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Accueil - Information professionnelle sur REKAMBYS 600 mg / 2 ml - Changements - 29.11.2025
102 Changements de l'information professionelle REKAMBYS 600 mg / 2 ml
  • -REKAMBYS en association avec le cabotégravir injectable est indiqué dans le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1) chez l'adulte virologiquement contrôlé (ARN du VIH-1< 50 copies/ml) sous traitement antirétroviral stable depuis au moins 6 mois avant le passage à l'association rilpivirine-cabotégravir, sans résistance connue ou suspectée et sans antécédents d'échec virologique à des principes actifs de la classe des INNTI et des INI (voir «Efficacité clinique»).
  • +REKAMBYS en association avec le cabotégravir injectable est indiqué dans le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1) chez l'adulte et l'adolescents âgés d'au moins 12 ans et pesant au moins 35 kg, virologiquement contrôlés (ARN du VIH-1< 50 copies/ml) sous traitement antirétroviral stable depuis au moins 6 mois avant le passage à l'association rilpivirine-cabotégravir, sans résistance connue ou suspectée et sans antécédents d'échec virologique à des principes actifs de la classe des INNTI et des INI (voir «Efficacité clinique»).
  • -Posologie usuelle
  • -Adultes
  • -REKAMBYS doit toujours être administré avec une injection de cabotégravir. Il convient donc de toujours prendre en compte également l'information professionnelle correspondante pour l'injection du cabotégravir.
  • -Le traitement par REKAMBYS peut commencer par un traitement d'induction par voie orale ou directement par les injections. Le médecin et le patient peuvent décider d'utiliser les comprimés de rilpivirine en tant que traitement d'induction par voie orale avant de commencer les injections de REKAMBYS afin d'évaluer la tolérance (voir tableau 1) ou de commencer directement avec le traitement par REKAMBYS. Les injections de REKAMBYS peuvent être administrée mensuellement ou tous les 2 mois (voir tableau 2 pour les recommandations posologiques mensuelles et le tableau 3 pour les recommandations posologiques bimestrielles). Le médecin et le patient doivent discuter des deux options posologiques avant de commencer les injections de REKAMBYS et choisir la fréquence la mieux adaptée au patient.
  • +REKAMBYS doit toujours être administré avec une injection de cabotégravir. Il convient donc de toujours prendre en compte également l'information professionnelle correspondante pour l'injection du cabotégravir.
  • +Posologie usuelle
  • +Adultes et adolescents âgés d'au moins 12 ans et pesant au moins 35 kg
  • +Le traitement par REKAMBYS peut commencer par un traitement d'induction par voie orale ou directement par les injections. Le médecin et le patient peuvent décider d'utiliser les comprimés de rilpivirine en tant que traitement d'induction par voie orale avant de commencer les injections de REKAMBYS afin d'évaluer la tolérance (voir tableau 1) ou de commencer directement avec le traitement par REKAMBYS. Les injections de REKAMBYS peuvent être administrée mensuellement ou tous les 2 mois (voir tableau 2 pour les recommandations posologiques mensuelles et le tableau 3 pour les recommandations posologiques bimestrielles). Le médecin et le patient doivent discuter des deux options posologiques avant de commencer les injections de REKAMBYS et choisir la fréquence la mieux adaptée au patient.
  • -Tableau 1: Schéma posologique du traitement d'induction par voie orale chez l'adulte
  • +Tableau 1: Schéma posologique du traitement d'induction par voie orale
  • -Première injection (dose de 3 ml)
  • -La dose initiale recommandée de REKAMBYS chez l'adulte est d'une injection intramusculaire unique de 3 ml (900 mg) le dernier jour du traitement antirétroviral actuel ou du traitement d'induction par voie orale. (Voir «Mode d'administration»).
  • -Injections suivantes (dose de 2 ml)
  • -Après la première injection, la dose recommandée de REKAMBYS pour les injections ultérieures chez l'adulte est d'une injection intramusculaire mensuelle de 2 ml (600 mg). (Voir «Mode d'administration»). Les injections peuvent être administrées aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après la date prévue de l'injection mensuelle de 2 ml.
  • -Tableau 2: Schéma posologique pour l'injection intramusculaire mensuelle chez l'adulte
  • +Première injection (900 mg correspondant à une dose de 3 ml)
  • +La dose initiale recommandée de REKAMBYS est d'une injection intramusculaire unique de 3 ml (900 mg) le dernier jour du traitement antirétroviral actuel ou du traitement d'induction par voie orale. (Voir «Mode d'administration»).
  • +Injections suivantes (600 mg correspondant à une dose de 2 ml)
  • +Après la première injection, la dose recommandée de REKAMBYS pour les injections ultérieures est d'une injection intramusculaire mensuelle de 2 ml (600 mg). (Voir «Mode d'administration»). Les injections peuvent être administrées aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après la date prévue de l'injection mensuelle de 2 ml.
  • +Tableau 2: Schéma posologique pour l'injection intramusculaire mensuelle
  • -Injections d'induction (dose de 3 ml)
  • -La première injection intramusculaire d'induction de REKAMBYS de 3 ml (900 mg) chez l'adulte doit être effectuée le dernier jour du traitement antirétroviral actuel ou du traitement d'induction par voie orale. Un mois plus tard, une deuxième injection intramusculaire d'induction de 3 ml (900 mg) doit être administrée.
  • +Injections d'induction (900 mg correspondant à une dose de 3 ml)
  • +La première injection intramusculaire d'induction de REKAMBYS de 3 ml (900 mg) doit être effectuée le dernier jour du traitement antirétroviral actuel ou du traitement d'induction par voie orale. Un mois plus tard, une deuxième injection intramusculaire d'induction de 3 ml (900 mg) doit être administrée.
  • -Injections suivantes (dose de 3 ml)
  • -Après la deuxième injection d'induction, la dose recommandée de REKAMBYS pour les injections ultérieures chez l'adulte est d'une injection intramusculaire unique de 3 ml (900 mg) tous les 2 mois. (Voir «Mode d'administration»). Les injections peuvent être administrées aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après l'administration de l'injection de 3 ml tous les 2 mois.
  • -Tableau 3: Schéma posologique pour l'injection intramusculaire tous les 2 mois chez l'adulte
  • +Injections suivantes (900 mg correspondant à une dose de 3 ml)
  • +Après la deuxième injection d'induction, la dose recommandée de REKAMBYS pour les injections ultérieures est d'une injection intramusculaire unique de 3 ml (900 mg) tous les 2 mois. (Voir «Mode d'administration»). Les injections peuvent être administrées aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après l'administration de l'injection de 3 ml tous les 2 mois.
  • +Tableau 3: Schéma posologique pour l'injection intramusculaire tous les 2 mois
  • -Si un retard de plus de 7 jours par rapport à la date prévue de l'injection est inévitable, un traitement oral (25 mg de rilpivirine et 30 mg de cabotégravir une fois par jour sous forme de comprimés) peut être utilisé pendant 2 mois consécutifs. En variante, un autre traitement antirétroviral oral totalement suppressif peut être utilisé jusqu'à la reprise des injections. Le choix du traitement doit tenir compte des lignes directrices actuelles de traitement du VIH. Pour les données sur le traitement oral de transition avec d'autres traitements antirétroviraux totalement suppressifs, voir section Efficacité clinique.
  • +Si un retard de plus de 7 jours par rapport à la date prévue de l'injection est inévitable, un traitement oral (25 mg de rilpivirine et 30 mg de cabotégravir une fois par jour sous forme de comprimés) peut être utilisé pendant 2 mois consécutifs. En variante, un autre traitement antirétroviral oral totalement suppressif peut être utilisé jusqu'à la reprise des injections. Le choix du traitement doit tenir compte des lignes directrices actuelles de traitement du VIH. Pour les données sur le traitement oral de transition avec d'autres traitements antirétroviraux totalement suppressifs, voir section «Efficacité clinique».
