94 Changements de l'information professionelle DARZALEX SC 1800 mg/15 ml |
-·en monothérapie pour le traitement de patients atteints de myélome multiple qui ont déjà reçu au moins trois lignes de traitement antérieures, incluant > 1 inhibiteur du protéasome (IP) et > 1 principe actif immunomodulateur (IMiD) ou qui ont été doublement réfractaires à > 1 IP et IMiD.
- +·en monothérapie pour le traitement de patients atteints de myélome multiple qui ont déjà reçu au moins trois lignes de traitement antérieures, incluant > 1 inhibiteur du protéasome (IP) et > 1 principe actif immunomodulateur (IMiD) ou qui ont été doublement réfractaires à > 1 IP et IMiD;
- +·en association avec le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone pour les traitements d'induction et de consolidation de patients adultes atteints d'un myélome multiple nouvellement diagnostiqué, éligibles à une autogreffe de cellules souches;
-Pour les recommandations posologiques concernant les médicaments associés à DARZALEX SC, voir «Efficacité clinique» et se reporter aux informations professionnelles correspondantes.
- +Pour les recommandations posologiques concernant les médicaments associés à DARZALEX SC, voir «Efficacité clinique» et se reporter à l'information professionnelle correspondante.
- +Schéma posologique en association avec le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone (schéma posologique avec cycles de traitement de 4 semaines)
- +Le schéma posologique de DARZALEX SC donné dans le tableau 3 est celui pour le traitement d'association avec le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone (cycles de traitement de 4 semaines) pour le traitement de patients atteints d'un myélome multiple nouvellement diagnostiqué, éligibles à une autogreffe de cellules souches (AGCS).
- +Tableau 3: Schéma posologique de DARZALEX SC en association avec le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone ([VRd]; cycles de traitement de 4 semaines)
- +Phase de traitement Semaines Schéma posologique
- +Induction Semaines 1 à 8 Hebdomadaire (8 doses au total)
- +Semaines 9 à 16a Toutes les 2 semaines (4 doses au total)
- +Interruption pour chimiothérapie à haute dose et AGCS
- +Consolidation Semaines 1 à 8b Toutes les 2 semaines (4 doses au total)
- +
- +a La première dose du schéma posologique «toutes les 2 semaines» est administrée à la semaine 9.
- +b Lors de la reprise du traitement après l'AGCS, la première dose du schéma posologique «toutes les 2 semaines» est administrée à la semaine 1.
- +Pour les recommandations posologiques concernant les médicaments associés à DARZALEX SC, voir «Efficacité cliniqueI» et se reporter à l'information professionnelle correspondante.
-Tableau 3: Schéma posologique de DARZALEX SC en association avec le bortézomib (cycles de traitement de 3 semaines)
- +Tableau 4: Schéma posologique de DARZALEX SC en association avec le bortézomib (cycles de traitement de 3 semaines)
-Pour les recommandations posologiques concernant les médicaments associés à DARZALEX SC, voir «Efficacité clinique» et se reporter aux informations professionnelles correspondantes.
- +Pour les recommandations posologiques concernant les médicaments associés à DARZALEX SC, voir «Efficacité clinique» et se reporter à l'information professionnelle correspondante.
-Tableau 4: Schéma posologique de DARZALEX SC en association avec le bortézomib, le cyclophosphamide et la dexaméthasone ([VCd]; cycles de traitement de 4 semaines) chez les patients présentant une amyloïdose ALa
- +Tableau 5: Schéma posologique de DARZALEX SC en association avec le bortézomib, le cyclophosphamide et la dexaméthasone ([VCd]; cycles de traitement de 4 semaines) chez les patients présentant une amyloïdose ALa
-Pour les recommandations posologiques concernant les médicaments associés à DARZALEX SC, voir «Efficacité clinique» et se reporter aux informations professionnelles correspondantes.
- +Pour les recommandations posologiques concernant les médicaments associés à DARZALEX SC, voir «Efficacité clinique» et se reporter à l'information professionnelle correspondante.
-Pour obtenir davantage d'informations sur les médicaments administrés en association avec DARZALEX SC, consulter leurs informations professionnelles respectives.
- +Pour obtenir davantage d'informations sur les médicaments administrés en association avec DARZALEX SC, consulter leur information professionnelle respective.
-Traitement associé:
- +Traitement associé
-Si après les trois premières injections, le patient n'a pas présenté de IRR majeure, ces corticostéroïdes post-injection peuvent être arrêtés (les éventuels corticostéroïdes spécifiques au traitement doivent être maintenus).
-En complément, l'administration de médicaments post-injection comprenant des bronchodilatateurs de courte et de longue durée d'action et des corticostéroïdes inhalés doit également être envisagée chez les patients présentant des antécédents de troubles pulmonaires obstructifs chroniques. Si après les quatre premières injections, le patient n'a pas présenté de IRR majeure, ces médicaments post-injection inhalés peuvent être arrêtés selon l'appréciation du médecin.
- +Si après les trois premières injections le patient n'a pas présenté de IRR sévère, ces corticostéroïdes post-injection peuvent être arrêtés (les éventuels corticostéroïdes spécifiques au traitement doivent être maintenus).
- +En complément, l'administration de médicaments post-injection comprenant des bronchodilatateurs de courte et de longue durée d'action et des corticostéroïdes inhalés doit également être envisagée chez les patients présentant des antécédents de troubles pulmonaires obstructifs chroniques. Si après les quatre premières injections ces patients n'ont pas présenté de IRR sévère, ces médicaments post-injection inhalés peuvent être arrêtés selon l'appréciation du médecin.
-Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec le daratumumab chez les patients atteints d'insuffisance rénale. D'après des analyses pharmacocinétiques (PC) de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale (voir «Pharmacocinétique»).
- +Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec le daratumumab chez les patients atteints d'insuffisance rénale. Dans les études cliniques, des effets indésirables graves ont été observés chez des patients dont la clairance de la créatinine était < 60 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»). D'après des analyses pharmacocinétiques (PC) de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale (voir «Pharmacocinétique»).
-Au cours des études cliniques, des IRR ont été rapportées chez environ 9% (74/832) des patients.
- +Au cours des études cliniques, des IRR ont été rapportées chez environ 8% (95/1249) des patients.
-Pour réduire le risque de IRR retardées, tous les patients doivent recevoir des corticostéroïdes oraux après l'injection de DARZALEX SC. Les patients présentant des antécédents de troubles pulmonaires obstructifs chroniques peuvent nécessiter une médication supplémentaire après l'injection pour prendre en charge les complications respiratoires. La prescription de bronchodilatateurs de courte et de longue durée d'action et de corticostéroïdes inhalés doit être envisagée chez les patients présentant des troubles pulmonaires obstructifs chroniques. En présence de symptômes oculaires, il faut interrompre la perfusion de DARZALEX SC et demander un examen immédiat par un ophtalmologue, avant d'administrer DARZALEX SC à nouveau.
