globale; PD, progression de la maladie; PR, réponse partielle; RECIST, Response Evaluation Criteria in Solid Tumors ORR: CR+PR adéterminé suivant les critères RECIST v1.1. bintervalle de confiance de Clopper-Pearson exact et binomial à 95% cbasé sur l'évaluation de Kaplan-Meier
- +Liste des abréviations: BIRC, Blinded Independent Review Committee; IC, intervalle de confiance; CR, réponse complète; DOR, durée de la réponse; MET, transition épithélio-mésenchymateuse; NE, non évaluable; CPNPC, cancer du poumon non à petites cellules; ORR, taux de réponse globale; PD, progression de la maladie; PR, réponse partielle; RECIST, Response Evaluation Criteria in Solid Tumors ORR: CR+PR. adéterminé suivant les critères RECIST v1.1. bintervalle de confiance de Clopper-Pearson exact et binomial à 95% cbasé sur l'évaluation de Kaplan-Meier
-Liste des abréviations: BIRC, Blinded Independent Review Committee; IC, intervalle de confiance; CR, réponse complète; DOR, durée de la réponse; MET, transition épithélio-mésenchymateuse; CPNPC, cancer du poumon non à petites cellules; PD, progression de la maladie; ORR, taux de réponse globale; PD, progression de la maladie; PR, réponse partielle; RECIST, Response Evaluation Criteria in Solid Tumors. ORR: CR+PR adéterminé suivant les critères RECIST v1.1. bintervalle de confiance de Clopper-Pearson exact et binomial à 95% cbasé sur l'évaluation de Kaplan-Meier
- +Liste des abréviations: BIRC, Blinded Independent Review Committee; IC, intervalle de confiance; CR, réponse complète; DOR, durée de la réponse; MET, transition épithélio-mésenchymateuse; CPNPC, cancer du poumon non à petites cellules; ORR, taux de réponse globale; PD, progression de la maladie; PR, réponse partielle; RECIST, Response Evaluation Criteria in Solid Tumors. ORR: CR+PR adéterminé suivant les critères RECIST v1.1. bintervalle de confiance de Clopper-Pearson exact et binomial à 95% cbasé sur l'évaluation de Kaplan-Meier
-Cette analyse d'efficacité repose sur les données de 60 patients atteints d'un CPNPC avec mutation de MET non traités qui ont été inclus dans la cohorte 5b (28 patients) complétée par la cohorte 7 (32 patients) et de 100 patients atteints d'un CPNPC avec mutation de MET déjà traités qui ont été inclus dans la cohorte 4 (69 en traitement de deuxième/troisième ligne), complétée par la cohorte 6 (31 patients en traitement de deuxième ligne).
- +Cette analyse d'efficacité repose sur les données de 60 patients atteints d'un CPNPC avec mutation de MET non traités, qui ont été inclus dans la cohorte 5b (28 patients) complétée par la cohorte 7 (32 patients) et de 100 patients atteints d'un CPNPC avec mutation de MET déjà traités, qui ont été inclus dans la cohorte 4 (69 en traitement de deuxième/troisième ligne), complétée par la cohorte 6 (31 patients en traitement de deuxième ligne).
-Liste des abréviations: BIRC, Blinded Independent Review Committee; IC, intervalle de confiance; CR, réponse complète; DOR, durée de la réponse; MET, transition épithélio-mésenchymateuse; NE, non évaluable; CPNPC, cancer du poumon non à petites cellules; ORR, taux de réponse globale; PD, progression de la maladie; PR, réponse partielle; RECIST, Response Evaluation Criteria in Solid Tumors ORR: CR+PR adéterminé suivant les critères RECIST v1.1. bintervalle de confiance de Clopper-Pearson exact et binomial à 95% cbasé sur l'évaluation de Kaplan-Meier
- +Liste des abréviations: BIRC, Blinded Independent Review Committee; IC, intervalle de confiance; CR, réponse complète; DOR, durée de la réponse; MET, transition épithélio-mésenchymateuse; NE, non évaluable; CPNPC, cancer du poumon non à petites cellules; ORR, taux de réponse globale; PD, progression de la maladie; PR, réponse partielle; RECIST, Response Evaluation Criteria in Solid Tumors ORR: CR+PR. adéterminé suivant les critères RECIST v1.1. bintervalle de confiance de Clopper-Pearson exact et binomial à 95% cbasé sur l'évaluation de Kaplan-Meier
-Le capmatinib est principalement éliminé par voie métabolique et excrétion finale dans les fèces. Après une seule administration orale de capmatinib[14C] à des sujets sains, 78% de la radioactivité totale ont été retrouvés dans les fèces, dont 42% sous forme de capmatinib intact, et 22% dans l'urine. L'élimination du capmatinib intact dans l'urine est négligeable.
- +Le capmatinib est principalement éliminé par voie métabolique et excrétion finale dans les fèces. Après une seule administration orale de [14C]-capmatinib à des sujets sains, 78% de la radioactivité totale ont été retrouvés dans les fèces, dont 42% sous forme de capmatinib intact, et 22% dans l'urine. L'élimination du capmatinib intact dans l'urine est négligeable.
-De légères modifications des taux sériques d'enzymes hépatiques (ALAT, ASAT et/ou SDH) ont été observées dans plusieurs études différentes réalisées sur le rat et le singe. Ces modifications étaient limitées à des augmentations minimales à légères, très variables, pour lesquelles aucune relation dose-effet claire n'a été identifiée. Ces augmentations des enzymes hépatiques ont souvent été observées dans le foie sans corrélat histologique, à l'exception d'une étude d'une durée de 13 semaines réalisée sur le singe qui a montré une infiltration neutrophile sous-capsulaire minimale à faible, réversible, en relation avec la nécrose d'une cellule unique chez le mâle à une dose de 75 mg/kg/jour.
- +De légères modifications des taux sériques d’enzymes hépatiques (ALAT, ASAT et/ou SDH) ont été observées dans plusieurs études différentes réalisées sur le rat et le singe. Ces modifications étaient limitées à des augmentations minimales à légères, très variables, pour lesquelles aucune relation dose-effet claire n’a été identifiée. Ces augmentations des enzymes hépatiques ont souvent été observées sans corrélat histologique dans le foie, à l’exception d’une étude d’une durée de 13 semaines réalisée sur le singe qui a montré une infiltration neutrophile sous-capsulaire minimale à faible, réversible, en relation avec une nécrose cellulaire chez le mâle à une dose de 75 mg/kg/jour.
-Toxicité sur la reproduction
- +Toxicité pour la reproduction
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Conserver hors de portée des enfants.
- +Tenir hors de portée des enfants.
-Mars 2023
- +Mars 2024
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