  • -Si un retard de plus de 7 jours par rapport à la date prévue de l'injection est inévitable, un traitement oral quotidien (25 mg de rilpivirine et 30 mg de cabotégravir sous forme de comprimés) peut être utilisé pendant 2 mois consécutifs. En variante, un autre traitement antirétroviral oral totalement suppressif peut être utilisé jusqu'à la reprise des injections. Le choix du traitement doit tenir compte des lignes directrices actuelles de traitement du VIH. Pour les données sur le traitement oral de transition avec d'autres traitements antirétroviraux totalement suppressifs, voir section Efficacité clinique.
  • +Si un retard de plus de 7 jours par rapport à la date prévue de l'injection est inévitable, un traitement oral quotidien (25 mg de rilpivirine et 30 mg de cabotégravir sous forme de comprimés) peut être utilisé pendant 2 mois consécutifs. En variante, un autre traitement antirétroviral oral totalement suppressif peut être utilisé jusqu'à la reprise des injections. Le choix du traitement doit tenir compte des lignes directrices actuelles de traitement du VIH. Pour les données sur le traitement oral de transition avec d'autres traitements antirétroviraux totalement suppressifs, voir section «Efficacité clinique».
  • -Pour réaliser l'injection, tenir compte des instructions détaillées étape par étape qui figurent dans le mode d'emploi joint à l'emballage.
  • +Pour réaliser l'injection, tenir compte des instructions détaillées étape par étape qui figurent dans le mode d'emploi joint à l'emballage. Ces instructions doivent être attentivement suivies lors de la préparation de la suspension injectable afin d'éviter les fuites.
  • -Enfants et adolescents
  • -La sécurité et l'efficacité de REKAMBYS n'ont pas encore été établies chez les patients pédiatriques. Le traitement par REKAMBYS n'est pas recommandé pour ce groupe de patients.
  • +Enfants âgés de moins de 12 ans et adolescents pesant moins de 35 kg
  • +La sécurité et l'efficacité de REKAMBYS n'ont pas été établies chez les enfants âgés de moins de 12 ans et les adolescents pesant moins de 35 kg. On ne dispose d'aucune donnée.
  • +Réactions cutanées et d'hypersensibilité
  • +En association avec un traitement par la rilpivirine, des réactions cutanées et d'hypersensibilité graves ont été signalées, par exemple des cas de DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms). Certaines réactions cutanées ont été associées à des symptômes constitutionnels tels que la fièvre, d'autres à un dysfonctionnement des organes, y compris des valeurs hépatiques sériques élevées. REKAMBYS doit être arrêté immédiatement si des signes ou des symptômes de réactions cutanées ou d'hypersensibilité sévères se manifestent, notamment des exanthèmes sévères ou des exanthèmes accompagnés de fièvre, de vésicules, d'atteinte des muqueuses, de conjonctivite, d'œdème facial, d'angio-œdème, d'hépatite ou d'éosinophilie. L'état clinique et les valeurs de laboratoire doivent être surveillés et un traitement approprié doit être initié.
  • -Administration intraveineuse accidentelle/Réactions post-injection
  • +Administration intraveineuse accidentelle/réactions post-injection
  • -Effets indésirables rapportés dans les études cliniques
  • +Effets indésirables rapportés dans les études cliniques chez l'adulte
  • +Effets indésirables rapportés dans les études cliniques chez les adolescents (âgés de 12 à < 18 ans)
  • +Sur la base des données issues des analyses de l'étude MOCHA sur 16 semaines (cohorte 1) et 24 semaines (cohorte 2), aucun nouveau problème de sécurité n'a été observé chez les adolescents (âgés d'au moins 12 ans et ayant un poids corporel de 35 kg ou plus) par rapport au profil de sécurité établi pour l'adulte (voir «Études cliniques»).
  • -Groupe pharmacothérapeutique: antiviral à usage systémique, INNTI (inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse).
  • -aPremière des 2 valeurs consécutives d'ARN de VIH-1 ≥200 copies/ml. Note: ce résumé représente la proportion cumulée d'EVC jusqu'à la visite d'examen. Remarque: Seules les visites pour lesquelles au moins un nouvel EVC est apparu sont mentionées.
  • +a Première des 2 valeurs consécutives d'ARN de VIH-1 ≥200 copies/ml. Note: ce résumé représente la proportion cumulée d'EVC jusqu'à la visite d'examen. Remarque: Seules les visites pour lesquelles au moins un nouvel EVC est apparu sont mentionées.
  • -Patients infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés
  • +Patients adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés
  • -* Ajustée en fonction des facteurs de stratification à l'inclusion. † Inclut les patients ayant arrêté le traitement en raison d'un manque d'efficacité ou ayant arrêté alors qu'ils n'étaient pas contrôlés. n = nombre de patients dans chaque groupe de traitement, IC = intervalle de confiance, TAC = traitement antiviral en cours.
  • +* Ajustée en fonction des facteurs de stratification à l'inclusion. † Inclut les patients ayant arrêté le traitement en raison d'un manque d'efficacité ou ayant arrêté alors qu'ils n'étaient pas contrôlés. RPV = rilpivirine, CAB = cabotégravir, n = nombre de patients dans chaque groupe de traitement, IC = intervalle de confiance, TAC = traitement antiviral en cours.
  • -Patients infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés
  • +Patients adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés
  • - n = 522 (%) n = 523 (%)
  • + n=522 (%) n=523 (%)
  • -ARN du VIH-1 ≥ 50 copies/ml, n (%)† 9 (1,7) 5 (1,0)
  • -Différence entre les traitements en % (IC à 95%)* 0,8 (-0,6, 2,2)
  • -ARN du VIH-1 < 50 copies/ml, n (%) 492 (94,3) 489 (93,5)
  • -Aucune donnée virologique pendant la fenêtre de la semaine 48, n (%) 21 (4,0) 29 (5,5)
  • +ARN du VIH-1 ≥ 50 copies/ml, n (%)† 9 (1.7) 5 (1.0)
  • +Différence entre les traitements en % (IC à 95%)* 0.8 (-0.6, 2.2)
  • +ARN du VIH-1 < 50 copies/ml, n (%) 492 (94.3) 489 (93.5)
  • +Aucune donnée virologique pendant la fenêtre de la semaine 48, n (%) 21 (4.0) 29 (5.5)
  • -Sortie de l’étude en raison d’un EI ou du décès, n (%) 9 (1,7) 13 (2,5)
  • -Sortie de l’étude pour d’autres raisons, n (%) a 12 (2,3) 16 (3,1)
  • +Sortie de l’étude en raison d’un EI ou du décès, n (%) 9 (1.7) 13 (2.5)
  • +Sortie de l’étude pour d’autres raisons, n (%) a 12 (2.3) 16 (3.1)
  • -ARN du VIH-1 ≥ 50 copies/ml, n (%)† 11 (2,1) 6 (1,1)
  • -ARN du VIH-1 < 50 copies/ml, n (%) 475 (91,0) 472 (90,2)
  • -Aucune donnée virologique pendant la fenêtre de la semaine 48, n (%) 36 (6,9) 45 (8,6)
  • -Raisons:
  • -Sortie de l’étude en raison d’un EI ou du décès, n (%) 17 (3,3) 17 (3,3)
  • -Sortie de l’étude pour d’autres raisons, n (%)a 16 (3,1) 27 (5,2)
  • -Dans l’étude, mais données manquantes pendant cette fenêtre 3 (0,6) 1 (0,2)
  • -Semaine 152
  • -ARN du VIH-1 ≥ 50 copies/ml, n (%)† 14 (2,7) 5 (1,0)
  • -ARN du VIH-1 < 50 copies/ml, n (%) 456 (87,4) 449 (85,9)
  • -Aucune donnée virologique pendant la fenêtre de la semaine 48, n (%) 52 (10,0) 69 (3,2)
  • -Raisons:
  • -Sortie de l’étude en raison d’un EI ou du décès, n (%) 23 (4,4) 24 (4,6)
  • -Sortie de l’étude pour d’autres raisons, n (%) a 28 (5,4) 44 (8,4)
  • -Dans l’étude, mais données manquantes pendant cette fenêtre 1 (0,2) 1 (0,2)
  • +ARN du VIH-1 ≥ 50 copies/ml, n (%)† 11 (2.1) 6 (1.1)
  • +ARN du VIH-1 < 50 copies/ml, n (%) 475 (91.0) 472 (90.2)
  • +Aucune donnée virologique pendant la fenêtre de la semaine 48, n (%) 36 (6.9) 45 (8.6)
  • +Raisons:
  • +Sortie de l’étude en raison d’un EI ou du décès, n (%) 17 (3.3) 17 (3.3)
  • +Sortie de l’étude pour d’autres raisons, n (%)a 16 (3.1) 27 (5.2)
  • +Dans l’étude, mais données manquantes pendant cette fenêtre 3 (0.6) 1 (0.2)
  • +Woche 152
  • +ARN du VIH-1 ≥ 50 copies/ml, n (%)† 14 (2.7) 5 (1.0)
  • +ARN du VIH-1 < 50 copies/ml, n (%) 456 (87.4) 449 (85.9)
  • +Aucune donnée virologique pendant la fenêtre de la semaine 48, n (%) 52 (10.0) 69 (3.2)
  • +Raisons:
  • +Sortie de l’étude en raison d’un EI ou du décès, n (%) 23 (4.4) 24 (4.6)
  • +Sortie de l’étude pour d’autres raisons, n (%) a 28 (5.4) 44 (8.4)
  • +Dans l’étude, mais données manquantes pendant cette fenêtre 1 (0.2) 1 (0.2)
  • -Des analyses multivariées (AMV) des études de phase III regroupées (ATLAS sur 96 semaines, FLAIR sur 124 semaines, ATLAS-2M sur 152 semaines) ont examiné l'influence de différents facteurs sur le risque d'échec virologique (EVC). L'analyse des facteurs à la référence (Baseline Factors Analysis, BFA) a examiné les caractéristiques initiales (à l'inclusion) du virus et des participants à l'étude et le schéma d'administration; cela comprenait les facteurs au début de l'étude et les concentrations plasmatiques pronostiquées du principe actif après le début de l'étude chez des patients présentant un échec virologique confirmé (EVC) à l'aide d'un modèle de régression avec une procédure de sélection des covariables Après un total de 4291 personnes-années, le taux d'incidence non ajusté de l'EVC était de 0,54 pour 100 personnes-années; 23 cas d'EVC ont été rapportés (1,4% des 1651 personnes incluses dans ces études).