- +Pour réduire le risque de IRR retardées, tous les patients doivent recevoir des corticostéroïdes oraux après l'injection de DARZALEX SC. Les patients présentant des antécédents de troubles pulmonaires obstructifs chroniques peuvent nécessiter une médication supplémentaire après l'injection pour prendre en charge les complications respiratoires. La prescription de bronchodilatateurs de courte et de longue durée d'action et de corticostéroïdes inhalés doit être envisagée chez les patients présentant des troubles pulmonaires obstructifs chroniques. En présence de symptômes oculaires, il faut interrompre l'injection de DARZALEX SC et demander un examen immédiat par un ophtalmologue, avant d'administrer DARZALEX SC à nouveau.
- +Dans l'étude MMY3014, l'incidence de la neutropénie (quel que soit le grade) dans les sous-groupes de poids corporel des patients qui ont reçu VRd ou D-VRd, était la suivante: ≤65 kg (59,3% versus 80,5%), > 65 – 85 kg (63,4% versus 64,9%), > 85 kg (58,8% versus 67,4%). L'incidence de la neutropénie de grade 3 ou 4 pour VRd ou D-VRd, était la suivante: ≤65 kg (55,8% versus 76,8%), > 65 – 85 kg (52,4% versus 57,9%), > 85 kg (42,7% versus 57,9%).
- +Effets indésirables graves chez les patients dont la clairance de la créatinine est < 60 ml/min
- +Dans l'étude MMY3014, chez les patients dont la clairance de la créatinine est < 60 ml/min, un nombre accru d'effets indésirables graves a été observé par rapport aux patients dont la clairance de la créatinine est > 60 ml/min. L'incidence des effets indésirables graves [nombre de patients présentant des effets indésirables/nombre de patients dans le sous-groupe (%)] était la suivante: clairance de la créatinine < 60 ml/min, 23/31 (74,2%); clairance de la créatinine 60 à < 90 ml/min, 78/146 (53,4%); clairance de la créatinine ≥90 ml/min, 99/174 (56,9%). Il convient d'envisager une surveillance toutes les 2 semaines pendant les phases d'induction et de consolidation et si nécessaire, un traitement de soutien.
- +
-Les données de sécurité décrites ci-dessous reflètent l'exposition à la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (1800 mg) de 639 patients atteints de myélome multiple (MM), dont 260 patients issus d'une étude de phase III contrôlée contre substance active (étude MMY3012) et ayant reçu DARZALEX SC en monothérapie, et 149 patients issus d'une étude de phase III contrôlée contre substance active (étude MMY3013) et ayant reçu du daratumumab en association avec du pomalidomide et de la dexaméthasone (D-Pd). Par ailleurs, les données reflètent trois études cliniques ouvertes dans lesquelles DARZALEX SC a été utilisé en monothérapie (n = 31, MMY1004 et MMY1008) ou en association avec le bortézomib, le melphalan et la prednisone (D-VMP, n = 67), avec le lénalidomide et la dexaméthasone (D-Rd, n = 65) ou avec le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone (D-VRd, n = 67) (MMY2040). Les données reflètent par ailleurs l'exposition de 193 patients porteurs d'un diagnostic récent d'amyloïdose AL ayant reçu la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX SC en association avec le bortézomib, le cyclophosphamide et la dexaméthasone (D-VCd) au cours d'une étude de phase III avec contrôle actif (AMY3001).
- +Les données de sécurité décrites ci-dessous reflètent l'exposition à la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (1800 mg) de 990 patients atteints de myélome multiple (MM), dont 260 patients issus d'une étude de phase III contrôlée contre substance active (étude MMY3012) et ayant reçu DARZALEX SC en monothérapie, 149 patients issus d'une étude de phase III contrôlée contre substance active (étude MMY3013) et ayant reçu DARZALEX SC en association avec du pomalidomide et de la dexaméthasone (D-Pd), ainsi que 351 patients nouvellement diagnostiqués d'une étude de phase III contrôlée contre substance active (étude MMY3014), qui étaient éligibles à une greffe et qui ont reçu DARZALEX SC en association avec du bortézomib, du lénalidomide et de la dexaméthasone (D-VRd). Par ailleurs, les données reflètent trois études cliniques ouvertes dans lesquelles DARZALEX SC a été utilisé en monothérapie (n = 31, MMY1004 et MMY1008) ou en association avec le bortézomib, le melphalan et la prednisone (DVMP, n = 67), avec le lénalidomide et la dexaméthasone (D-Rd, n = 65) ou avec le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone (D-VRd, n = 67) (MMY2040). Les données reflètent par ailleurs l'exposition de 193 patients porteurs d'un diagnostic récent d'amyloïdose AL ayant reçu la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX en association avec le bortézomib, le cyclophosphamide et la dexaméthasone (D-VCd) au cours d'une étude de phase III avec contrôle actif (AMY3001).
-Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥20%) lors de l'administration du daratumumab (forme pharmaceutique intraveineuse ou sous-cutanée) en monothérapie ou en traitement combiné ont été: IRR (i.v.: 39%, s.c.: 11%), neutropénie (39%), infection des voies respiratoires supérieures (37%), thrombopénie (29%), diarrhée (29%), constipation (28%), anémie (27%), neuropathie sensorielle périphérique (26%), fatigue (23%), œdèmes périphériques (22%), nausées (22%), toux (21%) et pyrexie (21%).
-Les effets indésirables graves ont été: pneumonie (11%), sepsis (3%), pyrexie (3%), bronchite (2%), infection des voies respiratoires supérieures (2%), grippe (1%), déshydratation (1%), diarrhée (1%), fibrillation auriculaire (1%), syncope (1%) et œdème pulmonaire (< 1%).
- +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥20%) lors de l'administration du daratumumab (forme pharmaceutique intraveineuse ou sous-cutanée) en monothérapie ou en traitement combiné ont été: neutropénie (43%), IRR (i.v.: 39%, s.c.: 8%), infection des voies respiratoires supérieures (39%), COVID-19 (38%), diarrhée (32%), thrombopénie (31%), neuropathie sensorielle périphérique (29%), constipation (28%), anémie (27%), fatigue (23%), œdèmes périphériques (23%), nausées (22%), toux (22%) et pyrexie (22%).
