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Accueil - Information professionnelle sur Trikafta 100 mg / 50 mg / 75 mg, 150 mg - Changements - 28.02.2022
14 Changements de l'information professionelle Trikafta 100 mg / 50 mg / 75 mg, 150 mg
  • -Aucune adaptation de la posologie n'est à prévoir chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (Child-Pugh de classe A) (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucune adaptation de la posologie n'est à prévoir chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (Child-Pugh de classe A) (voir «Mises en garde et précautions», «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • -Effets sur la fonction hépatique
  • -Des augmentations des transaminases sont fréquentes chez les patients atteints de mucoviscidose et ont été observées chez certains patients traités par Trikafta. Il est recommandé de contrôler les taux de transaminases (ALAT et ASAT) chez tous les patients avant l'instauration du traitement, tous les trois mois durant la première année de traitement, puis une fois par an. Une surveillance plus fréquente doit être envisagée chez les patients ayant des antécédents d'augmentations des transaminases. En cas de taux d'ALAT ou d'ASAT > 5 fois la limite supérieure de la normale [LSN] ou d'ALAT ou d'ASAT > 3 x LSN avec bilirubine > 2 x LSN, le traitement doit être interrompu et le bilan hépatique doit être étroitement surveillé jusqu'à sa normalisation. La décision d'une éventuelle reprise du traitement après la normalisation du bilan hépatique doit tenir compte des risques encourus par rapport au bénéfice attendu (voir «Effets indésirables»).
  • +Effects sur les analyses de la fonction hépatique
  • +Des augmentations des transaminases sont fréquentes chez les patients atteints de mucoviscidose et ont été observées chez certains patients avec ou sans maladie hépatique préexistante traités par Trikafta. Dans certains cas, ces augmentations, parfois sévères, étaient associées à une augmentation concomitante de la bilirubine totale. Dans les études de phase III, les augmentations des transaminases ont été plus fréquentes dans le groupe Trikafta que dans le groupe placebo. Il est donc recommandé de contrôler les taux de transaminases (ALAT et ASAT) et de bilirubine totale chez tous les patients avant l'instauration du traitement, tous les trois mois durant la première année de traitement, puis une fois par an. Une surveillance plus fréquente doit être envisagée chez les patients ayant des antécédents d'atteinte hépatique ou d'augmentations des transaminases. En cas de taux d'ALAT ou d'ASAT > 5 fois la limite supérieure de la normale [LSN] ou d'ALAT ou d'ASAT > 3 x LSN avec bilirubine > 2 x LSN, le traitement doit être interrompu et le bilan hépatique doit être étroitement surveillé jusqu'à sa normalisation. La décision d'une éventuelle reprise du traitement après la normalisation du bilan hépatique doit tenir compte des risques encourus par rapport au bénéfice attendu (voir «Posologie/Mode d'emploi», «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • +Augmentations sévères des transaminases et atteinte hépatique
  • +Chez un patient présentant une cirrhose et une hypertension portale, une insuffisance hépatique nécessitant une transplantation a été rapportée lors du traitement par Trikafta. Trikafta doit donc être utilisé avec précaution chez les patients présentant une atteinte hépatique avancée préexistante (par exemple cirrhose, hypertension portale) et sous surveillance étroite, et uniquement si les bénéfices escomptés prédominent sur les risques. Des augmentations sévères des paramètres hépatiques (transaminases et bilirubine) ont également été rapportées chez des patients atteints de mucoviscidose sans maladie hépatique préexistante sous traitement par Trikafta. Le traitement n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh de classe B) (voir «Posologie/Mode d'emploi», «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • +Insuffisance hépatique
  • +Le traitement n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée. Chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée, l'utilisation de Trikafta ne doit être envisagée qu'en cas de nécessité médicale absolue et si les bénéfices escomptés prédominent sur les risques. Dans ce cas, il doit être utilisé avec précaution à une dose réduite (voir tableau 2). Les patients présentant une insuffisance hépatique sévère ne doivent pas être traités par Trikafta (voir «Posologie/Mode d'emploi», «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • -Élévations des transaminases
  • +Élévations des transaminases et atteinte hépatique
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés dans le cadre de l'utilisation de Trikafta après l'autorisation.