  • +Des analyses multivariées (AMV) des études de phase III regroupées (ATLAS sur 96 semaines, FLAIR sur 124 semaines, ATLAS-2M sur 152 semaines) ont examiné l'influence de différents facteurs sur le risque d'échec virologique (EVC). L'analyse des facteurs à la référence (Baseline Factors Analysis, BFA) a examiné les caractéristiques initiales (à l'inclusion) du virus et des participants à l'étude et le schéma d'administration; cela comprenait les facteurs au début de l'étude et les concentrations plasmatiques pronostiquées du principe actif après le début de l'étude chez des patients présentant un échec virologique confirmé (EVC) à l'aide d'un modèle de régression avec une procédure de sélection des covariables. Après un total de 4291 personnes-années, le taux d'incidence non ajusté de l'EVC était de 0,54 pour 100 personnes-années; 23 cas d'EVC ont été rapportés (1,4% des 1651 personnes incluses dans ces études).
  • +Adolescents
  • +Étude MOCHA
  • +La sécurité, l'acceptabilité, la tolérance et la pharmacocinétique de la rilpivirine plus cabotégravir ont été examinées dans l'étude de phase I/II multicentrique, en ouvert, non comparative, en cours, MOCHA (IMPAACT 2017, étude 208580).
  • +MOCHA S16, cohorte 1
  • +55 adolescents infectés par le VIH-1 et virologiquement contrôlés, âgés de 12 à < 18 ans, ayant un poids corporel d'au moins 35 kg, ont été inclus dans l'un de 4 sous-groupes: 1R (rilpivirine) avec administration mensuelle, 1R avec administration tous les 2 mois, 1C (cabotégravir) avec administration mensuelle ou 1C avec administration tous les 2 mois.
  • +Dans la cohorte 1R, en poursuivant le traitement en cours par cART, les participants (n = 25) ont reçu pendant au moins 4 semaines un comprimé de 25 mg de rilpivirine tous les jours, puis des injections mensuelles de rilpivirine pendant 3 mois (mois 1: injection de 900 mg, mois 2 et 3: injection de 600 mg) ou des injections de rilpivirine tous les 2 mois pendant 2 mois (mois 1 et 2: injection de 900 mg). Dans la cohorte 1C, en poursuivant le traitement en cours par cART, les participants (n = 30) ont reçu pendant au moins 4 semaines un comprimé de 30 mg de cabotégravir tous les jours, puis des injections mensuelles de cabotégravir pendant 3 mois (mois 1: injection de 600 mg, mois 2 et 3: injection de 400 mg) ou des injections de cabotégravir tous les 2 mois pendant 2 mois (mois 1 et 2: injection de 600 mg).
  • +Au début de l'étude, l'âge médian des participants de la cohorte 1 (tant 1R que 1C) était de 15,0 ans, le poids corporel médian de 50,0 kg (plage de 37,4 à 98,5), 47,3% étaient de sexe féminin, 92,7% n'étaient pas blancs, et aucun participant n'avait un nombre de cellules CD4+ inférieur à 350 cellules par mm³.
  • +Les objectifs principaux de l'étude à la semaine 16, qui consistaient en la validation de l'utilisation de la dose pour l'adulte par évaluation de la sécurité et de la pharmacocinétique chez des adolescents infectés par le VIH et virologiquement contrôlés, ont été atteints, de sorte que les participants ont pu passer dans la cohorte 2 (voir «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique», «Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • +MOCHA S24, cohorte 2
  • +La cohorte 2 incluait des participants appropriés ayant terminé la cohorte 1 ainsi que des participants appropriés qui n'avaient pas été inclus dans l'étude auparavant. Les participants de la cohorte 2 (n = 144) ont arrêté leur traitement antérieur par cART et ont reçu pendant au moins 4 semaines, tous les jours, un comprimé de 25 mg de rilpivirine et un comprimé de 30 mg de cabotégravir, puis des injections de rilpivirine tous les 2 mois (mois 1 et 2: injection de 900 mg, puis injection de 900 mg tous les 2 mois), et des injections de cabotégravir (mois 1 et 2: injection de 600 mg, puis injection de 600 mg tous les 2 mois).
  • +Au début de l'étude, l'âge médian des participants de la cohorte 2 était de 15,0 ans, le poids corporel médian de 48,5 kg (plage de 35,2 à 100,9), 51,4% étaient de sexe féminin, 98,6% n'étaient pas blancs, et 4 participants avaient un nombre de cellules CD4+ inférieur à 350 cellules par mm³.
  • +L'objectif principal de l'étude à la semaine 24, la confirmation de la sécurité de la rilpivirine injectable plus carbotégravir injectable chez des adolescents infectés par le VIH et virologiquement contrôlés, a été atteint (voir «Effets indésirables»). L'effet antiviral a été évalué en tant qu'objectif secondaire, 139 participants sur 141 pour lesquels les données étaient disponibles étant restés contrôlés virologiquement à la semaine 24 (taux d'ARN du VIH-1 dans le plasma < 50 copies/ml).