- +Les effets indésirables graves ont été: pneumonie (12%), sepsis (3%), pyrexie (3%), diarrhée (2%), infection des voies respiratoires supérieures (2%), bronchite (1%), grippe (1%), déshydratation (< 1%), fibrillation auriculaire (1%), syncope (1%) et œdème pulmonaire (< 1%).
-Les effets indésirables mentionnés ci-après ont été rapportés, au cours des études cliniques ou après la mise sur le marché, chez des patients traités par le daratumumab administré par voie intraveineuse ou par des formes pharmaceutiques sous-cutanées de DARZALEX.
-Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à < 1/10), occasionnels (≥1/1000 à < 1/100), rares (≥1/10 000 à < 1/1000) et très rares (< 1/10 000). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont classés, le cas échéant, selon un degré de sévérité décroissant.
- +Les effets indésirables mentionnés ci-après ont été rapportés, au cours des études cliniques ou après la mise sur le marché, chez des patients traités par le daratumumab administré par voie intraveineuse ou par des formes pharmaceutiques sous-cutanées de DARZALEX. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à < 1/10), occasionnels (≥1/1000 à < 1/100), rares (≥1/10 000 à < 1/1000) et très rares (< 1/10 000).
-Très fréquents: infection des voies respiratoires supérieures (37%, grades 3 – 4: 2%), pneumonie (17%, grades 3 – 4: 10%), bronchite (14%, grades 3 – 4: 1%).
-Fréquents: infection des voies urinaires, grippe, sepsis, COVID-19*.
- +Très fréquents: infection des voies respiratoires supérieures (39%, grades 3 – 4: 2%), COVID-19# (38%, grades 3 – 4: 7%), pneumonie (18%, grades 3 – 4: 11%), bronchite (14%, grades 3 – 4: 1%).
- +Fréquents: infection des voies urinaires, grippe, sepsis.
-Très fréquents: neutropénie (39%, grades 3 – 4: 33%), thrombopénie (29%, grades 3 – 4: 17%), anémie (27%, grades 3 – 4: 12%), lymphopénie (14%, grades 3 – 4: 11%), leucopénie (11%, grades 3 – 4: 6%).
- +Très fréquents: neutropénie (43%, grades 3 – 4: 37%), thrombopénie (31%, grades 3 – 4: 18%), anémie (27%, grades 3 – 4: 11%), lymphopénie (13%, grades 3 – 4: 10%), leucopénie (11%, grades 3 – 4: 6%).
-Très fréquents: inappétence (10%, grades 3 – 4: 1%).
- +Très fréquents: inappétence (10%, grades 3 – 4: < 1%).
-Très fréquents: insomnie (15%, grades 3 – 4: 1%).
- +Très fréquents: insomnie (16%, grade 3: 1%).
-Très fréquents: neuropathie sensorielle périphérique (26%, grades 3 – 4: 3%), céphalées (10%, grade 3: < 1%).
- +Très fréquents: neuropathie sensorielle périphérique (29%, grades 3 – 4: 3%), céphalées (10%, grade 3: < 1%).
-Très fréquents: toux (21%, grade 3: < 1%), dyspnée (18%, grades 3 – 4: 2%).
- +Très fréquents: toux (22%, grade 3: < 1%), dyspnée (18%, grades 3 – 4: 2%).
-Très fréquents: diarrhée (29%, grades 3 – 4: 4%), constipation (28%, grades 3 – 4: 1%), nausées (22%, grade 3: 1%), vomissements (14%, grade 3: 1%).
- +Très fréquents: diarrhée (32%, grades 3 – 4: 4%), constipation (28%, grades 3 – 4: 1%), nausées (22%, grade 3: 1%), vomissements (13%, grade 3: 1%).
-Très fréquents: éruption cutanée (10%, grade 3: 1%).
- +Très fréquents: éruption cutanée (12%, grade 3: 1%).
-Très fréquents: dorsalgie (16%, grades 3 – 4: 2%), spasmes musculaires (11%, grade 3: < 1%), arthralgie (10%, grade 3: < 1%).
- +Très fréquents: dorsalgie (17%, grades 3 – 4: 2%), arthralgie (13%, grades 3 – 4: 1%), spasmes musculaires (12%, grade 3: < 1%).
-Très fréquents: fatigue (23%, grades 3 – 4: 4%), œdème périphérique (22%, grades 3 – 4: 1%), pyrexie (21%, grades 3 – 4: 1%), asthénie (18%, grades 3 – 4: 2%).
-Fréquents: frissons, réactions au site d'injection (sur la base des études menées avec le daratumumab s. c., n = 832), y compris les termes définis par les investigateurs comme liés à l'injection.
- +Très fréquents: fatigue (23%, grades 3 – 4: 3%), œdème périphérique (23%, grades 3 – 4: 1%), pyrexie (22%, grades 3 – 4: 1%), asthénie (19%, grades 3 – 4: 2%).
- +Fréquents: frissons, réactions au site d'injection (sur la base des études menées avec le daratumumab s. c., n = 1183), y compris les termes définis par les investigateurs comme liés à l'injection.
-Réactions liées à la perfusion, y compris les termes définis par les investigateurs comme liés à la perfusion/l'injection: très fréquents avec le daratumumab i. v. (n = 2324) (39%, grade 3: 5%) et fréquents avec le daratumumab s. c. (n = 832).
- +Réactions liées à la perfusion, y compris les termes définis par les investigateurs comme liés à la perfusion/l'injection: très fréquents avec le daratumumab i. v. (n = 2324) (39%, grade 3: 5%) et fréquents avec le daratumumab s. c. (n = 1183).
- +#Fréquence exclusivement basée sur l'étude MMY3014 (N = 351).
-Dans les études cliniques menées avec la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (n = 832), l'incidence des réactions liées à la perfusion, tous degrés de sévérité confondus, s'est élevée à 8,2% pour la première injection de DARZALEX SC (1800 mg, semaine 1), à 0,4% pour l'injection de la semaine 2 et à 1,1% pour les injections suivantes. Des IRR de grade 3 sont survenues chez 0,8% des patients. Aucun patient n'a présenté de IRR de grade 4.
- +Dans les études cliniques menées avec la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (n = 1249), l'incidence des réactions liées à la perfusion, tous degrés de sévérité confondus, s'est élevée à 7,6% pour la première injection de DARZALEX SC (1800 mg, semaine 1), à 0,3% pour l'injection de la semaine 2 et à 1,0% pour les injections suivantes. Des IRR de grades 3 et 4 sont survenues chez 0,7% et 0,1% des patients, respectivement.