  • +·insuffisance hépatique nécessitant une transplantation chez un patient présentant une cirrhose et une hypertension portale préexistantes (voir «Posologie/Mode d'emploi», «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»)
  • +·Atteinte hépatique caractérisée par des augmentations simultanées des taux de transaminases (ALAT et ASAT) et de bilirubine totale chez les patients atteints de mucoviscidose avec ou sans maladie hépatique préexistante (voir «Posologie/Mode d'emploi», «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • -L'elexacaftor seul ou en association avec le tezacaftor et l'ivacaftor n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh de classe C, score de 10 à 15). Après administration répétée d'elexacaftor, de tezacaftor et d'ivacaftor pendant 10 jours, l'ASC de l'elexacaftor était augmentée de 25 % et la Cmax de 12 %, l'ASC du M23elexacaftor était augmentée de 73 % et la Cmax de 70 %, l'ASC de l'elexacaftor et du M23elexacaftor combinés était augmentée de 36 % et la Cmax de 24 %, l'ASC du tezacaftor était augmentée de 20 % mais la Cmax était comparable et l'ASC de l'ivacaftor était augmentée de 50 % et la Cmax de 10 % chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh de classe B, score de 7 à 9) comparativement aux volontaires sains appariés pour les données démographiques.
  • +L'elexacaftor seul ou en association avec le tezacaftor et l'ivacaftor n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh de classe C, score de 10 à 15). Après administration répétée d'elexacaftor, de tezacaftor et d'ivacaftor pendant 10 jours, l'ASC de l'elexacaftor était augmentée de 25 % et la Cmax de 12 %, l'ASC du M23elexacaftor était augmentée de 73 % et la Cmax de 70 %, l'ASC de l'elexacaftor et du M23elexacaftor combinés était augmentée de 36 % et la Cmax de 24 %, l'ASC du tezacaftor était augmentée de 20 % mais la Cmax était comparable et l'ASC de l'ivacaftor était augmentée de 50 % et la Cmax de 10 % chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh de classe B, score de 7 à 9) comparativement aux volontaires sains appariés pour les données démographiques (voir «Posologie/Mode d'emploi», «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
  • -Une analyse pharmacocinétique de population portant sur 817 patients recevant le tezacaftor seul ou en association avec l'ivacaftor dans les études de phase II ou de phase III a montré que l'insuffisance rénale légère (N = 172, DFGe de 60 à < 90 ml/min/1,73 m2) et l'insuffisance rénale modérée (N = 8, DFGe de 30 à < 60 ml/min/1,73 m2) ne modifiaient pas significativement la clairance du tezacaftor.
  • +Une analyse pharmacocinétique de population portant sur 817 patients recevant le tezacaftor seul ou en association avec l'ivacaftor dans les études de phase II ou de phase III a montré que l'insuffisance rénale légère (N = 172, DFGe de 60 à < 90 ml/min/1,73 m2) et l'insuffisance rénale modérée (N = 8, DFGe de 30 à < 60 ml/min/1,73 m2) ne modifiaient pas significativement la clairance du tezacaftor (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Des cataractes ont été observées chez les jeunes rats ayant reçu du jour 7 au jour 35 de la période postnatale des doses d'ivacaftor ≥10 mg/kg/jour (0,2 fois la DMRH d'après l'exposition systémique de l'ivacaftor et de ses métabolites). Ces anomalies n'ont pas été constatées chez les fœtus de rates traitées du 7e au 17e jour de la gestation, ni chez les petits plus ou moins exposés à l'ivacaftor par l'intermédiaire du lait ingéré jusqu'au jour 20 de la période postnatale, ni chez des rats âgés de 7 semaines, ni chez des chiens âgés de 3,5 à 5 mois recevant l'ivacaftor. La signification éventuelle de ces observations pour l'homme n'est pas connue.
  • +Des cataractes ont été observées chez les jeunes rats ayant reçu du jour 7 au jour 35 de la période postnatale des doses d'ivacaftor ≥10 mg/kg/jour (0,2 fois la DMRH d'après l'exposition systémique de l'ivacaftor et de ses métabolites). Ces anomalies n'ont pas été constatées chez les fœtus de rates traitées du 7e au 17e jour de la gestation, ni chez les petits plus ou moins exposés à l'ivacaftor par l'intermédiaire du lait ingéré jusqu'au jour 20 de la période postnatale, ni chez des rats âgés de 7 semaines, ni chez des chiens âgés de 3,5 à 5 mois recevant l'ivacaftor. La signification éventuelle de ces observations pour l'homme n'est pas connue (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Octobre 2021
  • +Décembre 2021
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