  • +Tableau 17: Paramètres pharmacocinétiques de population suite à l'administration de rilpivirine par voie orale une fois par jour et suite aux injections intramusculaires de REKAMBYS d'initiation, mensuelles ou tous les 2 mois chez les adultes
  • +Phase d'administration Schéma posologique Paramètres PK de la RPV plasmatique Moyenne géométrique (5e; 95e percentile)
  • +ASC(0-tau)b (ng•h/ml) Cmax (ng/ml) Ctaub (ng/ml)
  • +Instauration oralec 25 mg PO une fois par jour 2083 (1125; 3748) 116 (49; 244) 79 (32; 177)
  • +Injection d'initiationa,d Dose initiale de 900 mg en IM 44 842 (21 712; 87 575) 144 (94; 221) 42 (22; 79)
  • +Injection mensuellea,e 600 mg en IM une fois par mois 68 324 (39 042; 118 111) 121 (68; 210) 86 (50; 147)
  • +Injection tous les 2 moisa,e 900 mg en IM tous les 2 mois 132 450 (76 638; 221 783) 138 (81; 228) 69 (38; 119)
  • +aBasé sur des estimations individuelles en post-hoc à partir du modèle pharmacocinétique de population pour la rilpivirine en IM (données compilées de FLAIR, ATLAS et ATLAS-2M). b tau est l'intervalle entre les doses: 24 heures pour l'administration orale; 1 ou 2 mois pour les injections IM mensuelles ou les injections IM tous les 2 mois. c Pour la rilpivirine orale, Ctau représente les données compilées observées des études FLAIR, ATLAS et ATLAS-2M, ASC(0-tau) et Cmax représentent les données pharmacocinétiques provenant des études de phase III de la rilpivirine orale. d En cas d'administration après une instauration orale, la Cmax de l'injection d'initiation reflète principalement l'administration orale car la première injection a été administrée le même jour que la dernière dose orale. En cas d'administration sans instauration orale (directement par injection, n = 110), la moyenne géométrique (5e, 95e percentile) de la Cmax observée pour la rilpivirine (1 semaine après l'injection d'initiation) était de 68 ng/ml (28; 220) et la Ctau était de 49 ng/ml (18; 138). e Données de la semaine 48.
  • +
  • +
  • -La pharmacocinétique de la rilpivirine après administration de REKAMBYS n'a pas été évaluée chez les enfants et les adolescents.
  • -
  • +Les analyses pharmacocinétiques de population n'ont mis en évidence aucune différence cliniquement significative au niveau de l'exposition entre les participants adolescents (âgés d'au moins 12 ans et pesant au moins 35 kg) et les participants adultes infectés par le VIH-1 et non infectés. Par conséquent, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les adolescents pesant ≥35 kg.
  • +Tableau 18: Paramètres pharmacocinétiques de population suite à l'administration de rilpivirine par voie orale une fois par jour et suite aux injections intramusculaires de REKAMBYS d'initiation, mensuelles ou tous les 2 mois chez les adolescents (âgés de 12 à < 18 ans et pesant ≥35 kg)
  • +Phase d'administration Schéma posologique Paramètres PK de la RPV plasmatique Moyenne géométrique (5e; 95e percentile)
  • +ASC(0-tau)b (ng•h/ml) Cmax (ng/ml) Ctaub (ng/ml)
  • +Instauration oralec 25 mg PO une fois par jour 2389 (1259; 4414) 144 (81; 234) 76 (28; 184)
  • +Injection d'initiationa,d Dose initiale de 900 mg en IM 35 259 (20 301; 63 047) 135 (86; 211) 37 (22; 59)
  • +Injection mensuellea,e 600 mg en IM une fois par mois 84 280 (49 444; 156 987) 146 (85; 269) 109 (65; 202)
  • +Injection tous les 2 moisa,f 900 mg en IM tous les 2 mois 110 686 (78 480; 151 744) 108 (68; 164) 62 (45; 88)
  • +aBasé sur des estimations individuelles en post-hoc à partir du modèle pharmacocinétique de population pour la rilpivirine en IM (MOCHA, IMPAACT 2017). b tau est l'intervalle entre les doses: 24 heures pour l'administration orale; 1 ou 2 mois pour les injections IM mensuelles ou les injections IM tous les 2 mois. c Les valeurs des paramètres PK de la phase d'instauration orale représentent l'état d'équilibre. d En cas d'administration après une instauration orale, la Cmax de l'injection d'initiation reflète principalement l'administration orale, car la première injection a été administrée le même jour que la dernière dose orale; cependant, l'ASCtau et la valeur de la Ctau à la semaine 4 reflètent la première injection. e Chaque injection mensuelle: 11e injection IM de rilpivirine à action prolongée (40–44 semaines après l'injection d'initiation). f Injection tous les 2 mois: 6e injection IM de rilpivirine à action prolongée (36–44 semaines après l'injection d'initiation).
  • +
  • +
  • -Carcinogénicité
  • -Le potentiel carcinogène de la rilpivirine a été évalué chez la souris et le rat après administration orale par sonde sur une période allant jusqu'à 104 semaines. Des doses quotidiennes de 20, 60 et 160 mg/kg ont été administrées aux souris et des doses quotidiennes de 40, 200, 500 et 1500 mg/kg ont été administrées aux rats. Une augmentation de l'incidence des adénomes et des carcinomes hépatocellulaires a été observée chez la souris et le rat. Une augmentation de l'incidence des adénomes et/ou des carcinomes folliculaires de la thyroïde a été notée chez le rat. L'administration de la rilpivirine n'a pas entraîné d'augmentation statistiquement significative de l'incidence d'autres néoplasies bénignes ou malignes chez la souris ou le rat. Les anomalies hépatocellulaires observées chez la souris et le rat sont considérées comme spécifiques aux rongeurs et reliées à l'induction d'enzymes hépatiques. Il n'existe pas de mécanisme comparable chez l'être humain. Ces tumeurs ne sont donc pas pertinentes pour l'être humain. Les anomalies folliculaires sont considérées comme spécifiques aux rats et reliées à une augmentation de la clairance de la thyroxine, elles n'ont donc aucune pertinence pour l'être humain. Aux doses les plus faibles testées, la disponibilité systémique (sur la base de l'AUC) de la rilpivirine correspondait respectivement à ≥17 fois (souris) et 2 fois (rat) la disponibilité chez l'être humain, à la dose maximale recommandée de 25 mg de rilpivirine une fois par jour chez les patients infectés par le VIH-1 ou à la dose de 600 mg ou 900 mg de rilpivirine en suspension injectable à libération prolongée.
  • -La rilpivirine a obtenu des résultats négatifs au test d'Ames de mutation réverse sur bactéries in vitro, au test d'aberrations chromosomiques sur lymphocytes humains in vitro ainsi qu'au test de clastogénicité sur lymphome de souris in vitro en l'absence et en présence d'un système d'activation métabolique. La rilpivirine n'a pas induit d'aberrations chromosomiques lors du test du micronoyau in vivo après une administration orale chez la souris.
  • +Carcinogénicité et génotoxicité
  • +Le potentiel carcinogène de la rilpivirine a été évalué chez la souris et le rat après administration orale par sonde sur une période allant jusqu'à 104 semaines. Des doses quotidiennes de 20, 60 et 160 mg/kg ont été administrées aux souris et des doses quotidiennes de 40, 200, 500 et 1500 mg/kg ont été administrées aux rats. Une augmentation de l'incidence des adénomes et des carcinomes hépatocellulaires a été observée chez la souris et le rat. Une augmentation de l'incidence des adénomes et/ou des carcinomes folliculaires de la thyroïde a été notée chez le rat. L'administration de la rilpivirine n'a pas entraîné d'augmentation statistiquement significative de l'incidence d'autres néoplasies bénignes ou malignes chez la souris ou le rat. Les anomalies hépatocellulaires observées chez la souris et le rat sont considérées comme spécifiques aux rongeurs et reliées à l'induction d'enzymes hépatiques. Il n'existe pas de mécanisme comparable chez l'être humain. Ces tumeurs ne sont donc pas pertinentes pour l'être humain. Les anomalies folliculaires sont considérées comme spécifiques aux rats et reliées à une augmentation de la clairance de la thyroxine, elles n'ont donc aucune pertinence pour l'être humain. Aux doses les plus faibles testées dans les études de carcinogénicité, la disponibilité systémique de la rilpivirine (sur la base de l'AUC) à la dose maximale recommandée chez l'être humain (DMRH) de 25 mg de rilpivirine par voie orale une fois par jour chez les patients infectés par le VIH-1 ou pour les injections IM de rilpivirine à la dose de 600 mg par mois ou de 900 mg tous les 2 mois correspondait respectivement à ≥17 fois (souris) et 2 fois (rat) la disponibilité chez l'être humain.