-Dans les études cliniques menées avec la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (n = 832), l'incidence des réactions au site d'injection, tous degrés de sévérité confondus, s'est élevée à 7,7%. Aucune ISR de grade 3 ou 4 n'est survenue. L'ISR la plus fréquente (> 1%) a été l'érythème.
- +Dans les études cliniques menées avec la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (n = 1249), l'incidence des réactions au site d'injection, tous degrés de sévérité confondus, s'est élevée à 6,6%. Aucune ISR de grade 3 ou 4 n'est survenue. L'ISR la plus fréquente (> 1%) a été l'érythème.
-Chez les patients présentant un myélome multiple ayant reçu le daratumumab par voie intraveineuse en traitement combiné, des infections fatales principalement causées par des pneumonies et des sepsis ont été rapportées chez 2,3% des patients en rechute/réfractaires et chez 1% des patients n'ayant pas encore été traités.
- +Chez des patients présentant un myélome multiple ayant reçu le daratumumab par voie intraveineuse en traitement combiné, des infections fatales principalement causées par des pneumonies et des sepsis ont été rapportées chez 2,3% des patients en rechute/réfractaires et chez 1% des patients n'ayant pas encore été traités.
-·infections de grade 3 ou de grade 4: D-Pd: 28%, Pd: 23%;
-·infections (fatales) de grade 5: D-Pd: 5%, Pd: 3%.
-Remarque: D-Pd = daratumumab-pomalidomide-dexaméthasone, Pd = pomalidomide-dexaméthasone.
- +·infections de grade 3 ou de grade 4: D-Pd: 28%, D-VRd: 35%:
- +·infections (fatales) de grade 5: D-Pd: 5%, D-VRd: 2%.
- +Remarque: D-Pd = daratumumab-pomalidomide-dexaméthasone, Pd = pomalidomide-dexaméthasone, VRd = bortézomib-lénalidomide-dexaméthasone.
-Grade 3 ou 4: D-VCd: 17%, VCd: 10%;
-Grade 5: D-VCd: 1%, VCd: 1%.
- +Grade 3 ou 4: D-VCd: 17%;
- +Grade 5: D-VCd: 1%.
-Parmi les 3549 patients ayant reçu du daratumumab à la dose recommandée (s.c., n = 832, i.v., n = 2717), 38% avaient entre 65 et 75 ans et 16% avaient 75 ans ou plus. L'incidence des effets indésirables graves était plus élevée chez les patients plus âgés que chez les plus jeunes (voir «Efficacité cliniques»).
- +Parmi les 4041 patients ayant reçu du daratumumab à la dose recommandée (s.c., n = 1225, i.v., n = 2816), 37% avaient entre 65 et 75 ans et 14% avaient 75 ans ou plus. L'incidence des effets indésirables graves était plus élevée chez les patients plus âgés que chez les plus jeunes (voir «Efficacité cliniques»).
- +Chez les patients présentant un myélome multiple nouvellement diagnostiqué, éligibles à une autogreffe de cellules souches (n = 351), la fréquence des événements indésirables sévères et graves était plus élevée chez les patients âgés (≥65 ans). Des événements indésirables de grades 3 et 4 sont survenus chez 95,7% des patients âgés de ≥65 ans et chez 89,9% des patients âgés de < 65 ans. Parmi les événements indésirables de grades 3 et 4, survenus avec une fréquence supérieure de ≥5% dans le groupe des ≥65 ans par rapport au groupe des < 65 ans, on trouve la thrombopénie (44,1%) et le sepsis (6,5%). Des événements indésirables graves sont survenus chez 69,9% des patients de ≥65 ans et chez 52,3% des patients de < 65 ans. Les événements indésirables graves, survenus avec une fréquence supérieure de ≥2% dans le groupe des ≥65 ans par rapport au groupe des < 65 ans, et qui ont affecté plus de 2 patients dans l'un des deux sous-groupes, étaient la neutropénie fébrile (7,5%), la pyrexie (6,5%), la diarrhée (4,3%), le sepsis (5,4%) et l'hypotension orthostatique (3,2%). Des événements indésirables de grade 5 sont survenus chez 5,4% des patients de ≥65 ans et chez 3,1% des patients de < 65 ans.
- +
-Dans l'étude de phase III MMY3007 qui a comparé le traitement par D-VMP au traitement par VMP chez des patients atteints de myélome multiple nouvellement diagnostiqué et non éligibles à une autogreffe de cellules souches, le taux d'événements indésirables importants, graves ou d'issue fatale a augmenté avec l'âge des patients. Cette observation a été faite dans des proportions semblables dans les deux bras de traitement, de sorte qu'aucune différence cliniquement significative concernant les événements indésirables liés à l'âge n'a été observée entre les patients sous D-VMP et les patients sous VMP.
- +Dans l'étude de phase III MMY3007 qui a comparé le traitement par DVMP au traitement par VMP chez des patients atteints de myélome multiple nouvellement diagnostiqué et non éligibles à une autogreffe de cellules souches, la fréquence d'événements indésirables sévères, graves ou d'issue fatale a augmenté avec l'âge des patients. Cette observation a été faite dans des proportions semblables dans les deux bras de traitement, de sorte qu'aucune différence cliniquement significative concernant les événements indésirables liés à l'âge n'a été observée entre les patients sous D-VMP et les patients sous VMP.
-Parmi les patients présentant un myélome multiple ou une amyloïdose AL ayant été traités dans les études cliniques par la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX en monothérapie ou en traitement combiné, < 1% des patients a développé des anticorps liés au traitement et dirigés contre le daratumumab. L'incidence de l'apparition d'anticorps liés au traitement et dirigés contre le daratumumab a été de 0,8% (2 patients sur 259) chez les patients sous monothérapie et de 0,4% (2 patients sur 497) chez les patients sous traitement combiné.
-Parmi les patients présentant un myélome multiple ou une amyloïdose AL ayant été traités dans les études cliniques par DARZALEX SC en monothérapie ou sous traitement combiné, l'incidence de l'apparition d'anticorps anti-rHuPH20 non neutralisants liés au traitement était respectivement de 7,5% (chez 19 patients sur 255) et de 7,3% (chez 36 patients sur 495). Les anticorps anti-rHuPH20 n'ont pas semblé influencer l'exposition au daratumumab. La pertinence clinique du développement d'anticorps anti-daratumumab ou anti-rHuPH20 après le traitement par la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX est inconnue. Cependant, la méthode employée présente des limites pour détecter les anticorps anti-daratumumab en présence de concentrations élevées de daratumumab. Par conséquent, l'incidence de la formation d'anticorps pourrait éventuellement ne pas avoir été déterminée de manière fiable.