  • +La rilpivirine a obtenu des résultats négatifs au test d'Ames de mutation réverse sur bactéries in vitro et au test de clastogénicité sur lymphome de souris in vitro en l'absence et en présence d'un système d'activation métabolique. La rilpivirine n'a pas induit d'aberrations chromosomiques lors du test du micronoyau in vivo après une administration orale chez la souris.
  • -Dans une étude menée chez le rat avec la rilpivirine à une dose orale allant jusqu'à 400 mg/kg/jour (dose toxique pour les mères), aucun effet sur le comportement d'accouplement ou la fertilité n'a été observé. Cette dose est associée à une exposition environ ≥28 fois supérieure à l'exposition chez l'être humain à la dose maximale recommandée chez l'humain (DMRH) de 25 mg une fois par jour, ou à la dose intramusculaire de 600 mg ou 900 mg de rilpivirine sous forme de suspension injectable à libération prolongée. Les expérimentations animales n'ont révélé aucun signe de toxicité embryonnaire ou fœtale pertinente, ni aucun effet sur la fonction de reproduction. Aucune tératogénicité n'a été observée avec la rilpivirine chez le rat et le lapin. Les quantités disponibles aux valeurs de NOAEL pour l'embryon et le fœtus chez le rat et le lapin étaient respectivement ≥12 fois et ≥57 fois supérieures à la quantité disponible chez l'être humain à la DMRH de 25 mg une fois par jour, ou à la dose intramusculaire de 600 mg ou 900 mg de rilpivirine sous forme de suspension injectable à libération prolongée. Lors de l'évaluation du développement prénatal et postnatal chez le rat, la rilpivirine n'a eu aucune influence sur le développement de la progéniture pendant la lactation ou après son arrêt, lorsque les mères ont reçu une dose allant jusqu'à 400 mg/kg/jour.
  • +Dans une étude menée chez le rat avec la rilpivirine à une dose orale allant jusqu'à 400 mg/kg/jour (dose toxique pour les mères), aucun effet sur le comportement d'accouplement ou la fertilité n'a été observé. Cette dose est associée à une exposition environ ≥28 fois supérieure à l'exposition chez l'être humain à la DMRH de 25 mg une fois par jour, ou à la dose intramusculaire de 600 mg ou 900 mg de rilpivirine sous forme de suspension injectable à libération prolongée. Les expérimentations animales n'ont révélé aucun signe de toxicité embryonnaire ou fœtale pertinente, ni aucun effet sur la fonction de reproduction. Aucune tératogénicité n'a été observée avec la rilpivirine chez le rat et le lapin. Les quantités disponibles aux valeurs de NOAEL pour l'embryon et le fœtus chez le rat et le lapin étaient respectivement ≥12 fois et ≥57 fois supérieures à la quantité disponible chez l'être humain à la DMRH de 25 mg une fois par jour, ou à la dose intramusculaire de 600 mg ou 900 mg de rilpivirine sous forme de suspension injectable à libération prolongée. Lors de l'évaluation du développement prénatal et postnatal chez le rat, la rilpivirine n'a eu aucune influence sur le développement de la progéniture pendant la lactation ou après son arrêt, lorsque les mères ont reçu une dose allant jusqu'à 400 mg/kg/jour.
  • -Septembre 2023
  • +Juillet 2025
  • +Les informations suivantes sont destinées exclusivement aux médecins ou aux professionnels de la santé et ne doivent être lues que par le médecin ou le professionnel de santé conjointement avec l'information professionnelle complète
  • -Aperçu Une dose complète nécessite deux injections: 2 ml de cabotégravir et 2 ml de rilpivirine. Le cabotégravir et la rilpivirine sont des suspensions ne nécessitant pas de dilution ou de reconstitution supplémentaires. Les étapes de préparation sont les mêmes pour les deux médicaments. Le cabotégravir et la rilpivirine doivent être administrés exclusivement par voie intramusculaire. Les deux injections doivent être administrées dans le muscle fessier. L'ordre d'administration est sans importance. (image) Remarque: L'injection dans la face ventro-glutéale doit être privilégiée.
  • +Injection de REKAMBYS 2 mL – Instructions d'utilisation:
  • +Aperçu Une dose complète nécessite deux injections: 2 ml de cabotégravir et 2 ml de rilpivirine. Le cabotégravir et la rilpivirine sont des suspensions ne nécessitant pas de dilution ou de reconstitution supplémentaires. Les étapes de préparation sont les mêmes pour les deux médicaments. Suivre attentivement ces instructions lors de la préparation de la suspension injectable afin d'éviter les fuites. Le cabotégravir et la rilpivirine doivent être administrés exclusivement par voie intramusculaire. Les deux injections doivent être administrées sur des sites d'injection distincts dans le muscle fessier. (image) Remarque: L'injection dans la face ventro-glutéale doit être privilégiée. L'ordre d'administration est sans importance.
  • -• Conserver au réfrigérateur (2–8 °C). (image) Ne pas congeler.
  • - (image)
  • +• Conserver au réfrigérateur (2–8 °C). (image)
  • + (image)
  • -·Gants non stériles ·2 tampons imbibés d'alcool ·2 compresses de gaze ·Récipient approprié résistant aux perforations ·1 emballage de 2 ml de cabotégravir Il convient de s'assurer d'avoir l'emballage de cabotégravir à disposition avant de commencer.
  • +·Gants non stériles ·2 tampons imbibés d'alcool ·2 compresses de gaze ·Récipient approprié résistant aux perforations (image) Il convient de s'assurer d'avoir l'emballage de cabotégravir à disposition avant de commencer.
  • - (image) ·Vérifier que la date de péremption n'est pas dépassée. ·Inspecter immédiatement les flacons. Le produit ne doit pas être utilisé si des particules étrangères sont visibles. (image) Ne pas utiliser si la date de péremption est dépassée.
  • + (image) ·Vérifier que la date de péremption n'est pas dépassée. ·Inspecter immédiatement les flacons. Le produit ne doit pas être utilisé si des particules étrangères sont visibles. (image)
  • - (image) ·Tenir fermement le flacon et l'agiter vigoureusement pendant 10 secondes (voir illustration). ·Retourner le flacon et examiner la solution remise en suspension. Elle doit avoir un aspect homogène. Si la suspension n'est pas homogène, agiter de nouveau le flacon. ·Il est également normal de constater la présence de petites bulles d'air.
  • -4. Retirer le capuchon du flacon
  • - (image) ·Retirer le capuchon du flacon. ·Essuyer le bouchon en caoutchouc avec un tampon imbibé d'alcool. (image) Une fois essuyé, le bouchon en caoutchouc ne doit plus entrer en contact avec quoi que ce soit.
  • -5. Ouvrir l'emballage contenant l'adaptateur pour flacon
  • - (image) ·Retirer la pellicule en papier de l'emballage contenant l'adaptateur pour flacon. (image) Remarque: Laisser l'adaptateur dans son emballage pour l'étape suivante.
  • -6. Fixer l'adaptateur pour flacon
  • - (image) ·Appuyer l'adaptateur pour flacon dans son emballage verticalement vers le bas sur le flacon (voir illustration). ·L'adaptateur pour flacon doit être solidement emboîté. ·Puis soulever l'emballage de l'adaptateur pour flacon (voir illustration).
  • -7. Préparer la seringue
  • - (image) ·Sortir la seringue de son emballage. ·Aspirer 1 ml d'air dans la seringue. Cela facilitera ultérieurement le prélèvement du liquide.
  • -8. Fixer la seringue
  • - (image) ·Tenir fermement l'adaptateur pour flacon et le flacon (voir illustration). ·Appuyer fermement la seringue sur l'adaptateur pour flacon. ·Appuyer à fond sur le piston pour expulser l'air dans le flacon.
  • -9. Prélever lentement la dose
  • - (image) ·Retourner la seringue et le flacon afin de prélever lentement autant de liquide que possible dans la seringue. Il est possible qu'il y ait plus de liquide que nécessaire pour la dose.
  • -10. Retirer la seringue
  • - (image) ·Tout en tenant fermement l'adaptateur pour flacon, retirer la seringue de l'adaptateur pour flacon en la faisant tourner (voir illustration). (image) Remarque: Tenir la seringue verticalement vers le haut pour éviter que du liquide ne sorte. Vérifier que la suspension est homogène et d'un blanc laiteux.
  • -11. Fixer l'aiguille
  • + (image) ·Tenir fermement le flacon et l'agiter vigoureusement pendant 10 secondes (voir illustration).
  • +4. Inspectez la suspension
  • + (image) ·Retourner le flacon et examiner la solution remise en suspension. Elle doit avoir un aspect homogène. Si la suspension n'est pas homogène, agiter de nouveau le flacon. ·Il est également normal de constater la présence de petites bulles d'air. (image)
  • +5. Retirer le capuchon du flacon
  • + (image) ·Retirer le capuchon du flacon. ·Essuyer le bouchon en caoutchouc avec un tampon imbibé d'alcool. (image)
  • +6. Ouvrir l'emballage contenant l'adaptateur pour flacon
  • + (image) ·Retirer la pellicule en papier de l'emballage contenant l'adaptateur pour flacon. (image)
  • +7. Fixer l'adaptateur pour flacon
  • + (image) ·Placez le flacon sur une surface plane. ·Appuyer l'adaptateur pour flacon verticalement vers le bas sur le flacon (voir illustration). ·L'adaptateur doit être solidement emboîté avec un click.
  • +8. Retirez l'emballage
  • + (image) ·Puis soulever l'emballage de l'adaptateur pour flacon (voir illustration).
  • +9. Préparer la seringue
  • + (image) ·Sortir la seringue de son emballage. ·Aspirer 1 mL d'air dans la seringue. Cela facilitera ultérieurement le prélèvement du liquide.
  • +10. Fixer la seringue
  • + (image) ·Tenir fermement l'adaptateur pour flacon et le flacon (voir illustration). ·Appuyer fermement la seringue sur l'adaptateur pour flacon.
  • +11. Appuyer sur le piston
  • + (image) ·Appuyer à fond sur le piston pour expulser l'air dans le flacon.
  • +12. Prélever lentement la dose
  • + (image) ·Retourner la seringue et le flacon afin de prélever lentement autant de liquide que possible dans la seringue. Il est possible qu'il y ait plus de liquide que nécessaire pour la dose. (image)
  • +13. Retirer la seringue
  • + (image) ·Maintenez le piston de la seringue fermement en place comme illustré, afin d'éviter les fuites. Il est normal de sentir une certaine contrepression. ·Tout en tenant fermement l'adaptateur pour flacon, retirer la seringue de l'adaptateur pour flacon en la faisant tourner (voir illustration). (image)
  • +14. Fixer l'aiguille
  • -12. Préparer le site d'injection
  • - (image) Les injections doivent être administrées dans le muscle fessier. Administrer les injections controlatéralement ou à 2 cm l'une de l'autre. Garder une distance d'au moins 2 cm par rapport aux sites d'injection précédents. Pour les injections, choisir l'un des sites suivants: ·Ventro-glutéal (recommandé) ·Dorso-glutéal (quadrant supéro-externe) (image) Remarque: Uniquement pour une administration intramusculaire dans le muscle fessier Ne pas injecter par voie intraveineuse.
  • -13. Retirer le capuchon de protection
  • +15. Préparer le site d'injection
  • + (image) Les injections doivent être administrées dans le muscle fessier. Administrer les injections controlatéralement ou à 2 cm l'une de l'autre. Garder une distance d'au moins 2 cm par rapport aux sites d'injection précédents. Pour les injections, choisir l'un des sites suivants: ·Ventro-glutéal (recommandé) ·Dorso-glutéal (quadrant supéro-externe) (image)
  • +16. Retirer le capuchon de protection
  • -14. Retirer l'excédent de liquide
  • - (image) ·Tenir la seringue avec l'aiguille pointée vers le haut. Appuyer sur le piston jusqu'à atteindre la graduation de 2 ml pour retirer l'excédent de liquide et les éventuelles bulles d'air. (image) Remarque: Nettoyer le site d'injection avec un tampon imbibé d'alcool. Laisser la peau sécher à l'air libre avant de continuer.
  • -15. Tendre la peau
  • +17. Retirer l'excédent de liquide
  • + (image) ·Tenir la seringue avec l'aiguille pointée vers le haut. Appuyer sur le piston jusqu'à atteindre la graduation de 2 ml pour retirer l'excédent de liquide et les éventuelles bulles d'air. (image)
  • +18. Tendre la peau
  • -16. Enfoncer l'aiguille
  • +19. Enfoncer l'aiguille
  • -17. Injecter la dose
  • +20. Injecter la dose
  • -18. Vérifier le site d'injection
  • - (image) ·Appuyer une compresse de gaze sur le site d'injection. ·Un petit pansement peut être appliqué en cas de saignement. (image) Ne pas masser la zone.
  • -19. Sécuriser l'aiguille
  • +21. Vérifier le site d'injection
  • + (image) ·Appuyer une compresse de gaze sur le site d'injection. ·Un petit pansement peut être appliqué en cas de saignement. (image)
  • +22. Sécuriser l'aiguille
  • -20. Éliminer en toute sécurité
  • +23. Éliminer en toute sécurité
  • - (image) Si les deux médicaments n'ont pas encore été injectés, suivre les étapes de préparation et d'injection du cabotégravir, pour lequel il existe des instructions d'utilisation spécifiques.
  • + (image) Si le cabotégravir n'a pas encore été injecté, suivez les instructions spécifiques pour la préparation et l'injection de ce médicament.
  • -1. Combien de temps le médicament peut-il être conservé hors du réfrigérateur? Il est préférable d'injecter le médicament dès qu'il a atteint la température ambiante. Le flacon peut cependant rester dans son carton d'emballage à température ambiante (25 °C au max.) pendant 6 heures au maximum; ne pas remettre au réfrigérateur. Si le flacon n'est pas utilisé dans les 6 heures, il doit être jeté. 2. Combien de temps le médicament peut-il rester dans la seringue? Il est préférable d'injecter le médicament (à température ambiante) le plus rapidement possible après l'avoir prélevé dans la seringue. Le médicament peut cependant être conservé dans la seringue pendant 2 heures au maximum avant l'injection. Au-delà de 2 heures, le médicament, la seringue et l'aiguille doivent être éliminés. 3. Pourquoi faut-il injecter de l'air dans le flacon? L'injection de 1 ml d'air dans le flacon facilite le prélèvement de la dose dans la seringue. En l'absence d'air, une petite quantité de liquide risquerait de refluer accidentellement dans le flacon et la quantité présente dans la seringue serait alors inférieure à celle prévue. 4. L'ordre dans lequel les médicaments sont injectés est-il important? Non, l'ordre n'a aucune importance. 5. Est-il sûr de réchauffer plus rapidement le flacon à température ambiante? Il est préférable de laisser le flacon atteindre naturellement la température ambiante. Cependant, il est possible d'accélérer quelque peu la durée du réchauffement avec la chaleur des mains. Il convient toutefois de veiller à ne pas réchauffer le flacon à une température supérieure à 25 °C. N'utiliser aucune autre méthode de réchauffement. 6. Pourquoi l'administration ventro-glutéale est-elle recommandée? L'injection ventro-glutéale dans le muscle moyen fessier est recommandée, car celui-ci n'est pas situé à proximité des principaux nerfs et des gros vaisseaux sanguins. L'injection dorso-glutéale dans le muscle grand fessier est acceptable, si elle est privilégiée par le professionnel de santé. L'injection ne doit être administrée dans aucun autre site.