- +Parmi les patients présentant un myélome multiple ou une amyloïdose AL ayant été traités dans les études cliniques par la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX en monothérapie ou en traitement combiné, < 1% des patients a développé des anticorps liés au traitement et dirigés contre le daratumumab et 6 patients ont été testés positifs pour les anticorps neutralisants. L'incidence de l'apparition d'anticorps liés au traitement et dirigés contre le daratumumab a été de 1,0% (3 patients sur 300) chez les patients sous monothérapie et de 0,4% (4 patients sur 900) chez les patients sous traitement combiné.
- +Parmi les patients présentant un myélome multiple ou une amyloïdose AL ayant été traités dans les études cliniques par DARZALEX SC en monothérapie ou sous traitement combiné, l'incidence de l'apparition d'anticorps anti-rHuPH20 liés au traitement était respectivement de10,5% (chez 31 patients sur 296) et de 8,4% (chez 75 patients sur 897). Les anticorps anti-rHuPH20 n'ont pas semblé influencer l'exposition au daratumumab. La pertinence clinique du développement d'anticorps anti-daratumumab ou anti-rHuPH20 après le traitement par la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX est inconnue. Cependant, la méthode employée présente des limites pour détecter les anticorps anti-daratumumab en présence de concentrations élevées de daratumumab. Par conséquent, l'incidence de la formation d'anticorps pourrait éventuellement ne pas avoir été déterminée de manière fiable.
-Au total, 522 patients ont été randomisés, 263 dans le bras traité par la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX et 259 dans le bras traité par le daratumumab intraveineux. Les caractéristiques démographiques et liées à la maladie avant le début de l'étude étaient similaires dans les deux bras. L'âge médian des patients était de 67 ans (intervalle: 33 – 92 ans), 55% étaient des hommes et 78% étaient caucasiens. Le poids médian des patients était de 73 kg (intervalle: 29 – 138 kg). Les patients avaient reçu en valeur médiane 4 lignes de traitement antérieures. Au total, 51% des patients avaient reçu précédemment une autogreffe de cellules souches (ASCT), 100% des patients avaient été traités au préalable par un ou des IP et par un ou des IMiD, et la majorité des patients étaient réfractaires à un traitement systémique antérieur par un IP ou un IMiD (49%).
- +Au total, 522 patients ont été randomisés, 263 dans le bras traité par la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX et 259 dans le bras traité par le daratumumab intraveineux. À l'inclusion, les données démographiques et liées à la maladie étaient comparables dans les deux bras. L'âge médian des patients était de 67 ans (intervalle: 33 – 92 ans), 55% étaient des hommes et 78% étaient caucasiens. Le poids médian des patients était de 73 kg (intervalle: 29 – 138 kg). Les patients avaient reçu en valeur médiane 4 lignes de traitement antérieures. Au total, 51% des patients avaient reçu précédemment une autogreffe de cellules souches (ASCT), 100% des patients avaient été traités au préalable par un ou des IP et par un ou des IMiD, et la majorité des patients étaient réfractaires à un traitement systémique antérieur par un IP ou un IMiD (49%).
-Traitements combinés en cas de myélome multiple
- +Traitement combiné avec le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone chez des patients atteints de myélome multiple nouvellement diagnostiqué, éligibles à une autogreffe de cellules souches (AGCS)
- +Dans l'étude de phase III MMY3014, en ouvert, randomisée, contrôlée par substance active, incluant des patients atteints d'un myélome multiple nouvellement diagnostiqué, éligibles pour une AGCS, les traitements d'induction et de consolidation avec la forme d'administration sous cutanée de DARZALEX (1800 mg) ont été étudiés. Pour cela, DARZALEX SC en association avec le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone (D-VRd) a été comparé à un traitement par le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone (VRd). Des patients âgés de ≤70 ans ont été inclus dans l'étude.
- +Les patients ont reçu DARZALEX SC (1800 mg) par voie sous-cutanée, une fois par semaine aux semaines 1 à 8 et une fois toutes les deux semaines aux semaines 9 à 16 au cours de l'induction. Après la semaine 16, les patients ont été soumis à une mobilisation de cellules souches, une chimiothérapie à haute dose et une AGCS. Dans les 12 semaines qui ont suivi l'AGCS et après une phase réussie de prise de greffe, les patients ont reçu DARZALEX SC une fois toutes les 2 semaines aux semaines 1 à 8 au cours de la consolidation.
- +Le bortézomib a été administré sous forme d'injection sous-cutanée (SC) à une dose de 1,3 mg/m2 de surface corporelle, deux fois par semaine pendant deux semaines (aux jours 1, 4, 8 et 11) de chaque cycle de 28 jours, lors des semaines 1 à 16 pendant l'induction et des semaines 1 à 8 pendant la consolidation. Le lénalidomide a été administré par voie orale à une dose de 25 mg par jour, aux jours 1 à 21 des semaines 1 à 16 pendant l'induction et des semaines 1 à 8 pendant la consolidation. La dexaméthasone (par voie orale ou intraveineuse) a été administrée à une dose de 40 mg aux jours 1 à 4 et aux jours 9 à 12 des semaines 1 à 16 pendant l'induction et des semaines 1 à 8 pendant la consolidation. Les jours pour lesquels l'administration de DARZALEX SC (1800 mg) était prévue, la dose orale ou intraveineuse de dexaméthasone a été administrée en prémédication. Les ajustements de posologie pour le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone ont été réalisés conformément aux informations professionnelles correspondantes. Après la consolidation, les patients ont reçu un traitement d'entretien par DARZALEX SC en association avec le lénalidomide ou le lénalidomide seul. L'étude n'avait pas été conçue pour analyser séparément l'efficacité de DARZALEX SC lors de la phase d'entretien du traitement. L'efficacité de DARZALEX SC en association avec le lénalidomide pour le traitement d'entretien n'a pas été établie.
- +Au total, 709 patients ont été randomisés: 355 dans le bras D-VRd et 354 dans le bras VRd. À l'inclusion, les données démographiques et liée à la maladie étaient comparables dans les deux groupes de traitement. L'âge moyen s'élevait à 60 ans (plage: 31 à 70 ans). La plupart des patients étaient des hommes (59%), 64% avaient un score ECOG de 0, 31% un score ECOG de 1 et 5% un score ECOG de 2. 51% avaient un stade ISS de I, 34% un stade ISS de II, 15% un stade ISS de III, 22% un risque cytogénétique élevé (del17p, t[4,14], t[14, 16]).
- +Avec un suivi médian de 47,5 mois, l'analyse principale de la PFS dans l'étude MMY3014 a montré une amélioration de la PFS dans le bras D-VRd par rapport au bras VRd. Le traitement par D-VRd a entraîné une réduction du risque de progression de la maladie ou de décès de 58% par rapport au VRd seul (HR = 0,42; IC à 95%: 0,30, 0,59; p < 0,0001). La PFS médiane n'a été atteinte dans aucun des bras.