  • +1. Combien de temps le médicament peut-il être conservé hors du réfrigérateur? Il est préférable d'injecter le médicament dès qu'il a atteint la température ambiante. Le flacon peut cependant rester dans son carton d'emballage à température ambiante (25 °C au max.) pendant 6 heures au maximum; ne pas remettre au réfrigérateur. Si le flacon n'est pas utilisé dans les 6 heures, il doit être jeté. 2. Combien de temps le médicament peut-il rester dans la seringue? Il est préférable d'injecter le médicament (à température ambiante) le plus rapidement possible après l'avoir prélevé dans la seringue. Le médicament peut cependant être conservé dans la seringue pendant 2 heures au maximum avant l'injection. Au-delà de 2 heures, le médicament, la seringue et l'aiguille doivent être éliminés. 3. Pourquoi faut-il injecter de l'air dans le flacon? L'injection de 1 mL d'air dans le flacon facilite le prélèvement de la dose dans la seringue. En l'absence d'air, une petite quantité de liquide risquerait de refluer accidentellement dans le flacon et la quantité présente dans la seringue serait alors inférieure à celle prévue. 4. L'ordre dans lequel les médicaments sont injectés est-il important? Non, l'ordre n'a aucune importance. 5. Est-il sûr de réchauffer plus rapidement le flacon à température ambiante? Il est préférable de laisser le flacon atteindre naturellement la température ambiante. Cependant, il est possible d'accélérer quelque peu la durée du réchauffement avec la chaleur des mains. Il convient toutefois de veiller à ne pas réchauffer le flacon à une température supérieure à 25 °C. N'utiliser aucune autre méthode de réchauffement. 6. Pourquoi l'administration ventro-glutéale est-elle recommandée? L'injection ventro-glutéale dans le muscle moyen fessier est recommandée, car celui-ci n'est pas situé à proximité des principaux nerfs et des gros vaisseaux sanguins. L'injection dorso-glutéale dans le muscle grand fessier est acceptable, si elle est privilégiée par le professionnel de santé. L'injection ne doit être administrée dans aucun autre site.
  • -Aperçu Une dose complète nécessite deux injections: 3 ml de cabotégravir et 3 ml de rilpivirine. Le cabotégravir et la rilpivirine sont des suspensions ne nécessitant pas de dilution ou de reconstitution supplémentaires. Les étapes de préparation sont les mêmes pour les deux médicaments. Le cabotégravir et la rilpivirine doivent être administrés exclusivement par voie intramusculaire. Les deux injections doivent être administrées dans le muscle fessier. L'ordre d'administration est sans importance. (image) Remarque: L'injection dans la face ventro-glutéale doit être privilégiée.
  • +Injection de REKAMBYS 3 mL – Instructions d'utilisation:
  • +Aperçu Une dose complète nécessite deux injections: 3 ml de cabotégravir et 3 ml de rilpivirine. Le cabotégravir et la rilpivirine sont des suspensions ne nécessitant pas de dilution ou de reconstitution supplémentaires. Les étapes de préparation sont les mêmes pour les deux médicaments. Suivre attentivement ces instructions lors de la préparation de la suspension injectable afin d'éviter les fuites. Le cabotégravir et la rilpivirine doivent être administrés exclusivement par voie intramusculaire. Les deux injections doivent être administrées sur des sites d'injection distincts dans le muscle fessier. (image) Remarque: L'injection dans la face ventro-glutéale doit être privilégiée. L'ordre d'administration est sans importance.
  • -• Conserver au réfrigérateur (2–8 °C). (image) Ne pas congeler.
  • - (image)
  • +• Conserver au réfrigérateur (2–8 °C). (image)
  • + (image)
  • -·Gants non stériles ·2 tampons imbibés d'alcool ·2 compresses de gaze ·Récipient approprié résistant aux perforations ·1 emballage de 3 ml de cabotégravir Il convient de s'assurer d'avoir l'emballage de cabotégravir à disposition avant de commencer.
  • +·Gants non stériles ·2 tampons imbibés d'alcool ·2 compresses de gaze ·Récipient approprié résistant aux perforations (image) Il convient de s'assurer d'avoir l'emballage de cabotégravir à disposition avant de commencer.
  • - (image) ·Vérifier que la date de péremption n'est pas dépassée. ·Inspecter immédiatement les flacons. Le produit ne doit pas être utilisé si des particules étrangères sont visibles. (image) Ne pas utiliser si la date de péremption est dépassée.
  • + (image) ·Vérifier que la date de péremption n'est pas dépassée. ·Inspecter immédiatement les flacons. Le produit ne doit pas être utilisé si des particules étrangères sont visibles. (image)
  • - (image) ·Tenir fermement le flacon et l'agiter vigoureusement pendant 10 secondes (voir illustration). ·Retourner le flacon et examiner la solution remise en suspension. Elle doit avoir un aspect homogène. Si la suspension n'est pas homogène, agiter de nouveau le flacon. ·Il est également normal de constater la présence de petites bulles d'air.
  • -4. Retirer le capuchon du flacon
  • - (image) ·Retirer le capuchon du flacon. ·Essuyer le bouchon en caoutchouc avec un tampon imbibé d'alcool. (image) Une fois essuyé, le bouchon en caoutchouc ne doit plus entrer en contact avec quoi que ce soit.
  • -5. Ouvrir l'emballage contenant l'adaptateur pour flacon
  • - (image) ·Retirer la pellicule en papier de l'emballage contenant l'adaptateur pour flacon. (image) Remarque: Laisser l'adaptateur dans son emballage pour l'étape suivante.
  • -6. Fixer l'adaptateur pour flacon
  • - (image) ·Appuyer l'adaptateur pour flacon dans son emballage verticalement vers le bas sur le flacon (voir illustration). ·L'adaptateur pour flacon doit être solidement emboîté. ·Puis soulever l'emballage de l'adaptateur pour flacon (voir illustration).
  • -7. Préparer la seringue
  • - (image) ·Retirer la seringue de son emballage. ·Aspirer 1 ml d'air dans la seringue. Cela facilitera ultérieurement le prélèvement du liquide.
  • -8. Fixer la seringue
  • - (image) ·Tenir fermement l'adaptateur pour flacon et le flacon (voir illustration). ·Appuyer fermement la seringue sur l'adaptateur pour flacon. ·Appuyer à fond sur le piston pour expulser l'air dans le flacon.
  • -9. Prélever lentement la dose
  • - (image) ·Retourner la seringue et le flacon et prélever lentement autant de liquide que possible dans la seringue. Il est possible qu'il y ait plus de liquide que nécessaire pour la dose.
  • -10. Retirer la seringue
  • - (image) ·Tout en tenant fermement l'adaptateur pour flacon, retirer la seringue de l'adaptateur pour flacon en la faisant tourner (voir illustration). (image) Remarque: Tenir la seringue verticalement vers le haut pour éviter que du liquide ne sorte. Vérifier que la suspension est homogène et d'un blanc laiteux.
  • -11. Fixer l'aiguille
  • + (image) ·Tenir fermement le flacon et l'agiter vigoureusement pendant 10 secondes (voir illustration).
  • +4. Inspectez la suspension
  • + (image) ·Retourner le flacon et examiner la solution remise en suspension. Elle doit avoir un aspect homogène. Si la suspension n'est pas homogène, agiter de nouveau le flacon. ·Il est également normal de constater la présence de petites bulles d'air. (image)
  • +5. Retirer le capuchon du flacon
  • + (image) ·Retirer le capuchon du flacon. ·Essuyer le bouchon en caoutchouc avec un tampon imbibé d'alcool. (image)
  • +6. Ouvrir l'emballage contenant l'adaptateur pour flacon
  • + (image) ·Retirer la pellicule en papier de l'emballage contenant l'adaptateur pour flacon. (image)
  • +7. Fixer l'adaptateur pour flacon
  • + (image) ·Placez le flacon sur une surface plane. ·Appuyer l'adaptateur pour flacon verticalement vers le bas sur le flacon (voir illustration). ·L'adaptateur doit être solidement emboîté avec un click.
  • +8. Retirez l'emballage
  • + (image) ·Puis soulever l'emballage de l'adaptateur pour flacon (voir illustration).
  • +9. Préparer la seringue
  • + (image) ·Retirer la seringue de son emballage. ·Aspirer 1 mL d'air dans la seringue. Cela facilitera ultérieurement le prélèvement du liquide.
  • +10. Fixer la seringue
  • + (image) ·Tenir fermement l'adaptateur pour flacon et le flacon (voir illustration). ·Appuyer fermement la seringue sur l'adaptateur pour flacon.
  • +11. Appuyer sur le piston
  • + (image) ·Appuyer à fond sur le piston pour expulser l'air dans le flacon.
  • +12. Prélever lentement la dose
  • + (image) ·Retourner la seringue et le flacon et prélever lentement autant de liquide que possible dans la seringue. Il est possible qu'il y ait plus de liquide que nécessaire pour la dose. (image)
  • +13. Retirer la seringue
  • + (image) ·Maintenez le piston de la seringue fermement en place comme illustré, afin d'éviter les fuites. Il est normal de sentir une certaine contrepression. ·Tout en tenant fermement l'adaptateur pour flacon, retirer la seringue de l'adaptateur pour flacon en la faisant tourner (voir illustration). (image)
  • +14. Fixer l'aiguille
  • -12. Préparer le site d'injection
  • - (image) Les injections doivent être administrées dans le muscle fessier. Administrer les injections controlatéralement ou à 2 cm l'une de l'autre. Garder une distance d'au moins 2 cm par rapport aux sites d'injection précédents. Pour les injections, choisir l'un des sites suivants: ·Ventro-glutéal (recommandé) ·Dorso-glutéal (quadrant supéro-externe) (image) Remarque: Uniquement pour une administration intramusculaire dans le muscle fessier Ne pas injecter par voie intraveineuse.
  • -13. Retirer le capuchon de protection
  • +15. Préparer le site d'injection
  • + (image) Les injections doivent être administrées dans le muscle fessier. Administrer les injections controlatéralement ou à 2 cm l'une de l'autre. Garder une distance d'au moins 2 cm par rapport aux sites d'injection précédents. Pour les injections, choisir l'un des sites suivants: ·Ventro-glutéal (recommandé) ·Dorso-glutéal (quadrant supéro-externe) (image)
  • +16. Retirer le capuchon de protection
  • -14. Retirer l'excédent de liquide
  • - (image) ·Tenir la seringue avec l'aiguille pointée vers le haut. Appuyer sur le piston jusqu'à atteindre la graduation de 3 ml pour retirer l'excédent de liquide et les éventuelles bulles d'air. (image) Remarque: Nettoyer le site d'injection avec un tampon imbibé d'alcool. Laisser la peau sécher à l'air libre avant de continuer.
  • -15. Tendre la peau
  • +17. Retirer l'excédent de liquide
  • + (image) ·Tenir la seringue avec l'aiguille pointée vers le haut. Appuyer sur le piston jusqu'à atteindre la graduation de 3 ml pour retirer l'excédent de liquide et les éventuelles bulles d'air. (image)
  • +18. Tendre la peau
  • -16. Enfoncer l'aiguille
  • +19. Enfoncer l'aiguille
  • -17. Injecter la dose
  • +20. Injecter la dose
  • -18. Vérifier le site d'injection
  • - (image) ·Appuyer une compresse de gaze sur le site d'injection. ·Un petit pansement peut être appliqué en cas de saignement. (image) Ne pas masser la zone.
  • -19. Sécuriser l'aiguille
  • +21. Vérifier le site d'injection
  • + (image) ·Appuyer une compresse de gaze sur le site d'injection. ·Un petit pansement peut être appliqué en cas de saignement. (image)
  • +22. Sécuriser l'aiguille
  • -20. Éliminer en toute sécurité
  • +23. Éliminer en toute sécurité
  • - (image) Si les deux médicaments n'ont pas encore été injectés, suivre les étapes de préparation et d'injection du cabotégravir, pour lequel il existe des instructions d'utilisation spécifiques.
  • + (image) Si le cabotégravir n'a pas encore été injecté, suivez les instructions spécifiques pour la préparation et l'injection de ce médicament.
  • -1. Combien de temps le médicament peut-il être conservé hors du réfrigérateur? Il est préférable d'injecter le médicament dès qu'il a atteint la température ambiante. Le flacon peut cependant rester dans son carton d'emballage à température ambiante (25 °C au max.) pendant 6 heures au maximum; ne pas remettre au réfrigérateur. Si le flacon n'est pas utilisé dans les 6 heures, il doit être jeté. 2. Combien de temps le médicament peut-il rester dans la seringue? Il est préférable d'injecter le médicament (à température ambiante) le plus rapidement possible après l'avoir prélevé dans la seringue. Le médicament peut cependant être conservé dans la seringue pendant 2 heures au maximum avant l'injection. Au-delà de 2 heures, le médicament, la seringue et l'aiguille doivent être éliminés. 3. Pourquoi faut-il injecter de l'air dans le flacon? L'injection de 1 ml d'air dans le flacon facilite le prélèvement de la dose dans la seringue. En l'absence d'air, une petite quantité de liquide risquerait de refluer accidentellement dans le flacon et la quantité présente dans la seringue serait alors inférieure à celle prévue. 4. L'ordre dans lequel les médicaments sont injectés est-il important? Non, l'ordre n'a aucune importance. 5. Est-il sûr de réchauffer plus rapidement le flacon à température ambiante? Il est préférable de laisser le flacon atteindre naturellement la température ambiante. Cependant, il est possible d'accélérer quelque peu la durée du réchauffement avec la chaleur des mains. Il convient toutefois de veiller à ne pas réchauffer le flacon à une température supérieure à 25 °C. N'utiliser aucune autre méthode de réchauffement. 6. Pourquoi l'administration ventro-glutéale est-elle recommandée? L'injection ventro-glutéale dans le muscle moyen fessier est recommandée, car celui-ci n'est pas situé à proximité des principaux nerfs et des gros vaisseaux sanguins. L'injection dorso-glutéale dans le muscle grand fessier est acceptable, si elle est privilégiée par le professionnel de santé. L'injection ne doit être administrée dans aucun autre site.
  • +1. Combien de temps le médicament peut-il être conservé hors du réfrigérateur? Il est préférable d'injecter le médicament dès qu'il a atteint la température ambiante. Le flacon peut cependant rester dans son carton d'emballage à température ambiante (25 °C au max.) pendant 6 heures au maximum; ne pas remettre au réfrigérateur. Si le flacon n'est pas utilisé dans les 6 heures, il doit être jeté. 2. Combien de temps le médicament peut-il rester dans la seringue? Il est préférable d'injecter le médicament (à température ambiante) le plus rapidement possible après l'avoir prélevé dans la seringue. Le médicament peut cependant être conservé dans la seringue pendant 2 heures au maximum avant l'injection. Au-delà de 2 heures, le médicament, la seringue et l'aiguille doivent être éliminés. 3. Pourquoi faut-il injecter de l'air dans le flacon? L'injection de 1 mL d'air dans le flacon facilite le prélèvement de la dose dans la seringue. En l'absence d'air, une petite quantité de liquide risquerait de refluer accidentellement dans le flacon et la quantité présente dans la seringue serait alors inférieure à celle prévue. 4. L'ordre dans lequel les médicaments sont injectés est-il important? Non, l'ordre n'a aucune importance. 5. Est-il sûr de réchauffer plus rapidement le flacon à température ambiante? Il est préférable de laisser le flacon atteindre naturellement la température ambiante. Cependant, il est possible d'accélérer quelque peu la durée du réchauffement avec la chaleur des mains. Il convient toutefois de veiller à ne pas réchauffer le flacon à une température supérieure à 25 °C. N'utiliser aucune autre méthode de réchauffement. 6. Pourquoi l'administration ventro-glutéale est-elle recommandée? L'injection ventro-glutéale dans le muscle moyen fessier est recommandée, car celui-ci n'est pas situé à proximité des principaux nerfs et des gros vaisseaux sanguins. L'injection dorso-glutéale dans le muscle grand fessier est acceptable, si elle est privilégiée par le professionnel de santé. L'injection ne doit être administrée dans aucun autre site.
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