- +Dans la population en intention de traiter (ITT), le taux de réponse global (sCR+CR+VGPR+PR) s'élevait à 96,6% (343/355) dans le bras D-VRd et à 93,8% (332/354) dans le bras VRd. 87,9% (312/355) des patients du bras D-VRd et 70,1% (248/354) dans le bras VRd ont présenté une réponse complète ou mieux (sCR+CR). Une très bonne réponse partielle (VGPR) a été obtenue chez 7,3% (26/355) des patients du bras D-VRd et 19,2% (68/354) dans le bras VRd, alors que 1,4% (5/355) des patients du bras D-VRd et 4,5% (16/354) dans le bras VRd ont obtenu une réponse partielle (PR). Le taux de réponse de la négativité de MRD chez les patients qui ont atteint non seulement la négativité de MRD (seuil de 10-5 ou moins), mais également une CR ou mieux, s'élevait à 75,2% et 47,5% dans les bras D-VRd et VRd, respectivement.
- +Traitements combinés avec DARZALEX SC dans MMY2040
-Bras D-VMP (67 patients): en association avec le bortézomib, le melphalan et la prednisone (D-VMP) chez des patients atteints de myélome multiple (MM) nouvellement diagnostiqué et non éligibles à une greffe. Le bortézomib a été administré en injection sous-cutanée (s. c.) à la dose de 1,3 mg/m2 de surface corporelle, deux fois par semaine aux semaines 1, 2, 4 et 5 du premier cycle de 6 semaines (cycle 1; 8 doses), puis une fois par semaine aux semaines 1, 2, 4 et 5 de huit autres cycles de 6 semaines (cycles 2 à 9; 4 doses par cycle). Le melphalan à la dose de 9 mg/m2 et la prednisone à la dose de 60 mg/m2 ont été administrés par voie orale aux jours 1 à 4 des neuf cycles de 6 semaines (cycles 1 à 9). Le traitement par la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX a été poursuivi jusqu'à la progression de la maladie ou l'apparition d'une toxicité inacceptable.
- +Bras DVMP (67 patients): en association avec le bortézomib, le melphalan et la prednisone (D-VMP) chez des patients atteints de myélome multiple (MM) nouvellement diagnostiqué et non éligibles à une greffe. Le bortézomib a été administré en injection sous-cutanée (s. c.) à la dose de 1,3 mg/m2 de surface corporelle, deux fois par semaine aux semaines 1, 2, 4 et 5 du premier cycle de 6 semaines (cycle 1; 8 doses), puis une fois par semaine aux semaines 1, 2, 4 et 5 de huit autres cycles de 6 semaines (cycles 2 à 9; 4 doses par cycle). Le melphalan à la dose de 9 mg/m2 et la prednisone à la dose de 60 mg/m2 ont été administrés par voie orale aux jours 1 à 4 des neuf cycles de 6 semaines (cycles 1 à 9). Le traitement par la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX a été poursuivi jusqu'à la progression de la maladie ou l'apparition d'une toxicité inacceptable.
-La réponse globale (sCR+CR+VGPR+PR) a été obtenue chez 88,1% (IC à 90%: 79,5 – 93,9) des patients du bras D-VMP et chez 90,8% (IC à 90%: 82,6 – 95,9) des patients du bras D-Rd.
-Une très bonne réponse partielle (VGPR) ou mieux (sCR + CR + VGPR) a été obtenue chez 64,2% (IC à 90%: 53,5 – 73,9) des patients du bras D-VMP et chez 64,6% (IC à 90%: 53,7 – 74,5) des patients du bras D-Rd.
-Les principaux critères ORR pour D-VMP et D-Rd ont ainsi été atteints.
- +La réponse globale (sCR+CR+VGPR+PR) a été obtenue chez 88,1% (IC à 90%: 79,5 – 93,9) des patients du bras DVMP et chez 90,8% (IC à 90%: 82,6 – 95,9) des patients du bras D-Rd.
- +Une très bonne réponse partielle (VGPR) ou mieux (sCR + CR + VGPR) a été obtenue chez 64,2% (IC à 90%: 53,5 – 73,9) des patients du bras DVMP et chez 64,6% (IC à 90%: 53,7 – 74,5) des patients du bras D-Rd.
- +Les principaux critères ORR pour DVMP et D-Rd ont ainsi été atteints.
-Au total, 304 patients ont été randomisés: 151 dans le bras sous D-Pd et 153 dans le bras sous Pd. Les caractéristiques démographiques et liées à la maladie au début de l'étude étaient similaires dans les deux groupes de traitement. L'âge médian des patients était de 67 ans (intervalle: 35 à 90 ans), 18% étaient âgés de 75 ans et plus, 53% étaient des hommes et 89% étaient caucasiens. En moyenne (médiane), les patients avaient reçu 2 lignes de traitement antérieures. 11% des patients avaient reçu une ligne de traitement antérieure, 16 d'entre eux ayant été randomisés dans le bras sous D-Pd. Les patients n'ayant reçu qu'une seule ligne de traitement devaient être réfractaires au lénalidomide, statut défini comme une progression sous traitement par le lénalidomide ou dans les 60 jours suivant celui-ci. Tous les autres patients devaient avoir présenté au moins une rémission partielle à une ligne de traitement antérieure. Tous les patients avaient reçu un traitement antérieur par un inhibiteur du protéasome (IP) et par le lénalidomide et 56% des patients avaient reçu antérieurement une autogreffe de cellules souches (ASCT). La majorité des patients était réfractaire au lénalidomide (80%), à un IP (48%) ou à la fois à un agent immunomodulateur et à un IP (42%). Le critère principal d'évaluation de l'efficacité était la PFS selon les critères de l'IMWG.
- +Au total, 304 patients ont été randomisés: 151 dans le bras sous D-Pd et 153 dans le bras sous Pd. À l'inclusion, les données démographiques et liées à la maladie étaient comparables dans les deux groupes de traitement. L'âge médian des patients était de 67 ans (intervalle: 35 à 90 ans), 18% étaient âgés de 75 ans et plus, 53% étaient des hommes et 89% étaient caucasiens. En moyenne (médiane), les patients avaient reçu 2 lignes de traitement antérieures. 11% des patients avaient reçu une ligne de traitement antérieure, 16 d'entre eux ayant été randomisés dans le bras sous D-Pd. Les patients n'ayant reçu qu'une seule ligne de traitement devaient être réfractaires au lénalidomide, statut défini comme une progression sous traitement par le lénalidomide ou dans les 60 jours suivant celui-ci. Tous les autres patients devaient avoir présenté au moins une rémission partielle à une ligne de traitement antérieure. Tous les patients avaient reçu un traitement antérieur par un inhibiteur du protéasome (IP) et par le lénalidomide et 56% des patients avaient reçu antérieurement une autogreffe de cellules souches (ASCT). La majorité des patients était réfractaire au lénalidomide (80%), à un IP (48%) ou à la fois à un agent immunomodulateur et à un IP (42%). Le critère principal d'évaluation de l'efficacité était la PFS selon les critères de l'IMWG.
-Au total, 388 patients ont été randomisés, 195 dans le bras sous D-VCd et 193 dans le bras sous VCd. Au début de l'étude, les deux bras de traitement étaient comparables en termes de démographie et de caractéristiques de la maladie. La majorité (79%) des patients présentaient une amyloïdose à chaînes légères lambda (λ). L'âge médian était de 64 ans (intervalle: 34 à 87), alors que 47% des patients avaient ≥65 ans. 58% étaient des hommes. 76% étaient caucasiens, 17% asiatiques et 3% afroaméricains. Sur la base du système d'évaluation clinique des stades cardiaques en cas d'amyloïdose AL, 23% étaient au stade I, 40% au stade II, 35% au stade IIIA et 2% au stade IIIB. Les patients présentant un diagnostic récent ou antérieur de myélome multiple ainsi que ceux atteints d'affections cardiovasculaires significatives étaient exclus (insuffisance cardiaque de stade IIIB à IV selon la NYHA, NT-ProBNP > 8500 ng/l, cardiomyopathie significative non associée à une amyloïdose, angor instable non contrôlé, infarctus du myocarde, troubles du rythme cardiaque significatifs, allongement de l'intervalle QTcF au-delà de 500 ms, tension artérielle systolique < 90 mm Hg, hypotension orthostatique symptomatique). En valeur médiane, 2 organes étaient concernés (intervalle: de 1 à 6), alors que 2 organes ou plus étaient concernés chez 66% des patients. Lorsque des organes vitaux étaient concernés, il s'agissait du cœur dans 71% des cas, des reins dans 59% des cas et du foie dans 8% des cas.
- +Au total, 388 patients ont été randomisés, 195 dans le bras sous D-VCd et 193 dans le bras sous VCd. Au début de l'étude, les deux bras de traitement étaient comparables en termes de données démographiques et liées à la maladie. La majorité (79%) des patients présentaient une amyloïdose à chaînes légères lambda (λ). L'âge médian était de 64 ans (intervalle: 34 à 87), alors que 47% des patients avaient ≥65 ans. 58% étaient des hommes. 76% étaient caucasiens, 17% asiatiques et 3% afroaméricains. Sur la base du système d'évaluation clinique des stades cardiaques en cas d'amyloïdose AL, 23% étaient au stade I, 40% au stade II, 35% au stade IIIA et 2% au stade IIIB. Les patients présentant un diagnostic récent ou antérieur de myélome multiple ainsi que ceux atteints d'affections cardiovasculaires significatives étaient exclus (insuffisance cardiaque de stade IIIB à IV selon la NYHA, NT-ProBNP > 8500 ng/l, cardiomyopathie significative non associée à une amyloïdose, angor instable non contrôlé, infarctus du myocarde, troubles du rythme cardiaque significatifs, allongement de l'intervalle QTcF au-delà de 500 ms, tension artérielle systolique < 90 mm Hg, hypotension orthostatique symptomatique). En valeur médiane, 2 organes étaient concernés (intervalle: de 1 à 6), alors que 2 organes ou plus étaient concernés chez 66% des patients. Lorsque des organes vitaux étaient concernés, il s'agissait du cœur dans 71% des cas, des reins dans 59% des cas et du foie dans 8% des cas.
-La période médiane d'observation était de 11,4 mois. La MOD-PFS (survie jusqu'à la détérioration sévère d'un organe ou la progression de la maladie) a été évaluée en tant que critère d'évaluation secondaire, défini par une progression hématologique, la détérioration sévère d'un organe (cœur ou rein) ou le décès. Le Hazard Ratio (HR) pour la MOD-PFS était de 0,58; IC à 95%: 0,363, 0,926 pour le groupe sous D-VCd par rapport au groupe sous VCd. Les données concernant la survie globale (OS) n'étaient pas encore disponibles.
-Au total, 56 cas de décès ont été observés (n = 27 (13,8%) dans le groupe sous D-VCd contre n = 29 (15%) dans le groupe sous VCd).
- +La période médiane d'observation était de 11,4 mois. La MOD-PFS (survie jusqu'à la détérioration sévère d'un organe ou la progression de la maladie) a été évaluée en tant que critère d'évaluation secondaire, défini par une progression hématologique, la détérioration sévère d'un organe (cœur ou rein) ou le décès. Le Hazard Ratio (HR) pour la MOD-PFS était de 0,58; IC à 95%: 0,363, 0,926 pour le groupe sous D-VCd par rapport au groupe sous VCd. Les données concernant la survie globale (OS) n'étaient pas encore disponibles. Au total, 56 cas de décès ont été observés (n = 27 (13,8%) dans le groupe sous D-VCd contre n = 29 (15%) dans le groupe sous VCd).
-Chez les patients présentant un myélome multiple, l'exposition au daratumumab dans une étude portant sur le traitement combiné avec le pomalidomide et la dexaméthasone (MMY3013) a été similaire à celle observée en monothérapie, la concentration résiduelle maximale Ctrough (cycle 3, jour 1 avant l'administration – moyenne ± écart-type) étant de 537 ± 277 µg/ml après l'administration de la dose recommandée de 1800 mg de la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (une fois par semaine pendant 8 semaines, toutes les deux semaines pendant 16 semaines, puis une fois par mois).
- +Chez les patients atteints de myélome multiple nouvellement diagnostiqué, éligibles à une autogreffe de cellules souches (AGCS), l'exposition au daratumumab dans une étude portant sur le traitement combiné avec le bortézomib, le lénalidomide et la dexaméthasone (MMY3014) a été similaire à celle observée en monothérapie, la concentration résiduelle maximale Ctrough (cycle 3, jour 1, avant l'administration de la dose) étant de 526 ± 209 µg/ml (moyenne ± écart type) après l'administration de la dose recommandée de 1800 mg de la forme d'administration par voie sous-cutanée de DARZALEX (une fois par semaine pendant 8 semaines, une fois toutes les deux semaines pendant 16 semaines, puis une fois par mois).
- +Chez les patients présentant un myélome multiple, l'exposition au daratumumab dans une étude portant sur le traitement combiné avec le pomalidomide et la dexaméthasone (MMY3013) a été similaire à celle observée en monothérapie, la concentration résiduelle maximale Ctrough (cycle 3, jour 1 avant l'administration de la dose – moyenne ± écart-type) étant de 537 ± 277 µg/ml après l'administration de la dose recommandée de 1800 mg de la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (une fois par semaine pendant 8 semaines, toutes les deux semaines pendant 16 semaines, puis une fois par mois).
-Une analyse pharmacocinétique de population (PC de population) en rapport avec l'utilisation de DARZALEX SC en monothérapie et en traitements combinés chez des patients présentant un myélome multiple a été réalisée avec les données de 487 patients traités par DARZALEX SC et de 255 patients traités par le daratumumab i.v. Les expositions PC prévues sont résumées dans le tableau 5.
-Tableau 5: Exposition au daratumumab chez les patients présentant un myélome multiple après administration de la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (1800 mg) ou de daratumumab i.v. (16 mg/kg) en monothérapie
- +Une analyse pharmacocinétique de population (PC de population) en rapport avec l'utilisation de DARZALEX SC en monothérapie et en traitements combinés chez des patients présentant un myélome multiple a été réalisée avec les données de 487 patients traités par DARZALEX SC et de 255 patients traités par le daratumumab i.v. Les expositions PC prévues sont résumées dans le tableau 6. L'exposition au daratumumab chez les patients traités avec la forme d'administration par voie sous-cutanée de DARZALEX en monothérapie a été similaire à celle obtenue avec les traitements d'association.
- +Tableau 6 Exposition au daratumumab chez les patients présentant un myélome multiple après administration de la forme pharmaceutique sous-cutanée de DARZALEX (1800 mg) ou de daratumumab i.v. (16 mg/kg) en monothérapie
- +Les expositions PK prédites pour 526 patients atteints de myélome multiple éligible à une greffe, qui ont reçu la forme d'administration par voie sous-cutanée de DARZALEX en association avec VRd sont résumées au tableau 7.
- +Tableau 7: Exposition au daratumumab après administration de DARZALEX SC (1800 mg) en association avec VRd chez des patients atteints de myélome multiple éligible à une greffe
- +Paramètre PK Cycles Daratumumab SC Médiane (5e et 95e percentile)
- +Ctrough (µg/ml) Cycle 1, première dose hebdomadaire 113 (66; 171)
- +Cycle 2, dernière dose hebdomadaire (cycle 3, jour 1, Ctrough) 651 (413; 915)
- +Cmax (µg/ml) Cycle 1, première dose hebdomadaire 117 (67; 179)
- +Cycle 2, dernière dose hebdomadaire 678 (431; 958)
- +ASC0-7 jours (µg/ml•jour) Cycle 1, première dose hebdomadaire 643 (322; 1027)
- +Cycle 2, dernière dose hebdomadaire 4637 (2941; 6522)
- +
- +
-Tableau 6: Exposition au daratumumab chez les patients présentant une amyloïdose AL après administration de DARZALEX SC
- +Tableau 8: Exposition au daratumumab chez les patients présentant une amyloïdose AL après administration de DARZALEX SC
-L'administration d'une dose fixe de 1800 mg de DARZALEX SC en monothérapie a entraîné une exposition suffisante dans tous les groupes de poids corporel.
-Chez les patients présentant un myélome multiple, la concentration résiduelle moyenne (Ctrough) au jour 1 du cycle 3 était supérieure de 60% dans le groupe avec un poids corporel faible (≤65 kg), et inférieure de 12% dans le groupe avec un poids corporel élevé (> 85 kg), à celle observée dans le groupe traité par le daratumumab i. v. Aucun ajustement posologique n'est cependant nécessaire en fonction du poids corporel, car les modifications de l'exposition ne sont pas considérées comme cliniquement pertinentes.
-Chez les patients présentant une amyloïdose AL ayant reçu 1800 mg/15 ml de DARZALEX SC en tant que composante d'un traitement combiné et chez lesquels la concentration résiduelle maximale Ctrough a été atteinte après la huitième dose, la concentration résiduelle maximale moyenne après la huitième dose était inférieure de 22% dans le groupe dont le poids corporel était le plus élevé (> 85 kg) alors qu'elle était supérieure de 37% dans le groupe dont le poids corporel était le plus bas (≤50 kg), respectivement par rapport à celle observe dans le groupe de patients dont le poids corporel se situait entre 51 et 85 kg.
- +L'administration d'une dose fixe de 1800 mg de DARZALEX SC en monothérapie a entraîné une exposition suffisante dans tous les sous-groupes de répartition du poids corporel.
- +Chez les patients présentant un myélome multiple, la concentration résiduelle moyenne (Ctrough) au jour 1 du cycle 3 était supérieure de 60% dans le sous-groupe avec un poids corporel faible (≤65 kg), et inférieure de 12% dans le sous-groupe avec un poids corporel élevé (> 85 kg), à celle observée dans le sous-groupe traité par le daratumumab i. v. Aucun ajustement posologique n'est cependant nécessaire en fonction du poids corporel, car les modifications de l'exposition ne sont pas considérées comme cliniquement pertinentes. Chez les patients présentant une amyloïdose AL ayant reçu 1800 mg/15 ml de DARZALEX SC en tant que composante d'un traitement combiné et chez lesquels la concentration résiduelle maximale Ctrough a été atteinte après la huitième dose, la concentration résiduelle maximale moyenne après la huitième dose était inférieure de 22% dans le sous-groupe dont le poids corporel était le plus élevé (> 85 kg) alors qu'elle était supérieure de 37% dans le sous-groupe dont le poids corporel était le plus faible (≤50 kg), respectivement par rapport à celle observe dans le groupe de patients dont le poids corporel se situait entre 51 et 85 kg.
-·Si la seringue de DARZALEX SC n'est pas utilisée immédiatement, elle peut être conservée réfrigérée pendant 24 heures au maximum, puis 12 heures au maximum à température ambiante (15 – 25 °C) et à la lumière ambiante. En cas de conservation au réfrigérateur, la solution doit atteindre la température ambiante avant d'être utilisée.
- +·Si la seringue de DARZALEX SC n'est pas utilisée immédiatement, elle peut être conservée réfrigérée pendant 24 heures au maximum, puis 12 heures au maximum à température ambiante (15 - 25 °C) et à la lumière ambiante. En cas de conservation au réfrigérateur, la solution doit atteindre la température ambiante avant d'être utilisée.
-Avril 2023.
- +Octobre 2024
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